Traduction Par Coulybaca d'un texte de Black Demon
*****
Dans les griffes d'un maître chanteur.
A la demande du principal, Léon Smith le nouveau concierge en chef du lycée avait vidé le casier d'un élève décédé cet été dans un accident de la route. Triant ses effets pour éliminer tout ce qui pourrait s'avérer illégal, il confisqua des revues pour hommes, de la marijuana, diverses pilules suspectes et une cassette vidéo intitulée : le dépucelage de mademoiselle Emerson
S'avisant que ce nom correspondait, au nom de jeune fille de la nouvelle madame Harrington, il s'appropria la cassette se promettant de la visionner le soir même.
Il n'en croyait pas ses yeux, la bande vidéo n'aurait pas pu être plus explicite, il s'agissait bien de la mignonne madame Harrington, ex mademoiselle Emerson, il s'agissait bien de son dépucelage par deux jeunes, un noir monté comme un âne, et un blanc. Il apparaissait que la ravissante Jennifer avait été droguée puis violée, le petit blanc avait ravi son pucelage, si l'on en croyait la petite flaque de sang entre ses cuises après le premier assaut.
Léon s'était longuement branlée à la vue de l'infortunée jeune femme gisant sur son lit, cuisses grandes ouvertes, du sperme suintant de sa chatte béante. Ils avaient filmé la totalité du viol, il y en avait pour trois heures de rush ne montrant que des scènes de baise avec la jolie prof dans les vapes.
Léon ne ressentait aucune jalousie, seulement une certaine peine envers ces deux jeunes ados sachant que, malgré tout, dans leur courte vie, ils avaient joui du merveilleux plaisir de baiser cette si jolie prof. Au regard de la date inscrite sur l'étiquette comportant le titre, il comprit que ce viol s'était passé juste avant la fin des classes, fin juin.
"Bordel, juste avant qu'elle n'épouse son gentil mari !" se rendit-il compte soudain.
- Je me demande si le nouvel époux sait qu'il a épousé une gueuse souillée au lieu d'une virginale promise le jour du mariage. Se demanda-t-il tout excité.
En voyant la voiture de la jeune femme rangée sur le parking d'une petite clinique locale, il attendit qu'elle reparte et entra dans la boutique en vis à vis, acheta un paquet de cigarettes et s'informa de ce qui se faisait dans la petite officine de l'autre coté de la rue. Un large sourire illumina son visage en apprenant qu'il s'agissait d'une clinique spécialisée dans les avortements.
Flânant de l'autre coté de la rue, il se pénétrait de l'expression clinique spécialisée dans les avortements. La jeune femme venait de se marier récemment, il se pouvait donc que ce soit un de ses violeurs qui l'avait engrossée. Pénétrant dans la petite officine, il releva le nombre de pièces et les noms inscrits dans le bureau.
Deux nuits plus tard, Vêtu de noir, Léon quitta le lycée. Comme il s'agissait d'une clinique d'avortement, il pensa qu'elle serait plus sécurisée qu'une clinique ordinaire. Mais comme il n'y avait pas de manifestation anti-avortement dans la petite ville, cela devait donc rester raisonnable. Ayant exécuté quelques cambriolages dans son jeune âge, il pensait effectuer facilement que qu'il avait projeté.
Il constata que la sécurité était assurée par une officine privée qui effectuait des rondes tous les heures. Ce fut une simple formalité, pour Léon de crocheter la serrure pour entrer par la porte principale. Puis, armé de sa lampe de poche, il trouva le bureau renfermant le dossier médical de Jennifer, de fait le dossier indiqué que Jennifer était suivie pour un avortement programmé deux semaines plus tard.
Dans le noir, se servant de sa lampe de poche, Léon était obligé de lire les dossiers en diagonale, enfin il trouva la ligne qu'il recherchait : Cause de l'avortement : conception sous viol. Ses soupçons se voyaient confirmés, non seulement les deux ados l'avaient droguée, violée, mais de plus ils l'avaient engrossée.
Explorant le bureau, il trouva un fax, il s'envoya les feuilles intéressantes.
Quelques semaines plus tard, alors que l'on entamait la nouvelle année scolaire, Léon posa les yeux sur la véritable beauté. Elle paraissait plus gaie, plus décontractée depuis son avortement. La fixant des yeux alors qu'elle discutait avec un de ses élèves, Léon se pourlécha les babines se murmurant :
- Toi ma chérie, je partageai bientôt ton lit... Tu peux me faire confiance, le plus tôt sera le mieux...
Alors que tôt le matin, Jennifer rejoignait sa classe comme d'ordinaire avant l'arrivée de ses élèves, elle fut fort surprise de trouver une enveloppe blanche sur son bureau, adressée à son nom, elle réalisa qu'elle avait du être déposée la veille au soir. Curieuse elle ouvrit l'enveloppe et y découvrit plusieurs feuillets dactylographiés. Cela ressemblait à un puzzle, elle lut les notes et comprit que ces feuillets émanaient d'un centre médical, son coeur bondit en voyant son nom écrit dans l'entête. Reprenant haleine, elle frémit d'angoisse en arrivant à la ligne fatidique : Cause de l'avortement : conception par viol. Jennifer était écrasée à la pensée des épreuves qu'elle avait traversées pour préserver son secret, et voilà que maintenant quelqu'un avait découvert ce noir secret.
Regardant à nouveau dans l'enveloppe, Jennifer n'y trouva rien de plus, aucune indication concernant l'auteur de cet envoi, mais quelqu'un connaissait son inavouable secret. Elle se demandait ce pouvait lui vouloir cet individu. Jetant un coup d'oeil panoramique sur la classe vide, elle se demandait qui cela pouvait bien être.
Elle frissonna longuement, en pensant :
- Ont-ils mis d'autres élèves au courant de ce qu'ils m'ont fait ? Mon Dieu que veut cet individu ? De l'argent ? Ou fait-il des plans pour m'obliger à accomplir ces choses méprisables avec lui ?
Jennifer retenait ses larmes, non pas à cause de la situation périlleuse dans laquelle elle se trouvait, mais bel et bien, d'avoir du serrer les cuisses pour endiguer le flot soudain de ses sécrétions provoquées par cette situation et l'évocation des actes méprisables qu'on pourrait l'obliger à accomplir. Elle ne comprenait pas pourquoi elle se sentait si excitée à l'idée de devoir ouvrir en grand ses cuisses pour un autre que son mari.
Les jours suivants, Jennifer rechercha sur le visage de ses élèves des signes révélant l'auteur de l'envoi compromettant. Elle était nerveuse depuis la lecture de ces feuillets l'incriminant, incapable de se concentrer, encore moins de faire l'amour avec son mari. Elle ne parvenait à l'orgasme avec son mari qu'en évoquant l'image de l'arrogant ado qui l'avait tant fait jouir.
Et un matin, alors qu'elle arrivait comme d'habitude en avance, elle trouva une seconde enveloppe libellée à son nom. Cette fois il s'agissait de clichés tirés d'une bande vidéo qu'elle avait visionnée avant la mort des deux ados. C'est alors qu'elle réalisa qu'il existait une autre bande qui n'avait pas été détruite dans l'accident, tapée sur le haut d'une des photos elle vit une petite note :
- Si tu ne veux pas que ton mari reçoive une copie de la cassette ainsi que les rapports médicaux, soit dans ta classe une heure après les cours !
Ses élèves partis pour assister au match opposant l'équipe de l'école à une rivale locale, Jennifer arpentait nerveusement sa salle de classe. Elle avait verrouillé sa porte de classe, ne sachant pas encore quoi faire, au cas où elle se révolterait et partirait avant l'arrivée de son maître chanteur. Elle jeta un oeil sur le parking, mais rien ne s'y passait, sa voiture était la dernière encore rangée là.
Alertée par le bruit produit par la serrure verrouillée, elle sentit son coeur bondir dans sa poitrine. Elle se tourna vers la porte, figée contre le rebord du bureau :
- Oh... Mon Dieu... Je ne peux pas... Je ne peux pas me permettre un scandale... J'espère qu'il va partir... Sans mettre ses menaces à exécution... se dit-elle peu convaincue.
Alors à sa grande stupéfaction elle entendit une clé tourner dans la serrure et la porte s'ouvrit. Jennifer haleta à la vue du concierge qui entrait et refermait à clef la porte derrière lui. Elle comprit que ce n'était pas un élève qui la menaçait mais bel et bien le pervers concierge avec qui elle avait discuté à plusieurs reprises.
- C'est... C'est vous ? bégaya-t-elle effarée.
- Combien voulez-vous ? demanda-t-elle sanglotante.
- La... La... Du calme jolie madame Harrington... Je ne veux pas de ton argent... gloussa Léon en se pourléchant les babines. Je veux juste utiliser tes charmes... Je veux te baiser... Tu vas voir que ce qu'est un vrai homme... Ca va te changer de ton freluquet de mari blanc, Madame Harrington ! l'avisa Léon hilare.
- Non... Nonnnn... Je ne veux pas... Je ne veux pas faire ça... bredouilla Jennifer tandis que Léon s'approchait du bureau.
Pleurnichant, des larmes ruisselant sur ses joues le véritable coup de massue la frappa lorsqu'il lui dit railleur :
- Monsieur Harrington sait-il que sa tendre femme s'est fait dépuceler par un de ses élèves ? Ou pense-t-il avoir cueilli sa fleur le soir de noces ? Imagine sa réaction à la vue de ce dossier médical ! T'es vraiment sexy dans ton petit tailleur gris, chaussée de hauts talons noirs, Madame Harrington ! Tu vas être bien gentille avec moi, et ton mari ne connaîtra jamais ton secret. Alors soit docile, montre-moi tes charmes. Ne sois pas timide ! Après tout je n'ignore plus rien de tes charmes, j'ai longuement visionné la cassette vidéo de ton viol. la prévint Léon.
Après de tels efforts pour dissimuler son secret aux yeux de Tim, Jennifer se dit qu'elle devait obéir ou elle aurait fait tout cela pour rien. Fermant les yeux, Jennifer dégrafa la fermeture de sa robe et baissa la fermeture éclair. Elle se mit spontanément à secréter sa liqueur intime et dû serrer les cuisses l'une contre l'autre pour endiguer le flot. Passant la robe par dessus ses épaules, elle s'en dépouilla et la laissa choir au sol. Elle se tenait maintenant, devant Léon, en soutien-gorge de dentelle noir et en petite culotte assortie, chaussée de ses hauts talons noirs.
Obéissant à ses ordres elle tendit la main et dégrafa son soutien-gorge, exposant ses seins nus, puis elle leva ses jambes l'une après l'autre se débarrassant de sa petite culotte en dentelle noire. Sur la pointe des orteils Jennifer s'assit sur le bureau et s'étendit en arrière genoux sur l'arête du bureau, jambes pendantes comme le lui indiquait le concierge noir.
Puis, docilement, elle recula ses pieds les posant sur le bureau, veulement elle suivit les instructions, relevant ses mains pour agacer ses tétons. Elle était si honteuse alors qu'elle sentait poindre un certain plaisir provoqué par la manipulation de ses mamelons. Elle se tortilla un peu sur le bureau, agacée de sentir l'excitation la gagner, genoux hauts levés, cuisses complaisamment ouvertes, elle obéit et parcourut sa fente de bas en haut de ses doigts fouineurs.
- Ohhhhh... Ohhhhhhh ! roucoula-t-elle plongeant son médius profond dans sa chatte alors que son pouce frottait son clito hyper sensible.
Jennifer était d'autant plus honteuse qu'elle coulait comme une fontaine, doigts furetant dans les replis intimes de ses babines détrempées, bien plus que lorsque son mari lui faisait l'amour, et cet homme ne l'avait même pas encore touchée. Essoufflée, le corps secoué de spasmes, Jennifer se gamahuchait furieusement, elle ne se souciait pas du fait que son maître chanteur noir l'observait, forcée de se branler sous yeux, elle était désespérée d'aspirer à un orgasme qu'elle obtenait si rarement. Et, alors que l'orgasme allait la submerger, Léon saisit son poignet et lui posa la main sur sa bite qu'il avait dégagée alors qu'elle se gamahuchait frénétiquement selon ses instructions.
Agrippant d'une main le rebord du bureau, elle referma ses doigts sur l'épaisse hampe, elle avança la tête pour voir la monstruosité qu'elle sentait palpiter entre ses doigts.
- Ohhhhhhh... Oh mon Dieu... Oh mon Dieu... haletait Jennifer frottant le bourgeon épais contre sa fente ruisselante de ses liqueurs.
- Oh mon Dieu... Je... Je... Je vais.... Ohhhhh... Ouiiiiii... sanglotait-elle se cambrant pour se faire pénétrer.
Elle était désespérée. Son corps agissait hors de tout contrôle, désespérée de voir comme il se réjouissait de se faire baiser dans cette situation.
- Ahhhhhhhhh... owwwwwwwww... Qu'il est gros... Si gros... Trop gros... Il va me déchirer... Me déchirer... C'est bien trop gros... sanglotait Jennifer paniquée.
- Arrête... Stop... Je ne pourrai pas... M'adapter... C'est bien trop gros... hurlait-elle éffrayée.
- Ahhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhh ! gémit-elle alors que l'épaisse bite la labourait, la perforait lentement.
- Oh oui ma chérie... t'es si étroite madame Harrington... rigola Léon.
Et lui agrippant les hanches, il s'introduisit encore plus profondément dans la moule de la prof éplorée.
- Owww... Owww... Owwwwwwww... ça fait mal... Aieeeee... il me déchire... Il est trop gros ! criait Jennifer alors qu'elle écartait le plus possible ses cuisses.
Elle enserrait de ses muscles vaginaux la bite de son agresseur la massant de toutes ses forces, de plus en plus vite, de plus en plus fort, Jennifer frémissait à l'idée du plaisir totalement illicite qu'elle retirait de cette baise. Elle s'arc-boutait sur les talons pour amplifier la pénétration de la grosse mentule dans sa foufoune avide.
- Oh, Mon Dieu... Oh, Mon Dieu... Enfonce toi plus... Encore plus... Ouiiiii... Oh Ouiiiii... Mon Dieu... Je jouisssss... s'écria Jennifer le corps secoué de spasmes incontrôlables.
C'était l'orgasme le plus délicieux, le plus parfait qu'on lui ait jamais octroyé. Elle enserra le concierge dans ses bras, continuant à aller et venir absorbant la grosse bite dans ses profondeurs pour mieux la soustraire à la commissure de sa chatte et le renfoncer ensuite frénétiquement, elle voulait le sentir juter dans sa moule enfiévrée.
- Ben dis donc... Qu'est ce que t'es chaude ma petite prof chérie... T'en avais vraiment envie d'une grosse bite noire dans ta chagatte, n'est ce pas ? Dorénavant t'auras toujours besoin de sentir la grosse bite à Léon dans ta chatte... Tu m'ouvriras tes cuisses au moindre signe... rigolait Léon continuant à la labourer. Elle s'agrippait à ses épaules en tendant le ventre pour mieux absorber son chibre.
- Oui... Oh ouiiiiii... Je veux ta grosse bite... Ta grosse queue noire... Baise-moi... Fourre-moi avec ta grosse bite... Oh ouiiiiiii Plus profond... Encore... Ouiiiiii... Mon Dieu... Encore... frissonnait Jennifer.
- Ahhhhhh... ahhhhhhhhhh... ah oui... Chéri... C'est bon... Vide-toi les couilles dans mon ventre... Oh ouiiiiii...
- Tu ferais mieux de reprendre la pilule chérie, ou tu retourneras bientôt à la clinique, pour te faire avorter à nouveau. lui conseilla Léon vomissant sa semence chaude dans le ventre fertile de l'adorable petite prof.
Le soir même, assise dans le restaurant où Tim l'avait emmenée, Jennifer jetait un oeil sur son époux, se demandant comment il apprécierait le fait d'être cocufié par le concierge noir qui lui procurait orgasme sur orgasme.
"Mon Dieu je suis une vraie salope ! C'est certain, il me fait chanter, mais comment expliquer que je prenne tant de plaisir à me faire baiser par sa grosse queue ! Mon Dieu, il m'a obligée à le supplier de me baiser, de me faire jouir, je m'accommode si facilement à ses mesures lorsqu'il me fourre..." Se gourmandait Jennifer.
Blottie contre son mari, Jennifer pensa qu'elle prendrait l'avis du concierge et suivrait son conseil de prendre la pilule. Elle aurait du se sentir honteuse d'être assise avec son mari, le jus d'un autre s'écoulant de son utérus, en fait elle avait eu un regain de plaisir en sentant le fond de sa culotte trempé de foutre. Vicieusement elle attira la main de Tim sous la nappe, elle frotta ses doigts contre le fond visqueux de sa petite culotte lui murmurant à l'oreille :
- Oh Chéri, sens comme j'ai envie de toi ! Sens comme je suis trempée...
Sur le chemin du retour, Tim ne put résister à l'envie de caresser les jambes de son adorable petite femme, et de glisser une main sous ses jupes.
"Mon Dieu... Mais elle est trempée... Elle a vraiment une envie folle que je lui fasse l'amour !" se dit-il en frottant le fond détrempé de sa petite culotte.
En sentant ses jambes grandes ouvertes, Tim glissa audacieusement sa main sous l'élastique de la petite culotte et fourra son médius dans sa grotte embrasée. Il n'avait jamais vu Jennifer dans un tel état, se tortillant sur son siège, alors qu'il la branlait le doigt profondément enfoncé dans sa moule.
Dès arrivée à la maison, la jeune mariée se déshabilla dans la chambre conjugale. Elle s'étendit sur le lit et tendit les bras à Tim, l'invitant à la rejoindre. Il s'installa entre ses cuisses et s'enfouit immédiatement dans la moiteur de sa foufoune.
- Eh bien chérie, je ne t'ai jamais vue aussi excitée... et trempée... gémit-il fou de joie alors que sa bite s'insérait aisément dans sa chatte amplement lubrifiée.
Il ne se serait pas tant réjoui s'il avait su la vérité : que sa jolie jeune femme était pleine du sperme d'un autre, qu'elle n'avait pas pris soin de se laver en rentrant, et qu'il baignait dans la semence d'autrui. En rentrant de l'école, une heure plus tôt, Jennifer avait l'intention de se doucher, mais l'idée de souper avec son mari la chatte pleine du foutre de son amant la faisait frissonner de plaisir. Et maintenant le fait de se faire baiser par son mari baignant dans le foutre de son amant la remplissait de joie. Lorsque Tim se vida dans son con, Jennifer se remémora le baiser de Léon sur le pas de porte de sa classe, elle savait qu'il viendrait bientôt la baiser au domicile :
- Je veux te baiser dans le lit que tu partages avec ton mari ! lui avait-il dit avant qu'elle ne le quitte.
Troublée à cette idée, elle frissonnait en pensant que ce serait encore une sensation nouvelle, que de se faire baiser dans le lit conjugale.
Les deux semaines suivantes, Jennifer espéra qu'il allait à nouveau la soumettre à sa volonté, mais, à sa grande surprise, il la traita avec le plus grand respect, c'est avec un peu d'angoisse qu'elle attendait le moment ou il la contraindrait à se soumettre à ses désirs les plus lubriques. Elle ne pouvait pas croire qu'il se désintéressait d'elle. Insensée, elle espérait désespérément qu'il la baise à nouveau. Plusieurs fois dans la semaine elle avait réclamé sa visite pour un dépannage urgent, et elle l'avait attendue seule dans sa classe, mais à sa grande consternation, il ne venait que lorsqu'elle était occupée avec ses élèves, avant qu'elle puisse lui dire quoi que ce soit, la panne était déjà réparée et il était reparti. Jennifer ne voyait plus quel subterfuge employer pour se faire baiser, elle était taraudée par le désir de défaillir entre ses bras.
Enfin le vendredi alors qu'elle surveillait le hall pendant à l'heure du repas, elle le vit s'approcher d'elle souriant :
- Hé, madame Harrington, est-ce que ma réparation vous a satisfaite ?
- Oh oui, je vous remercie d'être intervenu si rapidement ! dit-elle alors que des élèves passaient.
Puis une fois à l'abri des oreil-les indiscrètes, elle murmura :
- S'il vous plait... J'ai besoin... Je voudrais... Je... Que vous me baisiez à nouveau... S'il vous plait... J'en ai tant envie...
Léon voyait sa frustration grandir depuis le jour où il l'avait prise dans sa classe, sachant ce qu'elle voulait vraiment, il avait volontairement effectué les travaux dans sa classe en présence d'élèves.
- Rappelles toi ce je t'ai dit. La prochaine fois ce sera dans votre lit ! chuchota-t-il à son oreille.
- Mais... Mais ce n'est pas possible... Comment veux-tu... Mon mari... Il est là tout le temps... bégaya Jennifer affolée.
Il lui tendit alors une petite enveloppe l'avisant :
- Tu prépareras quelque chose à boire à ton mari, et avant de lui donner, tu glisseras ça dans sa boisson. Et 20 minutes plus tard, il en écrasera pour 12 heures. Tu allumeras la lumière de la porte d'entrée lorsqu'il sera au pays des songes et alors je te baiserai jusqu'à l'os, comme tu le désires tant !
Le regardant partir sifflant un air entraînant, elle referma sa main sur la petite enveloppe. Elle rabachait encore et encore ce qu'il lui avait ordonné, respiration coupée. Soupirant profondément elle se demanda :
- Vais-je lui obéir ? Oserai-je le faire ?
Comme ils dînaient tard ce soir, elle prépara un des plats préférés de Tim et ouvrit une bonne bouteille. Elle discutait avec son mari. Hésitante elle ne cessait de triturer la petite enveloppe dans la poche de sa blouse. Son coeur battait la chamade, elle haletait lèvres desséchées. Le souper terminé, ils s'installèrent devant la télé regardant les infos locales. Au moment de la pub, elle retourna dans la cuisine, préparer deux tasses de café. Se mordant les lèvres, elle murmurait :
- Non... Non... Je ne dois pas...
Mais elle se saisit pourtant de l'enveloppe, elle ne prit conscience de ses gestes qu'en tendant la tasse de café droguée à son mari.
20 minute plus tard, alors que débutaient les informations sportives, elle vit Tim piquer du nez, il se leva alors brusquement et se dirigea vers la chambre à coucher. Elle resta sans voix, Léon lui avait dit qu'il allait s'écrouler sur le canapé, elle ne s'attendait pas à cette réaction. Elle ferma la télé et fit un pas dans le vestibule. S'introduisant dans la chambre, elle vit que Tim s'était écroulé sur le lit et qu'il ronflait comme un sonneur.
De retour à la porte d'entrée, elle tendit une main tremblante vers le commutateur, son esprit lui disait de ne pas le tourner, mais ses doigts lui désobéirent et tournèrent l'interrupteur allumant la lumière extérieure selon le signal convenu. Elle ouvrit alors la porte d'entrée et attendit son amant sur le seuil.
Quelques instants plus tard, elle vit arriver Léon. Elle l'enlaça tout de suite, tête levée, bouche ouverte, invitant le concierge noir à lui rouler un pâlot. Enroulant sa langue autour de la sienne, il la caressait langoureusement au travers de son fin corsage alors qu'embrasée, elle se frottait contre lui.
- S'il te plait... Allons dans la chambre d'amis... Mon... Mon mari s'est endormi dans notre lit... Bégayait-elle d'une voix misérable.
Elle s'affola en l'entendant répondre :
- C'est aussi ton lit oui ou non ?
- Je t'en prie... Si tu veux... Alors aide-moi à le transporter dans la chambre d'amis.
Alors qu'elle se penchait sur son mari, dans la chambre sombre, elle se figea sentant sa main courir dans son dos, il descendit alors d'un seul geste la fermeture éclaire de sa robe, elle resta interdite, ne pouvant rien lui refuser.
- S'il te plait... je t'en prie ! susurra-t-elle encore alors qu'il lui passait la robe par dessus les épaules la laissant choir au sol.
"Mon Dieu il est en train de me dénuder devant mon mari qui dort !" Réalisa-t-elle affolée.
Un moment plus tard, il la caressait langoureusement empaumant ses seins. Elle soupira alors qu'après une simple chiquenaude ses tétons dardaient brûlants d'excitation. Il lui mordilla alors le globe de l'oreille, en parcourant les replis de la langue, murmurant :
- Tu veux que je te baise jusqu'à l'os, n'est ce pas ma chère madame Harrington ?
Petite culotte descendue sur ses jambes nues, il la fourra du médium qui allait et venant dans son trou juteux, Jennifer secrétait inlassablement sa cyprine.
- S'il te plait pas ici... Pas avec mon mari dans le lit ! supplia-t-elle humblement.
Elle tendit le bras pour repousser son mari lorsque Léon la poussa sur le lit. Elle se retrouva à quatre pattes, entièrement nue juste au dessus de son mari qu'elle avait drogué. Elle le supplia encore :
- Oh Non... Je t'en prie... Je ne veux pas... Pas avec lui dans le lit...
Tandis qu'il se positionnait dans son dos.
- Ohhhhhhh... Ohhhhhhhhhh... roucoula-t-elle alors qu'il parcourait du gland sa fente juteuse.
Elle soupira de plaisir lorsqu'il s'enfonça en elle, lui empoignant les seins à deux mains. S'arc-boutant elle fit de son mieux pour amplifier la pénétration de la grosse bite dans son chas. La perversité de la situation amplifia encore le plaisir ressenti par l'innocente jeune mariée, en se faisant ainsi fourrer hors légalité. Léon se retira lentement et replongea au plus profond de ses reins d'un souple mouvement des hanches, il entama une lascive chevauchée, secouant le lit comme un forcené.
- Alors chérie... T'aime ça... Ma chérie... T'aimes te faire fourrer comme une pute ? ironisa Léon.
Pantelante, elle murmura :
- Oh Oui... Baise-moi... Encore... Plus vite... Ahhhhhhh... Je jouisssssss... Ahhhhhhhhh... Oh ouiiiii... Encore... Vide toi les couilles... Vite... Vas y !
- Ohhhhh oui... grommela Léon explosant tout au fond de son utérus.
Toute la nuit, jambes ouvertes, bras rivés dans le dos de son amant, Jennifer se fit baiser à vingt centimètres de son mari drogué de ses mains. Finalement, épuisée, elle s'endormit foudroyée par un dernier orgasme.
Au petit matin, un rayon de soleil réveilla Tim qui cligna des yeux, essayant de réaliser la situation. Une forte odeur de rut lui chatouillait les narines, il remua la tête posée sur la toison de sa femme, il comprit qu'il avait endormi le nez fourré dans sa fente. Malgré ses efforts, il ne se souvenait de rien, sauf d'avoir trop bu.
- Tu parles d'une nuit... J'ai du la baiser comme un Dieu... Elle ne m'avait jamais laissé m'endormir le nez dans sa foufoune... Pensait Tim radieux étonné d'être nu ses vêtements mêlés à ceux de Jennifer jonchant le sol.
Loin de s'arrêter à ces détails il contempla longuement les courbes généreuses de sa femme qui dormait repue, il était si heureux de l'avoir comblée, rien d'autre ne comptait plus. Il introduisit son médium dans la grotte moite de sa femme et le retira aussitôt, tout étonné par la couche de sperme qui l'engluait, il l'enfonça alors entre ses lèvres pour le nettoyer. Lui écartant largement les cuisses, faisant attention de ne pas la réveiller, il se positionna entre elles et doucement, il se régala du surplus de foutre qui s'écoulait de sa caverne inondée.
Quelques kilomètre plus loin, de retour dans son lit, Léon somnolait. C'était vraiment une nuit mémorable, cette fabuleuse petite prof l'avait épuisé. Il se demandait ce qu'allait penser son minable mari en s'éveillant le nez fourré dans sa fente. Léon éclata de rire se rappelant sa mise en scène, lorsqu'il avait déshabillé le mari et l'avait disposé nez dans la foufoune de sa femme après lui avoir frotté le visage dans les écoulement foutreux, lui enduisant la figure de son foutre et de sa cyprine.
A suivre...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Merci de vos retours