vendredi 15 décembre 2023

Changements de vie pour Jessica Ch. 11

Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

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Aventures au fast-food.

Mon stagiaire me guide vers la rue de son quartier où se trouvent tous les restaurants et fast-food. Il me fait mettre dans la queue d'un drive de fast-food. Il y a une seule voiture devant nous. C'est alors que Daniel me fait une autre surprise. Il me dit :

- Allez Miss Allumeuse ! Ouvre ton haut et donne une bonne surprise à ce pauvre travailleur !

Mon exposition publique n'est pas terminée. J'essaie de le regarder, mais je n'arrive pas à me mettre en colère.

- Allez petite chatte, tu sais que je le veux. Me taquine le latino.

Une fois encore, il tend la main pour la glisser entre mes jambes. Il effleure légèrement ma chatte, me faisant gémir. Il a raison. Dans mon brouillard d'excitation lubrique, la pensée qu'un gars qui travaille puisse voir ma grosse poitrine est aussi dépravée qu'excitante. Honnêtement, je désire ardemment que l'employé bave sur mon décolleté.

Toutefois je suis angoissée et mon estomac est tout retourné. Après tout, il s'agit d'en endroit public et nous sommes en plein jour. Avec mes doigts tremblants, j’attrape la petite lanière sur le devant de mon haut et j'ai tiré. L'ouverture en V s'est agrandie et ma grosse poitrine s'est presque évadée.

- Remue tes gros nichons pour nous petite chatte ! Ordonne Daniel.

Obéissante, je fais ce qu'il dit et je bouge mes épaules pour faire balancer mes gros seins. Le tremblement a l'effet escompté par le jeune latino. Mes gros nichons sortent de plus en plus de mon haut. Daniel ne me laisse pas arrêter de remuer avant que mes deux mamelons soient bien visibles. Et ça arrive alors que la voiture devant nous s'en va.

- Vas-y salope ! Me dit Daniel alors que je ne bouge pas.

Ses mots me font sursauter et me rende trop nerveuse. J'ai presque l'impression que mon cœur va exploser dans ma poitrine. Le moment est venu et je ne sais même pas si l'employé du Drive est un homme ou une femme. Ça n'a pas d'importance de toute façon. Il faut que j'obéisse sans y penser.

En arrivant au niveau de la fenêtre, je regarde le gars derrière la vitre. Il s'agit d'un latino qui a l'air plus vieux que moi. Ses yeux sont presque sortis de leur orbite quand il me voit avec mes gros nichons exposés. Instantanément son regard se pose sur ma poitrine. Et il n'écoute même pas ma commande.

L'employé du fast-food ne fait aucun effort pour cacher ses regards indiscrets ou pour dissimuler ce qu'il fait. En vérité il ne fait rien. Il ne dit rien et ne travaille pas non plus. C'est bien simple, il se contente de regarder mes seins.

TUUUUUTTTTTTT !

TUUUUUTTTTT !

Les clients dans les voitures derrière nous commencent à s'impatienter. 

- Euhhh… bonjour ! Pourriez-vous me donner ma commande ? Dis-je à l'employé en essayant d'attirer son regard sur mon visage.

C'est alors que Daniel me réprimande.

- Tssss… ce n'est pas la bonne attitude pour une salope petite chatte. Excuse-toi auprès de cet homme d'avoir été grossière. Tu devrais le remercier qu'il fasse autant attention à tes atouts. Au moins il a reconnu ce que ça vaut.

Je renâcle devant le commentaire dégradant de mon stagiaire, mais je suis trop perdue dans mon brouillard. Les regards vicieux sont si agréables que je ne veux pas qu'ils cessent. Au lieu d'obéir, je commence à secouer les épaules pour faire balancer mes gros nichons devant l'employé latino.

TUUUUUTTTTTTT !

TUUUUUTTTTT !

Nous devons y aller avant que ça dégénère. Et si les autres clients sortent de leur voiture et viennent vers nous ? Et si le responsable du restaurant prend conscience de la situation ? Et si quelqu'un appelle la police et que je me fasse prendre pour conduite lubrique ?

- je suis désolé Monsieur. Je m'excuse d'avoir été impolie. Merci Monsieur d'apprécier ma poitrine. C'est tout le talent que je possède.

Je m'humilie au grand amusement des deux latinos dans la voiture. Tandis qu'ils se moquent de moi, l'employé finit par revenir à la réalité et me tend le sac de nourriture.

- De belles grosses mamelles que vous avez là ! Me dit-il alors que je démarre et file à toute vitesse.

Mais Daniel me fait arrêter sur le parking du restaurant, ce qui est étonnant, car nous venons d'utiliser le Drive pour avoir la nourriture. Je m'imagine  que c'est simplement pour m'humilier un peu plus.

- Je ne crois pas que ce gars ne mérite qu'un regard. Me dit Daniel en commençant à grignoter.

C'est alors que Garcia intervient, la bouche pleine.

- L'employé c'est Chico, un de nos membres du « LGZ ». Et quel est ton rôle en tant que Pute de gang hein ?

Je m'étouffe presque en l'entendant. Je me sens si stupide. Je ne pensais plus à mon rôle.

Daniel explique alors :

- C'est assez simple petite chatte. N'importe quelle salope désignée comme Pute de gang doit pouvoir offrir tous ses trous de baise à tout moment à nos potes.

- Un pote dit qu'elle doit ouvrir les jambes à tout moment et accepter tout pieu qui se présente. Tu comprends Pute de gang ? Rajoute Garcia avec arrogance.

MON DIEU ! Je dois être disponible pour tous les membres du gang ! C'est trop dégradant ! C'est trop avilissant. Pourtant je me sens si soumise. Donc, non seulement je dois être à la disposition de Daniel tout le temps, mais je dois être disponible pour tous les membres de son gang, peu importe qu'il soit là ou non.

- Toutefois, il faut que tu ressembles vraiment à une pute de « LGZ » ; Dit Daniel.

Mes pensées sont interrompues. Il ajoute :

- Débarrasse-toi de ton haut !

Il demande à Garcia de détacher son bandana noir qu’il porte autour de la tête et de me le tendre.

Le tissu noir dans ma main , je suis à court de mots. Mon estomac est totalement noué. En fait, pendant un moment, je me sens malade.

- je ne peux pas porter ça en public, ça ne cache rien. Et si je me fais arrêter pour exhibition publique ? Dis-je après avoir enfin retrouvé ma voix.

Les deux gars ne font que rire avant que Daniel ne me rassure :

- Ne t'inquiète pas, c'est notre quartier. Tu es en sécurité aussi longtemps qu'un membre des « LGZ » est dans les parages.

Ça ne me calme pas beaucoup. C'est trop scandaleux. Indécise, je reste assise dans la voiture sans bouger.

- Ooohhhhh ! Gémis-je soudain quand Daniel pousse un doigt de sa main droite dans ma chatte trempée.

Il me réprimande.

- Ne joue pas les grandes dames maintenant ! Nous savons tous très bien que rien que d'y penser t'excite comme une bonne salope. N'est-ce pas petite chatte ?

Puis subitement, ce voyou macho tire sa queue de son pantalon kaki et l'agite devant mon visage. Je ne peux pas m'empêcher de regarder ce gros membre veiné et dur. Il a un effet hypnotisant sur moi. Daniel demande :

- Tu veux ma bite n'est-ce pas ? Ne le nie pas, j'ai vu tes yeux briller quand je l'ai sortie.

Il a raison. Je ne peux pas le nier. Merde, mon envie est si évidente ! Ce voyou arrogant sait comment s'amuser avec moi.

- tu vas aller servir Chico avec le bandana et tu auras plein de bites pour tes trous gourmands petite chatte. Ajoute Daniel pour me stimuler.

Ma bouche bave presque à la vue de sa queue ? Je voudrais attraper cette barre de viande et faire glisser ma main de haut en bas de sa si belle bite. Il me tiens. Je sais bien que je n'aurais pas de libération et satisfaction de la journée si je n'obéis pas.

Alors je le fais.

A la hâte, je fais glisser mon haut blanc au-dessus de ma tête, laissant mes gros seins en liberté. Ensuite je plie le bandana pour faire un triangle et je l'attache derrière mon dos. En baissant la tête, ça me semble obscène. Le haut du bandana couvre à peine mes seins. Il pend en triangle et ne couvre que mes tétons, laissant mon décolleté complètement exposé. Mes monticules de chair ne peuvent qu'attirer les regards.

Les deux voyous latinos m'applaudissent quand je sors de la voiture. Mais ils ne me suivent pas, me laissant seule face à mon destin.

Je suis debout au milieu du parking d'un établissement de restauration rapide assez pouilleux, dans un quartier populaire et pauvre, habillée en pute, les seins à peine recouverts, une mini-jupe en jean et des hauts talons. Non seulement je ressemble à une prostituée bon marché, mais j'en joue le rôle.

Aussi rapidement que mes talons me le permettent, je m'avance sur le parking. Ma poitrine se balance honteusement et mes globes de chair manquent de tomber du bandana à chaque pas.  Le tissu a du mal à rester sur mes mamelons. Le poids de mes seins est important et fait que le bandana s'affaisse. La chair de mes nichons est presque totalement visible.

Mes paumes sont moites et ma bouche est sèche d'anxiété. Je ne suis pas sûr de savoir comment m'adresser à ce type. Mon cœur bat au rythme de mes talons sur le bitume. Mes pensées se bousculent dans ma tête.

Je ne veux pas faire ça ! Pourtant je veux les frissons d'excitation qui vont avec. !

Un instant plus tard, je m'arrête devant la porte vitrée. C'est une étape importante pour moi de me jeter sur un inconnu simplement parce qu'il fait partie du bon gang. Cependant, attendre dehors sans rien faire n'améliore pas la situation. Les voitures passent et me voient habillée comme une pute. Plus j'attends, plus de gens vont me voir. Et s'il passait un groupe de gars du gang « LGZ »,ils me verraient et je devrais les servir eux aussi.

TUUUUTTTTTT.

Un camion klaxonne et s'arrête à côté de moi.

- Combien pour ta chatte ? Me demande le conducteur en se penchant par sa fenêtre.

Sa question me fait sursauter. Le fait de réaliser qu'il s'est adressé à moi comme à une prostituée envoie une décharge dans ma chatte. Involontairement je remue mon cul devant lui et je lui réponds en ronronnant :

- Désolé chéri, déjà prise ! Peut-être plus tard !

Putain, je suis tombée dans le mode Pute si facilement.  Ça me ramène dans mon océan d'envie et ça ferme mon esprit. Toutes mes objections sont parties et mon enthousiasme est réapparu.

Avec un sourire coquin sur le visage, je finis par pénétrer dans le restaurant et je me dirige vers le comptoir. L'établissement est presque vide. Il n'y a que deux tables occupées avec deux couples d'âge moyen assis à l'une et deux jeunes latinos assis à l'autre.

Bien sûr mon entrée ne passe pas inaperçue. Je peux sentir six paires d'yeux fixés sur mon dos nu et détailler mon cul à peine couvert. Debout au comptoir, je ne peux plus lever les yeux. Mon regard est fixé sur le sol. J'ai trop honte.

- Humm !

Finalement je lève les yeux quand j'entends un employé tousser pour attirer mon attention. Les joues brûlantes, je lève mon regard et je suis soulagé de voir qu'il s'agit du même employé que tout à l'heure, le dénommé Chico. Au moins je n'ai pas à expliquer pourquoi je veux être seulement servi par lui.

Tout en essayant de forcer un sourire sur mon visage, je luis dis en roucoulant :*

- Salut bébé. Je voulais te remercier encore une fois. Tu as été très gentil.

- Qu'est-ce que tu veux ? Je n'ai pas le temps pour ces conneries ! Me demande brutalement le latino avec un regard interrogateur.

Je continue en essayant de ronronner de manière séduisante :

- Ahhh chéri ! Ce n'est pas des conneries. Tu vas y gagner, je te le promets bébé.

Je poursuis mon discours de salope aguichante en espérant simplement que les autres clients ne m'entendent pas. C'est vraiment stupide. Mais je ne peux pas m'arrêter maintenant. Je n'ai pas atteint mon but.

- Mon homme m'a dit que tu étais membre de gang. Dis-je pour raccourcir la conversation.

Saisissant la ceinture de ma jupe, je l'abaisse légèrement pour laisser apparaître le sigle « LGZ ».

- Je suis la chienne de Daniel. Et j'ai un cadeau spécial pour tous ses potes. Tu comprends bébé ? Demandé-je.

A ce moment-là, Chico voit l'inscription sur le bas de mon ventre et ses yeux s'allument. Un sourire de compréhension s'étale sur son visage.

- Bon Dieu ! Regarde ça ! Daniel a attrapé une superbe couguar n'est-ce pas ? Dit-il en riant.

Me déplaçant nerveusement d'un pied sur l'autre, j'espère pouvoir me mettre à l'écart des autres le plus rapidement possible. Les autres clients regardent toujours mon dos et ils semblent de plus en plus curieux de savoir ce qui se passe au comptoir. Mais Chico ne semble plus dérangé que je sois là. En revanche il semble savourer chaque seconde.

Au moins ça me donne le temps de détailler ce membre du gang des « LBZ ». Il doit avoir un peu plus de quarante ans avec une apparence rude et burinée. Avec son début de barbe et ses cheveux recouverts de gel, il a l'air sévère. Les tatouages à l'encre sur ses phalanges me font penser qu'il a probablement passé un peu de temps en prison. Ce n'est vraiment pas un gars avec qui je discuterai seule habituellement.

- Pourquoi ne m'emmènes-tu pas ailleurs que je puisse te remercier Bébé ?

Je le supplie presque.

- Oh ! Mais tu dois acheter quelque chose avant que nous n'allions ailleurs petite salope. C'est un restaurant ici tu sais ? Me répond-il brusquement.

Et merde ! Je dois acheter quelque chose pour le remercier ! Je dois payer pour le sucer ! C'est vraiment immonde. Mais de toute façon, je ne peux rien faire d'autre. Alors j'achète un cornet de frites

- je parie que tu veux fumer une cigarette avant que je t'apporte tes frites n'est-ce pas ? Me demande-t-il après avoir pris ma commande.

Puis avant de faire demi-tout et de s'éloigner il me murmure :

- Tu vas te mettre à genoux à la porte de derrière et tu attends que je sorte. Allez salope !

Je suis seule devant le comptoir d'un un fast-food un peu miteux, et un type que j'ai rencontré seulement quelques minutes plus tôt m'ordonne d'aller me mettre à genoux derrière le restaurant. C'est incroyable ! C'est une putain de situation incroyable !

Bien que je ne fume pas, je suis la suggestion du sévère membre de gang et je sors du restaurant. Je contourne le bâtiment et je me rends dans une petite cour protégée de la route par des murs. Un tas de poubelles sales et de bennes à ordure sont alignées le long des murs. Ça a l'air vraiment sale et mal rangé, mais au moins c'est hors de la vue de la rue et du restaurant.

L'endroit est quand même assez dégueulasse. Beaucoup d'ordures jonchent le béton. Et il n'y a pas beaucoup d'espace entre les poubelles. Mes genoux tremblent lorsque je m'agenouille, la porte arrière devant moi, une benne à ordure dans mon dos et deux poubelles de chaque côté. Je fais de mon mieux pour ne rien toucher.

Le latino me laisse attendre cinq bonnes minutes. Tout ce temps je reste docilement agenouillée au sol, les bras derrière le dos. Les ordures tout autour de moi me donne la chair de poule et ça empire quand je remarque l'odeur horrible de nourriture pourrie. A chaque minute  qui passe, je suis de plus en plus anxieuse et dégoûtée.

Me laisser attendre dans cette position à cet endroit est un autre moyen de me montrer le contrôle qu’a le gang sur moi. Je me sens complètement impuissante mais aussi complètement soumise. C'est un cocktail qui ne m'excite que plus.

Finalement la porte arrière s'ouvre et Chico sort, un cornet de frites à la main. Il se moque de moi quand il me voit agenouillée.

- Ben voyons ce que nous avons ici ! Une cliente qui attend son repas. Que fais-tu ici Pute de Gang ?

Servile, je réponds consciencieusement :

- Votre Pute de Gang est là pour vous servir Monsieur. Elle sera heureuse de vous sucer la bite monsieur.

Pour souligner mes propos, j'ouvre grand la bouche pour symboliser la façon dont je lui offre un accès libre à mes trous. Il me tend le cornet de frites et me dit de le tenir pour lui. Je me sens si bête, à genoux par terre, tenant un cornet de frites dans les mains

- Garde la bouche ouverte et sors ta langue petite pute ! M'ordonne l'homme.

Immédiatement j'obéis et je sors ma langue aussi loin que possible. Je suis à genoux sur du béton sale, dans une posture de soumise. Et avec ma langue pendante je dois vraiment avoir l'air idiote.

Les mains libres, Chico tire lentement sur le bandana pour complètement exposer mes seins. Je n'ose pas bouger. Ce gars ressemble à un gangster brutal et endurci qui a dû passer du temps en prison. Contrairement à Daniel il n'a rien de plaisant. Il est bourru et autoritaire, ce qui m'intimide. Mon Dieu il m'effraie vraiment pour parler franchement.

- Est-ce qu'il te plaise mes gros melons bien murs ? Dis-je pour essayer de faire baisser la tension en utilisant les mots cris qu'avaient utilisé mes collègues de bureau.

CLAC !

- AIEEEE ! Crié-je après que Chico m'ait violemment giflé le visage, brûlant ma joue droite.

- Est-ce que je t'ai permis de rentrer ta langue sale pute ? M'engueule-t-il.

Et mince ! Dans mon empressement à séduire ce gars, j'avais complètement oublié ses instructions et j'avais rentré ma langue pour pouvoir parler. A la hâte j'ouvre de nouveau ma bouche en grand et je sors ma langue.

Chico hoche la tête de satisfaction et tire un paquet de cigarettes de son pantalon. Comme s'il dispose de tout son temps, il commence à fumer une clope avec délectation. S’appuyant sur la porte arrière, il me laisse agenouillée et entourée d’ordure comme sa soumise. A chaque seconde qui passe dans cette position dégradante, je me sens plus stupide et honteuse.

En regardant l’homme fumer, je réalise la lubricité de ma posture. Et comme ma langue est tirée, ma bouche commence à se remplir lentement de salive. Comme je n’ose pas rentrer ma langue, je ne peux pas avaler non plus. Tout ce que je peux faire est d’attendre que ma bave sorte de ma bouche.

Et je me rends compte, quand je vois ma salive goutter sur ma grosse poitrine, que c’est sûrement ce qu’attendait Chico. Je suis à genoux par terre et je bave pour lui ! Quel spectacle dépravé !

Comme ce qu’il veut est un ordre pour moi, je laisse faire. Laissons-le s’amuser ! Laissons-le rigoler de sa stupide Pute de Gang agenouillée comme un chiot. Je suis ici en tant qu’animal de compagnie de Daniel et il veut que je plaise à son compagnon de gang de toutes les façons qu’il le demandera.

Quand Chico a fini sa cigarette, il la jette et vient près de moi. Il attrape mes gros seins ronds par-dessous. Il les soulève un par un comme s’il les pèse. Puis il commence à pétrir ma chair. Il serre mes nichons de plus en plus fort et les martyrise férocement.

- Mmmmmm… Mmmmmm…

Je ne peux pas m’empêcher de grogner un peu de douleur.

Il me semble que cet homme vicieux teste si je vais remettre ma langue dans ma bouche. Il réussit presque en me pinçant les tétons. Je veux hurler mais je me concentre pour garder la bouche ouverte, langue tirée. Je continue à baver pour son plus grand amusement. Calmement, ce sadique continue de pincer et tirer mes pauvres mamelons. Ceux-ci durcissent comme de la pierre sous le traitement. Je sens ma salive s’écouler du coin de ma bouche. Elle dégouline et atterrit sur mon décolleté, puis elle coule le long de mes seins en ruisseau poisseux.

Et ça empire ! Plus je garde ma langue tirée, plus ma production de salive augmente. Finalement le flot semble s’être multiplié et coule sur ma poitrine. C’est vraiment dégueulasse.

Ça coule tellement que Chico s’amuse à tirer mes tétons sur la droite puis sur la gauche. De cette façon il dirige le flot de bave jusqu’à ce que mes nichons soient  totalement couverts de la substance. Ma poitrine est vraiment sale maintenant.

Finalement Chico me dit :

- je suis « LGZ » depuis le début tu sais. J’ai aidé à monter ce gang à partir de rien et j’ai passé des années à le garder en place avec mes potes.

Puis il s’adresse directement à moi :

- Alors dis-moi ! Qu’est-ce que je suis supposé faire avec de la viande fraîche mais âgée d’une nouvelle Pute de gang. Qu’est-ce que tu peux m’offrir qu’une jeune ne peut pas ?

J’essaie de balbutier quelques mots :

- uhhhmmm zzzieeee vvvveee pllllllleee, léééézzzzéééé mooooi susséééé otrrerer queeeee.

Et comme je me suis rappelée à la dernière seconde de garder ma langue tirée, ma réponse devient inintelligible. Ça me fait paraître encore plus bête que je suis.

- Une simple fellation ? c’est tout ce que tu as à m’offrir ?

Le latino endurci renifle et dit :

- J’y suis depuis le début. Et j’ai passé mon temps à baiser et casser des putes. Tu dois faire beaucoup mieux qu’elles.

Mon esprit tremble. Je ne peux pas croire que ce gars méchant me fait supplier de le laisser m’utiliser comme il le désire. Je suis au-dessus de lui. Je fais partie des classes supérieures, non seulement en tant que femme d’affaire instruites mais aussi en tant que femme mure sexy. Et il refuse que je lui fasse une fellation.

Je ne peux pas supporter ça, mais je ne peux pas décevoir Daniel non plus. Il faut que j’arrive à convaincre ce voyou désagréable. Qu’a-t-il dit ? Il a cassé des putes ? Je dois prouver que je suis encore plus salope que celles qu’il a rencontrées.

- Zzzieeee vvvveee pllllllleee, léééézzzéééé mooooi eeevveeennnniiiirrrr aaaaa uuuuuttttee LLLLGGGéééSSSSe. Jeeeee zzeeeeerééééé aaaa ouuuu ééééé ouuuu ffffeeeeerrréééé ttooooo zzeeee qeeeee ooouuu ooouuuuudddrréééé.

Oh zut, je ne voulais pas me dégrader autant. c’est venu comme ça. Toutefois je pense que je voulais bien dire ces mots. J’ai un objectif, je dois faire plaisir à cet homme par tous les moyens.

Satisfait de mes supplications, Chico me répond :

- Tu veux être une sale pute pour moi ? J’aime ton attitude de salope. Tu veux que ça soit vicieux ? Tu vas l’avoir. Je vais commencer par vérifier si ta gorge est assez profonde pour prendre ma bite.

Il se met en action immédiatement et pousse deux doigts entre mes lèvres jusqu’à ma luette. Tout de suite, j’ai un réflexe nauséeux et je tousse et crache autour de ses doigts. Courageusement, je garde la bouche ouverte et la langue tirée du mieux que je peux.

Ce latino brutal ne se soucie pas du tout de mon inconfort. Il continue simplement à enfoncer ses deux doigts dans ma gorge. Il teste le fond en y trifouillant. Des larmes commencent à sortir de mes yeux et font couler mon mascara sur mes joues alors que je me sens étouffer autour de ses doigts.

A cause de mes réactions physiques, il me faut un certain temps avant que le goût des doigts de Chico me frappe. La saveur de l’huile de friture est imposante. Çà me fait presque vomir lorsqu’elle assaille mes sens et ça augmente mon inconfort par cent.

- Tu aimes vraiment ça n’est-ce pas ?

Évidemment Chico adore les sons pitoyables de mon étouffement.  Il ajoute !

- De toute façon tu ne peux pas parler. Maintenant enlève toute trace de graisse sur mes doigts sale pute ! Rends-toi utile comme un rince-doigts, salope !

Un Rince-doigts ? Beurk ! C’est aussi humiliant que dégoûtant.

Ce violent latino utilise ma bouche pour nettoyer toute la crasse et la graisse qu’il a accumulé en faisant des frites et des tacos. Cette seule pensée me soulève le cœur mais le goût est bien pire.

- Eurgghhhh… eurghhhh… eurggghhh

Mes hauts le cœur se mêlent à mes cris d’horreur alors que le goût désagréable attaque mes sens. Les effluves de graisse me donnent la nausée et couvre ma peau de chair de poule. En bougeant ma tête de gauche à droite, j’essaie désespérément d’échapper aux doigts graisseux et puants. Mais Chico attrape mes cheveux châtains avec sa main libre et me maintient la tête en place.

Vague après vague, le dégoût déferle sur moi et je bouge mes genoux sur le béton. Je laisse tomber le cornet de frites et j’agite les mains comme si j’essayais d’évacuer la crasse. Tout mon corps tremble comme une feuille et mon œsophage commence à me faire mal car il n’est plus mouillé par ma salive.

Chico n’en a pas fini. Pour augmenter son amusement, il commence à varier le rythme de ses doigts dans ma bouche. De cette façon il s’amuse à changer mes bruits d’étouffement en une mélodie obscène.

- Euurrrkkk… Euuurkkk Eurrrkkk… Eeuuurrrkkk… ! Euuurkkk Eurrrkkk

Méthodiquement , il passe deux doigts sur ma luette et tape ma gorge en rythme. Puis il les retire, vérifie s’ils sont propres et essuie la bave visqueuse de ma gorge sur mes joues pour la mélanger avec mon mascara qui coule avec mes larmes. Puis il continue avec deux autres doigts, nettoyant sa main droite puis sa main gauche et enfin chaque pouce individuellement.

- Tu es vraiment dégueulasse, sale pute ! Dit Chico en faisant un pas en arrière et en me détaillant de la tête aux pieds.

Il a sûrement raison. J’ai beaucoup bavé sur mes seins et mon visage doit être couvert d’un mélange de coulis de mascara et de bave visqueuse. Je marmonne alors avec la langue toujours dehors :

- jeee zzzuuiiii éééézzzoollléééé mmoonnnzzziieee. Uuuoooiii jjjeeee pppeeeee fffffèèèrrrr oooouuurrr zaaa ?

- laisse-moi t’aider à te nettoyer salope ! Me dit alors Chico.

Il s’approche des poubelles sur mon côté droit et il attrape un vieux carton appuyé contre la poubelle sale.  Il le déplie rapidement et il le jette sur le béton juste devant moi.

- Nettoie tes gros nichons et ta figure dessus jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de bave, sale pute ! Et tu peux rentrer ta langue.  Commande-t-il.

QUOI ? Est-ce que j’ai mal entendu ? Putain non, je ferai pas ça ! Dieu seul sait depuis combien de temps ce carton traîne dans cette décharge dégueulasse de cette cour arrière. Il a l’air trempé et sale.

Je voudrais envoyer se faire foutre ce bâtard, mais je reste silencieuse tout en rentrant ma langue et avalant.  ma salive qui a un goût d’huile de friteuse. Je ne bouge pas non plus et reste dans ma posture de soumise.

- Qu’est-ce que tu m’as dit ? Tu ne veux pas être différente des autres putes de gang ? C’était juste du vent ? J’ai perdu mon temps avec toi.

Chico me rappelle mes arguments. Ça fait mal ! Je sais que je l’avais supplié de me transformer en la meilleure pute possible pour les « LGZ ». Mais c’était dans le feu de l’action et je ne l’avais pas vraiment pensé. Toutefois l’homme me rappelle mes paroles maintenant.

Et je lui avais déjà permis d’utiliser sa bouche pour  nettoyer ses doigts non ? Ce n’est pas tellement pire n’est-ce pas ? Et je veux bien faire, c’est mon premier jour en tant que pute officielle des « LGZ »

Je vais le faire. d’où qu’elle vienne, l’envie de réussir est trop forte. Alors je me mets à quatre pattes. En regardant le latino, je me glisse vers le carton. Quand mes genoux atteignent le bord, je m’assure de placer mes mains sur le béton de chaque côté. De cette façon, mes lourds nichons pendent et planent juste au-dessus du carton détrempé.

Sans le toucher je l’inspecte de près. Il est humide, avec des bords en lambeaux et plusieurs tâches sombres sont disséminées dessus. Dieu seul sait d’où il vient. Il a l’air si peu attrayant qu’il me donne la chair de poule.

Je suis une femme d’affaires puissante qui peut se payer une femme de ménage et un jardinier. Personne ne peut trouver quelque chose d’aussi sale chez moi. Et personne ne me verra la toucher non plus. J’ai toujours détesté faire les tâches ménagères. Dès que j’ai gagné assez d’argent j’ai engagé une femme de ménage. Et depuis je n’ai jamais touché un chiffon. Et aujourd’hui, je suis sur le point de frotter mes seins et mon visage sur une poubelle.

- Çà devient ennuyeux sale pute. Tu vas le faire ou non ? Tu vas respecter ta parole ou non ? s’impatiente Chico.

Je n’arrive pas à réprimer un gémissement de dégoût quand je me baisse lentement. Mon miaulement devient plus fort jusqu’à être un cri aigu au moment où mes mamelons durcis ont touché le carton sale.

Tout en me retenant de me redresser, j’appuie mes gros nichons mous et sensibles sur le carton. Quand je sens l’humidité, j’ai des frissons dans le dos. Je voudrais me relever, mais je continue à presser mes seins couverts de bave jusqu’à ce que ma chair sensible s’écrase et gonfle sur les côtés.

- Eurrggggg ! Dégueulasse ! Dégoûtant ! Commencé-je à me plaindre doucement.

Malgré tout, je commence à bouger les épaules d’avant en arrière pour frotter ma poitrine écrasée sur le carton. Je sens chaque centimètre du carton humide et immonde glisser sur la chair de mes seins. Et je gémis de protestation de plus en plus.

- Héhéhé ! On dirait que j’entends des gémissements. Tu apprécies salope ? Allez continue de te nettoyer pour moi. Rigole Chico.

Avec mon visage si près du carton sale, l’odeur atteint mes narines. Elle me pique le nez. La puanteur du moisi est si forte que ça me fait pleurer au grand amusement de la brute latino. !

- Beurkkk ! Ça pue tellement !

Je me plains et je me lamente.

- Beurkk ! Sil vous plaît puis-je arrêter Monsieur ?

- Ah non salope ! Et tes joues ?

Chico aime trop mes gémissements pour me laisser aller.

- Eurgghhhh… Nonnnn… dégueulasse… c’est ignoble… beurkkkk…

Mes gémissements remontent d’un cran lorsque je pose ma joue droite sur le carton détrempé.

Serre les dents et vas-y ! Je me rappelle ma devise lorsque je commence à frotter mon visage sur le carton pourri. l’écœurement me gagne et me fait tourner la tête. Portant je ne peux pas m’arrêter de frotter. Et je dois démontrer mon dégoût pour faire plaisir à Chico.

Tout en me regardant, celui-ci se place devant moi et ouvre calmement son pantalon. En agitant sa bite devant mon visage il rigole quand il voit que mon regarde de colère se change en regard de désir. Sa queue est belle à voir. Elle est bien raide et assez longue. Mais le plus frappant est son épaisseur. Elle est plus épaisse que mon poignet. Sa queue allait bien étirer ma chatte et me combler.

Il suffit d’une belle bite bien dure pour faire disparaître ma colère et me rendre à nouveau malléable. Quelle salope ! En quelques secondes je regarde avec impatience la bite devant moi et j’aimerai la toucher tout en continuant de frotter ma chair sur le carton. Enfin quelque chose qui peut me faire plaisir. Après toute cette humiliation et les mauvais traitements, je suis plus que prête pour une queue.

Mais le brutal latino s’éloigne derrière et passe sa main à l’intérieur de mes cuisses. Il s’écrie brusquement :

- Hé hé regardez-moi ça !

Ma chatte est tellement dégoulinante que mon jus coule le long de mes jambes. Tout en faisant la pire chose dont je puisse rêver ! Quelle dégradation !

- La pute commence à faire des bêtises. Je parie que tu veux que je le dise à Daniel ? Se moque Chico.

Tout en me posant la question, il passe ses doigts le long de ma fente inondée. Je veux crier « non » mais seuls des gémissements reconnaissants sortent de mes lèvres. La vue de sa belle queue m’a vraiment excitée.

- AAIIIIIIEEEE : Crié-je soudainement quand Chico pousse son majeur dans mon trou du cul serré.

Il m’a prise complètement au dépourvu et a forcé mon petit trou sensible sans se soucier de mon confort.

- hé que faites-vous ?

Je commence à protester mais mes plaintes restent dans ma gorge quand je comprends ses intentions.

Il commence à pousser son doigt ce qui me laisse que deux options : Soit je le laisse agrandir douloureusement mon trou du cul, soit je suis ses mouvements et je le laisse guider mon corps sur le carton.

Je sens l’homme lever son doigt vers le haut jusqu’à ce que mon sphincter commence à se déformer dans la même direction. En tendant mon cul, je le laisse me guider. Il me met un deuxième doigt dans le cul et l’étire davantage. Ça lui donne une prise ferme sur mon corps. Et il commence à me pousser à droite et à gauche.

- hé hé hé, c’est comme si je maniais une serpillière. Tu aimes être ma serpillière ? Remarque Chico.

- Hein ? Une serpillière ? Gémis-je de l’humiliation.

Et je me plains :

- Non ! C’est vraiment horrible ! Je suis votre pute, pas votre serpillière Monsieur !

- Hé hé , oui je suis méchant. Déclare le latino.

Pendant ce temps, il échange son majeur avec l’index de sa main gauche et écarte les doigts pour ouvrir mon cul serré. Et il dit :

- Tu as été très utile comme nettoyeuse de mes doigts et comme serpillière. Maintenant vérifions tes trous de baise !

- OUUUUUHHHHHHH AIEEEEEE !

J’ai à peine compris ses mots qu’il a plongé sa grosse bite dans mon cul.

Comme son engin de chair est plus épais que mon poignet, il me coupe le souffle en m’enculant. J’ai l’impression d’être empalée par un tronc d’arbre. Mes plaintes sont immédiatement remplacées par des hurlements. Je cris comme une folle alors que mes fesses sont écartelées au-delà de leur capacité. La grosse bite de Chico étire avec force mon pauvre petit trou du cul et élargit mon conduit anal.

- AIEEEEEE ! Trop grossss ! OUUUUHHHHH ! Mon cul est trop serré.

J’arrive à me plaindre entre mes cris.

- Non ! Quand j’aurai terminé sale pute ! Se contente de dire mon bourreau tandis qu’il enfouit son sexe entre mes fesses.

Quand il a fini de plonger son énorme bite dans mon tunnel anal, j’ai l’impression qu’il a touché ma colonne vertébrale. Je ne peux même pas bouger. Mes fesses sont si étirées que je peux sentir chaque veine sur sa queue. 

Mais ensuite il se retire et il commence à baiser mon cul. Son attaque anale prend une toute autre tournure.

Il m’encule avec de violentes poussées qui font trembler tout mon corps. Il ne me martèle pas rapidement comme un animal en rut, mais il enfonce sa bite méthodiquement avec des coups profonds et plein de vigueur. Pour augmenter sa pénétration, il attrape mes deux bras et les tire dans mon dos, me laissant ainsi complètement à la merci de son énorme queue. Tout ce que je peux faire c’est de crier et de subir.

Cette sodomie violente me fait même oublier le carton dégoûtant. Mais ça me revient lorsque je comprends de nouveau les intentions de Chico. Il utilise sa queue pour me pousser sur le carton. Il me guide avec sa bite.

Être agenouillées sur un carton sale dans une cour dégoûtante remplie de poubelles et de bennes à ordures et me faire enculer fait crépiter ma chatte. Je veux désespérément toucher mon sexe et frotte mon clito.

A chaque coup puissant exercé sur mon cul, mes épaules sont poussées vers l’avant et ma poitrine et mes joues frottent le carton trempé et dégueulasse.

- Ouillllle…. Oohhhhh… Ouiiiillle…. Ohhhhh !

J’alterne cris et gémissements.

En me tenant les bras dans le dos, le brutal latino enfonce et retire violemment son membre de mon cul jusqu’au moment où mes seins atteignent le bord du carton. Il a réussi à faire glisser mon corps sur tout le carton simplement en m’enculant.

Avec un gros « plop », il retire sa bite de mon pauvre cul. Mon sphincter est si ouvert que j’ai peur qu’il ne se referme plus jamais. L’homme change de position. Il se retourne et chevauche mes fesses tout en me faisant face. Il plonge son gros outil dans mon trou du cul.

- AARRRRGGGHHHHH ! Crié-je.

Ce nouvel angle d’introduction distend mon trou du cul dans une autre direction et l’élargit encore plus. Chico utilise des coups de rein puissants et méthodiques pour pousser mon corps en arrière. Lentement mes seins reculent sur le carton détrempé.

Quelques instants avant que mes gros nichons écrasés atteignent l’autre bout, je sens le sexe de l’homme commencer à palpiter.

- S’il te plaît bébé, ne jouis pas tout de suite. Mets ta bite dans ma chatte. Tu veux bien baiser ma chatte n’est-ce pas ? Demandé-je, avide.

Maintenant qu’il a sorti sa queue, je ne veux pas qu’il parte sans fourrer ma chatte. J’ai besoin de sa bite profondément dans mon sexe.

- Tu es une pute gourmande ! Tu es vraiment une grosse cochonne n’est-ce pas salope ? Crie Chico en réponse.

Puis il ajoute :

- Dommage, mais je suis prêt à me vider les couilles. Allez salope : tu es une pute ! Alors regarde ma bite. Branle-moi sur ton visage ! Travaille pour avoir une récompense.

Je rougis à ces ordres. Il fait travailler une femme d’affaires distinguée pour avoir la récompense d’un soin du visage avec du sperme. C’est totalement humiliant mais ça stimule ma soumission. Doucement, je me redresse sur mes genoux. Je saisis la grosse bite de Chico et je la branle. En ouvrant grand la bouche, je tire la langue pour qu’il ait une cible pour son foutre.

Mais je ne peux plus attendre ma libération. Ma main gauche étant libre, je la descends sur mon clitoris. Il est tellement gorgé de sang. De simplement l’effleurer provoque une décharge électrique d’extase dans ma tête.

- Ooooohhhhh… Gémis-je de déception quand Chico gifle ma main sur ma chatte.

- Est-ce que je t’ai permis de te toucher Pute de gang ? Les deux mains sur ma bite salope ! Grogne-t-il.

J’obéis et je pose mes deux mains sur son gros gourdin bien dur. Mes faux ongles fraîchement manucurés brillent dans le noir pendant que je branle le latino. Après quelques instants, il crie de triomphe et son sexe explose. Je tiens fermement sa bite palpitante pendant qu’il vomit trois giclées de sperme épais et blanc sur mon visage. Le premier jet vole droit sur mes longs cheveux châtains, le second est vaporisé sur mes joues et mon nez et finalement, le troisième jet atterrit sur ma langue.

- Génial ! Se réjouit Chico.

Il me fait lui-même lui taper dans la main alors que je suis encore à genoux. Encore une autre humiliation, c’est tellement dégradant pour moi de féliciter ce voyou qui vient d’inonder mon visage et ma langue de son foutre.

- Montre-moi mon sperme ! Me demande-t-il.

- Maintenant, crache-le sur les frites ! Ordonne-t-il après avoir inspecté la masse gluante couvrant ma langue.

Puis il ajoute, hilare :

- C’est du ketchup pour salope. Tu ne veux pas gaspiller les frites que je t’ai apportées hein ?

Ses mots me font grimacer. Je ne veux pas enduire les frites de son sperme. Merde, je ne veux pas manger les frites. Elles doivent être froides maintenant. Mon air dégoûté ne me vaut qu’un grognement dérisoire.

- Fais le sale pute ! Ne me fais pas attendre ! Me menace Chico.

Gémissante, j’attrape le cornet de frites qui traîne sur le béton sale. J’ouvre la bouche et je laisse le mélange de sperme et de salive couler sur les frites. Quand tout le foutre a quitté ma bouche, je prends quelques frites enrobées de sperme avec mes doigts tremblants et je les soulève.

En les tenant devant mon visage, je ne peux me résoudre à les mettre dans ma bouche. Le foutre blanc et gluant les colle entre elles. Ce n’est vraiment pas appétissant. C’est répugnant.

- OHHHHHH ! Crié-je soudainement de surprise.

Chico est devenu impatient. Il a attrapé mes cheveux avec sa main droite. Tirant ma tête en arrière, il me fait le regarder droit dans les yeux. Saisissant le cornet de frites de mes mains, il le porte à mon visage. Je sais ce qu’il va arriver et je me tortille sur place. Mais c’est inévitable alors j’ouvre la bouche en grand.

Avec un sourire diabolique, le rude latino verse un paquet de frites dans ma bouche. La plupart des frites enrobées de sperme y tombe tandis que quelques-unes me heurtent le menton et les joues. Ces frites froides et gluantes me font étouffer, mais je les garde dans la bouche.

- Tu ne veux pas que je dise à Daniel que tu as rejeté mon cadeau n’est-ce pas ? Me demande Chico tout en gardant mes cheveux bien serrés dans sa main.

- S’il découvre que tu n’es pas obéissante, il pourrait bien te faire dormir sur ce carton pendant une semaine. C’est ce que je ferais.

Putain non, je ne veux pas ça. Cette seule pensée m’effraie alors je commence à mâcher les frites. Le mélange de graisse froide et de sperme gluant est horrible. Je dois m’y reprendre à plusieurs fois pour avaler et réduire la quantité dans ma bouche. Ça descend dans ma gorge aussi bien que des morceaux de pierre.

Pouahhh ! C’est dégueulasse. Je voudrais boire quelque chose pour me nettoyer la bouche. Mais à la place, j’ouvre docilement la bouche et la présente, complètement vide à Chico. Une fois de plus, cette brute verse encore quelques frites. Et il dit :

- Montre-moi à quel point tu apprécies mon cadeau, petite pute de gang. Montre-moi avec tes lèvres que tu adores ça !

- Mmmmmm… Mmmmm…

Il me regarde essayer de bouger mes lèvres et de faire des bruits de gourmandise tout en mâchant des frites infectes. Mais je ne peux empêcher les hauts-le-cœur et ça le fait rire.

- Mange comme une bonne fille ! me dit finalement Chico en me remettant le cornet de frites.

Tandis que je continue à manger mon repas froid et infect, le latino sort son téléphone portable de sa poche et fait un numéro.

- Daniel mon pote ! Dit-il pour me faire comprendre qu’il appelle mon stagiaire.

- C’est une surprise incroyable dis donc ! Je dois dire que tu as mis la main sur une vraie grosse salope.

- …

- Oh la salope elle va bien. Elle grignote ses frites au sperme. Ahahaaha !

Il rigole à mes dépens.

- Et elle se régale. Si tu voyais sa figure…

Puis il rajoute :

- Ouais je rigole. Mais elle a une chatte qui réclame de la bite. c’est une vraie chienne en chaleur.

La façon dont il parle de moi comme si je n’étais pas là me fait grimacer. Néanmoins, je continue de « grignoter » docilement mes frites couvertes de foutre.

- Elle sait bien sucer mais je pense qu’elle doit faire plus pour gagner une bite. n’es-tu pas d’accord ? Demande Chico au téléphone.

J’ai enfin fini les frites, me laissant un goût gluant et salé de sperme dans ma bouche. Mais j’essaie de me concentrer sur la conversation téléphonique.

- Allez sale pute, montre à quel point tu veux qu’une queue bourre ta chatte. Me dit Chico avant de me donner le téléphone.

- Ooooohhhhh…

Je gémis dans le portable quand le latino se penche et effleure mon clitoris.

Je suis vraiment près de jouir et je veux désespérément qu’une queue me baise. Si je dois supplier et implorer, qu’il en soit ainsi. Ma gêne ne me fera que jouir plus puissamment.

- S’il vous plaît Monsieur Daniel, votre pute a tout fait ce que vous vouliez. Est-ce qu’elle peut jouir maintenant s’il vous plaît ?

- Tu crois que tu mérites de jouir petite chatte ? Que peux-tu faire pour me convaincre ? Me demande Daniel en retour.

- Euuuhhhh ! Je ne sais pas Monsieur. Que voulez-vous que je fasse ? Dis-je en étant surprise par sa question soudaine.

Il veut que je fasse ma propre suggestion. Il veut me voir grimacer et être mal à l’aise. Il veut se régaler de mon auto-humiliation. Mon esprit est en ruine, je n’arrive plus à avoir de pensée rationnelle. J’accepte l’humiliation. J’accepte d’être traitée durement. Mais surtout je veux une bite.

Je dois trouver quelque chose. La panique commence à monter. Je regarde autour de moi. Il fait presque nuit et le parking ne me semble pas bien éclairé alors ça me donne une idée. Et merde, d’où me viennent ces idées tordues ? Avant que je puisse trouver une réponse, je dis au téléphone !

- S’il vous plaît Monsieur, votre Pute de gang peut-elle revenir à la voiture sur les genoux sans mettre le bandana ? S’il vous plaît Monsieur, laissez votre salope revenir avec ses gros nichons bien exposés ?

Je suis choquée par ce que je viens de proposer. Daniel voulait seulement que je le supplie. Je me surprends moi-même pat le niveau de dégradation dont je suis capable. J’entends Daniel et Garcia rirent au bout de la ligne.

- Hé hé ! Ça semble une idée intéressante.

- Et pourrais-je avoir votre bite Monsieur ? J’ai tellement besoin de votre grosse queue bien dure. Demandé-je.

Je crois que je lui aurais promis quoi que ce soit s’il m’avait dit non.

- Je vais te baiser bien à fond quand on rentrera chez toi petite chatte. Maintenant ramène ton cul ici ! Répond-il.

- Oui Monsieur. Dis-je avec soulagement.

Sa promesse me donne le vertige. Quelle salope suis-je devenue ?

Redonnant son portable à Chico, je le regarde soumise depuis ma position agenouillée. Il hoche la tête avec un sourire vicieux sur son visage. De toute évidence, il a aussi aimé mon idée.

Avant que je ne commence à avancer sur mes genoux, il ramasse le bandana noir. Il attrape mes bras et les passe dans mon dos. Puis il utilise le bandana pour attacher mes coudes derrière mon dos. De cette façon, mes épaules sont tirées dans mon dos et ma poitrine est bien dressée devant moi.

- Maintenant vas-y salope ! Me dit Chico en me poussant dans le dos.

Je tombe en avant et mon visage touche presque le sol avant que je retrouve mon équilibre. A la hâte je commence à avancer sur le béton. Mes gros nichons rebondissent et mon gros cul à peine couvert se balance à chaque mouvement. Je ne peux qu’avancer lentement alors que le béton abîme mes genoux.

J’atteins bientôt le parking. Je jette un coup d’œil dans le restaurant. A mon grand soulagement, il n’y a plus aucun client à l’intérieur. Cependant, à l’autre bout du bâtiment, deux employés sont en train de fumer une cigarette. Je ne peux pas les voir distinctement mais tous deux ont l’air d’être noirs.

Dans la pénombre, ils ne m’ont toujours pas remarqué. Mais pour combien de temps ? Vais-je pouvoir arriver à la voiture de Daniel sans qu’ils s’en rendent compte ?  Je dois essayer ! C’est déjà assez difficile qu’un autre membre des « LGZ » m’ait vu nue et m’ait utilisé comme une grosse pute. Je ne vois que quelqu’un d’autre me voit ainsi.

Mon cœur s’arrête presque de battre alors que je continue à avancer sur le parking. Je me dirige droit vers la voiture de Daniel. Mais soudain je m’arrête, trop choquée pour continuer.

Mon stagiaire a allumé les phares de sa voiture. Je suis à genoux dans les faisceaux de lumière. Je ne peux plus me cacher.

Bien sûr, les deux employés du restaurant ont été alertés et m’aperçoivent. Après avoir jeté leur cigarette, ils se dirigent prudemment vers moi pour essayer de comprendre ce qu’il se passe. Prise de panique, je regarde vers la voiture de Daniel. Si je me lève et que je cours maintenant vers l’auto, les deux noirs ne verront que mon dos.

Je suis tremblante de peur et de honte alors que ma chatte me démange fortement. Me mettre debout n’est pas vraiment une option car ça ne fait pas partie de mes ordres. Et ma nature de soumise ne me permet pas de louper cette mission. Frénétiquement, je commence à avancer le plus vite possible. Ma grosse poitrine rebondit librement sur mon ventre et ma mini-jupe en jean remonte sur mes fesses.

- Vous aimez ce que vous voyez les gars ?

C’est la voix de Chico qui vient de retentir. En désespoir de cause, je regarde par-dessus mon épaule et je vois le brutal latino s’approcher de ses deux collègues.

- Hé la pute ! Arrête-toi là ! Me crie le latino.

- Bon sang ! Que fait ce sale bâtard ? Son cri m’a presque fait oublier ce que je devais faire et j’ai manqué me relever pour fuir. Cependant, avec un grognement désespéré je m’arrête et reste en position. Mon Dieu ! Je suis vraiment soumise à ces membres de gang. 

- C’est une pute de notre gang. Elle débute. Explique Chico aux deux autres avec un petit rire.

En rougissant profondément, je prie pour que le sol m’engloutisse. Je veux absolument pas que quelqu’un d’autre me connaisse comme la pute du gang « LGZ ». Me sentant prise au piège, je recommence à avancer, mais je n’ai aucune chance. Les trois hommes se rapprochent facilement de moi.

- Vous savez ce que je pense ? Nous avons touché le jackpot ! Elle est un peu vieille je vous l’accorde. Mais regardez cette poitrine ! Elle a des seins d’enfer.

Je dois ressembler à une biche prise dans les phares d’une voiture lorsque les trois gars m’encerclent. A la lumière des projecteurs, ils ont une vue parfaite sur mon corps. La honte me submerge. Pour tenter de regagner un peu de dignité, j’essaie de baisser un peu ma mini-jupe en jean, faisant de mon mieux pour la remettre sur mon cul nu. Bien sûr c’est complètement inutile étant donné que mes seins sont complètement exposés.

Les deux gars sont bien noirs et paraissent assez jeunes. Ils ne savent pas trop que faire et semblent nerveux. Mais leur nervosité n’est rien à comparer de la tension qui m’habite. Chico, lui, est très détendu. Visiblement c’est un homme avec expérience. Les deux jeunes le suivent.

- Allez les garçons ! Vous pouvez toucher la viande !

Chico encourage les deux gars timides. Il ajoute pour les rassurer : 

- vous êtes mes potes alors vous avez une pute « LGZ » à votre disposition.

Mon visage est en feu en entendant la façon dont Chico parle de moi. Je lui jette un coup d’œil et je vois un sourire suffisant sur son visage. Me faire obéir devant ses collègues doit énormément faire plaisir à son égo.

Prudemment, les deux jeunes attrapent chacun un de mes seins et commence à les pétrir. Il touche mon corps comme ça, sans s’attendre à ce que j’émette des objections. Je ne suis rien d’autre qu’une pute à baiser pour eux. Leur visage reflète l’incrédulité. Ils n’ont probablement jamais vu une telle cochonne auparavant.

Alors que les deux noirs continuent à tripoter ma poitrine Chico m’ordonne :

- Montre-leur tout ce que tu as à offrir, grosse pute ! Face en bas et cul en l’air, montre tes trous à baiser !

Je fixe ce salaud. Il va vraiment trop loin. Mais Chico se fout de ce que je pense. Il pose simplement sa main sur mon dos et appuie. Je continue à le regarder mais je ne résiste pas. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne peux pas me résoudre à me rebiffer. Mon Dieu, je laisse ce voyou brutal prendre le contrôle de mon corps. Je frémis d’excitation.

Lentement, je me penche en avant. Je ne cesse de regarder les yeux de Chico qui me renvoie mes regards avec un sourire arrogant. Je sens ma mini-jupe en jean remontre sur mon cul, exposant ainsi mes jolies fesses nues. Je grimace lorsque mon visage touche le sol. Je suis sur un parking public dans une position ultra soumise.

CLAC !

CLAC !

Chico vient de profiter de l’occasion pour me donner une grande claque sur chacune de mes fesses levées. Je grogne sous la douleur et je remue mon cul comme si j’en veux plus. Je crois que si quelqu’un avait touché mon clitoris à ce moment, j’aurais joui sur place. Je dis alors :

- Putain, oh putain ! Oui regardez mes atouts les gars ! Vous ne voulez pas mettre cette chatte à l’épreuve ?

Encore une fois je me retrouve à supplier une bite. Peu m’importe la queue, il suffit que ma chatte envieuse soit remplie d’un membre de chair bien dur.

Levant les deux yeux du sol, je vois les deux mecs noirs lorgner ma chatte rasée et mon cul rond avec étonnement. Complètement excitée, je ressens le besoin de leur offrir une vue meilleure. Alors je tends mes mains dans le dos. Et, les coudes toujours attachés derrière mon dos avec le bandana, et avec quelques difficultés, je réussis à atteindre mes fesses avec mes mains. Les attrapant fermement, je les écarte pour révéler mon trou du cul déjà bien baisé.

- Regardez-moi ce trou du cul bien ouvert : Je l’ai bien défoncé ! Hé hé hé hé ! Commente Chico sur un air moqueur à ses deux collègues.

Puis le latino continue :

- Vous voyez, c’est vraiment une salope, une vraie pute hein ? Ses trous sont humides tout le temps et prêts à être baisés.

- Putain, c’est incroyable ! Conviennent les deux jeunes noirs en passant leurs mains sur mes fesses pour en apprécier les courbes.

Ils semblent toujours hésiter à en faire plus et à toucher ma chatte, en dépit de mon comportement de pute qui tortille des fesses et ronronne pour eux. Mais Chico ne se gêne pas lui :

- Montre ta chatte, sale pute ! Ordonne-t-il tout en tapant mes cuisses avec son pied.

Obéissante, je me penche encore plus. A cause de mes bras liés dans le dos, je dois lever mon visage du sol et laisser mes seins lourds se balancer tout en saisissant mes petites lèvres avec mes doigts aux ongles longs fraîchement manucurés. En les écartant, j’expose la chair rose de ma chatte aux deux inconnus.

- Qu’est-ce que vous en pensez les gars ? Vous voulez voir cette pute se faire défoncer par une bite bien dure ?

C’est la voix de Daniel qui interrompt soudainement l’examen de mon corps. Il s’adresse alors à moi.

- Tu es une sale pute n’est-ce pas ? Tu ne peux pas t’empêcher de te trémousser devant les gens et leur montrer ton trou humide ? J’ai l’impression qu’il faut que tu apprennes une leçon.

Daniel est sur le point de me baiser en guise de punition pour mon exhibitionnisme. Une punition ? Je suis impatiente. Il attrape mes longs cheveux châtains et me conduit jusqu’à sa voiture pourrie, me laissant avancer sur les genoux à côté de lui comme un petit animal de compagnie. Finalement, il me remet sur pieds et me pousse brutalement contre sa voiture pour me pencher sur le capot.

Mes gros nichons sont fermement appuyés sur le métal froid, et mon cul nu est bien en évidence, alors que mes bras sont toujours attachés dans mon dos. Tirant sa grosse bite de son pantalon kaki, il la laisse reposer contre mes fesses.

- Tu veux que je te baise durement petite chatte ? Me taquine Daniel.

Mon Dieu, je ne veux rien de plus que me faire baiser par ce macho arrogant. Je ne peux plus attendre d’avoir sa grosse bite pour étirer ma chatte. Avant que je ne puisse répondre, il passe son doigt dans ma fente trempée.

- Ohhhh ouiiiiiii ! Gémis-je sans complexe.

Juste au moment où je commence à grogner d’envie, le doigt disparaît, me laissant encore plus désespérée et excitée. Je ne peux pas m’empêcher de bouger mes hanches d’avant en arrière pour essayer de ramener son doigt sur mon sexe affamé. Méchamment taquin, ce sale macho fait courir sa bite le long de la raie de mon cul.

- Ohhhhh…. AAAAAHHHHH !

Je rugis plus que je gémis quand il touche mon clitoris avec son doigt.

Effectuant une danse obscène sur le parking du fast-food, je tortille du cul et j’essaie de récupérer son doigt. Derrière moi, j’entends Chico, Garcia et les deux garçons noirs se moquer du spectacle que je donne. Et ça ne fait qu’ajouter de l’essence au feu qui brûle dans mes reins.

- Oooooohhhh ! S’il vous plaît, baisez votre salope ! Baisez-moi fort ! Je suis votre chienne, Monsieur ! Plaidé-je en remuant des fesses.

- Alors viens le chercher, petite salope ! Me dit mon stagiaire en posant son gland à l’entrée de ma chatte.

Il n’a pas besoins d’en dire plus. Très rapidement, je pousse mon cul en arrière et j’empale ma chatte trempée sur sa grosse queue dure. Je suis tellement mouillée que ça glisse facilement. Et je grogne de plaisir comme une folle quand toute sa bite me remplit.

Sans perdre de temps, Daniel commence à marteler ma chatte humide avec son gros engin. Il me baise violemment et rapidement. Ses couilles frappent mes fesses et mon entrejambe. Son torse heurte bruyamment mon cul, faisant rebondit mes fesses.

Dès le début, je vois des étoiles danser devant mes yeux. Je crois que je vais m ‘évanouir. Tout mon corps est comme un câble électrique, des décharges électriques de plaisir me traversent. Je suis incohérente avec mes gémissements, grognements et cris de plaisir.

Le monde extérieur disparaît, le parking du restaurant, les phares qui m’éclairent, les deux latinos et les deux noirs qui regardent. Tout ce qui m’importe c’est l’orgasme qui envahit mon corps.

Daniel me baise pendant un long moment et je ne cesse de jouir. Chaque fois que je sens mon orgasme diminuer, le jeune latino tripote mon clitoris ou me gifle le cul pour que je jouisse à nouveau. Je perds totalement le nombre d’orgasme que j’enchaîne.

Alors que ce voyou accélère le rythme, il tire brusquement sur mes cheveux châtains et me relève du capot de la voiture. Mes seins ne sont plus écrasés. Alors qu’il martèle sa queue dans mon ventre, mes gros nichons commencent à rebondir librement sur ma poitrine. Après un dernier coup de rein violent, je sens la queue palpiter et Daniel décharge une énorme quantité de sperme en moi.

Je tiens à peine sur mes jambes quand le latino retire sa bite de ma chatte et me fais faire un pas en arrière sur mes hauts talons. Ensuite il prend ma place et s’assoit sur le capot, les jambes écartées.

- Merci de me nettoyer petite chatte ! Ordonne-t-il.

D’un pas mal assuré, je m’approche de lui et je vois un mélange de mon jus avec son foutre qui recouvre sa queue. Ouvrant la bouche, je me penche et j’engloutis sa bite toujours dure. Bien entendu, ma chatte devient bien visible pour les autres. Elle doit paraître sale, avec le foutre de Daniel qui en sort. Elle doit faire la paire avec mon trou du cul béant. Du moins, c’est ce que je comprends des commentaires vicieux des gars.

Après avoir consciencieusement nettoyé les reste de notre baise sur la queue de Daniel, celui-ci sort sa bite de ma bouche  et il me dit froidement :

- Il faut que je marque mon territoire ici, petite chatte. Montre-leur que tu es mon petit animal de compagnie, embrasse mon cul !

Je me fige et j’hésite. Cet ordre m’est tombé dessus comme la foudre. C’est plus dégoûtant que tout ce que Chico m’a fait faire. C’est vraiment ignoble !

Mais je comprends que Daniel a besoin de marquer son territoire. Les autres membres des « LGZ » peuvent m’utiliser , mais seul Daniel peut me contrôler. Le besoin de faire plaisir à ce macho arrogant envahit mon esprit. Je me sens si soumise à lui.

J’attrape les hanches de mon stagiaire et je lui fais faire demi-tour. Je suis si nerveuse de ce que je dois faire que je passe longuement mes mains aux ongles longs sur ses fesses. Toutefois, je ne veux pas qu’il me force à le faire. Je veux le faire de ma propre volonté pour prouver ma soumission à ses camarades de gang. Finalement je me penche et je plisse les lèvres.

Tout en essayant d’effacer cette scène de ma tête, j’embrasse la fesse droite de Daniel avec un bruit éloquent. Je donne le même traitement à sa fesse gauche. Puis je commence à lécher rapidement chacune de ses fesses tout en essayant de mon mieux de rester aussi loin que possible de son trou du cul. Néanmoins, le sentiment de soumission que je ressens à l’instant est accablant.

A suivre...

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