Ce fut de l'érotisme. Avec lenteur, j'ai entendu ma femme généralement très timide m'avouer ses aventures sexuelles. La plupart des hommes qui désirent voir ou entendre parler de leur femme avec d'autres hommes conviendront que c'est la lenteur de la construction de l'histoire ainsi que l'attente de son dénouement qui suscitent le plus d'intérêt. Ma femme et des hommes se sont progressivement laisser entraîner dans du sexe tabou. Écouter ma femme me raconter tous les détails fut le plus grand événement de ma vie, même si elle le fit à contrecœur.
L'histoire est vraie. Je vous dirai plus tard comment je le sais. Certains des détails les plus fins ne sont pas vrais à 100% car elle m'a raconté des versions différentes mais la trame est la même. Cependant, il m'a fallu des années pour savoir toute la vérité. Et comme c'est la vraie vie, il y eut aussi de la colère, de la jalousie et de la douleur. Mais maintenant, je vais passer à autre chose.
A l'époque, nous avions emménagé dans une maison située dans un quartier qui suivait un gros programme de rénovation. Ma femme avait 23 ans, était blonde et belle. Nous avions deux filles qui allaient à l'école maternelle. Mon épouse attirait beaucoup l'attention de l'armée d'ouvriers qui travaillaient dans le quartier. Les maisons à côté de la notre étaient en travaux et donc vides.
Un jour, alors que j'étais malade et que je n'avais pu me rendre au travail, je me levai tard et je me rendis dans la salle de bain. J'entendis alors les ouvriers d'à côté parler à ma femme qui était dans le jardin en train d'étendre le linge. Elle échangea des salutations avec deux hommes, puis je l'entendis dire :
- Mon mari est à la maison aujourd'hui.
Un homme répondit :
- Oh je vois!
Qu'est-ce que c'était que ça? Je devins méfiant car ce n'était pas une conversation normale. Elle les avertissait. Pourquoi? ils la connaissaient. De mauvaises idées traversèrent ma tête. Que faisait-elle pendant que je travaillais? Je ressentis alors à la fois de la colère et de la jalousie.
Je descendis les escaliers avec hâte et je dis à ma femme :
- Qu'est-ce que c'était que ça?
Elle nia avoir dit quelque chose. Nous eûmes alors une grosse dispute. Les jours suivants, notre couple se déchira. Si bien, que pour préserver notre famille, nous dûmes nous asseoir et en parler calmement.
Elle m'admit qu'elle avait menti. Elle me dit qu'ils étaient venus dans notre maison pour boire un café et discuter. Je lui rétorquai qu'il devait y avoir plus que ça. Ma femme recommença à se fâcher et se mit à pleurer. Je décidai alors de la laisser.
Mais quelques mois plus tard, j'ai de nouveau abordé le sujet. L'incident restait dans ma tête. Alors, en essayant de rester de bonne humeur, je lui dis que je pariais qu'ils la trouvaient sexy. Je lui dis que j'étais seulement en colère parce qu'elle m'avait menti. Et que c'était bien qu'ils viennent juste prendre un café et discuter.
- Je parie que tu as aimé l'attention qu'ils te portent. Suggérai-je.
Ma femme se détendit un peu et me dit qu'elle était flattée de leurs sifflements approbateurs.
- Comment en es-tu venue à parler avec eux? Demandai-je.
- Quand j'étais dans le jardin en train d'étendre la lessive, un ouvrier m'a sifflé de la fenêtre de la maison d'à côté. Me dit-elle.
Tout de suite, j'eus dans ma tête l'image de ma femme dans le jardin. Et une idée me vint. Les jupes courtes étaient à la mode et ma femme était parfois un peu négligente quand elle se baissait. Pas étonnant qu'ils sifflent.
- As-tu montré ta culotte? Demandai-je.
Elle fut choquée alors j'ajoutai :
- Ce n'est pas grave, je ne vais pas me mettre en colère. L'idée que tu flirtes quand je suis au travail est assez excitante. Après tout, tu dois t'ennuyer maintenant que les filles sont à l'école.
En vérité, dans ma tête la jalousie et la colère se mélangeaient. Elle m'avait menti. Pourtant, bien que je ne le comprenne pas vraiment, je fus aussi excité sexuellement. Elle me dit :
- Eh bien je suppose que parfois ils ont vu ma culotte.
- Tu veux dire que tu sais que tu l'as montré?
J'essayai de la rassurer et je lui dis que ce n'était pas grave. Elle était plus ouverte mais je sentais qu'elle cachait encore des choses.
- Leur as-tu montré ta culotte intentionnellement? demandai-je.
Elle acquiesça.
- Raconte-moi!
- Quand j'allais au jardin pour pendre le linge, je savais qu'ils regardaient par la fenêtre des maisons d'à côté. Alors je me penchais sur le panier à linge, plus que nécessaire pour que ma robe remonte. Parfois je m'étirais vers la corde à linge en sachant que mes robes courtes remontaient presque jusqu'à la taille. Je les entendais parler à voix basse.
Ma bite durcit dans mon pantalon et mon cœur battit plus vite. Je lui dis :
- Continue!
Nerveuse, elle ajouta :
- Les ouvriers commencèrent à venir dans le jardin voisin pour à côté de la clôture. Je pouvais les sentir me regarder. Je suppose qu'ils voulaient voir de plus près.
- Et ils ont pu voir? Questionnai-je.
Elle baissa les yeux, penaude, et acquiesça.
- Donc ils regardaient par-dessus la clôture pendant que tu étendais le linge. Et tu te penchais exprès pour montrer ta culotte?
- Oui... Admit-elle à contrecœur avant d'ajouter :
- Je l'ai fait de façon que ça paraisse accidentelle.
Essayant de rester calme, je lui demandai comment ils avaient commencé à venir chez nous.
- Un jour, ils m'ont dit que l'eau était coupée dans la maison qu'ils rénovaient. Ils ne pouvaient pas prendre un verre. Alors je les ai invités à boire un café. C'était vraiment innocent. Puis ils vinrent souvent lors de leurs pauses café et nous bavardions.
- Combien étaient-ils? Demandai-je.
- Parfois trois, mais un travaillait dans une autre maison.
- Laisse-moi m'imaginer ça! Dis-je.
Puis je continuai :
- Trois hommes à qui tu avais montré ta culotte étaient maintenant seuls dans la maison avec toi. Est-ce que ça t'excitait?
Elle baissa les yeux et resta silencieuse.
- Est-ce que dans la maison, tu te penchais?
Elle ne répondit pas.
- Allez, ne gâche pas tout en mentant maintenant.
Contrariée, elle répondit doucement :
- Oui...
- Qu'est-ce que tu as fait exactement? Demandai-je en essayant de calmer mon tremblement.
Ce n'était pas un tremblement de colère mais plutôt d'excitation sexuelle.
- Ils s'asseyaient à la table de cuisine et je faisais semblant de continuer à m'activer. Ça me donnait une excuse pour me pencher. Parfois je m'asseyais avec eux et je laissais ma robe remontée. Tous mes vêtements sont assez courts donc ce n'est pas difficile.
Je ne pus plus me retenir. Je mis une main autour d'elle tandis que l'autre remonta sa jupe.
- Tu voulais qu'ils puissent voir ta culotte de face, juste entre tes jambes. Et tu le faisais intentionnellement pour les exciter. Tu me fais bander, dis m'en plus!
Elle commença à respirer lourdement quand je mis ma main dans sa culotte. Je lui chuchotai :
- Qu'as-tu fait d'autre?
Elle ferma les yeux et posa sa tête sur mon épaule.
- Est-ce que ça t'excitait? Ajoutai-je.
- Hmm... Un peu... Quand je porte une jupe, généralement j'ai un haut coupé court. Et certains sont plutôt serrés, un peu trop petits. Alors quand je mettais le café sur la table, leurs yeux étaient rivés sur ma poitrine.
- Donc tu savais qu'ils allaient venir. Est-ce que tu t'habillais de façon à leur montrer le plus possible de ton corps?
- Oui... C'est pas bien... Dit-elle en levant les yeux vers moi.
- C'est bon, continue! Dis-je doucement.
- J'ai des robes que je n'ose pas porter à l'extérieur car elles sont trop courtes ou trop petites. J'ai aussi des tee-shirts ou des hauts trop petits. Et certains vêtements sont si fins que l'on peut voir à travers. Je les mettais lorsque je savais qu'ils venaient. Une jupe qui couvrait juste mon cul et un haut qui laissait voir mes tétons pointer.
- Et ta culotte? Tu choisissais la plus sexy?
- Oui. J'emmenais les filles à l'école et quand je revenais à la maison, habituellement un des hommes me demandait s'ils pouvaient venir plus tard. Alors je rentrais chez nous et je me transformais en femme plus sexy pour les exciter. Je vérifiais dans le miroir ce que je montrais. Oui j'ai choisi des culottes sexy.
Elle avait un élan de franchise. Je pensai alors qu'il ne fallait pas qu'elle s'arrête.
- As-tu mis la culotte que tu avais acheté pour m'exciter. Celle qui est minuscule et transparente? Et l'autre toute rouge?
Elle répondit :
- Oui, et ils pouvaient bien voir ma culotte quand je m'asseyais en face d'eux et que je laissais mes jambes écartées.
- Qu'est-ce qu'ils ont dit?
- Rien. Mais je pouvais voir qu'ils étaient excités à cause des renflements dans leur pantalon et leurs regards avides.
- Toi aussi tu étais excitée? Dis-je.
- Oui. Je me sentais sexy alors mes mamelons durcissaient. Je pouvais les voir me détailler pendant que nous parlions. Leurs yeux allaient de mes jambes à ma poitrine.
Ne souhaitant pas la pousser trop vite, je lui posai une autre question :
- Ça devait être évident pour eux que tu avais changé de vêtements?
- Oui ils le voyaient. C'était comme un jeu à l'époque. Ils s'asseyaient bavardaient et buvaient leur café pendant que je leur donnais un petit spectacle. Par exemple, j'essayais d'atteindre un objet sur une étagère au-dessus d'eux afin qu'ils puissent voir le devant de ma culotte. Ou alors je me baissais tout en sachant que ma jupe couvrait à peine mes fesses. J'écartais un peu les jambes avant de m'asseoir pour qu'ils aient une meilleure vue. Un jour, j'ai fait semblant de ne pas remarquer que ma jupe était remontée presque à ma taille alors que j'étais assise. Ils ont pu tout voir.
- As-tu écarté les jambes aussi.
- Oui. Avec désinvolture, je les ai laissé voir ma chatte. Parfois, nous restions ainsi pendant 20 ou 30 minutes, ils profitaient de la vue.
Je fus tellement excitée par son récit que cette nuit-là, je la fis jouir trois fois.
Les jours suivants, je ne pus me concentrer sur mon travail. J'avais l'envie irrésistible de rentrer à la maison et de lui poser d'autres questions. Les images qu'elle m'avait mis dans la tête me poussèrent à aller aux toilettes pour me masturber comme un dingue. Je me représentai ma femme assise dans notre cuisine, sa jupe relevée à la taille, ses jambes grandes ouvertes, ses tétons pointant sous son haut. Trois hommes en train de bander regardaient sa chatte à travers sa culotte. Je me demandai si elle avait porté la culotte couleur chair.
Ces hommes avaient du vouloir aller plus loin, avoir voulu la toucher, tripoter ses seins, caresser sa chatte. Mon Dieu! C'est sûrement ce qu'elle voulait. Elle s'habillait pour eux, pour les exciter. Elle devait bien penser à leurs bites bien raides? Ils ont dû lui faire des avances? Voulait-elle que l'un d'eux, ou tous, lui fasse des avances? Jusqu'où ont-ils été?
J'avais hâte de le découvrir.
A suivre...
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