samedi 9 décembre 2023

L'enseignante - Ch. 03

Récit de Lecteur9 (2007)

*****

Prise en main par Sidi.

La jeune institutrice arriva plus d'une heure en avance. Se garant, elle resta assise sur le siége, les mains crispées sur le volant, fixant l'entrée de l'école. Catherine De Monfort savait que si elle y allait, elle ne pourrait plus reculer, qu'ils la tiendraient en leurs pouvoirs, assouvissant leurs fantasmes les plus pervers et lubriques sur elle.

La jeune femme inspira un grand coup et sortit. Le plaisir nouveau pour la jeune rousse l'empêchait d'être lucide. Elle traversa les couloirs déserts, passant devant les classes encore vides, le silence pesant uniquement troublé par le bruit de ses talons claquant.

- Euh… Bonjour Madame De Montfort... Vous avez une tenue bien légère aujourd'hui... Cela vous va bien ! En avance aujourd’hui,  étonnant !

- Bonjour monsieur le Directeur, je... euh… oui... j'avais laissé des copies à corriger ici... Je dois y aller, bonne journée...

La jeune femme le dépassa, sans le regarder et continua son chemin. Le directeur qui s'était arrêté, se retourna et la regarda s'éloigner, fixant avec concupiscence les fesses plantureuses moulées dans la jupe courte.

Il repensa avec excitation à la peau laiteuse de sa poitrine généreuse, largement découverte par son décolleté. Puis, un peu amer et intrigué par la présence de la jeune femme de si bonne heure, il se promit de la surveiller afin de profiter de ses charmes si l’occasion se présentait, et de prendre sa revanche sur cette altière jeune rousse qu'il considérait comme une bourgeoise bien trop fière.

Catherine sentait son regard dans son dos, essayant d'évaluer ses formes. La jeune rousse en frissonna de dégoût. Elle arriva devant la classe dont la porte était fermée. D'une main tremblante, Catherine l'ouvrit et entra en fermant les yeux. Les ouvrant, la jeune femme découvrit que la salle était vide, elle poussa un soupir de soulagement tout en éprouvant un sentiment de frustration. C'est à ce moment qu’elle s'aperçut d’un message grossièrement écrit sur le tableau.

- Pieds nus, juste la jupe et le chemisier, salle 114.

Elle sentit son ventre se nouer et son cœur s’affoler. Elle se déchaussa, jambes flageolantes, et posa sa veste sur le bureau. Puis elle effaça le message, paniquée à l’idée que le directeur avait peut être lu le message...

La jeune rousse resta là, immobile, ne sachant que faire, nerveuse et agitée. Puis comme envoûtée, elle sortit et se dirigea vers la salle 114, sentant le carrelage froid sous ses pieds. Elle avançait dans les couloirs déserts et pour la première fois la jeune femme se rendait compte qu'ils étaient mal éclairés et parfois assez sombres.

La salle 114 se situait à l'autre bout de l’établissement, dans une aile où peu de cours se déroulaient. Le sol était beaucoup plus froid et Catherine se mit à frissonner en avançant dans les couloirs. A chaque tournant, la jeune femme se penchait pour regarder si elle ne risquait pas de croiser quelqu'un. De plus en plus inquiète Catherine accéléra le rythme mais après quelques instants elle arriva dans la salle. Elle entra et vit Sidi.

- Approche ! ordonna-t il sans faire un geste.

Là, la jeune femme commença à paniquer et elle ne parvint à couvrir les derniers mètres la séparant de l’ignoble sourire qu’affichait le jeune qu’au prix d’un violent effort.

- Eh bien ma jolie… Il t'en a fallu du temps... enfin tu sais pourquoi t'es là...

- Euh... je... oui… enfin... bafouilla-t-elle affolée, les joues empourprées.

Avec assurance Il posa une main sur la hanche de la jeune rousse et de l'autre, il saisit sa taille. Il prit sa main et la posa sur son sexe à travers son jean.

- Alors vas-y ma belle... branle moi... et ouvre ton chemisier... montre les, tes gros nibards… on sait tous que tu tortilles du cul comme une femelle en chaleur dès qu'on les touche.

La respiration oppressée, le sang affluant aux tempes, la jeune professeur défit un à un les boutons de son chemisier, qui s'ouvrit largement livrant ses trésors au regard de son élève. Catherine n’avait pas mis de soutien-gorge, elle ne put qu’étouffer un frisson de honte en voyant son chemisier bâiller, dévoilant ses appâts mammaires.

- Whaou ! Quelle paire de loches ! Ben dis donc ma cochonne, t’as vraiment le feu au cul pour te promener les nichons à l’air, hein ? ah ! ah ! Rougis pas comme ça, salope ! Allez, cambre-toi bien, tends-moi tes nichons.

Les larmes aux yeux, la jeune rousse s’exécuta, se cambrant un peu, elle sentait le tissu de sa jupe se tendre sur ses fesses et remonter un peu devant sur les cuisses. Le chemisier ouvert sur ses charmes, elle attendait immobile, les tétons durcis par le froid et l’excitation. Le sexe de son élève se déployait contre sa main au travers de l’épais tissu de jean.

Il la regardait sans rien dire, le silence devenait oppressant. Un peu honteuse, Catherine De Montfort leva les yeux et croisa son regard rivé sur ses mamelons érigés, et il se mit à ricaner. Cela lui fit l’effet d’une douche froide et sa tête lui tourna sous l’effet de l’humiliation.

- Oui… C’est bien comme ça… Allez ouvre ta bouche et sors moi ta langue que je te roule une pelle...

- Nonn... non… pas ça… je ne veux pas… Pas de baiser… Faites ce que... ce que vous voulez mais pas ça… C’est trop intime.

Il repoussa brutalement la jeune femme, la toisant des pieds à la tête.

- Ben alors… Y’a que les putes qui refusent d’embrasser! Serais-tu une pute ? Trop intime, tu veux rire ! Montrer son cul et ses gros nibards à tout le monde, c’est pas intime ça ? Et se faire baiser comme une chienne dans les dortoirs ! Tu rougis ? Eh oui, je suis au courant… et si tu veux pas que d’autres le sachent t’aurais intérêt à te montrer plus docile !

Au fur et à mesure qu’il parlait, la jeune rousse se sentait de plus en plus mal à l’aise, honteuse, puis franchement inquiète devant la menace à peine voilée. Catherine aurait voulu ne jamais être venue et si elle avait accepté c’était sous l’emprise des sentiments troubles qu’elle avait éprouvé la veille sous l’abominable chantage de Mahoui et Joussouf.

Mais cette fois Sidi lui faisait réelement peur en l’obligeant à réaliser ce qu’elle faisait, et ce n’était plus de fantasmes honteux qu’il s’agissait. Il continua à l’insulter. Serrant les poings la jeune femme sentait des larmes couler sur ses joues cuisantes de honte tandis qu’il la brocardait.

- Qu’est ce que tu croyais pauvre conne ! Qu’on allait jouer à touche-touche ? Tu rêves ma jolie ! Maintenant c’est moi qui commande! Tu n’as pas d’autre choix que de m’obéir alors demi-tour et en avant ! tortilles ton cul en marchant, et arrête de chialer !

Paniquée Catherine recula brusquement comme s’il venait de la gifler. La jeune institutrice porta ses mains à son visage, elle ne parvenait pas à croire ce qu’elle venait d’entendre. Sans douceur il la poussa et avec une écœurante docilité, Catherine se tourna, le regardant par dessus son épaule, implorante.

- Allez avance ! et te retourne plus...

- Mais… pas dans cette tenue ! si on croise quelqu’un... je ne peux pas… non ! nonnnnnnnn ! j’ai trop honte !

Il la poussa dans le dos et ajouta en ricanant :

- C’est sûr que ça peut être gênant de marcher le chemisier ouvert... Surtout que si on te voit te promener sans soutien-gorge, on pourrait se faire des idées… De toute façon je sais que ça te plaît d’avoir honte et si tu continues à te plaindre ce sera cul nu ! Alors t’avance…. oui... c’est ça... tortille du cul ! c’est bon…

Catherine refaisait le trajet en sens inverse mais le trajet s’avérait beaucoup plus pénible dans cet accoutrement, les courants d’air hérissaient sa peau et dardaient ses mamelons. Sidi restait juste derrière elle, une main contre ses reins, la poussant lorsqu’elle ralentissait. Parfois la jeune femme sentait la main du jeune descendre le long de la jupe et se poser sur ses fesses qu’il pinçait ou giflait avec un petit claquement de langue en riant.

Et chaque fois elle sursautait, se mordant les lèvres pour ne pas gémir et continuait à avancer le ventre noué. Le premier virage approchait, Catherine avait l’impression que cela durait depuis une éternité. La jeune femme ralentit, croyant déceler un bruit de pas qui approchait, mais ce n’était que le fruit de son imagination.

Le cœur battant à tout rompre, elle prit le virage, fermant les yeux, s’attendant à croiser quelqu’un mais il était bien trop tôt et le collège était encore désert. Lorsqu’elle rouvrit les yeux, le couloir était vide, la jeune femme poussa un petit soupir de soulagement. Toutefois c’était le couloir principal et n’importe qui pouvait surgir au détour d’un couloir adjacent voire même sortir d’une salle de classe. Sidi perçut son soupir et l’arrêtant il commenta :

- Et bien tu vois... il n’y a personne... C’est bien dommage… je suis sûr que tu aurais aimé qu’on te voit dans cet équipage...

Alors que la jeune institutrice repartait, pressée de quitter ce couloir, l’élève la retint par le bras et, passant devant elle, poursuivit :

- Mhmm... j’ai une idée… dit-il avec un sourire narquois, je suis sûr que tu marcherais mieux sans cette jupe un peu trop serrée, non ?- Enlève la !

Défaite, la jeune femme le regardait sans oser y croire :

- Mais je... non… écoute je ne peux pas... je t’en prie...

- Suffit les conneries ! Plus vite tu feras ce que je te dis, plus vite on quittera cet endroit. Si tu continues à gémir, je te fous complètement à poil au milieu de la cour. Et dernière chose, je t’interdis de me tutoyer petite pute… Allez magne toi l’cul…

Eperdue, les larmes aux yeux, croyant avoir touché le fond, Catherine commença à défaire les boutons de sa jupe, les mains tremblantes. Elle tomba dans un bruissement d’étoffe à ses chevilles. Humiliée la jeune femme baissa la tête. Sidi qui s’était un peu écarté poussa un sifflement d’admiration et tourna autour d’elle en détaillant ses charmes.

Il faut dire que c’était la première fois que la jeune rousse mettait cette culotte que des amies lui avaient acheté pour plaisanter quelques mois auparavant. Très échancrée, elle remontait très haut sur ses hanches. En dentelle quasi transparente, elle se resserrait pour ne cacher qu’une mince partie de son épaisse toison. Les poils roux débordaient de chaque coté et le tissu transparent moulait sa vulve. Par derrière on aurait dit un string, et le V plongeait entre ses fesses où la fine bande restait cachée. Elle semblait ouvrir les fesses de la jeune institutrice, les séparer, et rendait sa croupe encore plus provocante et excitante par le contraste entre le tissu noir et les fesses très blanches et satinées.

Jamais personne n’aurait pu croire que sous des airs hautains et assez réservés, Catherine portait de tels dessous.

- Eh bien dis donc ! je comprends maintenant pourquoi tu ne voulais pas enlever ta jupe. T’as pas honte de te promener avec ces dessous de salope ? lui demanda-t il en s’accroupissant devant son ventre dénudé.

Il se releva, visiblement très excité, passant derrière la jeune rousse, il remonta le chemisier dans son dos. Puis, d’une main, il lui caressa les reins et descendit doucement vers ses fesses qu’il effleura légèrement, s’attardant sur l’arrondi d’une fesse. Inconsciemment alors qu’elle sentait la main ramper sur sa croupe, la jeune femme se cambra un peu, jambes tendues pour faciliter ses caresses.

Le contact de la main chaude sur sa peau la troublait au delà de toute expression, et elle sentait sa chagatte s’humidifier. En la découvrant en petite culotte, Sidi avait perdu son air autoritaire et pisse-froid, il était redevenu un jeune homme intimidé par la très belle épouse qu’il avait devant les yeux. Elle se prit à espérer qu’en raison de son inexpérience, sa pose le rendrait nerveux et qu’elle pourrait reprendre un ascendant sur lui. Mais Catherine se trompait, Sidi n’était pas aussi inexpérimenté qu’elle le croyait.

- Ouui ma cochonne, tu aimes montrer ton cul hein ? Tu as raison, j’ai jamais encore jamais baisé un cul pareil, mais ça ne va plus tarder... Ah ! ah ! ah !

A ces mots Catherine se redressa soudain, honteuse, serrant les poings d’avoir eu un fol espoir et surtout de s’être montrée ainsi à ce gamin. Elle était folle de rage et de honte, la jeune femme aurait voulu le griffer, crier, mais elle n’en avait plus le courage, ni la force.

- Allez on avance ! Dis donc, tu tortilles drôlement bien ton popotin salope. Tu veux en prendre plein la chatte, t’inquiète pas je bande comme un âne... oh, mais j’y pense, c’est peut être ailleurs que tu veux que je te colle ma grosse queue... hein ?  ajouta-il en la gratifiant d’une claque bruyante sur la croupe qu’elle balançait devant lui.

Catherine continuait à marcher, le long du couloir, elle voyait trouble, à cause des larmes qui lui emplissaient les yeux. Pendant ce temps il continuait à commenter. La jeune rousse n’osait rien dire et elle priait pour que ce cauchemar se termine.

- On m’a dit, mais cela demande vérification, que t’es très poilue... et que les poils roux qui tapissent ta raie sont très excitants... peut-être même obscène, non ? allez courage petite pute, on arrive bientôt, c’est la 3eme salle sur ta droite... Remonte ton chemisier dans ton dos.... comme ça... oui c’est bien... putain ce cul qu’tu t’payes ! allez, on est arrivé !

Elle entra dans la salle de classe déserte, un peu inquiète, mais soulagée de ne plus se trouver dans ce couloir. Sidi ferma la porte derrière elle puis il se dirigea vers un sac que la jeune femme n’avait pas remarqué en entrant.

- Monte sur le bureau ! à quatre pattes, jambes écartées, cul tendu face à la porte ! allez… Plus vite !

Les jambes flageolantes, elle s’exécuta, rouge de honte, en se cambrant. La jeune professeur sentit ses fesses s’écarter et la raie de son cul couverte par la ficelle qui formait le fond de sa culotte se dévoiler. Les coudes appuyés sur le bois de la table, le cul relevé, plus haut que la tête, Catherine De Montfort attendait dans une posture vraiment obscène, elle pouvait difficilement avoir plus honte, du moins le pensait-elle. La jeune femme essayait de découvrir ce que Sidi faisait dans son dos.

Il revint avec le sac et le posant à ses chevilles, il ordonna à la jeune femme de regarder droit devant elle. Il fit le tour, écarta les pans de son chemisier pour laisser nus ses seins, puis remonta le chemisier haut sur son dos :

- Pour bien découvrir son cul ! commenta-il égrillard.

Puis lui ordonna de ne plus bouger. Il prit dans chaque main l’élastique de sa culotte et commença à la baisser. Catherine voulut protester mais il la fit taire d’une claque retentissante qui l’humilia fortement.

La jeune femme serrait les poings sentant sa culotte descendre très doucement pour s’arrêter à mi-cuisses. Elle sentait l’air frais rafraîchir son ventre moite, et poussa un hoquet de honte en sentant Sidi écarter ses fesses et du bout de l’ongle frôler la bague fripée de son anus palpitant. Il se posta devant la jeune rousse, et posa une feuille dactylographiée entre ses bras. Il caressa au passage ses seins qu’il soupesa, pinçant les pointes dures. Puis, elle le vit ouvrit sa braguette et sortir un sexe déjà en demi érection.

Il posa ses poings sur ses hanches et avançant le ventre il se plaça devant elle. Le pubis à une vingtaine de cm de son visage.

- Tu vois cette feuille petite salope ! il s’agit d’un questionnaire. Ecoute bien les consignes. Tu vas bien lire les questions à voix haute. Tu sais, comme tu sais si bien le faire en cours. Et tu vas y répondre . Et si tu mens, tu auras un gage. Si tu dis vrai, tu auras le droit d’ouvrir grand la bouche pour une friandise. Allez vas-y ! première question madame De Montfort !

Au seul énoncé de son nom de famille, l’enseignante tressaillit. Il l’avait fait exprès pour bien la rappeler à la réalité. Dans la même position la jeune femme baissa la tête et commença à parcourir silencieusement le document puis elle bafouilla.

- Mais... mais... non… nonnnn… je ne peux pas lire ça… c’est... c’est trop…

Levant les yeux sur lui, elle croisa son regard, cela lui suffit comme réponse.

- 1. Te branles-tu souvent ?

- Heu… Je... ne... non… je…

Sidi bougea dans son dos et la jeune bourgeoise sentit une douleur cuisante lui enflammer les fesses. Il revint devant elle, une règle de plastique à la main.

- Je veux la vérité... sinon...

Les larmes aux yeux la jeune maîtresse reprit :

- Oui... je… parfois... Aie !!!. non... je… Une à deux fois... par semaine... sniff !!!!

- Tu vois, c’est bien mieux de dire la vérité. J’étais sûr que tu étais une grosse branleuse. Allez, sors-moi ta langue et viens me téter le gland.

Les joues rouges de honte, Catherine ferma les yeux, et darda sa langue qui vint buter contre le gland à demi décalotté de l’adolescent. Il gémit et lentement la jeune rousse lui donna des coups de langue, l’agaçant, les narines pincées par l’odeur acide d’urine qui émanait de sa queue.

- 2. As-tu... déjà... su... sucé beaucoup de queues ?

- Ne… Non... Aie !!! Mais je dis la vérité... Aie !!! euh…. si oui... une fois... une fois et encore !

- Joussouf m’a raconté que tu lui a fait une savoureuse pipe ! et celle que tu vas me faire, cela fera deux… Allez, ouvre bien ta jolie bouche ma chérie et fais moi une petite gâterie.

Cette fois elle ne ferma pas les yeux comme avec Joussouf mais elle réprima un sanglot en prenant entre ses lèvres pulpeuses le sexe dur de Sidi. Il lui attrapa les cheveux et donnant des coups de boutoir se servit de sa bouche comme d’un vagin. Puis il s’écarta, la laissant le souffle presque coupé.

- 3. T’es tu déjà fait... oh non !! Aie !! enculer ?

- Je… oh, non… jamais... sniff !! je vous en prie arrêtez !!! C’est sale !!

- Ah, et bien avec le cul que tu te paies toi personne t’a encore cassé la rondelle ? En tout cas, tu sais déjà prendre la pose, rien qu’à voir comment tu le tends ton joufflu là.

A ces mots la jeune enseignante frémit, elle sentit, à sa grande honte son ventre s’humidifier. Il ne dit rien d’autre. Il n’eut pas a lui rappeler d’ouvrir la bouche et de le happer. Catherine le fit d’elle-même comme si ca pouvait l’empecher d’entendre les mots de plus en plus crus qui la fouettaient. La fellation dura un peu plus longtemps et lorsque le jeune mâle extirpa sa bite tendue de la bouche trop accueillante, elle brillait de salive, un ignoble frisson d’excitation parcourut le corps de la jeune femme.

- 4. Aimes-tu... Te… te faire lécher ?

- Euh... oui, j’aime... oui… j’aime bien qu’on me lèche la foufoune ! 

- T’inquiète pas, je vais si bien te bouffer le cul que tu me supplieras ensuite de te défoncer la rondelle !! Allez, passe à la suite ! 

- 5. Te fais tu bronzer les seins nus à la plage ?

- Je... non… je suis très... très pudique… 

Elle sentait le regard ironique de Sidi qui la détaillait.

- Pudique... Ah ah ! alors que tu me tètes le gland comme une vorace, à poil sur le bureau... enfin tu sais que bientôt l’école organise une sortie à la mer... on verra si t’es toujours aussi pudique ! 

- …

- Pourquoi tu te fous pas à poil à la plage ? cochonne comme t’es ça devrait drôlement t’exciter !

- Je... je ne peux pas... C’est trop gênant… et puis mon mari... je...

Sidi lui enfonça sa queue bien au fond de la bouche, avant qu’elle n’ait pu finir. Catherine réprima un haut le cœur mais se mit à pomper le dard que du jeune gars, avec plus de vigueur, le ventre tremblant d’excitation en pensant à cette sortie.

- Ouiii salope... tu vas me faire jouir... Allez... ouiiii prends ça ! 

La maintenant par les cheveux, Sidi éjacula longuement dans sa bouche, l’obligeant pour la deuxième fois de sa vie à avaler la semence chaude et salée d’un homme. Puis se retirant il obligea la jeune rousse à lui nettoyer la queue. La jeune femme était trempée et elle ne pouvait se retenir de gémir.

- Tu es une sacré suceuse ma petite salope ! t’es très douée pour vider les couilles... mais quelle salope... j’ai bien cru que t’allais jouir.

Les insultes ne lui faisaient plus aucun effet. Catherine sentait son ventre ruisseler comme jamais et ce jeune qui agitait son sexe qui reprenait peu à peu vigueur, n’était pas là pour la calmer. Il passa sur le coté et la jeune femme tourna la tête pour voir ce qu’il faisait. Elle eut l’impression que son cœur allait s’arrêter en le voyant éteindre le téléphone portable qu’il avait disposé sur une chaise à coté de la table. Il se retourna, souriant.

- Eh oui... Ca a du bon les répondeurs... Faut juste espérer que ce ne soit pas celui de ton mari... ni du directeur non ? à voir la façon dont il te mate, lui... je ne sais pas quel usage il en ferait... ah ! ah ! ah !

La jeune professeur était tétanisée, incapable de bouger, elle n’arrivait pas à croire qu’il ait pu faire cela. Mais quelle idiote elle avait été de croire que tout cela pouvait arrêter quand elle le voudrait. Catherine sentit des sanglots affluer et elle tomba la tête en avant, cachant son visage dans ses mains, n’arrivant plus à étouffer les hoquets de honte qui la secouaient.

Jamais la jeune femme n’avait été aussi humiliée, elle n’arrivait pas à croire à sa propre déchéance. Alors que Catherine restait dans la même position, elle entendit un un bourdonnement mécanique. La jeune rousse se retourna, les joues ruisselantes, les yeux rougis et aperçut Sidi tenant son portable dans la main qui photographiait ses fesses.

- Cambre toi bien... voilà… C’est bientôt fini… Tu pourras partir ensuite ! 

La jeune femme ne demandait qu’à s’enfuir, à quitter le lieu de cette infamie, mais avec une écœurante docilité elle fit tout ce qu’il demandait, prenant les poses qu’il lui suggérait. La jeune femme dut se relever pour qu’il la prenne nue, les seins pointés comme des obus, le sexe bombé, la culotte à mi-cuisses.

Catherine, culotte enlevée, s’était maintenant allongée sur le bureau, jambes largement écartées, et ramenées vers elle. Dans cette position son sexe semblait s’ouvrir, son anus aussi. Lorsqu’elle entendit le bourdonnement du portable, la jeune femme ne put réprimer une crise de nerfs. Sidi, visiblement satisfait remit l’appareil dans sa poche.

- Voila ta jupe... dans cinq minutes les élèves arrivent... séche tes pleurs et rhabille toi... A moins que cela t’excite de rester à poil ! On en reste là pour le moment... A tout de suite en salle de classe madame de Montfort... ah ! ah ! ah !

Catherine se redressa lentement, brisée, elle reboutonna son chemisier comme un automate. Elle chercha alors, mais en vain, sa culotte et comprit que Sidi l’avait emmenée. Alors frémissante de honte elle enfila sa jupe et sortit de la classe, les cheveux défaits, l’air hébétée.

La jeune femme retourna dans sa classe où elle remit ses talons et sa veste. Si une personne l’avait croisée à ce moment là, il l’aurait prise pour une folle. Elle courut en pleurant, se réfugier dans une salle qu’elle savait déserte.

Catherine s’assit dans un coin, ramenant ses jambes contre elle, et resta ainsi prostrée un bon moment à écouter les rires et les cris des élèves qui chahutaient dans le couloir. La jeune femme aurait aimé être chez elle, loin de tous ces élèves qui maintenant la dégoûtaient et lui faisaient peur, mais pour sortir elle devrait passer devant eux.

Essuyant les larmes, la belle institutrice prit une profonde inspiration et se leva.

Avant de sortir elle se repeigna devant une vitre, essayant d’adopter une attitude normale. Personne ne sembla faire plus attention à elle qu’à une autre lorsqu’elle sortit de son refuge, mais les regards des jeunes dans son dos, qui l’amusaient et la flattaient auparavant, lui faisaient maintenant horreur. Peu à peu, chaque classe rentrait, et la jeune femme avançait, saluant d’un sourire forcé les autres professeurs qu’elle croisait. En arrivant devant sa salle, les élèves entrèrent normalement, la jeune rousse sentait l’air frais du couloir s’engouffrer sous sa jupe courte lui rafraîchissant le ventre, l’amenant à ressasser ce qui venait de se passer.

Catherine entra dans la salle, regardant droit devant elle, arrivée au bureau elle tourna la tête et vit les élèves discuter entre eux, en ouvrant leurs sacs.

Au fond de la classe Sidi était déjà assis et discutait avec Ali. Sentant le regard de la jeune femme sur lui, il se retourna et croisa son regard, Catherine ne put que baisser les yeux, espérant que sa gêne ne se verrait pas. Joussouf et Mahoui arrivèrent en retard et virent s’asseoir à la table derrière Sidi.

Catherine ferma la porte et leur tournant le dos, elle écrivit au tableau quelques formules chimiques à transformer. Puis elle retourna s’asseoir à son bureau, le ventre noué de peur, les mains moites, elle essayait en vain de se concentrer sur les copies à corriger pendant qu’ils réfléchissaient. Mais la suite du cours se passa sans incident, et la sonnerie de l’école retentit.

La jeune institutrice se leva et se dirigea vers la salle des professeurs assez rapidement pour éviter Sidi et les autres. La recréation dura dix bonnes minutes et Catherine retourna en cours, bavardant avec une collègue, heureuse de savoir qu’elle ne reverrait ses tourmenteurs que deux jours plus tard.

A la classe suivante elle posa les mêmes formules et aida pendant toute l’heure des élèves qui ne comprenaient pas la chaîne de transformation. Dix minutes avant la fin, un élève l’appela du fond de la classe.

Elle était un peu étonnée car c’était un cancre et la jeune institutrice ne l’aimait pas trop. Il avait vraiment une allure retors avec son visage de fouine, il en était plus que laid. La jeune femme aurait pu en dire autant des trois comparses qui se trouvaient avec lui.

Catherine s’approcha et se postant entre lui et son voisin elle se pencha pour savoir ce qu’il ne comprenait pas.

Alors que la jeune rousse regardait sa feuille, il la retira. Catherine sentit le sang affluer à son visage, et elle crut défaillir en découvrant en dessous le portable allumé et l’écran qui la montrait à quatre pattes, nue, le cul offert.

- On voit mieux là... non ?? lui dit-il, affichant une autre photo prise en gros plan qui montrait uniquement son cul.

Les fesses écartées, on distinguait son anus au milieu d’une forêt de poils roux et, plus bas, la fente fine où perlait une ou deux gouttes de mouille. La jeune prof tremblait, les jambes flageolantes, ne sachant que faire, complètement anéantie par leur action. Elle découvrait ainsi pour la première fois cette partie de son anatomie sous un angle parfaitement obscène.

Lorsqu’il posa sa main sur son genou, la jeune femme retint un cri, et jeta un coup d’œil par dessus son épaule. Elle aperçut les deux camarades derrière eux qui la fixaient, une lueur vicieuse au fond des yeux. Le jeune lui murmura doucement :

- Penche toi en avant... comme si tu lisais ma copie...

Catherine aurait voulu réagir, se dérober, mais elle n’osait risquer un scandale, alors nerveuse la jeune femme obéit, se penchant, les fesses cambrées moulées dans sa courte jupe. La main exploratrice remonta lentement le long de sa cuisse pour arriver à la lisière de la jupe. Sans un mot, comme un élève attentif il regardait sa copie. La jeune femme leva les yeux, les joues rouges mais le reste de la classe travaillait en silence.

Il passa sa main autour de ses cuisses, attrapant l’ourlet de la jupe, pendant alors que la jeune femme sentait son autre main agir à l’opposé. Il lui remonta brutalement la jupe sur les hanches. Catherine ouvrit la bouche, stupéfaite et affolée mais son voisin lui attrapa le poignet et le bloqua violemment. La jeune femme sentait son cœur battre la chamade, le silence devenait oppressant.

Il posa une main sur une de ses fesses qu’il se mit à caresser nonchalamment. Tout à coup elle se rendit compte de ses deux complices, dans son dos devaient se régaler du spectacle. Catherine tournait la tête pour voir leurs visages réjouis, elle croisa leur regard concupiscent et se retourna effondrée, par ce qu’elle venait de lire dans leurs yeux.

Il faut dire que penchée ainsi, la jeune femme leur montrait carrément l’intégralité de son cul, totalement nu alors que leur camarade lui pelotait ses fesses. Sa main descendit le long de ses cuisses, il la força à écarter les jambes. Elle refusa de bouger, tétanisée par ce qui lui arrivait, il lui pinça alors cruellement l’intérieur de la cuisse et devant la douleur Catherine De Montfort abdiqua le peu de dignité qui lui restait obéissant à son injonction muette…

La jeune rousse était là, cuisses bien ouvertes, cambrée. Les deux gamins bavaient du spectacle qu’elle leur offrait. Ils pouvaient détailler les charmes que la jeune femme dévoilait sur la photo. Les fesses s’ouvraient peu à peu, dévoilant ses orifices mais c’est lorsque la jeune bourgeoise sentit les lèvres de sa chatte se décoller qu’elle eut la sensation d’avoir vraiment touché le fond.

Cela ne dura qu’une courte minute mais elle eut l’impression que cela durait une éternité. Il rabaissa sa jupe tout en lui collant un claque légère qui lui fit reprendre pied dans la réalité.

- Merci madame... je crois que j’ai compris...

Il laissa sa phrase en suspens et la jeune femme s’éloigna lentement, humiliée par ce qu’il n’avait pas dit. Un autre élève l’appela tout de suite après et la jeune professeur ne put qu’aller le voir, s’efforçant de reprenant ses esprits. Elle les entendaient se gausser dans son dos, mais elle n’avait plus le courage de les faire taire. Cela s’était passé si vite qu’elle crut avoir rêvé.

La jeune femme n’arrivait pas à me concentrer sur les questions que l’on lui posait et lorsque la fin du cours sonna, ce fut une véritable délivrance. Catherine retourna à son bureau, la tête lui tournait un peu, elle s’assit pendant que les élèves sortaient.

Si elle avait été capable de réfléchir un peu elle serait sortie au lieu de rester là à attendre que le classe se vide mais la jeune rousse n’en était plus capable, plongée dans ses pensées.

Elle leva les yeux, et pâlit en voyant son tourmenteur s’approcher du bureau.

- A demain, Madame ! 

Et sans se retourner, il affichait un sourire moqueur.

Il la laissa seule, la jeune femme porta la main devant sa bouche pour réprimer un sanglot. Heureusement elle n’avait plus de cours ni l’après-midi ni le lendemain matin.

Catherine rentra chez elle, n’arrivant pas à maîtriser les tremblements de ses mains, elle prit plusieurs somnifères qui l’assommèrent jusqu’au lendemain matin.

FIN (je n'ai malheureusement pas trouvé la suite de ce texte.)

1 commentaire:

Merci de vos retours