mercredi 25 avril 2018

La Vengeance d'un intello - Chapitre 04

La Vengeance d'un intello - Chapitre 04 - récit érotique - inceste - domination - viol - soumission

Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur « Silkstockingslover »

Revanche sur un tourmenteur et la mère de celui-ci.

Résumé : Après avoir été licencié, Bruno, un jeune intello maigrichon a inventé un produit qui lui permet de prendre le contrôle de personnes. Cette drogue agit ainsi :

• La personne ne peut pas mentir.

• Le corps de la personne obéit aux ordres même si l'esprit conscient s'oppose à cette obéissance.

• La libido sexuelle de la personne augmente considérablement. (Bruno avait tenu à mettre en œuvre ce point afin de se venger de cette chienne de Sarah ainsi que d'autres qui l'avaient mal traité au cours des années passées).

• La personne se sent enfermée dans des vêtements et elle voudrait être nue.

• L'impact du médicament est permanent sur la personne infectée (la drogue d'origine n'avait d'effet que pendant une heure. Toutefois, il n'était pas encore certain. L'effet pourrait durer quelques heures, jours, semaines ou indéfiniment).

Bruno a testé avec efficacité son produit sur sa sœur et la meilleure amie de sa sœur.

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Bruno aurait bien aimé entendre la conversation entre sa mère et sa sœur découverte en peine séance de lesbianisme avec sa meilleure amie (Chacune essayant de faire jouir l'autre le plus rapidement possible pour éviter d'avoir à sucer un étudiant le lendemain). Mais il préféra s'éloigner.

Il se promène, ravi du succès de sa drogue pour le moment. Mais deux choses l'inquiètent un peu :

• Est-ce que l'effet est permanent? Il le soupçonne mais il voudrait le confirmer.

• Ces deux premiers cobayes sont des adolescentes. Est-ce que sa drogue marchera avec des personnes adultes ou des hommes? Il lui faut trouver de nouveau cobayes.

Il a toujours eu du respect pour sa maman et bien qu'il aimerait coucher avec elle, il choisit de ne pas expérimenter son produit sur elle. Il doit trouver une autre femme adulte pour laquelle il n'a aucune considération.

Après une brève réflexion, il trouve la candidate idéale : Madame LEVIS. C'est la mère de Pierre, un petit dur qui a toujours intimidé et brutalisé Bruno à l'école. Elle n'avait jamais rien fait pour punir son fils brutal, allant même jusqu'à dire que la loi du plus fort était la meilleure. De plus elle est terriblement excitante. En la choisissant comme prochain sujet de test, il se dit que son fils Pierre, qui vivait toujours chez sa mère, pourrait lui aussi expérimenter la drogue.

Souriant, Bruno décide de faire d'une pierre deux coups, oui il expérimentera son produit sur madame LEVIS et son fils.

Quand il rentre chez lui, une heure plus tard, juste à temps pour le diner mais assez longtemps après la découverte de sa sœur par sa mère, celle-ci finit de préparer les aliments.

- Bonjour maman. Salue-t-il.

Elle répond :

- Bonjour Bruno. Où étais-tu?

- Je cherchai du travail. Mentit-il.

Il pense que si tout se passe comme convenu, il pourra bientôt récupérer son travail, avec une promotion.

- Tu as trouvé? Questionne sa mère.

- Je suis confiant. Je devrais retravailler bientôt.

- Très bien, je sais que tu es très capable.

En regardant sa mère dans sa jupe noire et son chemisier rouge, il ne peut s'empêcher de fantasmer sur elle, mais hors de question d'utiliser sa drogue sur elle. Il faut qu'il trouve un autre moyen.

- Où est ma sœur? demande-t-il.

- Dans sa chambre. Répond sa mère sur un ton froid.

Elle ne peut croire encore que sa fille continue à lécher son amie alors qu'elle les a surprises. Et que sa fille s'excuse quelques secondes avant d'avoir un orgasme.

- Qu'a-t-elle fait encore? Demande Bruno.

- Oh rien! Soupire sa mère qui visiblement ne veut pas en parler.

Mais elle a encore l'image de sa fille dans l'acte sexuel lesbien.

- D'accord, mais ça ne doit pas être bien. Dit Bruno en haussant les épaules.

- Au moins, toi, tu ne m'as jamais donné de problèmes. Dit sa mère tendrement.

Bruno sourit. Si elle savait qu'il est à l'origine du problème peut-être qu'elle le verrait autrement. Il répond :

- Peut-être que ça viendra.

- Ta sœur me suffit. Dit-elle en souriant.

Puis elle appelle :

- Catherine, le diner est prêt.

La jeune fille descend les escaliers quelques minutes plus tard en jetant un regard noir à son frère. Elle est en colère. Sa mère pense qu'elle est lesbienne mais elle ne peut pas s'expliquer, étant encore sous contrôle.

Bruno fait un clin d'œil à sa sœur quand sa mère ne regarde pas. Il jouit du pouvoir qu'il a sur elle.

Ils mangent en silence, chacun ayant ses propres pensées.

Catherine remonte à l'étage pendant que Bruno aide sa mère à faire la vaisselle. Puis le jeune homme rejoint sa chambre et est surpris d'y trouver sa sœur. Tout de suite elle exige :

- Tu dois arrêter ça!

En hochant la tête il dit :

- D'accord. Mais ferme ta bouche sur une bite. Tu dois en avoir envie.

- Tu es un bâtard. Accuse-t-elle.

Mais en même temps, elle se rapproche de son frère, se met à genoux et attrape sa bite, une faim de sperme envahissant son cerveau. Elle lui dit :

- Maman pense que je suis lesbienne. Et quand elle est arrivée, aucune de nous deux n'a pu arrêter. J'étais honteuse de continuer à lécher la chatte de Béatrice alors que maman criait.

Bruno écoute et regarde, amusé, sa sœur se taire et obéir. Elle se penche sur la grosse bite, encore impressionnée par sa taille. Elle est en colère car non seulement elle doit obéir, mais elle a envie de sperme et elle a apprécié d'avoir sa queue dans sa bouche, sa chatte et son cul.

Il la regarde, savourant le pouvoir qu'il a sur elle. Même si un jour, il décide d'annuler les ordres qu'il a implantés en elle, il va profiter de sa chienne de sœur pendant un certain temps.

Catherine tout en faisant une fellation à son frère, réalise que cette bite était auparavant dans son cul, brisant ainsi les tabous les plus extrêmes. Elle réalise aussi que sa chatte s'humidifie.

Bruno, appréciant le travail de sa sœur, est curieux de savoir comment ça s'est terminé dans la chambre. Alors il éjacule dans la gorge de sa sœur et demande :

- Alors, qui a joui en premier?

- C'est moi salaud. Admet Catherine en savourant le sperme et la disparition de l'envie d'en vouloir.

- Alors tu lècheras une chatte demain à l'école. Plaisante Bruno en profitant de l'humiliation de sa sœur.

- S'il te plaît, ne me fais pas faire ça. Demande Catherine sous le poids de tous ces ordres.

En effet, elle a maintenant une envie presque incessante de sperme et de bite dans son cul. Elle doit aussi casser avec son petit ami et faire plaisir à un boutonneux à l'école. Et maintenant elle doit lécher une chatte.

- Est-ce que ça devrait être une enseignante? Demande Bruno.

- Non! Sois raisonnable, je vais me faire prendre.

- Alors arrête de poser des questions et moi j'arrêterai d'ajouter des ordres.

- Et qu'en est-il de Béatrice? Questionne Catherine en sachant que son amie peut aussi la commander.

- Je l'appellerai et je m'assurerai qu'elle ne te demande rien de plus. Et si elle le fait, je me chargerai d'elle.

Sincère, Catherine demande à son frère :

- Peux-tu retirer certains ordres? Je serai toujours ta salope de sœur et je ne peux nier que j'aime ta grosse bite.

Le tabou de l'inceste n'était plus gênant pour elle après ce qu'elle avait fait. Elle aimait être baisée par le membre de son frère.

Bruno hoche la tête en disant :

- Je suis en train de faire des manipulations chimiques mais il me faudra du temps pour perfectionner mon produit sans causer d'autres effets secondaires.

- Oh...

La jeune fille hoche la tête. Elle est optimiste en pensant qu'elle pourra peut-être récupérer le contrôle de son esprit et de son corps.

- Mais pour l'instant, tu continues à m'obéir. Déclare Bruno.

- D'accord mais contrôle Béatrice car elle peut être très méchante.

- Je te le promets.

Il acquiesce tout en se sentant légèrement coupable de ce qu'il fait à sa sœur. Mais la vengeance est vraiment impitoyable.

Ce soir-là il appelle Béatrice pour lui ordonner de laisser sa sœur tranquille. Il lui dit qu'elle serait récompensée si elle obéissait.

Bruno travaille tard sur sa drogue, essayant d'en faire un produit dont l'action serait seulement temporaire. En même temps, l'idée de baiser sa mère devient de plus en plus attrayante. Mais il ne peut se résoudre à l'obliger avec une drogue. Il faut que ce soit son idée à elle.

Vers minuit, Catherine entre dans sa chambre et se plaint :

- Sérieusement c'est ridicule. Je suis super fatiguée mais je ne fais que penser à baiser.

- Alors sois obéissante, perds ton attitude arrogante et je n'ajouterai plus d'ordres.

Puis il lui répète son message de plus tôt comme quoi il continue à travailler sur son produit pour l'améliorer. Il lui dit qu'il essaie de ne pas rendre l'effet permanent. En lui-même il n'est pas sûr que cela soit possible. Une fois le cerveau reconfiguré, il est presque impossible de revenir en arrière. Il pense qu'il ferait mieux de créer une nouvelle drogue, moins permanente.

- Dieu merci! Dit sa sœur pendant que l'envie de se faire baiser remplit ses pensées.

- As-tu envie de sperme? Demande Bruno

Elle avait envie de se faire sodomiser. Mais maintenant qu'il avait mentionné son sperme, elle en avait une folle envie. Alors elle dit en soupirant :

- Oui j'ai envie maintenant mais j'ai vraiment besoin que tu me sodomises.

- Si tu insistes!

Le garçon hausse les épaules, se déplace vers elle et la courbe en avant. Puis il relève la nuisette et pénètre brusquement son petit cul serré. En ayant créé l'idée mentale qu'elle aime la sodomie, il ne se soucie pas de créer une grosse douleur chez elle.

- Ahhhhhh! Gémit-elle, instantanément satisfaite quand il plonge sa bite dans son cul.

Tandis qu'il la pilonne, Bruno plaisante :

- Tu aimes bien être enculée n'est-ce pas?

- Parce que tu m'as rendu comme ça. Souligne-t-elle.

Mais elle ne peut nier que ça lui fait du bien. Elle prend du plaisir comme jamais dans sa vie.

- Ça me va bien, Béatrice n'a pas ce conditionnement. Déclare son frère.

- Je déteste cette salope. Dit Catherine.

Elle sait que Béatrice n'est son amie que pour pouvoir la supplanter auprès des autres.

- Alors sois une bonne chienne de sœur et je m'assurerai qu'elle en soit une aussi. Suggère Bruno en baisant son cul si serré.

- d'acccoooooordddd! Gémit-elle alors qu'elle a un orgasme.

L'idée que Béatrice soit autant contrôlée qu'elle est très agréable. Et si cela signifie qu'elle doit jouer avec son frère elle le fera. De toute façon elle ne peut résister à l'attrait de sa bite.

Bruno continue à la baiser pendant quelques minutes avant qu'il ne sente qu'il va bientôt éjaculer. Alors il se retire et ordonne à sa sœur :

- A genoux!

Catherine, affamée de sperme tombe immédiatement à genoux et ouvre grand la bouche. Elle se rend compte qu'elle va pouvoir assouvir ses deux fringales.

Son frère met sa bite dans sa bouche et commence à baiser son visage. Il se dit qu'il va bien aimer de faire la même chose à madame LEVIS.

Catherine lutte pour gérer la grosse bite de son frère. Il l'enfonce dans sa gorge, ses testicules rebondissant sur son menton. Après quelques secondes, Bruno grogne et dépose une grosse quantité de sperme dans la bouche de sa sœur, tout en jouissant de son pouvoir.

Catherine avale rapidement le jus de son frère. Maintenant elle aime ça mieux que le chocolat (dont elle ne pouvait se passer auparavant). Son corps est instantanément satisfait. Mais il est fatigué aussi.

Quand Bruno sort sa bite de sa bouche, elle se lève et va dans sa chambre sans dire une parole. Une minute plus tard, elle dort profondément.

Bruno continue à travailler, une autre idée dans la tête. Il veut vraiment baiser sa mère. Mais il ne veut pas la forcer ou qu'elle sache qu'elle est forcée. Alors il peut peut-être créer une drogue qui supprimerait dans son esprit le dégoût de l'inceste. Il n'est pas sûr de pouvoir y arriver mais il va essayer. Il n'est pas sûr de pouvoir résister encore longtemps à la tentation d'utiliser son produit actuel sur sa mère. Donc plus vite il trouvera une alternative, mieux ça sera.

...

Le lendemain matin, Catherine entre dans la chambre de son frère et le réveille. Puis elle demande une fois de plus :

- Peux-tu supprimer cette envie constante de sperme?

- Pas si tu continues avec cette attitude. Répond Bruno en baillant.

Il pense qu'il est peu probable qu'il le fasse. Surtout que ses recherches maintenant portent sur une drogue qui manipulera sa maman pour lui donner envie de le séduire. Après quelques recherches sur internet, il apparait que la plupart des fils veulent baiser leur mère et que le désir profond de ces mères est de faire l'amour avec leur progéniture. Il en a déduit que s'il trouve une drogue qui modifie sa morale catholique, elle pourrait être affaiblie au point de vouloir le séduire. Ça sera toujours mieux qu'un produit qui asservit à vie.

Catherine saisit la bite de son frère et l'avale goulument comme si sa vie en dépend. Elle est frustrée de ne pas pouvoir contrôler son envie de sperme. Elle cherche toujours une solution pour se sortir de cette condition. Heureusement elle est satisfaite assez vite. Après quelques minutes, le garçon se vide dans sa bouche. Une fois terminé, elle se lève et dit :

- Tu dois m'enlever ce conditionnement!

- Mais pourtant tu es mieux ainsi en chienne. Tu es beaucoup plus agréable qu'avant.

- Trou du cul!

Elle est toujours incapable de cacher son dégoût de son frère, même s'il a une belle et grosse bite.

- Tu la veux encore dans ton cul? Questionne Bruno avec un sourire.

- Tu es vraiment un bâtard. Soupire-t-elle.

- Je sais. Merci d'être ma décharge de sperme. Dit-il en se levant.

- Enculé, tu es vraiment un salopard. Crie-t-elle incapable de contrôler sa colère même si elle connait les conséquences.

- Aujourd'hui, sur le chemin de l'école, tu suceras un étranger. Ordonne Bruno.

Il continue à lui ajouter des contraintes. Il veut qu'elle comprenne qu'il y a une hiérarchie et qu'elle est au-dessous de lui.

Catherine se maudit intérieurement ; « pourquoi je n'arrête pas de le défier ». Immédiatement elle change de ton et se montre plus humble :

- S'il te plaît je suis désolé d'être une garce.

Bruno hausse les épaules :

- Je t'ai déjà donné l'ordre. Mais comme tu as reconnu ta faute, je ne te donnerai pas l'ordre de te faire enculer à l'école comme je le voulais.

- Merci!

Catherine hoche la tête, soulagée qu'elle soit dispensée de cette autre tâche.

- Mais n'oublie pas que tu dois demander à Éric de te suivre partout aujourd'hui. Rappelle Bruno à sa sœur.

- S'il te plaît non! C'est un suicide social. Déclare Catherine.

Même si elle l'a sucé hier, elle ne veut pas être vue en public avec lui.

- Oui mais tu risques d'avoir besoin d'une ou deux giclées de sperme ma petite sœur dépendante. Souligne Bruno.

- Merde Bruno, tu me pourris la vie. Reprend Catherine.

- Sois une bonne petite salope obéissante et peut-être que tu retrouveras ta vie d'antan.

Elle sort de la chambre, comprenant qu'elle ne peut le convaincre de cesser. Et elle ne veut pas qu'il ajoute d'autres ordres. Bruno sourit, sa drogue fonctionne bien.

...

Après avoir pris sa douche, il rejoint sa mère pour le petit déjeuner. Il la trouve excitante avec sa jupe courte et son collant noir.

Après avoir mangé, il décide de partir pour la maison de Mme LEVIS avec deux doses de son produit. Il espère que son tourmenteur, Pierre, sera là. Faire de cet intimidateur un pédé sera une expérience attrayante et une belle vengeance. Combien de fois l'a-t-il traité de « petit pédé »? Ce sera un juste retour de chose.

Il frappe à la porte et, une minute plus tard, elle est ouverte par Pierre qui semble sur le point de partir. Immédiatement, il pulvérise le produit sur son visage.

- Quoi? Que fais-tu? Interroge Pierre.

- Est-ce que ta mère est à la maison? Demande Bruno.

- Pourquoi veux-tu le savoir petite merde? Dit Pierre tout en se demandant ce que peut vouloir ce gringalet à sa mère.

- Frappe toi les couilles aussi fort que possible! Ordonne Bruno.

- Quoiiiiiiii??? Demande Pierre.

Tout répondant, il se donne un gros coup de poing dans l'entrejambe et s'écroule sur le sol.

- Est-ce que ta mère est à la maison? Demande encore Bruno.

- Va te faire enculer!

Bruno hausse les épaules :

- Je préfère baiser ta mère.

Tout en essayant de se relever, Pierre le menace :

- Je vais te tuer!

- Frappe toi encore trois fois dans les couilles, aussi fort que possible. Ordonne Bruno, appréciant l'humiliation infligée.

- Espèce d'enculééééé!

Pierre commence à se déplacer vers Bruno mais s'arrête pour se frapper l'entrejambe comme ordonné.

- Tu ne diras à personne que je t'ai pulvérisé le visage. Demande Bruno.

Pierre grogne tout en se tordant de douleur sur le sol. Il essaie de comprendre :

- Qu'est-ce qui m'arrive?

- Tu te rappelles quand tu me traitais de « petit pédé »?

- Oui. Répond Pierre grimaçant sous la douleur.

- Eh bien maintenant tu es Gay. Tu aimes les bites. Tu aimes les sucer et les prendre dans ton cul. Tu n'aimes que les hommes, les filles te dégoutent.

- Va te faire enculer! Dit Pierre en essayant de se lever.

- Et toi, va maintenant au foyer des jeunes travailleurs et offre à chaque mec de le sucer jusqu'à ce qu'un accepte. Ordonne Bruno.

- Oui. Dit Pierre maintenant debout en se tenant l'entrejambe.

- Ensuite tu iras à l'université pour trouver un gars qui te baisera.

Bruno veut faire payer ce salaud pour toutes les années où il l'a tourmenté. Mais, tout en se demandant ce que l'on peut ressentir avec une bite dans la bouche Pierre le menace encore :

- Je vais te tuer!

Alors Bruno ajoute :

- Et tu as faim de sperme.

Pierre est mortifié par ses pensées. Il a une soudaine envie de sucer une bite. Alors il demande :

- Comment fais-tu ça?

Bruno déclare avec satisfaction :

- Contrôle de l'esprit, pédé. Maintenant va chercher de la bite pendant que je baise ta mère.

- Je te tuerai pour ça. Crie Pierre en commençant à partir.

Alors que l'homme ne peut pas contrôler ses jambes et qu'il s'éloigne, Bruno ajoute :

- Et puis tu offriras à chacun de tes profs masculins de les sucer pour une petite pièce.

A ce moment, Mme LEVIS passe la porte en peignoir et demande :

- Pierre, ça va?

Bruno la salue :

- Bonjour Madame LEVIS.

- Où est Pierre, je l'ai entendu? demande-t-elle.

Cyniquement, Bruno répond :

- Il est en route pour un grand changement dans sa vie.

La femme regarde avec dédain ce maigrichon sur le pas de sa porte. Elle demande poliment :

- Que puis-je faire pour vous?

Ne répondant pas vraiment à la question, Bruno dit :

- Vous savez que votre fils m'a maltraité pendant de nombreuses années.

Un peu plus loin, les idées se bousculent dans la tête de Pierre. Il a une envie insatiable de bite et il est impuissant à résister aux ordres donnés. De plus ce maigrelet veut baiser sa mère. Dans sa voiture, il attrape son téléphone et compose le numéro de sa mère.

- Oui je sais. Je suis désolé. Répond-elle en pensant que le garçon devant elle est vraiment pathétique.

Soudain son téléphone sonne et elle entre dans sa maison. Bruno suppose qu'il s'agit de Pierre alors il la suit et pulvérise très vite son produit sur le visage de la femme. Puis tout en allant récupérer le téléphone qui sonne, il ordonne :

- Enlevez votre peignoir et mettez-vous à genoux!

- Comment oses-tu?

La femme mature est choquée par la grossièreté du garçon. Mais elle laisse tomber son peignoir sur le sol et elle se met à genoux. « Quoi? » pense-t-elle en réfléchissant qu'elle obéit aux ordres étranges de ce gringalet.

Pendant ce temps, Bruno a trouvé le téléphone et il répond à l'appel :

- Frappe toi encore les couilles et tu te présenteras à chacun de tes cours avec du sperme sur le visage.

- sale enculé! Crie Pierre avant de se frapper à nouveau.

- Chaque fois que tu m'insultes ou que tu me désobéis, je rajoute des ordres à ton subconscient. Tu es un pédé suceur de bite maintenant. Fais avec.

- je ne le ferai jamais! Crie Pierre.

- Alors maintenant, tu vas sucer trois hommes au foyer des jeunes travailleurs et tu te débrouilles pour avoir une décharge de sperme sur ton visage. Tu remercieras chacun d'eux. Tu es soumis et maintenant soit tu suces des bites, soit tu te fais enculer.

Bruno revient au salon et voit Mme LEVIS nue, à genoux. Il ajoute au téléphone :

- Au fait, ta mère a un joli corps.

Puis il raccroche, n'étant pas sûr de se rappeler tous les ordres qu'il a donné à son ennemi. Par contre il est sûr que son tourmenteur d'autrefois devrait sucer beaucoup de queues aujourd'hui.

- Qu'est-ce que tu m'as fait? Demande la femme agenouillée, couvrant ses seins et son sexe avec ses mains.

- On dit que la vengeance est un plat qui se mange froid. Je prévois ce moment depuis trois ans. Dit Bruno en s'approchant d'elle.

Soudainement la femme se sent très nerveuse devant le sourire du garçon. Elle demande :

- Prévoir quoi?

- Ma revanche sur votre pédé de fils. Mettez vos mains dans votre dos!

- Arrête ça! répond-elle en obéissant, ses joues brulantes de colère.

Bruno regarde la poitrine impressionnante de la mère de pierre et, ignorant ses protestations il dit :

- Est-ce que ce sont des vrais?

- Va baiser! Crache-t-elle en essayant de comprendre ce qu'il arrive.

- C'est prévu. Dit Bruno en montrant la bosse dans son pantalon.

La femme se détourne, dégouté par la suggestion du garçon et elle dit :

- Quand je serai morte!

Bruno secoue la tête. Elle est aussi stupide que son fils. Il ordonne :

- Pince tes mamelons.

- Espèce de petit enculé ; comment oses-tu? Commence-t-elle avant de se pincer les tétons et elle pense « mais pourquoi j'obéis? »

Bruno commente alors :

- Je pense que ces seins sont faux. Je crois que votre mari a payé pour que vous les fassiez refaire car vous deviez être plate comme une planche à repasser.

Effectivement, son mari a payé l'opération comme cadeau de mariage. Elle n'avait quasiment pas de poitrine alors que maintenant elle fait du 90 D. Elle redemande :

- Qu'est-ce que tu m'as fait?

- Je vous ai pulvérisée avec un produit chimique que j'ai créé. Il vous rend incapable de refuser tout ordre donné par quelqu'un.

- Ce n'est pas sérieux.

Elle ne le croit pas pourtant ça explique son incapacité à lui désobéir. Bruno lui ordonne :

- Allez dans la cuisine prendre votre rouleau à pâtisserie et revenez ici.

Soudain, elle sent la contrainte invisible qui l'oblige à rester à genoux disparaître. Elle se lève et veut se diriger vers le téléphone. Mais son corps tourne brusquement et l'emmène à la cuisine. Elle constate que son corps ne lui obéit plus. Elle se regarde, impuissante, saisir le rouleau et revenir devant le bâtard.

- baisez-vous avec le rouleau. Commande Bruno en sortant son téléphone.

- ça ne va pas non, espèce de bâtard. Commence-t-elle tout en introduisant la poignée du rouleau à pâtisserie dans sa chatte qui commence à s'humidifier.

- Maintenant baise toi réellement vieille salope!

- Tu es un bâtard. L'accuse-t-elle.

Puis elle s'aperçoit qu'il la filme. Alors elle demande :

- Ne me filme pas!

Mais Bruno, content de voir cette femme si fière incapable de désobéir ajoute :

- Doigte toi le cul aussi.

- Tu es malade. Arrête ça!

Mais elle ne peut s'empêcher de s'introduire un doigt dans son anus jamais utilisé. Elle tremble légèrement lorsque le doigt pénètre son trou du cul.

- Tu ne penses plus qu'à jouir. A chaque orgasme tu perds un point de QI jusqu'à ce que tu sois une bimbo affamée de sexe.

Bruno veut vraiment se venger de cette femme qui n'a jamais empêché son fils de le maltraiter.

- Non!

C'est tout ce que peut dire la mère de famille en sentant un orgasme venir. Se baiser debout n'est pas simple et elle enrage qu'il la filme. Mais son corps réagit aux ordres. Bruno ajoute :

- Plus vite salope! Enfonce bien ce rouleau dans ta chatte et mets ton doigt plus profond dans ton cul.

- Oh mon Dieu, arrête. Grogne-t-elle en obéissant et se baisant plus rapidement.

- Regarde mon objectif et dis-moi à quel point tu as besoin de jouir.

Elle le regarde et répond, sans enthousiasme :

- S'il te plaît, j'ai envie de jouir.

- C'est pathétique sale pute. Alors maintenant tu vas aimer obéir et ça va te faire encore plus mouiller. Tu veux me faire plaisir à tout prix. Tu es une salope qui veut que le monde entier sache que tu n'es qu'une sale pute.

Soudain la femme sent le désir irrésistible de plaire à ce gringalet. Alors que sa conscience est horrifiée par cette soumission forcée, elle demande :

- S'il te plaît, laisse-moi sucer ta bite. Et baise-moi comme la salope que je suis.

Dès qu'elle entend ces mots sortir de sa bouche, elle a un hoquet de terreur et elle supplie en disant le contraire de ce qu'elle vient de dire :

- S'il te plaît, ne me fais pas ça!

- Applique toi avec le rouleau à tapisserie. Ordonne Bruno sur un ton méchant.

Elle se maudit, incapable de désobéir, un orgasme en construction, indépendamment de sa volonté. Tout en se baisant furieusement avec l'ustensile de cuisine et en violant son propre cul elle balbutie :

- Oh merde, je vais jouir...

- Qu'est-ce que tu es? Demande Bruno en continuant à filmer et en enlevant sa ceinture.

- Une salope et une pute.

- Qui veut faire plaisir à son petit voisin? Demande-t-il en déboutonnant son jean.

En vérité, elle est dégoûtée mais les mots qui sortent de sa bouche le démentent :

- Oh oui, je veux être ton sac à foutre.

- Demande à sucer ma bite. Ordonne Bruno e sortant son membre.

Les yeux de la femme s'élargissent quand elle est surprise de voir un membre aussi impressionnant sur le corps d'un maigrichon. Il est vraiment plus long et plus gros que celui de son mari. Tout d'un coup elle a envie de l'avoir dans sa bouche alors elle supplie :

- Oh s'il te plaît, puis-je sucer ta bite?

- Est-elle plus grosse que celle de Monsieur LEVIS?

- Bien plus grosse. Admet-elle

Puis elle se couvre la bouche, honteuse de parler ainsi de son mari. Bruno caresse sa queue et dit :

- Vas-y! prends en soin!

Même si une partie d'elle-même s'y refuse, elle se déplace devant lui, pressée de pouvoir sucer cet engin. Elle ouvre la bouche en grand et enfourne la bite longue et épaisse. Elle est surprise comme elle l'oblige à ouvrir sa bouche bien plus largement que pour son mari.

- Voilà ma salope, prépare bien mon gourdin pour ton petit cul.

Bruno sait que ces mots vont faire enrager cette femme mature.

Mme LEVIS écarquille les yeux mais ne peut rien répondre, occupée à monter et descendre sa bouche sur la queue impressionnante du garçon.

- Eh oui, je vais t'enculer pendant que tu me supplieras de le faire. Poursuit Bruno en regardant les grands yeux de sa nouvelle conquête.

La femme accélère sa fellation. Elle ne veut pas être sodomisée. Si bien qu'elle est prête à avaler sa décharge de sperme pour l'éviter. Justement il demande :

- Veux-tu avaler mon sperme?

En pensant qu'elle va pouvoir le manipuler, elle le regarde et dit :

- Oui je veux que tu éjacules dans ma bouche.

- Je ne suis pas sûr, tu n'avais pas l'air de vouloir plus tôt. S'amuse-t-il.

- Excuse-moi, je ne savais pas qu'elle était si grosse. Ment-elle.

- La taille compte maintenant?

- Seuls les hommes avec des petites bites pensent le contraire.

- Comme ton mari?

- Oui.

Elle hoche la tête en caressant la tige raide. Bruno ordonne en reprenant son téléphone :

- Continue à sucer!

Elle se remet furieusement au travail, prenant les deux tires de la queue dans sa bouche. Elle espère le faire éjaculer rapidement pour éviter d'être sodomisée. Tout en filmant, le garçon sent que sa sève monte le long de son membre. Il a décidé d'arroser le visage de la mère de famille puis ensuite de prendre son cul. Il est amusé de voir comme elle s'applique à le faire jouir.

Elle n'a jamais sucé une aussi grosse bite si bien que sa mâchoire commence à lui faire mal. Pourtant elle est déterminée à le terminer avec sa bouche. Elle veut tout faire pour qu'il ne baise pas son cul bien qu'elle soit curieuse de savoir ce qu'elle ressentirait si elle l'avait dans sa chatte. En vérité, elle n'a pas joui depuis longtemps, la queue de son mari étant trop petite pour lui faire de l'effet.

Quand il sent qu'il va éjaculer, Bruno sort sa bite de la bouche de Mme LEVIS et commence à arroser sa face étonnée.

Elle est surprise quand le liquide chaud éclabousse son visage. Même dans sa jeunesse, elle n'a jamais autorisé quelqu'un à jouir sur son visage. Sur ses seins ou son ventre oui mais pas sur sa figure car elle n'est pas une salope.

Après que les deux premiers jets soient tombés sur son front, son nez et sa bouche, elle tourne son visage et le sperme tombe sur sa joue. Fière, elle dit :

- Sale bâtard, pourquoi oses-tu gicler sur ma figure?

Bruno se met à rire et rajoute un ordre :

- Maintenant tu aimes qu'on éjacule sur ton visage. Tu en as envie d'ailleurs.

Aussitôt, elle sent la colère disparaître et elle sent le désir d'être ainsi dégradée monter en elle. Elle crache :

- Va au diable!

- Sois juste un petit animal obéissant et je n'ajouterai pas d'ordres.

- Va te faire mettre! Réagit la femme sans vraiment réfléchir.

Alors Bruno ajoute et menace :

- Maintenant tu vas avoir envie que quelqu'un t'éjacule sur le visage tous les jours. Et si tu continues à ne pas obéir, je te demanderai de le faire en public.

Les yeux de la femme s'agrandissent quand elle comprend comment elle a empiré sa situation.

Le garçon glisse de nouveau sa queue dans la bouche de sa nouvelle soumise. Il lui permet de la sucer pendant quelques minutes avant de dire :

- A quatre pattes Mme LEVIS, il est temps que je vous encule.

Tout en se mettant en position, elle supplie :

- S'il te plaît, pas ça. Je ferai tout ce que tu voudras.

- Je le sais déjà. C'est le but de mon produit que de te faire faire ce que je veux.

Désespérée, elle cherche le moyen de se sortir de cette situation. Alors elle lui présente ses excuses :

- S'il te plaît, je suis désolé pour ce que mon fils a fait.

- Et ton rôle? demande le garçon en se plaçant derrière elle.

- J'aurai pu faire mieux. Admet-elle.

Elle pense que le lycée est une leçon de vie pour les jeunes et elle se rappelle qu'elle était amusée des choses que faisaient son fils à ce gringalet.

- Qu'as-tu fait de mal? Demande Bruno en mettant ses mains sur les hanches de la femme.

- J'aurais dû discipliner Pierre. Répond-elle inquiète de ce qui risque d'arriver.

- Alors demande moi de t'enculer pour te faire pardonner d'avoir mal éduqué ton fils.

Il veut casser sa volonté. Pourtant, à quatre pattes et incapable de s'éloigner, elle essaie de le raisonner et commence à dire :

- S'il te plaît Bruno, je suis vraiment désolé.

Mais comme si quelqu'un d'autre parlait pour elle, les prochains mots sont :

- Oh s'il te plaît Bruno, punis-moi avec ta grosse bite et encule moi.

- Tu la veux dans ton cul mais implore-moi. Je veux que tu sois une vraie salope et que tu arrives à me convaincre que tu as vraiment envie que je te sodomise.

Elle est en colère mais elle peut sentir une envie monter en elle. Et même s'il elle ne peut le croire elle s'entend dire :

- S'il te plaît, mets ta grosse bite dans mon cul vierge. Tu dois me sodomiser comme la salope que je suis. Fais de moi ton enculée de voisine, ta salope.

Bruno verse du lubrifiant qu'il a amené sur sa bite et sur le cul de la femme. Il se dit qu'il va être sympa et ne pas la baiser à sec, à moins qu'elle ne redevienne désagréable.

Un fois bien lubrifiée, il place sa queue à l'entrée du cul encore vierge et pousse. La mère de famille est plus serrée que sa sœur. Il apprécie le sanglot que pousse la femme lorsque sa bite disparaît à l'intérieur de son cul.

Bien que la brulure soit intense au début, elle peut sentir que son cul s'élargit. En même temps un plaisir étrange s'installe en elle. Son cerveau est complètement confus. Elle devrait ressentir de la colère et de l'humiliation. Pourtant, le plaisir contredit la douleur. Elle n'a jamais ressenti cela auparavant.

- Comment te sens-tu en pensant que tu as dans ton cul la queue de la victime de ton fils?

Bruno est content de sa vengeance. Il sourit intérieurement en pensant que Pierre doit surement être lui aussi sodomisé.

- C'est bon. Admet-elle.

Le plaisir qu'elle ressent actuellement est différent de tous ce qu'elle a pu ressentir dans ses ébats sexuels du passé. Peut-être que ça vient de sa bite ou alors de sa soumission forcée. Elle n'a pas l'habitude car habituellement c'est elle qui a le contrôle. Quoi qu'il en soit, elle est dans une euphorie sexuelles complète.

- Dois-je me retirer? Demande Bruno.

- Non, non, non, baise-moi plus fort. Réagit-elle rapidement, un orgasme commençant à pointer.

- C'est-à-dire?

Bruno profite de la soumission complète de la mère de famille.

- Mon cul bon sang, Baise mon cul. Plaide-t-elle, le plaisir l'envahissant et l'orgasme approchant.

Le garçon remarque que sa respiration devient de plus en plus courte sous ses coups de reins. En essayant d'être le plus vulgaire possible il demande :

- Est-ce que ma vieille salope veut que je déchire son cul?

Elle déteste ce langage grossier et elle déteste encore plus le plaisir qui en découle. Elle dit :

- Mon Dieu oui, je suis si près de l'orgasme. Enfonce bien ta queue dans mon cul.

- Allez jouis salope de bimbo!

- OHHHHHHHHH!

La femme crie dès qu'elle est autorisée à jouir, son corps obéissant aux ordres et se tordant de plaisir.

- Dis-moi ce que tu es! Ordonne Bruno.

- Une salope enculée. Déclare-t-elle en sentant encore les vagues de plaisir tandis qu'il continue à marteler son cul.

- Où veux-tu que j'éjacule chienne de bimbo? questionne-t-il en sentant qu'il ne pourra pas tenir encore longtemps.

Elle ne répond pas. Son orgasme s'éloigne mais pas le plaisir de la sodomie.

- Réponds, sac à foutre!

- Où vous voulez. Dit-elle, incapable de prendre une décision.

Il se retire de son cul et ordonne :

- Remets toi à genoux salope.

Elle se met rapidement dans la position demandée. Elle grimace quand elle se rend compte que soit il va éjaculer sur son visage, soit il va lui faire sucer sa bite qui sort de son cul.

- Suce salope!

Elle n'a pas le choix, elle ouvre la bouche et prend de nouveau la bite au fond de la gorge. Bruno gémit :

- Tu aimes ça, sucer la bite qui sort de ton cul.

Elle ne peut pas s'empêcher d'obéir. Elle ne peut que prendre du plaisir. Elle sait déjà qu'il va gicler sa semence sur son visage. Il aime humilier ses victimes jusqu'au bout.

Bruno saisit la tête de la mère de famille et enfonce sa bite tout au fond, ses couilles rebondissant sur le menton de la femme qui étouffe. Puis il sort sa queue et la pose sur son front en lui disant :

- Ne bouge pas.

Elle n'a pas d'autres choix que de laisser le sperme glisser le long de son front.

- Oh ouais, tu es si belle avec ce sperme sur la figure. Grogne Bruno en faisant en sorte que les prochains jets tombent sur ses yeux fermés, et dans sa bouche ouverte.

Puis, s'étant soulagé il dit :

- Regarde l'objectif et sourit.

- Non. Commence-t-elle avant de regarder et sourire.

Bruno fait quelques photos puis il commande :

- Vous ne parlez à personne de moi et de votre situation c'est clair?

- Oui.

Comme si elle a vraiment le choix. Après un moment de silence elle demande :

- Peux-tu m'enlever toutes ces folles suggestions?

- Malheureusement je peux en ajouter mais pas en enlever alors sois une bonne fille.

- Je dois chercher pour que quelqu'un m'éjacule sur le visage tous les jours?

- Oui. Acquiesce Bruno en se rhabillant.

- Je suis déshonorée. Dit-elle en colère.

- Vous vous êtes déshonorée en n'éduquant pas convenablement votre looser de fils durant toutes ces années.

- Ce n'est pas un looser. Clame-t-elle.

- En fait, maintenant il suce des bites et se fait sodomiser. Il apprend moins vite que toi. Dit Bruno en haussant les épaules.

- Tu l'as rendu gay? demande-t-elle abasourdie.

Bruno hoche la tête :

- à 100 %.

- Putain de malade. Dit-elle en se relevant et le giflant.

Bruno soupire :

-Bon ben maintenant tu vas chercher une chatte à lécher et tu ne reviens pas chez toi tant que tu n'as pas trouvé.

- S'il te plaît pas ça. Plaide-t-elle en regrettant son geste.

- Arrête d'être une stupide chienne alors.

- S'il te plaît, pas plus.

- Bien sûr. Va bouffer une chatte.

Elle soupire en comprenant qu'elle n'obtiendra rien. Bruno sourit et dit :

- Amuse toi bien.

Elle veut le traiter de tous les noms mais elle se retient. Elle le regarde partir et une idée surgit dans sa tête. Il a voulu humilier sa famille alors elle va faire de même.

Elle le regarde par la fenêtre s'éloigner et elle dit en souriant :

- Tu as voulu baiser ma famille, je vais baiser la tienne.

Son plan de vengeance dans la tête, elle s'habille rapidement, lave le sperme sur son visage et sort pour obéir à l'ordre d'aller manger une chatte. Il n'a pas dit où elle devait la trouver. Mais elle a son idée.

A suivre...

mardi 24 avril 2018

La Vengeance d'un intello - Chapitre 03

La Vengeance d'un intello - Chapitre 03 - récit érotique - inceste - domination - viol - soumission

Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur « Silkstockingslover »

Revanche sur les deux filles.

Résumé : Après avoir été licencié, Bruno, un jeune intello maigrichon a inventé un produit qui lui permet de prendre le contrôle de personnes. Cette drogue agit ainsi :

• La personne ne peut pas mentir.

• Le corps de la personne obéit aux ordres même si l'esprit conscient s'oppose à cette obéissance.

• La libido sexuelle de la personne augmente considérablement. (Bruno avait tenu à mettre en œuvre ce point afin de se venger de cette chienne de Sarah ainsi que d'autres qui l'avaient mal traité au cours des années passées).

• La personne se sent enfermée dans des vêtements et elle voudrait être nue.

• L'impact du médicament est permanent sur la personne infectée (la drogue d'origine n'avait d'effet que pendant une heure. Toutefois, il n'était pas encore certain. L'effet pourrait durer quelques heures, jours, semaines ou indéfiniment).

Bruno a testé avec efficacité son produit sur sa sœur. Il lui avait demandé d'amener sa meilleure amie pour continuer ses tests. Il a envoyé sa sœur à l'étage se sodomiser avec un concombre tandis qu'il s'occupe de sa copine.

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Soudain, le concombre se cassa en deux. Mortifiée, Catherine, une moitié de légume dans la main pouvait sentir l'autre moitié logée dans son trou du cul. Elle cria :

- Bruno, viens vite!

Alors que son orgasme la secouait encore, Béatrice demanda :

- Catherine est ici?

Il expliqua :

- Elle est à l'étage, punie pour sa désobéissance.

- Oh...

Ce fut la seule réaction qu'elle eut, se concentrant sur le plaisir qui la baignait. Bruno mit son téléphone en face d'elle et lui ordonna :

- Souris pour la photo.

Elle leva les yeux et vit l'appareil. Elle supplia :

- S'il te plaît, ne fais pas ça.

Elle ne voulait pas qu'il possède une preuve de son expérience humiliante mais satisfaisante.

- Fais ce que je te dis. Demanda-t-il.

Sachant qu'elle n'avait pas vraiment le choix, elle regarda le téléphone, le visage couvert de sperme, et elle sourit. Tandis qu'il prenait plusieurs photos il dit :

- Bonne fille.

Ces paroles condescendantes la gênèrent mais elle cacha sa colère et répondit :

- Merci.

- Pourquoi? Demanda Bruno, surpris par cette réponse.

Elle admit la vérité pour l'apaiser, comprenant que caresser son égo était surement la meilleure façon d'éviter d'autres tourments ou d'être transformée pour longtemps :

- Je n'ai jamais eu un orgasme aussi puissant.

- Je pourrais faire en sorte que tous tes orgasmes soient aussi puissants. Dit-il avant d'ajouter : Si tu continues à être une bonne fille.

- Je le serais. Dit-elle en jouant de sa voix séduisante et de son regard enjôleur.

- Viens Bruno. Cria Catherine énervée et agacée.

- Nous devrions aller voir cette chienne. Dit Bruno, impatient.

- Qu'est-ce que tu lui as fait? Demanda Béatrice curieuse.

- Beaucoup de choses. Elle ne comprend pas vite.

- Oui elle est têtue.

Même si Béatrice était la meilleure amie de Catherine, elle était toujours ennuyée que celle-ci se croit plus belle. Remarquant ce petit ressentiment de Béatrice par rapport à sa sœur, Bruno demanda :

- Veux-tu que je fasse de Catherine ta petite chienne personnelle?

- Sérieusement?

L'offre était attrayante. Béatrice regrettait d'être toujours deuxième derrière son amie. Bruno ajouta :

- Je peux la rendre incapable de te désobéir.

- Bruno.... VIENS. Cria encore une fois Catherine.

Celui-ci demanda à la jeune fille devant lui :

- Oui ou non?

- Oui!

Tout de suite, un plan se forma dans la tête de Béatrice. Si elle arrivait à mettre ce petit maigrichon dans sa poche, elle pourrait le convaincre d'utiliser sa drogue sur d'autres personnes qu'elle n'aimait pas.

- Cool, suis-moi. Dit Bruno.

Un instant plus tard le garçon entra dans la chambre de sa sœur et il éclata de rire :

- Tu as vraiment bien baisé ton cul.

- Vas te faire foutre. Répondit sa sœur, ses yeux jetant des éclairs.

A ce moment, Béatrice entra dans la chambre et eut un sursaut. Elle savait qu'il avait puni sa sœur mais elle fut surprise. Catherine vit le sperme sur le visage de sa meilleure amie :

- Oh non, tu m'avais dit que tu ne le ferais pas.

- Tais-toi pendant deux minutes. Lui ordonna son frère.

Elle essaya de parler mais ses lèvres ne voulurent pas bouger. « Merde » pensa-t-elle. Et elle maudit encore une fois son frère. Celui-ci lui donna un autre ordre :

- Tu ne feras jamais rien pour nuire à Béatrice et tu ne diras jamais à personne ce qui lui est arrivée.

- Bien sûr, je ne l'aurais jamais fait de toute façon. Répondit-elle

Bruno se tourna vers Béatrice et lui dit :

- Elle est à toi mais je veux voir une baise entre femmes.

- Tout ce que tu veux.

Elle répondit en souriant et elle se dirigea vers le lit où elle dit à son amie :

- A partir de maintenant c'est moi qui te contrôle.

Catherine voulut protester, discuter ou supplier. Mais impuissante, elle regarda sa soi-disante meilleure amie monter sur le lit, chevaucher son visage et ordonner :

- Lèche ma chatte.

La jeune fille ne pouvait faire autre chose qu'obéir même si sa honte et sa colère redoublaient de force. Elle commença à lécher quand elle sentit des mains sur ses hanches.

- Tu vas baiser ta sœur? Demanda Béatrice, choquée et excitée par cet acte tabou.

- Elle aime bien la queue de son grand frère. Répondit Bruno.

- C'est la chose la plus excitante que je n'ai jamais vu. Dit Béatrice en regardant.

Elle se demanda encore si elle pourrait manipuler le garçon pour obtenir quelques filles comme animaux domestiques, y compris sa mère trop sévère.

- Te regarder chevaucher ma sœur est très excitant aussi. Rétorqua Bruno en commençant à baiser sa sœur.

Catherine léchait la chatte de sa meilleure amie tout en étant simultanément fourrée par son frère. Elle était mortifiée mais cela l'excitait également... et la frustrait encore plus. Avec le concombre logé dans son cul, c'était une sensation complétement nouvelle qui ajoutait à sa frustration.

- Suce mon clitoris salope. Ordonna Béatrice tandis qu'un orgasme montait lentement en elle à la vue de cet inceste.

Catherine obéit immédiatement, prenant le clito enflé entre ses lèvres.

- Oh oui ma petite salope suceuse à plein temps, fais jouri ta maitresse. Demanda Béatrice.

Bruno sourit quand il entendit l'expression « maitresse » et il ajouta :

- Catherine, Béatrice est ta maitresse à partir de maintenant.

« Enculé » pensa sa sœur en silence. Elle se demanda si cette avalanche d'humiliation se terminerait. Son visage fut recouvert d'humidité. A sa grande surprise, le goût était agréable et elle se mit à lécher en les maudissant tous les deux. Puis Béatrice se releva et ordonna :

- Demande à ton frère de t'enculer salope.

- S'il te plait non! Ne fais pas ça Béatrice, tu es ma meilleure amie.

Mais Béatrice continua en secouant la tête :

- Mais maintenant j'ai un meilleur ami avec plus de talents. Et puis tu laisseras tomber ton petit copain Michel ce soir.

- Non, je suis désolé d'avoir été méchante dans le passé. Pleura Catherine, désespéré de ne pouvoir garder le contrôle de sa vie.

- Et tu demanderas à l'idiot que tu as sucé de te suivre partout où tu vas. Ajouta Bruno

- Nonnnnn... Pleura sa sœur, alors que le désir d'être baisée est plus fort que sa honte.

- Qui as-tu sucé salope? Demanda Béatrice, curieuse.

- Je ne connais pas son nom...

- A quoi ressemble-t-il? Interrogea Béatrice très intriguée.

- Il est dans notre classe d'anglaiiiiiiissss. Répondit Catherine tandis qu'un orgasme la parcourait.

- Eric au premier rang? Demanda Béatrice en souriant à cette possibilité.

- Oui c'est lui.

Catherine hocha la tête, honteuse et pourtant incapable de faire quelque chose pour changer sa situation.

- Marrant. Dit Béatrice.

- Tu es censée être ma meilleure amie. Dit Catherine, furieuse d'être trahie.

Béatrice lui répondit durement :

- Je n'ai jamais été ton amie. Mais tu étais au sommet de la hiérarchie chez les filles alors j'ai voulu ton amitié. Maintenant la hiérarchie est sur le point de changer.

- Sale pute! Lança Catherine, se sentant complétement trahie.

- Demande à ton frère de t'enculer. Ordonna Béatrice.

- Mais il y a toujours le concombre. Répondit Catherine, soudainement bien contente de l'avoir cassé dans son cul.

- Peux-tu le sortir Bruno? Demanda Béatrice avec un grand sourire charmeur.

- Je pense que oui.

Bruno hocha la tête. L'idée de baiser le cul de sa sœur était formidable. Il saisit le concombre. Sa sœur supplia :

- Bruno, s'il te plait, ne fais pas ça...

Béatrice l'interrompit en disant :

- Tu as besoin d'une bite dans ton cul.

- Non. Pleura Catherine en se cachant le visage.

Bruno mit en garde la copine de sa sœur :

- Attention à tes ordres Béatrice. Ils risquent d'être permanents et ça pourrait être dangereux.

Béatrice reformula :

- Tu as besoin de la bite de ton frère dans ton cul maintenant.

- C'est mieux. Dit Bruno en hochant la tête.

Mais il n'était pas sûr que le cerveau embrouillé de sa sœur oublierait le premier ordre .Puis il tira le concombre cassé du cul de sa sœur.

- Maintenant supplie salope. Ordonna Béatrice.

En donnant cet ordre, elle se pencha et claqua le clitoris de Catherine. Elle aimait ce pouvoir mais elle regrettait d'avoir été vaporisée elle aussi.

N'ayant pas d'autre choix, Catherine supplia faiblement :

- S'il te plaît, encule moi grand frère.

Mais Béatrice répliqua :

- Tu peux faire mieux que ça. Supplie-le comme si tu ne voulais rien d'autre dans ta vie que ça. Et soit vulgaire.

Catherine regarda son ancienne amie, déterminée à trouver un moyen de lui faire payer. Mais elle obéit, obligée par la drogue :

- S'il te plait mon frère, Enfile ta grosse bite dans le trou vierge de ta sœur. Remplis-moi profondément afin que je sache ce que c'est d'être une enculée de salope comme Béatrice.

Celle-ci en colère dit :

- Tu vas non seulement laisser tomber ton petit ami Michel mais tu diras aussi que c'est parce qu'il est un petit pédé avec une petite bite.

Puis elle demanda à Bruno :

- Peux-tu lui administrer ta drogue aussi?

Bruno hocha la tête :

- La drogue agit sur les deux sexes.

- Tu peux donc le transformer en pédé. Interrogea Béatrice.

- Non Non. Dit Catherine.

- Trop tard stupide salope. Pour chaque acte de défi il y aura une dure conséquence. Dit Béatrice.

Bruno hocha encore la tête :

- Je peux lui donner l'envie de sucer des bites ou alors de se faire sodomiser.

- Oh que ce serait bien que ce mec devienne accro à la bite. Dit Béatrice, sa chatte devenant humide.

Bruno, beaucoup amusé, décida qu'il était temps qu'il prenne la virginité anale de sa sœur. Il posa son gland sur le petit trou qui s'était resserré et il poussa.

- Enculééééé! Hurla Catherine tandis que son cul fut rempli à nouveau.

- Vas-tu être un petit chiot bien obéissant? Demanda Béatrice en lui parlant comme à un animal.

- Oui.

Catherine hocha la tête, les dents serrées tandis que la queue de son frère remplissait son cul plus profondément que le concombre

- Oui qui? Demanda Béatrice.

Catherine eut un moment de réflexion pour deviner ce que son ex-meilleure amie voulait entendre. Et la sodomie brulait son derrière. Mais elle trouva et dit :

- Oui maîtresse!

- La bite dans ton cul te donne du plaisir Catherine. Dit Bruno, ajoutant ainsi un ordre subliminal dans la tête de sa sœur.

Instantanément, elle sentit la douleur disparaitre et un léger plaisir commencer à poindre. Béatrice dit :

- Je ne peux pas croire que tu sodomises ta sœur.

Bruno savait que Béatrice essayait de contrôler la situation. Il décida de montrer son autorité et de lui faire comprendre qui commandait :

- Béatrice, penche-toi et montre-moi ton cul.

Le visage de la fille se décomposa :

- S'il te plaît, pas moi.

Bruno sourit :

- J'ai compris ton manège Béatrice.

- Pardon? Répondit-elle en essayant de le charmer.

- Tu essaies de me manipuler en me faisant du charme. Mais comprends bien que tu es aussi ma salope. Tu me désobéis et je fais de ta vie un enfer.

- Bébé? Dit-elle tout en faisant son maximum pour l'attendrir.

Bruno sortit du cul de sa sœur et ordonna :

- A quatre pattes toutes les deux. Montrez-moi vos culs.

Catherine profita du répit et, heureuse du changement subi de la situation de Béatrice, obéit immédiatement. Son amie, se rendant compte qu'elle était en mauvaise posture, essaya une fois de plus de l'attendrir en proposant quelque chose qu'elle avait fait plusieurs fois mais sans l'apprécier.

- S'il vous plaît Maître, rien que mon cul.

Bruno soupira, même s'il apprécia ce terme de « Maître ». Il rétorqua :

- Ce n'est pas une négociation. Tu fais ce que je veux où je t'envoie offrir ton cul en porte à porte à Pierre, Paul et Jacques.

Pensant à ce qu'il avait déjà fait à Catherine, elle n'osa pas essayer de répondre. Alors elle se mit dans la position voulue à côté de son amie.

Bruno retourna derrière sa sœur et glissa sa queue dans son cul. Dans cette position, il pouvait vraiment la baiser comme il le voulait, lentement ou rapidement.

Catherine gémit quand elle le sentit remplir son cul à nouveau, le plaisir revenant immédiatement, un plaisir différent de se faire baiser la chatte, mais tout aussi agréable. Bruno demanda :

- Béatrice? As-tu déjà été enculée?

- Oui Maître. Répondit-elle en essayant de le manipuler avec une voix soumise et sexy.

- Beaucoup?

- Que voulez-vous dire par beaucoup? Dit-elle en souriant avec séduction.

- Plus de cinq fois?

- Alors oui, beaucoup. Acquiesça-t-elle.

Elle savait qu'elle avait été sodomisée de nombreuses fois car son petit ami préférait ce trou aux deux autres pour éjaculer. Catherine ne put s'empêcher de se moquer :

- Et tu dis que c'est moi la salope.

- Toi, tu prends la bite de ton frère dans ton cul. Rétorqua Béatrice.

- Pas par choix. Réfuta Catherine.

- Mesdemoiselles, vous êtes toutes les deux des salopes et cela n'a rien à voir avec ce que je peux vous faire. Clarifia Bruno.

Il sortit du cul de sa sœur. Béatrice le vit se déplacer vers elle et sentit ses mains sur ses hanches. Elle grimaça. Bruno ordonna :

- Supplie Béatrice. Prouve-moi que tu es une vraie salope.

Les yeux de la jeune fille s'agrandirent et elle répondit immédiatement, désespérée de ne pouvoir garder sa fierté :

- S'il vous plaît Maître, mettez votre grosse bite dans mon cul. Utilisez-moi comme une salope, un sac à foutre.

Elle cria le dernier mot tandis qu'il poussait sa bite dans son cul. Bien qu'elle ait été déjà baisée par ce trou, la bite de Bruno était plus longue et plus épaisse que celles qu'elle avait connues. Si bien qu'elle eut une sensation de brulure intense.

Catherine aurait voulu dire quelque chose mais elle savait qu'elle n'avait aucun pouvoir sur Béatrice alors que son amie pouvait la contrôler. Donc elle se tut.

Bruno aimait pouvoir sodomiser, il adorait ça. C'était un homme qui avait tout pouvoir sur cette chienne. C'était sa vengeance pour toutes les années où on l'avait ridiculisé, où ces jolies filles l'avaient ignoré.

Béatrice serra l'oreiller avec ses mains, essayant de faire face à la douleur qui ne faisait qu'augmenter. Bruno envisagea de lui donner l'ordre d'y prendre du plaisir mais il voulut lui donner une leçon. Elle n'essaiera plus de l'embobiner.

Catherine sourit, joyeuse de voir que son amie souffrait. Ca la vengeait de l'humiliation qu'elle lui avait fait subir ainsi que de celles qui allaient survenir : abandonner son petit ami Michel et sortir avec l'idiot dont elle avait déjà oublié le nom.

Pendant ce temps, Béatrice gémissait, la douleur s'amplifiant encore.

- Supplie-moi de te baiser plus fort. Ordonna Bruno.

Elle n'avait pas le choix et pria pour qu'il en finisse au plus vite. Elle dit :

- Tapez dans mon cul Maître. Remplissez mon derrière avec votre gros engin.

Bruno continua à pilonner son cul pendant quelques minutes avant de retourner à sa sœur. Celle-ci gémit, la bite dans son cul lui donnant du plaisir :

- Oh oui frérot, encule-moi, c'est si bon.

Béatrice lança un regard furieux à Catherine. Alors que son amie avait reçu l'ordre de prendre du plaisir, son cul à elle la brulait.

Pendant les minutes qui suivirent, Bruno fit des aller-retours entre les deux filles et leurs culs serrés. Il sourit en pensant qu'il n'aurait jamais deviné auparavant qu'il aurait un jour deux jeunes filles qui lui offriraient cette aubaine.

Finalement, Béatrice commença à aimer cette sodomie même si la douleur restait. Catherine, elle, était proche de l'orgasme à chaque fois qu'il la baisait cependant il sortait toujours juste avant qu'elle puisse jouir.

Finalement Bruno sentit qu'il allait éjaculer. Mais il n'arrivait pas à se décider dans quel cul. Enfin, réalisant que le cul de sa sœur serait toujours disponible il exigea :

- Béatrice? implore moi de remplir ton cul avec mon sperme.

Béatrice, reconnaissante que cette sodomie humiliante soit presque terminée supplia tout en lançant un grand sourire à son amie :

- S'il vous plaît Maître, remplissez mon trou du cul avec votre sperme.... Et demandez à votre sœur qu'elle vienne le récupérer avec sa langue.

Catherine lui lança un regard furieux tandis que son frère dit :

- Très bonne idée.

Quelques secondes plus tard, il jouit pour la troisième fois dans l'heure.

- Oh oui, c'est bon. Dit Béatrice d'un ton qui sonnait faux.

Après s'être retiré, Bruno ordonna :

- Catherine, tu commences surement à avoir envie d'avaler du sperme. Alors vas récupérer le sperme de ton Maître dans le cul de ta Maîtresse.

Catherine était furieuse mais elle obéit parce qu'elle n'avait pas le choix et que, malheureusement, il avait raison : elle commençait à avoir faim de sperme.

Bruno la regarda lécher le trou béant de son ex-meilleure amie et eut une autre idée :

- Maintenant faites un 69 les salopes.

Les deux obéirent sans rien dire et se léchèrent leurs chattes, approchant ensemble de l'orgasme.

Bruno les filma puis après un moment il dit :

- Celle qui arrive à faire jouir l'autre en premier n'aura pas à trouver quelqu'un à sucer à l'école demain.

Béatrice, voulant être la première, lécha plus vite et doigta son ancienne amie. Catherine, malade d'être humiliée mais voulant gagner commença elle aussi à lécher plus vite et sucer le clitoris de Béatrice.

Les deux jeunes filles étaient décidées à gagner. Bruno filma toute cette scène presque irréelle. Mais soudain, il entendit la porte d'entrée se refermer et quelqu'un monter les escaliers tandis que Béatrice gémissait. Il se rendit rapidement dans sa chambre, ouvrit la fenêtre pour se faufiler et sourit quand il entendit sa mère dire une minute plus tard :

- OH MON DIEU!!!!

A suivre...

dimanche 22 avril 2018

La Vengeance d'un intello - Chapitre 02

La Vengeance d'un intello - Chapitre 02 - récit érotique - inceste - domination - viol - soumission

Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur « Silkstockingslover »

Revanche sur l'amie de sa sœur.

Résumé : Après avoir été licencié, Bruno, un jeune intello maigrichon a inventé un produit qui lui permet de prendre le contrôle de personnes. Cette drogue agit ainsi :

• La personne ne peut pas mentir.

• Le corps de la personne obéit aux ordres même si l'esprit conscient s'oppose à cette obéissance.

• La libido sexuelle de la personne augmente considérablement. (Bruno avait tenu à mettre en œuvre ce point afin de se venger de cette chienne de Sarah ainsi que d'autres qui l'avaient mal traité au cours des années passées).

• La personne se sent enfermée dans des vêtements et elle voudrait être nue.

• L'impact du médicament est permanent sur la personne infectée (la drogue d'origine n'avait d'effet que pendant une heure. Toutefois, il n'était pas encore certain. L'effet pourrait durer quelques heures, jours, semaines ou indéfiniment).

Bruno a testé avec efficacité son produit sur sa sœur. Il lui avait demandé d'amener sa meilleure amie pour continuer ses tests.

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Toute la journée, Bruno fut dans un état permanent d'excitation. Son produit avait fonctionné exactement comme prévu, sans effets secondaire inattendus. Ceci dit, il n'avait aucun moyen de savoir si sa sœur Catherine avait eu des problèmes à l'université. Il l'avait rendue dépendante du sexe et se demandait comme cela s'inscrivait dans son psychisme.

Bruno était également excité à l'idée de pouvoir prendre le pouvoir sur Béatrice, la meilleure amie de sa sœur. En effet, il avait ordonné à celle-ci de l'amener à la maison après les cours.

Bien qu'il n'ait pas créé de produit neutralisant sa drogue et qu'il n'ait pas l'intention de le faire pour le moment, il avait quand même créé un vaccin immunitaire. Il s'était injecté ce vaccin au cas où sa drogue tomberait entre d'autres mains. Ce vaccin empêchait la drogue de se rendre au système nerveux.

Il prépara la caméra vidéo. Mais quand sa sœur Catherine revint de l'université, elle était seule. Elle rentra dans la maison et cria :

- Bruno? Qu'est-ce que tu m'as fait?

Il fut surpris de la réaction de colère mais supposa que sa drogue fonctionnait encore. Il se leva du canapé et répondit avec assurance :

- Je crois que je t'ai déjà expliqué.

- Merde. J'ai tellement envie de me faire baiser. Salaud!

Tout en disant cela, elle se rapprocha de son frère en le fixant, puis elle se laissa tomber à genoux et sortit sa queue. Elle saisit le sexe à demi dressé dans sa bouche te commença à le sucer comme si sa vie en dépendait. Bruno comprit que l'ordre d'avoir envie d'avaler du sperme était surement la cause.

Bruno fut surpris de la vigueur que sa sœur mit à lui faire une fellation. Il comprit, qu'à l'avenir, il devrait faire plus attention avec les ordres qu'il donnerait. Il se demanda depuis combien de temps exactement durait son envie de sperme. Alors qu'elle s'activait sur son sexe, il se posa une question : Pouvait-il modifier des suggestions antérieures ou devrait-elle rester affamée de sperme pour toujours. Pour obtenir sa vengeance envers son ancienne patronne Sarah LODDE, ça ne le dérangeait pas que sa drogue ait un impact éternel mais pour sa sœur... Il n'était plus si sur... Bien qu'une salope avide de sperme eût des avantages.

Après quelques minutes de fellation et gorge profonde, Bruno éjacula dans la gorge de sa sœur afin de satisfaire son besoin de sperme.

Une fois terminé, elle se leva, la colère dans les yeux et dit :

- C'est la quatrième décharge que j'avale aujourd'hui.

- Vraiment? Demanda Bruno, curieux.

Elle cria :

- Vraiment! Tu m'as rendu accro au sperme. Après une heure, je ne pense plus qu'à ça.

- Ton copain Michel doit être heureux.

Bruno plaisanta et profita du moment. Il se vengeait de tous les moments où elle l'avait traité comme une merde. Mais il pensa qu'il devrait peut-être rectifier cette dépendance.

Prête à se jeter sur lui pour le tuer, sa sœur continua :

- Michel n'était pas là après le déjeuner alors j'ai dû sucer un idiot. Je ne peux pas le nommer car il;m'a promis de ne le dire à personne.

Son frère haussa les épaules :

- Eh bien, cet idiot est surement meilleur que ton petit copain Michel.

- Guérit moi salaud! Rugit-elle.

- Où est Béatrice? demanda-t-il, ignorant sa requête.

- Elle sera là dans une demi-heure, elle a été retenue. Mais maintenant guéris moi avant qu'elle n'arrive.

- Pour être honnête avec toi je ne sais pas si je peux le faire. Admit-il, curieux de la puissance de sa drogue.

Elle répondit, toujours furieuse :

- Eh bien essaie Salaud!

- Fais le canard!

Il lui donna l'ordre, voulant lui rappeler qui commandait.

- Qu'est-ce que... Coin, Coin Coin. Commença-t-elle en bougeant ses bras.

Bruno rit :

- Tu peux arrêter.

Elle stoppa son imitation du canard, et, sa colère s'affaiblissant légèrement, elle supplia :

- S'il te plaît Bruno, je ne peux pas rester comme ça plus longtemps.

Il répondit :

- Deviens une gentille sœur et demande le moi sans colère et fierté et je tenterai de t'enlever l'envie de sperme.

- Tu ne peux pas tout enlever?

En haussant les épaules il dit :

- Je ne pense pas. Je crois que tu obéiras toujours à ce que je te demande. Mais comme tu es un cobaye, va savoir...

- Je ne peux pas croire que tu m'aies fait cela. Dit-elle, toujours en colère mais sans crier.

- Tu te l'es fait toi-même. Si tu n'avais jamais été aussi méchante avec moi, je ne l'aurais pas testé sur toi.

- Peu importe. Répliqua-t-elle, n'arrivant toujours pas à être agréable.

- Va prendre un concombre au frigo et baise-toi avec!

Il lui donna cet ordre afin qu'elle continue à se conduire en pute jusqu'à ce qu'elle accepte sa position et qu'elle devienne plus agréable.

- Bruno s'il te plait, arrête ça.

Elle protesta tout en se dirigeant vers la cuisine.

- Je ne suis pas une pouffe. Je te demande de me donner l'ordre de ne pas faire ça.

Bruno se demanda si elle n'apprendrait jamais alors il ajouta :

- Ok! Doigte-toi le cul pendant que tu baises ta chatte avec le concombre.

- Espèce de batard! jura-t-elle de la cuisine.

Il entendit qu'elle ouvrait le réfrigérateur puis elle cria :

- S'il te plait ne me fais pas faire ça. Je suis ta sœur. C'est une idée tordue.... Oh merde, que c'est froid.....

Bruno se rendit à la cuisine et vit sa sœur, à côté du réfrigérateur toujours ouvert, s'enfoncer un concombre dans sa chatte tout en essayant de mettre un doigt dans son cul. La scène était si hilarante qu'il sortit son téléphone et dit avant de commencer à filmer :

- Dis au concombre comment tu l'aimes.

Catherine regarda son frère et elle obéit :

- Oh oui concombre, je t'aime tellement. Tu me remplis si bien la chatte.

- Ton nouvel ami est-il plus gros que la bite à Michel?

- Tellement plus gros! Gémit-elle en se branlant avec le légume.

- Alors? Qui commande?

- Toi maudit!

Elle l'admit, frustrée et approchant de l'orgasme.

- Veux-tu jouir? Demanda Bruno tout en connaissant la réponse.

Mortifiée par son incapacité à résister au plaisir qu'elle se donnait elle cria :

- OUIIIIIIIIIII SALAUD.

Bruno répliqua :

- Chaque mot insultant te rend de plus en plus excitée. Mais tu ne pourras jouir que lorsque je t'appellerai « petite pouffe de sœur »

- OK. Gémit-elle, proche d'atteindre l'orgasme.

- Allez, jouis petite salope de sœur, petite pute, sale chienne.

Bruno était amusé de voir sa sœur se tordre et gémir sous l'excitation de ces mots sans qu'elle puisse jouir.

Tandis qu'elle avait un doigt complétement dans le cul et qu'elle se branlait furieusement avec le concombre, elle le supplia :

- S'il te plaît, appelle-moi ta « petite pouffe de sœur ».

- Tu veux être ma pouffe?

- Oui ton esclave de petite pouffe de sœur. Répéta-t-elle comme si elle espérait que ses mots lui permettent d'atteindre l'orgasme.

- Ma petite pouffe cochonne? Taquina-t-il en ne disant pas la phrase complète.

Catherine gémit. Sa respiration devint erratique, son désir de jouir supplantant tout le reste.

- Rappelle-toi seulement qui commande « petite pouffe de sœur ».

Bruno céda, remarquant que sa sœur n'était plus capable de rien.

- AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHH.

Catherine hurla tandis que l'orgasme si longtemps retenu éclata en elle.

Bruno filma toute la scène, jouissant de regarder la soumission humiliante de sa sœur et réfléchissant à son objectif réel : l'humiliation de son ancienne patronne pour se venger. Cette petite dose de drogue avait fait devenir sa sœur une salope obéissante tout en gardant sa forte personnalité et sa fierté. Il aimait ça. Il aimait l'idée que Sarah sache et comprenne exactement ce qui lui arriverait, qu'elle le haïsse tout en ne pouvant s'empêcher de lui obéir.

Soudain, il fut ramené à la réalité quand la sonnette de la porte retentit. Il ordonna à sa sœur :

- Tu peux ranger ton nouveau pendant que je vais ouvrir.

Au début, il ne voulait pas vaporiser son produit sur Béatrice. Il voulait seulement demander à sa sœur de coucher avec elle. Il n'avait jamais vu de lesbiennes faire l'amour.

Mais maintenant, il décida de tester sa drogue sur une autre personne pour voir si les résultats seraient les mêmes.

Sa sœur Catherine dit en retirant le concombre de sa chatte!

- Non je vais aller lui ouvrir.

Mécontent, Bruno ordonna :

- D'abord salope, tu nettoies le concombre de ton jus puis tu le remets dans le frigo et ensuite tu vas m'attendre dans ta chambre.

Elle le maudit, frustrée de ne pouvoir lui désobéir :

- Merde, ne la droguez pas elle aussi.

Puis, elle commença à lécher le concombre afin de récupérer le jus de sa chatte. Bruno réfléchit et dit :

- En fin de compte, emmène le concombre dans ta chambre et continue à te baiser avec. Tu ne comprends toujours pas le concept d'obéissance.

- Espèce de salaud, je trouverai le moyen de me sortir de cette situation. Dit Catherine alors qu'elle commençait à marcher vers sa chambre.

Son frère secoua la tête à cette remarque qu'il trouva marrante et il ajouta :

- Sodomise-toi avec le concombre.

- S'il te plaît non! Supplia-t-elle en disparaissant à l'étage.

La sonnette retentit une deuxième fois. Bruno s'approcha de la porte et l'ouvrit. Il sourit en voyant Béatrice toujours dans son costume d'étudiante avec sa jupe si mignonne. Maigrichon, il avait toujours été ignoré par ces étudiantes si populaires. Ses fantasmes étaient d'en faire ses salopes... Ce qu'il était sur le point de faire maintenant.

Béatrice le regarda comme d'habitude avec un air de dédain et elle demanda :

- Est-ce que ta sœur est à la maison?

- Oui, entre. Acquiesça Bruno.

Elle entra et passa à côté de lui. Il en profita pour lui pulvériser son produit directement sur le visage. Elle sursauta :

- Qu'est-ce que c'était?

Il répondit nonchalamment :

- Un spray de contrôle mental.

- Un quoi?

Elle avait entendu les mots mais elle n'avait pas vraiment compris. Ignorant sa question, en souriant, le garçon dit :

- Tu es une vraie salope n'est-ce pas?

Elle fut surprise par ces paroles. Généralement le frère de sa copine était insignifiant et il bavait sur elle comme un chiot malade d'amour. Elle lui répondit :

- Et toi un puceau qui vit toujours chez sa mère.

- Donne-moi ta culotte. Ordonna-t-il.

- Pardon? demanda-t-elle, étourdie par l'ordre du garçon.

- Ce n'était que 4 mots. Sont-ils incompréhensibles? Lui demanda-t-il tout en la regardant soulever sa jupe et descendre sa culotte

- Que se passe-t-il? Dit-elle.

Elle sentit qu'elle devait se conformer à sa demande ridicule. Elle finit d'enlever son sous-vêtement et elle lui tendit. Bruno demanda :

- Aimes-tu sucer une bite?

- Pas vraiment. Répondit-elle.

Elle le faisait car son petit ami lui demandait et généralement il l'obtenait. Réalisant qu'elle avait répondu à la question et en essayant de cacher son dégout pour le frère de son amie, elle ajouta :

- Mais tu ne sauras jamais ce que c'est.

- A genoux Salope! Ordonna-t-il, haïssant son attitude prétentieuse de « Je suis mieux que toi ».

- Même pas dans un million d'années. Se moqua-t-elle tout en tombant à genoux. Puis elle s'interrogea quand elle s'aperçut qu'elle avait obéi :

- Pourquoi...?

- Spray...Contrôle... Esprit...Répondit Bruno lentement à dessein pour se moquer d'elle.

Béatrice essaya de se lever mais son corps ne bougea pas de sa position de soumission. Elle dit :

- Tu n'es pas sérieux?

- Tu obéiras à n'importe quel ordre donné par une personne pour le reste de ta vie. Expliqua-t-il.

- Va te faire foutre! Cracha-t-elle tout en étant effrayée.

- Bientôt. Acquiesça-t-il avec un clin d'œil.

- Jamais. Répondit-elle tout en se rendant compte qu'elle était dans une mauvaise situation.

Bruno sortit son sexe de son pantalon et dit :

- Fais-moi la meilleure fellation que tu n'aies jamais faite.

Elle pensa : « Oh merde, ce maigrelet a une énorme bite ». De toute façon il n'était pas question qu'elle suce le sexe du frère de sa meilleure amie. Pourtant elle sentit son corps se pencher en avant et prendre entre ses lèvres la grosse queue. Alors qu'elle commençait à le sucer, Bruno gémit :

- Bonne salope

« Pourquoi ne puis-je cesser de lui obéir » réfléchit-elle en se balançant d'avant en arrière, la colère bouillant en elle « Combien de temps cette drogue va-t-elle durer.? »

Bruno rajouta un ordre temporaire à son conditionnement. Il savait que le choix des mots était crucial :

- A chaque fois que tu enfonces ma bite dans ta bouche, tu te sens plus excitée.

« C'est ridicule » pensa-t-elle en continuant de sucer lentement son sexe. Pourtant après quelques va-et-vient, elle sentit que sa chatte devenait humide. Elle réalisa alors que la drogue était puissante.

Il continua :

- Soit une bonne et obéissante salope et je ne te donnerai pas d'instructions à vie comme j'ai fait avec Catherine.

Les yeux de Béatrice s'écarquillèrent pour deux raisons. Premièrement, le terme « à vie » la terrifia. Ne plus avoir le contrôle de son corps et peut-être même de son esprit était terrifiant. Deuxièmement, qu'avait-il fait à Catherine?

Même si son cerveau considérait que sa situation n'était pas facile, son corps devenait de plus en plus excité. Subitement, elle pensa « cette bite serait bien en moi ». Tout aussi vite, elle se reprocha de penser à une chose aussi dégoutante. En retirant sa queue de sa bouche, Bruno demanda :

- Tu avales?

- Parfois! Répondit-elle, obligée de le faire.

Mais avant qu'il ne puisse dire autre chose, elle le supplia :

- S'il te plaît, ne me fais pas ça.

Ignorant ses supplications, il lui demanda encore :

- Est-ce que tu laisses ton petit ami éjaculer sur ton visage?

- Non. Dit-elle en secouant la tête, trouvant l'idée dégoûtante.

- Mais tu me laisseras couvrir ta figure de mon sperme?

Elle fit une pause dans sa fellation Elle comprit qu'il pouvait l'obliger à accepter. Elle savait aussi qu'il ne bluffait pas quand il parlait d'ordre à vie. Alors même si ça la dégoutait cette idée de la part d'un mec aussi banal, elle répondit :

- Oui, tu peux couvrir mon visage de ta semence.

- Tu comprends beaucoup plus vite que ma pouffe de sœur. Acquiesça Bruno d'un ton approbateur.

Elle était curieuse de savoir ce qu'il lui avait fait. Mais elle savait aussi que la meilleure façon de sortir de cette situation était de lui donner ce qu'il voulait. Et elle était efficace pour ça. Alors, satisfaite de son raisonnement, elle se pencha en avant et le suça sur un rythme beaucoup plus rapide. Il grogna :

- Apparemment ma nouvelle salope veut jouir.

Ce n'était pas vraiment le plan, mais tandis qu'elle le suçait, elle pouvait sentir son propre orgasme arriver. D'habitude, il lui fallait une éternité pour jouir. Elle avait eu un seul orgasme avec un homme : lorsque l'entraineur de foot l'avait baisée derrière les vestiaires. Ses autres orgasmes venaient de ses doigts. Pourtant, tandis qu'elle suçait Bruno, un plaisir l'envahissait, un plaisir plus intense que ce qu'elle avait connu avec un homme ou en solo.

- Tu jouiras à la minute où ton joli visage sera enduit de sperme. Annonça Bruno.

Ses gémissements augmentèrent tandis qu'elle prenait l'entièreté de son sexe dans sa bouche. « Merde, j'ai tellement envie de de jouir » pensa-t-elle en doublant d'effort pour faire éjaculer l'homme. Subitement l'idée que sa face soit recouverte de sperme n'était plus dégoûtante mais excitante.

- Ce sera l'orgasme le plus intense que tu n'as jamais eu. Ajouta-t-il.

- Ohhhhhhh, je vais jouir. Gémit-elle, ne se souciant plus de la bite dans sa bouche mais seulement de la jouissance que cela lui promettait.

Prêt à éjaculer, Bruno retira son membre de la bouche de la jeune fille, et, immédiatement il déchargea son sperme sur son visage.

Béatrice ferma la bouche quand le premier jet de foutre, étonnamment chaud, frappa sa figure. Instantanément, l'orgasme qui bouillait en elle, éclata comme un ouragan. Elle cria :

- AAAAAAAAAAAAAAHHHHHHH OUUUUUUIIIIIIII!

Bruno sourit, son téléphone filmant la soumission de la jeune femme tandis que les jets suivants de sperme s'écrasaient sur le visage de sa proie.

L'orgasme fut aussi intense qu'il l'avait promis, la faisant trembler de tout son corps. Le foutre continuait à tomber sur sa face et dans sa bouche qu'elle avait ouverte pour crier.

A l'étage supérieur, Catherine entendit le cri de jouissance de sa meilleure amie. Elle s'effondra en comprenant qu'elle avait été, elle aussi, conditionnée. Son cul la brulait, l'énorme concombre élargissant anormalement son anus vierge.

A suivre...

vendredi 20 avril 2018

La Vengeance d'un intello - Chapitre 01

La Vengeance d'un intello - Chapitre 01 (récit érotique - inceste - domination)

Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur « Silkstockingslover »

La revanche sur sa salope de sœur.

« Je ne peux pas croire qu'ils m'aient viré » Pensa Bruno. Bien sûr, son prototype n'avait pas fonctionné comme prévu mais ce n'était pas de sa faute. Il était si proche du but.

Rageur, avec l'idée bien ancrée de se venger des humiliations subies, il passa les prochains mois sur un nouveau projet. Sa principale motivation fut de se venger de la présidente de l'entreprise, une salope nommée Sarah LODDE qui était personnellement responsable d'avoir mis fin au financement de son projet.

Elle était très belle. La rumeur racontait qu'elle avait couché pour arriver à la tête de l'entreprise. Mais elle avait ri de lui et l'avait blâmé de son échec après des recherches ayant duré trois ans.

A 25 ans, après avoir été rejeté toute sa vie, par de belles femmes mais laides à l'intérieur, il passa chaque seconde de son temps sur son nouveau médicament de contrôle mental. A l'origine, celui-ci aurait dû être utilisé pour des interrogatoires afin que les personnes disent la vérité. Mais aujourd'hui, Bruno avait d'autres buts à l'esprit.

Au cours des essais, son produit semblait fonctionner pendant un court laps de temps avant que la personne cobaye ne commence à se déshabiller et demande à être agressé sexuellement.

Bruno était ami avec les concierges de l'entreprise qui eux aussi étaient ignorés par tous les cadres. Cela lui permit d'avoir un accès illimité à tous les produits chimiques et les équipements de l'entreprise. Il put continuer à modifier son médicament avec un seul but en tête : la vengeance.

Six mois après son licenciement, la drogue fut prête. Elle avait été modifiée pour changer la fibre morale d'une personne. En réalité, elle modifiait la prise de décision de l'individu avec une manipulation psychologique :

•La personne ne pouvait pas mentir.

•Le corps de la personne obéissait aux ordres même si l'esprit conscient s'opposait à cette obéissance.

•La libido sexuelle de la personne augmentait considérablement. (Il avait tenu à mettre en œuvre ce point afin de se venger de cette chienne de Sarah ainsi que d'autres qui l'avaient mal traité au cours des années passées).

•La personne se sentait enfermée dans des vêtements et elle voulait être nue.

•L'impact du médicament était permanent sur la personne infectée (la drogue d'origine n'avait d'effet que pendant une heure. Toutefois, il n'était pas encore certain. L'effet pourrait durer quelques heures, jours, semaines ou indéfiniment).

Aujourd'hui, Bruno, ayant tout perdu, se retrouvait à vivre dans la maison de sa mère et de sa sœur Catherine. Celle-ci n'avait pas manqué de le traiter de « looser » pathétique.

Alors qu'à sa naissance, Bruno avait obtenu l'intelligence, sa sœur elle avait obtenu la beauté. A 20 ans, elle était étudiante et faisait partie d'un groupe de danse féminin et se sentait supérieure à lui.

Bruno décida qu'il devait tester sa drogue avant d'approcher Sarah son ancienne patronne. Sa salope de sœur était le cobaye évident.

Cette nuit-là (presque le matin puisqu'il était sept heures, mais après avoir travaillé si longtemps, Bruno était désorienté) pendant que sa sœur dormait, il entra dans sa chambre et pulvérisa le produit sur son visage.

En la regardant dormir, il la trouva vraiment belle. Un pincement de culpabilité le frappa quand il réalisa les conséquences de son acte sur sa propre famille. Mais il était trop tard.

Sa mère, infirmière à l'hôpital, était déjà au travail. Il avait donc quelques heures pour tester sa drogue et, si ses théories étaient justes, reconditionner sa sœur.

Une minute après l'avoir aspergé, Catherine toussa, renifla l'odeur, s'assit dans le lit et hurla quand elle vit son frère la regarder fixement :

-Qu'est-ce que tu fais Bruno?

-Bonjour sœurette. Dit-il en souriant et regardant ses gros seins sous la nuisette violette.

-Sors d'ici gros pervers. Ordonna-t-elle arrogante.

-Je remplace le réveil. Dit-il un peu inquiet.

-Que veux-tu dire? Demanda-t-elle en le fixant d'un air peu éveillé.

-Je veux dire qu'il est temps que je te remette à ta place. Répondit-il avec impatience

-Vas te faire foutre, chômeur.

-Et toi tu es une belle salope.

Bruno recula légèrement et ajouta :

-Et je trouve que c'est à la fois physique et psychologique.

-Ohhhh mon frère si intelligent sait utiliser de grands mots.

Désireux de tester son invention, le sexe de Bruno commença à se raidir dans son pantalon. Il ordonna :

-Montre-moi tes seins sœurette!

Elle se moqua :

-Tu rêves. Je savais que tu étais puceau mais en plus tu es pathétique.

Son frère sourit car il savait qu'elle cracherait son venin comme le ferait son ancienne patronne quand il la droguerait. Mais pendant qu'elle parlait, elle leva inconsciemment sa nuisette. Regardant les gros seins fermes il dit :

-Ils sont aussi magnifiques que je le pensais.

Catherine baissa les yeux et hoqueta en se rendant compte qu'elle avait enlevé sa nuisette. Perplexe elle demanda :

-Que se passe-t-il?

-Malaxe tes gros nichons. Ordonna-t-il en jouissant du regard confus sur son visage.

-Sors de ma chambre!

Alors qu'elle prononçait ces mots de colère, ses mains obéirent à son frère et prirent ses seins.

-D'accord. Répondit Bruno.

Il comprit que le produit, fruit de ses longues années de travaux de recherche, fonctionnait exactement comme prévu. Il alla directement à la cuisine, attrapa un concombre et revint sans prévenir sa sœur. Les mains de celle-ci continuaient à lui malaxer les seins sans qu'elle puisse les stopper. En colère et contrariée de ne pouvoir faire arrêter ses mains elle demanda :

-Que m'as-tu fait?

En haussant les épaules il répondit :

-J'ai juste modifié ton petit cerveau et ce fut facile.

-Je vais te tuer! Le menaça-t-elle, le visage rouge de colère.

-Je ne crois pas. Tu vas juste te baiser avec ce concombre.

Il jeta le légume à côté d'elle sur le lit.

-Je ne le ferai pas. Affirma-t-elle tout en saisissant le concombre.

-Mais avant, pourquoi tu ne sucerais pas un petit peu ton nouvel ami.

Bruno sortit son téléphone pour la filmer.

-Qu'est-ce qui ne va pas avec.....

Elle commença sa question mais fut bientôt étouffé par le légume. Elle le suça lentement, les yeux exorbités et en colère.

Il la filma amusé. Puis après quelques minutes il dit :

-J'ai l'impression que tu as beaucoup d'expérience.

Elle le fusilla avec ses yeux. Mais il ordonna :

-Maintenant, baise toi avec ton nouveau jouet.

Sortant le concombre de sa bouche, Catherine continua à insulter son frère :

-Mon pauvre Bruno, tu me fais pitié. Tu ne peux pas avoir de copine alors tu te venges sur ta sœur.

-Tu as raison c'est de la vengeance mais pas pour la raison que tu penses.

-Pourquoi alors? Demanda-t-elle en baissant distraitement sa culotte.

-Tu as été toujours été une vraie salope avec moi alors je vais maintenant t'apprendre le vrai sens de ce mot.

-Une salope? interrogea-t-elle tout en glissant le concombre dans sa chatte.

-Bien sûr que tu es une salope. Vois comment obéir à ton frère t'excite.

-Vas baiser! Dit-elle en pistonnant sa chatte avec le concombre, désespérée de sentir du plaisir.

-Bientôt. Répondit-il.

-Tu vas me baiser?

Sans pouvoir se retenir, elle gémit, désolée de ne pouvoir se contrôler et mortifiée de se voir soumise à son intello maigrichon de frère.

-Quand tu me le demanderas. Répondit Bruno heureux de voir que sa drogue fonctionnait si bien.

-Quand l'enfer gèlera! cria-t-elle ne comprenant toujours pas sa situation.

Amusé de voir qu'elle n'avait pas encore pris la mesure de son contrôle sur son esprit il rit :

-Tu es vraiment une idiote. Je ne comprends pas que nous soyons frère et sœur.

Tout en continuant les va-et-vient dans sa chatte avec le concombre, elle rétorqua avec un air de défi :

-Je me pose cette question depuis longtemps.

-Tu es si adorable et si salope avec ton air arrogant.

-Je te ferai payer, bâtard!

-Vas plus vite et enfonce ton jouet plus profond. Demanda-t-il.

Elle le maudit :

-Enfoiré...

-Es-tu excitée? Questionna-t-il tout en connaissant la réponse.

Offusquée et sa respiration devenant plus lourde elle admit :

-Oui bon sang.

-Es-tu excité de te branler devant ton frère?

-Oui maudit. Comment m'as-tu fait ça?

-Simple chimie. Les cours que tu n'as pas suivis.

-Sale puceau! l'injuria-t-elle tout en remuant rapidement le concombre dans sa chatte.

-C'est toujours mieux qu'une chienne qui se branle avec des légumes.

-C'est toi qui m'oblige.

-Sur la vidéo, tu le fais toute seule. Dit-il avant de demander :

-Est-ce que tu aimes te pénétrer avec un concombre?

-Oui. Admit-elle.

-Est-il plus gros que la bite de ton petit ami musclé Michel?

-Oui. Admit-elle encore avant d'ajouter : Quand il saura ce que tu m'as fait, il va te massacrer.

-Bah, je vais surement en faire un suceur de bites.

Tout en disant ces mots, Bruno haussa les épaules. Et il trouva son idée très attrayante. Transformer un de ses tourmenteurs en soumis ne serait que justice.

-Il ne le fera jamais. Dit sa sœur.

-Comme toi qui ne s'enfonce pas un concombre dans le sexe....

-Merde... Dit-elle faiblement tandis qu'un orgasme commençait à se développer.

Bruno ajouta un autre ordre :

-Chaque coup de concombre au fond de ta chatte augmente ton plaisir.

-Oh ouiiiii. Gémit-elle, pas loin de l'orgasme.

-Mais tu ne peux pas jouir tant que je ne t'y autorise pas.

Sadique, il voulait que sa sœur le supplie. La respiration de celle-ci devint erratique sachant qu'elle ne pourrait briser cette règle donnée à son esprit.

Sachant qu'elle ne pouvait plus mentir, Bruno demanda :

-Qu'est-ce qui te donne le plus de plaisir : le concombre ou la bite de ton petit ami?

-Oh mon Dieu. Gémit-elle, son regard devenant désespéré.

-Lequel salope?

-Le concombre bon sang!

Elle cria la réponse, pompant furieusement le légume dans sa chatte, frustrée de ne pouvoir jouir.

-Veux-tu jouir?

-Ouuuuiiiiiiiiiii. Gémit-elle.

-Supplie salope de sœur. Ordonna-t-il heureux du pouvoir qu'il avait sur elle.

-Je ne suis pas une salope. Protesta-t-elle.

-Dit la fille qui se baise avec un concombre. Répondit-il.

Sa sœur supplia, la sueur coulant sur son visage :

-Laisse-moi jouiiiirrr.

-Et?

-S'il te plait, je veux jouir. Dit-elle faiblement.

-Tu peux faire mieux que ça.

Elle le maudit violemment. Mais après une brève pause, elle le supplia tout en continuant de pilonner sa chatte avec le concombre :

-S'il te plait grand frère, laisse ta salope de sœur jouir.

-A trois alors.

-S'il te plait, dépêcheeeee... Gémit-elle, sa respiration étant si irrégulière qu'elle pouvait s'évanouir.

-Un, deux, trois. Compta-t-il rapidement.

-OOOOUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIII......

Elle cria assez fort pour réveiller le quartier et elle s'effondra en arrière.

Son sexe dur comme du roc, Bruno mit son téléphone de côté, ravi que son produit fonctionne comme il l'avait prévu. Il enleva rapidement son jean et son caleçon pendant que sa sœur continuait à trembler de son orgasme. Puis, sa bite à quelques centimètres du visage de sa sœur, il demanda :

-Aimes-tu sucer des bites?

Catherine ouvrit les yeux et fixa le sexe énorme de son frère qui était presque deux fois plus important en longueur et en circonférence que celui de son petit ami.

-Oh mon Dieu Bruno!

-Oh mon Dieu quoi? Demanda-t-il tout en sachant déjà que toute fille ayant vu sa bite était choquée par la taille... surtout pour un intello puceau.

-Enlève ça! Dit-elle.

Pourtant, elle ne se détourna pas. Bruno répéta sa question :

-Aimes-tu sucer des bites?

-Oui j'adore. Répondit-elle honnêtement bien qu'elle n'ait jamais eu un engin si gros dans sa bouche.

-Veux-tu sucer le mien?

-Oh oui...

Elle répondit rapidement puis se couvrit la bouche consciente que les mots qui étaient sortis de sa bouche n'étaient pas les mêmes auxquels elle avait pensé.

-Pourquoi je ne peux pas dire ce que je pense?

-La drogue te fait dire la vérité. Répondit-il en haussant des épaules.

-Oh merde!!! je n'aime pas ça!!!!

-Est-ce que tu avales? demanda Bruno, continuant le questionnement de sa sœur.

-Parfois, mais je préfère avoir une bite en moi.

Puis elle maudit son frère de ne pouvoir mentir. Celui-ci continua, amusé quand il la regardait être déconcertée par ses réponses et incapable de quitter son sexe du regard.

-Et sur le visage?

-Beurk. Répondit-elle.

-Et que l'on éjacule sur tes gros seins?

-Michel aime bien.

Bruno caressa sa bite et demanda :

-Ma petite sœur, que veux-tu en ce moment?

-Avoir ce gros membre en moi!

Puis elle le regarda effrayée et ajouta :

-Merde, je ne peux vraiment pas mentir.

-Non, maintenant tu dis ce que tu veux vraiment.

-Pour toujours? demanda-t-elle préoccupée par l'avenir.

-Ah je ne sais pas. Répondit-il même s'il savait.

-Je ne peux donc plus mentir à personne. Demanda-t-elle pétrifiée.

-Et oui, tu devras toujours être gentille avec les gens.

-Arghhhhhh. Soupira-t-elle.

-Tu es mon esclave maintenant.

-Mais tu veux vraiment baiser ta sœur?

Elle posa la question tout en lui jetant un regard de dédain. Il lui répondit par une question :

-Tu ne veux pas que je te baise?

-Oui, non, la question est déroutante. Balbutia-t-elle, complétement dépassée.

-Désolé pour la négation, je vais simplifier. Veux-tu baiser ton grand frère?

-Mon Dieu oui.

Elle admit ce que sa chatte voulait même si son cerveau pensait que c'était dégoutant.

-Ma bite est-elle plus grosse que celle de tes copains?

-Elle est énorme. Acquiesça-t-elle.

-Alors vas-y, caresse le, je sais que tu en as envie.

Hypnotisée par la taille et la circonférence du membre, elle le saisit tout en disant :

-Il est si gros... et si dur.

-Il est tout pour toi ma petite sœur... salope.

Catherine prit la bite dans sa bouche. Elle remua sa langue autour du gros gland.

Bruno la regarda, fasciné de voir comment sa drogue avait affaibli les inhibitions de sa sœur. Il s'émerveilla de la voir sucer son sexe. Sa bouche était incroyable, produisant de la salive et lui donnant une incroyable sensation.

Elle sortit le membre de sa bouche pour demander :

-Est-ce que ça plait à mon frère?

-Très bien.

Il lui répondit, content de constater qu'elle l'avait demandé par elle-même. Il ajouta :

-Et toi?

-Elle est tellement grosse. Répéta-t-elle en le reprenant dans sa bouche.

Bruno sourit en la regardant ne pas pouvoir résister. Après une autre minute, il demanda :

-Est-ce que ma sœur veut se faire baiser?

Elle ouvrit grand les yeux et sortit la bite de son frère de sa bouche pour dire, sans lâcher le membre :

-Ce serait de l'inceste.

Bruno rit :

-Pourtant tu as eu ma bite dans ta bouche.

-Une fellation n'est pas vraiment baiser. Me rétorqua-t-elle.

Il savait qu'elle avait sucé beaucoup de garçons mais ne s'était faite baisée que par deux. En riant il dit :

-C'est ridicule. Et la sodomie c'est baiser?

-Tu es grossier. Protesta-t-elle

Il savait aussi qu'elle avait toujours refusé la sodomie. Il sourit.

Alors, en le voyant sourire et connaissant le pouvoir qu'il avait sur elle, elle supplia :

-S'il te plait, ne me donne pas envie d'être enculée.

Bruno haussa les épaules :

-Tant que tu es une bonne petite sœur esclave, je ne t'ajouterai pas cette envie.

La chatte de Catherine était complétement humide et demandait que l'on s'occupe d'elle. Alors, elle pensa qu'il ne bluffait pas et se mit à quatre pattes, s'offrant à son frère :

-Alors, qu'attends-tu mon grand frère? Fais de ton fantasme une réalité.

-Tu la veux dans ton cul? Taquina-t-il.

-Non mon frère. Remplit la chatte de ta sœur avec ton énorme bite

-Je ne sais pas... Continua-t-il à la taquiner tout en se plaçant derrière elle, amusé de la voir offrir son sexe sans qu'il l'ordonne.

-Baise ta salope de sœur.

Elle le supplia, priant qu'il prenne sa chatte plutôt qu'il la sodomise.

Tout en glissant son sexe en elle, il sourit et dit :

-Si tu insistes.

-AAAAAHHHHH. Cria-t-elle tandis que le membre la remplissait complétement contrairement à ce qu'elle avait déjà connu.

Se maintenant au fond d'elle et connaissant déjà la réponse Bruno demanda :

-Tu aimes.

-Mon Dieu oui.

Elle l'admit, voulant plus. Alors, sans s'en rendre compte, elle commença à faire coulisser son bassin sur la bite.

Son frère, regardant sa sœur devenir une vraie salope lui déclara :

-Merde. Tu es vraiment une salope impatiente.

-Tu es tellement gros.

Elle gémit tout en rebondissant sur la queue, comprenant le plaisir d'être baisée. Elle suçait pour rendre son petit ami heureux. Elle baisait pour rendre son petit ami heureux et être bien. Mais là, elle était heureuse et connaissait un plaisir qu'elle n'avait jamais eu.

-Qui préfères tu baiser? Ton petit ami ou ton grand frère? Demanda-t-il, content de la voir apprécier.

-Toi mon frère.

-Et tu seras mon sac à foutre personnel maintenant? exigea-t-il plus qu'il ne demandât.

-Ouuuiiiiiiiiiii. Gémit-elle, sa respiration déjà erratique.

-Et tu me traiteras avec respect et parleras de moi en bien à tes copines?

-Ouiiiiiii, toutes mes amies aimeraient cette grosse bite. Répondit-elle inconsciemment.

-J'adorerais baiser Béatrice.

Béatrice était la meilleure amie de sa sœur.

-Ok. Dit-elle près de l'orgasme.

Il continua à regarder sa sœur rebondir sur sa queue, savourant le pouvoir qu'il avait sur elle à cause de la drogue et de sa grosse verge. Il s'amusait aussi du fait qu'elle ne pouvait jouir sans qu'il lui permette.

Réalisant cela, Catherine le supplia :

-S'il te plait, laisse-moi jouir....

-Mais je croyais que l'inceste n'était pas bien. Se moqua-t-il.

-Laisse-moi jouiiiiiir. Implora-t-elle.

-Vas-y salope. Ordonna-t-il en la regardant exploser aussitôt.

-OUIIIIIIII! AAAAAHHHHHHHH.

Elle hurla dès que le barrage mental s'effondra. L'orgasme le plus intense de sa jeune vie sexuelle éclata en elle.

Bruno se pencha en avant, continuant à la limer jusqu'à son envie d'éjaculer. Quand il comprit qu'il allait jouir lui aussi il se leva et ordonna à sa sœur :

-Mets-toi à genoux salope.

Catherine se redressa rapidement puis se laissa tomber à genoux devant lui. Il enfonça son sexe dans la bouche grande ouverte.

-A partir de maintenant tu adores le sperme.

Instantanément, elle eut besoin de son foutre. Elle avala avidement toute sa bite.

-Dis-moi ce que tu veux petite sœur esclave?

Elle sortit le membre de sa bouche et dit :

-Je veux ton sperme à l'intérieur de ma bouche.

-Demande-le!

Elle le supplia tout en se rendant compte de son humiliation à réclamer.

-S'il te plait grand frère, remplis ma bouche avec ton sperme.

-Ouvre grand!

Elle obéit et quelques secondes plus tard il éjacula dans sa gorge, même si le premier jet frappa son nez.

Dès que le jus de son frère tomba dans sa bouche, elle eut un sentiment de satisfaction, sa faim étant assouvie. Elle se pencha en avant et prit la bite dans sa bouche afin de récupérer chaque goutte de foutre.

-Bonne salope. Dit Bruno en profitant du nettoyage de sa queue.

Ensuite, rangeant son membre, il ajouta :

-Tu ne le diras à personne.

-A qui le dirais-je? Questionna-t-elle.

Une partie d'elle était dégoutée de se voir transformer en salope par son frère mais une autre partie avait envie de recommencer.

-Et puis tu m'amèneras Béatrice aussi.

Reprenant ses esprits, elle lui répondit avec inquiétude :

-Mais elle ne va jamais s'intéresser à toi.

-Je peux lui faire faire tout ce que je souhaite. Dit-il en haussant des épaules.

-S'il te plait, n'utilise pas ta drogue sur elle.

Elle le supplia, ne voulant pas voir tomber sa meilleure amie dans une soumission sexuelle de son intello maigrichon de frère.

Bruno dit fermement :

-Ecoute salope. C'est moi qui décide ici. Toi tu obéis.

-Mais...

-Vas sucer la poignée de la porte. Ordonna-t-il.

En soupirant elle se dirigea vers la porte et dit :

-Merde Bruno, j'essayai juste de....

Elle commença à lécher le bouton de la porte. Bruno continua à lui expliquer :

-Soit une salope obéissante et je ne t'humilierai pas. Mais si tu me désobéis, je te ferais enculer par tous les nazes de l'école. Est-ce clair?

-Oui.

Elle accepta, les larmes commençant à couler sur son visage réalisant la puissance du pouvoir qu'il avait.

-Bon, tu peux laisser cette poignée de porte tranquille.

Elle en fut reconnaissante. Bruno se dirigea vers la porte, la bite de nouveau raide, et demanda :

-Envie d'un peu plus de sperme?

Elle hocha la tête alors que des larmes coulaient encore sur sa figure :

-Oui.

-Je pense que je peux t'en donner encore une dose avant l'école.

Catherine se pencha en avant et reprit la grosse queue dans sa bouche en se demandant si elle ne sortirait jamais de cette situation difficile.

Bruno pensa qu'il testerait son produit sur d'autres personnes avant d'aller voir Sarah son ancienne patronne.

Sa sœur le suça pendant plus de vingt minutes, au point d'avoir la mâchoire endolorie, avant que Bruno dépose une autre grosse charge de son sperme au fond de sa gorge. Puis il se retira et dit :

-Je t'attends ici ce soir avec Béatrice après les cours. Est-ce clair?

-Oui. Répliqua-t-elle à contrecœur, se torturant le cerveau pour se sortir de ce guêpier.

-Et si tu ne l'amène pas, je te sodomise. Menaça-t-il avec l'idée de toute façon, de le faire un de ces jours

-D'accord, d'accord, je l'amènerai. Dit-elle toujours à genoux

-Très bien petite sœur salope. Dit-il en lui tapotant la tête.

Elle voulait s'enfuir, mais elle restait assise là, humiliée, en colère et légèrement excitée.

Bruno la laissa seule, formulant déjà un plan pour faire une vidéo de deux filles soumises.

Son licenciement par cette chienne de Sarah était peut-être la meilleure chose qu'il lui soit arrivé dans sa vie.

A suivre....