lundi 29 juin 2020

Cauchemar au refuge.

Texte de Monique

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Je m’appelle Jean-Claude et j’ai 51 ans. Ma femme Monique et moi sommes allés dans les Pyrénées faire du ski et des raquettes. Lors d’une randonnée, nous avons été pris dans une tempête de neige fondue qui nous a glacé jusqu’aux os. A travers la pluie et le vent, j’ai aperçu un chalet entre les sapins où nous avons pu nous réfugier. Nous sommes entrés dans la construction en bois complètement gelés pour voir que le bâtiment était occupé par une classe de neige. Il y avait là une dizaine de jeunes entre 18 et 19 ans, leur éducateur et un guide de montagne.

Ce dernier, en nous voyant grelotter, nous fit approcher du feu de cheminée et s’empara de deux couvertures pour qu’on se déshabille et se mette au chaud. J’aidais donc ma femme à retirer sa combinaison trempée pendant que les jeunes n’en perdaient pas une miette. Monique se retrouva en culotte et soutien gorge et les jeunes se mirent à siffler. Je retirai pour ma part ma combinaison trempée en faisant des remarques à l’éducateur :

- Vous pourriez pas les tenir, vos petits sauvages... C’est pas la correction qui les étouffent…

L’éducateur me regarda d’un air mauvais, puis s’approcha de moi et dit :

- Et bien quoi ? Tu penses que tu fais la loi partout et que tu peux mépriser les jeunes comme ça... On va te faire voir ce que valent les jeunes d’aujourd’hui... Les gars... A vos bites !!!

Quatre jeunes s’emparèrent de moi et me jetèrent sur un lit pour me ligoter les bras et jambes aux montants. Je jetai un œil vers ma femme et je vis les jeunes qui lui avaient arraché sa couverture et étaient en train de lui couper son soutien gorge et sa culotte. Les lambeaux de tissus tombèrent par terre et Monique se retrouva toute nue devant tout le monde.

Ma femme est une belle femme, 49 ans, brune aux cheveux courts, la peau mat, 1m68 pour 47kg, des cuisses fermes, des fesses pommelées, un ventre plat et des seins en forme de poire avec des bouts assez long et durs.

L’éducateur s’approcha d’elle et ouvrit sa braguette, il sortit sa bite qui était courte mais très épaisse, et tandis que Monique tournait la tête il lui dit :

- Ecoute-moi bien salope. T’as intérêt à faire ce qu’on te demande, sinon on colle dehors ton mec et il crèvera de froid. T’as compris, hein ? Alors tu vas me sucer comme il faut, t’as compris. Après je vais te baiser, ça va te réchauffer. Allez. Suce.

Je vis Monique me lancer un regard désespéré mais une claque sur la joue la ramena à la réalité. Elle ouvrit la bouche et l’autre en profita pour se faire emboucher sur toute la longueur de son membre. Pendant ce temps-là, les autres jeunes se déshabillaient à leur tour et chacun voulait avoir sa part. Ils entouraient ma femme et se mirent à la caresser sur tout le corps. Les jeunes étaient au nombre de dix, cinq blancs, deux arabes et trois blacks. Quand je vis ces derniers baisser leur pantalon, je fus surpris par la taille de leur sexe. Ils étaient au repos et leur bite devaient faire une vingtaine de centimètres.

Monique fut allongée sur un coin de table, la tête pendant dans le vide. L’éducateur repris sa pipe pendant qu’un jeune se mettait à brouter le minou de ma femme. Je voyais l’autre lui lécher la fente, en prenant soin de lui mettre un doigt dans la chatte. Monique gémissait de honte, les autres lui pinçaient les tétons, lui malaxaient les seins. Le jeune qui était entre ses cuisses laissa sa place à un autre, puis ce fut encore un autre.

L’éducateur laissa sa place à un jeune tandis qu’il se positionnait à l’entrée de la chatte de ma femme. Son sexe devait faire une quinzaine de cm, mais il était très gros et Monique râla quand l’engin pénétra sa chatte poilue. L’éducateur l’approcha au bord de la table et s’appliqua à la pénétrer bien à fond. 

Les jeunes étaient autour et leurs mains exploraient le corps de ma femme, s’insinuant sur sa rosette pendant que deux jeunes astiquaient le clitoris de Monique. Elle avait la tête toujours dans le vide et deux jeunes se faisaient sucer en même temps.

L’éducateur accéléra ses mouvements de plus en plus vite et se projeta en avant afin de se vider au fond du vagin de ma femme. Il resta un moment ainsi avant de se dégager et de se refaire sucer. Un jeune prit sa place entre les cuisses et pénétra ma femme qui couina de nouveau. Puis ce fut un autre et encore un autre. Un jeune qu’elle suçait se crispa et lui tint la tête pour se répandre dans sa bouche, ce qui la fit tousser.

Deux autres prirent la place pour se faire sucer. Monique ne savait plus où elle était et elle tenait une bite dans chaque main. L’éducateur prit trois matelas sur les lits et les mit par terre, ma femme fut installée dessus. La partie de baise reprit de plus belle.

Le guide ne participait pas, mais je le vis dans son coin regarder les jeunes avec un mélange de peur et d’envie.

Un noir bien membré fit mettre ma femme à genoux, se mit derrière elle et la pénétra avec sa grosse bite. Monique se mit à gémir mais cette fois-ci, ses gémissements étaient de plaisir. Le black la prenait de toute sa longueur, lui enfonçant ses 25 centimètres de chair dans les entrailles. 

Trois jeunes étaient à genoux devant ma femme et se faisaient sucer à tour de rôle tandis qu’elle branlait une queue dans chaque main. Le noir derrière elle sortit sa bite bien raide et dit :

- Elle est bonne cette salope de bourge. Regardez comme elle mouille. Tiens !.. Puisque t’aimes ça, prends ça dans ton cul, salope !!! Aaaahhh Ouuiii, je t’encule bien à foonnd.

Ma femme se faisait enculer alors qu’elle m’avait toujours refusé cette pratique. Elle essaya de désarçonner le black mais celui-ci la tenait fermement aux hanches et avec une bite au fond du gosier, elle ne put articuler sa souffrance.

Le jeune derrière elle se mit à la pistonner de toutes ses forces en faisant des grands ’’HA’’ et Monique se mit à jouir comme une folle. Deux jeunes lui écartaient les fesses afin que le black puisse la pénétrer bien profond. Ce dernier se rua en avant et juta au fond de son cul, après quoi il fut remplacé par un autre qui avait un sexe beaucoup plus fin.

L’éducateur eut une idée, il fit allonger un autre black sur le dos, la bite bien en l’air. Avec un autre jeune, il saisit ma femme sous les cuisses et derrière le dos, la souleva pour la positionner au-dessus de ce mandrin noir et la fit descendre lentement pendant que le black tenait sa queue dressée. Je vis d’où j’étais ce gros sexe noir s’enfoncer dans le cul de ma femme qui fit la grimace. L’éducateur et l’autre jeune soulevèrent ma femme pour la faire retomber jusqu’à ce que la bite coulisse dans son cul. Les jeunes se pressaient autour d’elle.

Le dernier black qui était hors de ma vue jusqu’alors vint en face de ma femme et lui présenta sa bite. C’était vraiment un sexe énorme, presque 30 centimètres de long pour 6 centimètres de diamètre, un vrai concombre. Monique eut du mal à l’emboucher mais l’autre en avait rien à faire, car il poussait plus loin sa fellation en tenant la tête de ma femme. Quand sa bite fut bien raide, il se mit entre les cuisses de ma femme; deux jeunes prirent les chevilles de Monique pour lui écarter les jambes au maximum et les remonter à la verticale et le black put présenter son mandrin à l’entrée de sa chatte. Alors que ma femme avait déjà une belle bite dans le cul qui la ramonait, l’autre black la pénétra par-devant et je vis Monique ouvrir en grand la bouche afin de chercher de l’air. La pénétration était monstrueuse et je voyais cet énorme engin avancer dans sa chatte centimètre après centimètre. Ma femme était prise en sandwich et les jeunes sifflèrent.

Les deux jeunes limaient ma femme en cadence pendant que l’éducateur se faisait de nouveau sucer. On lui mit une bite dans chaque main afin qu’elle les branle. Monique réussit à dire :

- Aaaahhhh ! Ça fait maaallll ! Aaarrrrêêêtteeezz ! Nnnooonnn ! Ooooohh ! Aaaïïïïïee !

Les deux jeunes s’en donnaient à cœur joie en défonçant ma femme à fond. Les deux sexes noirs allaient et venaient à toute vitesse dans les trous de ma pauvre femme qui haletait. Celui qui était dans sa chatte se retira d’un coup, se releva et lui tint la bouche ouverte pour juter de grandes saccades de foutre à l’intérieur. Les autres applaudirent tandis que l’éducateur y retournait. Lui avait une autre idée, il se mit devant ma femme en disant :

- Je vais t’enculer avec Selim ma salope. On va t’agrandir le trou du cul. ha ha ha.,,

Et sans laisser plus de temps à ma femme, il saisit sa bite et l’orienta vers l’anus de Monique qui se mit à hurler quand le gland épais commença à entrer avec la queue du black. L’éducateur donnait de petits coups de reins afin de faciliter sa pénétration et au bout d’une minute, il entra son gland avec l’autre bite. Il tenait sa bite et poussait quand il dit :

- Ouah, super !!! C’est génial les mecs. Elle a un cul d’enfer cette salope. Aaahh ! Deux bites en même temps. Qu’est-ce que t’en dis, salope. On te l’éclate bien ton cul hein ?

Monique geignait tandis qu’un jeune se branlait dans sa bouche grande ouverte. Je vis le sperme gicler et ma femme en recevoir dans la bouche, sur le nez et dans les yeux.

L’éducateur et l’autre jeune se crispèrent tous les deux et jutèrent dans le cul de Monique qui râla. Ils basculèrent ma femme sur le côté et deux autres jeunes la prirent en même temps dans la chatte. La pauvre était baisée dans tous ses trous et à plusieurs à la fois.

Le guide qui s’était tenu à l’écart se déshabilla, s’approcha de mon épouse et se fit sucer. Quand son sexe fut en érection, il s’intercala avec les deux jeunes et réussit à la sodomiser. Je n’en revenais pas, Monique avait deux bites dans la chatte, une dans le cul, deux dans la bouche et elle branlait deux queues en même temps. un record !!!

J’eus malgré moi une érection, de voir ainsi ma femme prise par tous ces jeunes me fit de l’effet.
 
Les pénétrations se succédèrent ainsi pendant toute la soirée. Monique fut prise à tour de rôle, ses trous investis plusieurs fois. Les jeunes lui jutèrent sur tout le corps, elle fut obligée d’avaler plusieurs fois le sperme qu’on lui jutait dans la bouche. 

Les deux noirs qui avaient le plus gros sexe la reprirent en double dans le cul, en prenant soin de bien la limer en profondeur, ce qui fit crier ma femme.

A la fin, tous étaient fatigués mais l’éducateur voulut une dernière fois avilir ma femme. Les jeunes la mirent à quatre pattes et derrière elle, l’éducateur entreprit de la fister. Je vis sa main disparaître dans sa chatte béante, aller et venir pendant un bon moment avant de faire pareil avec son cul. Sa main disparut dans ses fesses et Monique cria de jouissance et de douleur mêlées.

Les jeunes voulurent faire de même et chacun leur tour, ils enfoncèrent leur main tantôt dans le sexe de mon épouse tantôt dans son cul. Deux jeunes lui prirent ses deux trous en même temps, ce qui fit jouir Monique de plus belle. D’où j’étais, je voyais ma femme à genoux, les épaules touchant le matelas et le cul bien en l’air se faire pénétrer ses orifices par toutes les mains présentes. Cela dura une bonne heure avant que ma femme soit abandonnée sur les matelas.

Tout le monde alla se coucher alors que ma femme était toujours allongée. Une heure après, elle se releva, ne fit aucun bruit quand elle me détacha. Nous avons pris nos combinaisons qui avaient séché devant la cheminée, nous avons volé deux grosses parkas dont celle de l’éducateur, nos sacs à dos ainsi que deux lampes torche et quelques vivres puis nous sommes enfuis dans la nuit. La pluie mêlée de neige avait stoppé et c’est sous un ciel étoilé que nous avons regagné le premier village.

De là nous nous sommes fait ramener à notre station et nous nous sommes enfermés dans notre chambre. Le lendemain matin à la première heure, j’ai demandé la note et après avoir réglé, nous avons repris la route en direction de notre domicile.

Quand nous sommes arrivés chez nous, ma femme alla de nouveau se laver et resta au moins une heure sous la douche. Elle vint ensuite se blottir contre moi puis me demanda de lui faire l’amour où pour la première fois je pus la sodomiser.

FIN

Les Infortunes de l'infirmière Ch. 03

Les Infortunes de L'infirmière - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Notre infirmière découvre le gouinage.

Cynthia gisait sur la table d'examen, jambes grandes ouvertes, chevilles rivées aux étriers. Son cul était suspendu quelques centimètres au dessus du matelas, tout son poids reposait sur ses épaules et son dos. Elle commençait à avoir des crampes dans ses bras liés au dessus de sa tête. Elle sentait le foutre qui avait séché sur son visage et sur ses cuisses au sortir de sa chatte. Elle avait cessé d'appeler inutilement à l'aide.

Cela faisait maintenant deux heures que ses deux derniers visiteurs l'avaient quittée. Elle s'était débattue pour se libérer de ses liens, mais en vain. Elle s'était retenue longtemps mais elle n'en pouvait plus, elle entendait sa pisse tomber au sol, elle savait déjà à quel point elle se sentirait humiliée lorsqu'on la découvrirait.

Elle entendit au loin le son d'un aspirateur, Cynthia réalisa que le groupe chargé du nettoyage du bâtiment était arrivé en avance. Elle savait que normalement ils n'entraient pas dans le bureau du docteur, mais elle comprit au son que la porte du bureau devait être grande ouverte. Ils viendraient sûrement nettoyer les moquettes et vider les poubelles s'ils voyaient la porte grande ouverte.

Cynthia voulait crier, mais elle pensa au dernier instant que sa voix serait couverte par le bruit des shampouineuses, aussi attendit-elle que l'équipe de nettoyage s'approche du cabinet.

Brandi parcourait le couloir vidant les poubelles alors que sa partenaire briquait les sols. Ce n'était pas le boulot habituel de cette jeune femme de 22 ans. Brandi était venue aider sa mère qui dirigeait l'équipe de nettoyage. Avec ses cheveux courts et son corps ferme et bien formé elle n'avait vraiment le physique d'une concierge. Mais elle était venue aider son amie Martina pour qu'elle finisse plus tôt son boulot, elle serait ensuite libre d'aller flâner au concert.

Martina était une jeune femme de 26 ans d'origine hispanique. Elle portait ses courts cheveux bruns tirés en arrière. Elle avait un corps magnifique, une petite poitrine et portait habituellement des jeans bien larges et des chemisiers de flanelle.

La mère de Brandi savait que Martina était lesbienne mais elle ignorait que sa fille et sa collègue s'aimaient tendrement.

Brandi vit que la porte du cabinet du docteur James était ouverte en grand, cela lui parut très surprenant qu'il y ait quelqu'un dans le bureau en ce jour de congé. Elle jeta un coup d'œil dans le bureau et ne vit personne. Légèrement embarrassée elle s'y reprit à deux fois avant d'entrer dans le cabinet.

Elle laissa la shampouineuse dans le couloir pour couvrir le bruit de ses pas au cas où il se trouverait quelqu'un dans le bureau. Elle entra et jeta un œil dans bureau d'accueil et vit le sac d'une infirmière grand ouvert posé sur le bureau. Brandi craignait qu'il ne s'agisse d'un cambriolage et s'apprêtait à sortir lorsqu'il lui sembla entendre du bruit provenant d'une pièce au fond du vestibule.

Ignorant sa première impression qui la poussait à se sauver elle se glissa silencieusement vers cette pièce. Jetant un œil dans la petite salle, Brandi n'en crut pas ses yeux. Une infirmière était ligotée sur la table d'examen les chevilles rivées aux étriers, sa chatte était tournée vers la porte.

Réalisant que l'infirmière n'avait pas pu la voir, elle retourna dans le hall d'accueil et sortit du cabinet du docteur James, elle saisit la shampouineuse et se rua à la rencontre de Martina.

Remorquant Martina elle revint au cabinet du docteur James, Martina jeta à son tour un œil dans la petite salle d'examen et vint rejoindre Brandi à la porte du bureau.

- C'est cette salope d'infirmière qui m'a incendiée un jour où j'avais garé ma voiture trop près de la sienne ! L'informa Martina rêveuse.

- C'est une foutue snob ! Elle pense qu'elle vaut beaucoup mieux que n'importe qui dans ce bureau ! Je me demande bien comment elle a pu se foutre dans une telle situation ! Réfléchissait Brandi à voix haute.

- Qu'est ce que ça peut nous foutre ? Pour ce que ça nous rapporte ! Rétorqua Martina amèrement.

Elles étaient sur le point de quitter les lieux lorsque Martina afficha un large sourire.

- Ce serait honteux de laisser une si jolie petite chatte se morfondre toute seule !

- Que veux-tu dire ? Répliqua Brandi légèrement inquiète.

- Pourquoi ne retournerions pas dans la salle d'examen pour nous amuser avec la chatoune de cette petite salope ?

- Penses-tu qu'on le puisse .... Ne risquons nous pas de graves ennuis ?

- A voir sa posture elle serait la première à avoir des ennuis si quelqu'un la trouvait ainsi, comment justifierait-elle de sa position ?

- Par l'enfer il va bien falloir qu'elle nous raconte comment elle s'est fourrée dans une telle situation !

Cynthia entendit quelqu'un marcher dans le couloir. Tout d'abord elle eut peur que ce soit l'un de ses agresseurs qui soit revenu. Lorsqu'elle vit Martina et la jeune brunette entrer dans la salle elle se sentit à la fois soulagée et honteuse. Elle supposait depuis un bon moment que Martina était une gouine et elle sentait les yeux de la femme de ménage explorer sa foufoune entièrement livrée à sa convoitise.

- Dieu soit loué... S'il vous plait détachez moi. Les pria Cynthia.

- Nous ne te détacherons après s'être un peu amusé avec toi ! Lui rétorqua Martina hilare.

- Que... Quoi ? Balbutia Cynthia effondrée.

Puis elle sentit Martina sonder du doigt sa chatte engorgée.

- Arrêtez saleté de gouine ! Hurla Cynthia au premier doigt fourré dans sa cramouille.

Brandi fit le tour de la table d'examen et se posta de l'autre coté, elle entreprit de lui peloter les nibards avant de se pencher pour les mordiller et les sucer.

- Oh mon Dieu Nonnnn... Ne me faite pas ça ! Larmoyait Cynthia éperdue de honte.

- Mais tu n'es qu'une petite salope ! Cracha Martina

- C'est bien toi qui as pissé sur le sol n'est-ce pas ? On va être obligée de te nettoyer la chatte avant tout autre chose !

Martina sortit de la salle d'examen et revint quelques minutes plus tard une carafe munie d'un pulvérisateur en main, elle pulvérisa son contenu sur la foufoune de Cynthia en riant. L'infirmière entravée frémit au contact de l'eau fraîche sur ses appâts intimes. Mais ce n'était rien en comparaison des sensations qu'elle endura lorsque la femme de ménage enfouit son visage entre ses cuisses et entreprit de lui brouter le gazon.

Cynthia hurlait son désespoir alors que, pour la première fois de sa vie une femme lui léchait la chatte. Pire encore, pendant ce temps, l'autre fille lui mâchouillait les tétons. Cette expérience la révulsait. Au moins au cours des viols précédent c'était des hommes qui l'avaient possédée.

Et voila qu'elle se faisait a violenter par deux femmes. Et le pire, c'est que petit à petit son corps répondait à leurs assauts. Sous la langue de Cynthia elle sentait monter un nouvel orgasme ravageur. Et, juste au moment où elle allait jouir, la femme arrêta ses caresses et dit à sa comparse d'en faire autant.

Martina quitta à nouveau la salle et revint une paire de minutes plus tard avec quelque chose en main. Mais Cynthia ne parvenait pas à voir ce dont il s'agissait. Elle tendit l'engin à Brandi et lui intima :

- Quand je te dirai de l'utiliser tu sais quoi faire !

Puis elle revint mâchouiller la cramouille de Cynthia éperdue. Alors qu'un nouvel orgasme risquait de la terrasser, Cynthia luttait de toutes ses forces pour le repousser se refusant à jouir des caresses d'un autre femme. Mais elle savait bien que c'était une cause perdue d'avance. Son corps se réjouissait trop de ses caresses intempestives pour qu'elle puisse résister bien longtemps. Elle se mit à gémir traduisant les inavouables délices que lui procurait la langue habile. Quelques secondes avant qu'elle n'exulte, Martina recula sa tête et cria :

- Maintenant !

Cynthia hurla de douleur alors qu'une pince serrée se refermait sur son téton droit. Elle jeta un œil vers le bas et vit une que Brandi avait refermé une puissante pince à papier sur son mamelon qui virait au pourpre.

- Je vous en prie enlevez moi ça ! Les supplia-t-elle d'une voix chevrotante.

Puis Martina se remit à la lécher. La douleur émanant de son nibard se heurtait au plaisir irradiant sa foufoune. Puis petit à petit son téton s'engourdit alors que le plaisir grandissait dans sa foufounette. Soudain elle arrêta de nouveau, Cynthia hurla à nouveau alors que Brandi refermait une autre pince sur son téton gauche. Cynthia se débattait de toute son énergie dans les liens qui l'entravaient. Elle lutta encore plus farouchement lorsque Martina se releva et saisit les deux pinces, étirant ses mamelons torturés.

- Je vous en prie, arrêtez ! Pleurnichait Cynthia affolée par la douleur.

Mais Martina se remit à lui brouter le gazon. Son téton gauche s'engourdissait à son tour, alors qu'une fois encore sa chatoune s'affolait sous les caresse labiales de l'habile gouine. Elle tendit le ventre en avant réclamant de nouvelles caresses, elle haletait alors que son excitation grandissait, cela lui importait peu maintenant que ce soit les mains ou même les lèvres d'une femme qui la travaillaient, elle ne se souciait plus que son envie de jouir. Mais son envie de jouir se mut en de terribles cris de douleur alors que quelque chose d'infernal lui mordait atrocement son clito dardé, elle hurla réalisant qu'une troisième pince se refermait sans pitié sur son petit haricot. Elle avait pensé que la douleur émanant de ses tétons était terrible mais ce n'était rien comparé à cette effroyable torture lancinante.

- Feras-tu tout ce qu'on te demandera si j'enlève ces pinces ? LLui demanda suavement Martina.

- Ou... Oui... Balbutia Cynthia folle de douleur.

- Alors bouffe la chatte de mon amie ! lui ordonna une Martina impitoyable.

Brandi avait déjà enlevé ses habits et grimpait sur la table d'examen se postant au dessus du visage de Cynthia. Celle-ci jeta un œil affolé sur la chatte rasée à quelques centimètres de son visage.

- Je... Je n'ai jamais...

Sa protestation mourut dans un cri déchirant alors que Martina empoignait la pince martyrisant son clito pour l'étirer sauvagement. Vaincue elle tendit la tête pour enfouir son visage dans l'entrecuisse de son assaillante et entreprit de lui lécher la fente. Brandi chaloupa des hanches se plaçant en bonne position pour que l'infortunée infirmière puisse lui bouffer correctement la chatte. Elle était déjà trempée, elle se mit tout de suite en action. 

Cynthia cherchait à faire abstraction de la douleur émanant de soin entrecuisse alors qu'elle broutait servilement la fentine de cette sale gouine. De toute sa vie, elle n'avait jamais été tentée d'avoir des rapports sexuels avec une autre femme. Et voilà qu'en cet instant elle mâchouillait la chatoune d'une inconnue, faisant de son mieux pour combler ces deux tourmenteuses.

Alors qu'elle suçait sa partenaire elle sentit qu'on lui sondait la cramouille, elle pensa tout d'abord qu'il s'agissait des doigts de Martina, mais elle réalisa très vite que c'était quelque chose de bien plus gros. Elle se demandait bien ce que cette salope cherchait à introduire dans sa moule.

Sa cramouille était de plus en plus distendue à la limite de la rupture, elle voulut crier mais ses plaintes de perdaient dans la chatoune qu'elle broutait consciencieusement. Brandi se tortillait sous les caresses enivrantes de la bouche inexpérimentée, elle gémissait d'extase emportée par un orgasme fulgurant.

Cynthia savait que la jeune femme jouissait sous les caresses de sa langue, elle sentait sa cyprine lui couler sur les joues alors qu'elle continuait à la lécher servilement. Finalement ayant joui par tous les pores de sa peau, Brandi se releva et la désenfourcha descendant de la table d'examen.

Cynthia jeta un œil vers le bas entre ses jambes, elle vit alors que Martina lui enfonçait de force une grosse bouteille en plastique dans la foufoune. Elle faisait bien 30 cm de long et 20 cm de diamètre, elle était déjà parvenue à l'emboîter de moitié dans sa chatte horriblement distendue.

- Tu aimes ? Lui demanda Martina se marrant comme une brute.

- Non... Bien sur que non... Enlevez moi ça ! Cracha Cynthia en retour.

- Voilà tout ce que tes protestations te rapporteront ! La railla Martina tirant de façon saccadée sur la pince provoquant une multitude d'élancements douloureux dans sa chatte et ses lombes.

- Regarde moi ça ! Intervint alors Brandi lui présentant un godemiché en plastique imitant parfaitement un pénis en pleine érection. Cynthia reconnut immédiatement le leurre, c'était l'un des modèles dont se servait monsieur James pour démontrer le fonctionnement d'une bite. Elle avait souvent plaisanté avec ses collègues prétendant qu'elles aimeraient toute trouver un homme aussi bien monté que ça.

- Amène le moi ! Intervint alors Martina.

 Elle saisit le gode et commença à le frotter entre les jambes de Cynthia. La plus jeune s'était accroupie et écarta ses cuisses en grand, le leurre pouvait maintenant glisser dans toute sa fentine. Lorsque Martina pensa qu'il était suffisamment lubrifié, elle le pointa tout contre l'étroit anus de Cynthia qui frémit de peur.

- Oh non... Je vous en prie... Pas ça... Pas dans mon anus ! Hurla Cynthia paniquée.

Martina éclata de rire alors qu'elle poussait le gode en avant, l'introduisant lentement dans l'œillet ridelé de la belle odalisque.

- Es tu prête maintenant ? Lui susurra-t-elle égrillarde à souhait.

Cynthia hocha la tête.

- Ce n'est pas assez ! Dit-elle retirant un peu l'épais leurre de son trou du cul.

- Supplie moi de te laisser brouter ma chatte !

Cynthia ne parvenait pas à croire ce à qu'on exigeait d'elle.

- S'il vous plait... Donnez moi votre chatte à lécher !

Martina grimpa sur la table d'examen et enfourcha le visage de Cynthia. Cette dernière pensa tout d'abord qu'elle risquait d'étouffer, mais trouva bien vite la bonne méthode pour respirer par le nez, elle se mit à brouter le second chaton qu'on proposait à sa convoitise. Tandis qu'elle broutait le gazon de Martina, Brandi prit place entre ses cuisses et se mit à la pistonner avec la bouteille en plastique un doigt fourré dans son anus, ce qui ne faisait qu'ajouter à la confusion de la malheureuse infirmière saoulée de caresses.

- Oh oui, bouffe moi la chatte petite salope ! S'écriait Martina pressant sa chatte contre le visage de Cynthia.

Elle savourait tous ces instants et était déterminée à se vider dans la bouche de la jeune infirmière.

- Oh oui ! Cria-t-elle soudain submergée par un orgasme fulgurant alors que Cynthia continuait à lui brouter le gazon..

Cynthia sentait la chatte de Martina battre contre son visage elle savait pertinemment qu'elle succombait à un orgasme d'une rare intensité, elle continuait de la lécher la faisant rebondir d'orgasme en orgasme. Puis finalement Martina s'écroula. Elle s'allongea de tout son long se débrouillant pour que sa chatte reste contre les lèvres de Cynthia, coinçant la tête de la petite infirmière entre ses jambes pour l'empêcher de tourner la tête. Elle regarda Cynthia droit dans les yeux avec un large sourire.

- C'était merveilleux ma petite Cynthia, tu as bien gagné ton dessert !

Cynthia sentit un liquide chaud sentant fort lui inonder la bouche, elle voulut fermer la bouche mais il était bien trop tard, Martina lui pissait dans la bouche.

- Avale ma chérie.... Lui intima Martina hilare.

Cynthia n'avait guère le choix en la matière, elle devait soit avaler soit étouffer, aussi ingurgita-t-elle péniblement l'urine de Martina. Une fois qu'elle se fut vidée la vessie Martina se releva.

- Et maintenant on va te donner bien du plaisir !

Elle saisit les pinces ornant ses tétons et les retira vivement. Cynthia pensait avoir souffert tout à l'heure, mais l'afflux de sang dans ses tétons engourdis lui octroya une douleur bien plus intense que les pinces elles mêmes. Puis les deux jeunes femme lui sucèrent tendrement ses mamelons meurtris.

Martina se dirigea alors vers son entrecuisses, elle commença par lui enlever la bouteille de plastique enfouie dans sa chatte, puis desserra la pince refermée sur son clito, Cynthia hurla à nouveau de douleur. Sa peine diminua rapidement sous les caresses de la langue de Martina qui fourrageait dans sa foufoune.

Cynthia roulait des yeux en sentant son corps répondre à ces assauts lubriques. Brandi lui suçait toujours les tétins alors que Martina s'occupait de sa féminité exacerbée. Cynthia haletait de plus en plus fort, sa jouissance était intense.

- Oh mon Dieu... Oh oui... Faites que je jouisse... Je vous en prie je veux jouir ! Hurlait-elle en plein délire.

Sa prière se réalisa soudainement, sa chatte explosa en extase alors qu'un dernier orgasme la faisait trembler de la tête aux pieds. Elle avait souvent joui cet après-midi, mais pas encore avec une telle intensité. Elle secouait la tête en tous sens hurlant sa joie alors que la jeune femme la tête entre ses cuisses continuait imperturbablement ses caresses.

A suivre...

samedi 20 juin 2020

Confession d’une femme au foyer Ch. 01

Ce fut de l'érotisme. Avec lenteur, j'ai entendu ma femme généralement très timide m'avouer ses aventures sexuelles. La plupart des hommes qui désirent voir ou entendre parler de leur femme avec d'autres hommes conviendront que c'est la lenteur de la construction de l'histoire ainsi que l'attente de son dénouement qui suscitent le plus d'intérêt. Ma femme et des hommes se sont progressivement laisser entraîner dans du sexe tabou. Écouter ma femme me raconter tous les détails fut le plus grand événement de ma vie, même si elle le fit à contrecœur.

L'histoire est vraie. Je vous dirai plus tard comment je le sais. Certains des détails les plus fins ne sont pas vrais à 100% car elle m'a raconté des versions différentes mais la trame est la même. Cependant, il m'a fallu des années pour savoir toute la vérité. Et comme c'est la vraie vie, il y eut aussi de la colère, de la jalousie et de la douleur. Mais maintenant, je vais passer à autre chose.

A l'époque, nous avions emménagé dans une maison située dans un quartier qui suivait un gros programme de rénovation. Ma femme avait 23 ans, était blonde et belle. Nous avions deux filles qui allaient à l'école maternelle. Mon épouse attirait beaucoup l'attention de l'armée d'ouvriers qui travaillaient dans le quartier. Les maisons à côté de la notre étaient en travaux et donc vides.

Un jour, alors que j'étais malade et que je n'avais pu me rendre au travail, je me levai tard et je me rendis dans la salle de bain. J'entendis alors les ouvriers d'à côté parler à ma femme qui était dans le jardin en train d'étendre le linge. Elle échangea des salutations avec deux hommes, puis je l'entendis dire :

- Mon mari est à la maison aujourd'hui.

Un homme répondit :

- Oh je vois!

Qu'est-ce que c'était que ça? Je devins méfiant car ce n'était pas une conversation normale. Elle les avertissait. Pourquoi? ils la connaissaient. De mauvaises idées traversèrent ma tête. Que faisait-elle pendant que je travaillais? Je ressentis alors à la fois de la colère et de la jalousie.

Je descendis les escaliers avec hâte et je dis à ma femme :

- Qu'est-ce que c'était que ça?

Elle nia avoir dit quelque chose. Nous eûmes alors une grosse dispute. Les jours suivants, notre couple se déchira. Si bien, que pour préserver notre famille, nous dûmes nous asseoir et en parler calmement.

Elle m'admit qu'elle avait menti. Elle me dit qu'ils étaient venus dans notre maison pour boire un café et discuter. Je lui rétorquai qu'il devait y avoir plus que ça. Ma femme recommença à se fâcher et se mit à pleurer. Je décidai alors de la laisser.

Mais quelques mois plus tard, j'ai de nouveau abordé le sujet. L'incident restait dans ma tête. Alors, en essayant de rester de bonne humeur, je lui dis que je pariais qu'ils la trouvaient sexy. Je lui dis que j'étais seulement en colère parce qu'elle m'avait menti. Et que c'était bien qu'ils viennent juste prendre un café et discuter.

- Je parie que tu as aimé l'attention qu'ils te portent. Suggérai-je.

Ma femme se détendit un peu et me dit qu'elle était flattée de leurs sifflements approbateurs.

- Comment en es-tu venue à parler avec eux? Demandai-je.

- Quand j'étais dans le jardin en train d'étendre la lessive, un ouvrier m'a sifflé de la fenêtre de la maison d'à côté. Me dit-elle.

Tout de suite, j'eus dans ma tête l'image de ma femme dans le jardin. Et une idée me vint. Les jupes courtes étaient à la mode et ma femme était parfois un peu négligente quand elle se baissait. Pas étonnant qu'ils sifflent.

- As-tu montré ta culotte? Demandai-je.

Elle fut choquée alors j'ajoutai :

- Ce n'est pas grave, je ne vais pas me mettre en colère. L'idée que tu flirtes quand je suis au travail est assez excitante. Après tout, tu dois t'ennuyer maintenant que les filles sont à l'école.

En vérité, dans ma tête la jalousie et la colère se mélangeaient. Elle m'avait menti. Pourtant, bien que je ne le comprenne pas vraiment, je fus aussi excité sexuellement. Elle me dit :

- Eh bien je suppose que parfois ils ont vu ma culotte.

- Tu veux dire que tu sais que tu l'as montré?

J'essayai de la rassurer et je lui dis que ce n'était pas grave. Elle était plus ouverte mais je sentais qu'elle cachait encore des choses.

- Leur as-tu montré ta culotte intentionnellement? demandai-je.

Elle acquiesça.

- Raconte-moi!

- Quand j'allais au jardin pour pendre le linge, je savais qu'ils regardaient par la fenêtre des maisons d'à côté. Alors je me penchais sur le panier à linge, plus que nécessaire pour que ma robe remonte. Parfois je m'étirais vers la corde à linge en sachant que mes robes courtes remontaient presque jusqu'à la taille. Je les entendais parler à voix basse.

Ma bite durcit dans mon pantalon et mon cœur battit plus vite. Je lui dis :

- Continue!

Nerveuse, elle ajouta :

- Les ouvriers commencèrent à venir dans le jardin voisin pour à côté de la clôture. Je pouvais les sentir me regarder. Je suppose qu'ils voulaient voir de plus près.

- Et ils ont pu voir? Questionnai-je.

Elle baissa les yeux, penaude, et acquiesça.

- Donc ils regardaient par-dessus la clôture pendant que tu étendais le linge. Et tu te penchais exprès pour montrer ta culotte?

- Oui... Admit-elle à contrecœur avant d'ajouter :

- Je l'ai fait de façon que ça paraisse accidentelle.

Essayant de rester calme, je lui demandai comment ils avaient commencé à venir chez nous.

- Un jour, ils m'ont dit que l'eau était coupée dans la maison qu'ils rénovaient. Ils ne pouvaient pas prendre un verre. Alors je les ai invités à boire un café. C'était vraiment innocent. Puis ils vinrent souvent lors de leurs pauses café et nous bavardions.

- Combien étaient-ils? Demandai-je.

- Parfois trois, mais un travaillait dans une autre maison.

- Laisse-moi m'imaginer ça! Dis-je.

Puis je continuai :

- Trois hommes à qui tu avais montré ta culotte étaient maintenant seuls dans la maison avec toi. Est-ce que ça t'excitait?

Elle baissa les yeux et resta silencieuse.

- Est-ce que dans la maison, tu te penchais?

Elle ne répondit pas.

- Allez, ne gâche pas tout en mentant maintenant.

Contrariée, elle répondit doucement :

- Oui...

- Qu'est-ce que tu as fait exactement? Demandai-je en essayant de calmer mon tremblement.

Ce n'était pas un tremblement de colère mais plutôt d'excitation sexuelle.

- Ils s'asseyaient à la table de cuisine et je faisais semblant de continuer à m'activer. Ça me donnait une excuse pour me pencher. Parfois je m'asseyais avec eux et je laissais ma robe remontée. Tous mes vêtements sont assez courts donc ce n'est pas difficile.

Je ne pus plus me retenir. Je mis une main autour d'elle tandis que l'autre remonta sa jupe.

- Tu voulais qu'ils puissent voir ta culotte de face, juste entre tes jambes. Et tu le faisais intentionnellement pour les exciter. Tu me fais bander, dis m'en plus!

Elle commença à respirer lourdement quand je mis ma main dans sa culotte. Je lui chuchotai :

- Qu'as-tu fait d'autre?

Elle ferma les yeux et posa sa tête sur mon épaule.

- Est-ce que ça t'excitait? Ajoutai-je.

- Hmm... Un peu... Quand je porte une jupe, généralement j'ai un haut coupé court. Et certains sont plutôt serrés, un peu trop petits. Alors quand je mettais le café sur la table, leurs yeux étaient rivés sur ma poitrine.

- Donc tu savais qu'ils allaient venir. Est-ce que tu t'habillais de façon à leur montrer le plus possible de ton corps?

- Oui... C'est pas bien... Dit-elle en levant les yeux vers moi.

- C'est bon, continue! Dis-je doucement.

- J'ai des robes que je n'ose pas porter à l'extérieur car elles sont trop courtes ou trop petites. J'ai aussi des tee-shirts ou des hauts trop petits. Et certains vêtements sont si fins que l'on peut voir à travers. Je les mettais lorsque je savais qu'ils venaient. Une jupe qui couvrait juste mon cul et un haut qui laissait voir mes tétons pointer.

- Et ta culotte? Tu choisissais la plus sexy?

- Oui. J'emmenais les filles à l'école et quand je revenais à la maison, habituellement un des hommes me demandait s'ils pouvaient venir plus tard. Alors je rentrais chez nous et je me transformais en femme plus sexy pour les exciter. Je vérifiais dans le miroir ce que je montrais. Oui j'ai choisi des culottes sexy.

Elle avait un élan de franchise. Je pensai alors qu'il ne fallait pas qu'elle s'arrête.

- As-tu mis la culotte que tu avais acheté pour m'exciter. Celle qui est minuscule et transparente? Et l'autre toute rouge?

Elle répondit :

- Oui, et ils pouvaient bien voir ma culotte quand je m'asseyais en face d'eux et que je laissais mes jambes écartées.

- Qu'est-ce qu'ils ont dit?

- Rien. Mais je pouvais voir qu'ils étaient excités à cause des renflements dans leur pantalon et leurs regards avides.

- Toi aussi tu étais excitée? Dis-je.

- Oui. Je me sentais sexy alors mes mamelons durcissaient. Je pouvais les voir me détailler pendant que nous parlions. Leurs yeux allaient de mes jambes à ma poitrine.

Ne souhaitant pas la pousser trop vite, je lui posai une autre question :

- Ça devait être évident pour eux que tu avais changé de vêtements?

- Oui ils le voyaient. C'était comme un jeu à l'époque. Ils s'asseyaient bavardaient et buvaient leur café pendant que je leur donnais un petit spectacle. Par exemple, j'essayais d'atteindre un objet sur une étagère au-dessus d'eux afin qu'ils puissent voir le devant de ma culotte. Ou alors je me baissais tout en sachant que ma jupe couvrait à peine mes fesses. J'écartais un peu les jambes avant de m'asseoir pour qu'ils aient une meilleure vue. Un jour, j'ai fait semblant de ne pas remarquer que ma jupe était remontée presque à ma taille alors que j'étais assise. Ils ont pu tout voir.

- As-tu écarté les jambes aussi.

- Oui. Avec désinvolture, je les ai laissé voir ma chatte. Parfois, nous restions ainsi pendant 20 ou 30 minutes, ils profitaient de la vue.

Je fus tellement excitée par son récit que cette nuit-là, je la fis jouir trois fois.

Les jours suivants, je ne pus me concentrer sur mon travail. J'avais l'envie irrésistible de rentrer à la maison et de lui poser d'autres questions. Les images qu'elle m'avait mis dans la tête me poussèrent à aller aux toilettes pour me masturber comme un dingue. Je me représentai ma femme assise dans notre cuisine, sa jupe relevée à la taille, ses jambes grandes ouvertes, ses tétons pointant sous son haut. Trois hommes en train de bander regardaient sa chatte à travers sa culotte. Je me demandai si elle avait porté la culotte couleur chair.

Ces hommes avaient du vouloir aller plus loin, avoir voulu la toucher, tripoter ses seins, caresser sa chatte. Mon Dieu! C'est sûrement ce qu'elle voulait. Elle s'habillait pour eux, pour les exciter. Elle devait bien penser à leurs bites bien raides? Ils ont dû lui faire des avances? Voulait-elle que l'un d'eux, ou tous, lui fasse des avances? Jusqu'où ont-ils été?

J'avais hâte de le découvrir.

A suivre...

Changement de Mentalité

Traduction d'un texte de JamieRed.

************************************

Carmen flirte avec le déménageur qui ramasse le dernier carton. Je fredonne « l'école est fini » en remettant la clé au propriétaire. Nous faisons un dernier tour dans l'appartement pour récupérer notre caution. Puis nous jetons nos valises dans le coffre de mon cabriolet.

Carmen attend que j'enlève la capote pour se glisser sur le siège. Elle tire sur son débardeur et évente ses seins avec un magazine.

- Il fait aussi chaud qu'en enfer ici ma fille. Allons-y!

Je souris et je démarre le moteur. Carmen manque de modestie, mais aime s'amuser. Elle était venue à l'université avec une bourse sportive et a fait pom-pom girl la dernière année. Elle est très fière de son corps et les hommes y sont sensibles.

Toutefois, son petit ami actuel, James, semble la dominer. Alors que je tourne pour m'engager sur l'autoroute, je regarde à nouveau les ecchymoses qui entourent ses poignets et ses chevilles.

- Que pense James de ce voyage? Demandé-je.

- Son rire est aussi robuste que sa chevelure épaisse et sa silhouette.

- Il m'a promis d'appeler et de laisser des messages coquins sur mon téléphone pendant tout le mois. Je pense que quand je vais rentrer, je vais le supplier de me baiser.

- C'est vrai?

Elle se penche et ajuste son siège en arrière. Puis elle cale ses pieds sur le tableau de bord et écarte ses genoux.

- Peut-être! Il m'a bien secoué ces deux dernières nuits.

Je n'aurais jamais soupçonné que Carmen, la fille sauvage, céderait le contrôle à n'importe quel homme. Mais James l'avait initié à l'esclavage, et Carmen était devenue une apprentie passionnée. Quand elle m'avait relaté les deux dernières nuits, avec les liens, les baillons, les fouets et les jouets, ma chatte s'était humidifiée et j'avais titillé mon clitoris jusqu'à ce que je jouisse deux fois. Mon propre petit ami Charles est si classique que je me sens négligée. La fois où j'ai suggéré une autre position que celle du missionnaire, il avait été outré.

- Je ne pense pas que Charles va me manquer. C'est horrible que je dise ça, non?

Carmen sort un foulard de son sac à main et le met sur ses cheveux pour les tenir. Puis elle remet ses lunettes de soleil et me répond :

- Je crois ma fille que tu as besoin d'un peu de rudesse.

Sur ces mots, elle tend la main et me pince le téton. Je hurle alors qu'un coup de klaxon retentit et nous fait sursauter toutes les deux.

- Que se passe-t-il?

Le SUV qui vient de nous dépasser ralentit pour rouler à notre vitesse. Les deux hommes assis sur les sièges arrière nous font de grands signes pour que nous les allumions. En riant, Carmen se lève, soulève son débardeur et remue sa grosse poitrine nue. La voiture fait une embardée et sort presque de la route. Le conducteur freine pour en reprendre le contrôle et Carmen s'effondre sur le siège. Je crie :

- Hé, tu es une arme dangereuse! Et tu devrais porter un soutien-gorge!

- Non sûrement pas! Ce n'est pas parce que j'ai de gros seins que je dois les enfermer. Et toi pareil!

Elle relève subitement mon chemisier et cette fois, le chauffeur du SUV n'est pas le seul à devoir ralentir pour reprendre le contrôle du véhicule.

Carmen aime qu'on lui porte de l'attention. Rentrer à la maison va nous prendre deux jours de, conduite. Je soupçonne ma copine de vouloir flirter avec les garçons tout au long du chemin. Ce jour-là, elle n'arrête pas de s'exposer et les camionneurs, en particulier, ont bien aimé. Ils l'ont récompensée avec des coups de klaxon et des baisers. Elle soulève son haut, des fois le mien, ou elle écarte les jambes et passe sa main sur sa chatte ;

Bon sang, je pense que nous ne sommes jeunes qu'une fois. Carmen, qui est ma colocataire depuis trois ans, est ma meilleure amie, quelqu'un que je considère comme une sœur. Nous avons tout fait ensemble, sauf coucher.

Nous nous arrêtons pour dîner vers 18h30. Puis nous roulons encore pendant une centaine de kilomètres avant de nous arrêter dans un petit motel sur le bord de la route. Pendant ce premier jour de route, nous avons traversé deux états et parcouru près de 1000 kilomètres. Nous sommes épuisées. Nous nous douchons, tirons les lourds rideaux pour plonger la chambre dans l'obscurité. Nous nous endormons bien avant les dernières nouvelles à la télé.

Je n'ai aucune idée de l'heure quand j'entends le cri de Carmen. Mon sommeil est si profond que je suis complètement dans les vaps. Tandis que je lutte pour me réveiller, un second cri se termine brusquement. Avant que je puisse réagir, des mains saisissent mes épaules et me renversent. Un poids tombe sur ma poitrine et me coupe le souffle. J'avale de l'air et un bâton appuie sur ma gorge afin de me tenir sur le lit.

Une voix rauque masculine me chuchote alors à l'oreille :

- Si tu cries salope, je te claque la tête. Tu comprends?

Je ne peux pas respirer et hocher de la tête me fait mal, mais j'essaie. Apparemment c'est suffisant, car la pression sur mon cou est relâchée. J'aspire de l'air et j'essaie de regarder autour de moi. La pièce est sombre, même si je peux voir une faible lumière provenant du mur en face du lit. Je ne comprends pas au début, puis je réalise que les deux portes communicantes avec la chambre d'à côté sont ouvertes. J'essaie de regarder dans l'autre chambre et je vois Carmen bâillonnée et ligotée avant que la porte se ferme.

- Ne t'inquiète pas pour ton amie, salope. On va s'en occuper comme toi.

À ma droite, la lumière de la salle de bain est allumée. Je me rends compte alors qu'il y a deux hommes dans la pièce. Tous les deux portent des cagoules. Celui qui est assis sur ma poitrine semble être le plus lourd et le plus grand.

Des larmes me brûlent les yeux tandis que la peur me traverse et me fait frissonner.

- S'il vous plaît, ne faites pas ça!

Ma voix est toute frêle. L'homme rigole, se penche pour mettre ses doigts dans ma chevelure. Puis il se lève rapidement en me sortant d lit par les cheveux. La douleur traverse mon crâne et je crie comme un animal blessé.

L'homme continue de rire en me tirant vers la petite table se trouvant près de la fenêtre. Il s'agit d'un meuble typique des motels. Je trébuche et j'agite les bras pour retrouver mon équilibre. L'homme me pousse en travers de la table, de façon que ma tête et mes seins pendent d'un côté, mon cul et mes jambes de l'autre côté. Il lâche mes cheveux alors que je tombe durement sur la surface en bois. Puis il saisit immédiatement mes bras pour les tirer en arrière.

- Tu es prêt? Dit-il.

- Ouais! Répond l'autre.

Des menottes cliquettent alors qu'on les bloque autour de mes poignets. L'autre homme passe rapidement une corde autour de mes coudes pour tirer mes épaules en arrière, ce qui lève mes seins. Je ressens encore plus de douleur dans mes articulations qui essaient de résister à ce traitement. Les larmes coulent maintenant sur mes joues.

- S'il vous plaît... Ne le faites pas.

Le plus grand me gifle et dit :

- Tais-toi salope! Tu aurais dû garder ton chemisier tout à l'heure. Je crois qu'il n'y a pas un seul homme vivant qui ne voudrait pas être ici.u

Je gémis. Ils ont dû nous voir en voiture et nous suivre. Oh Carmen!

L'homme se place devant moi et sort un grand couteau d'une gaine sur son mollet. C'est un grand couteau de chasse. La lame étincelle sous le peu de lumière provenant de la salle de bain. Il presse la pointe contre un mamelon et je sursaute.

Il se penche sur moi, et dit dune voix basse et régulière :

- Ne fais rien! Ne te défends pas! Ne crie pas! Ne mords pas! Tu comprends?

Il presse la pointe un peu plus fort, irradiant ma poitrine de douleur. J'hoche la tête, tellement crispée de peur que je ne peux pas parler.

- Bien!

Il remet le couteau dans sa gaine et je pousse un soupir de soulagement. C'est éphémère, car des mains derrière moi attrapent une cheville puis l'autre pour les attacher aux deux pieds opposés de la table et ainsi écarter mes jambes. La voix joyeuse de son partenaire dit derrière moi :

- Voilà une salope prête à baiser!

- Maintenant. D'abord nous puis toi.

Sa déclaration me laisse confuse, mais ça ne dure qu'un moment. Le plus grand devant moi ouvre son pantalon et sort une bite tellement gorgée de sang qu'elle semble avoir vingt-cinq centimètres de long et être épaisse comme mon poignet. Mes yeux s'écarquillent alors qu'il attrape mes cheveux pour relever ma tête. En réflexe, ma bouche s'ouvre et il pousse sa queue entre mes lèvres.

J'étouffe et je vomis presque alors que son gland touche le fond de ma gorge.

- Suce salope! Ordonne-t-il.

J'essaie en bougeant ma langue. Il gémit et commence à me baiser la bouche, lentement au début, puis plus vite. Je renonce à essayer de le sucer, et j'essaie juste de ne pas étouffer alors que de ma bouche s'écoulent de la salive et du liquide pré-éjaculatoire.

Avec un grand gémissement, l'homme commence à éjaculer et remplir ma bouche. Puis il gicle sur mon visage, mes cheveux et mes épaules. Je baisse la tête et essaie de cracher le plus possible.

L'homme recule et s'assoit sur le lit avant de dire :

- Qu'est-ce que tu en penses?

Son copain répond alors :

- Je pense qu'elle en a encore besoin.

Je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soit. L'autre homme s'approche et me saisit lui aussi par les cheveux. Ma tête est engourdie par la douleur et je halète tandis qu'il enfonce sa bite. Elle est plus petite, mais plus dure. L'homme semble être plus cruel alors qu'il me baise la bouche lentement, forçant sa queue aussi profondément que possible et la gardant ainsi pour me couper l'air jusqu'au moment où je me débats. Quand il jouit, il garde sa bite dans ma gorge et me force à avaler son foutre au goût salé. Puis il se retire et essuie son engin avec mes cheveux, les laissant collés sur mon visage.

Derrière moi, l'autre homme me caresse lentement, presque comme un amant.

- Maintenant nous pouvons prendre notre temps.

D'un geste brusque il déchire ma culotte et la tend à son partenaire qui la fourre dans ma bouche. En même temps, un premier coup tombe sur mon cul et je gémis à travers le tissu.

Celui qui est devant moi s'agenouille en disant :

- Oh que j'aime les gros seins.

Mon corps entier semble se réchauffer alors qu'il travaille sur chacun de mes seins avec application. Il les masse, suce les mamelons jusqu'à ce qu'ils soient durs et érigés. Ensuite il les pince durement et les tire vers le bas pour étirer mes seins.

Le plus grand continue à me frapper le cul, faisant pleuvoir les coups sur chaque fesse, chaque cuisse et ma chatte. La douleur, intense et ardente, traverse mon corps et mon esprit jusqu'à ce que la peur disparaisse en ne laissant qu'une excitation croissante. Mon propre corps me trahissait.

Puis soudain les coups se sont arrêtés et l'homme en face de moi lève les yeux. Il y a une pause, puis l'homme derrière passe un doigt entre mes petites lèvres et pénètre ma chatte.

- Putain elle est mouillée.! Cette garce en profite!

Je secoue furieusement la tête en dénégation. Non! Non! Non!

Mais le gars en face de moi se contente de rire et de dire :

- Alors il faut que l'on continue!

NON! Non! Mes yeux s'écarquillent tandis qu'il sort des pinces en argent de sa poche. Mes mamelons, déjà maltraités et douloureux me brûlent quand il attache les pinces et les serre. Je me débats en secouant la tête, ce qui les fait rire tous les deux. Le plus grand a fait passé quelque chose de dur et lisse entre mes jambes. Mon esprit a tremblé. Il s'agit du club de golf avec lequel il m'avait tenu et étranglé sur le lit. Ses doigts entrouvrent les lèvres de ma chatte. Il mouille le club avec mon jus, puis pousse lentement. Ma chatte s'étire, mon vagin se resserre contre l'invasion. Il pousse plus loin et je crie sous mon bâillon.

L'homme claque mes fesses à nouveau, mais il retire le club de golf. Je tremble et je sursaute quand sa main atterrit deux fois bien fort sur ma chatte. Je n'ai plus aucune résistance et mon corps s'effondre. C'est alors que l'homme devant moi dit :

- C'est bon, il est temps!

Le grand répond en trouvant mon clitoris pour le faire rouler entre ses doigts. Maintenant mon sexe coule de mon jus. L'homme me fait jouir, C'est pour moi un soulagement sexuel et une humiliation en même temps. Alors que mon premier orgasme fait trembler mon corps, ils baisent d'abord ma chatte, puis mon cul l'un après l'autre. Quand ils ont besoin de jouir ils se retirent et couvrent mes fesses, mon dos et mes jambes de leur foutre.

Je crois qu'au bout d'un moment je m'évanouis. Ils me réveillent avec de l'eau froide et ils recommencent à me baiser. La troisième fois que je perds connaissance, ils me détachent et me mette dans mon lit, puis ils partent.

Je me suis réveillée quelque temps après l'aube, le corps douloureux et meurtri. Je suis à peine capable de bouger.

Dans le lit en face de moi, Carmen est enveloppée dans une couverture, les yeux mi-ouverts, une grimace sur la figure.

- Ça va? Demandé-je.

Elle hoche la tête, puis déglutit difficilement avant de me répondre :

- Je veux James.

Je comprends. Le cauchemar est terminé, mais quelque chose en nous deux a changé, quelque chose de sombre et vicieux. Je dis lentement :

- Demande-lui s'il a un ami.

FIN

Claudine soumise Chap. 07

Texte écrit par G il y a quelques années.


L'arrivée de ma bonne puis de mon mari.

Je m'appelle Claudine, j'ai 49 ans et, depuis quelques temps, vous suivez mes aventures sexuelles ou plutôt devrais-je dire mes mésaventures sexuelles qui me sont imposées par deux de mes élèves ainsi que leurs complices suite à l'ignoble chantage dont je suis la victime. Beaucoup d'entre vous m'ayant encouragé à continuer à écrire cette confession, je vais donc vous raconter la suite de mon calvaire.

Après avoir été prise de toutes les façons possibles dans mon pavillon, Rachid et Bruce refusent de partir, voulant assister au repas de famille qui est organisé pour faire la connaissance de la future belle-famille de ma fille Anne-Sophie qui doit se marier bientôt avec un avocat.

Il est prévu qu'ils arrivent vers 20h00 et rien n'étant près, je commence à me demander si je ne devrais pas annuler le repas. Je supplie une dernière fois Bruce et Rachid de partir leur promettant de venir les rejoindre ou ils le souhaiteraient après le dîner. Ce qu'ils refusent bien entendu.

Toujours habillée comme une « petite fille perverse » c'est-à-dire d'une jupe écossaise qui arrive à peine à cacher mon sexe, je déambule dans le salon en commençant à mettre la table en attendant Jessica, ma bonne, qui doit arriver sous peu à. Pendant ce temps, Bruce prend son téléphone portable et je l'entends, horrifiée, appeler Francis, le patron du bar, où j'ai, deux fois déjà, été contrainte aux pires turpitudes. Il lui dit qu'il faut absolument qu'ils viennent « avec les autres » chez moi où j'organise une petite fête. Rachid, de son côté, prévient Leila et lui demande d'amener son frère et surtout le « matos ». Je tente de protester que ce n'est pas possible mais Bruce me dit de la fermer. Au même moment, la sonnette du portail me fait sursauter. C'est surement Jessica qui devait arriver avant les invités pour m'aider à tout préparer.

J'ouvre le portail avec la télécommande. La porte du pavillon s'ouvre et Jessica entre. C'est une jolie brune avec un sourire éclatant mais avec un regard dur et froid. J'ai déjà eu des problèmes d'autorité avec elle, la menaçant de la renvoyer plusieurs fois. Elle reste stupéfaite en découvrant sa patronne en jupe écossaise et chemisier blanc trop petit pour elle. Elle est encore plus étonnée de voir que je suis avec deux jeunes hommes qui pourraient être mes fils. Sous son manteau, elle est habillée comme une servante doit l'être : Jupe noir et chemisier blanc, bas couleur chair et ballerines.

Bruce s'approche d'elle et l'emmène au milieu de la pièce. Nous sommes côte à côte et je me sens rougir de honte quand elle me demande d'une voix craintive :

- Mais madame, que se passe-t-il?

Bruce et Rachid éclatent de rire.

- « Madame » va t'expliquer. Lance Bruce sur un ton moqueur.

Je reste silencieuse, mortifiée. Bruce s'approche de moi et me regarde dans les yeux avec un air mauvais.

- Explique-lui que tu es devenue notre chienne, notre pute BCBG et qu'on fait tout ce qu'on veut avec toi.

Jessica me regarde avec des yeux ronds. Je sais ce qui se passe dans sa tête. Elle se demande si ce qu'elle entend est vrai. Est-ce possible? Que Madame soit devenue ce que ce jeune prétend?

Bruce s'approche de moi et me saisit les seins à pleines mains, me le triturant comme si c'était des pies de vaches. Jessica fait un « ho » avec sa bouche mais aucun son ne sort, fascinée par ce qu'elle est en train de voir.

Rachid lui prend le bras et l’entraîne dans le bureau de mon mari où se trouve son ordinateur. Il se connecte sur internet et lui montre mon site intitulé « la bourgeoise salope ». Les photos prisent dans le bar puis la cave et enfin le film tourné dans le pavillon. Bien sur mon visage est flouté mais Jessica me reconnait malgré tout. Quand elle revient dans le salon, son regard a changé et elle me regarde différemment.

- Alors? Lance Bruce. Tu découvres quelle salope elle est ta patronne?

Jessica s'approche de moi, un sourire pervers sur ses jolies lèvres.

- T'es une belle cochonne sous ton air de sainte nitouche.

Je n'en reviens pas d'entendre Jessica parler comme ça. Elle se retourne vers Bruce et Rachid.

- Elle donne des leçons à tout le monde, traite ses domestiques comme des moins que rien et elle fait la pute dans les caves des Cités.

Sans prévenir, elle faufile sa main sous la jupe écossaise et elle glisse un doigt dans ma fente humide tout en me fixant dans les yeux.

- Tu as intérêt à m'obéir au doigt et à l'œil à partir de maintenant. Me lance-t-elle en me fouillant la chatte sans douceur.

Elle pince les lèvres et le clitoris et j'ai un mouvement brusque du bassin pour mieux enfoncer ses doigts dans ma chatte. Elle donne une claque sur mes seins m'ordonnant de ne plus recommencer. Elle enfonce de nouveau ses doigts et haletante, je m'abandonne complètement.

Bruce se penche vers moi et me suce les tétons des seins, les mordillant par moment. Derrière moi, Rachid claque mes fesses et soudain enfonce son index dans mon trou du cul et il le fait coulisser de plus en plus vite. Inconsciemment, je me cambre pour mieux qu'il s'enfonce. Jessica m'ordonne de me mettre à genoux ce que je m'empresse de faire. Elle soulève sa jupe, découvrant un string blanc déjà trempée qu'elle retire.

- Tu vas me sucer salope.

Elle me prend par les cheveux et approche mon visage de son bas ventre. Je colle ma bouche sur sa fente passant ma langue le long de ses lèvres. Jessica halète en se caressant les seins.

- Ah quelle chienne tu es....

Les yeux clos, je m'applique, de nouveau totalement soumise. Je sens que je suis trempée et Bruce et Rachid ne perdent pas une occasion pour me branler pendant que je dois absorber la mouille de ma nouvelle maîtresse. Le fait que ce soit ma bonne qui me force à la lécher m'excite au plus haut point. Je mordille son clitoris entre mes lèvres. L'orgasme submerge soudain Jessica qui gémit de plaisir.

Elle me repousse sans ménagement et Bruce et Rachid s'occupent de moi protestant qu'ils n'ont pas profité de leur pute. Ils me positionnent à quatre pattes. Bruce s'allonge, sa bite fièrement dressé que je dois avaler et Rachid, derrière moi, s'enfonce dans mon vagin me limant furieusement à grands coups de reins. Pendant ce temps, je pompe la bite de Bruce avec frénésie. Les mains agrippant mes cheveux, Bruce respire bruyamment en agitant son bas ventre. Son membre est tellement imposant que j'ai du mal à l'engloutir tout entier. Folle d'excitation, je pompe la grosse queue avec fougue. Derrière moi, je sens Rachid qui accélère son mouvement de va et vient, son ventre claquant contre mes fesses. Jessica se lève, le regard fou et me fesse le cul violemment.

- Salope! T'aime ça te faire défoncer par des grosses bites!

Je ne peux répondre, bâillonnée par l'énorme queue de Bruce. Soudain, j'ai un orgasme violent pendant que Rachid se déverse dans mon vagin en grognant de plaisir. Dans le même temps, la bite de Bruce crache un long jet de sperme blanchâtre qui s'écrase sur ma bouche. Je détourne la tête avec une grimace mais un autre jet plus puissant encore me souille la joue et les cheveux. Jessica s'approche de moi en me murmurant dans l'oreille :

- Je n'aurais jamais cru que tu sois aussi salope, on va bien s'amuser toi et moi pendant que Monsieur sera absent.

Elle commence à lécher le sperme qui dégouline de mon visage comme une petite chatte en ronronnant de plaisir puis sa bouche se colle à la mienne et elle force le barrage de mes lèvres avec sa langue. J'ai un mouvement de recul, écœurée de devoir embrasser une femme mais Jessica m'agrippe par les cheveux me tirant violemment la tête en arrière.

- Tu vas te laisser faire. Tu m'appartiens.

Domptée, j'entrouvre ma bouche et sa langue s'enroule autour de la mienne. Puis elle se lève et regarde sa montre.

- Il est bientôt 20h00, les invités de Madame ne vont pas tarder. Madame devrait se préparer.

Elle prend un plaisir sadique à me donner du « Madame » ce qui rend la situation encore plus humiliante pour moi. Je suis conduite dans ma chambre et c'est Jessica qui choisit ce que je vais devoir porter pour accueillir la belle-famille. Je dois me déshabiller sous le regard lubrique de Jessica. Elle me tend une veste de tailleur rouge très élégante et une jupe noire mais très courte que je ne mets pas normalement avec ce tailleur. Un porte-jarretelles et des bas noirs à couture ainsi que des talons aiguilles vertigineux, qui m'obligent à me cambrer, complètent ma tenue.

Elle m'oblige également à me faire un chignon pour faire, me dit-elle, distinguée. La jupe est trop courte et on aperçoit par moment l'attache du porte-jarretelles. Bien entendu, je ne porte aucuns sous-vêtements et mes seins lourds tressautent sous ma veste rouge portée à même la peau. Il est évident que mes invités vont s'en rendre compte.

Nous retournons dans le salon et je dois m'exhiber devant Bruce et Rachid qui sirotent un whisky. Jessica soulève ma jupe pour leur montrer que je ne porte rien dessous. Nous entendons soudain le crissement des pneus sur les gravillons du jardin. Affolée, je réalise que c'est mon mari qui rentre du travail. Tétanisée, j'ai l'impression d'assister à une scène surréaliste. Mon mari va me trouver avec ces démons qui vont, à ne pas en douter, lui raconter comment je suis devenue leur jouet.

Paul s'introduit dans notre pavillon et reste en arrêt, interdit devant la présence de ces deux jeunes qu'il ne connait pas.

- Mais, Claudine, ma chérie, qui sont ces personnes?

Jessica s'avance vers Paul, le prend par la main et le pousse dans le canapé. Subjugué, il se laisse faire. Jessica se tourne vers Rachid et lui demande d'amener l'ordinateur dans le salon. Bruce et Rachid s'exécutent pendant que Paul nous regarde avec étonnement. Commençant à s'énerver, il demande des explications. Jessica se penche vers lui :

- Monsieur ne sait pas que Madame est la dernière des traînées, une salope qui se tape ses élèves.

Paul reste bouche bée en me regardant. Jessica poursuit cette fois en me dévisageant :

- Et Madame ne se doute pas que son cochon de mari a une aventure avec cette salope de Géraldine M.

Cette fois, c'est à mon tour d'être totalement décontenancée par cette révélation. Ce n'est pas possible : Géraldine, la fille du Commissaire de police qui est notre voisin et chez qui nous avons été si souvent invités par sa femme Bénédicte. Géraldine est âgée de 21 ans et c'est vrai que j'aurais dû me douter de quelque chose vu le regard de salope qu'elle lui lance dès qu'elle nous croise mon époux et moi dans le centre-ville.

Bruce et Rachid reviennent dans le salon avec l'ordinateur et font rapidement les branchements sous le regard interrogateur de mon mari. Je tente bien de lui expliquer mais je suis giflée par Jessica.

- Tais-toi! Mets-toi à genoux!

Morte de honte, je m'exécute et Jessica se retourne vers Paul.

- Monsieur peut constater que Madame est très obéissante.

Paul ne répond pas, visiblement interloqué. Il a quand même un sursaut de dignité et se lève subitement du canapé en criant :

- Ça suffit! Sortez tous d'ici!

Bruce et Rachid le saisisse par ses bras et l'immobilise assez rapidement. Mon mari n'étant pas d'un gros gabarit, il est facilement maîtrisé. On lui attache les mains et les pieds avec les cordelettes à rideaux.

- Si Monsieur veut bien regarder l'écran de l'ordinateur, il va assister un spectacle très intéressant.

Rachid se connecte à internet et mon mari découvre mon site avec toutes les photos et les vidéos. Bruce se penche sur mon mari :

- T'as vu ta femme? Tu vois comme elle aime se faire baiser dans les caves.

Paul est blême en découvrant les photos dans le bar et dans la cave. Il manque de vomir en découvrant le film tourné dans notre propre pavillon. Nous nous regardons, honteux tous les deux.

Jessica s'approche de Paul et défait sa braguette. Le sexe de mon mari jaillit comme un ressort. Il bande comme jamais je ne l'ai vu bander. Je crois rêver. Ce n'est pas possible, cette situation ne peut pas l'exciter? Jessica éclate de rire en découvrant l'état de mon mari. Elle s'empare de sa bite à pleines mains et commence à le masturber.

- Finalement Monsieur est comme Madame, c'est un gros vicieux.

Bruce et Rachid me relève et me mette à coté de Paul sur le canapé. Je suis contrainte de relever ma jupe, découvrant mes cuisses gainées de bas noirs. Rachid regarde mon mari :

- T'as vu, elle ne porte pas de culotte. Elle n'en porte plus depuis longtemps tu sais. On l'a bien éduquée.

J'ai l'impression de défaillir. Je m'exhibe devant mon mari totalement aux ordres de ces pervers.

Paul ne répond pas, la respiration oppressée par la vision de sa femme humiliée devant lui et l'habilité de Jessica à le masturber tout en lui donnant par moment un coup de langue sur le gland. Je sens qu'il est déjà à deux doigts de l'explosion mais Jessica sait y faire et s'arrête toujours avant.

Brutalement, Bruce enfonce ses doigts dans ma chatte tout en m'agaçant le clitoris. Il retire son index en rigolant, le montrant à mon mari. Il est couvert de mouille. Derrière moi, à pleines mains, Rachid me prend les seins à travers l'échancrure de la veste de mon tailleur qu'il ouvre largement et les pétrit sans ménagement. Le visage déformé par le plaisir, je me mords les lèvres. Bruce me tripote le bouton et je râle de plaisir. Mon mari devient le témoin de ma déchéance. Il me voit m'offrir sans retenue à ces voyous. Bruce s'approche de mon visage, son sexe à pleines mains Puis il se tourne vers Paul et demanda d'un ton ironique :

- Tu permets?

Blême de rage, mon mari détourne les yeux. Mais, malgré lui, son regard revient rapidement sur moi.

Bruce enfonce son sexe dans ma bouche.

- Vas-y chienne, montre à ton mari comme tu suces bien maintenant.

- C'est qu'elle commence à avoir de l'expérience. Ricane Rachid en me pinçant les pointes des seins.

Je penche ma tête sur sa bite et je l'engloutis sans sourciller. J'agace son gland avec ma langue, le pompant avidement. Bruce trouve que ça ne va pas assez vite et il me donne une claque sur les cuisses au-dessus des bas et je pousse un gémissement plaintif. A côté, j'entends Jessica me traiter de salope, de pute et demander à mon mari s'il veut qu'elle le suce également. Je n'entends pas la réponse mais je vois du coin de l'œil Jessica se pencher sur le sexe de mon mari et l'aspirer. Rachid s'exclame :

- Les paris sont ouverts. Qui va gagner? La dernière aura un gage.

On entend plus que les bruits de succions de nos langues s'activant sur les bites. Jessica termine rapidement car mon mari doit être excité par cette situation d'une perversité sans nom. Elle agite rapidement la queue de Paul et celui-ci éjacule soudain en poussant un cri. Le sperme s'étale sur son pantalon. Le va et vient de la queue de Bruce s'accélère entre mes lèvres et soudain il se vide par saccades au fond de ma gorge. Je suis forcée de tout avaler.

Jessica s'approche de moi m'obligeant à nettoyer sa main couverte du sperme de Paul avec ma langue. Rachid demande quel gage on va bien pouvoir m'imposer. C'est, bien entendu, Jessica qui trouve. Cette fille est décidément pire que mes élèves. On détache mon mari et on lui ordonne de se déshabiller ce qu'il fait sans protester ce qui m'étonne. Je suis mise à quatre pattes, la veste du tailleur ouverte, mes seins ballottant dans tous les sens. Bruce va chercher une spatule dans la cuisine. On oblige Paul, en caleçon, à se mettre sur mon dos et je dois avancer à quatre pattes dans le salon, Paul sur mon dos pendant que Jessica me donne des coups avec la spatule sur mes fesses, me traitant de grosse jument. Bruce filme la scène avec la caméra de mon mari.

Rachid s'approche de Jessica et lui dit :

- On va pouvoir s'éclater tout à l'heure. Leila doit venir avec des godes, des martinets et pleins d'autres trucs.

- Où va-t-elle trouver tout ça? Demande Jessica, étonnée.

- Son frère travaille dans un sex-shop, rue Saint Denis.

Jessica a un sourire pervers.

- C'est intéressant, on pourrait y amener cette salope un jour.

Rachid éclate de rire et j'ai un frisson qui me parcoure l'échine. Je souffle comme un bœuf, devant supporter le poids de Paul sur mon dos. Par moment je ralentis, n'en pouvant plus, et immédiatement Jessica me fesse le cul avec la spatule. J'ai le derrière tout rouge maintenant et je ne parviens plus à avancer. Je supplie qu'on arrête mon gage et je suis relevée. C'est à ce moment précis que le carillon de la porte d'entrée retentit. Ma fille arrive avec sa belle-famille.

A suivre...

samedi 13 juin 2020

Les Infortunes de l'infirmière Ch. 02

Les Infortunes de L'infirmière - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Le cauchemar continue.

Cynthia suppliait encore son violeur de revenir la détacher de la table d'examen alors qu'Eric sortait du bâtiment. Il n'avait aucun remords de laisser la ravissante infirmière ligotée sur le lit d'examen. Il était ravi de l'avoir possédée par ses trois orifices, il jubilait à l'idée que loin de supporter passivement son viol, elle l'avait suppliée de la faire jouir.

Eric était tout de même surpris de voir à quel point cela avait été facile, il était aussi très heureux de savoir qu'il n'y avait que très peu de chances qu'elle porte plainte. Comme il regagnait sa voiture, il croisa deux jeunes hommes assis dans la contre-allée, il vit l'un des deux siffler une promeneuse proférant, à voix haute, un commentaire graveleux sur ses charmes alors qu'elle passait devant lui.

Il eut alors une idée, il s'approcha des deux jeunes hommes et leur signala qu'il pensait qu'ils se régaleraient s'ils se rendaient tout de suite chez le docteur James au 4ème étage, une surprise les attendait dans la salle d'examen au fond du couloir.

Ils commencèrent par ignorer les dire de cet étranger, et le regardèrent regagner sa voiture et démarrer. Ils avaient tous deux 18 ans révolus et profitaient de ce jour de congé, ils travaillaient à temps partiel dans une station essence et venaient de quitter leur boulot lorsqu'ils s'étaient assis contemplant la somptueuse jeune femme qu'ils venaient de croiser.

Sid, le plus grand des deux avait des cheveux blonds ébouriffés alors que son ami Ken avait les cheveux bruns coupés courts, c'était lui le plus séduisant des deux. Après quelques minutes Ken suggéra qu'ils montent jusque chez ce docteur pour voir ce dont voulait parler cet étranger énigmatique.

Ils pénétrèrent dans le bâtiment par la porte qu'Eric avait laissée grande ouverte, c'était la seule à ne pas être verrouillée. Ils réalisèrent rapidement que l'immeuble était vide au lendemain du jour de fête. Ils se rendirent au 4ème et cherchèrent le bureau du docteur James, la porte était grande ouverte, ils entrèrent faisant attention de ne pas faire de bruits.

Ils ne virent personne et commencèrent à explorer les lieux. L'un deux entendit soudain du bruit et une voix de femme qui quémandait :

- Hello est-ce vous ? Je vous en prie revenez ... S'il vous plait, délivrez moi !

Ils échangèrent un regard surpris.

- Détachez moi? Susurra Ken l'air étonné.

- Nous devrions voir de quoi il retourne. Proposa alors Sid intrigué.

Silencieusement les deux jeunes gens gagnèrent la salle d'ou semblaient provenir les bruits et la voix. Ils n'étaient pas du tout préparé à ce qu'ils trouvèrent, figés dans la porte d'entrée ils ouvraient des yeux comme des soucoupes à la vue de la ravissante infirmière ligotée à la table d'examen. Jambes rivées aux étriers elle leur offrait un point de vue d'une rare précision sur son intimité béante qui visiblement venait d'être visitée.

- Bordel quel spectacle ! S'exclama Sid abasourdi.

Cynthia frissonna, elle avait espéré que c'était son agresseur qui pris de remords venait la libérer de ses entraves, elle ne s'attendait pas à voir surgir deux jeunes ados qu'elle ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam.

- S'il vous plait détachez moi. Les supplia-t-elle misérablement.

Ken et Sid s'approchèrent de la table d'examen.

- Eh mec, elle semble drôlement chaude ! Commenta Sid s'adressant à son copain.

- Oui, et elle vient de se faire baiser la salope ! Avança Ken le doigt pointé sur une rigole de foutre s'écoulant de sa chatte.

- Je crois qu'on s'est trouvé une bonne petite salope ! S'esclaffa Sid hilare.

- Non je vous en prie... Laissez moi tranquille ! Vous ne comprenez pas ce que...

- Ta gueule salope ! La coupa Sid.

- Je suppose à voir les bouquins pornos comme celui que tu as jeté par terre que ton petit copain et toi même vous jouez à des jeux sexy. A un simulacre de viol ou quelque chose comme ça. Sinon pourquoi nous aurait-il conseillé de venir te rejoindre.

- Ce n'est pas mon petit ami ! Insista Cynthia vainement.

Elle était scandalisée, non seulement elle s'était fait violer mais voila que maintenant ses sauveurs pensaient qu'elle se livrait à des pervers jeux sexuels avec son petit ami.

- Bon, puisque tu veux te faire baiser on va s'occuper de toi. S'exclama Sid jubilant.

- Non ! Hurla Cynthia

- Vous ne comprenez rien...

Les deux jeunes hommes riaient de ses protestations, ils lui dirent qu'ils allaient lui donner une bonne leçon. Sid se déshabilla rapidement. Il était maigre, mais sa bite était à peu près aussi longue que celle d'Eric, et bien plus épaisse. Il bandait déjà comme un turc.

Ken enleva ses caleçons ne gardant que son tee-shirt probablement pour cacher son petit ventre rondouillard. Sa bite ne mesurait que 13 cm environ mais était bien plus épaisse que celles qu'elle avait vue à ce jour, elle correspondait à sa stature.

Ils prirent place de chaque coté de la table et commencèrent à la caresser, explorant avec avidité son corps. Cynthia pleurait, les suppliant d'arrêter. Se faire violer une première fois lui semblait bien suffisant et voila que maintenant deux salopard se préparaient à la sauter à leur tour.

Plus elle pleurait et les suppliait, plus cela les excitait. Ils pensaient tous deux que cela faisait partie d'un jeu sexuel élaboré. Ils décidèrent de commencer par sucer ses tétons de concert.

Sid prit son mamelon gauche raidi en bouche et se mit à le mâchouiller, Ken en fit de même avec son téton droit, ils exploraient son corps de leurs mains libres qui plongèrent bientôt vers son entrecuisse livré à leurs manigances concupiscentes.

Chacun leur tour ils la doigtèrent et promenèrent leur doigts dans sa fentine inondée, tout en lui manipulant rudement son petit clito affolé. Cynthia les suppliait d'arrêter. Elle sentait son excitation monter contre son gré sous les suçotements de leurs bouches habiles et les caresses de son sexe enfiévré. Elle ne savait combien de temps elle pourrait encore contrôler ses sens.

En fait son corps répondit rapidement à leurs caresses, ses protestations décrurent alors qu'augmentaient ses gémissements. Les deux ados étaient entrés en action, ils sentaient qu'ils allaient induire en elle un orgasme exceptionnel, Cynthia se balançait d'avant en arrière sur la table. Elle sentait l'orgasme de plus en plus proche.

Elle avait déjà entendu parler de filles jouissant à force de caresses sur ses tétons mais n'avait jamais expérimenté elle même une telle situation. Et voila que cela lui arrivait, elle ne résista pas plus longtemps.

- Oui ! Hurla-t-elle alors qu'un nouvel orgasme la submergeait.

Sid ne pouvait plus attendre plus longtemps. Sa bite était dure et bandée à bloc il sentait la pression monter dans son canal déférent. Il se posta entre ses cuisses et enfouit sa grosse bite dans sa chatte sans perdre de temps.

L'infirmière commença à secouer sa tête, il l'enfilait juste au moment ou l'orgasme qui venait de la terrasser s'estompait, lui laissant quelques instants de répit. Elle remua les hanches dans l'espoir de fuir cette nouvelle bite qui s'enfouissait dans sa chatoune.

Dans cette journée, Cynthia avait déjà joui plus qu'elle ne l'avait jamais rêvé, mais elle ne voulait plus se faire baiser, et encore moins par ces deux bâtards.

Sid crut qu'elle manifestait son excitation de se faire sauter à nouveau, il se mit à la labourer alors que Ken continuait à sucer et mâchouiller ses tétons. Soudain Cynthia frémit alors qu'un nouvel orgasme déferlait en elle. Sid en avait mal aux burnes de se retenir, le rythme de ses coups de boutoir augmentait.

Il cria à Ken de prendre sa place , et il grimpa sur la table pour fourrer sa bite dans la bouche de Cynthia. Comme elle commençait à sucer sa bite, Ken se posta à son tour dans son entrecuisse, Cynthia avala sa salive lorsqu'il pressa son énorme bite contre sa figue.

Alors que Sid avait été rapide, Ken la baisait avec férocité, il s'enfonça aussi profondément qu'il le put dans son intimité, claquant ses hanches contre les siennes avec assez de force pour la faire reculer. Ses chevilles étaient toujours fixées aux étriers et c'est la seule raison qui l'empêcha de glisser en arrière. Sa chatte lui faisait très mal et cependant elle sentit un nouvel orgasme monter dans ses reins.

Elle se mit à sucer avidement la bite qu'elle avait en bouche, elle sentit que son gland grossissait encore, elle devina qu'elle ne tarderait plus à goûter à son sperme, déjà elle savourait les premières gouttes de pré sperme qui suintaient à son méat.

Les deux ados adoraient baiser la chatte de cette ravissante infirmière, ils n'étaient vierges ni l'un ni l'autre, mais ils n'avaient jamais vécu une telle expérience., et ils ne s'étaient jamais envoyés de jeune femme aussi jolie que Cynthia.

Sid projeta les premières vagues de foutre dans la bouche de Cynthia, puis il extirpa sa bite d'entre ses lèvres et se branla langoureusement projetant jet après jet son épaisse crème sur son visage. Au même instant Ken cria son plaisir, et la pilonna plus âprement tout en giclant dans sa chatte inondée. Ils grognèrent et gémirent de concert submergés par un intense orgasme simultané.

Lorsque les deux jeunes gens en eurent fini, ils se redressèrent et se rhabillèrent lentement. Cynthia gisait sur la table, son corps frissonnant encore d'avoir emmagasiné tant de plaisir. Ses yeux la brûlèrent soudain, un filet de foutre projeté par Sid se glissait sous ses paupières. Elle avait toujours pensé qu'il était révoltant de se faire éjaculer sur la tronche voila qu'elle se retrouvait le visage couvert de foutre sans espoir de pouvoir se nettoyer.

Voyant les deux jeunes hommes se rhabiller elle les pria de la libérer de ses liens.

- Et pourquoi te détacherait-on ? Lui demanda Sid.

- Il me semble que le jeu ne fait que commencer. Peut-être bien qu'on reviendra te voir avec quelques copains cet après-midi.

Cynthia gisait sans voix alors quel les deux jeunes disparaissaient de sa vue. Elle se demandait ce que l'avenir lui réservait maintenant.

A suivre...


Policier à terre :

Traduction d'un texte de PAS.

Annie gare sa voiture de patrouille sur le parking du cinéma de Cahill Street. Elle regarde sa montre. Il est minuit dix. Le film classé triple X qu’ils projettent le week-end à minuit vient de commencer. Annie se demande pourquoi des personnes vont encore au cinéma pour voir de telles saletés alors qu’ils pourraient avoir la même chose dans l’intimité de leur propre maison.

La séduisante femme de 27 ans sort de sa voiture. Elle est très sexy dans son uniforme de police. Elle a des cheveux courts et brun rougeâtre qui encadrent son joli visage rond. Ses yeux d’un bleu vif et son sourire ne font qu’accentuer sa beauté. Son corps aux courbes parfaites avec ses gros seins et son cul bien rond semble encore mieux sous son uniforme maintenant qu’elle a retiré son gilet pare-balles.

Annie n’est plus de service. Sa journée de travail a pris fin à 23 heures. Mais comme beaucoup d’autres policiers, elle fait des petits boulots supplémentaires en uniforme pour gagner un peu plus d’argent. Divorcée avec une fille, elle a besoin de revenus supplémentaires.

Un des petits boulots réguliers d’Annie est de vérifier de temps en temps si tout va bien au cinéma pendant la nuit. Habituellement elle s’arrête dans la semaine, quand des adolescents traînent. Mais une fois par semaine, il est projeté un porno à minuit et Annie est toujours là. Le public est généralement peu nombreux et exclusivement composé d’hommes. Sa tâche principale est de rechercher des prostitués qui pourraient venir essayer de travailler et faire des fellations rapides aux hommes. Mais le plus souvent, elle trouve des hommes qui se masturbent en regardant le film.

Annie devrait interrompre rapidement ces hommes et les sortir tranquillement. Mais elle aime humilier les pervers. Lorsqu’elle voit ce qu’elle pense être un homme en train de se branler, elle se met tranquillement en position pour voir si c’est bien ce qu’il fait. Puis elle attend jusqu’à ce qu’il accélère le rythme  et qu’elle pense qu’il va bientôt jouir. C’est alors qu’elle allume sa lumière aveuglante pour mettre en évidence ce qu’il est en train de faire. Annie aime embarrasser les hommes comme ça. Elle sait qu’en les arrêtant juste avant l’éjaculation, ils sont frustrés et humiliés et c’est plus facile de les escorter hors du cinéma sans incident.

Annie sourit à Timmy, un étudiant au visage maigre qui travaille comme vendeur de tickets. Il ressemble à un lycéen, mais elle avait vérifié sa carte d’identité la première fois qu’elle l’avait rencontré pour s’assurer qu’il était majeur et pouvait travailler la nuit alors que le cinéma diffusait un porno. Elle avait été surprise de voir qu’il avait 19 ans.

- Combien y en a-t-il ce soir ? Lui demande-t-elle.

- Pas beaucoup, moins d’une douzaine.

Annie se dirige vers la porte pour entrer dans la salle.

- Bonjour officier Annie !

La voix vient de derrière le comptoir. Elle se tourne pour voir Ed, le directeur adjoint du cinéma. Elle ne l’a jamais aimé. Il a la trentaine, il est un peu potelé et il lui donne la chair de poule. Elle déteste la façon dont il la regarde, la détaillant de bas en haut pendant qu’ils parlent. Elle hoche la tête et continue à avancer en sentant ses yeux fixés sur ses fesses.

Annie franchit le premier ensemble de portes, puis ouvre doucement le deuxième ensemble de portes et entre dans la salle de cinéma sombre. Elle avance d’un pas le long du mur et elle attend que ses yeux s’adaptent à l’obscurité. Elle compte les spectateurs. Il y a huit hommes éparpillés dans la salle. Elle lève les yeux vers l’écran, et elle est gênée quand elle voit une femme déguisée en policière affrontant deux hommes.

« Et merde, je vais juste exciter ces connards après qu’ils auront vu ça » Pense-t-elle.

Elle se dirige lentement derrière la dernière rangée en essayant d’ignorer le film sur le grand écran. Puis elle trouve ce qu’elle cherche. Juste en face d’elle, sur le troisième siège de la rangée est assis un homme qui caresse lentement sa bite. Annie sort sa lampe torche et s’avance sur le côté en espérant qu’il ne la remarque pas. Avec la luminosité de l’écran, elle peut le voir se masturber assez clairement d’où elle se tient. Elle réalise que son membre est un peu plus gros qu’un homme moyen, du moins à ce qu’elle est habituée à voir. Annie n’a pas connu d’homme depuis que son mari l’a quitté un an plus tôt.

Annie le voit accélérer et devine qu’il va bientôt jouir. Elle dirige sa lampe torche vers lui et l’allume en disant :

- Arrêtez ce que vous faites ! Remettez votre pénis dans votre pantalon et venez avec moi monsieur !

John s’arrête immédiatement. Il regarde autour de lui et voit que tout le monde s’est tourné vers lui pour le regarder. Puis il regarde la policière en essayant d’éviter la lumière aveuglante. Annie devine qu’il a plus de la trentaine, qu’il doit approcher quarante ans.  Elle a un sentiment de malaise.

John enfonce son sexe dans son pantalon et se lève. Il rougit en entendant des hommes rire dans la salle. John n’a pas l’habitude d’être humilié par des femmes. Il est assez arrogant et aime dominer la gent féminine. Il a même forcé quelques femmes dans sa vie. Cette pensée survient alors qu’il est interpellé par une policière.

- Quel est le problème madame ? Demande-t-il en marchant dans sa direction.

- Vous êtes coupable d’atteinte à la pudeur monsieur. Si vous sortez maintenant, j’oublierai ça. Mais si vous me faites des problèmes, je devrais vous arrêter.

Quelqu’un dit alors :

- Vas-y mec ! Elle va juste te jeter dehors. Elle prend son plaisir à attraper des hommes qui se branlent dans le noir.

Annie essaie d’ignorer ce commentaire en pensant que c’est sûrement l’un des hommes qu’elle a déjà expulsé auparavant.

John lève les yeux vers l’écran où l’actrice en uniforme de police est baisée par deux hommes. Il dit à Annie :

- Quelle coïncidence que vous soyez ici pendant cette scène.

- Allons-y monsieur !

Annie se tourne pour se diriger vers la sortie. Elle ne réalise son erreur que trop tard.

John ne peut pas résister à la tentation devant lui. Cette policière est très sexy et il est déjà bien excité. De plus il veut la remettre à sa place pour l’avoir humilié. John a déjà forcé des femmes, mais il n’a jamais été aussi audacieux qu’il est sur le point d’être maintenant. Sa conquête la plus récente était une assistante dentaire dans son bureau. Bien que c’était risqué, ce n’était rien à comparer d’aujourd’hui.

Il attrape Annie par-derrière avec son bras gauche et saisit ses menottes à la ceinture de la main droite.
La jeune femme essaie de se libérer , mais John menotte rapidement son poignet droit, puis tire facilement son bras gauche derrière son dos pour lui menotter son poignet gauche.

- Qu’est-ce que tu fais ? Proteste Annie.

- Je crois que tu es venue ici pour te faire baiser. Dit John en défaisant la ceinture de l’uniforme.

Annie se débat pour essayer de l’empêcher de baisser son pantalon, mais sans succès. Elle crie à l’aide, mais personne ne répond. Elle réalise qu’elle est l’ennemi dans cette salle et que personne ne l’aidera.

John descend son pantalon et sa culotte jusqu’à ses chevilles, puis la penche sur un siège.

- S’il te plaît, ne fais pas ça ! Supplie Annie.

Mais John ignore ses suppliques. Il défait rapidement son propre pantalon et il guide sa bite toujours dure entre les jambes de la jeune femme.

- Non ! Pleure-t-elle alors que le gland se presse contre sa chatte. 

John la tient par le cou et utilise sa main libre pour frotter son sexe sur les petites lèvres jusqu’à ce qu’il puisse entrer. Puis il la pénètre lentement jusqu’à ce que la chatte réponde involontairement en s’humidifiant suffisamment pour qui il puisse s’enfoncer en elle.

Annie crie de colère alors que la queue s’enfonce dans son sexe. Elle n’a pas été baisée depuis plus d’un an. Et maintenant elle est violée, et en plus, en public.

- Oh merde, cette chatte de flic est chaude et bien serrée. Pourquoi ne venez-vous pas avec moi ! Crie John à la cantonade.

- Non ! Non ! Crie Annie.

- Dépêchez-vous et mettez quelque chose dans sa bouche pour la faire taire. Insiste John.

Il attrape ses bras et la redresse, puis il saisit son chemisier et tire dessus. Les boutons sautent et John tire le chemisier sur les bras de la jeune femme, ce qui les attache efficacement. Annie est maintenant en soutien-gorge, mais pas pour longtemps. John arrache les bretelles et détache le sous-vêtement qu’il laisse tomber sur le siège. Ensuite il caresse sa grosse poitrine exposée pendant qu’il enfonce sa bite plus profond.

Quelqu’un d’autre ose s’approcher. John regarde son nouveau partenaire dans le crime ouvrir sa braguette.

- Suce sa bite salope de flic ! Dit John en penchant Annie sur le siège.

- allez vous faire foutre ! Crache Annie de mépris envers son violeur et l’homme qui se tient devant elle en caressant sa bite bien raide.

John enfonce sa queue en elle avec assez de force pour lui couper le souffle. Elle est obligée d’ouvrir la bouche pour prendre de l’air, et l’homme en profite pour y enfoncer sa bite.

Annie est maintenant baisée des deux côtés. La bite de John pilonne sa chatte serrée pendant que l’autre inconnu baise sa bouche. Elle ne peut rien faire pour les arrêter.

- Oh Putain ! Crie John en la martelant plus fort et plus vite.

Annie réalise qu’il est sur le point de jouir. Puis elle sent son foutre gicler profondément dans son ventre. Elle crie de colère, mais le son est étouffé par la queue qui va et vient dans sa bouche.

Elle est tellement préoccupée par le sperme qui envahit sa chatte qu’elle ne réalise pas que l’autre homme est sur le point de jouir. Subitement, elle sent une masse de sperme chaud et gluant envahir le fond de sa gorge sans prévenir. Elle manque de s’étouffer avant de retrouver suffisamment de sang-froid pour commencer à avaler tandis que le foutre remplit sa bouche et sa gorge.

Elle entend John crier alors qu’il sort sa bite de sa chatte :

- Au prochain !

- Pas plus, s’il vous plaît ! Dit Annie alors que le sexe dans sa bouche se retire.

Elle sent un autre homme arriver derrière elle tandis que John s’écarte. Cet homme met sa bite dans sa chatte et commence à la baiser avec un rythme effréné avant qu’elle ne comprenne. Elle ouvre la bouche pour protester une fois de plus, mais une autre bite s’enfonce dans sa gorge.

Des mains tripotent ses gros seins, pincent et tirent ses mamelons durcis pendant qu’elle est pilonnée par les deux extrémités à la fois. Elle perd la notion du temps lors de ce deuxième viol, puis le sexe dans sa bouche se retire. Elle ouvre les yeux pour voir ce qui se passe, juste à temps pour être éclaboussée de sperme. Le premier jet frappe son nez suivi d’un autre dans son œil gauche avant que son visage soit recouvert. Ses yeux la brûlent alors qu’elle les garde fermés, l’homme derrière elle martelant toujours sa chatte.

Elle sent une troisième queue entrer dans sa bouche et instinctivement elle commence à le sucer. Quand enfin elle ouvre les yeux, elle voit qu’elle suce Timmy le vendeur de ticket.

- Désolé madame Annie, mais je ne pouvais pas louper cette chance. Dit-il en appréciant voir la jolie policière sucer sa bite.

Timmy était déjà sorti avec des filles, mais il n’avait jamais eu la chance qu’on lui fasse une fellation. Quand il a vu Annie se faire baiser, il s’est précipité pour en profiter.

- Oh mon Dieu oui !

L’homme derrière elle gémit tout en se vidant dans sa chatte. Puis Annie entend Timmy gémir de bonheur et sent son sperme se répandre dans sa bouche. Le garçon continue de la baiser jusqu’à ce qu’il se soit vidé jusque à la dernière goutte.

Avant que Timmy ne sorte sa queue, Annie sent qu’elle est baisée par un troisième homme. Quand le jeune garçon retire sa queue à contrecœur de sa bouche, elle tourne la tête et elle est horrifiée de voir Ed, le directeur adjoint derrière elle.

- tu ne pensais pas que j’allais manquer cette occasion, n’est-ce pas Annie ? Dit-il en tenant ses hanches fermement pour enfoncer sa petite bite dans la chatte béante. De tous les hommes qui l’ont violée jusqu’à présent c’est de savoir que Ed la baise qui est le plus humiliant.

Elle a peu de temps pour penser à lui quand quelqu’un d’autre attrape sa tête et lui enfonce une longue grosse queue noire dans la bouche. La bite s’enfonce dans sa gorge, la faisant d’abord étouffer avant qu’elle ne s’habitue. Le black lui baise la gorge avec de long coups mesurés.

Quelqu’un d’autre s’approche du côté droit. Annie le voir se masturber. Il approche le plus près possible et elle le voit éjaculer, enduisant son visage de sa semence.

Annie a du sperme qui dégouline de sa figure et elle peut aussi sentir son jus, mélangé avec du sperme qui coule le long de ses cuisses. Elle sent aussi sa chatte répondre aux coups de rein.

- Oh non mon Dieu, pas pour Ed.

Elle pleure de ne pas pouvoir résister.

L’homme baisant sa bouche tient sa tête bien serrée et elle se prépare du mieux qu’elle peut. Le sperme lui remplit la gorge et elle avale autant que possible.

Quand il s’est retiré, elle halète pour reprendre des grandes bouffées d’air. Elle sent la bite de Ed qui explose dans sa chatte pendant que deux autres hommes s’approchent et crache leur foutre sur son visage. Puis un autre homme enfonce sa bite dans sa bouche.

Annie essaie de calculer le nombre d’hommes qui l’ont baisée et elle devine que ce sera le dernier, à son grand soulagement. Elle travaille la verge dans sa bouche avec sa langue, voulant au plus vite le satisfaire afin d’en finir. Elle avale rapidement son foutre quand il jouit dans sa bouche.

- Voilà, vous vous êtes bien amusés, alors laissez-moi partir maintenant. Dit-elle quand l’homme se retire.

Mais elle entend John dire :

- Pas encore. Je ne crois pas que tu aies joui.

Annie sent John près d’elle et elle entend qu’il dégage sa matraque.

- Oh mon Dieu non ! Dit-elle en sentant John frotter le bâton entre ses jambes.

- je crois que ça fera l’affaire. Dit l’homme.

Il enfonce la matraque dans la chatte d’Annie et commence à la baiser avec . Il se met à genoux et commence à titiller son clitoris tout en la pilonnant avec le gros bâton.

Annie grogne et lève les yeux pour voir les hommes la regarder se faire violer avec sa propre matraque. Puis elle réalise que son corps réagit à l’invasion du gourdin et des doigts agiles de John sur son clitoris. Elle essaie du mieux qu’elle le peut de repousser le plaisir qui l’envahit tandis que la combinaison de la matraque et des doigts la conduit vers l’orgasme. Mais elle ne peut se retenir longtemps.

Un gémissement s’échappe de sa bouche alors que l’orgasme approche. Même si elle résiste, ses hanches se baissent involontairement sur la matraque. Puis elle crie alors qu’elle jouit. Les hommes tout autour l’encouragent alors que l’orgasme dévaste son corps. Annie est incapable d’empêcher ses hanches de bouger de haute en bas sur le bâton dans sa chatte.

- oh putain je bande encore !

Annie entend John qui ajoute :

- Je pense que je dois encore te baiser.

Annie est presque contente de ses mots. Elle vient d’être violée par plusieurs hommes et elle a été forcée de jouir en étant baisée par sa propre matraque. Mais aussi difficile que ce soit d’appréhender l’idée, elle veut sentir une vraie bite en elle pour l’amener à un nouvel orgasme. 

Annie écarte les jambes et attend que John retire la matraque et la remplace par sa bite. Mais elle va rapidement comprendre qu’il a d’autres intentions.

- J’ai l’impression que ta chatte est bien assez utilisée pour le moment. J’ai besoin de quelque chose d’un peu plus serré pour me faire jouir.

- Oh mon dieu non ! Dit Annie en comprenant son intention.

Annie avait permis à son ex-mari d’essayer de l’enculer, mais elle l’avait fait retirer sa bite après un court moment. Et maintenant elle est sur le point de se faire sodomiser contre sa volonté.

- S’il te plaît, pas mon cul, s’il te plaît. Supplie-t-elle.

Mais ça ne fait que renforcer la détermination de John.

-Ne t’inquiète pas petite flic ! Je vais laisser la matraque en place pour que tu puisses jouir pendant que je baise ton petit trou du cul serré.

Annie se débat pour essayer de s’échapper. Mais elle n’est pas en mesure de le faire, coincée entre le siège et John qui a une bonne prise sur le gros bâton enfoncé dans sa chatte.

- Tiens ça ! Dit John à Ed.

Une fois que le directeur adjoint est à genoux pour tenir la matraque en place, John pose sa queue raide dans la fente du cul d’Annie.

- Nonnnnnn !! Crie-t-elle alors que le gland presse contre son petit trou serré.

La bite de John transperce le cul d’Annie, la faisant pleurer de douleur. Il commence alors à la baiser, la pénétrant plus profondément à chaque poussée jusqu’à ce que sa queue soit enterrée complètement, ses couilles touchant le cul de la jeune femme.

Quand John commence à la sodomiser, Ed commence à la baiser avec la matraque. Annie crie alors que la bite et le bâton frottent l’un contre l’autre à travers la membrane qui sépare son cul de sa chatte.

John serre les fesses de la jeune femme alors qu’il s’enfonce et sort de son cul. Il apprécie la façon dont elle bouche sous lui.

La douleur s’estompe progressivement et Annie réalise une fois de plus que son corps réagit. La pression de la bite de John dans son cul force son point G à frotter régulièrement contre la matraque. Elle sait qu’elle va bientôt jouir à nouveau.

Elle essaie de combattre ce désir aussi longtemps qu’elle peut, mais elle cède à la luxure et commence à reculer ses hanches sur la bite de John.

- OH OUIIIIII !

Elle se surprend à crier alors qu’elle jouit pour la deuxième fois. John augmente son rythme, soucieux de gicler son sperme profondément dans le cul de la policière alors qu’elle orgasme.

Il attrape ses hanches et claque sa bite dans son cul aussi vite et aussi fort qu’il le peut, écoutant la jeune femme gémir.

Il vide ses couilles en elle et la fait gémir de déception quand il sort son sexe de son cul.

- Mec, je dois avoir ce cul ! Dit Ed en lâchant la matraque et en se précipitant derrière elle.

Annie ne résiste pas alors que le directeur adjoint du cinéma enfonce sa bite dans son derrière. Elle sent la matraque couverte de son jus et du sperme de trois hommes glisser hors de sa chatte. Elle a envie qu’elle soit immédiatement remplacée.

- Baise ma chatte ! Dit-elle à Timmy qui se tient devant elle.

Voyant que le jeune homme qu’elle a sucé plus tôt se tient là avec un air de surprise sur son visage, elle lui demande une nouvelle fois :

- Pour l’amour de Dieu Timmy, enfonce ta queue dans ma chatte. !

- Merde ! Elle le veut vraiment Timmy ! Dit Ed.

Sur ces mots, il redresse Annie, et s’assoit sur le siège avec elle sur ses genoux, la bite enfouie dans son trou du cul.

- Viens et baise-la Timmy ! 

Timmy passe dans la rangée de siège, lève les deux jambes d’Annie et enfonce sa bite dans la chatte humide.

La jeune femme accueille la queue avec plaisir et commence à rebondir de haut en bas sur la bite de Ed tandis que Timmy baise sa chatte.

Elle a un nouvel orgasme presque immédiattement. Le directeur adjoint éjacule dans son cul peu de temps après, mais elle est forcée de continuer de chevaucher sa bite pendant que Timmy pilonne son sexe.

Celui-ci commence à jouir dans le ventre d’Annie alors qu’elle le supplie de ne pas arrêter, car elle sent venir un quatrième orgasme Timmy obéit et la policière gémit bruyamment alors que son corps tremble de la tête aux pieds avec cet orgasme puissant.

Quand le jeune vendeur sort son sexe flasque, Annie regarde dans la salle de cinéma. Tout le monde s’est habillé et avait fui la pièce, voulant évidemment s’échapper avant que la policière soit libérée. L’écran est allumé mais aucun film ne passe , car il n’y a personne à l’étage pour changer de bobine, Ed étant toujours sous Annie.

- Prenez mes clés et détachez les menottes. Dit-elle en se relevant sur ses jambes tremblantes,

- Que va-t-il se passer maintenant ? Demande Ed en réalisant que lui et Timmy allaient sûrement avoir des problèmes.

Annie répond :

- Vous allez d’abord m’enlever les menottes. Puis je vais foutre le camp d’ici. Et si vous promettez de nier que quelque chose est arrivé ici ce soir, je ne dirai rien. La dernière chose dont j’ai besoin c’est que tout le monde sache que j’ai été baisée comme un idiote par une salle pleine de pervers et que je ne pouvais rien y faire. Ça ferait de moi la risée de la police.

Ed sait que si ça se savait, Annie devrait admettre également qu’elle avait suppliée d’être baisée sur la fin. Elle ne veut certainement pas que ça se sache.

Ed trouve les clés des menottes et détache Annie. Celle-ci remonte sa culotte et son pantalon et fait de son mieux pour refermer son chemisier qui n’a presque plus de boutons.

Elle quitte le cinéma en décidant qu’elle appellerait le directeur le lendemain pour l’informer qu’elle ne voulait plus de ce petit boulot pour patrouiller au cinéma. Mais elle décide aussi qu’elle devra rendre visite à Timmy et Ed à nouveau.

FIN