vendredi 13 avril 2018

La pute de l'entreprise - Chapitre 4

Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur notsoliteral

Nuit à l'hôtel.

Ingrid regagna sa chambre d'hôtel, épuisée. Elle se sentait collante. Elle avait l'impression d'être une prostituée, même si elle n'en connaissait pas la vie.

Dans la douche moisie, elle ouvrit le robinet d'eau et elle ôta ses vêtements, libérant ses énormes seins. Alors que l'eau se réchauffait, elle regarda son reflet dans le miroir fendu de la salle de bain.

Elle avait des ecchymoses et des égratignures sur ses seins, et ses mamelons étaient encore distendus par les pinces que son patron avait utilisées. Elle avait eu peur que ses prothèses en silicone éclatent sous les abus de la journée mais sa poitrine était toujours aussi énorme.

Avançant ses épaules, ses seins rebondirent d'avant en arrière, la faisant légèrement grimacer de douleur.

En regardant vers le bas, elle vit le sperme séché entre ses jambes. Elle admit qu'elle avait été excitée cet après-midi par la sensation du sperme de son patron séchant sur sa chatte et ses cuisses. Mais maintenant, elle avait besoin de se laver pour tout enlever avant de se coucher dans des draps propres.

Ingrid entra dans la douche et le nuage de vapeur, laissant cascader l'eau chaude sur son corps courbaturé.

Tandis qu'elle savonnait son ventre plat, ses hanches et son entrejambe, elle se souvint du gros plug anal encore logé dans son cul. Elle pensa qu'elle était vraiment une salope pour avoir oublié sa présence.

Délicatement, elle attrapa le bout du plug qui ne bougea pas. Elle s'inquiéta d'avoir à l'enlever elle-même. Jusqu'à présent, ces plugs étaient ôtés par.... ses partenaires sexuels? ses violeurs??? Elle ne savait plus ce qu'étaient ces hommes pour elle.

Serrant les dents, elle assura son emprise sur le plug et tira fortement. Le jouet sortit d'un coup, laissant son trou du cul béant. Avec ses doigts, elle pouvait sentir l'importance de l'ouverture. Elle espérait qu'il allait se refermer.

Quelques secondes plus tard, les trois décharges de sperme de la journée ont commencé à sortir, gouttant dans la douche. Inconsciemment, la jeune fille attrapa ce mélange de sperme pour le frotter sur son sexe et son clitoris, l'utilisant comme lubrifiant pour se masturber. Puis elle glissa deux doigts dans son vagin, tout en travaillant son clitoris et en pensant à sa journée de soumise à ses employeurs.

Soudain, l'eau de la douche devint glacée. Sursautant, elle eut un petit cri, essaya de se rincer le mieux possible et ferma l'eau, oubliant ses dernières pensées honteuses. Que faisait-elle? Comment pouvait-elle se masturber après cette horrible journée? Avait-elle été violée ou non? Dans sa tête, tout s'embrouillait. Etait-elle consentante ou non?

Ingrid se sécha avec une serviette puis enfila son peignoir. N'ayant pas réussi à enlever tout son maquillage, elle utilisa du coton pour frotter son visage tout en sortant de la salle de bain. Elle alluma la télé et se blottit sur le grand lit de cette chambre défraichie. Elle se demandait si cet hôtel ne servait pas d'hôtel de passe parfois. Une nouvelle fois, elle maudit son ex-petit ami de l'avoir mise dans une telle situation.

Son attention se tourna vers le téléviseur et les infos de 20 heures. Une femme en pleur racontait son enlèvement et son viol par un groupe d'hommes sadiques. Ingrid était fascinée par la facilité qu'avait le journaliste de faire raconter à la femme tous les détails salaces de sa mésaventure. La victime raconta comment on lui avait enlevée son tailleur, comment on l'avait bâillonnée avec sa culotte et ligotée avec du fil électrique. Pendant des heures, les hommes avaient utilisés son corps comme ils le voulaient. Elle avait été violée, elle avait été battue, ils avaient même uriné sur elle après de nombreuses fellations.

Même si le journaliste hochait la tête avec sympathie, Ingrid savait qu'il était excité par l'histoire. Elle le dégoutait et la mit vraiment en colère.

Elle se voyait à la place de cette femme. Plus elle écoutait, plus elle réalisait qu'elle aussi avait été violée toute la journée. Elle aussi était une victime. Sans prendre le temps de réfléchir, elle coupa la télé et prit son téléphone.

Deux heures plus tard, on tapa un coup sec à la porte :

- Police! Tout va bien?

Ingrid sursauta, serra la ceinture de son peignoir et courut à la porte.

- Oui! entrez s'il vous plait, Messieurs les policiers.

Les deux agents de police masculins entrèrent dans la chambre et examinèrent tout autour. S'étant assuré que la jeune fille était seule, un des deux la regarda de haut en bas, ouvrit son carnet et demanda :

- Je suis l'agent Pierre DUROC et voici mon coéquipier l'agent Eric TUCHE. Nous avons été appelés pour un viol?

Pendant qu'elle attendait la police, Ingrid avait préparé sa plainte. Elle ne pouvait attendre de raconter son histoire, comme la femme plus tôt à la télé.

- Oui Messieurs, j'ai été violée par quatre hommes aujourd'hui.

Le plus grand policier regarda son équipier un peu plus corpulent :

- Quatre hommes Madame? Veuillez nous raconter s'il vous plait? et pourquoi n'avez-vous pas appelé plus tôt?

En larmes, la jeune fille raconta son histoire. L'agent DUROC prenait des notes. Mais plus elle avançait dans son histoire, plus le policier écrivait lentement. Voyant le sourire qu'il fit vers son collègue, elle se tut, étonnée.

L'agent DUROC lui indiqua qu'elle devait s'asseoir sur le lit et il s'assit à côté d'elle :

- Si j'ai bien compris Madame, vous venez juste d'être embauchée dans une entreprise et votre patron et ses collègues vous ont violée.

Ingrid hocha la tête.

- Bon! nous allons de voir vous examiner! Eric?

L'agent TUCHE avança, évitant le regard de DUROC. Il demanda à Ingrid de se lever et d'enlever son peignoir. L'estomac de la jeune fille se noua mais elle fit ce que voulait le policier. Il était là pour l'aider, après tout. Elle laissa nerveusement son peignoir chuter sur le sol, et essaya de couvrir ses seins et son sexe avec ses bras.

DUROC et TUCHE regardèrent lentement le corps d'Ingrid, s'attardant sur ses gros seins. Ils essayèrent de cacher leur sourire.

- montrez vos mains, s'il vous plait Madame!

Abandonnant toute pudeur, la femme tendit ses mains. L'agent TUCHE les regarda attentivement, les retournant pour les voir des deux côtés. Il se racla la gorge puis lui demanda de s'asseoir sur le lit.

- Penchez-vous en arrière et écartez vos jambes Madame!

Ingrid balbutia :

- Pour.....Pourquoi?

Le policier soupira :

- Madame, si vous avez été violée, je dois en voir la preuve. Donc, s'il vous plait, penchez-vous et écartez vos jambes.

Il alluma sa lampe de poche, la braquant sur le visage de la jeune fille.

Aveuglée, Ingrid leva une main devant son visage et se pencha en arrière sur son autre bras. Ne voulant pas réfléchir, elle mit ses talons sur le bord du lit et écarta les genoux lentement.

L'agent TUCHE déplaça le faisceau de la lampe vers l'entrejambe de la femme puis il avança sa main droite vers les lèvres de son sexe. Ouvrant sa chatte, il demanda :

- Avez-vous été violée par voie vaginale ou anale Madame?

- Les deux Monsieur.

Ingrid était pétrifiée. Elle essaya de se rassurer en regardant l'agent DUROC encore assis à côté d'elle sur le lit. Il était penché, regardant son collègue effectuer l'examen, ses yeux s'égarant parfois sur sa poitrine. Elle ne trouva pas de réconfort dans ce regard.

L'agent TUCHE glissa sa main vers son petit trou du cul. Il tendit sa lampe à Duroc et utilisa des deux mains pour écarter les fesses et avoir une meilleure vue. Ingrid se sentit encore plus exposée et honteuse que lorsque le chauffeur l'avait violée à la vue d'hommes dans la ruelle.

Finalement TUCHE se releva et regarda DUROC. Celui-ci éteignit la lampe. Puis les deux hommes s'éloignèrent de la jeune fille allongée sur le lit les jambes écartées. Elle ne savait pas si elle pouvait bouger ou non. Elle ne vit pas les sourires et clins d'œil que s'échangèrent les deux policiers.

TUCHE Dit :

- Madame, je ne vois aucune blessure sur votre corps, aucune marque de défense.

Ingrid leva la tête, ne comprenant pas.

- Je veux dire qu'il ne semble pas que vous ayez été violée. Il n'y a aucune marque qui pourrait montrer que vous vous êtes débattues ou que vous avez essayé de combatte vos agresseurs.

Ingrid se redressa. Si, elle avait été violée. La femme aux informations le lui avait fait comprendre. Elle protesta :

- Mais monsieur le policier, j'ai été violée! Ne voyez-vous pas que mon sexe et mon cul ont été utilisés?

L'agent DUROC sourit :

- Oui bien sûr! nous avons vu que votre sexe et votre cul avaient été utilisés.

L'agent TUCHE continua :

- Ils nous semblent, et nous allons rédiger notre rapport dans ce sens, que vous avez eu différents partenaires sexuels ces derniers jours. Combien, nous ne savons pas. Mais il semble que vous avez un peu folâtré et que maintenant vous regrettez.

Ingrid regarda les policiers, la mâchoire tombante d'étonnement. Toutes ses pensées s'entrechoquaient dans sa tête. Elle ne pouvait trouver une réponse cohérente.

- Vos seins ont bien quelques bleues mais je pense que vous aimez être traitée assez rudement. N'est-ce pas vrai?

Qu'est ce qui été vrai? Ingrid ne savait plus.

TUCHE poursuivit :

- Je crois connaitre la vérité. Vous vouliez avoir des relations sexuelles avec tous ces hommes. Je suis même sur que vous leur avez demandé.

Comme la jeune fille ne répondait pas, il a insisté, de plus en plus énergiquement :

- Vous avez aimé n'est-ce pas? Vous avez aimé être prise par plusieurs hommes en même temps. Vous avez aimé être prise à la fois dans votre vagin et votre cul? D'ailleurs, je parie que vous avez eu plusieurs orgasmes. N'ai-je pas raison?

Les yeux d'Ingrid se remplirent de larmes. Avait-elle aimé ou non? Elle rougit. Puis elle leva lentement les yeux vers les deux hommes et opina de la tête.

Le sourire de TUCHE s'élargit.

- Et voilà! c'est bien ce que je pensais.

Il prit les menottes à sa ceinture et dit :

- Levez-vous Madame. Puis tournez-vous et mettez vos mains dans le dos.

Immédiatement les bras d'Ingrid couvrirent sa poitrine et paniquée, elle essaya de se cacher sous les couvertures de son lit.

- Quoi? Pourquoi? Qu'ai-je fait?

Rapide, le policier TUCHE la saisit par les bras, la mit debout et la fit tournoyer puis la poussa la tête sur le lit.

- Vous êtes en état d'arrestation pour débauche et sodomie. Et si vous résistez j'ajouterai le délit d'entrave à la police.

Ingrid cria et sanglota, essayant de rassembler ses idées.

- Il n'est pas illégal d'avoir des relations sexuelles! qu'ai-je fait?

Pendant que l'agent TUCHE lui menottait les mains derrière le dos, l'autre policier lui répondit :

- L'année dernière, le conseil municipal a rendu illégal de se comporter comme une dévergondée. Ils ont aussi rendu illégal la sodomie.

De nouveau, Ingrid loupa le clin d'œil que fit l'homme à son compère. Ils avaient du mal à retenir leurs sourires. Ils avaient de la chance d'être tombé sur une bimbo si bête.

- Vous êtes passible d'une peine d'emprisonnement, d'une grosse amende et d'une obligation de vous faire soigner.

Ingrid gémissait :

- S'il vous plait! S'il vous plait!

Elle ne savait pas comment se sortir de cette situation. Elle n'avait pas d'argent et elle venait juste d'avoir un emploi. Elle ne voulait pas aller en prison.

TUCHE commença à déboutonner son pantalon.

- Et bien petite salope? Je crois que je pourrais peut-être arranger cela.

Avec ses bottes, il écarta les pieds nus de la femme. Tirant les bras menottés d'une main, avec l'autre, il guida son pénis entre ses jambes. Il grogna quand il sentit l'entrée de la chatte toute chaude.

Ingrid sanglotait sur les couvertures sales, sentant la queue de l'homme la toucher. Elle était terrifiée, gêné et ....excitée. Elle sentit des picotements dans ses seins alors que son sexe commençait à mouiller. Elle ne pouvait pas croire que son corps la trahissait à nouveau.

Le membre de l'agent TUCHE glissa à l'intérieur de 4 ou 5 centimètres. Il fut surpris de trouver humide le vagin de cette femme paniquée. Sortant, il savoura la sensation de la pénétrer à nouveau, lentement, jusqu'au bout. Il voulait qu'elle sente chaque centimètre de cette intrusion. Puis il commença sur un rythme régulier à la limer, ses hanches tapant son cul, sa bite s'enfonçant au fond du vagin encore et encore.

DUROC s'assit sur la seule chaise de la chambre, sortit sa queue et commença à se branler, regardant son partenaire baiser cette pute. Il rigola quand Ingrid commença à gémir.

- Regarde! je savais qu'elle aimait ça! C'est une vraie pute. Dépêche-toi que je puisse prendre mon tour!

Toutefois, son collègue ne voulait pas se précipiter. Il était trop bien dans le sexe de cette femme. Il lâcha les mains menottées afin de pouvoir écarter les fesses pour avoir une meilleure vue. Et il continua ses va et vient pendant que la jeune fille gémissait sous les coups de boutoirs.

Ingrid n'arrivait pas à croire que les policiers lui faisaient cela. Son visage enfoncé dans le lit, les mains menottées dans le dos, elle était impuissante, effrayée et confuse. Pourtant elle savait qu'ils avaient raison. S'entendant gémir de plaisir, elle savait qu'elle voulait être baisée. Elle était une salope. Elle accepta la vérité.

Tout d'un coup, TUCHE se contracta, jeta la tête en arrière et sourit béatement alors que ses couilles se vidaient à l'intérieur du vagin de sa prisonnière. Une fois fini, il sortit son membre, l'essuya sur le cul de la fille pour enlever le mélange de fluides et le remit dans son pantalon.

Il changea de place avec DUROC en lui tapant dans la main!

- Attend qu'elle se nettoie Pierre!

DUROC haussa les épaules et rigola :

- Ça ne me gêne pas de profiter de ton sperme comme lubrifiant.

- Oh, elle n'a pas besoin de ça cette pute. Sa chatte réclame de la bite et mouille en conséquence.

L'agent DUROC ouvra les menottes sur les poignets d'Ingrid, laissant les bras retomber de chaque côté. Il mit une claque sur le cul de la jeune fille.

- Même si j'aime bien cette position et ce point de vue, nous allons faire différemment. Mettez-vous sur le dos et tenez vos jambes en l'air Madame.

Le « madame » était très sarcastique cette fois.

Ingrid se hâta d'obéir. Elle se mit sur le dos, la tête sur l'oreiller. Elle leva les jambes, utilisant ses mains pour soutenir ses cuisses. Duroc s'agenouilla sur le lit, entre ses jambes, admirant la vue sur le sexe ouvert et dégoulinant de sperme. Il se pencha en avant afin de saisir un téton de l'énorme poitrine pour la faire osciller.

- Vous avez de superbes seins Madame.

Ensuite, il emmena sa bite tout droit dans le trou glissant. Tenant les chevilles de la fille, il poussa les jambes encore plus en arrière pour pouvoir la pénétrer plus profondément. Le lit commença à grincer alors qu'il pilonnait la femme.

Ingrid balança sa tête et grogna bruyamment à chaque fois qu'il s'enfonçait en elle. Il alla de plus en plus fort, tapant le fond de son vagin avec sa grosse queue raide. La jeune fille avait mal si bien que ses grognements se changèrent en jappements rythmés avec le grincement du lit. Ce meuble tapait contre le mur et lui martelait la tête. Elle serra les dents. Elle ne se sentait pas bien. Ses hanches étaient trop tendues en arrière et à chaque fois que l'homme s'enfonçait en elle, ses seins rebondissaient. Pourtant il continuait à mettre tout le poids de son corps pour la pénétrer le plus loin possible.

Ingrid se dit qu'elle allait avoir du mal à marcher après cette séance mais elle était faite pour être utilisée.

DURAC la martela avec acharnement sans s'épuiser. Entre le lit qui tapait le mur, les gémissements de la fille et les grincements du sommier, tout le monde à proximité de la chambre allait se douter de ce qui se passait. Ingrid espérait que les voisins n'étaient pas dans leur chambre pour l'entendre se faire baiser comme ça.

Subitement, les radios des policiers bipèrent, les appelant.

La voix de TUCHE fit irruption dans le pilonnage impitoyable de DUROC :

- Pierre? Nous devons y aller! dépêche-toi!

- J'y suis presque! donne-moi une minute!

Il ferma les jambes d'Ingrid, mettant ses chevilles sur ses épaules, si bien que la chatte serra efficacement sa queue. Le soulagement de la jeune fille fut immédiat et ses jappements se changèrent en gémissement alors qu'il continuait à la pénétrer.

Jusqu'à maintenant, elle avait gardé ses mains sur ses genoux, essayant de repousser ses jambes afin d'avoir moins mal. Mais là, elle glissa une main sur un mamelon et l'autre entre ses cuisses pour trouver son clitoris. Et elle se caressa, essayant de se faire jouir.

Elle eut un orgasme en même temps que le policier éjaculait dans son ventre.

Se retirant, Duroc se tourna vers TUCHE et lui dit joyeusement :

- Nous avons là une sacrée jouisseuse. Tu es sur que nous devons partir?

Son collège l'attendait déjà à la porte, impatient :

- Nous savons où elle vit donc nous pouvons toujours revenir. Allez Pierre, dépêche-toi!

Duroc rigola :

- Tu es jaloux car je l'ai fait jouir et pas toi.

Il enfourcha Ingrid et présenta son membre à sa bouche.

- Je ne peux pas retourner au travail en sentant la salope. Donc ouvrez votre bouche et nettoyez ma bite.

Elle obéit, léchant le sperme et son propre jus mélangés. L'odeur de ces fluides recommencèrent à l'exciter et elle voulut avaler le sexe de l'homme afin qu'il continue.

Le policier repoussa son visage et descendit du lit :

- Je n'ai plus le temps de m'occuper de vous, salope.

Il remit son uniforme en place et rejoignit son collègue à la porte. Celui-ci regarda Ingrid encore en train de se doigter et lui dit en ricanant :

- Etant donné que vous êtes sous le coup de plusieurs infractions, nous serons obligés de revenir pour effectuer des contrôles Madame.

Les policiers sortirent de la chambre, fermant la porte et laissant Ingrid nue avec deux dépôts de sperme à l'intérieur d'elle. Elle pensa qu'elle devrait peut-être se faire prescrire une contraception.

à suivre.....

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