mardi 5 décembre 2023

Changements de vie pour Jessica Ch. 10

 Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

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Courses au centre commercial.

*** Semaine 2 *** Samedi *** 

Nous sommes samedi matin. La sonnerie de mon réveil vient de retentir. Ce n'est pas un week-end ordinaire, car je préfère faire la grasse matinée d'habitude. Et je suis certaine que ça ne va pas être un week-end ordinaire. Daniel doit venir pour m'emmener au centre commercial. Donc je dois me préparer. Il ne m'a pas dit ce que nous allons faire là-bas. Mais c'est sûr que je dois l'accompagner.

Tandis que l'eau chaude de la douche coule sur mon corps, je me remémore les faits de la semaine dernière. Après que Daniel m'ait transformée en Miss Pute de Bureau et m'ait soumise à deux défis, j'étais en déplacement le jeudi et le vendredi. Pour être honnête j'étais contente. Les histoires au bureau avec Daniel avaient été trop osées et m'avaient laissée épuisée émotionnellement. Je savais que je n'aurais pas pu continuer longtemps.

Malgré ma gêne et ma honte, j'avais continué à suivre les règles du jeune latino pendant mon absence. Toutes les trois heures je prenais une pause de cinq minutes. Je m'enfermais dans les toilettes et j’appelais mon stagiaire sur son téléphone portable, puis je jouais avec mon clitoris tout en gémissant sans vergogne dans mon mobile. Mais mon tourmenteur ne m'a jamais laissé jouir. Je suis toujours restée excitée et étourdie. C'était vraiment frustrant, car tous mes sens étaient exacerbés et chaque contact léger suffisait à m'exciter, rendant ma concentration sur mon travail très difficile.

Cette hypersensibilité est ce que je ressens à ce moment même sous la douche. Après deux jours d'excitation constante, je suis sur le point de supplier ce voyou macho de me laisser jouir. J'en ai tellement besoin, ma chatte me picote et me rend folle. Toutefois, je ne veux certainement pas donner à mon stagiaire la satisfaction de me voir mendier un orgasme. 

Je viens à peine de sortir de la douche qu'on sonne à la porte. Seulement vêtue de mon peignoir blanc, j'ouvre la porte d'entrée. Daniel est debout sous mon porche. J'ai des difficultés à le reconnaître. Au lieu de sa belle chemise blanche et de son pantalon de costume noir, il porte un pantalon léger kaki et un débardeur blanc qui laisse apparaître ses tatouages. Il ne ressemble plus du tout à un stagiaire dans un grand cabinet de conseil, mais plutôt à un membre de gang de rue.

A ma grande surprise il n'est pas seul. A côté de lui se trouve son ami Garcia, le petit gars costaud que j'avais rencontré lors du lavage de voiture chez Daniel l'autre vendredi. Lui aussi porte un pantalon kaki et un débardeur blanc. Il a aussi une chemise en flanelle non boutonnée. Autour de sa tête il a noué un bandana noir. Il ressemble encore plus à un membre de gang que Daniel.

Juste devant ma porte mon stagiaire saisit mes gros seins et commence à les tripoter à travers le peignoir. Ça me hérisse de colère et mon visage devient rouge de honte, autant par sa brutalité que par la honte d'être vue par quelqu'un. Et si un voisin nous voyait ? C'est déjà assez grave que l'on voit deux membres de gang latino se diriger vers ma maison.

Le conduisant rapidement à l'intérieur, je me retiens de lui taper sur les mains. Honnêtement, je n'y ai même pas pensé. Je suis trop contente que les deux hommes ne soient plus sous mon porche. Bon sang ! Je les laisse entrer chez moi sans même remettre en question leur visite.

- Enlève le peignoir ! Me demande Daniel après qu'ils soient tous les deux entrés dans la maison.

- Mes putes ne portent pas ce genre de choses. Mes putes sont toujours nues dans la maison.

Sans un mot, je laisse glisser mon peignoir blanc sur le sol et je me retrouve debout et nue à côté de la porte. Je suis tellement gênée. Après avoir envahi ma maison , ces deux voyous n'ont eu que quelques secondes pour me mettre nue et à leur service. Que c'est embarrassant !

Malgré tout, je n'arrive pas à résister à la présence dominatrice de Daniel. Et l'excitation accumulée depuis deux jours humidifie ma chatte et l'électrifie.

- Agenouille-toi sur le sol et attends que nous te choisissions une tenue, vieille salope ! Me dit le jeune latino avec un sourire diabolique sur le visage.

En le regardant dans les yeux, j'obéis et je m'agenouille docilement. C'est aussi simple que ça ! Un seul ordre et j'obéis. Daniel me fait un signe de tête pour me montrer qu'il est satisfait avant d'aller dans ma chambre avec Garcia à ses côtés. Une nouvelle vague de honte m'envahit alors que je suis à genoux par terre. J'ai l'impression d'être un meuble tandis qu'ils choisissent la bonne tenue pour moi. Mon humiliation me noue l'estomac et ma chatte palpite à l'anticipation de ce qui va se passer aujourd'hui.

J'entends les deux jeunes gars fouiller dans ma garde-robe et je les vois jeter divers vêtements sur mon lit. Je n'aime pas la façon dont ils traitent mes affaires, mais je ne dis rien. Il vaut mieux que je laisse faire Daniel pour ne pas l'énerver.

- Nous n'allons pas au bureau aujourd'hui. Donc aucun habit strict n'est nécessaire. Tu vas enfin pouvoir t'habiller selon ta vraie nature. Crie Daniel en inspectant les vêtements jetés sur mon lit.

Je n'aime pas ce que j'entends, mais je ne dis pas un mot. J'attends qu'il fasse son choix. Quand les deux hommes reviennent vers moi, Daniel jette deux vêtements par terre. Instantanément je sais que mes inquiétudes étaient fondées. Il a délibérément choisi des choses que je ne porte que lors de soirées.

- Tu veux sortir avec des habits de salope hein ? Je parie que ça t'excite ! Se moque Daniel.

Juste après ces mots, il se penche et passe ses doigts contre la fente de ma chatte. Je sursaute quand je sens ce contact brutal sur mon sexe hypersensible. Mon dieu, je suis déjà si excitée.

Avec un sourire moqueur, mon stagiaire amène sa main devant mon visage pour me montrer le jus qui couvre ses doigts. Je grimace en ayant le sentiment d'être une pute facile et bon marché. Malgré tout, sans qu'il ne me dise rien, j'ouvre la bouche avec soumission et je commence à sucer mon propre jus des doigts de mon tourmenteur.

Daniel me caresse la tête et dit :

- Bien petite chatte ! Donc nous savons que tu veux désespérément porter des vêtements de salope. Qu'est-ce que tu vas faire pour nous convaincre de te le permettre Miss Allumeuse ?

Je sais ce qu'il veut. La façon dont il parle est toujours terriblement dégradante pour moi. Il faut que j'obtienne la permission de porter cette tenue qui va faire de moi une salope. Quelle blague ! Je n'ai aucune envie de supplier pour ça. Pourtant, ma chatte me démange encore plus. Alors, toujours agenouillée, je le regarde et je demande :

- S'il vous plaît Monsieur, puis-je sucer votre bite comme une bonne salope ? Et puis-je avaler votre sperme pour gagner ma tenue ?

Visiblement satisfait de mon discours, le voyou baisse son pantalon kaki et sort sa grosse queue. Il éclate de rire en voyant ma réaction. Mon Dieu, je dois vraiment avoir l'air d'être impatiente au plus haut point. Ça ne fait que deux jours, mais le fait de revoir sa grosse bite bien dure me fait presque baver. Je me maudis de me trahir de la sorte, mais seulement un instant, car toute pensée cohérente me quitte à la vue de cette magnifique bite veinée. Je vais pour saisir son membre dans ma main , mais Daniel l'enlève.

- Est-ce que je t'ai autorisé à la toucher avec les mains, petite chatte ? Me réprimande-t-il.

Mon stagiaire prend sa queue dans sa main et l'agite d'un côté à l'autre. Il glousse quand je la suis avec ma tête. Puis il la relève contre son ventre et s'approche de moi. Je pense qu'il veut que je lui lèche les couilles. Mais au lieu de ça il laisse sa bite retomber. Ça me fouette le visage, me faisant sursauter de surprise. Les deux gars rigolent et se moquent de moi.

Puis Daniel et Garcia se relaient pour me gifler avec leur gourdin de chair sur mes joues et mes lèvres. Malgré ce traitement dégradant, j'offre librement mes douces lèvres pour me faire gifler par leur bite. J'ai du mal à respirer, je deviens trop excitée. Il faut que j'ai leur queue.

- S'il vous plaît, donnez-moi vos bites ! Supplié-je finalement en désespoir de cause.

Daniel sourit devant ma totale soumission où je suis agenouillée devant ma porte, me faisant gifler par des bites et suppliant de pouvoir les sucer. Il ordonne alors :

- Embrasse d'abord nos queues Miss Allumeuse. Montre-nous à quel point tu veux les sucer ! Montre-nous à quel point tu es une salope avide de bites !

Avec les deux gars debout sur chacun des côtés, je commence à embrasser leur bite. Je leur donne des bisous avec ferveur. Je n'en peux plus. Après avoir complètement recouvert leurs deux membres de baisers, j'ai pensé avoir leur permission. Saisissant chaque bite dans une main, je fourre le gros gland de Garcia dans ma bouche. Tout en gémissant involontairement, je me conduis en vraie salope.

Je me jette à tour de rôle sur les deux queues de latino. Je mets leur membre de chair profondément dans ma bouche et je me fais baiser le visage. Ils me font travailler dur pour que je les fasse éjaculer. C'est surtout Garcia qui aime jouer avec moi et me faire gémir de frustration. Il retire sans cesse sa queue de ma bouche et il la promène sur mes lèvres et mes joues, enduisant ma peau de ma propre bave tout se moquant :

- Tu aimes les queues de voyous n'est-ce pas ? Tu es excitée par les bites de mecs que tu n'aimes pas côtoyer hein ? Héhéhé, quelle salope !

Bon sang, je me maudis qu'il se rende compte de mon désir. Il a raison cependant. Plus j'ai de la rancœur envers ce genre de, personnes arrogantes, plus ça m'excite de me soumettre à elles. Je grogne de frustration de les laisser jouer avec moi aussi facilement, mais je suis plus excitée que jamais.

- Putain oui, je veux sucer votre queue tout le temps Monsieur. Je veux tellement être votre pute !

Ce nouveau niveau de soumission les amène tous les deux près de la jouissance. Ils enlèvent mes mains de leur bite et ils se relaient pour me baiser la bouche. Tout ce que je peux faire, c'est de garder la bouche ouverte et de serrer mes lèvres autour de leur engin pendant qu'ils me baisent. 

Toutefois ça ne suffit pas à les faire jouir. Quand ils retirent leur queue de ma bouche, je miaule et fais une moue boudeuse. Je veux leur sperme ! J'ai travaillé très dur pour le gagner n'est-ce pas ?

Branlant leur bite devant mon visage, les deux machos se réjouissent de ma frustration. Tout ce que je peux faire c'est d'ouvrir la bouche et de tirer la langue comme une bonne chienne obéissante tout en regardant intensément leur engin bien dur.

Ils gémissent et grognent quand ils jouissent presque simultanément. Daniel dirige sa lance contre ma bouche ouverte et frappe ma langue avec son premier jet de sperme. Les giclées suivantes s'abattent dans ma bouche, m'étouffant presque. Par contre Garcia vise mon visage. Sa première décharge est si puissante qu'elle éclabousse mon front. Les jets suivants sont pulvérisés sur mes joues et mon nez. J'ai l'impression d'avoir un verre de sperme sur chaque centimètre de mon visage.

J'avale le foutre salé de Daniel avant de lécher les reste de sperme sur leur bite. Pendant que je nettoie consciencieusement leur queue, je sens la semence collante de Garcia couler lentement sur mon front. Je me sens encore plus une salope.

Une fois cette tache accomplie, Daniel m'envoie à la salle de bain pour me nettoyer. Ça me fait bouder encore plus. J'ai tellement envie de jouir. Ma tête est embuée par mon envie et la journée a à peine commencé.

Peut-on croire que ça fait à peine une demi-heure que je suis sortie de la douche ? Dans ce court laps de temps, Daniel et son copain ont transformé mon visage en réceptacle de foutre. En prenant une douche rapide, je ne peux m'empêcher de frotter mon clitoris. Et pendant tout ce temps, je repense à ce qui vient de se produire. Je sens mes jambes trembler et les prémices d'un orgasme apparaissent, mais heureusement je me souviens de la règle de Daniel. Je n'ai pas le droit de jouir sans sa permission. Avec un gémissement de déception, j'arrête de caresser ma chatte. Malheureusement je suis encore plus excitée.

Quand je reviens vers les deux hommes, Daniel me fait mettre la tenue qu'il a choisie auparavant. Il me fait porte une min-jupe en jean avec une large ceinture blanche flashy et un haut moulant blanc. C'est tout, pas de soutien-gorge ni de culotte.  Le haut est ajouré sur les côtés et sur le devant en V. Seule une petite lanière empêche le décolleté de s'ouvrir. Ce haut permet de voir facilement mon décolleté et ce style me transforme en spectacle ambulant avec mes deux gros nichons comme attraction principale. J'ai l'impression de m'exhiber. C'est un vêtement que j'avais acheté avec mon ancien copain pour pimenter notre vie sexuelle et que je n'avais jamais porté après. Le latino ajoute à mon accoutrement des sandales blanches ajourées avec des talons. Puis il me demande de bien me maquiller avec entre autres un rouge à lèvres rouge pâle.

Dans cette tenue, j'ai l'impression d'être une couguar à la recherche d'un jeune homme. Mon haut et ma jupe sont manifestement complètement inappropriés pour une femme adulte et respectée comme moi. Ça fait mal à ma fierté. Chaque fibre de mon corps résiste à l'idée de sortir de la maison habillée ainsi. Et si les voisins me voient ? Et si nous rencontrons un de mes collègues au centre commercial ? Je crois que je ferais mieux de ne pas y penser.

Encore une fois, la façon dont Daniel a su trouver une tenue si vulgaire dans ma garde-robe si conservatrice m'excite à l’extrême. La façon dont il m'habille comme une salope fait vibrer mon corps en demande de plaisir. Me promener dans le centre commercial dans cette tenue va encore renforcer mon besoin. Peu importe si ça va être humiliant, ça sera aussi électrisant, une sensation aussi agréable que déplaisante.

Le sourire arrogant de Daniel me montre qu'il est visiblement ravi du choix des vêtements. Nous sommes prêts à partir. Il ouvre la porte et sort de chez moi.

Quand je le suis, je me sens totalement exposée aux regards alors que le haut et la jupe recouvrent à peine ma peau. Je me trouve dans un quartier respectable avec un décolleté d'enfer, sans soutien-gorge ni culotte, affichant mes atouts à la vue de tous.

Heureusement, aucun de mes voisins n'est présent lorsque nous traversons la pelouse pour rejoindre la  vieille voiture pourrie de Daniel. Ils ne m'ont donc pas vu dans ma tenue légère de salope. Et c'est une bonne chose. Je préfère ne pas faire l'objet de potins aux alentours.

Après un court trajet, nous arrivons au centre commercial. Heureusement il est assez proche du quartier où vit Daniel et assez éloigné des quartiers plus huppés où vivent mes collègues. C'est un vieux centre commercial minable qui a sûrement connu des jours meilleurs. Je n'aurai jamais l'idée de faire mes courses dans un endroit comme celui-ci.

Au moment où je sors de la voiture, je me fige sur le parking. Je suis incroyablement consciente de mon apparence. Quand quelques couples passent pour rejoindre leur voiture, ils s'arrêtent lorsque j'entre dans leur champ de vision. Les femmes me jettent un regard dégoûté alors que les hommes lorgnent mes atouts.

- N'oublie pas, pas de conversation d'affaire polie aujourd'hui. Ce ne sera que des conversations de salope. Me rappelle Daniel avant que nous entrions dans le centre commercial.

Heureusement il n'y a pas foule dans le centre. Pourtant je me suis sentie gênée et mon visage prend une profonde nuance de rouge. Ma seule tenue suffit à faire sensation. Une femme adulte vêtue en vraie salope avec deux membres de gang latino n'est pas vraiment courant. Je deviens rapidement le centre de l'attention.

J'ai toujours été une belle femme, mais je ne me suis jamais habillée d'une manière aussi provocante en public. Je me sens tellement gênée que je voudrais me cacher dans un endroit bien sombre. Toutefois, plus il y a de regards qui se posent sur moi, plus mon corps réagit à cette attention. Chaque coup d’œil sur mes seins ou mon cul fait picoter ma peau à l'endroit exact où il se pose et envoie une secousse dans ma chatte. Inconsciemment, je commence à cambrer le dos pour faire gonfler ma poitrine et attirer des regards encore plus lubriques.

Étonnamment me sentir être un régal pour les yeux me rend plus confiante que jamais. Je n'ai jamais compté sur mon apparence pour renforcer ma confiance en moi auparavant. Je suis intelligente et cultivée avec un poste et un statut élevés. J'ai toujours tiré ma confiance de cela.

C'est ridicule. Tous ces types qui me déshabillent du regard ne se soucient pas de savoir si je suis bien cultivée ou intelligente. Tout ce qui leur importe est d'apercevoir mes gros melons bien mûrs ou mon gros cul. Pourtant toute cette attention un peu louche a augmenté ma confiance en moi.

Évidemment, Daniel a un plan et sait où il veut faire ses courses. Saisissant ma main, il ouvre la voie avec Garcia de l'autre côté. Je marche dans le centre commercial en tenant par la main un membre de gang beaucoup plus jeune que moi. Ce qui fait que je ressemble à sa petite bimbo stupide, bien maquillée et habillée de vêtements moulants et révélateurs sur des talons hauts. Je me sens si idiote que je ne peux même pas l'exprimer avec des mots.

Les deux latinos me conduisent dans plusieurs magasins de vêtements. Ils parcourent les étagères et prennent des vêtements pour moi. Daniel me dit :

- Dans ta garde-robe je n'ai vu aucun vêtement convenant à une pute de gang. Je dois changer ça. Tu n'est pas d'accord, petite chatte ?

Je me hérisse de révolte en entendant le nom qu'il me donne en public. Mais je me force à roucouler en utilisant des mots de salope.

- Oui bébé ! Il faut que je sois bien habillée pour mon homme.

Mais les mots du latino m'ont noué l'estomac. Et de les voir faire me laisse une énorme boule dans la gorge. Les deux gars font vraiment ce qu'ils ont dit et choisissent tenue audacieuse après tenue audacieuse. Maintes fois, ils sortent un vêtement et le tiennent devant moi pour voir s'il va m'aller. Et même s'ils en remettent certains sur les rayons, ils suspendent la plupart à mon bras.

Et pendant tout ce temps, je dois rester à côté d'eux, ne pouvant choisir aucun vêtement moi-même. Encore une fois, je me sens totalement stupide et ne servant à rien. Je ne suis rien d'autre que leur poupée qu'ils habillent, tenue après tenue. Et non seulement je n'ai pas mon mot à dire sur les vêtements qu'ils choisissent, mais je dois tous les payer.

Je suis en train d'essayer une nouvelle tenue dans une cabine d'essayage quand je suis surprise par Daniel qui passe la tête à travers le rideau pour me dire :

- N'oublie pas les règles Miss allumeuse. Tu dois te caresser de temps en temps et je crois qu'il est temps maintenant.

Prise de court je le regarde. J'ai complètement oublié toutes ses règles stupides. Bon sang, nous sommes dans un magasin, dans un lieu public.

- Bien sûr bébé. Je suis stupide, j'ai oublié. Dis-je sans trop penser.

Malgré le ridicule de mes paroles, je sors consciencieusement mon téléphone portable de mon sac à main et je déclenche le chronomètre. Après avoir enfilé une mini-jupe rouge, je la retrousse aux hanches et j'écarte les jambes. Pendant tout ce temps, le latino ne bouge pas, la tête à travers le rideau.

Les cinq minutes suivantes, je frotte mon clitoris avec la main droite tout en poussant deux doigts de ma main gauche dans et hors de ma chatte. J'essaie de faire de mon mieux pour ne pas gémir. 

J'entends des gens passer devant la cabine d'essayage. Deux femmes sont entrées dans les cabines de chaque côté, discutant des derniers potins sur leur lieu de travail. Leur discussion passe au-dessus de ma tête pendant que je me masturbe. C'est tellement dépravé. Mon cœur bat très fort alors que mes cuisses commencent à trembler et que ma chatte commence à dégouliner.

- Tout va bien ?

J'entends une vendeuse poser la question à Daniel. Je commence à paniquer. Mon cœur s'emballe. Et si la vendeuse vient vérifier ce qu'il se passe dans la cabine ? Ça serait vraiment trop embarrassant. 

Heureusement le visage du latino disparaît tandis qu'il entame une conversation avec la vendeuse. Il lui raconte des conneries sur le fait que sa petite amie est indécise quant aux tenues à choisir. Pendant ce temps je continue consciencieusement à frotter mon clitoris et à baiser ma chatte envieuse avec mes doigts. C'est tellement bon ! Malgré l'environnement, je mouille tellement que mes doigts sont complètement trempés de mon jus. Je sens que je vais jouir. Fermant les yeux, je penche ma tête en arrière et je laisse échapper un gémissement. Je n'ai pas pu l'empêcher.

Mes yeux s'ouvrent brusquement et mon visage rougit quand je réalise que j'ai gémi de façon flagrante dans le magasin. Et si la vendeuse m'a entendu ? Et si les autres clients  m'ont entendu ? Pendant quelques instants j'écoute attentivement. Les deux femmes de chaque côté de ma cabine continuent à bavarder et la vendeuse est toujours en conversation avec Daniel comme si de rien n'était.

C'est à ce moment que l'alarme de mon téléphone se déclenche. Les cinq minutes sont écoulées. Cependant, je ne peux pas dire si je suis heureuse ou triste que ça se termine. Je suis très excitée et très près de jouir. Cette humiliation publique et mon apparence de salope me montent à la tête. Je veux tellement jouir, mais je sais que je ne peux pas le faire.

Après avoir acheté plusieurs tenues dans les magasins, les deux voyous m'ont emmené dans un magasin de chaussures. C'est encore plus dégradant tandis qu'une jeune vendeuse s'occupe de nous. Je ne peux même pas décrire les regards condescendants qu'elle me jette lorsque les deux latinos lui disent ce qu'ils veulent alors que moi je reste silencieuse. Mon visage doit vraiment être rouge de honte.

Les gars choisissent une paire de chaussures claire et ouverte à talons hauts. Ces chaussures peuvent être qualifiées de « casse-gueule ». Ce sont de vraies briseuses de chevilles avec des talons de quinze centimètres et une minuscule pointe. En marchant dans le magasin, instantanément je sens une crampe se former sur mes mollets. Pour être honnête, je titube plutôt que je marche. Et je m'écroule presque la tête en avant.

- Peut-être un peu difficile pour toi ! Je pense que tu as besoin d’entraînement, petite chatte. Dit Daniel pour commenter ma démarche bancale.

Je me force à répondre :

- Que je suis maladroite ! Désolé bébé, laisse-moi faire encore quelques tours pour que je m'habitue.

Je fronce les yeux devant le commentaire du jeune latino et je grimace encore plus quand je remarque la réaction de la vendeuse qui reste bouche bée. Ce jeune gars, membre de gang parle de façon condescendante à une femme mûre. Et non seulement la femme accepte ça, mais sa réponse la fait passer pour une vraie bimbo idiote.

Tout en essayant le plus possible d'éviter le regarde de la vendeuse, je parcours plusieurs fois le magasin jusqu'à ce que je sois bien stabilisée. Mais avant que cela n'arrive, je dois vraiment paraître ridicule, car plusieurs fois je manque tomber en avant. Mais enfin, je me pavane devant Daniel et Garcia, ou plutôt je me faufile dans le magasin de chaussures.

Les talons extrêmement hauts ont un effet immédiat. J'ai l'impression de me promener  tout en disant « regardez-moi ».  Mes hanches se balancent d'un côté à l'autre et mes gros seins lourds rebondissent. Je me sens vraiment salope. Mais j'ai confiance en moi. Je ne peux même pas m'empêcher de regarder la vendeuse avec un sourcil levé de manière provocante.

- Ces talons font parfaitement l'affaire petite chatte. Garde-les !

Je m’arrête net et je regarde Daniel bouche bée de surprise. Je ressemble déjà assez à une totale salope dans mes vêtements étriqués. Avec ces talons, je vais ressembler à la pire des bimbos. Je lui lance un regard noir qui se transforme rapidement en regard suppliant. Mais en vain. Quelques minutes plus tard, je sors du magasin de chaussures sur mes nouveaux talons de quinze centimètres et le rouge au visage.

- Bon, les bases sont là Miss allumeuse. C'est maintenant l'heure de quelques retouches. S'exclame Daniel devant le magasin.

Il me regarde est dit :

- Il est temps pour toi de faire un choix, petite chatte. Une vraie salope doit bien paraître pour son homme n'est-ce pas ? Alors il y a six améliorations à t'apporter. Tu m'écoutes ?

Je hoche la tête et il continue !

- D'abord il te faut des ongles plus longs, de faux ongles qui vont te faire ressembler à mon actrice porno préférée. Deuxièmement, il te faut de grosses boucles d'oreilles pour un style latino. Troisièmement, des piercings dans ta chatte pour me faire plaisir. Quatrièmement un faux bronzage que l'on peut faire avec un aérosol. Cinquièmement, je veux que tes cheveux soient blonds décolorés pour mieux être ma bimbo personnelle. Et sixièmement, il te faut un collier et une laisse pour que l'on sache que tu es mon petit animal de compagnie bien obéissant.

Il ne peut pas être sérieux. Il veut que je change complètement mon apparence et pas seulement mes tenues. Des faux ongles ? Teinte en blonde décolorée ? Je ne pourrai jamais cacher ça au bureau. Et je ne pourrai pas l'expliquer à mes collègues. Je ne peux pas faire ça !

Daniel a un petit rire et continue :

- Comme je te l'ai dit, tu as le choix petite chatte. Tu dois en choisir trois sur six.

Ouf, je me sens presque soulagée par ses dernières paroles. Néanmoins ce sont des obligations incroyablement méchantes. Je ne veux pas changer de look ! Pas de manière aussi humiliante ! Et pas de manière permanente !

Je remarque que les deux membres du gang latino me regarde avec impatience. Je sais aussi qu'il faut que je prenne une décision. Je sais aussi que je ne peux pas m'en sortir. Je voudrais discuter et supplier, mais je sais que Daniel ne cédera pas. Ça ne fera que l'énerver et il m'infligera une punition désagréable. Je veux éviter ça.

Debout au milieu du centre commercial, je me sens impuissante. Combinée à la perspective de faire des choses aussi dégradantes, ça m'excite énormément. Mon esprit est en ébullition, mon estomac est noué et ma chatte électrisée. Comme Daniel l'a dit avec tant d'arrogance, chaque amélioration est mauvaise à sa manière. Une dirigeante d'entreprise ne peut pas porter de grandes boucles d'oreille ou des ongles longs et artificiels. Ça serait gênant et ça alimenterait les rumeurs au travail. Mais je pourrais m'en tirer. D'un autre côté il n'est pas possible que mes cheveux soient décolorés pour ressembler à une bimbo idiote ou que ma chatte reçoive des piercings.

- je… je… choisis… Commencé-je à bafouiller.

- S'il vous plaît Monsieur Daniel, laissez votre salope avoir une belle manucure et une peau joliment bronzée pour être sexy avec vous. 

Je laisse finalement ces mots sortir de ma bouche, ma chatte me picotant à chaque « amélioration » choisie. Et je continue :

- S'il te plaît bébé, laisse-moi acheter de grandes boucles d'oreilles pour que je ressemble à une vraie pute de gang pour toi.

Je n'aime pas les décisions que je viens de prendre. Mais je crois que ce sont les trois moins mauvaises de toutes.

- Ainsi soit-il ! Répond simplement Daniel en se retournant et en partant dans l'allée du centre commercial.

Une fois encore, je ressens la pointe d'humiliation qui vient de ma participation active à ma dégradation. Je viens de prendre une décision et je dois vivre avec.

Sur le trajet qui conduit au salon de beauté, les deux latinos marchent de chaque côté de moi. Soudain je sens Garcia mettre sa main dans mon dos. Ce geste inattendu me fait tressaillir. C'est pire que de se tenir la main. Nous ressemblons à un couple d'amoureux, moi la dirigeant d'entreprise hautement qualifiée et lui, le membre brutal d'un gang latino. Toutefois je réalise que les autres personnes ont une image différente, une bimbo assez âgée avec un jeune latino.

Je sursaute quand je sens la main de Garcia glisser sur mes fesses. Il pose sa main sur mon cul. Je l'enlève rapidement et je regarde par-dessus mon épaule pour vérifier si quelqu'un l'a vu. Je vois un homme âgé, les cheveux gris, les yeux collés à mes fesses. Il n'arrête pas de regarder jusqu'à ce que sa femme le pousse et l'entraîne. Elle me jette un regard méchant.

- Quelle salope ! Probablement sur le point de ses faire fourrer par ses voyous.

Je l'entends murmurer. Ça me coupe le souffle et rend mes joues cramoisies.

Toutefois, des que j'ai enlevé la main de Garcia , je sens celle de Daniel se poser sur mes fesses. Il les caresse lentement. Je tends la main pour enlever la sienne, mais je m'arrête dans mon geste. Je n'ai pas le courage de le faire. Au lieu de ça, je le regarde d'un air suppliant et j'obtiens en réponse un sourire narquois en réponse.

Puis je m'arrête net.

Je sens un courant d'air frais sur mon cul. Daniel a attrapé l'ourlet de ma mini-jupe en jean et l'a soulevé. Le sang m'envahit la tête lorsque je réalise que mes fesses sont exposées et que tout le monde peut les voir.

Prise de panique, je regarde partout. Je vois un gros bonhomme d'âge moyen laisser tomber son sac de course sous la surprise. Il ne le ramasse pas, me regardant à la place. Mon estomac est en ébullition et mes nerfs sont à vifs.

Daniel tient seulement ma jupe en l'air pendant environ une minute. Pourtant je peux compter jusqu'à quatre hommes qui me détaillent avec des regards lubriques et deux femmes qui me jettent des coups d’œil remplis de dégoût. Mon visage est brûlant de honte.

Il me faut du temps pour retrouver mon calme tandis que les deux latinos continuent à parcourir le centre commercial comme si de rien n'était. Et d'une façon ou une autre, je me retrouve à vouloir que plus de femmes me jettent des regards dégoûtés, se moquent de moi, me traitent de façon vulgaire ou m'insultent. Il y a une sensation de luxure qui chatouille ma chatte à ces idées. Je me rends compte que ça fait partie de mon plaisir. J'ai presque envie que Daniel m'expose à nouveau. Je les rejoins et je me faufile entre les deux voyous.

Enfin nous atteignons le salon de beauté. Mais les gars décident de fumer à l'extérieur plutôt que m'accompagner.

- Souviens-toi petite chatte. Tu vas devoir choisir la couleur. Essaie de ne pas me décevoir. Me dit Daniel avant de partir.

Une heure plus tard, je sors du salon de beauté en me sentant complètement différente. L’esthéticienne m’a emmené dans ma tenue de salope et m’a expliqué toute la procédure comme si j’étais une bimbo simple d’esprit. De toute façon je n’étais pas d’humeur pour la convaincre du contraire. Je la laissais garder son impression.

Avant de choisir une couleur et un motif particulier, j’avais regardé tout le catalogue et je ne savais que prendre. Qu’attendait Daniel ? Il voulait quoi pour rendre plus salope son animal de compagnie ?

Je ne pouvais exagérer sans mettre en danger ma position dans mon entreprise. Donc, à la recherche d’une solution intermédiaire, j’avais opté pour des ongles simples avec des pointes blanches. Ils étaient un peu plus longs que ce qui convient à une femme d’affaires. Et comme je voulais que Daniel soit content, je lui vais fait rajouter un petit motif brillant, une fleur de pavot.

Une fois la manucure terminée, je m’étais rendu compte que l’art sur les ongles était élégant et donnait aux ongles longs un aspect assez spectaculaire. Mais ça faisait beaucoup plus voyant et salope que ce que j’avais initialement prévu.

Les deux latinos m’attendent devant le magasin. Bien sûr, il faut que je leur présente mes nouveaux faux-ongles pour qu’il puisse les inspecter au milieu de l’allée. Encore une exhibition publique qui me fait sentir comme une salope bon marché et stupide.

- Hé, le petit pavot est digne d’une star de porno. Commente Garcia.

Daniel acquiesce.

Pour la deuxième amélioration, nous allons chez un bijoutier pour acheter des boucles d’oreilles. Une fois encore, Garcia passe son bras autour de ma taille et me rapproche de lui. Je ne résiste pas.

En chemin, Garcia s’arrête pour jeter un coup d’œil dans une vitrine. C’est à ce moment que Daniel atteint la petite lanière de mon haut. Il l’attrape rapidement et la défait. Il a été trop rapide pour que je puisse réagir. Avant même de me rendre compte de ce qui se passe, mon décolleté en v s’ouvre en grand et mes seins sans soutien-gorge veulent s’évader.

Mon Dieu, c’est obscène ! Mes énormes nichons ne sont plus vraiment retenus par mon haut et ma chair déborde de partout. Le décolleté est tellement ouvert que mon mamelon gauche est sorti. Je crois que je vais mourir de honte sur place et j’espère que le sol va  m’engloutir.

A la hâte, je lève mes mains pour couvrir mes seins, mais les deux latinos arrêtent mon mouvement. Ils ont saisi chacun un de mes bras et les tiennent jusqu'à ce que je les laisse retomber à mes côtés. Je reste complètement exposée sans possibilité de me cacher.

Un groupe de quatre jeunes skateboarder s'est arrêté devant moi. Ils se montrent ma poitrine et murmurent entre eux. Pendant ce temps, comme si de rien n'était, Garcia et Daniel continuent de faire du lèche-vitrine, ne me laissant pas d'autre choix que de rester à côté d'eux et de continuer mon exhibitionnisme.

Les jeunes commencent à siffler dans le centre commercial. Ils se mettent à discuter de mes « grosses mamelles de vache » comme dit l'un d'eux. Ils prennent même des paris pour savoir lequel d'entre eux a le plus de chance de me plaire.

Bien sûr, leur agitation a attiré l'attention d'autres acheteurs. Je perds le compte de tous les regards et les coups de tête dédaigneux que je reçois alors que je me force pour afficher un sourire sur mon visage.

Et merde, ma figure doit être rouge de honte. Mais je n'en suis pas sûre.

Au moins je comble mon avis d'avoir des regards révoltés et des ricanements dédaigneux de la part des femmes, pensé-je sarcastiquement alors que ma chatte me picote sans pitié à chaque nouvelle remarque vulgaire que les jeunes skateboarder disent sur moi.

Mon Dieu, pourquoi mon corps réagit-il ainsi ?

Une fois de plus, Daniel m'expose en public avec mon énorme poitrine pendant quelques minutes. Ça me semble une éternité. Quand finalement il m'ordonne de me tourner vers la vitrine et de remettre la lanière de mon haut en place, je ne suis pas loin de jouir simplement à cause de cet exhibitionnisme.

Le reste du trajet jusqu'au bijoutier, je ne peux pas m'empêcher de serrer mes jambes et de balancer mon cul à chaque pas. Je suis tellement excitée. La façon dont mon stagiaire m'a exposée et jouée avec moi en public a fait ressortir ma nature exhibitionniste. Il pousse tous les boutons, me laissant toujours en vouloir plus.

Une fois de plus, Daniel prend le contrôle dans la bijouterie et décide quels bijoux je dois acheter. Cette domination continue à envoyer des décharges dans mon sexe. Je veux qu'il décide comment je dois être pour lui. Après tout mon but est de bien paraître pour mon homme et de ne prendre aucune décision non ?

Il choisit plusieurs types de boucles d'oreilles. Une paire en argent avec des cerceaux extra-larges, une autre paire avec des faux diamants scintillants, une paire en argent en forme de cœur et une paire en or avec double cerceau. Il choisit également des colliers assortis et plusieurs bracelets en argent.

Comme il l'a fait dans le magasin de chaussures, mon stagiaire m'ordonne de garder certains nouveaux bijoux sur moi. Je dois garder la paire de bouche d'oreille en forme de cœur en argent ainsi que six bracelets en argent à chaque poignet. Ça me donne un air particulièrement salope. Bien sûr, il va s'en dire que je dois payer tous les bijoux.

Sur le chemin du salon de bronzage, les bracelets argentés tintent au rythme de mes talons cliquetant sur le sol. Non seulement je ressemble à une vraie bimbo salope, mais je sonne comme telle.

- Ooohhhhh ! Crié-je soudainement alors qu'un talon part de travers et que je tombe.

Au lieu de me retenir, Daniel me pousse sur le côté. Perdant l'équilibre, je tombe au milieu d'un groupe de cinq hommes. Ils ressemblent à une bande d'étudiants informatiques de grandes écoles, la vingtaine, avec de grosses lunettes et des tee-shirts sur lesquels sont écrits des slogans idiots. Je me dis qu'ils n'ont sûrement pas touché de filles depuis longtemps.

Pour éviter de tomber, je m'accroche à l'épaule de l'un d'eux. Il se démarque des autres par une longue queue de cheval grasse et une chemise noire. Quand il se retourne surpris, mes seins à peine couverts touchent son torse. Trébuchant toujours sur mes talons vertigineux, je me penche et je laisse remonter ma mini-jupe en jean. Je sens un souffle d'air frais sur mes fesses nues.

En me heurtant contre lui, l'homme à la queue de cheval me prend par les épaules pour me rattraper. A ma grande surprise, il profite pleinement de la situation, pressant ma grosse poitrine tout contre lui ? Je sens mes mamelons durs frotter contre son corps, ce qui me fait involontairement grogner. Bien que cet étudiant n'ait pas l'air trop propre, je ne bouge pas. Bon sang, c'est trop bien, enfin quelqu'un qui touche mon corps excité !

Malheureusement, cette position inconfortable offre à ses copains une vue idéale de mon cul nu. Bien sûr tout de suite, ils en profitent et discutent de moi avec des mots salaces. Je suppose que tous les hommes sont les mêmes, qu'ils soient voyous, étudiants ou ouvriers. Remarquant leurs regards concupiscents, je me stabilise vite. Je ne veux pas faire de scène. Je ne veux pas aggraver la situation.

Pendant tout ce temps, l'homme à la queue de cheval me tient dans la position semi-penchée. Avant que je ne puisse attraper ma mini-jupe pour la redescendre sur mon cul, ses quatre amis ont saisi leur chance et se sont déplacés dans mon dos. Chacun d'eux a discrètement effleuré mon cul et ma chatte en passant.

- Mmmmm… mmmm… mmmm… grogné-je quand je sens le contact de leurs mains.

Je fais de mon mieux pour réprimer mes gémissements, mais je ressens une vague d'indignation lorsque les étudiants remarquent la moiteur de ma chatte. En toute hâte, je me suis excusée sans même regarder celui à la queue de cheval et je me suis évadée du groupe.

Alors que je continue mon chemin dans le centre commercial avec Daniel et Garcia à mes côtés, j'entends le groupe de cinq étudiants rigoler et se taper dans la main. A ce moment je réalise que je me suis exhibée devant un groupe de latino de gang, des skateboarders et des étudiants informatiques. Je crois que je suis devenue une couguar salope pour tous les garçons plus jeunes n'est-ce pas ?

Quand nous arrivons au salon de bronzage, Daniel et Garcia décident de m'accompagner à l’intérieur. En approchant de la femme qui tient le salon, Daniel prend les choses en main, me laissant silencieuse à côté de lui comme une bimbo obéissante.

Il explique ce qu'il veut et j'en perds presque mon souffle. Il ne veut pas un simple bronzage. Au lieu de ça il choisit des motifs de bronzage pour moi. Qu'est-ce qui peut faire plus salope que ça ?

Ce macho choisit un dessin assez grand, mais qui me paraît minable. Il s'agit d'un gros nœud en ruban.

- c'est parfait comme marque pour une traînée n'est-ce pas ? Demande-t-il à Garcia.

- Non ça ne l'est pas ! Je veux crier, mais je ne laisse échapper qu'un grognement de frustration. Mon stagiaire est sur le point de me faire marquer par un bronzage artificiel. Il est en train de transformer mon corps en image de traînée bon marché.

Je veux protester, mais je ne peux pas. Après tout c'est moi qui aie choisi le bronzage artificiel. C'est moche , mais ce n'est pas permanent et ça sera dissimulé au bureau. Tout du moins, c'est comme ça que j'essaie de rationaliser.

Cependant j'ai une autre surprise. Daniel veut que je me fasse tatouer avec le bronzage une autre marque. Mais le salon n'a pas le modèle ou l'image voulue. Néanmoins, le latino peut facilement leur apporter son aide en montrant simplement un tatouage sur son bras musclé.

Cette fois je ne peux pas m'empêcher d'objecter. J'attrape son bras et je le supplie. Je me moque même si la vendeuse du salon m'entend parler avec soumission au jeune latino.

- S'il vous plaît Monsieur pas ça ! C'est trop ! J'ai choisi un bronzage artificiel, pas des tatouages.

Puis, afin d'essayer de le convaincre, je roucoule :

- Vous ne voulez pas que votre petit animal soit mignon pour vous ? Joli et immaculé ?

Daniel ne répond pas à mes supplications. Il passe simplement sa main sous ma mini-jupe et effleure ma petite fente avec ses doigts. Instantanément mes jambes se mettre à trembler.

- Ooohhhhh…. Mmmmm … Gémis-je à son toucher.

C'est tellement bon. Je crois que je pourrais jouir sur place. Les secousses de plaisir qui explosent dans ma chatte font des ravages en moi. Peu m'importe que la vendeuse du salon de bronzage me voir ainsi.

Daniel me chuchote alors à l'oreille :

- Tu veux quelque chose de moi ? Bien salope, supplie-moi pour avoir un autre tatouage en bronzage !

Après ces mots, ses doigts disparaissent de ma chatte. Je gémis de déception. Je veux plus ! J'ai besoin de sa grosse bite ! J'ai besoin qu'il me baise et qu'il me laisse sucer sa grosse queue.

- S'il vous plaît Monsieur Daniel, laissez-moi avoir ce tatouage. Marquez-moi comme la pute de votre gang. Je suis fière de pouvoir porter la marque de votre gang.

Je rougis. Je suis pathétique et stupide, mais j'ai besoin de son sexe.

- Qui peut objecter à ça ! Juste au-dessus de ta chatte, ça t'ira très bien ! Répond Daniel, moqueur.

Une fois encore il passe sa main sous ma jupe et pose ses doigts sur ma fente.

- Ouuuiiiii ! Dis-je en gémissant pour lui répondre.

Comment puis-je le croire ? Daniel est sur le point de me marquer comme la pute de son gang. Du moins pour le reste de son stage. Je sombre dans l'humiliation et la gêne. Je crois que je ne peux pas être plus excitée qu'à ce moment.

Tout au long de notre échange, la vendeuse du salon de bronzage observe mon humiliation. Mais ça n'a pas d'importance. Une partie de moi-même veut que Daniel m'attrape, me retourne, me penche sur le comptoir et baise ma chatte devant elle pour qu'elle puisse me regarder avec dégoût et me traiter de pute facile. Bon sang ! Mon excitation me monte à la tête.

Je me mords les lèvres et je regarde comment la vendeuse fabrique le motif, les trois lettres « LGZ » en vieux caractères anglais.  Ensuite elle me conduit dans une cabine qui ressemble à une douche et me lance un regard suffisant en me regardant me déshabiller. Être totalement nue devant cette femme tout habillée me fait sentir sale et sans valeur. Je la laisse applique le premier motif dans mon dos. Il s'agit d'une sorte d'arc inversé. Puis elle applique le signe du gang au-dessus de mon entrejambe. Je grimace à chaque fois qu'elle pose un des pochoirs sur ma peau et je halète lorsque ma chatte me picote au même moment.

Je me sens complètement vulnérable quand finalement elle prend son pistolet et pulvérise mon corps. Elle répète l'opération trois fois, et à chaque fois, ma peau prend une teinte plus foncée. En sortant de la cabine, je me regarde dans le miroir. Daniel a choisi un niveau de couleur qui ne fait ni trop orange ni faux. Au lieu de ça, ma peau brille d'un bronzage artificiel qui a l'air vraiment bien.

En me retournant pourtant, je perds mon souffle. Au moment où je vois l'image d'un gros nœud pâle en ruban sur le bas de mon dos, je dois lutter pour garder mon calme. Le milieu du nœud est juste au-dessus de ma raie des fesses. Les boucles atteignent presque mes hanches. Et les bouts de ruban recouvrent la moitié supérieure de mes fesses. Comme mon haut blanc est trop court, le nœud devient visible à chaque mouvement.

Quoi que je porte les semaines suivantes, ce motif sera visible à chaque fois qu'il y aura un écart entre mon haut et ma jupe. Je devrais fait attention à chaque mouvement de ma part. Le signe du gang au-dessus de mon entrejambe ne me fait pas sentir beaucoup mieux. Au moins, à première vue, il n'est pas visible. Pourtant, il me suffit de baisser ma jupe de quelques centimètres pour le révéler.

Même si ces tatouages de bronzage ont l'air assez vulgaire et me donne l'impression d'être une pute, ils me provoquent une autre sensation étrange. La domination de Daniel a atteint un nouveau niveau. Il m'a officiellement qualifiée de pute du gang « LGZ » pour le reste de son stage maintenant. D'une certaine façon ça m'oblige à respecter mes obligations. Et puis, toute salope a bien une marque non ? 

Les trois « améliorations » choisies me semblent être des concessions mineures. Pourtant, ces petits changements ont un effet dramatique. Les longs faux ongles, les bijoux beaucoup trop claquants, le bronzage et les marques sur mon corps ne me font pas seulement ressembler à une bimbo écervelée, mais me font également sentir que je suis une vraie putain.

Tous ces achats me laissent sur les nerfs et complètement excitée. C'est si vicieux, mais aussi si radicalement différent de mes habitudes  de faire les magasins que ça me plonge dans une frénésie sensuelle. Dans le feu de l'action, je suis presque sur le point de demander une autre « amélioration ».

Une fois nos achats terminés, Daniel se dirige vers la sortie de centre commercial. Ma peau bronzée brille, contrastant avec mon tatouage dans le dos, mes faux ongles blancs et mes hauts talons cliquetant sur le sol carrelé. Je n'aurais pas pu ressembler davantage à une salope de bimbo. A cette pensée, je cambre mon dos et je pousse volontairement ma poitrine en avant.

De retour à la voiture de Daniel, je suis pressée. Il est temps de rentrer chez moi et de me faire baiser la chatte. Cette pensée me fait presque baver.

Étonnamment, le latino me fait conduire sa vieille voiture rouillée. Mais l'esprit brouillé par l'excitation, je n'y fais pas vraiment attention. Mon cerveau a cessé de fonctionner, laissant la place à une envie effrénée de sexe. Mais bientôt, je découvrirai la raison pour laquelle il me laisse conduire. Pourquoi ne pas profiter du moment et laisser Daniel s'occuper des détails.

A suivre…

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