Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur Loansum
Personne ne doit essayer de tromper le gang.
Judith était dans l'expectative après que Jack l'eut laissée. Si elle se taisait et que Rodney découvre que Jack veuille avoir des relations sexuelles avec elle sans payer, ils seraient tous les deux dans le pétrin. Toutefois Judith ne voulait pas que son secret soit découvert. Sa famille se demandait encore comment et pourquoi elle avait disparu. A l'origine, ce n'était pas prémédité, mais quand ça arriva, ses fantasmes et désirs les plus profonds devinrent réalité. Elle aimait sa nouvelle vie. Elle aimait faire la pute pour Rodney et sa bande. Il lui en fallait toujours plus chaque jour.
Sa décision fut prise. Le lendemain, lorsqu'elle verrait Rodney elle lui parlerait de Jack. Elle avait peur que son secret éclate au grand jour mais elle avait peur de perdre ce nouveau mode de vie avec toutes ces grosses bites de noirs dont elle avait besoin. Ses besoins égoïstes l'emportèrent. Elle espéra que le chef de gang la garderait. Généralement, il venait en début d'après midi. Judith pria pour qu'il vienne demain.
Quand Rodney entra dans la suite, Judith était assis sur le canapé en train de lire un magazine. Immédiatement elle le déposa et attendit que l'homme lui parle. Elle était vêtue d'une robe de soie très courte qui couvrait à peine sa chatte. Elle était rose et attachée de façon assez lâche avec une ceinture en soie. Son seul autre vêtement était une paire de talons aiguille rose assortis.
En sa présence, elle ne parlait pas tant qu'il ne l'autorisait pas. Parfois elle n'avait d'ailleurs aucun intérêt à parler. Elle était sa propriété ainsi que celle du gang. Eux seuls décidaient comment ils allaient l'utiliser. Elle connaissait sa position et l'avait instinctivement acceptée comme si elle avait trouvé le vrai sens à sa vie.
- Alors, combien m'as-tu rapporté Salope? Lui demanda-t-il.
Elle baissa la tête en commençant à parler. Elle voulut lui montrer qu'elle lui appartenait à lui et à personne d'autre. Elle répondit d'une petite voix qui était à peine plus forte qu'un murmure :
- L'homme qui est venu hier soir m'a reconnu. Il fait partie de la communauté où je vivais. Il m'a dit qu'il ne le dirait à personne mais qu'à partir de maintenant il m'utiliserait gratuitement. Je devais vous le dire afin que vous décidiez comment gérer cette situation.
- Je vois. Donc cet homme essaie de me rouler n'est-ce pas? Eh bien, nous allons prendre soin de lui. Tu as bien fait de me le dire. Il ne faut jamais rien me cacher. Dit Rodney en souriant.
Judith sut qu'elle avait fait le bon choix. Le chef de gang tendit la main et la tira pour la mettre à genoux devant lui. Immédiatement, elle commença à défaire le pantalon de l'homme. Elle sortit sa grosse bite et l'enfourna dans sa bouche.
- Suce ma bonne pute. Fais-moi bander dur.
Il exigea qu'elle s'aide de la main. Judith pompa et suça la queue de plus en plus rapidement. Sa langue travailla sur le gland et le membre gonfla vite. Pour sa part, elle sentit qu'elle mouillait. Sa tête monta et descendit sur la hampe de chair jusqu'à ce qu'il la tire par les cheveux et lui ordonne de se pencher sur le bord du canapé.
Judith s'accrocha au tissu du canapé tandis que Rodney se positionna derrière elle et d'un coup brutal, força son énorme sexe profondément dans cette salope sexy. Ensuite il commença des va-et-vient violents. Judith sut qu'elle allait jouir bientôt. Elle en avait besoin. Rodney assura sa prise sur les cheveux de la femme tandis qu'il augmentait son martèlement.
- Oui baisez-moi... J'adore votre bite.... Baisez-moi durement. Gémit-elle.
Elle regarda les deux autres membres du gang qui avaient laissé tomber leur pantalon et qui se caressaient le sexe. Ils approchèrent tandis que Rodney continuait à la pilonner. Elle prit une bite dans sa main gauche, tandis que l'autre biker se plaçait en face de son visage. Elle posa ses lèvres autour de la queue et commença à agiter sa langue dessus.
Rodney posa ses grandes mains sur ses hanches et la tira en arrière sur sa bite pendant qu'elle suçait un motard et branlait l'autre. Même si Judith avait des rapports sexuels réguliers, tous les jours, avec des clients bien nantis, ce n'était pas comparable à la force brute et sauvage ainsi que la stimulation sexuelle que lui donnaient Rodney et les autres membres du gang. Elle leur appartenait et pouvait être prise à tout moment. Ceci, couplé avec son profond désir de soumission pour les grosses bites noires la rendait folle à chaque fois qu'ils l'utilisaient. Son sexe humide était violemment battu par le chef de gang mais c'est ce qu'elle avait besoin. Elle fut consciente que Rodney parlait aux autres hommes tandis qu'il la baisait :
- Vous vous rappelez de la jeune fille sexy que nous avons ramassé l'autre jour sur la route? Je laisse les autres commencer à la soumettre mais en fin de soirée je la baiserai.
L'entendre parler d'une autre femme tandis qu'il martelait sa chatte rendit Judith folle de désir. Elle voulut lui prouver qu'elle était la meilleure de toutes. Elle sut qu'elle allait jouir bientôt. C'était une preuve qu'elle était leur possession, leur esclave sexuelle. Elle cria, un sexe dans la bouche, quand Rodney l'amena à l'orgasme tout en continuant à la labourer. Son gémissement fit vibrer la bite dans sa bouche et soudainement sa gorge fut inondée par le sperme chaud qu'elle s'empressa d'avaler.
- Ahhhhh. Voilà salope, avale mon sperme, prends tout. Rugit le motard.
Judith continua à le sucer et nettoya sa queue avant qu'il ne se dégage d'elle. L'autre motard prit rapidement sa place et elle commença à le sucer avec application comme le précédent motard noir.
- Et si on la prenait en sandwich Rodney?
Le motard fit la suggestion tout en retirant sa bite de la bouche de la femme. Il la tira par les cheveux si bien que le sexe de Rodney sortit aussi de sa chatte. Le motard l'attrapa sous les cuisses et la souleva jusqu'à ce qu'il puisse laisser couler lentement sa chatte humide sur sa bite raidie.
- Oh mon Dieu oui... Gémit Judith alors qu'elle s'empala complètement sur lui.
Elle enroula ses bras autour du cou épais et musclé. Elle sentit Rodney passer derrière elle et présenter sa queue sur l'ouverture de son petit cul serré. Il commença à forcer. Le gland entra à l'intérieur et Judith cria de douleur et de plaisir mélangé en une sensation sexuelle incroyable. Prise en sandwich entre les deux hommes, elle rebondit sur les deux énormes bites qui l'amenèrent à un nouvel orgasme. Elle cria, gémit et supplia :
- Oh baisez moi encore plus fort. J'ai besoin de vos queues. Baisez-moi comme une salope s'il vous plaît.
Ils augmentèrent le rythme, faisant d'elle un jouet de baise pleurnicheur. Bientôt elle sentit Rodney se raidir. Elle sut qu'il n'était pas loin de décharger en elle. Cela lui provoqua un autre orgasme. Elle jouit avec une telle intensité que ses partenaires jouirent en même temps et lâchèrent leurs fluides à l'intérieur de ses entrailles. Puis ils se retirèrent et la laissèrent lentement glisser sur le sol. Toujours tremblante de son orgasme, Judith rampa vers Rodney et se mit à le sucer et à lui nettoyer sa bite jusqu'à ce qu'il la repousse. Alors elle alla vers l'autre motard pour le nettoyer aussi bien. Rodney avait déjà remis son pantalon lorsque l'autre noir la repoussa. Elle tomba sur le côté dans la moquette épaisse de la suite. Avant que les trois hommes quittent la suite, le chef de gang dit :
- je reviendrai demain matin et nous partirons ensemble à votre ville natale afin de rencontrer ce connard qui veut utiliser ma propriété gratuitement.
********
Alors qu'ils approchaient de la ville, Judith était effrayée. Elle avait peur d'être reconnu alors qu'elle était à cheval sur la grosse HARLEY derrière un membre de gang noir. Mais plus elle y pensait et moins elle était inquiète. D'abord, elle était habillée au couleur du gang avec une veste en jean ouverte sur un débardeur qui couvrait ses seins sans soutien-gorge et qui descendait juste au-dessus du nombril, laissant son ventre nu. Ses nouveaux seins étaient tellement gros qu'ils attireraient plus les regards que son visage. Sa jupe en jean était très courte et remontait sur ses jambes alors qu'elle était assise derrière Rodney ses bras enserrant sa taille. Sa tête était partiellement couverte par un foulard à motif qui cachait une grande partie de sa chevelure rousse. Des grosses lunettes noires aidaient à cacher son identité.
C'était le début de l'après-midi. Judith montra le chemin pour se rendre à la maison de jack. Elle indiqua aussi qu'il était trop tôt pour qu'il soit à la maison. Il était sûrement à l'église et dans son habitation il n'y aurait que sa femme. Rodney sourit et poursuivit sa route.
- Il a profité de mes biens alors maintenant je vais profiter des siens. Dit-il en riant et en descendant de la moto qu'il avait garé dans la ruelle adjacente à la maison de Jack.
Les autres membres du gang se rangèrent derrière une haie qui cachait la vue depuis la rue. Le grand noir se dirigea vers la porte arrière de la maison et frappa fortement. Une femme blonde arriva. Elle était jolie mais habillée modestement. Elle portait un pantalon bouffant ainsi qu'une chemise bleue en coton. Ses cheveux étaient tirés en arrière et attachés en queue de cheval qui lui tombait jusqu'au milieu du dos.
- Puis-je vous aider? Demanda Audrey.
Elle ne voyait qu'un grand homme noir qui s'encadrait totalement dans la porte. Elle était nerveuse et fixait cet homme. La plupart des gens frappaient à la porte de devant et non celle de derrière. Et il y avait peu de gens de cette couleur dans le quartier.
- Oui madame, votre mari Jack m'a envoyé pour contrôler une chose dans votre maison. Il est occupé à l'église et il a voulu que je le laisse pour venir regarder. Dit Rodney avec un sourire innocent sur son visage?
- Oh. Jack vous a envoyé. Alors entrez donc... : Dit Audrey soulagée en ouvrant complètement la porte.
Puis elle s'écarta quand le grand noir entra dans la maison par la porte de derrière donnant sur la cuisine. Il avança au milieu de la pièce près du comptoir et se tourna vers elle Audrey leva les yeux sur lui et demanda :
- De quoi Jack voulait que vous regardiez? Et désolé, je n'ai pas compris votre nom.
- Il voulait que je vienne prendre soin de vous Audrey. Il a dit que vous aviez besoin d'attention. Déclara Rodney doucement mais avec un grand sourire sur son visage.
- Je ne comprends pas ce que vous voulez dire Monsieur, quel que soit votre nom. Je n'ai rien besoin de vous. Dit-elle avec une voix qui commençait à paniquer.
Elle regarda le noir marcher vers la porte et fut soulagée en pensant qu'il partait. Mais arrivé à la porte, il l'ouvrit pour laisser passer d'autres hommes et une femme blanche aux cheveux roux habillée comme eux.
Audrey demanda à nouveau :
- S'il vous plaît, que voulez-vous?
- On m'a dit que vous ne satisfaisiez pas votre homme alors je me suis dit que j'allais vous donner quelques leçons. Comme ça, Jack n'aura pas besoin de venir baiser mes filles à TULSA. Dit doucement Rodney.
Il tendit la main et commença à déboutonner lentement la chemise de la blonde.
Audrey essaya de reculer pour s'échapper mais elle sentit son cul bloqué par le bord de la table de cuisine. Elle supplia :
- S'il vous plaît, ne faites pas ça!
Mais il ouvra le chemisier et le tira sur ses épaules. Ses seins étaient plus gros qu'on aurait pu l'imaginer sous les vêtements surdimensionnés.
- Défais ton soutien-gorge et montre-moi tes gros seins! Ordonna le chef de gang en élevant la voix et ne laissant aucune alternative à la femme apeurée.
Le soutien-gorge fut dégrafé et elle le laissa tomber au sol puis elle laissa pendre ses bras le long de son corps. Rodney commanda :
- Maintenant, enlève ton pantalon salope. Et vite!
Elle défit sa ceinture puis la fermeture éclair et laissa glisser le pantalon le long de ses jambes jusqu'à ses pieds. Elle se tenait, complètement pétrifiée, face à ce géant noir avec juste une petite culotte blanche en coton et une paire de chaussure avec des talons de 7 centimètres.
En tirant un couteau de sa poche, Rodney vit la peur totale dans les yeux de la femme. Il s'approcha d'elle pour saisir le tissu en coton, le couper de chaque côté et laisser la culotte tomber sur le plancher. À part ses talons, elle était totalement nue. Son mari Jack était le seul homme à l'avoir vu comme ça. Elle avait honte d'être forcée à afficher son corps. Elle se demanda comment Jack pouvait être impliqué avec ces hommes mais elle se souvint de la remarque du noir qui avait parlé d'une de ses filles. Cela n'avait pas de sens.
Rodney posa une main entre ses jambes et commença lentement à la caresser entre les lèvres de la chatte. Deux autres hommes s'étaient mis de chaque côté. Un se pencha en avant et commença à lui sucer le mamelon droit. L'autre pétrissait son autre sein. Audrey ferma les yeux pour éloigner cette scène de son esprit. Mais son corps sentait les caresses et le doigt qui s'insinuait dans son sexe exposé. Les seuls bruits dans la cuisine provenaient des hommes qui la tripotaient, prenant leur temps pour faire durcir ses mamelons et mouiller sa chatte. Rodney mit son doigt profondément dans son trou puis le retira doucement. Il frotta le clitoris pendant une seconde ou deux avant de la doigter à nouveau.
Audrey avait une vie sexuelle simple et inassouvie. Quand il voulait lui faire l'amour, Jack se mettait au-dessus d'elle dans le lit et sans préliminaires enfonçait sa bite en elle. Au début, c'était toujours sec et douloureux mais quand il commençait à la pilonner, elle mouillait très vite et essayait de suivre le mouvement avec ses hanches. Mais à chaque fois qu'elle était excitée et qu'elle commençait à prendre du plaisir, Jack éjaculait et roulait à côté d'elle. Audrey n'avait jamais eu d'orgasme avec jack si bien qu'à plusieurs reprises elle eut recours à sa main de la même façon que faisait Rodney maintenant. Ses mamelons avaient toujours été très sensibles et la double attention des hommes les stimulèrent. Ils devinrent très durs. Son corps réagissait au traitement même si sa peur et sa confusion de savoir comment cela pouvait se produire dans sa petite banlieue tranquille lui assombrissait l'esprit.
Rodney invita de la tête Judith à se joindre à eux. Quand elle arriva près d'Audrey, elle remarqua que celle-ci avait les yeux fermés et que son corps réagissait aux attouchements.
- Bouffe sa chatte! Dit le chef.
Judith s'agenouilla et avança le visage vers la chatte. Elle put voir la moiteur entourant le doigt du noir lorsqu'il le retira, reculant pour laisser la place. Audrey sursauta lorsque la langue de Judith lécha son clitoris gonflé et les lèvres de sa chatte. Ses yeux s'ouvrirent et se baissèrent pour voir le haut de la tête de cette femme rousse entre ses jambes.
- Non s'il vous plaît, pas une femme... demanda-t-elle.
Judith titilla son clitoris avec le bout de sa langue. Audrey devint de plus en plus excitée mais l'idée d'être léchée par une femme était une chose qu'elle ne pouvait comprendre.
Pendant que les deux hommes suçaient ses seins, Rodney monta sur une chaise, puis sur la table de la cuisine. Il sortit sa queue et s'accroupit. Audrey était penchée en arrière, soutenue par ses bars tendus. Le noir tira ses cheveux en arrière et força sa bite dans la bouche de la blonde. Elle ouvrit automatiquement et accepta le mandrin avant de comprendre ce qu'elle faisait. Puis elle réalisa qu'elle avait la queue du motard noir dans sa bouche alors elle essaya de se dégager. Malheureusement l'homme lui tenait solidement les cheveux. Jamais dans sa vie, elle n'avait fait cela même si elle avait entendu souvent que beaucoup de femmes le faisaient avec leur mari.
Judith avait poussé la blonde plus haut sur la table afin d'avoir plus d'espace pour lui brouter la chatte. Elle pouvait sentit Audrey bouger lentement les hanches pendant l'assaut de la langue. Judith était heureuse de voir cette bigote, ce pilier de respectabilité, étendue sur sa table de cuisine, les seins sucés par deux noirs, avec une bite dans la bouche et une femme mangeant sa chatte.
Rodney sentit que la femme commençait à le sucer pendant qu'il entrait et sortait de sa bouche. Sa langue tourbillonnait autour du gros membre d'ébène.
Judith poussa deux doigts dans la chatte de la blonde tout en aspirant son clitoris pendant que les deux motards remontèrent les jambes de la femme puis les reposèrent sur ses épaules. Avec toutes ces sensations, Audrey se mit à gémir bruyamment. Ce ne fut pas le son d'une personne prise contre sa volonté mais plutôt celui d'une femme qui en voulait encore plus.
Au bout de quelques minutes, Rodney décida de retirer sa queue de la bouche accueillante et de descendre de la table.
Dès que la bite quitta sa bouche, Audrey ouvrit les yeux pour comprendre pourquoi. Elle vit le grand noir tirer la femme rousse pour l'éloigner de sa chatte humide et prendre sa place entre ses jambes. Il plaça son membre sur l'ouverture de son sexe et la saisit sous les cuisses. Regardant sa chatte, il poussa lentement sa grosse queue dans l'épouse blonde qui gémit à haute voix. Audrey leva les jambes et les laissa reposer sur les épaules musclées du chef de gang. Celui-ci commença à la pilonner régulièrement.
- Oh mon Dieu, tu es si gros. Gémit-elle alors qu'il s'enfonçait dans son vagin.
Son corps était tellement excité qu'elle accompagna chaque mouvement de l'homme avec son bassin, s'aidant de ses jambes appuyées sur les épaules. Elle sentit partir son esprit quand elle connut le premier orgasme de sa vie en étant baisée. Son corps explosa et elle cria et gémit comme jamais auparavant.
- Oh, s'il vous plaît, s'il vous plaît, c'est bon. S'il vous plaît ne vous arrêtez pas, s'il vous plaît. Supplia-t-elle.
Rodney gardait le rythme en la martelant dans un mouvement dur et régulier. Son orgasme dura un bon moment et Audrey sut qu'elle voulait que cela continue indéfiniment.
Lentement, le chef de gang ralentit le mouvement puis sortit de la blonde. Il la tira vers lui, la retourna et la coucha le visage sur la table. Puis il la pénétra de nouveau et recommença à la sauter. L'un des autres motards lui souleva un peu le visage et se plaça juste devant si bien qu'elle n'eut pas d'autre choix. Et pendant que Rodney la prenait par derrière (une position qu'elle n'avait jamais connue) elle mit ses lèvres sur la bite tendue et commença à la sucer. Elle n'avait jamais fait de fellation jusqu'à aujourd'hui mais elle savait d'instinct ce que l'homme voulait. Sa bouche serrée sur la queue, elle utilisa sa langue sur toute la tête et le long de la bite. Audrey sentit des mains sur sa tête pour la forcer à en avaler encore plus ce qu'elle fit, soumise. Rodney la baisait par derrière et elle aimait cette sensation d'être remplie par la plus grosse bite qu'elle n'ait jamais connue. La chaleur montant dans son corps, elle sut qu'un autre orgasme allait la saisir. Mais le grand noir se retira, demanda à l'autre homme de sortir de sa bouche et lui demanda si elle voulait de son sperme.
- Oh oui s'il vous plaît, faites-moi jouir. Je vous en supplie, je dois jouir. S'il vous plaît.......Gémit-elle en regardant en arrière la grande queue la pénétrer à nouveau.
Le désir consumait chaque terminaison nerveuse de son corps.
- Oh ouiiii, Oh mon DIEU, Arghhhhhhhh, Oh mon Dieu. Cria-t-elle en jouissant.
Rodney maintint le rythme puis vida ses couilles au fond de la chatte blanche. Il entretint l'intensité fébrile de l'orgasme tout en éjaculant à l'intérieur du corps. Quand Audrey commença à reprendre ses esprits, elle ouvrit la bouche et reprit sa fellation sur l'autre motard.
Rodney s'éloigna d'elle et fut aussitôt remplacé par un autre membre du gang qui la pénétra et attrapa ses hanches pour avoir mieux de prise.
- Cette salope sait sucer une bite. Dit le motard au chef.
Après ces mots il gémit et remplit la bouche de la blonde avec une bonne quantité de sperme. Ce fut une nouvelle sensation pour Audrey quand elle sentit la semence chaude remplir sa cavité buccale. Ne sachant pas trop que faire, mais se rendant compte que si elle n'avalait pas elle étoufferait, elle ingéra la charge de sperme. Instantanément, elle apprécia ce nouveau goût.
Mais aussi rapidement que cela fut fait, un nouveau motard se présenta devant sa bouche et tira sa tête pour qu'elle l'engouffre. Avec une queue qui la pilonnait derrière et une autre dans sa bouche, Audrey se donna complètement à ce nouveau rôle. Elle aimait ce sentiment de possession brutale ainsi que l'engourdissement des orgasmes subis. Alors qu'elle sentit de nouveau des picotements dans les profondeurs de sa chatte, Rodney tira sa tête par les cheveux pour qu'elle le regarde et dit :
- je veux que tu comprennes salope. Maintenant quand je veux te baiser, tu te donnes à moi. Est-ce bien compris?
- Oui tout ce que vous voulez. Oh mon Dieu, je suis si bien. Dit-elle, haletante, le regard flou, tandis que le motard augmentait le rythme derrière.
- la prochaine fois que ton mari veut baiser une de mes filles, je reviens pour te sauter encore plus brutalement. Tu diras à Jack que je suis venu et ce que je t'ai dis. Grogna-t-il.
Il repoussa le visage blond vers la bite raide. Puis il prit Judith par le bras et ils sortirent de la maison tout en disant :
- Je vous retrouve au camp les gars lorsque vous en aurez fini avec elle.
Judith monta sur la moto avec le noir et elle indiqua le chemin à suivre pour aller à l'église. Elle ne savait pas ce qui allait se passer mais elle savait que Jack avait des problèmes.
Ils garèrent la moto à côté de la voiture de Jack et Judith montra à Rodney le bureau où il devait être. Peu de lumières étaient allumés mais alors qu'ils tournaient au coin, ils purent voir Jack, assis seul, comptant quelques recettes de l'association de la paroisse.
Jack était un homme de bonne taille mais ce n'était rien à côté du grand noir qui entra dans la pièce, le saisit à travers le bureau pour le traîner par terre devant lui.
- Je dois vous faire comprendre quelque chose mon bon ami Jack. Dit Rodney à l'homme au sol, surpris et stupéfait.
- Mes filles ne sont pas libres et si vous osez toucher encore à l'une d'elle avec votre bite ou même un doigt, vous êtes mort. Essaie encore de me voler et tu meurs.
Sur ces paroles, Rodney serra le poing et frappa dans l'intestin de Jack, lui coupant le souffle et le faisant haleter pour reprendre un peu d'air.
- Dites-moi que vous me comprenez Jack. Reprit Rodney d'une voix menaçante.
Voyant Judith à la porte, Jack comprit et sut qu'il ne devrait plus jamais contrarier le chef du gang.
- Je promets. Plus jamais. Je promets. Haleta Jack.
- Très bien Jack. C'est très bien. Je sais où vous vivez et je sais qu'Audrey vaut le coup. Si vous voulez que je revienne et que je la prenne avec mes filles, je peux le faire. Elle a un joli cul Jack et elle aime les bites noires. Donc, restez en vie et vous garderez cette pute blonde dans votre maison. Elle n'aura pas à venir dans la mienne.
Quand Jack réalisa ce que lui disait Rodney il demanda :
- Audrey? Qu'avez-vous fait à ma femme?
Le noir se leva en riant et se dirigea vers la porte du bureau, laissant l'homme cocu allongé sur le sol.
Alors que la moto démarra et sortit du parking, la nuit commença à tomber. Rodney demanda à Judith où était sa maison. Elle lui indiqua le chemin mais elle eut très peur pour la suite. Rodney était un homme cruel et puissant, elle eut peur qu'une visite chez elle et son mari tourne mal. Mais elle n'avait aucun contrôle sur lui alors elle s'accrocha tandis qu'il tournait dans sa rue.
Rodney était d'humeur à remettre les choses en place et montrer sa domination. Un flot d'émotions la parcourut quand elle passa devant sa maison. Ils se garèrent quelques maisons plus loin sur un parking à vélo. Le grand noir lui dit de le suivre alors qu'i marchait vers l'entrée de son domicile puis dans son arrière-cour privée et clôturée. Il était évident que quelqu'un était dans la maison. Une boule monta dans la gorge de Judith quand Rodney la tira sur le porche arrière. Ils pouvaient entendre le téléviseur dans le salon.
- A poil! Ordonna le chef de gang.
Immédiatement Judith dégrafa sa jupe en jean et la laissa tomber sur le sol, rapidement suivie par son string. Elle retira sa veste et son débardeur qu'elle laissa tomber aussi. Rodney fut derrière elle et força sa grosse bite dans sa chatte accueillante. Elle était mouillée d'avoir dû manger la chatte d'Audrey et elle avait espéré être incluse dans la séance de baise. Toute la journée, elle avait été laissée de côté et de voir Rodney baiser violemment Audrey l'avait excitée. Elle s'enfonça sur l'homme qui se doutait bien qu'elle ne voulait pas faire de bruit pour ne déranger personne dans la maison.
Judith savait que la vie qu'elle avait menée à l'intérieur de cette maison faisait partie du passé. Elle était une autre femme dorénavant, une femme qui appartenait à d'autres hommes. Les émotions associées à la sensation de Rodney qui la dominait et l'utilisait l'amena près d'un orgasme plus vite qu'elle l'aurait cru. Elle essaya de retenir ses cris de jouissance en gémissant doucement tandis que son corps était parcouru de spasmes de plaisir. Le noir continua à la baiser jusqu'à ce qu'elle se remette. Puis il arrêta, sortit sa bite et immédiatement commença à appuyer son gland sur le trou du cul. La forte pression fut suivie d'un pop lorsque sa queue ouvrit le passage et pénétra de plus en plus. La douleur fut là mais le plaisir aussi. Elle avait besoin de se plaindre, gémir et crier quand il l'enculait. Elle aimait être sodomisée mais n'avait jamais dû se taire.
Rodney devait être content de la sodomiser contre le mur arrière de la maison avec sa famille à l'intérieur. Elle sentit le chef de gang la pousser vers le bas et ses genoux frappèrent le bois du porche tandis qu'il lui martelait le cul. Ses doigts grattèrent les planches tandis qu'il continuait. Elle sut qu'ils allaient bientôt jouir tous les deux. Avec une puissance renouvelée, il la sodomisa jusqu'à ce qu'elle gémisse sa tête sous son bras. Elle jouit de nouveau et le sentit éjaculer dans son cul. L'intensité d'un orgasme lors de relations anales était intense pour Judith. Son corps tremblait. Rodney se leva et attendit. Elle connaissait bien son rôle. Elle se tourna et se mit à sucer la bite et à la nettoyer avant de la ranger dans son pantalon.
Ensuite, elle rassembla ses vêtements et s'habilla rapidement. Puis elle rattrapa Rodney qui était sur le point de démarrer la moto. En la regardant courir vers lui, il se tourna légèrement et dit :
- Rester ici ou venir avec moi, je te laisse le choix.
Judith jeta sa jambe sur le siège en cuir et accrocha le motard tandis qu'il démarrait.
FIN pour le moment.
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