samedi 7 avril 2018

La pute de l'entreprise - Chapitre 2

Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur notsoliteral.

Rencontre avec le directeur général de l'entreprise

Après quelque heures à répondre au téléphone et exécuter quelque tâches administratives, Ingrid se tortillait sur sa chaise, constamment consciente du jouet dans son cul. Elle n'avait jamais porté de plug et se sentait très dilaté. Elle se dit que plus elle se détendrait mieux elle se sentirait bien.

Humiliée par ses propres pensées, ses mains ne cessaient de vouloir aller toucher son clito palpitant. Elle aurait voulu que ses doigts caressent son clitoris et les plis de sa chatte mouillée. Mais à chaque fois, elle était mortifiée de penser à elle, se caressant, un plug dans le cul. Même les objets ordinaires sur son bureau prenaient un sens nouveau alors qu'elle spéculait sur leur taille et leur forme.... Un tas de stylos réunis par un caoutchouc, une bouteille de rhum trouvé dans le fond de son bureau, même l'agrafeuse. Tous ces objets prenaient un sens phallique.

Alors qu'elle essayait une fois de plus de faire sortir toutes ces pensées de sa tête, Ingrid entendit des pas dans le couloir. Désespérée d'être trouvée par quelqu'un habillée de cette façon, elle chercha à se cacher ou se couvrir mais elle ne trouva pas. Elle décida qu'elle ne pouvait rien faire à part se tenir droite et afficher un faux sourire sur son visage, aussi faux que les seins siliconés dans son soutien-gorge.

Assise sur le plug, ses seins poussés vers le haut et hors de son chemisier, Ingrid se sentait ridicule.

Les pas se rapprochèrent et s'arrêtèrent lorsque l'arrivant la voit derrière son bureau.

- Eh bien! qu'avons-nous ici? Albert m'a parlé de sa nouvelle salope alors je suis venu me rendre compte. Levez-vous Salope!

En transe, Ingrid ne pouvait toujours pas croire qu'elle autorisait les hommes l'appeler « salope ». A ce moment, M. DUPONT est sorti de son bureau pour accueillir le visiteur.

- Auguste, je pensais bien vous voir aujourd'hui

Il cligna de l'œil puis se tourna vers Ingrid :

- Salope, voici M. FOUCHER, Directeur Général chez DMF. Vous devez le traiter avec plus de respect que pour moi.

En regardant en direction de M. FOUCHER, il continua :

- Elle est toute prête. A vous le premier tour!

Ingrid pâlit. Il semblait qu'elle allait enfin se faire baiser. Elle ne voulait pas. Mais sa chatte la brulait alors qu'elle faisait quelques pas en arrière sur ses talons pour s'éloigner du vieil homme en face d'elle. Cet homme était assez vieux pour être son père, 50 ans voir 60 ans. Son instinct la poussait à s'enfuir. La seule chose qui l'arrêtait était la pensée d'être à la rue sans salaire et moyen de payer son hôtel. Elle avait besoin de ce travail.

Monsieur FOUCHER desserra sa cravate et enleva sa veste de costume, la jetant sur le bureau. Il se dirigea vers la jeune femme brune. Il passa le dos de sa main le long de la joue puis encercla avec ses doigts le cou d'Ingrid, serrant peu à peu. Elle pouvait encore respirer mais elle devina la menace. Le vieil homme se pencha senti son odeur et lui dit à l'oreille :

- Je peux sentir le désespoir en vous mais je sens aussi le besoin de vous y habituer car vous êtes faites pour ça.

Ingrid ne savait pas si elle été désespérée de se faire baiser mais elle savait qu'elle en donnait l'air avec sa tenue de pute et ses gros seins. Elle avait honte.

La lâchant et se frottant la bosse qui se formait sur le devant de son pantalon de costume, M. FOUCHER commanda :

- Suivez-moi Sac à foutre! je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps.

Sur ce, il tourna les talons et parti, sans douter que la femme le suivrait, muette et résignée. Il le fallait, Ingrid le suivit dans un petit couloir puis dans une salle de conférence. Il se retourna, lui saisit le bras, enleva ses talons et la plia tête première sur la table de conférence.

- Ecartez les jambes Salope!

Elle obéit, les pieds bien à plat, écartant le plus possible ses jambes. Il tira sur la jupe, la remontant sur la taille de la fille. Observant pour la première fois le plug à l'intérieur de son cul il se réjouit :

- Ah voilà ce que j'aime voir! Un trou du cul de salope prêt pour ma bite!

Il commença à masser les fesses de la jeune fille et la sentit se détendre. Puis subitement il leva la main droite puis la laissa tomber rapidement et avec force sur la fesse droite d'Ingrid. Elle sursauta et gémit. Il recommença encore et encore. Le petit cul dodu se trémoussait à chaque claque, devenant de plus en plus rose. L'ex petit ami d'Ingrid lui avait donné la fessée en de rares occasions la faisant se sentir comme une écolière coquine. Elle rougit d'humiliation en s'imaginant sa position, penchée en avant, jupe relevée, un plug dans l'anus, recevant une fessée, cyprine coulant le long de sa jambe.

La fessée s'arrêta. M. FOUCHER la saisit par sa queue de cheval pour lui faire lever la tête. Il prit ses joues dans une main et força la mâchoire pour qu'elle ouvre la bouche :

- Laissez votre bouche ouverte Salope!Tous vos trous doivent être prêts à l'utilisation. Vous n'êtes bonne qu'à ça!

Sa main glissa en arrière le long de la joue, dans son cou, sur le dos du chemisier puis sur son cul jusqu'à atteindre le plug anal. Il tira doucement dessus faisant gémir la jeune femme. Après quelque va et vient dans son anus, il retira le plug, regardant le petit trou se fermer lentement. Cependant, il ne le laissa pas longtemps fermé car il enfonça de nouveau le plug d'un geste brusque. Ingrid cria et essaya de fuir en avant l'invasion du sex-toy, mais son tourmenteur l'arrêta avec son autre main enroulé autour de sa queue de cheval, tenant sa tête comme on tient un cheval :

- Oh vous allez encore plus souffrir trou à sperme! Attendez juste que ma grosse bite prenne la place de cet objet en plastique. Alors vous crierez pour de bon Chienne sans cervelle, trou à bite, sac à foutre!

Il insista en poussant encore plus le plug, puis il le sortit et le remonta vers le visage de la jeune fille. Ingrid eut un mouvement de recul alors que le jouet anal atteignait ses lèvres. Elle lutta pour échapper à l'emprise de l'homme. Elle ne voulait pas que cet objet sale pénètre dans sa bouche. Elle se débattit et essaya d'échapper à M. FOUCHER. Mais il la tenait solidement par les cheveux. Il savait qu'elle le voulait. Il suffisait qu'elle écoute son corps plutôt que son esprit. Tirant fort sur son cheveu, lui tournant le visage vers le plafond, il l'entraîna à reculons jusqu'à un fauteuil en cuir placé contre un mur où il la lâcha. Puis il la gifla violemment, plusieurs fois jusqu'à ce qu'elle se blottisse :

- Cela vous apprendra à vous laver le trou du cul tous les matins! Parce que je veux pouvoir baiser tous vos trous : la chatte, la bouche, le trou du cul! Dans l'ordre que je voudrais! C'est la raison de votre embauche Putain! Bien sûr, vous êtes libre de partir quand vous voulez..... Pour une journée et demie de travail, nous vous donnerons 50 euros et vous vous retrouverez à la rue. Et que ferez-vous avec ce corps de salope, ces énormes seins? Je pense que vous êtes bien ici, n'est-ce pas?

Le maquillage des yeux d'Ingrid coulaient sur son visage avec ses larmes. Elle arrêta de se débattre et le regarda, se rendant compte qu'il avait raison. Elle le laissa tripoter son visage avec ses doigts, étalant le maquillage. Elle baissa sa lèvre inférieure alors qu'il pointait son pouce vers sa bouche

- Ouvrez grand Salope!

Finalement elle obéit alors qu'il enfonça le plug lentement entre ses lèvres. Elle fut dégoûtée mais l'humiliation la fit encore plus mouiller. Elle commença à sucer l'objet.

M. FOUCHER monta à califourchon sur le fauteuil, les genoux de chaque côté du corps de la femme. Il lui enleva son chemisier puis son soutien-gorge, exposant ainsi son opulente poitrine. Il se mit à malaxer les seins d'une main alors que de l'autre, il déboutonna son pantalon, laissant apparaître sa grosse queue rigide. Alors qu'il caressait sa bite, elle put se rendre compte qu'il était de bonne taille, pas comme une star de porno mais beaucoup plus gros et long que celui de son ex-petit ami. Penché sur sa poitrine M. FOUCHER cracha à la base des seins. Puis il cracha à nouveau, la salive coulant entre ses seins. Puis in cracha une dernière fois dans sa main et continua à se masturber alors qu'il regardait le gros plug noir qui bâillonnait la bouche de la jeune fille.

- Serrez vos seins, Salope, je vais me faire branler par votre poitrine!

Elle se souvenait que son ex-petit ami avait l'habitude de faire la même chose alors elle obéit, sachant comment faire.

Le directeur général glissa sa queue entre les seins d'Ingrid et il commença des mouvements du bassin de haut en bas poussant ses obus comme s'il baisait un autre trou.

- Dites-moi que vous aimez ça putain!

Ingrid gémit. Elle venait juste de rencontrer cet homme, elle ne connaissait que son nom mais il se masturbait entre ses seins alors qu'elle suçait un plug anal qui avait été dans son cul pendant plusieurs heures. Elle ne pouvait pas parler avec cet objet. Elle gémit et grogna, se sentant de plus en plus excitée. M. FOUCHER ralentit ses mouvements et descendit du fauteuil.

- Maintenant que vous acceptez votre situation de Salope à gros seins, levez-vous et allez-vous pencher sur la table et écartez vos fesses avec vos mains.

Elle fit comme il lui avait ordonné et fut récompensée en sentant la tête du gland de l'homme se poser contre son trou du cul. De la bave coulait de sa bouche obstruée par le plug mais elle ne pouvait pas s'essuyer ses mains étant occupées à écarter ses fesses.

Monsieur FOUCHER entra quelques doigts dans sa chatte humide puis les retira pour frotter son anus.

- Rien de tel que votre mouille pour vous lubrifier. Je vais vous sodomiser et éjaculer dans votre cul de salope. Alors vous serez vraiment ma putain.

Puis il enfonça d'un cou sa queue au fond du cul de la fille, ses testicules venant taper contre les fesses. Et sans la laisser s'habituer à sa bite, il commença à la pistonner avec de coups violents.

- Tenez ma grosse bite espèce de sac à foutre! Voilà ce que vous méritez! et je sais que vous aimez ça que l'on bourre votre gros cul de salope.

Il continua à l'enculer, sans pitié, se délectant des cris étouffés de la jeune fille. Il sentait qu'elle se levait sur la pointe des pieds pour essayer de faire sortit la queue qui la violait. Mais il la maintenait. Et tout en continuant de la sodomiser, il tira sur ses cheveux, forçant la tête en arrière et la poitrine en avant. Maintenant un gémissement continu sortait de la bouche d'Ingrid avec un grognement à chaque fois qu'il s'enfonçait en elle. Il continua à la baiser jusqu'à ce que les gémissements deviennent plus désespérés et qu'elle commence à se pousser contre lui, se baissant afin d'obtenir plus de bite dans son cul.

Il ralentit son enculage puis enfonça le plus profondément possible sa bite dans le cul de la femme. Il se pencha sur la table et retira le plug de la bouche d'Ingrid en lui disant dit :

- Maintenant dites-moi ce que vous êtes et ce que vous voulez? n'aimez-vous pas être sodomisée?

Lorsque sa bouche fut libre, elle cria :

- Oui! oui! je suis votre salope, votre putain! utilisez-moi comme vous le voulez! je ne suis que bonne à baiser! s'il vous plaît, s'il vous plaît, enculez-moi encore! utilisez ce petit trou serré!

- C'est vrai que vous êtes un sac à sperme! mais vous avez oublié de m'appeler Monsieur, grosse chienne!

Et tout en recommençant de la pilonner il gifla son cul.

Elle cria et serra son trou du cul autour de la bite du Directeur.

- Monsieur! oui Monsieur, je suis votre sac à sperme! cria-t-elle

Encore une grosse claque sur sa fesse.

- Baisez-moi Monsieur!

Clac!

- Enculez-moi Monsieur!

Clac

- Violez-moi Monsieur!

- On ne viole pas quelqu'un qui ne souhaite que ça, stupide chienne!

Une autre grosse claque et il fora son cul avec son membre rigide. M. Foucher savait qu'il ne pourrait tenir encore longtemps avec les crispations du trou du cul du à la fessée. Il donna encore quelques coups puis déchargea au fond des entrailles de la femme!

- Prends mon sperme, sac à foutre!

Ingrid sentit le liquide chaud envahir le fond de son cul. Elle regretta qu'il finisse déjà. Elle avait senti un orgasme venir alors qu'il l'humiliait et l'insultait pendant ce viol anal. Puis elle pensa qu'elle s'était penchée sur la table et avait tenu son cul ouvert comme une invitation donc ça ne pouvait être un viol. Ses pensées tournaient dans sa tête alors qu'un sexe ramollissait dans son cul. Monsieur FOUCHER retira sa queue et mis à sa place le gros plug anal.

- Gardez ce jouet dans votre cul ainsi que mon sperme à l'intérieur de vous toute la journée! Qui sait, peut-être quelqu'un ajoutera quelque chose à cette collection de sperme que vous avez commencé, Salope

Puis il rangea sa bite, désormais flasque, dans son pantalon, remonta la fermeture éclair puis sortit de la pièce laissant la fille penchée sur la table.

Ingrid se redressa, sentant le plug fermer son cul avec le liquide à l'intérieur. Elle remit ses vêtements puis essaya d'arranger son maquillage comme elle le pouvait. Sur ses jambes tremblantes, elle retourna à son bureau et vit que quelqu'un lui avait mis un petit cadeau. Heureuse car il y avait longtemps qu'on ne lui avait fait de cadeau à part le « don » de ses seins par son ex-petit ami, elle déchira le papier. A l'intérieur se trouvait une plaque de bureau avec inscrit « PUTE DE L'ENTREPRISE ». Elle fut horrifiée. Puis, son cul plein de sperme, son esprit accepta et elle posa le plaque sur le devant de son bureau. S'asseyant et poussant le plug plus haut, elle se demanda qui allait la baiser la prochaine fois.

Vers le chapitre 3...


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