Madame fit quelques pas sur la terrasse de sa splendide villa située à quelques kilomètres de Porto-Vecchio, isolée sur les hauteurs. Elle regarda la mer qui apportait heureusement un brin de fraîcheur. Il faisait une chaleur de bête en ce mois d’août. Son mari n'est pas encore arrivé, il est resté dans la commune dont il est le Maire, il doit la rejoindre en fin de semaine. Madame n'est pas seule pour autant. Alexia l'a accompagnée, au grand désespoir de Madame. Depuis quelques temps, Marie-Hélène est devenue la pute officielle de sa bonniche. Madame ne sait plus quoi penser de cette relation plus que trouble qui s'est instaurée entre Alexia et elle. Sa bonne lui impose les pires perversions mais Madame à chaque fois en ressent un plaisir trouble et malsain.
Les talons hauts des sandales de Marie-Hélène claquèrent sur le marbre blanc quand celle ci rentra dans le grand salon. Alexia est affalée sur le canapé en train de lire un polar. Depuis leur arrivée, Alexia a imposé de nouvelles règles. C'est Madame qui sert de bonniche ! Elle fait le ménage et la cuisine pendant que sa bonne se repose. Elle lui impose le port d'un bikini trop petit pour elle et des sandales avec des talons vertigineux. Ses seins, compressés, débordent du soutien-gorge trop étroit. On a l'impression qu'à chaque respiration, la poitrine va déchirer la fragile étoffe.. Ses fesses sont à peine retenues par le slip.
- Qu'est ce que tu attends pour passer l'aspirateur ! lui lança Alexia en regardant Madame avec un air mauvais.
Marie-Hélène se précipita et sortit l'aspirateur. Elle déambula dans le salon, exhibant ses appâts plantureux au regard pervers d'Alexia. Ses grosses mamelles ballottent et manquent de jaillir du soutien-gorge dès qu'elle se penche un peu. Madame continua de passer l'aspirateur sous le regard ironique de sa bonne. Celle-ci se leva d'un bond et s'approcha de sa patronne. Elle aussi porte un maillot de bain mais à sa taille. Elle s'empara des seins de Madame et commença à les triturer, les malaxant. Elle susurra dans l'oreille de Marie-Hélène :
- T'as plein de poussière sur toi, je vais te nettoyer un peu.
Incrédule, Marie-Hélène dévisagea sa bonne, ne comprenant pas. Alexia la poussa vers le canapé après lui avoir sorti ses seins du soutien-gorge. Elle retira la brosse de l'aspirateur s'emparant de l'embout. Elle le positionna sur le mamelon de Marie-Hélène qui poussa un petit cri, cela fit un drôle de bruit provoqué par l'air qui cherche à aspirer le téton. Madame ouvre la bouche. Alexia continue d'appuyer sur l'embout. Les pointes des seins sont avaler par l'embout. Elle le retire. Les pointes sont devenues rouges, dressées, dures. Alexia écarta le slip et posa l'embout sur la vulve de l'épouse du Maire qui protesta et voulu se dégager. Une petite tape sur les cuisses l'empêcha de continuer. La bonne promène délicatement l'embout de l'aspirateur sur les petites lèvres de Madame qui poussa un gémissement. La sensation était étrange. Elle donna un coup de reins. Alexia ne la quitte pas des yeux.
- Tu prends ton pied, petite salope ? Madame est vraiment une chienne, n'importe quel objet l'excite ! Elle mérite d'être punie.
Elle se leva et partit précipitamment dans sa chambre après avoir éteint l'aspirateur, laissant Marie-Hélène effondrée dans le canapé. Elle revint avec un paquet cadeau qu'elle tendit à Marie-Hélène.
- Un petit cadeau pour Madame.
Marie-Hélène ouvrit le paquet, tremblante, s'attendant au pire. Elle ne fut pas déçue, plusieurs objets étaient dans le paquet.
- Eh bien, qu'attends tu ! Sors-les.
Rouge de honte, Marie-Hélène sortit un gode noire aux dimensions impressionnantes et une boule en latex où étaient fixées des lanières. Alexia enfonça la boule dans la bouche de Madame qui poussa un cri de protestation étouffé. Elle fixa les lanières autour de la tête. La mâchoire est déformée par la boule et Madame ne peut plus pousser que des râles. La jeune domestique ajusta autour du cou, un collier avec au bout d'un anneau, une laisse en cuir noire. Elle sortit un martinet qu'elle brandit en l'air.
- A genoux salope, trottine un peu.
Madame s'exécuta se mettant à genoux. Elle dut marcher à quatre pattes, faisant des cercles autour de sa bonne. Des qu'elle faiblissait, Alexia lui frappait les fesses par petits coups, sans violence. Alexia ne veut pas lui faire mal, elle veut l'humilier. Marie-Hélène bave sur la boule et ça coule par terre. laissant une traînée humide comme un escargot. Alexia tira sur la laisse forçant Madame à se relever. Elle la poussa vers le canapé, la courbant sur l'accoudoir. Elle plongea ses doigts dans la vulve de Madame, elle était dégoulinante de mouille.
- Madame est trempée comme d'habitude...Madame a envie d'une queue ? J'ai ce qu'il faut pour les salopes dans son genre.
Elle brandit le gode noire. L'agitant devant les yeux exorbités de Madame qui poussa un cri étouffé par son bâillon.
- Il fait 20 cm de long. C'est comme une grosse bite de black...On va bien s'amuser. C'est pour ça qu'il fallait un bâillon à Madame.E lle va tellement gueuler qu'elle va ameuter tous les voisins. On va l'entendre jusqu'à Ajaccio !!
Madame tenta de se rebeller, elle gigota mais Alexia la tenait fermement par les cheveux. Elle introduisit le gode dans la chatte de Marie-Hélène et le brancha. Il commença à remuer dans le ventre de l'épouse du Maire. C'est la première fois qu'elle a un vibromasseur dans le vagin. Le bruit du petit moteur emplit la pièce. Elle augmenta la vitesse et le gode se mit à vibrer à une vitesse folle. Le corps de Marie-Hélène se mit à trembler. Un premier orgasme la secoua puis un deuxième la laissa pantelante sur le canapé. Elle transpirait. Alexia lui retira son bâillon-boule et aussitôt Marie-Hélène supplia :
- Retirez moi ça, je vous en supplie, retirez moi ça, c'est insupportable.
Elle secouait la tête de droite à gauche en geignant.
- Madame n'aime pas mon cadeau ? demanda Alexia faussement déçue.
Un troisième orgasme courba le corps de Marie-Hélène en arc de cercle et elle gueula si fort que Alexia se précipita pour la bâillonner avec sa main. Elle lui retira ensuite le gode et elle ordonna à l'épouse du Maire de le nettoyer avec sa langue ce qu'elle fit.
L'heure du dîner est arrivée. Alexia rentra dans la chambre de Madame.
- Madame va s'habiller en bonniche ce soir, nous recevons des invités. Elle va les servir et j'emprunterai une de ses robes de soirée.
- Co...Comment ? Mais.... Ce n'est pas possible. Et qui viens ? Demanda Marie-Hélène d'une voix inquiète.
- Madame verra bien c'est une surprise.
Elle ressortit et Marie-Hélène resta songeuse. Elle n'aimait vraiment pas les surprises à Alexia.
Trois voitures se garèrent dans le jardin devant la villa. Plusieurs hommes en descendirent. Alexia les fit rentrer et les embrassa. Marie-Hélène a l'impression qu'elle va s'évanouir, elle réalise qu'ils sont une dizaine, surtout des jeunes mais aussi des vieux.
Marie-Hélène se sentit rougir sous le regard inquisiteur que lui lança la dizaine d'hommes. Madame a été contrainte d'enfiler une tenue de bonne. Elle est finalement habillée d'une jupe plissée qui lui arrive à mi-cuisses, perchée sur des talons aiguilles vernies à brides. Alexia lui a passé un de ses chemisier blanc trop petit pour elle, et il moule sa poitrine de façon indécente, ses seins crevant presque le tissu, dessinant les pointes de ses tétons. Elle a eu interdiction de porter le moindre sous-vêtements bien sûr, sauf, et en dépit de la chaleur, des bas noirs dont on aperçoit la jarretière quasiment à chaque mouvement qu'elle fait. Alexia, elle, est très élégante dans une robe de cocktail empruntée à Madame.
Alexia et ses amis s'installèrent sur la terrasse et Madame dut faire le service. D'abord outrée, elle fit mine de protester mais le regard noir que lui lança Alexia l'en empêcha. Elle leur servit les apéritifs. Quand elle se penchait vers la table basse pour y déposer un verre, elle sentait tous les regards des mâles présents se poser sur sa croupe. Les minutes s'écoulèrent lentement, Madame continuant à faire le service. Les mains, l'alcool aidant, se firent de plus en plus baladeuses. Madame sursauta la 1ère fois que Marco, un des jeunes, fit remonter sa main le long des bas alors qu'elle lui servait un whisky. Elle commença à protester mais Alexia lui lança devant les autres :
- Ne discute pas !
Ça coupa court à toutes velléités de sa part.
Puis on voulu danser. Marie-Hélène, a qui on ne demanda pas vraiment son avis, fut entraînée par les jeunes. Elle est ballottée, renvoyée de cavaliers en cavaliers. On profite de la danse pour la peloter à chaque fois... Les mains s'égarent dans l'ouverture du chemisier, sous sa jupe, on ricane en découvrant qu'elle n'a pas de slip. On palpe ses fesses. Madame commence à ne plus être insensible à toutes ses mains qui l'investisse. Elle sent sa fente s'humidifier. On l'embrasse sur la bouche, on lui triture les seins à travers le chemisier qu'on ne tarde pas à ouvrir, les exhibant au regard de tous. On allonge Madame à terre et on lui écarte les cuisses après avoir relevé sa jupe. Marco se pencha et commença à lui sucer les tétons pendant qu'un autre fouillait sa chatte de sa langue. Alexia prend des photos avec son téléphone portable. Madame gémit sous les caresses habiles. La bouche de Marie-Hélène se retrouve investit par une queue. Ses joues se gonflent, déformées par la bite qu'elle suce. Des doigts s'engouffrent dans la chatte de Madame et on la branle sans ménagement, lui titillant le clitoris. Madame pousse un cri étouffé, elle gémit et remue son bassin.
- Quelle salope, t'avais raison Alexia, c'est une vrai chienne ta patronne.
Un vieil homme agrippe les cheveux de Marie-Hélène et fait coulisser sa bite de plus en plus vite entre les lèvres épaisses. Marie-Hélène enroule sa langue autour du gland. Elle se retrouve avec deux bites dans chaque mains et elle commença à les branler. Elle sent qu'on lui soulève les jambes, les mettant à la verticale. Elle poussa un cri quand un membre dur et épais la pénétra. L'homme s'agite entre ses cuisses. Madame pousse un long râle de bonheur en se sentant rempli par l'énorme bite, elle ondule des hanches. Marie-Hélène accélère la cadence avec ses mains et les bites qu'elle branlait lâchèrent des traînées de foutres qui s'écrasèrent sur son visage et ses seins. Celui qui la pistonnait éjacula sur son ventre.
Cela continua des heures. Sous les encouragements d'Alexia qui fait des photos et filme la scène avec son portable, Marie-Hélène est traitée comme la dernière des putains. Elle ! La femme du Maire. Elle gueule sous les coups de reins de ses tourmenteurs. On la positionne à quatre pattes et elle est investit de nouveau par une queue, puis une autre pendant qu'elle suce des bites à la chaîne. A peine un des hommes a t'il éjaculé, qu'un autre le remplace.
Elle tente à chaque fois de recracher le sperme mais elle est contrainte de l'avaler la plupart du temps. Son corps est recouvert de foutre. Elle en a dans les cheveux, sur les seins, le ventre. Sa chatte en est remplie. Voulant faire une variante, Marie-Hélène est mise à genoux et elle doit accueillir entre ses seins des bites qu'elle branle entre ses deux mamelles. Elle les tient avec ses mains fines aux ongles rouges. Les bites se succèdes entre ses seins. Elles lâchent des giclées de foutre épais qui s'étale sur ses nichons. Madame s'exécute sans protester. Elle autorise ses hommes qu'elle ne connait pas à se branler entre ses seins. Elle avale des kilomètres de bites. Elle halète, gémit.
On la met de nouveau à quatre pattes, ses seins dégoulinant de sperme sont malaxés, on lui suce les tétons. Elle sentit une queue se présenter devant l'ouverture de ses reins et la elle cria qu'elle ne voulait pas. On lui claqua le cul ! La bite força son anus et Marie-Hélène gueula. Elle resta la bouche ouverte, transpirant, le souffle coupé. L'homme commença à lui donner de violents coups de reins. Son corps ballote sous les assauts. La queue lui martèle le cul. Madame crie, pousse des gémissements plaintifs. Elle est enculée à tour de rôle par ses mâles en rut qui abusent de son corps de toutes les façons.
Cette nuit de folie se terminera sur la terrasse, en plein air, où de nouveau Madame sera baisée. Empalée sur une bite, enculée par une autre pendant qu'elle pompera une troisième. Elle aura un nombre incalculable d'orgasmes qui la laisseront affalées sur le sol de sa terrasse, n'entendant même pas le départ de la dizaine d'hommes qui venaient de se vider les couilles dans son corps.
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