vendredi 29 décembre 2023

Gynécologue pervers

 Récit de Gerald F.

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J'étais quelque peu angoissée en me rendant chez le gynécologue, à mon huitième mois de grossesse. Certes, je devrais avoir l'habitude: c'est notre cinquième enfant, à mon mari et à moi, mais après tout, j'ai déjà quarante ans.

Après avoir défait les boutons du bas de ma robe, je retirai mes chaussures et mon slip et m'étendis sur la table d'examen, levant les jambes pour poser mes pieds dans des étriers et écartant les pans du vêtement pour que le docteur puisse palper mon ventre et, après avoir enfilé un gant de plastique, procéder à un toucher vaginal. Il me demanda ensuite d'étendre les bras au-dessus de ma tête pour respirer profondément, ce que je fis. Il vint alors appuyer ses mains sur mes poignets, et je sentis à ma grande stupéfaction qu'il me passait des bracelets pour les attacher à la tête de la table. Je tentai de me lever pour protester, et me rendis alors compte que mes pieds étaient également fixés aux étriers. Il m'avait liée des quatre membres à la table d'examen !

Après avoir enlevé son gant, il se remit à toucher mon ventre, non plus en le palpant mais en le caressant longuement, puis il l'embrassa et se mit même à le lécher tandis qu'il portait ses caresses vers l'intérieur de mes cuisses. Furieuse mais incapable dans ma position de me débattre, ne voulant pas en outre risquer de blesser le bébé, je dus me laisser faire jusqu'à ce qu'il arrête de me caresser pour défaire lentement les boutons qui restaient à ma robe, de la ceinture jusqu'en haut. Puis il acheva d'en écarter les pans, et eut la vision de mon corps nu à l'exception d'un soutien-gorge blanc. Je pensai qu'il allait l'enlever pour s'en prendre à mes seins, mais il s'éloigna un moment et revint disposer une caméra numérique devant nous sur un trépied. Il la mit en marche avant de se pencher à nouveau sur moi. Les étapes de mon humiliation allaient être filmées !

Il prit mon soutien-gorge à deux mains et le remonta jusque sous mon menton. En temps normal, ma poitrine n'a rien d'extraordinaire (j'ai quarante ans et quatre enfants, d'accord ?), mais à huit mois de grossesse, mes seins gonflés étaient comme des melons, avec de gros bouts aux aréoles très larges et foncées. Il se mit à les caresser, à déposer des baisers partout sur eux et entre eux. J'ai honte de dire que mes tétons se dressèrent et se durcirent sous un pareil traitement. Il en introduisit un dans sa bouche, commença à le sucer, je sentis sa langue en faire le tour puis ses dents le presser. En même temps, d'une main, il me massait l'autre sein et en pinçait le bout. Mon lait commença à monter, il le savait et pompa plus avidement mon mamelon, je fermai les yeux et gémis en sentant la première giclée de lait maternel entrer dans la bouche de mon violeur. Il but soigneusement tout ce qui était sorti, puis fit subir le même traitement à l'autre sein pendant que sa main libre redescendait vers mon ventre, caressait ma touffe et atteignait mon sexe. 

A ma grande horreur, je me rendis compte que ma fente était humide et prête à s'ouvrir, et il n'eut aucun mal à y enfoncer deux doigts d'un coup. Il se mit à les faire aller et venir tout en finissant ce qu'il faisait sur mon sein, puis s'écarta de moi et, sans sortir les doigts de mon sexe, alla s'agenouiller au pied de la table, devant mes cuisses maintenues écartées par les étriers. Sa langue me pénétra sans que je puisse résister, je fus au bord des larmes en me rendant compte que moi, une épouse aimante et fidèle à mon mari, le père de mes quatre enfants, j'étais attachée nue devant un homme qui pouvait user de moi de toutes les façons qu'il voulait, et que je prenais plaisir à ce qu'il me faisait. 

Mon mari, de crainte de faire du mal au bébé, ne me touchait plus depuis des semaines, j'avoue que ça me manquait énormément, et voilà ce type me bouffait la chatte plus savamment que mon mari ne l'avait jamais fait. La colère et l'humiliation que j'éprouvais ne faisaient qu'ajouter à mon plaisir. Je cédai une première fois et il le sentit, buvant ma mouille dégoulinante aussi soigneusement qu'il avait bu mon lait.

Il se redressa pour contempler mon corps pantelant d'un air satisfait, puis il passa à la tête du lit et disparut de mon champ de vision, me laissant face à cette maudite caméra qui continuait à enregistrer mon supplice. Attachée comme je l'étais, je ne pouvais pas tourner la tête suffisamment pour voir ce qu'il faisait, mais j'entendis qu'il se déshabillait, et essayai de me résigner à subir une nouvelle étape de ma souillure.

Il réapparut complètement nu, exhibant un sexe dressé qui me parut de dimension impressionnante. Il le promena un moment sur mes seins et mon ventre, puis se plaça debout entre mes cuisses et me l'enfila d'un seul coup. Ma chatte était encore bien lubrifiée de ce qu'il m'avait fait, et son engin rentra tout entier, malgré sa taille très supérieure à celle de mon mari. Il commença à me limer sans ménagement aucun, sortant sa bite presque entièrement à chaque fois avant de me la remettre jusqu'au fond. 

Attachée comme je l'étais, je ne pouvais ni lever plus haut les jambes, ni les passer autour de son dos, et le poids du bébé m'empêchait de me cambrer. J'avais l'impression que mes reins allaient se briser, j'avais mal à pleurer, et en même temps je commençais à ressentir un plaisir incroyable. Il s'en aperçut, me força à dire que ça me plaisait, et éjacula en me remplissant de foutre, tandis que j'éprouvais un orgasme comme je n'en avais jamais ressenti avec mon mari.

Il ressortit sa bite, l'essuya sur mon ventre pendant que je reprenais mon souffle, et me dit que si je voulais qu'il me détache les chevilles il fallait que je le suce. Je fis signe que oui, et il introduisit son nœud à peine ramolli dans ma bouche. Je me mis à le pomper du mieux que je pouvais en l'excitant de ma langue, il redevint vite bien raide, en même temps de la main il se remettait à me pincer les seins et à me caresser le ventre, les poils et la moule. Il ne tarda pas à faire gicler son foutre chaud dans ma bouche, me le faisant boire et me faisant nettoyer sa bite jusqu'à la dernière goutte.

Il me détacha les chevilles, et je pus enfin retirer mes pieds des étriers et détendre un peu mes jambes qui me faisaient atrocement mal. Pendant ce temps, il ouvrait un tiroir de son bureau et, à mon grand étonnement, en retira une paire de bas blancs et des escarpins assortis. Il me les enfila - car ils se révélèrent être tout à fait à ma pointure - sans que je puisse l'en empêcher, les poignets toujours attachés comme je l'étais. Il alla régler sa caméra pour faire quelques gros plans sur ma chatte poilue au-dessus de mes cuisses gainées de bas, sans même que je pense, maintenant que j'avais les jambes libres, à resserrer les cuisses ou à me tourner sur le côté pour le priver du spectacle obscène dont il se régalait.

Puis il prit dans un autre tiroir un godemichet rigide presque aussi gros que sa bite, s'assit à côté de moi sur la table et me l'enfila dans la chatte en le faisant aller et venir d'avant en arrière. En même temps, d'un doigt il me tâtait plus bas, sur les rebords de mon petit trou. Je recommençais à gémir lorsqu'il retira le gode de ma fente et le présenta à l'entrée de mon anus. Il poussa lentement l'objet de plastique en moi, et je sentis mes sphincters s'écarter à mesure qu'il rentrait, se distendre jusqu'à être près de se déchirer. La douleur causée par le viol que j'avais subi en étant attachée des quatre membres n'était rien à côté de cela. Je criai, suppliai mon tortionnaire d'arrêter, lui promis qu'il pourrait me faire tout mais pas ça. J'avais l'impression que mon anus allait éclater lorsqu'il retira enfin l'engin, mais il ne renonçait pas pour autant à user de moi par cet orifice. Il prit sur son bureau une boîte de pommade, enfila un nouveau gant de plastique pour introduire un doigt dans mon petit trou et en enduire les parois. La douleur se calma rapidement, je sentis bientôt qu'il utilisait deux doigts pour me pommader, puis trois. Il me dit que je devais être prête maintenant, et me pénétra de nouveau avec le gode. L'engin s'enfonça plus rapidement que la première fois dans mon conduit lubrifié, la sensation était curieuse et inconfortable plutôt que douloureuse : avec le bébé dans mon ventre et le gynéco qui recommençait à m'enfiler ses doigts, cette fois dans la chatte, j'avais l'impression que mon abdomen était envahi de toutes parts !

Il s'arrêta un moment pour aller mettre en marche son ordinateur, en vérifiant que je pouvais bien voir l'écran de là où j'étais. Il me dit qu'il avait enregistré des images de beaucoup de patientes pendant qu'il les baisait, et qu'il voulait m'en monter une en particulier. Le film commença à défiler sur l'écran : il avait été tourné dans le cabinet même où nous étions, et une femme était à quatre pattes par terre pendant que mon gynéco la prenait en levrette. Avec horreur, je reconnus ma fille aînée, Caroline, toute nue à part ses sandales et un débardeur remonté au-dessus de ses seins. Le docteur la bourrait à grands coups, et il monta le son pour me faire entendre les cris de plaisir qu'elle poussait.

" Elle est venue me demander de lui prescrire la pilule, " expliqua-t-il. " C'est son droit le plus strict puisqu'elle a dix-huit ans, mais je lui ai quand même demandé quelques services pour lui garantir que son père ne serait pas au courant. "

L'annonce que Caroline prenait la pilule - j'en étais encore à la croire vierge - m'atteignit à peine, tant j'étais hypnotisée par le spectacle de ma fille chérie se faisant prendre comme une chienne, par le même homme qui maintenant m'enfonçait à nouveau son gode dans le cul tout en me fouillant la chatte avec ses doigts, usant de la mère comme il avait usé de la fille. J'entendais ses commentaires sur le film :

" Tu aimes ça, hein, salope ? Tu le fais parce que je t'y ai forcée, mais tu adores ça?  Ta mère aussi aimerait ça, tu crois ? Tu sais qu'elle aussi est ma patiente ? La prochaine fois qu'elle viendra me voir pour avoir des nouvelles du petit frère, je la baiserai par tous les orifices, même si je dois l'attacher à la table pour faire ça. Je suis sûr qu'elle adorera. Pas toi ? Tu peux lui dire ce qui l'attend. "

Caroline ne faisait que répéter " oui, oui, ", ses cris se transformèrent en hurlements lorsque le docteur changea de position pour l'enculer tout en lui fourrant une main entière dans la chatte, et le film s'arrêta après qu'il jouit et la laissa pantelante sur le tapis.

Le docteur me jeta un regard satisfait, et je pensai que le matin même j'avais dit à Caroline que j'allais chez le gynéco, et que son visage n'avait pas montré la moindre émotion, alors qu'elle savait ce qu'il allait me faire subir.

" Comme vous le voyez, " dit-il, " votre fille prend très bien du cul, je pense que maintenant vous allez faire de même. "

Je compris ce qu'il désirait et il me prit aux hanches pour m'aider à me retourner, malgré mes poignets toujours menottés. Je me retrouvai à quatre pattes sur la table, mon ventre et mes seins alourdis frôlant le tissu qui la recouvrait, pendant que le docteur s'agenouillait derrière moi et m'écartait les fesses. Son sexe était plus gros que le godemichet, quoique plus souple, et je subis son assaut avec quelque difficulté. Mais enfin il parvint à tout faire rentrer dans mon anus encore lubrifié, et se mit à aller et venir tout en me maintenant les reins d'une main, tandis que de sa main libre il avait repris le gode, me l'avait passé entre les cuisses et me l'enfilait dans la chatte. 

Attachée, à genoux, avec mes seins et mon ventre qui ballottaient sous moi en frottant contre la table, forcée devant et derrière par cet homme qui avait déjà abusé de ma fille, je pensai à mon mari, au père de mes enfants, et l'abjection de ma situation ne fit que démultiplier mon orgasme lorsqu'il éjacula dans mon cul, pendant que le godemichet expertement manié me faisait exploser par-devant. C'était la sensation la plus merveilleuse de ma vie, je hurlais, râlais, le suppliais de continuer, mes genoux se dérobèrent sous moi et je serais tombée sur le ventre s'il ne m'avait pas retenue par les hanches pour me faire repasser sur le dos.

J'étais étendue sur la table, à moitié évanouie, et lui debout à côté de moi avec son sexe à peine sorti de mon cul. Je craignis qu'il ne veuille à nouveau me le faire sucer, mais il se contenta de l'essuyer en le frottant sur mon ventre et mes seins. Dans ma semi-inconscience, je sentis qu'il libérait mes mains des menottes. Je restai quelques minutes à reprendre mes esprits, esquissai un geste pour me relever de la table, et le découvris assis toujours nu dans son fauteuil, me disant avec un geste autoritaire :

" Nous n'avons pas terminé. Veuillez achever de vous déshabiller. "

J'enlevai ma robe entièrement défaite, et mon soutien-gorge qui ne soutenait ni ne cachait plus rien. Je fis sans conviction un geste pour ôter mes escarpins et mes bas, mais il me fit signe de les garder. Il m'ordonna de venir m'agenouiller devant lui. Les jambes flageolantes sur mes escarpins, j'obéis, il avait réglé son fauteuil dans la position la plus basse et se tenait assis les jambes écartées, son membre à la hauteur de ma poitrine. Sur son ordre, je pris le sexe flaccide dans une main, le plaçai entre mes seins, les rapprochai et me mis à les masser doucement en les faisant se toucher. L'engin recommença à devenir raide à mesure que je l'enfonçais de plus en plus entre les deux globes, jusqu'à ce qu'il frotte de presque toute sa longueur contre mon sternum pendant que je me caressais les seins sur lui. Je le sentis près d'éjaculer, sortis spontanément le membre de sa vallée de chair pour le prendre dans ma bouche. J'étais prête à tout avaler une fois de plus, mais il m'ordonna de me reculer car il voulait éjaculer sur mon visage. Ce qu'il fit, essuyant en outre son membre gluant sur mes joues et mes cheveux, et me permettant juste de lécher le sperme qui était tombé autour de mes lèvres.

Tout en se rhabillant, il me dit qu'il y avait un lavabo dans le couloir. J'en avais sacrément besoin avant de remettre mes propres vêtements, avec la mouille qui avait coulé de ma chatte jusqu'à tacher le haut de mes bas, et le sperme encore tiède qui collait à mes cheveux et dégoulinait de ma figure dans mon cou jusqu'à rejoindre les traînées innommables qui séchaient sur mon ventre et mes seins.

J'étais néanmoins tellement épuisée qu'avant que j'aie pu me remettre debout sans vaciller, le docteur était complètement rhabillé et sortait lui-même dans le couloir. Je l'entendis ouvrir une porte qui devait être celle de la salle d'attente... et, à ma grande horreur, il appela la patiente suivante.

Je n'avais ni la force de m'enfuir ni aucun endroit pour le faire, et la femme qui entra dans le cabinet aurait dû être aveugle pour ne pas me voir. Le pire de tout était qu'elle et moi nous connaissions parfaitement : c'était Marie-Claude, une amie d'enfance et collègue de travail à moi.

Toujours élégante dans son tailleur strict, elle eut l'air pétrifiée de se trouver en face de moi, dans l'état que j'ai décrit plus haut, toujours uniquement vêtue de mes chaussures et de mes bas. De mon côté, j'éprouvais comme on l'imagine la honte de ma vie, mais ce fut à mon tour d'être stupéfaite lorsque le docteur passa derrière elle et lui caressa familièrement les fesses.

" Vous voyez, Marie-Claude, votre amie Edith est également une de mes patientes. Je pense d'ailleurs que vous pourriez l'aider à se nettoyer ? "

Marie-Claude balbutia une approbation, et le docteur l'embrassa dans le cou en faisant glisser ses mains sur ses hanches. Pendant que je le regardais avec ahurissement caresser le corps de mon amie par-dessus son tailleur (Marie-Claude est divorcée, mais à ma connaissance elle n'a jamais eu d'aventure et ne vit que pour ses deux enfants), il m'expliqua :

" La première fois, je lui ai fait prendre une drogue et je l'ai prise sans qu'elle ne puisse bouger. J'en ai gardé quelques enregistrements qu'elle ne souhaite pas voir montrer à ses enfants ni à ses proches, c'est pourquoi j'ai régulièrement le plaisir de ses visites. "

A l'air désespéré de Marie-Claude, je compris que cette explication était vraie. Elle parut près de fondre en larmes lorsque le docteur ordonna :

" Aidez votre amie à enlever le sperme de son visage. " 

Après un court instant de silence, il compléta : " Avec votre langue. "

Comme hypnotisée, Marie-Claude avançait vers moi, lorsque le docteur ajouta : 

" Enlevez votre tailleur, ce sera plus facile. "

Obéissante, Marie-Claude ôta sa veste et sa jupe grises, apparaissant dans des dessous que je n'aurais jamais cru lui voir porter : un soutien-gorge qui faisait pigeonner sa généreuse poitrine en en découvrant complètement les bouts, un mini-slip, des bas et un porte-jarretelles. Si les bas étaient couleur fumée, le slip, le soutien-gorge et le porte-jarretelles étaient rouge vif .

C'est dans cette tenue qu'elle approcha son visage du mien, et je vis sa langue sortir entre ses lèvres, puis la sentis passer sur mes joues, mon nez, mon menton, laper le sperme qu'elle avalait sans hésiter. Ses lèvres secondèrent sa langue, je ne sais comment nos bouches se frôlèrent, puis elles se collèrent l'une contre l'autre et je me retrouvai, moi qui jusqu'alors n'avais jamais eu de pulsions homosexuelles, à embrasser fougueusement mon amie d'enfance, heureuse mère de famille comme moi, en faisant aller ma langue jusque dans le fond de sa bouche, pendant que mes tétons à nouveau durs et érigés frottaient contre les siens dans le même état, et que mon ventre se bombait contre le sien. 

Je tombai assise sur la table d'examen et Marie-Claude se remit à lécher le sperme du docteur sur moi, passant sa langue et posant ses lèvres dans mon cou, entre mes seins, sur mes seins encore rouges d'avoir servi à masturber notre dominateur. Ma main dans ses cheveux, je sentis qu'en même temps elle me caressait les hanches, la touffe, touchait ma fente. Lorsqu'après avoir longuement et soigneusement léché mon ventre gonflé elle approcha sa bouche de mon sexe, le docteur ordonna :

" Ça suffit. Edith, vous pouvez aller vous laver. Venez ici, Marie-Claude. "

Pendant que furieuse et frustrée je me dirigeais vers le fameux lavabo, mon amie s'approchait docilement du docteur, et j'eus le temps d'entendre celui-ci dire " mettez-vous à genoux " avant de refermer la porte.

Les toilettes étaient équipées d'une cabine de douche, et j'en pris une longue et chaude. J'avoue que j'en profitai pour me caresser sur tout mon corps de femme enceinte, et finis par me masturber en pensant à ce que le docteur devait être en train de faire à Marie-Claude. Je n'étais tout de même pas préparée au spectacle que j'allais découvrir à mon retour.

Entièrement nue, je ressortis dans le couloir sur la pointe des pieds et me dirigeai vers le cabinet pour récupérer ma robe et mes chaussures. A travers la porte, j'entendis les cris saccadés de mon amie, auxquels il semblait se mêler un claquement. Lorsque j'entrai, Marie-Claude était à genoux devant le bureau du docteur, cramponnée des deux mains au meuble, et notre bourreau, debout derrière elle une cravache à la main, cinglait avec une précision impitoyable son dos et sa croupe nus. Des traits rouges zébraient déjà les zones frappées, et elle tourna vers moi un visage baigné de larmes. Le docteur parut penser que je redoutais d'être soumise à un pareil traitement, car il me dit :

" C'est là quelque chose que je ne peux pas faire avec une femme mariée, car cela laisse des marques que le mari verrait infailliblement. Notre chère Marie-Claude va garder ces traces pendant près d'une semaine. Aussi, même après votre accouchement, vous n'avez pas à craindre que je vous y soumette. "

Après mon accouchement ? me dis-je. Il a donc l'intention de continuer à abuser de moi jusque là ? Pendant que je me rhabillais, en laissant Marie-Claude prostrée devant le bureau, il me dit de ne pas oublier le prix de la consultation. Je le payai et, venue pour un contrôle de routine, me préparai à ressortir après avoir été attachée, enfilée de toutes les façons, avoir joui sous un homme qui me prenait de force, avoir appris que la fille en faisait autant que moi, m'être quasiment gouinée avec ma meilleure amie et l'avoir vue se faire frapper à coups de cravache.

Il me dit enfin : 

" Je désire que vous reveniez la semaine prochaine, en même temps que votre fille. " 

Puis, sans plus s'occuper de moi, il se retourna vers Marie-Claude et lui ordonna de se relever et de se mettre face à lui. Elle obéit et je me hâtai de sortir, pendant que la cravache frappait les seins puis le ventre de mon amie en lui arrachant des cris de bête.

FIN.

mercredi 27 décembre 2023

Croisière en enfer.

Récit d'Elko.

*****

Les vacances avaient pourtant bien commencé. Nous étions partis depuis déjà 15 jours pour une croisière en Afrique. Nous avions déjà fait escale dans plusieurs ports dont celui de Nairobi. Nous venions de quitter le Kenya et faisions route vers le Golfe d'Aden, direction l'Egypte en contournant l'Ethiopie et le Yémen qui n'étaient pas vraiment des pays touristiques. Et surtout, nous voulions nous éloigner le plus possibles des côtes somaliennes réputées pour leurs actes de pirateries... 

Le Morvan, splendide voilier trois mâts de 88 mètres filait à la vitesse de 12 nœuds dans l'océan Indien. Nous étions 5 à bord plus les membres d'équipage qui étaient tous des hommes. Je m'appelle Pierre, j'ai 50 ans, je suis médecin. Ma femme, Chantal a le même âge que moi. C'est encore une belle femme, très sexy. Quand elle se promène dans cette ville très bourgeoise où nous habitons en France, il est fréquent qu'on la drague. Elle est toujours en jupe et en talons. Je l'adore.

Coté sexe, elle a de l'imagination à revendre. Je me suis toujours demandé si elle n'était pas un peu salope... Ma fille, Sophie, vient d'avoir 27 ans et surtout elle vient de se marier avec Franck. Sophie a le même corps que sa mère en plus jeune, c'est dire... Franck est un gentil garçon, très grand, des yeux bleu et un sourire ravageur. Il est avocat. Ma fille travaille dans une société de recouvrement, société qui appartient à la mère de mon gendre, Eliane, 62 ans. Grâce au sport et à une bonne hygiène de vie et aussi quelques retouches données par des chirurgiens plasticiens de renom (mais ça, il ne faut pas le dire) elle avait encore un corps de rêve... C'est Eliane qui nous offre cette croisière. Elle est riche, très riche. Son mari brutalement décédé lui ayant laissé un très bel héritage. 

Accoudé au bastingage, je regardais l'horizon. Le soleil tapait dur mais une petite brise marine le rendait supportable. J'entendis des rires et je jetais un œil sur le pont. Ma femme et ma fille, en bikini, bronzaient en papotant sous le regard concupiscent des deux membres d'équipages qui faisaient de leur mieux pour ne pas trop regarder ces deux superbes femmes à peine vêtues. Ce n'était pas la première fois que je remarquais qu'ils mataient soit ma femme soit ma fille mais curieusement, je ne leur en voulais pas.

Je sentis mon sexe durcir dans mon maillot de bain en repensant à hier soir quand ma femme et moi avions fait l'amour, le hublot de notre cabine ouvert. J'étais presque sur d'avoir vu un des membres d'équipage en train de nous mater pendant que je prenais Chantal en levrette. Je souris en repensant à ce moment agréable. J'étais loin de me douter que la croisière de rêve allait se transformer en cauchemar....

Le Skipper a vu la petite embarcation arriver vers nous et nous a prévenu mais nous n'avons pu éviter l'abordage et l'assaut des pirates. Les six hommes, des Somaliens venus de Mogadiscio sans doute, montèrent à bord sans aucune résistance de notre part. Ils étaient tous armés de fusils d'assaut et de pistolets. Une lueur mauvaise dans leurs regards, ils visitèrent toutes les cabines en criant. Quelques coups de feu furent tirés mais personne ne fut blessé. 

Nous sommes tous rassemblés sur le pont. Les femmes pleurent, paniquées. Celui qui parait être le chef des pirates, un grand black au crâne rasé donna un ordre et les hommes furent solidement attachés au mât. Impuissant, je craignais pour les femmes. Chantal et Sophie me jetaient des regards désespérés. Dans un mauvais anglais, le chef des pirates nous expliqua que nous étions leurs otages et qu'une rançon allait être demandée. Il entraîna ma femme et ma fille dans la cabine de pilotage et j'entendis des cris qui me glacèrent le sang. Mon Dieu, qu'allait il leur faire ?

Sophie et Chantal revinrent et mon épouse m'expliqua qu'elle avait du passer sous la contrainte un appel radio à Djibouti pour expliquer notre situation à un représentant des français en Afrique. Le chef des pirates lui donna une claque sur les fesses. Rouge de honte, elle balbutia :

- Pendant que je passais l'appel, il a mis ses doigts dans mon string et m'a tripoté...

Je serrais les poings de rages et d'impuissance...

Le chef lança:

- Continue !

- Il m'a enfoncé ses doigts dans ma chatte et m'a tripoté le cli... Clitoris...

Les hommes du chef étaient morts de rire. Plusieurs pirates s'emparèrent des femmes et les emmenèrent dans leurs cabines respectives. Ils revinrent rapidement. Ils les avaient obligé à mettre des mules à talons, ce qui les rendaient encore plus sexy. Eliane avait du se changer et mettre un bikini emprunté à ma fille ce qui fait qu'il était beaucoup trop petit pour elle. Ses seins débordaient littéralement du soutien-gorge.

Les pirates sortirent une grande table qu'ils installèrent sur le pont. Le chef expliqua qu'ils avaient faim et que les femmes aller leurs faire à manger. Tous les pirates éclatent de rire. Les femmes firent le service. A chaque passage, les pirates pelotent ma femme ou ma fille. Les mains remontent sur les jambes, s'introduisent dans le string. On malaxe des seins notamment ceux d'Eliane sous le regard de son fils qui gémit.

Le repas fut bien arrosé. On obligea les trois femmes à boire de l'alcool fort. Le chef claqua des doigts et les pirates disposèrent à genoux devant eux Eliane, Chantal et Sophie. Le chef et deux de ses hommes sortirent leurs sexes tendus, en pleine érection. Les femmes voulurent détourner la tête mais on les obligea à se pencher en avant. Leurs bouches s'approchèrent des queues des pirates: Eliane engouffra la première le sexe dans sa bouche en poussant un gémissement, le pirate appuya fermement sur la tête de la mère de Franck. Celle-ci commença sa fellation, sa tête montant et descendant sur la bite dressée.

Le chef, lui, releva ma fille et la courba sur le bastingage. Il lui baissa son slip et lui caressa la vulve. Lui enfonçant ses doigts dans sa chatte. Sophie tenta de se débattre mais le chef lui donna une violente fessée. Il s'accroupit et lécha la fente à ma fille. Je voyais sa langue s'enfoncer dans l'intimité de ma petite fille chérie. Ma femme poussa un grognement étouffé par les deux énormes queues que deux pirates tentaient d'enfoncer dans sa bouche. Un autre lui malaxait les seins. Le chef, sa queue dure comme du bois, se masturba un peu et s'enfonça dans la chatte de ma fille qui poussa un cri. Les mains crocheté sur les hanches, il donna de violents coups de reins besognant ma fille. Il grognât en s'agitant. Ma fille gémissait.

Chantal était prise à partie par trois pirates. Debout, en équilibre sur les talons de ses mules, elle subissait les attouchements d'un d'entre eux qui lui enfonçait le goulot d'une bouteille dans la chatte, la faisant coulisser rapidement. Un autre lui suçait les seins. Le troisième la courba en avant et lui enfonça sa queue dans la bouche. Celui qui faisait coulisser la bouteille éclatât de rire et lança quelque chose en somali qui fut traduit par le chef qui besognait toujours ma fille.

- Elle mouille ta femme, elle a l'air d'aimer ça...

Effondré, je ne répondais pas...

Eliane, allongée sur le dos, les jambes relevés à la verticale se faisait ramoner par une queue luisante qui rentrait et sortait de son con... Elle tournait la tête de droite à gauche en gémissant.

Je commençais à entendre des commentaires dans les rangs des hommes d'équipage qui traitaient Eliane, ma femme et ma fille de salopes. C'est vrai que ma femme et ma fille n'avait plus vraiment l'air terrorisé. A quatre pattes, Chantal se faisait prendre en levrette devant moi. On l'avait positionné de façon à ce qu'elle me regarde. Je voyais ses yeux exorbités. Elle ouvrait la bouche haletante sous les coups de boutoir du pirate. Ses gros seins ballottaient hors du soutien gorge. 

On traîna Eliane devant son fils et elle dut lui administrer une fellation malgré ses supplications. On baissa le short de Franck qui à ma grande stupeur bandait comme un âne. Sa mère lui lança un regard trouble mais chargé de reproches. Sous la pression de la main du pirate elle avala la bite de son fils. Elle le pompa doucement d'abord puis de plus en plus vite salivant sur la bite en lui malaxant les couilles.

Le chef se retira de ma fille et, la mettant à genoux, se masturba en grognant. Il lâcha des traînées de sperme sur le visage de ma fille. Aussitôt, deux pirates traînèrent Sophie devant les hommes d'équipage qu'elle dut sucer à tour de rôle. Faisant le tour du mât, une bite dans chaque main, elle les pompait avec un empressement qui me faisait douter de sa réticence...

Le pirate qui baisait ma femme explosa en grognant et un autre le remplaça aussitôt.

Franck éjacula aspergeant le visage de sa mère de son foutre poisseux.

On obligea Eliane et Chantal à suivre ma fille et à pomper les hommes d'équipage. Plusieurs éjaculèrent dans la bouche d'Eliane qui avait du mal à avaler le sperme tant la quantité était importante. Elle le recrachait discrètement mais ça ne plaisait pas aux pirates qui lui claquait les fesses à chaque fois. Ma femme, elle, reçut quantité de foutres sur son visage. Elle en a dans les cheveux et sur le front, autour de la bouche. Littéralement remaquillée au foutre...

Sophie fut placé devant moi et, horrifié, je compris qu'on lui donnait l'ordre de me sucer aussi. Elle me regarda et me masturba. Ma queue devint vite dure et grosse entre ses mains. Elle m'avala, me suçant avec application. Je sentais sa langue me titiller le gland. Elle me caressait les couilles en même temps. Elle enfonçait ma bite au fond de sa gorge, puis la ressortait, me masturbant de nouveau. Je ne pus tenir longtemps. J'ai joui en poussant un cri, mon sperme gicla dans sa bouche éclaboussant son palais, se répandant au fond de sa gorge...

Les pirates libérèrent les hommes d'équipage et ce fut une véritable orgie. Ils se ruèrent sur Eliane, ma femme et ma fille et les baisèrent comme des chiennes devant moi et Franck toujours attachés au mât.

Eliane, empalée sur une bite, enculée par une autre et suçant une troisième haletait. Son corps secoué violemment par les coups de bites et sous les rires des pirates. 

Ma femme et ma fille durent s'embrasser sous les applaudissements des pirates et hommes d'équipage devenus complices maintenant. Horrifié, écœuré, je vois leurs langues s'entremêler. On allongea ma femme, et ma fille dut lui sucer la chatte. Sa langue lui titillant le clitoris. Ma femme donne des coups de reins et gémit. Pendant que Sophie suce sa mère, un des hommes d'équipage la pénétra et la baisa en levrette. Cela dura des heures. On humilia ma femme et ma fille de toutes les façons. Ma femme, à genoux, se faisait enculer pendant qu'elle devait sucer deux bites en même temps. Ma fille, déjà une bite dans sa chatte, dut accepter une queue dans son anus ce qui la fit crier. Les yeux hors de la tête, je regardais les 25 cm de bite s'enfoncer dans l'anus de ma fille qui poussa un cri horrible. Puis les deux hommes bougèrent baisant ma fille qui poussa de petits cris... Mais plus de douleur...

La pauvre Eliane se retrouva avec une main enfoncé dans sa chatte. Son corps s'arquait sous les aller et retour de la main. Eliane criait de jouissance et de douleur...Tous le monde voulut lui enfoncer sa main dans sa chatte puis après, pour faire une variante, dans son cul. Elle se retrouva fistée par la chatte et le cul... Elle eut un orgasme qui la fit hurler et elle s'effondra...

Ils éjaculèrent tous arrosant ma femme et ma fille de leurs spermes.

Cela dura plusieurs jours où Chantal, Sophie et Eliane devinrent les objets sexuels des pirates et des hommes d'équipage. Les négociations menées par le quai d'Orsay aboutirent rapidement et la rançon fut payée. Les pirates partirent aussitôt nous abandonnant aux mains des hommes d'équipage qui nous ramenèrent à Nairobi. Bizarrement, une fois les pirates partis, les hommes redevinrent sérieux, certains s'excusèrent même. Je pensais à porter plainte et à les accuser de viols un fois rentré en France mais un dernier événement me fit changer d'avis...

Nous étions presque arrivé à Nairobi et je me disais que cette croisière en enfer était enfin terminée quand des cris me firent sursauter... Je me précipitais prêt à sauver ma femme des griffes de ces pervers quand j'arrivais dans ma cabine. Mon gendre baisait ma femme pendant que ma fille fistait sa belle mère qui se tordait en gémissant...

J'entendais leurs cris de plaisir et ma femme, m'apercevant me lança :

- Viens mon chéri, viens baiser cette salope, me lança t'elle en désignant Eliane.

- Oui papa, renchérit ma fille, ma belle mère est une vraie chienne...

Elle prit soudain un air coquin et s'approcha de moi...

- Ou tu préfère que je te suce comme la dernière fois ?

Vous auriez fait quoi à ma place? Franchement ?

FIN

lundi 25 décembre 2023

Changements de vie pour Jessica Ch. 12

 Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

****

Un nouveau défi au bureau.

 *** Semaine 3 – Lundi ***

Nous sommes lundi matin et je me prépare pour aller au travail lorsque la sonnette de l'entrée retentit. Je crois savoir qui se trouve devant ma porte et mon intuition se confirme lorsque je vois qu'il s'agit de Daniel. Sans attendre que je l'invite à entrer, il pénètre dans ma maison et mon salon comme s'il était chez lui.

Il s'arrête au milieu de la pièce, se retourne et me regarde sans rien dire. Des frissons chauds et froids parcourent ma colonne vertébrale lorsque je me rappelle m'être agenouillée au même endroit il y a à peine deux jours. Sachant ce qu'il attend, je me retrouve plus que désireuse de m'y conformer.

Mon Dieu ! La journée vient à peine de commencer et je me soumets déjà volontiers à mon stagiaire. Comment va-t-il m'humilier au bureau ? Combien de temps va-t-il se passer avant qu’il ne me baise et me soulage ? Mon esprit reste concentré sur ces questions. Tout le reste m'importe peu.

Je laisse ma serviette blanche glisser sur le sol et je m'agenouille au milieu de mon salon complètement nue. J'ai une impression de déjà-vu et le souvenir de l'expédition au centre commercial samedi dernier ravive mon excitation. Je veux que Daniel sorte sa grosse bite de son pantalon et me laisse la toucher. Je veux avaler sa queue et la sucer ici et maintenant. Toutefois mon stagiaire ne me fait pas cette faveur. Il incline la tête sur ma soumission volontaire.

- Alors, est-ce que je t'ai manqué hier ? Demande-t-il sur un ton neutre.

Je ne sais pas trop que répondre. Dimanche, j'ai rencontré des amies lors d'un brunch. Nous avons bien discuté et rigolé toutes ensemble. J'ai eu l'impression que c'était un dimanche comme ceux que j'avais vécu auparavant.

Toute fois quelque chose était différent. Bien sûr, j'avais commencé ma journée en frottant mon clitoris pendant cinq minutes et j'avais été sur le point de jouir. Même si je n'étais pas au bureau, j'ai continué à suivre les règles de Daniel. Et je me suis même masturbée par deux fois avant de partir pour le brunch.

- J'ai suivi vos règles et je me suis masturbée comme vous l'avez ordonné Monsieur Daniel. Dis-je finalement au voyou, la fierté résonnant dans ma voix.

- Est-ce que tu as joui petite chatte ? Demande-t-il.

- Non Monsieur ! Je suis un bon animal de compagnie. Je ne vais pas enfreindre vos règles. Crié-je avec indignation.

Oh merde ! La facilité avec laquelle je me glisse dans la soumission me semble incroyable. Apparemment, j'ai atteint un point où seul la présence de Daniel est suffisante pour me soumettre. Je suis même impatiente.

Sa question n'est pas idiote tout compte fait. Ne pas avoir d'orgasme m'a gardé excitée tout le dimanche. Pendant le brunch, mon esprit dérivait vers des pensées sexuelles où Daniel utilisait mon corps comme il le voulait. J'étais tellement excitée que j'ai même renversé du café devant mes copines.

Mon excitation m'avait transformée en vraie nunuche. Je ne peux pas dire à quel point j'étais en colère contre moi-même. Néanmoins, lorsque je suis rentrée à la maison après le brunch, plus joyeuse et détendue, je ne me suis pas laissée aller. Je n'ai pas cherché à jouir. Et maintenant, ma chatte continue à me picoter à cause de mes désirs insatisfaits. Je suppose que les règles de Daniel ont des effets à long terme.

- C'est bon à savoir. Doucement, tu deviens une bonne chienne de compagnie obéissante. Tu sais ce qui est bien pour toi petite chatte ! Me dit Daniel.

Ses mots envoient des décharges dans ma chatte. La façon dont il me parle me réduit à une salope envieuse de sexe. Mais il a raison. Au cours des dernières semaines, j'ai beaucoup appris sur moi. Laisser un dominateur me contrôler a augmenté mes envies. J'ai besoin d'un homme pour me dominer et je  veux que ce soit Daniel. Me soumettre à cet arrogant macho m'a ouvert un nouveau monde de désirs et de satisfactions. Et j'en ai encore besoin.

- Il est temps d'utiliser les tenues achetées, n'est-ce pas Miss Allumeuse ? Demande le jeune latino en entrant dans ma chambre.

- Je dois avoir l'air respectable au travail Monsieur. Protesté-je doucement en restant à genoux dans le salon.

- Tu veux sauver la face hein ? Mais tu sais ce que l'on dit ? Une salope reste une salope, peut importe la tenue ou le rang social. Hé hé hé hé ! Se moque mon stagiaire.

- On a acheté de superbes tenues de salope. Ça serait dommage de ne pas les utiliser. Continue-t-il en fouillant dans ma garde-robe.

En revenant dans le salon, il tient une des tenues que je redoute le plus. Je dois protester.

- S’il vous plaît Monsieur, je ne peux pas porter ça. Ce n’est pas approprié pour une directrice. Vous ne voulez pas que notre secret soit dévoilé non ?

Sans réagir à mes objections, Daniel s’avance devant moi et commence à jouer avec mes seins, en pétrissant ma chair et en pinçant les tétons jusqu’à ce que mes protestations se transforment en gémissements. Je suis déjà tellement excitée que le jus de ma chatte coule sur le sol.

- Qu’est-ce que tu vas porter aujourd’hui au travail petite chatte ? Demande le voyou tout en continuant de jouer avec mes mamelons.

- Oohhhhhh… Putain ! Oooohhh ! N’importe quoi que vous vouliez Monsieur. Faites-moi ressembler à une vraie pute de bureau Monsieur. Laissé-je échapper, envahie par le désir.

Avec cette concession, l’accord est scellé. Dans ma tête tourne un tourbillon de sentiments contradictoires. C’est si bon de se faire dire quoi porter et comment agir. Mais c’est effrayant les risques que je prends à m’exposer au travail.

La tenue comprend un corset imprimé léopard avec des bonnets en dentelle noire, une découpe sur le devant et des jarretières. Les bonnets sont totalement transparents et la découpe laisse la marque « LGZ » bien visible. Les jarretières tiennent des bas noirs et fins se finissant par un motif léopard.

Mais je suis autorisée à porter une veste de tailleur blanche à la mode avec des boutons noirs, ainsi qu’une jupe en cuir noir qui couvre le bas du corset ouvert. Je soupire de soulagement quand je remarque que la veste recouvre complètement le corset. Enfin, je combine tout ça avec une paire de bottes en cuir noir qui arrivent dix centimètres en dessous de mes genoux, avec des talons hauts et des bouts pointus. Je ressemble quand même à une femme d’affaires, du moins dans une certaine mesure.

Bien il y a quelques détails osés. La veste est assez courte et coupée si profondément qu’elle laisse apparaître le haut de mes gros seins. Si je marche trop vite, les bonnets en dentelle menacent de glisser sous ma poitrine et de la relever. Et si je me retourne un peu vite, la veste révèle le tissu léopard qui recouvre mes hanches. La jupe n’est pas tellement mieux car elle est très serrée et le cuir brille, soulignant mon gros cul. Quoi qu’il en soit, cette tenue va me garder sur le qui-vive tout le temps.

De dehors, la jupe en cuir noir et les bottes vont parfaitement ensemble. Combiné avec la veste de tailleur, la tenue est extrêmement sexy mais classe quand même. Mais ça ne m’aide pas que je sache que je porte en dessous un corset de pute qui épouse mon corps. Mes subordonnées ne le verront pas, mais j’en serai consciente. Je vais me sentir comme une chienne toute la journée.

Cependant, Daniel n’a pas fini de décorer mon corps. Il choisit quelques accessoires supplémentaires que je dois porter. Il orne mes bras avec le bracelet en argent avec la petite règle sur mon poignet droit et un groupe de minces bracelets en argent sur mon poignet gauche. Comme boucles d’oreille, il me fait porter la paire e argent avec de grands cerceaux.

Quand j’ai fini de m’habiller, le latino me fait parader dans mon salon comme un mannequin haut de gamme qui se pavane sur un podium. A chaque pas, les bracelets sonnent à mon poignet et les boucles d’oreille frappe mes joues. Et le corset menace de glisser. Je suis habillée pour aller au bureau.

Toutefois les commentaires élogieux de mon stagiaire me font sourire. Ma tenue n’est peut-être pas vraiment approprié pour le travail, mais le plus important est qu’elle plaise à Daniel. Oh mon Dieu, que m’arrive-t-il ? La directrice ambitieuse qui donnait tout à sa carrière est devenue une bimbo timide qui désire plaire à son homme.

- Il manque encore une chose, le maquillage. Dit le latino après avoir longuement reluqué ma tenue.

Puis il ajoute :

- Et ne sois pas radine sur le mascara et le rouge à lèvres Miss Pute de Bureau.

Jusqu’à présent, je n’ai jamais utilisé beaucoup de maquillage, même lorsque je sortais en ville. Je me suis toujours considérée comme naturellement belle et je me fiais à mes yeux étincelants et à mon sourire éclatant plutôt qu’à des artifices. Un peu de fard à paupières et de rouge à lèvres suffisait amplement, je n’étais jamais allée plus loin.

De toute évidence Daniel est déterminé à changer ça. Cependant je dois admettre que ça se marie bien avec  les ongles longs que je porte. Je me conforme à ses instructions et je m’avance devant le miroir de la salle de bain. Après avoir mis du mascara noir pour me donner des cils luxuriants, j’applique une ombre à paupières foncé pour obtenir un effet brumeux. Enfin, j’utilise un rouge à lèvres ton pêche avec un brillant à lèvres épais.

En me regardant dans le miroir, je vois la tenue accentuer ma silhouette et souligner ma grosse poitrine. Mon maquillage donne un effet étincelant à mes yeux bleus. Je ressemble à une chaude aguicheuse et non à une directrice de société.

Est-ce que mes employés vont commenter ma tenue ? Est-ce qu’ils vont parler dans mon dos ? Est-ce qu’ils vont vouloir m’aborder normalement ? Je ne peux pas m’empêcher de réfléchir à toutes ces questions sur le trajet du travail.

Une chose est certaine pourtant. Anticiper la réaction de mes subordonnés et les instructions vicieuses de Daniel font vibrer mon corps d’envie. Quelle journée ennuyeuse je passerai au bureau sans mon stagiaire pour me contrôler !

Pendant le trajet, Daniel passe continuellement sa main de haut en bas sur mes jambes nues. Il la glisse sous ma jupe en cuir moulante. A un feu, il touche même ma chatte. Ce qui faite que je suis complètement dans les brumes. Je suis tellement prête à me faire baiser. Et même si nous somme arrivés au travail.

Après avoir garé ma petite voiture de sport, je laisse Daniel partir et j'attends plusieurs minutes avant d'entrer dans le bâtiment. Je veux être sûre que personne ne nous a vu faire le trajet ensemble dans ma voiture. Tout en allant dans la salle de pause pour y prendre mon café habituel du matin, j'ai l'impression d'être l'agneau qui part à l'abattoir.

Clic, gling, clic, gling…

Le son des bracelets en argent se heurtant sur mon poignet et des talons de mes bottes claquant sur le sol me suit. Mes nouveaux bijoux scintillants semblent éblouir tous les employés que je rencontre. Et ma jupe moulante en cuir noir qui serre mon gros cul est comme un aimant sur mon passage.

Et merde ! Je n'aurais pas plus attiré l'attention sur moi que si je m'étais promenée avec seulement le corset léopard. Cependant, dans mon état d'excitation, je ne fais pas attention aux regards. Et tant que je ne fais pas l'objet d'une conduite obscène ou d'un comportement indécent, tout va bien non ?

Daniel me laisse tranquille pendant une heure environ. Ce qui me permet de faire un vrai travail. Après tout, je suis à la tête d'un département de dix employés. Je ne peux pas me plaindre d'un manque de travail. Et puis, avec la crise financière, les affaires ne vont pas si bien que dans le passé, si bien que nous devons procéder à une restructuration. Plusieurs licenciements sont inévitables. ORTEGA et moi avons été chargé de vérifier la qualité de travail de tous les employés. La décision de réduire de quatre à deux le nombre de nos assistants de bureau a déjà été prise. Seul le nom des assistants que nous allons licencier n'est pas encore décidé.

J'ai un problème toutefois. Taper sur le clavier avec mes faux ongles longs s'avère difficile. Je n'ai pas encore trouvé l'astuce pour bien appuyer sur les touches. Duc coup ça me ralentit et je n'avance pas beaucoup dans mon travail. Lorsque enfin Daniel franchit la porte de mon bureau, je suis presque heureuse de pouvoir détourner mon attention de mon clavier.

- Prête pour ton petit défi quotidien Miss Pute de Bureau ? Demande-t-il.

Je ne réponds même pas à sa question qui est purement formelle. De toute façon je n'ai pas le choix. Mais pour être honnête, j'attends ce défi avec impatience. Avec mes pensées qui se concentrent sur le sexe, ça va être le clou de ma journée.

Daniel m'explique alors :

- C'est facile. A chaque fois que tu vas recevoir un mail avec une pièce jointe, tu devras te rendre dans un lieu, prendre un objet et baiser une partie de ton corps avec. Tu feras un lancer de dé pour définir le lieu, un autre pour la partie du corps, et un autre pour le nombre de fois. Compris ?

Une fois encore la créativité de mon stagiaire pour les défis humiliants me surprend. C'est tellement vicieux, lubrique et dégradant. Pour la première fois, le frisson d'anticipation est plus grand que la peur de se faire prendre. C'est vraiment plus un défi qu'une tâche humiliante.

- Maintenant, regarde si tu as des e-mails avec pièces jointes ! Ordonne Daniel en tirant un dé se sa poche et en le jetant sur mon bureau.

Mon cœur bat la chamade quand je me tourne vers mon ordinateur et que je vérifie ma messagerie. Bien sûr, j'ai reçu un message avec une pièce jointe. Comme je suis directrice d'un département, je reçois des tonnes de courriers électroniques au cours d'une journée de travail, et beaucoup sont accompagnés de documents de présentation.

Je vais jeter le dé toute la journée. Ma chatte va bouillir. Mais attends ! Mon esprit embrumé par la luxure, j'ai presque manqué un détail important. Qu'en est-il des lieux ? Veut-il que je fasse ce défi dans les bureaux de mes subordonnés. Il a perdu l'esprit !

Avant que je finisse de réfléchir, Daniel est déjà en train de me mettre le dé dans la main.

- Ok salope ! Prends cette liste pour que tu saches quels lieux et parties de ton corps sont définis par le chiffre tiré. Dit-il en me tendant un morceau de papier.

Sur cette feuille, je peux lire :
« Lieux : 1 = ton bureau, 2 = salle du café, 3 = bureau des stagiaires, 4 – bureau d'un subordonné, 5 = Bureau d'ORTEGA, 6 = Bureau du directeur O'BANNON. »
« Parties du corps : 1 = bouche, 2 = mamelons, 3 = clitoris, 4 = chatte, 5 = trou du cul, 6 = seins et cul. »
« Nombre de fois : Chiffre du dé x 2 »

La lecture des différents lieux me coupe le souffle. Je ne peux quand même pas entrer dans le bureau d'un de mes subordonnés, prendre un objet et le fourrer dans ma chatte n'est-ce pas ? Même si j'ai très envie d'exécuter ce défi, j'ai peu de chance de le réussir.

Mais mince alors ! Qu'est-ce que j'ai appris dans ma formation en gestion de crise ? Des objectifs plus élevés demandent un effort plus important. Toutefois, pour le moment il s'agit d'objectifs ambitieux qui me procurent une grosse excitation. Mon Dieu, mon esprit est tellement concentré sur le sexe que ça influe ma manière de penser.

C'est un défi, mais il va étancher mes désirs. C'est exactement ce que je cherche non ? Tant que je reste concentrée je peux le faire !

Toujours nerveuse cependant, je prends le dé et je le lance. Mon cœur s'arrête de battre alors que je le regarde rouler sur mon bureau. Je suis envoûtée par ce petit cube. Je n'ose même pas respirer tant que le dé ne s'est pas arrêté. C'est un 2.

Il me faut un moment pour comprendre le résultat. Je dois aller à la salle de café. Ouf, ce n'est pas si mal pour un début. Il y a toujours de nombreux moments où il n'y a personne dans cette pièce.

Je prends le dé et je le lance encore deux fois, retenant mon souffle en le regardant rouler. Je fais 4 et 3. Je dois mettre quelque chose dans ma chatte et la baiser avec six fois.

Au moment où je réalise l'ampleur de la tâche, mon esprit commence à fonctionner. Je réfléchis à tous les objets que je peux trouver dans la salle à café, mais je ne trouve rien d'utilisable. Mon cœur accélère alors que je me lève.

Je remarque à peine que je descends les escaliers et que je passe devant le bureau des stagiaires. Je transpire sous la tension. Mon esprit est complètement concentré sur l'accomplissement de cette tâche. Daniel me suit avec désinvolture.

Quand j'entre dans la pièce, Marcus, un beau jeune homme de mon équipe qui a juste vingt ans, se prépare un café. Il me salue et commence à me parler de son week-end. Bien que j'essaie de montrer de l'intérêt à ce qu'il dit, je l'écoute à peine. Dansant nerveusement d'un pied sur l'autre, je regarde dans la salle. Je dois trouver un objet que je peux utiliser et je dois être rapide. Je n'arrive pas à m'imaginer que quelqu'un me voit me baiser la chatte avec des ustensiles de cuisine. Je ne peux pas risquer ça !

Le café prêt, Marcus ne s'éloigne pas pour autant. Il continue de bavarder pendant que je me prépare une tasse de thé. Et pendant ce temps, je vois Daniel attendre devant la porte et regarder furtivement à l’intérieur. Ma nervosité augmente de seconde en seconde. Marcus ne part pas, augmentant les chances qu'une autre personne arrive.

Quand finalement il s'en va, je suis frénétique. Cette salle de café est équipée de façon sommaire, il n'y a donc pas beaucoup d'ustensiles. J'ouvre à la hâte un tiroir à la recherche de quelques cuillères à café. Mais il n'y en a pas. Soit elles sont sales, soit elles sont au lave-vaisselle.

Bon sang ! J'ai tellement misé sur le manche d'une cuillère. Ça me laisse sans autre idée. Je ne suis pas loin de crier de frustration. Je me retourne fébrilement dans un sens et dans l'autre afin de chercher quelque chose d'utile. A ce moment, je suis prête à prendre n'importe quoi. Je ne peux pas dire cependant, si c'est ma volonté de finir ce défi ou le besoin d'enfoncer quelque chose dans ma chatte qui me pousse.

Soudain, mes yeux aperçoivent un panier de fruits. Il y a des pommes, des poires et des bananes à l’intérieur. Quelqu'un avait dû les amener. Profitant de ma chance, je me rue sur le panier.

Les fruits sont assez gros, mais je n'ai pas le temps de faire la difficile. A cette heure de la journée, il y a un flux constant de collègues qui viennent prendre un café. Il n'est qu'une question de minutes avant qu'un autre employé entre. Je dois prendre ce qu'il y a, alors je saisis une banane.

En me retournant, je vois Daniel au milieu de la porte, en train de me regarder. Je ne vois personne derrière lui. Je suis encore en sécurité. Sachant qu'il attend que j'agisse, je relève ma jupe en cuir pour révéler ma chatte nue et je plie légèrement mes genoux en écartant les jambes.

Avec mes doigts fraîchement manucurés, j'écarte mes petites lèvres et révèle la chair rose de ma chatte. Je trouve surréaliste de me trouver dans la salle de café de l’entreprise alors que tout le monde travaille autour de moi et de montrer à Daniel mon sexe rasé. Son scénario me fait me sentir comme une vraie pute. Mais ça m’excite tellement. J’étouffe un gémissement quand je touche ma fente hypersensible.

De ma main libre, j’avance la banane jusqu’à mon entrejambe et je la place directement à l’entrée de mon vagin. Ensuite, j’enfonce lentement le fruit long et dur dans ma chatte.

MON DIEU ! Les sensations que je ressens me font fermer les yeux. C’est difficile pour moi de me contrôler et de réprimer mes gémissements. Mes hanches bougent toutes seules pour enfoncer ma chatte sur la banane.

Enfin, après toutes les masturbations de hier, ma chatte est enfin remplie. Ça fait si longtemps que je le voulais. Mais maintenant je ne peux pas vraiment en profiter. Il faut que je fasse attention et que je termine  rapidement cette tâche.

Mon sexe saisit la banane et la serre. Je ne veux pas la laisser partir. Cependant, je dois me baiser avec et je dois la sortir et la rentrer encore cinq fois. Après l’avoir complètement retirée, je la fais glisser de long en large sur mes petites lèvres puis je la presse contre mon clitoris engorgé.

Le plaisir me frappe comme un marteau sur la tête et je tremble sur mes jambes. Je bascule presque au sol. Pour rester debout, je dois attraper le comptoir de la salle de café. Après avoir repris de grandes inspirations, je remets la banane à l’entrée de ma chatte et je la pousse à l’intérieur. Après quatre va-et-vient, des bruits humides accompagnent la banane. Le son est si fort que je crains que les employés des bureaux voisins entendent.

- Ooooohhhh…

Je n’ai finalement pas pu m’empêcher de gémir lorsque je pénètre une cinquième fois ma chatte avec le fruit.

Je suis trop excitée. Je ne peux plus me retenir. Je suis sur le point de perdre le contrôle. Il faut que j’en finisse avec ça ou je ne m’arrêterai pas avant d’avoir joui.

- OOOOOOHHHH…

Je gémis encore plus fort lors de la sixième poussée dans mon sexe.

La banane est dans ma chatte quand soudainement, Stephen, l’un des membres de l’équipe d’ORTEGA tourne au coin du couloir. Il se dirige vers la salle de café. Il va me remarquer d’une seconde à l’autre.

Son apparition soudaine me surprend tellement que je me redresse immédiatement et me fige sur place. Je lâche tout, jupe et banane. La jupe en cuir descend et recouvre ma chatte nue. Heureusement mon sexe apprécie tellement le fruit qu’il le serre fermement, refusant de le laisser partir.

Quelques secondes plus tard, Stephen passe devant Daniel et entre dans la pièce. Il me salue avant de tourner son attention vers la machine à café.

- Est-ce que vous venez de crier ? J’ai entendu des gémissements ou quelque chose qui y ressemblait. Me demande-t-il.

Il a entendu mes gémissements ! Je suis sur le point de me faire découvrir. Il faut que je trouve une excuse.

- Oh ! Ce n’est rien, je me suis brûlé la langue avec le café chaud. C’est tout. Dis-je en essayant de ne rien laisser paraître de mon trouble.

Stephen a gobé mon excuse. Il me dit :

- Oui, je sais ce que vous voulez dire. Le café est toujours brûlant quand il sort de cette machine.

Debout comme une biche prise dans les phares d’une auto, je ne sais pas quoi faire. Tout ce que je sais, c’est que mon visage doit être rouge dans les tons les plus sombres. J’ai une banane fourrée dans ma chatte.

Stephen me parle en attendant son café. Tout ce temps, je serre les muscles de ma chatte aussi fort que je peux pour empêcher le fruit de tomber. Comment réagirait-il s’il voyait une banane tomber de dessous ma jupe ?

Toutefois, il ne remarque pas ma posture in confortable. Au lieu de ça, ses yeux passent de mes boucles d’oreilles style latino à mes bracelets étincelants en argent et à mes ongles longs.

Il hausse un sourcil en remarquant mon changement de style, mais il ne dit rien. Ce n’est pas difficile pour moi de deviner ses pensées toutefois. Il doit croire que je panique à l’idée de rester célibataire à plus de trente ans et que je me maquille et m’habille comme une cougar désespérée à la recherche d’un homme. Que c’est embarrassant !

- Mle ADDAMS, je suis désolé de vous interrompre, mais nous devons nous dépêcher. Votre réunion commence bientôt. Dit Daniel pour me sauver de cette situation dangereuse.

- Désolé Stephen, je dois y aller.

Je profite de l’occasion pour m’excuser. L’homme acquiesce simplement et reporte son attention sur la machine à café. Derrière Daniel, je sors de la salle. Mais on ne peut pas dire que je marche. Avec la banane dans ma chatte, je suis plutôt chancelante, les jambes tordues. Mon cœur bat à tout rompre. A chaque pas, je crains que la banane glisse et tombe. Je suis ridicule à marcher dans le couloir et monter les escaliers les cuisses et genoux serrés.

Par chance, je ne rencontre aucun autre employé avant d’arriver à l’étage. Pendant tout ce temps, ma chatte a vraiment apprécié d’être remplie si bien que la montée des escaliers s’avère difficile. A chaque pas, mon sexe devient plus humide. Et lentement je perds mon emprise sur le fruit.

BOUM !

Au moment où j’atteins l’étage, ça arrive. Ma chatte est trop mouillée et je ne serre plus assez. La banane glisse et tombe au sol.

- Merde ! Dis-je désespérée.

J’essaie de me pencher pour attraper le fruit, mais c’est trop tard. O’BANNON sort de son bureau.

Nonnnnnn ! C’est pas possible ! Ça ne peut pas arriver !

En voyant mon patron, je me redresse rapidement en laissant la banane par terre. Comme j’étais courbée, ma jupe en cuir noir était remontée. Je ne pouvais risquer que mon patron voit ma chatte nue. La banane brille sur le sol, mais je n’ose pas la ramasser avant que O’BANNON soit passé.

- Tout va bien ? Me demande le PDG de la société en se rapprochant de moi.

Je réponds à la hâte :

- Oui Monsieur. Je viens juste de faire tomber mon déjeuner.

- Laissez-moi vous aider ! Dit O’BANNON qui ne semble pas avoir pris conscience de ma tenue sexy et de mon visage tout rouge.

Avant d’avoir l’occasion de décliner son aide, il se baisse et attrape la banane. Elle est couverte du jus de ma chatte et il la touche. Pourtant ça ne semble pas le gêner. Il me donne le fruit et continue son chemin. Ça aurait été la chose la plus honteuse de ma vie s’il avait découvert que je l’avais mis dans mon sexe.

Mais le plus important maintenant c’est que je suis en sécurité. Poussant un long souffle de soulagement, je poursuis mon chemin vers mon bureau avec la banane à la main. Je prie encore que mon patron n’ait pas remarqué l’état du fruit, ou du moins, qu’il n’y pense plus.

J’ai complètement oublié que Daniel m’avait devancé à l’étage. Il se tient dans mon bureau, un sourire malin sur son visage.

- C’était amusant n’est-ce pas ? Dit-il.

Avant que je ne puisse répondre non, il s'approche de moi et passe sa main sous ma jupe. Il touche grossièrement ma chatte pour sentir son humidité.

- On dirait que tu as aimé ça aussi salope ! Ta chatte coule comme un ruisseau. Déclare-t-il.

Il met ses doigts mouillés et brillants devant mon visage avant de dire :

- Maintenant, sois une bonne petite chienne, lèche ton jus sur la banane.

Trop excitée pour discuter, j'obéis simplement à son ordre et je lève la banane à ma bouche. Après avoir passé ma langue de haut en bas tout autour du fruit, je le glisse entre mes lèvres et je le suce pendant cinq bonnes minutes.

Cet acte est suffisant pour augmenter les démangeaisons dans ma chatte. Je suis affamée de bites et plus désespérée que jamais.  Et cependant, le défi avec le dé est loin d'être terminé.

L'heure suivant, j'ai l'impression de marcher sur des orties. A tout moment, je m'attends à avoir un nouveau message avec pièce jointe. Ma motivation pour lancer le dé et relever le défi est à son plus haut niveau. J'ai envie de prouver ma valeur à Daniel.

Toutefois, pendant plus d'une heure, je ne reçois aucun courrier électronique avec des pièces jointes. Pourtant je regarde plus ma messagerie que je ne fais un réel travail. Finalement, je reçois un document contenant certains calculs pour un projet de l'un de mes subordonnés. L'heure a sonné. J'envoie un message à Daniel.

« il est temps pour un nouveau défi »

« Enfin ! Je commençais à penser que tu te foutais de moi. Amène ton cul ici salope et apporte le dé » Me répond mon stagiaire

Ce voyou latino ne veut pas venir à mon bureau. Il veut que je le rejoigne au bureau des stagiaires et que je jette le dé sous les yeux des autres. C'est vraiment plus humiliant ! Et tellement plus dangereux !

Malgré tout je n'hésite pas et je sors immédiatement de mon bureau avec le dé dans la main. Je rejoins le bureau des stagiaires en essayant d'avoir l'air confiant malgré la boule dans ma gorge. De toute façon, tous les stagiaires ont vu ma tenue donc je n'ai pas à la cacher.

Seuls Daniel et Taylor sont dans le bureau. Le joueur de football noir est le plus timide des stagiaires. Il n'ose même pas me regarder comme les autres le font quand j'entre dans le bureau. C'est un bon début pour mon défi.

Après avoir marché jusqu'au bureau de Daniel, je lance le dé et fait un cinq en premier. Je regarde le dé avec incrédulité. Eh bien pas de chance, je dois aller dans le bureau d'ORTEGA. Je dois pénétrer dans le bureau de mon rival pour la tête de la société et y réaliser un acte obscène.

Perdu dans mes idées, je lance le dé encore deux fois. Je fais un 3 et un 2. Je dois donc frotter mon clitoris quatre fois avec un objet trouvé dans le bureau d'ORTEGA. Je me dis que ça va être très dur, le bureau d'ORTEGA étant le lieu que je voulais éviter.

La peur prend le dessus, mais ne me fait pas douter de ma détermination. En sortant du bureau des stagiaires, je ne vais pas directement au bureau d'ORTEGA. Je dois être intelligente. Donc je retourne à mon bureau et je laisse la porte ouverte. De cette façon, je peux voir le bureau de mon rival situé en face du mien.

Près d'une demi-heure s'écoule avant qu'ORTEGA quitte son bureau. Je ne sais pas pendant combien de temps il va être parti, mais je dois prendre le risque. Une autre opportunité ne se présentera pas peut-être.

Les jambes tremblantes, je me précipite vers le bureau en face du mien. J'ouvre la porte et je me glisse à l'intérieur.

Waouhhhh, que c'est excitant !

Prenant une grande respiration, je regarde partout. Je dois trouver quelque chose à frotter sur mon clitoris. Je suis excitée à cette seule pensée. Mais que puis-je utiliser ?

Le bureau d'ORTEGA est bien rangé. Il n'y a pas beaucoup de choses sur son bureau. Et je ne peux pas simplement utiliser un stylo, c'est trop simple. Daniel sera déçu de mon manque de créativité.

Je dois trouver quelque de spécial. Mais quoi ? Je perds du temps ! A tout moment Ortega peut revenir. Il n'y a rien d'utile sur son bureau. Je dois trouver autre chose.

Tournant sur moi-même mes yeux se posent sur la porte. Je deviens désespérée. Rien ne joue en ma faveur.

Perdue, j'ai une idée idiote. Sur mes bottes en cuir à hauts talons, je retourne à la porte. Je me retourne et je me penche. Puis je tends la main pour relever ma jupe noire. Ensuite j’attrape mes petites lèvres avec mes deux mains. En les tenant entre l'index et le pouce j'ouvre ma chatte. Puis je pousse mes hanches.

- UUUUHHHH !

Je laisse échapper un soupir lorsque je sens la poignée  de porte en laiton froid se poser contre ma chatte sensible. Mais je n'arrête pas mon action. Je pousse fermement mon sexe contre le bouton rond tout en me levant sur la pointe des pieds. Je fais glisser ma chatte jusqu'à ce que je sente le métal froid contre mon précieux petit clitoris.

- Oooooohhhh ! Gémis-je.

Une décharge électrique explose dans mes reins quand mon clito est touché. C'est tellement bon. Tous mes désirs reviennent avec force. Et à ce moment, je suis déçu de n'avoir fait qu'un 2 pour le nombre de fois. Je ne peux que frotter quatre fois mon clitoris sur la poignée de la porte-bébé

C'est complètement fou n'est-ce pas ? Je me tiens dans le bureau de mon rival, penchée sur la pointe des pieds avec mes mains derrière mon cul tenant ma chatte ouverte. C'est une position extrêmement vulnérable. Pourtant je ne me soucie plus du danger pour le moment. Tout ce qui m'importe c'est mon excitation qui endort ma conscience.

- ohhh… Mmmm… Mmmmm !

J'essaie d'étouffer mes gémissements, mais je ne peux les empêcher. Plusieurs s'échappent de mes lèvres. Les quatre frottements demandés sont vite finis. Après le dernier je peux sentir un orgasme enfler dans mon ventre. Je m'en rapproche très près. Mon corps a besoin d'être libéré. 

Je ne peux pas m'arrêter ! Je ne peux tout simplement pas m’arrêter bien que mon esprit dise le contraire. Ça ne suffit pas. Alors je continue à frotter mon clitoris sur la poignée de la porte. Une cinquième fois. Une sixième. Je vais jouir !

Soudain je sens une poussée sur la porte. Elle commence à s'ouvrir. Je suis poussée en avant.

C'est tellement inattendu que je trébuche et tombe la face en avant. A la dernière seconde, je pose une main sur le sol pour rester sur mes jambes. La porte est à moitié ouverte et ma jupe est encore retroussée autour de mes hanches. La panique me saisit. Frénétiquement je baisse ma jupe, juste à temps avant qu'ORTEGA entre dans le bureau.

Je lui fait face, les joues cramoisies. Il n'a pas vu mon cul hein ? Je ne crois pas, car il me regarde simplement surpris. Il ne s'attendait pas à ce qu'il y ait quelqu'un dans son bureau.

- Qu'est-ce que… Qu'est-ce qui se passe ici Mle ADDAMS ? Demande-t-il pris de court.

Puis il répète, sa voix devenant plus aiguë :

- Quel est le problème ? Que faites-vous dans mon bureau ?

ORTEGA n'a jamais essayé de cacher son aversion pour moi. Il n'aime certainement pas que je sois dans son bureau. Il doit penser que j'essaie de trouver des informations que je pourrais utiliser contre lui.

- Je… Je… Je cherchais des informations sur un de vos vieux projets. Bégayé-je.

Je commence à devenir bonne à trouver des excuses idiotes.

- J'en ai besoin de toute urgence. Et vous n'étiez pas là, alors je l'ai cherché moi-même. Je veux juste ce dossier et je m'en vais. Ok ! Ajouté-je d'une voix que je force à être plus ferme.

Je n'ai pas de respect pour ce connard. Je suis plus intelligente. J'apporte de meilleurs projets. Je fais rentrer plus d'argent. Je mérite de devenir la prochaine PDG de cette entreprise. Peu importe comment je m'habille pour le travail.

Avant que nous nous lancions dans une discussion houleuse, je saisis un dossier au hasard et je sors rapidement du bureau. Cette petite dispute a étouffé mon excitation pour de bon. Mais j'ai fait le boulot demandé par ce deuxième groupe de lancer de dé.

A l'heure du déjeuner, je suis de nouveau sur des charbons ardents. Presque étourdie par le désir, j'espère que chaque nouveau courrier électronique aura une pièce jointe. Mais aux cours des heures qui suivent, je n'en reçois pas. Il se fait tard.

BIP.

Ce son annonce un nouvel email. Un document y est joint. Je saute presque de mon fauteuil. Est-ce la nervosité ou de l'excitation ? Je ne peux pas le dire. Toutes mes sensations se fondent un sentiment de besoin unique et accablant.

Une fois encore, j'envoie un message à Daniel et, munie du dé, je descends au bureau des stagiaires. Cette fois-ci ils sont tous présents. Ce n'est pas bon.

Matt et Justin s'arrêtent immédiatement de travailler lorsque j'entre dans le bureau. Contrairement à Taylor, ils détaillent largement mon corps. Bon sang, je suis tentée de rouler du cul tout en me déplaçant vers le bureau de Daniel.

Essayant d'agir aussi discrètement que possible, je demande au jeune latino quels sont ses progrès dans son projet. Pendant ce temps, je lance le dé trois fois. Je fais 2 , 5 et 4. Je dois accomplir ce défi dans le bureau des stagiaires alors qu'ils sont tous présents ! Et je dois pousser un objet dans mon petit trou du cul serré ! Et je dois le faire huit fois.

Je jette un coup d’œil inquiet à Daniel. Veut-il vraiment que je remplisse ce défi avec les autres stagiaires présents ? Ce n'est plus un défi, c'est mission impossible.

Je réfléchis et je me dis que je pourrais leur donner des ordres et travaux à faire pour qu'ils quittent le bureau. Toutefois, le signe de tête sévère de Daniel anéantit mes espoirs. Je dois m'exécuter tout de suite.

Ma nervosité est au plus haut niveau, mais mon enthousiasme n'est pas loin derrière. Je ne peux rester immobile, je tremble d'anticipation comme une feuille. Je ne me suis jamais sentie aussi vicieuse.

Mais au moins les trois autres jeunes sont assis de l'autre côté de la salle. Tans qu'ils restent assis, ils ne peuvent voir que mon visage. Le reste de mon corps est caché derrière les demi-cloisons du petit bureau. Quelles sont les chances qu'ils se lèvent ?

Mon cœur bat rapidement, je cherche un objet à utiliser. Il n'y a pas d'objets utilisables sur le bureau de Daniel. Je peux difficilement utiliser la souris d'ordinateur, non ?

En me déplaçant vers les bureaux inoccupés à la recherche d'un objet approprié, je les trouve aussi vide que celui du latino. Seuls quelques dossiers, claviers et souris traînent par-ci par-là. Finalement mes yeux tombent sur un porte-crayon. Un stylo ira très bien après tout. Le problème est qu'il se trouve sur le bureau de Taylor.

- Taylor s'il vous plaît, pourriez-vous me donner un stylo ? J'ai besoin de prendre des notes.  Demandé-je au jeune homme noir en affichant un grand sourire.

Sans hésiter, il attrape un stylo. Mais ce n'est pas un stylo à bille, il s'agit plutôt d'un gros feutre style marqueur. Son manche est beaucoup plus épais qu'un stylo ordinaire. Il n'est vraiment pas facile ce défi n'est-ce pas ?

Tout en remerciant Taylor, j'attrape le feutre et je retourne au bureau de Daniel. Je sens les yeux de tous les stagiaires collés à mon cul.

- Vous avez fait toutes les copies ? Demandé-je à Daniel pour rester discrète.

- Oui c'est fait !

Le jeune latino joue le jeu en restant dans son rôle de stagiaire. Toutefois il ne le fait qu'en paroles. Car tout en me parlant, il passe sa main sous ma jupe et commence à me pétrir les fesses. Je ne peux pas lui claquer la main sans attirer l'attention. Je ne peux qu'être reconnaissante que mon cul soit caché derrière les demi-cloisons.

- Oh ! Haleté-je quand je sens sa main sur mon cul nu.

Immédiatement j'essaie d'étouffer le son, mais c'est trop tard. L'attention des trois autres est de nouveau sur moi.

- Oh ! Vous avez fait un excellent travail ! Dis-je pour essayer de me sortir de cette situation gênante.

Je peux sentir le danger arriver. A tout moment, nous pouvons être vus. C'est une situation complètement indécente. La puissante directrice laisse un stagiaire lui peloter le cul. Mais je vais y arriver !

Je dois terminer ce défi le plus rapidement possible. Alors je tends ma main en arrière et je commence à mettre le feutre entre mes fesses. Mais Daniel gifle ma main. Il m'indique de lui donner l'objet.

Avec hésitation, je lui donne le marqueur. Sans dire un mot il le tient devant moi. C'est ahurissant de savoir exactement ce que ce voyou macho veut me faire faire par ce simple geste. Il n'a même plus besoin de mots pour me faire comprendre ce qu'il veut.

Il tient le feutre au-dessus de son bureau. En me baissant, j’amène ma tête au niveau de l'objet et j'ouvre la bouche. Je suis sur le point de sucer un feutre alors que tous les stagiaires sont là. Quelle salope !

Sachant que l'objet doit rentrer dans mon cul, il faut que je le mouille bien pour le rendre plus glissant. Mon cul est difficile à prendre sans lubrifiant. Avec un frisson dans le dos, je pose mes lèvres sur le marqueur et je commence à le sucer. Je travaille dur sur le stylo, essayant d'avoir beaucoup de salive dans la bouche pour qu'il soit bien mouillé. Je fais une bonne fellation à un crayon.

Daniel laisse glisser mes lèvres de haut en bas du feutre huit fois avant de le retirer. Exactement le nombre que j'avais tiré. J'aurais aimé qu'il me laisse plus de temps pour me préparer. Mais au moins le marqueur est bien humide maintenant.

Le macho arrogant ne me donne toujours pas le stylo. Au lieu de cela, il tend la main et le tient derrière mes fesses. Une fois encore je comprends ses intentions. Je me penche plus, collant mes seins sur le bureau, et je remonte ma jupe en cuir noir pour dévoiler mon cul nu. Ensuite je me cambre et j'écarte mes fesses pour présenter mon trou du cul serré.

Je suis vraiment vulnérable dans cette position. Mais même si je suis consciente du fait que n’importe quel stagiaire peut voir mon cul et ma position de soumission s'il se lève, je n'hésite pas.

Daniel commence à faire courir le marqueur de haut en bas le long de ma raie des fesses, me faisant trembler et frissonner. Il se rapproche de ma chatte sensible et de mon clitoris engorgé. Mon excitation me fait passer d'un pied sur l'autre pendant que mon cul commence à tourner en rond.

Puis je sens l'objet sur l'entrée de mon trou du cul plissé. Daniel appuie la pointe dure conte mon petit anneau. Malgré tous mes efforts, je suis tellement nouée que je n'arrive pas à me détendre. Toutefois le latino ne cède pas. J'ai peur de commencer à grogner sous l'effort d'une seconde à l'autre. Ça attirera sûrement l'attention des autres stagiaires.

Je serre les dents pendant que Daniel tortille le feutre sur mon petit trou. Ça prend un temps fou avant que le marqueur ne soit à l’intérieur. Même s'il n'y a que la pointe que tient mon sphincter, Mon tourmenteur s'arrête. Il me laisse dans cette position de soumission, penchée sur son bureau, mes mains fraîchement manucurées écartant mes fesses et un stylo sortant de mon trou du cul comme une queue obscène.

Saisissant le stylo avec ma main droite, j'essaie de continuer le défi. Mais Daniel gifle ma main. Une fois encore, il ne me laisse pas utiliser le feutre par moi-même.

Je n'ai rien d'autre à faire que rester dans cette position humiliante et d'attendre le bon vouloir du latino. De seconde en seconde, mon cœur s'accélère. Je ne peux pas rester dans cette position éternellement ! Un des stagiaires va se lever à un moment ou un autre, et il va me voir comme ça !

Je commence à tortiller du cul pour tenter de séduire Daniel. J'essaie de l'inciter à me baiser le cul avec le crayon. Mais il ne réagit pas.

Il me faut un certain temps pour réaliser son intention. Il veut que je me baise sans utiliser les mains. Il veut que j'empale mes fesses sur le marqueur.

En poussant mon gros cul en arrière, je sens le feutre cogner contre la main de Daniel. Je continue à pousser en arrière et je sens l'objet glisser dans mon cul. Je ne m'arrête pas avant de sentir le bouchon cogner contre  mon anneau anal sensible.

Je serre et desserre mon cul tout en maintenant mes fesses écartées avec mes mains pour donner un spectacle à Daniel. Il regarde mon cul tout en tenant le marqueur.

CLAC !

Avec un bruit sec, il frappe mes fesses. Je retiens mon souffle. Ses collègues ont dû entendre le bruit.

- Tout va bien ?

La question de Justin confirme instantanément mes inquiétudes. Il a bien entendu. L'étudiant en droit commercial est sur le point de venir vérifier si tout va bien. Je dois sortir de cette situation. Je m'apprête à me relever de ma position penchée, mais immédiatement, je sens la main de Daniel sur mon dos pour me tenir fermement. Il ne me laisse pas bouger. Il dit à la place :

- Ouais tout va bien ! Mle ADDAMS vient de laisser tomber son crayon.

Pendant un moment, tout est silencieux dans la salle. Je peux presque entendre mon cœur battre dans ma poitrine. De toute évidence, les stagiaires réfléchissent à la réponse de Daniel. Mais le bruit de la claque ne ressemble pas à un stylo qui tombe sur le sol. Je prie pour qu'ils acceptent le mensonge. 

- OK ! Dit finalement Justin semblant accepter l’explication de Daniel.

Je laisse échapper un soupir de soulagement. J’étais pas loin de me faire prendre.

Néanmoins je dois terminer ce défi. Encore une fois, Daniel ne veut pas me prêter main forte. Je dois sortir le marqueur moi-même puis recommencer à pousser.

Bon sang, c’est trop vicieux ! Je me trouve dans le bureau des stagiaires en train de sortir un crayon de mon cul. Je me sens vraiment comme une dégénérée. Et en plus je le fais sous les yeux de Daniel. J’ai trop honte !

Sentant l’objet glisser lentement hors de mon cul, je continue d’écarter mes fesses avec mes mains aux ongles longs. Je dois faire attention de ne pas faire sortir totalement le crayon. Je ne peux pas le laisser tomber par terre. Les autres stagiaires ne comprendront pas que je le fasse une seconde fois.

Quand il reste seulement quelques centimètres de l’objet dans mon cul, je serre mon sphincter. Encore sept fois, ce défi va prendre du temps.

Une fois encore, je pousse mon cul en arrière jusqu’à ce qu’il cogne contre la main de Daniel et que le marqueur soit entré dans mon petit trou. Une fois de plus, le latino me laisse serrer et desserrer mes fesses pour son plus grand plaisir. Et cette fois je dois le faire plus longtemps que la fois d’avant. Heureusement il s’abstient de me claquer le cul une nouvelle fois pour me dire d’arrêter. Au lieu de cela, il me pince la fesse gauche. Ç’est douloureux mais inaudible.

Je répète la procédure six fois de plus. A chaque fois, je dois tortiller des fesses un peu plus longtemps. Et à chaque fois il me pince les fesses en alternance. Durant tout ce temps, je reste penchée, mes gros seins écrasés sur le bureau et mes fesses écartées par mes mains.

Je ne sais pas combien de temps ça prend, mais ça ressemble à un gros cours de gym qui me laisse épuisée. Seulement huit poussées dans mon cul, ça paraît simple non ? Ça ne l’est pas cependant ! J’ai l’impression d’avoir été baisée sans fin.

Contrairement à mon attente, Daniel n’a pas fini ce défi. Quand il pince mes fesses pour la dernière fois, il ne me laisse pas sortir le marqueur. Il dit :

- Maintenant souris et fais signe à la caméra !

Je sursaute. La caméra ? De quoi il parle ?

Avec un sourire vicieux sur le visage, il pointe son doigt sur la webcam au-dessus de son écran. Et il agrandit l’application de messagerie instantanée qui avait été réduite. Je me rends compte qu’il y a une vidéoconférence en cours. Et je vois les visages de Matt, Taylor et Justin me regarder.

A suivre…

samedi 23 décembre 2023

Le dressage d'Aline - Ch. 04

Récit de Vadrouille.

*****

Aline de plus en plus chienne et soumise.

Pour une fois, je niquais Aline chez elle… une première !!! Elle ose amener un homme chez elle dans son quartier résidentiel. En même temps, elle ne prenait pas un gros risque, ses enfants n’étaient pas là.

Elle m’avait préparé un dîner de je ne sais plus quoi, rien à foutre, je n’étais pas là pour ça, mais juste pour la baiser et observer mon jouet dans son élément. Elle avait vraiment fait des efforts vestimentaires : une ultra mini jupe, maquillée limite pute, mmmmmmmmmmm ça me plait, string, bas et pas de soutien gorge, les nichons à l’air et bien visibles sous un chemisier presque transparent. Fallait quand même que je trouve quelque chose, je voulais qu’elle rampe donc trouver toujours quelque chose à redire. Elle doit sans cesse chercher à me plaire. 

— Pourquoi une culotte, enfin le string, je veux ton cul nu quand on se rencontre, tu dois être accessible directement, je veux tâter ton con dès que j’entre chez toi ou si tu viens à un rendez-vous, je veux m’assurer que le fait de se rencontrer te fasse mouiller le cul. 

— Pardon, je vais l’enlever.

Je ne lui laisse pas le temps de le faire, je lui arrache, ça se déchire vite ces petits trucs. 

— Ooooooh, c’était un string que j’ai pris dans l’armoire de ma fille !!!! dit-elle

— Ca t’apprendra, tu lui achèteras un nouveau et d’autres pour toi, quoique te tripoter quand tu portes ses sous-vêtements de ta fille pourrait m’exciter, une idée à creuser !

— N’exagère pas, elle est à peine âgée de 20 ans, elle est si jeune.

— C’est çà, dis-je, en attendant vient me montrer sa garde robe, on pourra s’en inspirer pour toi.

— Mais... 

— Pas de mais, c’est où ? dis-je en la menant à l’étage. Quelle chambre ? 

— C’est ici, mais...

— Arrête tes mais. 

J’étais entré et commençais déjà de fouiller les armoires. 

— Putain ! elle se nippe bien ta fille. c’est laquelle ?

— Martine, mais je n’ai pas pour habitude d’aller dans leur chambre.

— J’imagine, dis-je, les bourges ont la propriété privée comme valeur.

Et tout en fouillant dans la lingerie de sa fille, j’aperçus le vibro-masseur d’Aline. Je le cache direct et n’en parle pas. Ce sera un petit secret entre Martine et moi avant même de la connaître. 

— C’est son panier à linge, là ? 

J’y étais déjà prenant une culotte que je reniflais avec plaisir. 

— wouaaaaah la même odeur de cul que toi. goûte çà !

Je lui flanque la culotte sous le nez. 

— Oui. dit-elle 

— Tu parles, ta fille est certainement une salope aussi. 

Elle voulut répondre, je lui avais déjà mis la main dans sa foufoune, elle était trempée. 

— Mais sa culotte t’excite ma parole, tiens bouffe-là !

Et je lui enfonce dans la bouche. 

— Ça t’excite, hein ?
— mmmmmmmmmmm... fit-elle.

— C’est vrai, tu ne peux pas répondre. Penche-toi, je te prends ici, par derrière.

Et je lui plonge la tête dans le linge « sale » de Martine.

— Décidément elle me fait bander aussi sa fille. 

Je la lime quelque minutes pas plus, juste pour lui faire comprendre qu’elle pourrait avoir de la concurrence, faut leur mettre la pression à ces petites bêtes là !

— Viens on va voir tes casseroles maintenant.

— Je croyais que tu voulais me prendre ici.

 — Vraiment salope ! Tu attendras que je veuille, y'a d’autres chose à faire avant. direction cuisine !

A ce moment là, je vis qu’il y avait de la lumière dans la salle de bain de Martine, ne serions-nous pas seuls ? On gagne la cuisine.

— Un apéro ? dit-elle.

— Tu n’en as pas eu assez ?

— Je parlais de boisson, quoique c’est vrai que de la verg... euh de la bite je ne saurais plus m’en passer. dit elle en se caressant son bouton de sonnette.

— Alors, fais en sorte de toujours me satisfaire et tu auras toujours ma queue et même plus.

— Encore plus ?

— Mmmmmm, dis-je, tu comprendras quand tu seras plus grande. 

Quelqu’un sonne à la porte d’entrée.
— shhhhht, me fait-elle, je pense que c’est la voisine. 

— Pas question, tu vas ouvrir. Mieux tu l’invites à prendre un verre avec nous. Je veux voir à quoi ressemblent tes relations.

— Mais je ne me suis jamais habillée ni maquillée comme ça, elle va me voir en mini jupe !

— Et alors ? Ouvre, il serait temps que ton entourage voie que tu es devenue MA salope de bourgeoise.

Elle fit entrer sa voisine qui venait lui demander un service, mais je pense que c’était de la curiosité. Je n’essayerai même pas de toucher cette femme, une bourgeoise mais qu’on a plus envie de pisser dessus et de s’en servir de torchon que de la sauter ! Elle était figée sur la tenue d’Aline. Elle ne tarde pas à prendre congé, ouf. il était temps, j’avais envie de jouer encore avec mon objet, la femelle en rut.

— On se le fait ce repas, dis-je, y a encore à faire après. Je voudrais t’enseigner d’autres choses encore.

— Mmmmmmmmmmm, j’aime ton enseignement.

"Tu vas l’avoir au cul mon enseignement" pensais-je. 

— Qu’est-ce que tu attends, sers moi, tu es mon esclave pour ça aussi. 

Chaque fois qu’elle me servait, elle avait droit au passage à un, deux ou trois doigts suivant la qualité du service. Le moment du dessert arrivait, elle nous avait fait un tiramisu que j’avalais sans même l’attendre.

 — Pendant que tu manges le tien, excite-moi, joue avec ma queue !

— Mmmmmmmmmmm, Ouiiiiiiii, j’aime ça. 

C’était une bouchée de dessert à faire descendre avec un coup de « sucre d’orge »

— Tu es vraiment de plus en plus salope, c’est booooon ! dis-je sans lui laisser le temps de répondre, et tu mouilles vraiment bien, il y en aura assez pour nettoyer la table après.

— Après quoi ? arrive t elle à dire entre deux gorgées.

 — Tu nous as fais un bon dessert, mais le tien manque de crème. 

Me levant, le zob en main, elle veut me prendre en bouche, je la laisse faire cinq ou six coups de pompe puis je me branle au dessus de son assiette . 

— raaaaaaaaah ! dis-je en jouissant et lâchant mon jus sur son dessert. 

Elle plonge dessus la « Marie salope » 

— Ouiiiiiiii, j’adore çàààààààà, c’est booooon !

Elle s’étouffe à bouffer le dessert et la liqueur de chêne qui va avec.

— je t’autorise à lécher l’assiette, dans ton beau monde ça ne se fait pas, mais tu n’es plus complètement une Madame tu es ma pouffiasse, ok ?

— je serai ce que tu voudras. 

Elle allait finir pas croquer dans l’assiette si je ne la retenais pas ! Il ne faut pas abîmer une si bonne bouche !!!

— couche-toi sur la table, le cul en l’air ! dis-je.

— choueeeette, tu vas me prendre, encore ?

— on peut dire ça comme ça, dis-je en lui enfonçant dans son baveux ma bite insatiable qui avait déjà repris forme après quelques coups de pompes de ma chienne. 

J’avais laissé un peu de dessert dans mon assiette, j’y trempe les doigts et pendant que je la fourre avec ma bite, je lui enfonce un doigt dans le cul, ce qui l’a fait sursauter mais du bras je maintiens la bonne position pour l’enculer et déjà un deuxième doigt est allé rejoindre le premier.

— aaaaaaaaaaaah  !!!crie t elle.

— Tracasse pas, la première fois qu’on se fait enculer est des fois pénible, mais tu n’y échapperas pas et tu en redemanderas ! dis-je en reprenant du tiramisu sur les doigts, c’est un excellent lubrifiant, je vous le recommande.

— Ton cul aura un avant goût du dessert avant qu’il ne soit de la merde comme ça, apprécie !

Et l’enculage continue jusqu’au moment où je décide d’arrêter.

— Retourne toi, dis-je, suce !

Elle veut aller à ma bite.

— Nooooon, les doigts qui sortent de ton cul, il y a certainement encore un peu de tiramisu et comme tu as une éducation parfaite on ne jette pas la nourriture. Suce mes doigts !

Pendant ce temps, une nouvelle soupe de couille atterrissait sur la table.

— On va nettoyer cette table ! dis-je.

— Je le ferai tout à l’heure !

— Perdu ! tu le fais maintenant. D’abord ton cul plein de mouille va servir à laver cette table.

Elle se frotte le cul sur la table, il y a des traînées de sperme, de cyprine.

— Tu penseras à notre soirée chaque fois que vous prendrez un repas en famille, j’espère que ça t’excitera et que tu ne sauras t’empêcher d’aller te donner un petit plaisir sous la table.

— Certainement, je me masturbe souvent depuis que je te connais.

— Alors n’arrête pas, tu es en bonne voie. Maintenant que tu as bien lavé la table, tu vas finir le travail, lèche-la !

Ce repas avait été très nourrissant et instructif. Ma bonne chienne était bientôt prête pour le grand saut.

— Lorsque tu seras seule et que tu voudras te branler, tu regarderas le petit film que j’ai fait aujourd’hui.

J’avais une petite caméra, je nous ai filmé de la chambre de Martine jusqu'à maintenant dans la cuisine.

— Tu nous as filmés en train de faire toutes ces choses ?

— Oui, et tu vas voir je te ferai un DVD, je te le donnerai demain à la banque. Rien que ça t’excitera.

— Au fait de bureau, je veux que quand je te rends visite à ton guichet que tu remontes ta jupe et que je vois ce qu'il y a en dessous. Peut être aussi te dirais-je d’aller enlever ta culotte et de finir ta journée cul nu. Ce qui nécessite plus jamais de pantalon ni de bas collants.

— Mais d’autres me verront ?

— Non, tu te démerdes. 

Je suis le seul, pour le moment, à pouvoir profiter de cette vue au bureau. Je la quittais avec le sentiment qu’on n’avait pas été vraiment « seul » et  je vis cette fois encore que la tenture de la chambre de Martine avait bougé et il n’y avait plus de lumière dans sa salle de bain. 

A peine rentré chez moi, je téléphone à mon ami Robert.

— Tu te souviens que je t'ai parlé d’une employée de la banque qui était vraiment LA Madame Maman Bourgeoise ?

— Oui, dit il, et alors ?

— J’en ai fait une chienne, une véritable écrémeuse. un jour ou l’autre, je lui fais passer le cap. Tu passes à la maison et tu la limeras et me diras ce que tu en penses.

— Ok, si elle est bonne, pourquoi pas, on la baise à deux ?

— Non, pas de suite mais tu la sautes devant moi. Pour le reste on verra !

— D’accord mais je voudrais voir comment elle est ! 

— Viens à la banque, je te montrerai un endroit discret, le seul qui de l’extérieur donne vue sur son guichet. Elle a ordre de me montrer son cul quand j’arrive près d’elle. D’où tu seras, tu pourras voir la marchandise !!!

— Ok, à plus !

La tournure que prenait cette histoire me plaisait de plus en plus. En quelque temps elle ne savait plus se passer de sexe, suçait comme une pro, s’exhibait, s’était faite tripotée par des jeunes et des vieux. Bientôt elle devra m’obéir quand je lui donnerai l’ordre de baiser avec Robert et d’autres. Et enfin, la piste de sa fille Martine devient presque du concret. C’est une voyeuse donc prête à passer à l’action. Faudra aussi la dresser. Encore des récits en perspectives.

A suivre...