Traduction d'un texte de All_These_Roadworks
Ce n'était qu'une petite digression, de l'argent de la société donné à un entrepreneur qui était l'ami d'un ami sans appel d'offres valides. Mais c'est suffisant pour la faire virer et peut-être poursuivre en justice.
Harris le sait, et même s'il ne veut pas voir licencier Valentina, car elle est une manager talentueuse, il ne sera pas trop triste si elle l'est.
Il lui rend visite le vendredi soir après les heures de bureau et lui dit :
- Si j'ai trouvé ça, d'autres le peuvent aussi. Ça sera la fin de ta carrière!
Il regarde sa séduisante collègue de haut en bas et ajouté :
- Ou... je peux faire disparaître les preuves que j'ai trouvé. Tu seras tranquille.
Elle fronce les sourcils et demande sans détours :
- Qu'est ce que tu veux?
- Tes subordonnés te détestent tu sais. Ils t'appellent la cochonne de salope. Ils font ces petits bruits quand tu es sur le point d'arriver le matin pour avertir tout le monde.
Harris fait des bruits de reniflement et de gémissement, à mi-chemin entre le grognement d'un cochon et le gémissement d'une femme en train de jouir.
Le visage de Valentina rougit d'humiliation. Elle répond :
- Je suis une manager sévère, mais j'obtiens de bons résultats. Et bien sûr, les employés ne sont pas toujours content de ma manière de procéder. Que veux-tu?
Harris se met à rire et dit :
- Eh bien, je pense qu'il serait juste de leur donner une chance de savoir s'ils ont raison. Juste une chance avec un jeu, tu veux bien?
Valentina n'a pas le choix. Elle attend patiemment qu'il s'explique. L'homme déclare alors :
- La semaine prochaine! Cinq jours! Chaque jour quand tu arriveras au bureau, tu y trouveras une tâche à accomplir. Tu la feras ici, dans ton bureau, avec la porte ouverte. Tu pourras arrêter à tout moment si tu le souhaites. Toutefois tes arrêts seront chronométrés par une horloge. Si tu dépasses les deux heures avant la fin de la journée de travail, tu auras perdu et je transmettrai mes preuves au conseil d'administration de la société.
- Quel genre de tâche? Demandé Valentina avec méfiance.
- Tu verras lundi. La première tâche sera dur ton bureau. Tu la feras ou non, c'est à toi de décider.
****
1er jour.
Lundi, quand elle arrive, il y a une nouvelle horloge avec un affichage à led sur son bureau. Elle indique « 00:00 » en chiffres rouges brillants.
Il y a aussi une note en papier sur laquelle est écrit : « les seins à l'air, la culotte sur les chevilles ».
Immédiatement, l'horloge avance à « 00:01 ».
Valentina rougit. Elle regarde autour d'elle, impuissante. Elle ne croyait pas que Harris était sérieux. Son bureau est une pièce vitrée au bout d'un grand espace de travail décloisonné rempli de ses subordonnés. Il y a quand même des stores et, quand ils sont fermés, comme elle le fait immédiatement, on ne peut voir dans son bureau que si on est à sa porte. Et la seule raison de venir à la porte de son bureau, c'est de vouloir pénétrer à l'intérieur. Elle n'est pas sur un chemin de passage, donc, la plupart du temps personne ne peut la voir. La plupart du temps...
L'horloge affiche « 00:02 ».
Valentina rougit encore et prend une décision. Elle passe sa main sous sa jupe et tire sa culotte blanche le long de ses jambes jusqu'à ce qu'elle soit sur ses chevilles. Puis elle ouvre son chemisier et baisse son soutien-gorge pour exposer ses seins. Enfin, elle s'assoit à son bureau.
Immédiatement l'horloge s'arrête de tourner.
Elle se sent humiliée. Elle ne peut croire qu'elle est au travail, la poitrine à l'air. Elle voudrait se couvrir. Mais, quand instinctivement, elle a essayé de cacher ses seins nus avec ses mains, l'horloge a affiché « 00:03 ». Alors elle les a retirées. Elle se sent comme une pute.
Personne ne peut la voir à part s'il entre dans son bureau. Mais, avec ses stores fermés, elle s'est rendue compte qu'elle ne peut voir personne approcher avant qu'il ne soit sur le pas de la porte.
Elle allume son ordinateur et essaie de travailler, mais elle n'arrive pas à se concentrer. Son corps entier est tendu, elle essaie d'entendre le son de pas qui s'approcheraient pour avoir le temps de couvrir sa poitrine. Plusieurs fois, étant sûre que quelqu'un arrive, elle ferme son chemisier. Mais personne n'apparaît et l'horloge recommence inexorablement à compter.
Il y a bien certaines fois où des employés viennent lui poser des questions, mais à chaque fois elle a de la chance et elle réussit à se couvrir à temps. Une fois, ça se joue en une fraction de seconde. Elle est sûre que l'employé étant venu lui donner un dossier la voit fermer rapidement son chemisier. Elle est d'un rouge cramoisi quand elle lui prend le document. Elle est incapable de croiser son regard, Immobile sur son siège de peur d'attirer l'attention sur sa culotte autour de ses chevilles.
Et le problème c'est que plus la journée passe, plus elle est excitée et sa chatte humide. Elle trouve ça humiliant. Elle n'a jamais soupçonné qu'elle pourrait être excitée par la honte te la prise de risque. Mais apparemment elle l'est. Sa chatte humide prouve qu'elle est une salope. Elle déteste tellement ça que lorsque la journée est terminée avec seulement « 00:50 » à l'horloge et qu'elle rentre chez elle, elle se dirige directement dans sa chambre, écarte les jambes et gifle sa chatte jusqu'à ce qu'elle ait un orgasme de douleur.
****
2ème jour.
Le lendemain, le mardi donc, il y a un godemiché vibrant sur son bureau avec une note disant : « Dans ta chatte et allumé ».
Elle saisit le gode en rougissant. Quelqu'un l'a-t-il vu avant qu'elle arrive? Elle est contente de ne pas avoir à mettre sa poitrine à nu aujourd'hui, mais elle n'est pas ravie par la fausse bite épaisse en plastique. Elle baisse sa culotte et insère soigneusement l'objet dans son sexe. Elle profite un peu de la sensation avant d'actionner l'interrupteur sur la base.
Immédiatement elle se fige, le souffle coupé et arrête le gode. Il est bruyant! Le bourdonnement est clairement audible dans toute la pièce, et peut-être de l'extérieur aussi.
Silencieusement, l'horloge tourne et indique « 00:04 ».
Elle fouille dans son sac et en sort un pull en laine qu'elle garde pour quand il fait froid. Elle s'assoit sur sa chaise, fourre le pull entre ses jambes et réactive le godemiché. La laine étouffe un pu le bruit, mais pas beaucoup. N'importe qui entrant dans la pièce pourra sûrement l'entendre. Elle serre ses jambes aussi fort qu'elle le peut et elle essaie de travailler.
Désactiver le gode quand des gens viennent s'avère plus difficile que de cacher sa poitrine. Car il faut qu'elle atteigne sa chatte et sente l'interrupteur. Les deux premiers hommes qui sont venus la voir l'ont attrapée avec sa main toujours entre ses jambes, mais heureusement avec l'objet désactivé. Aucun des deux n'a rien dit, mais ils l'ont quand même regardée bizarrement. Lorsque de la troisième visite, un employé venant lui demander le dossier des statistiques mensuelles, elle a presque crié, car la stimulation constante de sa chatte toute la journée l'a presque amenée à l'orgasme et elle a été obligée d'éteindre le gode alors qu'elle allait jouir.
Elle acquiesce rapidement aux questions de son visiteur pour se débarrasser au plus vite de lui. Elle réactive avec impatience le godemiché lorsqu'il est parti.
Dix minutes plus tard, elle est encore une fois si proche d'un orgasme qu'elle ne remarque même pas que le subordonné qu'elle aime le moins, Trevor, entre dans son bureau. lorsqu'il s'éclaircit la gorge, elle lève les yeux, horrifiée. Elle sait que son visage est tout rouge, ses lèvres entrouvertes, ses mamelons dressés. Elle sait qu'elle sent le sexe. Et elle sait aussi que le bourdonnement entre ses jambes est clairement audible.
- Est-ce que ça va Val? Demande Trévor, visiblement intrigué.
- Je suis... Je suis... Commence-t-elle à dire.
Horrifiée et complètement humiliée, elle a un orgasme. Elle pousse un petit gémissement de salope, elle se plie en deux en agrippant le bord du bureau avec ses mains. Incontrôlable elle remue ses hanches dans son fauteuil et elle sent gicler sa chatte. Bientôt une flaque se forme sous son cul.
Trévor rigole et fait le petit cri de cochon que Harris avait décrit à Valentina. Elle rougit encore plus profondément, incapable de dire quoi que ce soit. Elle voudrait mourir de honte, le godemiché toujours vibrant dans sa chatte.
- Je vais te laisser tranquille alors! Dit Trévor en reculant, un grand sourire sur le visage.
Dès qu'il est parti, Valentina sort le gode de sa chatte et l'éteint. Elle ignore l'horloge qui se remet à avancer. Puis elle utilise son pull pour sécher son entrejambe ainsi que son fauteuil. Enfin elle se remet à travailler sans remettre le godemiché dans sa chatte jusqu'à ce que l'horloge indique « 01:30 ». A contrecœur, elle remet la queue en plastique en elle et elle la réactive.
Heureusement, personne ne la dérange de l'après-midi. Elle a de nouveau un orgasme juste avant de quitter le bureau.
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3ème jour.
Le mercredi il y a un deuxième gode. La note l'accompagnant indique : « Dans la chatte et le cul, et activés. Pas de vêtements en dessous de la taille ».
Des larmes d'humiliation coulant sur ses joues, Valentina enfonce les godes dans son cul et sa chatte, puis les activent. Comme elle le craignait le nouveau gode est aussi bruyant que le premier. Elle retire sa culotte et sa jupe avant de s'asseoir à son bureau. Elle glisse sa chaise sous son bureau le plus possible pour cacher sa nudité.
Elle découvre bientôt qu'il n'est pas possible d'éteindre le gode anal à la hâte. Après avoir failli se faire prendre en train de se tordre sur son siège pour atteindre son postérieur par une de ses subordonnés, elle se résigne à recevoir les visiteurs occasionnels avec les deux appareils qui bourdonnent bruyamment dans ses trous exposés.
Les employés affichent tous des sourires méprisants en lui parlant. Il est clair que Trévor a raconté ce qu'il a vu. Donc les visites dans son bureau sont plus nombreuses. Beaucoup regardent ouvertement en dessous de sa taille. Heureusement le bureau cache sa nudité.
Dans la journée, elle jouit devant trois personnes différentes.
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4ème jour.
Le jeudi, il n'y a plus qu'un seul gode, mais aussi une tétine pour bébé. La note dit : « Cheveux en nattes, gode dans le cul, tétine dans la bouche, nue de la taille aux pieds, tu te masturbes ».
Il n'y a aucun moyen pour elle de cacher ses nouveaux ordres. Au cours de la journée, Chacun de ses subordonnés vient plusieurs fois pour voir son nouveau look et rire d'elle. Pendant la matinée, elle arrête de se masturber et elle sort la tétine de sa bouche lorsque les hommes entrent. Mais au déjeuner, Trévor tire un petit bureau dans la pièce et lui annonce qu'il va travailler avec elle tout l'après-midi. Quand l'horloge annonce « 01:50 », Valentina sanglote, remet la tétine dans sa bouche et recommence à frotter sa chatte.
Trévor se lève, s'approche d'elle et tire sa chaise de dessous le bureau pour pouvoir voir sa chatte. Elle continue de se masturber, le regardant avec honte et pitié.
Sans compassion pour elle, l'employé sort sa bite, la pointe sur son visage et se masturbe jusqu'à ce qu'il gicle et recouvre de sperme ses yeux, ses joues, ses cheveux et ses lèvres. Puis il retourne au travail la laissant se masturber furieusement jusqu'à un orgasme humiliant.
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5ème jour.
Le vendredi il n'y a pas de godes. Mais à la place se trouve une paire de menottes, un bandeau, un bâillon et trois pinces à linges accompagnés de la note habituelle qui dit : « Pinces sur ton clitoris et tes mamelons, Bandeau sur les yeux, Bâillon dans la bouche, nue, les bras menottés au bureau, le cul face à la porte, pliée sur le bureau les jambes écartées.
Effrayée, elle suit lentement les instructions. Elle réalise une fois qu'elle est menottée qu'elle n'a pas la clé pour se détacher.Elle espère que Harris passera et la détachera à 17h00.
A 9h30, rien ne s'est encore passé, à part son exposition forcée. Elle ne sait pas qui a pu la voir et elle mouille.
A 9h45, elle entend le bruit d'un braguette que l'on descend derrière elle. Un instant plus tard, une première bite se fraie un chemin dans sa chatte humide.
Au cours de la journée, sa chatte et son anus sont visités 24 fois au total. C'est bien plus que le nombre d'employés qu'elle supervise. Certains la baisent doucement et elle aime ça. D'autres la baisent brutalement, et c'est encore mieux.
Les pinces sur son clitoris et ses mamelons lui font mal, mais c'est une bonne douleur. Et toutes les deux heures, une main anonyme les retire, l'écoute gémir alors que le sang revient dans les chairs maltraitées, puis les replace. Au déjeuner, le sperme coule librement de ses deux trous sur le tapis de son bureau.
A 15h00, elle commence à penser à la prochaine semaine à venir, à recommencer de faire son travail habituel tout en sachant que ses subordonnés l'auront vu aujourd'hui. Elle ne peut le supporter. C'est pas seulement l'humiliation de voir leurs regards moqueurs, mais c'est aussi d'être normale, de ne pas avoir de godes en elle. Elle a joui plus fort et plus souvent pendant cette semaine que pendant toute sa vie.
Harris vient la libérer à 17h00. Elle le supplie d'utiliser ses trous. Quand il a fini, elle lui dit qu'elle va remettre sa démission et elle lui demande s'il aimerait avoir une autre relation de travail avec elle comme... proxénète.
FIN.
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