lundi 25 décembre 2023

Changements de vie pour Jessica Ch. 12

 Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

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Un nouveau défi au bureau.

 *** Semaine 3 – Lundi ***

Nous sommes lundi matin et je me prépare pour aller au travail lorsque la sonnette de l'entrée retentit. Je crois savoir qui se trouve devant ma porte et mon intuition se confirme lorsque je vois qu'il s'agit de Daniel. Sans attendre que je l'invite à entrer, il pénètre dans ma maison et mon salon comme s'il était chez lui.

Il s'arrête au milieu de la pièce, se retourne et me regarde sans rien dire. Des frissons chauds et froids parcourent ma colonne vertébrale lorsque je me rappelle m'être agenouillée au même endroit il y a à peine deux jours. Sachant ce qu'il attend, je me retrouve plus que désireuse de m'y conformer.

Mon Dieu ! La journée vient à peine de commencer et je me soumets déjà volontiers à mon stagiaire. Comment va-t-il m'humilier au bureau ? Combien de temps va-t-il se passer avant qu’il ne me baise et me soulage ? Mon esprit reste concentré sur ces questions. Tout le reste m'importe peu.

Je laisse ma serviette blanche glisser sur le sol et je m'agenouille au milieu de mon salon complètement nue. J'ai une impression de déjà-vu et le souvenir de l'expédition au centre commercial samedi dernier ravive mon excitation. Je veux que Daniel sorte sa grosse bite de son pantalon et me laisse la toucher. Je veux avaler sa queue et la sucer ici et maintenant. Toutefois mon stagiaire ne me fait pas cette faveur. Il incline la tête sur ma soumission volontaire.

- Alors, est-ce que je t'ai manqué hier ? Demande-t-il sur un ton neutre.

Je ne sais pas trop que répondre. Dimanche, j'ai rencontré des amies lors d'un brunch. Nous avons bien discuté et rigolé toutes ensemble. J'ai eu l'impression que c'était un dimanche comme ceux que j'avais vécu auparavant.

Toute fois quelque chose était différent. Bien sûr, j'avais commencé ma journée en frottant mon clitoris pendant cinq minutes et j'avais été sur le point de jouir. Même si je n'étais pas au bureau, j'ai continué à suivre les règles de Daniel. Et je me suis même masturbée par deux fois avant de partir pour le brunch.

- J'ai suivi vos règles et je me suis masturbée comme vous l'avez ordonné Monsieur Daniel. Dis-je finalement au voyou, la fierté résonnant dans ma voix.

- Est-ce que tu as joui petite chatte ? Demande-t-il.

- Non Monsieur ! Je suis un bon animal de compagnie. Je ne vais pas enfreindre vos règles. Crié-je avec indignation.

Oh merde ! La facilité avec laquelle je me glisse dans la soumission me semble incroyable. Apparemment, j'ai atteint un point où seul la présence de Daniel est suffisante pour me soumettre. Je suis même impatiente.

Sa question n'est pas idiote tout compte fait. Ne pas avoir d'orgasme m'a gardé excitée tout le dimanche. Pendant le brunch, mon esprit dérivait vers des pensées sexuelles où Daniel utilisait mon corps comme il le voulait. J'étais tellement excitée que j'ai même renversé du café devant mes copines.

Mon excitation m'avait transformée en vraie nunuche. Je ne peux pas dire à quel point j'étais en colère contre moi-même. Néanmoins, lorsque je suis rentrée à la maison après le brunch, plus joyeuse et détendue, je ne me suis pas laissée aller. Je n'ai pas cherché à jouir. Et maintenant, ma chatte continue à me picoter à cause de mes désirs insatisfaits. Je suppose que les règles de Daniel ont des effets à long terme.

- C'est bon à savoir. Doucement, tu deviens une bonne chienne de compagnie obéissante. Tu sais ce qui est bien pour toi petite chatte ! Me dit Daniel.

Ses mots envoient des décharges dans ma chatte. La façon dont il me parle me réduit à une salope envieuse de sexe. Mais il a raison. Au cours des dernières semaines, j'ai beaucoup appris sur moi. Laisser un dominateur me contrôler a augmenté mes envies. J'ai besoin d'un homme pour me dominer et je  veux que ce soit Daniel. Me soumettre à cet arrogant macho m'a ouvert un nouveau monde de désirs et de satisfactions. Et j'en ai encore besoin.

- Il est temps d'utiliser les tenues achetées, n'est-ce pas Miss Allumeuse ? Demande le jeune latino en entrant dans ma chambre.

- Je dois avoir l'air respectable au travail Monsieur. Protesté-je doucement en restant à genoux dans le salon.

- Tu veux sauver la face hein ? Mais tu sais ce que l'on dit ? Une salope reste une salope, peut importe la tenue ou le rang social. Hé hé hé hé ! Se moque mon stagiaire.

- On a acheté de superbes tenues de salope. Ça serait dommage de ne pas les utiliser. Continue-t-il en fouillant dans ma garde-robe.

En revenant dans le salon, il tient une des tenues que je redoute le plus. Je dois protester.

- S’il vous plaît Monsieur, je ne peux pas porter ça. Ce n’est pas approprié pour une directrice. Vous ne voulez pas que notre secret soit dévoilé non ?

Sans réagir à mes objections, Daniel s’avance devant moi et commence à jouer avec mes seins, en pétrissant ma chair et en pinçant les tétons jusqu’à ce que mes protestations se transforment en gémissements. Je suis déjà tellement excitée que le jus de ma chatte coule sur le sol.

- Qu’est-ce que tu vas porter aujourd’hui au travail petite chatte ? Demande le voyou tout en continuant de jouer avec mes mamelons.

- Oohhhhhh… Putain ! Oooohhh ! N’importe quoi que vous vouliez Monsieur. Faites-moi ressembler à une vraie pute de bureau Monsieur. Laissé-je échapper, envahie par le désir.

Avec cette concession, l’accord est scellé. Dans ma tête tourne un tourbillon de sentiments contradictoires. C’est si bon de se faire dire quoi porter et comment agir. Mais c’est effrayant les risques que je prends à m’exposer au travail.

La tenue comprend un corset imprimé léopard avec des bonnets en dentelle noire, une découpe sur le devant et des jarretières. Les bonnets sont totalement transparents et la découpe laisse la marque « LGZ » bien visible. Les jarretières tiennent des bas noirs et fins se finissant par un motif léopard.

Mais je suis autorisée à porter une veste de tailleur blanche à la mode avec des boutons noirs, ainsi qu’une jupe en cuir noir qui couvre le bas du corset ouvert. Je soupire de soulagement quand je remarque que la veste recouvre complètement le corset. Enfin, je combine tout ça avec une paire de bottes en cuir noir qui arrivent dix centimètres en dessous de mes genoux, avec des talons hauts et des bouts pointus. Je ressemble quand même à une femme d’affaires, du moins dans une certaine mesure.

Bien il y a quelques détails osés. La veste est assez courte et coupée si profondément qu’elle laisse apparaître le haut de mes gros seins. Si je marche trop vite, les bonnets en dentelle menacent de glisser sous ma poitrine et de la relever. Et si je me retourne un peu vite, la veste révèle le tissu léopard qui recouvre mes hanches. La jupe n’est pas tellement mieux car elle est très serrée et le cuir brille, soulignant mon gros cul. Quoi qu’il en soit, cette tenue va me garder sur le qui-vive tout le temps.

De dehors, la jupe en cuir noir et les bottes vont parfaitement ensemble. Combiné avec la veste de tailleur, la tenue est extrêmement sexy mais classe quand même. Mais ça ne m’aide pas que je sache que je porte en dessous un corset de pute qui épouse mon corps. Mes subordonnées ne le verront pas, mais j’en serai consciente. Je vais me sentir comme une chienne toute la journée.

Cependant, Daniel n’a pas fini de décorer mon corps. Il choisit quelques accessoires supplémentaires que je dois porter. Il orne mes bras avec le bracelet en argent avec la petite règle sur mon poignet droit et un groupe de minces bracelets en argent sur mon poignet gauche. Comme boucles d’oreille, il me fait porter la paire e argent avec de grands cerceaux.

Quand j’ai fini de m’habiller, le latino me fait parader dans mon salon comme un mannequin haut de gamme qui se pavane sur un podium. A chaque pas, les bracelets sonnent à mon poignet et les boucles d’oreille frappe mes joues. Et le corset menace de glisser. Je suis habillée pour aller au bureau.

Toutefois les commentaires élogieux de mon stagiaire me font sourire. Ma tenue n’est peut-être pas vraiment approprié pour le travail, mais le plus important est qu’elle plaise à Daniel. Oh mon Dieu, que m’arrive-t-il ? La directrice ambitieuse qui donnait tout à sa carrière est devenue une bimbo timide qui désire plaire à son homme.

- Il manque encore une chose, le maquillage. Dit le latino après avoir longuement reluqué ma tenue.

Puis il ajoute :

- Et ne sois pas radine sur le mascara et le rouge à lèvres Miss Pute de Bureau.

Jusqu’à présent, je n’ai jamais utilisé beaucoup de maquillage, même lorsque je sortais en ville. Je me suis toujours considérée comme naturellement belle et je me fiais à mes yeux étincelants et à mon sourire éclatant plutôt qu’à des artifices. Un peu de fard à paupières et de rouge à lèvres suffisait amplement, je n’étais jamais allée plus loin.

De toute évidence Daniel est déterminé à changer ça. Cependant je dois admettre que ça se marie bien avec  les ongles longs que je porte. Je me conforme à ses instructions et je m’avance devant le miroir de la salle de bain. Après avoir mis du mascara noir pour me donner des cils luxuriants, j’applique une ombre à paupières foncé pour obtenir un effet brumeux. Enfin, j’utilise un rouge à lèvres ton pêche avec un brillant à lèvres épais.

En me regardant dans le miroir, je vois la tenue accentuer ma silhouette et souligner ma grosse poitrine. Mon maquillage donne un effet étincelant à mes yeux bleus. Je ressemble à une chaude aguicheuse et non à une directrice de société.

Est-ce que mes employés vont commenter ma tenue ? Est-ce qu’ils vont parler dans mon dos ? Est-ce qu’ils vont vouloir m’aborder normalement ? Je ne peux pas m’empêcher de réfléchir à toutes ces questions sur le trajet du travail.

Une chose est certaine pourtant. Anticiper la réaction de mes subordonnés et les instructions vicieuses de Daniel font vibrer mon corps d’envie. Quelle journée ennuyeuse je passerai au bureau sans mon stagiaire pour me contrôler !

Pendant le trajet, Daniel passe continuellement sa main de haut en bas sur mes jambes nues. Il la glisse sous ma jupe en cuir moulante. A un feu, il touche même ma chatte. Ce qui faite que je suis complètement dans les brumes. Je suis tellement prête à me faire baiser. Et même si nous somme arrivés au travail.

Après avoir garé ma petite voiture de sport, je laisse Daniel partir et j'attends plusieurs minutes avant d'entrer dans le bâtiment. Je veux être sûre que personne ne nous a vu faire le trajet ensemble dans ma voiture. Tout en allant dans la salle de pause pour y prendre mon café habituel du matin, j'ai l'impression d'être l'agneau qui part à l'abattoir.

Clic, gling, clic, gling…

Le son des bracelets en argent se heurtant sur mon poignet et des talons de mes bottes claquant sur le sol me suit. Mes nouveaux bijoux scintillants semblent éblouir tous les employés que je rencontre. Et ma jupe moulante en cuir noir qui serre mon gros cul est comme un aimant sur mon passage.

Et merde ! Je n'aurais pas plus attiré l'attention sur moi que si je m'étais promenée avec seulement le corset léopard. Cependant, dans mon état d'excitation, je ne fais pas attention aux regards. Et tant que je ne fais pas l'objet d'une conduite obscène ou d'un comportement indécent, tout va bien non ?

Daniel me laisse tranquille pendant une heure environ. Ce qui me permet de faire un vrai travail. Après tout, je suis à la tête d'un département de dix employés. Je ne peux pas me plaindre d'un manque de travail. Et puis, avec la crise financière, les affaires ne vont pas si bien que dans le passé, si bien que nous devons procéder à une restructuration. Plusieurs licenciements sont inévitables. ORTEGA et moi avons été chargé de vérifier la qualité de travail de tous les employés. La décision de réduire de quatre à deux le nombre de nos assistants de bureau a déjà été prise. Seul le nom des assistants que nous allons licencier n'est pas encore décidé.

J'ai un problème toutefois. Taper sur le clavier avec mes faux ongles longs s'avère difficile. Je n'ai pas encore trouvé l'astuce pour bien appuyer sur les touches. Duc coup ça me ralentit et je n'avance pas beaucoup dans mon travail. Lorsque enfin Daniel franchit la porte de mon bureau, je suis presque heureuse de pouvoir détourner mon attention de mon clavier.

- Prête pour ton petit défi quotidien Miss Pute de Bureau ? Demande-t-il.

Je ne réponds même pas à sa question qui est purement formelle. De toute façon je n'ai pas le choix. Mais pour être honnête, j'attends ce défi avec impatience. Avec mes pensées qui se concentrent sur le sexe, ça va être le clou de ma journée.

Daniel m'explique alors :

- C'est facile. A chaque fois que tu vas recevoir un mail avec une pièce jointe, tu devras te rendre dans un lieu, prendre un objet et baiser une partie de ton corps avec. Tu feras un lancer de dé pour définir le lieu, un autre pour la partie du corps, et un autre pour le nombre de fois. Compris ?

Une fois encore la créativité de mon stagiaire pour les défis humiliants me surprend. C'est tellement vicieux, lubrique et dégradant. Pour la première fois, le frisson d'anticipation est plus grand que la peur de se faire prendre. C'est vraiment plus un défi qu'une tâche humiliante.

- Maintenant, regarde si tu as des e-mails avec pièces jointes ! Ordonne Daniel en tirant un dé se sa poche et en le jetant sur mon bureau.

Mon cœur bat la chamade quand je me tourne vers mon ordinateur et que je vérifie ma messagerie. Bien sûr, j'ai reçu un message avec une pièce jointe. Comme je suis directrice d'un département, je reçois des tonnes de courriers électroniques au cours d'une journée de travail, et beaucoup sont accompagnés de documents de présentation.

Je vais jeter le dé toute la journée. Ma chatte va bouillir. Mais attends ! Mon esprit embrumé par la luxure, j'ai presque manqué un détail important. Qu'en est-il des lieux ? Veut-il que je fasse ce défi dans les bureaux de mes subordonnés. Il a perdu l'esprit !

Avant que je finisse de réfléchir, Daniel est déjà en train de me mettre le dé dans la main.

- Ok salope ! Prends cette liste pour que tu saches quels lieux et parties de ton corps sont définis par le chiffre tiré. Dit-il en me tendant un morceau de papier.

Sur cette feuille, je peux lire :
« Lieux : 1 = ton bureau, 2 = salle du café, 3 = bureau des stagiaires, 4 – bureau d'un subordonné, 5 = Bureau d'ORTEGA, 6 = Bureau du directeur O'BANNON. »
« Parties du corps : 1 = bouche, 2 = mamelons, 3 = clitoris, 4 = chatte, 5 = trou du cul, 6 = seins et cul. »
« Nombre de fois : Chiffre du dé x 2 »

La lecture des différents lieux me coupe le souffle. Je ne peux quand même pas entrer dans le bureau d'un de mes subordonnés, prendre un objet et le fourrer dans ma chatte n'est-ce pas ? Même si j'ai très envie d'exécuter ce défi, j'ai peu de chance de le réussir.

Mais mince alors ! Qu'est-ce que j'ai appris dans ma formation en gestion de crise ? Des objectifs plus élevés demandent un effort plus important. Toutefois, pour le moment il s'agit d'objectifs ambitieux qui me procurent une grosse excitation. Mon Dieu, mon esprit est tellement concentré sur le sexe que ça influe ma manière de penser.

C'est un défi, mais il va étancher mes désirs. C'est exactement ce que je cherche non ? Tant que je reste concentrée je peux le faire !

Toujours nerveuse cependant, je prends le dé et je le lance. Mon cœur s'arrête de battre alors que je le regarde rouler sur mon bureau. Je suis envoûtée par ce petit cube. Je n'ose même pas respirer tant que le dé ne s'est pas arrêté. C'est un 2.

Il me faut un moment pour comprendre le résultat. Je dois aller à la salle de café. Ouf, ce n'est pas si mal pour un début. Il y a toujours de nombreux moments où il n'y a personne dans cette pièce.

Je prends le dé et je le lance encore deux fois, retenant mon souffle en le regardant rouler. Je fais 4 et 3. Je dois mettre quelque chose dans ma chatte et la baiser avec six fois.

Au moment où je réalise l'ampleur de la tâche, mon esprit commence à fonctionner. Je réfléchis à tous les objets que je peux trouver dans la salle à café, mais je ne trouve rien d'utilisable. Mon cœur accélère alors que je me lève.

Je remarque à peine que je descends les escaliers et que je passe devant le bureau des stagiaires. Je transpire sous la tension. Mon esprit est complètement concentré sur l'accomplissement de cette tâche. Daniel me suit avec désinvolture.

Quand j'entre dans la pièce, Marcus, un beau jeune homme de mon équipe qui a juste vingt ans, se prépare un café. Il me salue et commence à me parler de son week-end. Bien que j'essaie de montrer de l'intérêt à ce qu'il dit, je l'écoute à peine. Dansant nerveusement d'un pied sur l'autre, je regarde dans la salle. Je dois trouver un objet que je peux utiliser et je dois être rapide. Je n'arrive pas à m'imaginer que quelqu'un me voit me baiser la chatte avec des ustensiles de cuisine. Je ne peux pas risquer ça !

Le café prêt, Marcus ne s'éloigne pas pour autant. Il continue de bavarder pendant que je me prépare une tasse de thé. Et pendant ce temps, je vois Daniel attendre devant la porte et regarder furtivement à l’intérieur. Ma nervosité augmente de seconde en seconde. Marcus ne part pas, augmentant les chances qu'une autre personne arrive.

Quand finalement il s'en va, je suis frénétique. Cette salle de café est équipée de façon sommaire, il n'y a donc pas beaucoup d'ustensiles. J'ouvre à la hâte un tiroir à la recherche de quelques cuillères à café. Mais il n'y en a pas. Soit elles sont sales, soit elles sont au lave-vaisselle.

Bon sang ! J'ai tellement misé sur le manche d'une cuillère. Ça me laisse sans autre idée. Je ne suis pas loin de crier de frustration. Je me retourne fébrilement dans un sens et dans l'autre afin de chercher quelque chose d'utile. A ce moment, je suis prête à prendre n'importe quoi. Je ne peux pas dire cependant, si c'est ma volonté de finir ce défi ou le besoin d'enfoncer quelque chose dans ma chatte qui me pousse.

Soudain, mes yeux aperçoivent un panier de fruits. Il y a des pommes, des poires et des bananes à l’intérieur. Quelqu'un avait dû les amener. Profitant de ma chance, je me rue sur le panier.

Les fruits sont assez gros, mais je n'ai pas le temps de faire la difficile. A cette heure de la journée, il y a un flux constant de collègues qui viennent prendre un café. Il n'est qu'une question de minutes avant qu'un autre employé entre. Je dois prendre ce qu'il y a, alors je saisis une banane.

En me retournant, je vois Daniel au milieu de la porte, en train de me regarder. Je ne vois personne derrière lui. Je suis encore en sécurité. Sachant qu'il attend que j'agisse, je relève ma jupe en cuir pour révéler ma chatte nue et je plie légèrement mes genoux en écartant les jambes.

Avec mes doigts fraîchement manucurés, j'écarte mes petites lèvres et révèle la chair rose de ma chatte. Je trouve surréaliste de me trouver dans la salle de café de l’entreprise alors que tout le monde travaille autour de moi et de montrer à Daniel mon sexe rasé. Son scénario me fait me sentir comme une vraie pute. Mais ça m’excite tellement. J’étouffe un gémissement quand je touche ma fente hypersensible.

De ma main libre, j’avance la banane jusqu’à mon entrejambe et je la place directement à l’entrée de mon vagin. Ensuite, j’enfonce lentement le fruit long et dur dans ma chatte.

MON DIEU ! Les sensations que je ressens me font fermer les yeux. C’est difficile pour moi de me contrôler et de réprimer mes gémissements. Mes hanches bougent toutes seules pour enfoncer ma chatte sur la banane.

Enfin, après toutes les masturbations de hier, ma chatte est enfin remplie. Ça fait si longtemps que je le voulais. Mais maintenant je ne peux pas vraiment en profiter. Il faut que je fasse attention et que je termine  rapidement cette tâche.

Mon sexe saisit la banane et la serre. Je ne veux pas la laisser partir. Cependant, je dois me baiser avec et je dois la sortir et la rentrer encore cinq fois. Après l’avoir complètement retirée, je la fais glisser de long en large sur mes petites lèvres puis je la presse contre mon clitoris engorgé.

Le plaisir me frappe comme un marteau sur la tête et je tremble sur mes jambes. Je bascule presque au sol. Pour rester debout, je dois attraper le comptoir de la salle de café. Après avoir repris de grandes inspirations, je remets la banane à l’entrée de ma chatte et je la pousse à l’intérieur. Après quatre va-et-vient, des bruits humides accompagnent la banane. Le son est si fort que je crains que les employés des bureaux voisins entendent.

- Ooooohhhh…

Je n’ai finalement pas pu m’empêcher de gémir lorsque je pénètre une cinquième fois ma chatte avec le fruit.

Je suis trop excitée. Je ne peux plus me retenir. Je suis sur le point de perdre le contrôle. Il faut que j’en finisse avec ça ou je ne m’arrêterai pas avant d’avoir joui.

- OOOOOOHHHH…

Je gémis encore plus fort lors de la sixième poussée dans mon sexe.

La banane est dans ma chatte quand soudainement, Stephen, l’un des membres de l’équipe d’ORTEGA tourne au coin du couloir. Il se dirige vers la salle de café. Il va me remarquer d’une seconde à l’autre.

Son apparition soudaine me surprend tellement que je me redresse immédiatement et me fige sur place. Je lâche tout, jupe et banane. La jupe en cuir descend et recouvre ma chatte nue. Heureusement mon sexe apprécie tellement le fruit qu’il le serre fermement, refusant de le laisser partir.

Quelques secondes plus tard, Stephen passe devant Daniel et entre dans la pièce. Il me salue avant de tourner son attention vers la machine à café.

- Est-ce que vous venez de crier ? J’ai entendu des gémissements ou quelque chose qui y ressemblait. Me demande-t-il.

Il a entendu mes gémissements ! Je suis sur le point de me faire découvrir. Il faut que je trouve une excuse.

- Oh ! Ce n’est rien, je me suis brûlé la langue avec le café chaud. C’est tout. Dis-je en essayant de ne rien laisser paraître de mon trouble.

Stephen a gobé mon excuse. Il me dit :

- Oui, je sais ce que vous voulez dire. Le café est toujours brûlant quand il sort de cette machine.

Debout comme une biche prise dans les phares d’une auto, je ne sais pas quoi faire. Tout ce que je sais, c’est que mon visage doit être rouge dans les tons les plus sombres. J’ai une banane fourrée dans ma chatte.

Stephen me parle en attendant son café. Tout ce temps, je serre les muscles de ma chatte aussi fort que je peux pour empêcher le fruit de tomber. Comment réagirait-il s’il voyait une banane tomber de dessous ma jupe ?

Toutefois, il ne remarque pas ma posture in confortable. Au lieu de ça, ses yeux passent de mes boucles d’oreilles style latino à mes bracelets étincelants en argent et à mes ongles longs.

Il hausse un sourcil en remarquant mon changement de style, mais il ne dit rien. Ce n’est pas difficile pour moi de deviner ses pensées toutefois. Il doit croire que je panique à l’idée de rester célibataire à plus de trente ans et que je me maquille et m’habille comme une cougar désespérée à la recherche d’un homme. Que c’est embarrassant !

- Mle ADDAMS, je suis désolé de vous interrompre, mais nous devons nous dépêcher. Votre réunion commence bientôt. Dit Daniel pour me sauver de cette situation dangereuse.

- Désolé Stephen, je dois y aller.

Je profite de l’occasion pour m’excuser. L’homme acquiesce simplement et reporte son attention sur la machine à café. Derrière Daniel, je sors de la salle. Mais on ne peut pas dire que je marche. Avec la banane dans ma chatte, je suis plutôt chancelante, les jambes tordues. Mon cœur bat à tout rompre. A chaque pas, je crains que la banane glisse et tombe. Je suis ridicule à marcher dans le couloir et monter les escaliers les cuisses et genoux serrés.

Par chance, je ne rencontre aucun autre employé avant d’arriver à l’étage. Pendant tout ce temps, ma chatte a vraiment apprécié d’être remplie si bien que la montée des escaliers s’avère difficile. A chaque pas, mon sexe devient plus humide. Et lentement je perds mon emprise sur le fruit.

BOUM !

Au moment où j’atteins l’étage, ça arrive. Ma chatte est trop mouillée et je ne serre plus assez. La banane glisse et tombe au sol.

- Merde ! Dis-je désespérée.

J’essaie de me pencher pour attraper le fruit, mais c’est trop tard. O’BANNON sort de son bureau.

Nonnnnnn ! C’est pas possible ! Ça ne peut pas arriver !

En voyant mon patron, je me redresse rapidement en laissant la banane par terre. Comme j’étais courbée, ma jupe en cuir noir était remontée. Je ne pouvais risquer que mon patron voit ma chatte nue. La banane brille sur le sol, mais je n’ose pas la ramasser avant que O’BANNON soit passé.

- Tout va bien ? Me demande le PDG de la société en se rapprochant de moi.

Je réponds à la hâte :

- Oui Monsieur. Je viens juste de faire tomber mon déjeuner.

- Laissez-moi vous aider ! Dit O’BANNON qui ne semble pas avoir pris conscience de ma tenue sexy et de mon visage tout rouge.

Avant d’avoir l’occasion de décliner son aide, il se baisse et attrape la banane. Elle est couverte du jus de ma chatte et il la touche. Pourtant ça ne semble pas le gêner. Il me donne le fruit et continue son chemin. Ça aurait été la chose la plus honteuse de ma vie s’il avait découvert que je l’avais mis dans mon sexe.

Mais le plus important maintenant c’est que je suis en sécurité. Poussant un long souffle de soulagement, je poursuis mon chemin vers mon bureau avec la banane à la main. Je prie encore que mon patron n’ait pas remarqué l’état du fruit, ou du moins, qu’il n’y pense plus.

J’ai complètement oublié que Daniel m’avait devancé à l’étage. Il se tient dans mon bureau, un sourire malin sur son visage.

- C’était amusant n’est-ce pas ? Dit-il.

Avant que je ne puisse répondre non, il s'approche de moi et passe sa main sous ma jupe. Il touche grossièrement ma chatte pour sentir son humidité.

- On dirait que tu as aimé ça aussi salope ! Ta chatte coule comme un ruisseau. Déclare-t-il.

Il met ses doigts mouillés et brillants devant mon visage avant de dire :

- Maintenant, sois une bonne petite chienne, lèche ton jus sur la banane.

Trop excitée pour discuter, j'obéis simplement à son ordre et je lève la banane à ma bouche. Après avoir passé ma langue de haut en bas tout autour du fruit, je le glisse entre mes lèvres et je le suce pendant cinq bonnes minutes.

Cet acte est suffisant pour augmenter les démangeaisons dans ma chatte. Je suis affamée de bites et plus désespérée que jamais.  Et cependant, le défi avec le dé est loin d'être terminé.

L'heure suivant, j'ai l'impression de marcher sur des orties. A tout moment, je m'attends à avoir un nouveau message avec pièce jointe. Ma motivation pour lancer le dé et relever le défi est à son plus haut niveau. J'ai envie de prouver ma valeur à Daniel.

Toutefois, pendant plus d'une heure, je ne reçois aucun courrier électronique avec des pièces jointes. Pourtant je regarde plus ma messagerie que je ne fais un réel travail. Finalement, je reçois un document contenant certains calculs pour un projet de l'un de mes subordonnés. L'heure a sonné. J'envoie un message à Daniel.

« il est temps pour un nouveau défi »

« Enfin ! Je commençais à penser que tu te foutais de moi. Amène ton cul ici salope et apporte le dé » Me répond mon stagiaire

Ce voyou latino ne veut pas venir à mon bureau. Il veut que je le rejoigne au bureau des stagiaires et que je jette le dé sous les yeux des autres. C'est vraiment plus humiliant ! Et tellement plus dangereux !

Malgré tout je n'hésite pas et je sors immédiatement de mon bureau avec le dé dans la main. Je rejoins le bureau des stagiaires en essayant d'avoir l'air confiant malgré la boule dans ma gorge. De toute façon, tous les stagiaires ont vu ma tenue donc je n'ai pas à la cacher.

Seuls Daniel et Taylor sont dans le bureau. Le joueur de football noir est le plus timide des stagiaires. Il n'ose même pas me regarder comme les autres le font quand j'entre dans le bureau. C'est un bon début pour mon défi.

Après avoir marché jusqu'au bureau de Daniel, je lance le dé et fait un cinq en premier. Je regarde le dé avec incrédulité. Eh bien pas de chance, je dois aller dans le bureau d'ORTEGA. Je dois pénétrer dans le bureau de mon rival pour la tête de la société et y réaliser un acte obscène.

Perdu dans mes idées, je lance le dé encore deux fois. Je fais un 3 et un 2. Je dois donc frotter mon clitoris quatre fois avec un objet trouvé dans le bureau d'ORTEGA. Je me dis que ça va être très dur, le bureau d'ORTEGA étant le lieu que je voulais éviter.

La peur prend le dessus, mais ne me fait pas douter de ma détermination. En sortant du bureau des stagiaires, je ne vais pas directement au bureau d'ORTEGA. Je dois être intelligente. Donc je retourne à mon bureau et je laisse la porte ouverte. De cette façon, je peux voir le bureau de mon rival situé en face du mien.

Près d'une demi-heure s'écoule avant qu'ORTEGA quitte son bureau. Je ne sais pas pendant combien de temps il va être parti, mais je dois prendre le risque. Une autre opportunité ne se présentera pas peut-être.

Les jambes tremblantes, je me précipite vers le bureau en face du mien. J'ouvre la porte et je me glisse à l'intérieur.

Waouhhhh, que c'est excitant !

Prenant une grande respiration, je regarde partout. Je dois trouver quelque chose à frotter sur mon clitoris. Je suis excitée à cette seule pensée. Mais que puis-je utiliser ?

Le bureau d'ORTEGA est bien rangé. Il n'y a pas beaucoup de choses sur son bureau. Et je ne peux pas simplement utiliser un stylo, c'est trop simple. Daniel sera déçu de mon manque de créativité.

Je dois trouver quelque de spécial. Mais quoi ? Je perds du temps ! A tout moment Ortega peut revenir. Il n'y a rien d'utile sur son bureau. Je dois trouver autre chose.

Tournant sur moi-même mes yeux se posent sur la porte. Je deviens désespérée. Rien ne joue en ma faveur.

Perdue, j'ai une idée idiote. Sur mes bottes en cuir à hauts talons, je retourne à la porte. Je me retourne et je me penche. Puis je tends la main pour relever ma jupe noire. Ensuite j’attrape mes petites lèvres avec mes deux mains. En les tenant entre l'index et le pouce j'ouvre ma chatte. Puis je pousse mes hanches.

- UUUUHHHH !

Je laisse échapper un soupir lorsque je sens la poignée  de porte en laiton froid se poser contre ma chatte sensible. Mais je n'arrête pas mon action. Je pousse fermement mon sexe contre le bouton rond tout en me levant sur la pointe des pieds. Je fais glisser ma chatte jusqu'à ce que je sente le métal froid contre mon précieux petit clitoris.

- Oooooohhhh ! Gémis-je.

Une décharge électrique explose dans mes reins quand mon clito est touché. C'est tellement bon. Tous mes désirs reviennent avec force. Et à ce moment, je suis déçu de n'avoir fait qu'un 2 pour le nombre de fois. Je ne peux que frotter quatre fois mon clitoris sur la poignée de la porte-bébé

C'est complètement fou n'est-ce pas ? Je me tiens dans le bureau de mon rival, penchée sur la pointe des pieds avec mes mains derrière mon cul tenant ma chatte ouverte. C'est une position extrêmement vulnérable. Pourtant je ne me soucie plus du danger pour le moment. Tout ce qui m'importe c'est mon excitation qui endort ma conscience.

- ohhh… Mmmm… Mmmmm !

J'essaie d'étouffer mes gémissements, mais je ne peux les empêcher. Plusieurs s'échappent de mes lèvres. Les quatre frottements demandés sont vite finis. Après le dernier je peux sentir un orgasme enfler dans mon ventre. Je m'en rapproche très près. Mon corps a besoin d'être libéré. 

Je ne peux pas m'arrêter ! Je ne peux tout simplement pas m’arrêter bien que mon esprit dise le contraire. Ça ne suffit pas. Alors je continue à frotter mon clitoris sur la poignée de la porte. Une cinquième fois. Une sixième. Je vais jouir !

Soudain je sens une poussée sur la porte. Elle commence à s'ouvrir. Je suis poussée en avant.

C'est tellement inattendu que je trébuche et tombe la face en avant. A la dernière seconde, je pose une main sur le sol pour rester sur mes jambes. La porte est à moitié ouverte et ma jupe est encore retroussée autour de mes hanches. La panique me saisit. Frénétiquement je baisse ma jupe, juste à temps avant qu'ORTEGA entre dans le bureau.

Je lui fait face, les joues cramoisies. Il n'a pas vu mon cul hein ? Je ne crois pas, car il me regarde simplement surpris. Il ne s'attendait pas à ce qu'il y ait quelqu'un dans son bureau.

- Qu'est-ce que… Qu'est-ce qui se passe ici Mle ADDAMS ? Demande-t-il pris de court.

Puis il répète, sa voix devenant plus aiguë :

- Quel est le problème ? Que faites-vous dans mon bureau ?

ORTEGA n'a jamais essayé de cacher son aversion pour moi. Il n'aime certainement pas que je sois dans son bureau. Il doit penser que j'essaie de trouver des informations que je pourrais utiliser contre lui.

- Je… Je… Je cherchais des informations sur un de vos vieux projets. Bégayé-je.

Je commence à devenir bonne à trouver des excuses idiotes.

- J'en ai besoin de toute urgence. Et vous n'étiez pas là, alors je l'ai cherché moi-même. Je veux juste ce dossier et je m'en vais. Ok ! Ajouté-je d'une voix que je force à être plus ferme.

Je n'ai pas de respect pour ce connard. Je suis plus intelligente. J'apporte de meilleurs projets. Je fais rentrer plus d'argent. Je mérite de devenir la prochaine PDG de cette entreprise. Peu importe comment je m'habille pour le travail.

Avant que nous nous lancions dans une discussion houleuse, je saisis un dossier au hasard et je sors rapidement du bureau. Cette petite dispute a étouffé mon excitation pour de bon. Mais j'ai fait le boulot demandé par ce deuxième groupe de lancer de dé.

A l'heure du déjeuner, je suis de nouveau sur des charbons ardents. Presque étourdie par le désir, j'espère que chaque nouveau courrier électronique aura une pièce jointe. Mais aux cours des heures qui suivent, je n'en reçois pas. Il se fait tard.

BIP.

Ce son annonce un nouvel email. Un document y est joint. Je saute presque de mon fauteuil. Est-ce la nervosité ou de l'excitation ? Je ne peux pas le dire. Toutes mes sensations se fondent un sentiment de besoin unique et accablant.

Une fois encore, j'envoie un message à Daniel et, munie du dé, je descends au bureau des stagiaires. Cette fois-ci ils sont tous présents. Ce n'est pas bon.

Matt et Justin s'arrêtent immédiatement de travailler lorsque j'entre dans le bureau. Contrairement à Taylor, ils détaillent largement mon corps. Bon sang, je suis tentée de rouler du cul tout en me déplaçant vers le bureau de Daniel.

Essayant d'agir aussi discrètement que possible, je demande au jeune latino quels sont ses progrès dans son projet. Pendant ce temps, je lance le dé trois fois. Je fais 2 , 5 et 4. Je dois accomplir ce défi dans le bureau des stagiaires alors qu'ils sont tous présents ! Et je dois pousser un objet dans mon petit trou du cul serré ! Et je dois le faire huit fois.

Je jette un coup d’œil inquiet à Daniel. Veut-il vraiment que je remplisse ce défi avec les autres stagiaires présents ? Ce n'est plus un défi, c'est mission impossible.

Je réfléchis et je me dis que je pourrais leur donner des ordres et travaux à faire pour qu'ils quittent le bureau. Toutefois, le signe de tête sévère de Daniel anéantit mes espoirs. Je dois m'exécuter tout de suite.

Ma nervosité est au plus haut niveau, mais mon enthousiasme n'est pas loin derrière. Je ne peux rester immobile, je tremble d'anticipation comme une feuille. Je ne me suis jamais sentie aussi vicieuse.

Mais au moins les trois autres jeunes sont assis de l'autre côté de la salle. Tans qu'ils restent assis, ils ne peuvent voir que mon visage. Le reste de mon corps est caché derrière les demi-cloisons du petit bureau. Quelles sont les chances qu'ils se lèvent ?

Mon cœur bat rapidement, je cherche un objet à utiliser. Il n'y a pas d'objets utilisables sur le bureau de Daniel. Je peux difficilement utiliser la souris d'ordinateur, non ?

En me déplaçant vers les bureaux inoccupés à la recherche d'un objet approprié, je les trouve aussi vide que celui du latino. Seuls quelques dossiers, claviers et souris traînent par-ci par-là. Finalement mes yeux tombent sur un porte-crayon. Un stylo ira très bien après tout. Le problème est qu'il se trouve sur le bureau de Taylor.

- Taylor s'il vous plaît, pourriez-vous me donner un stylo ? J'ai besoin de prendre des notes.  Demandé-je au jeune homme noir en affichant un grand sourire.

Sans hésiter, il attrape un stylo. Mais ce n'est pas un stylo à bille, il s'agit plutôt d'un gros feutre style marqueur. Son manche est beaucoup plus épais qu'un stylo ordinaire. Il n'est vraiment pas facile ce défi n'est-ce pas ?

Tout en remerciant Taylor, j'attrape le feutre et je retourne au bureau de Daniel. Je sens les yeux de tous les stagiaires collés à mon cul.

- Vous avez fait toutes les copies ? Demandé-je à Daniel pour rester discrète.

- Oui c'est fait !

Le jeune latino joue le jeu en restant dans son rôle de stagiaire. Toutefois il ne le fait qu'en paroles. Car tout en me parlant, il passe sa main sous ma jupe et commence à me pétrir les fesses. Je ne peux pas lui claquer la main sans attirer l'attention. Je ne peux qu'être reconnaissante que mon cul soit caché derrière les demi-cloisons.

- Oh ! Haleté-je quand je sens sa main sur mon cul nu.

Immédiatement j'essaie d'étouffer le son, mais c'est trop tard. L'attention des trois autres est de nouveau sur moi.

- Oh ! Vous avez fait un excellent travail ! Dis-je pour essayer de me sortir de cette situation gênante.

Je peux sentir le danger arriver. A tout moment, nous pouvons être vus. C'est une situation complètement indécente. La puissante directrice laisse un stagiaire lui peloter le cul. Mais je vais y arriver !

Je dois terminer ce défi le plus rapidement possible. Alors je tends ma main en arrière et je commence à mettre le feutre entre mes fesses. Mais Daniel gifle ma main. Il m'indique de lui donner l'objet.

Avec hésitation, je lui donne le marqueur. Sans dire un mot il le tient devant moi. C'est ahurissant de savoir exactement ce que ce voyou macho veut me faire faire par ce simple geste. Il n'a même plus besoin de mots pour me faire comprendre ce qu'il veut.

Il tient le feutre au-dessus de son bureau. En me baissant, j’amène ma tête au niveau de l'objet et j'ouvre la bouche. Je suis sur le point de sucer un feutre alors que tous les stagiaires sont là. Quelle salope !

Sachant que l'objet doit rentrer dans mon cul, il faut que je le mouille bien pour le rendre plus glissant. Mon cul est difficile à prendre sans lubrifiant. Avec un frisson dans le dos, je pose mes lèvres sur le marqueur et je commence à le sucer. Je travaille dur sur le stylo, essayant d'avoir beaucoup de salive dans la bouche pour qu'il soit bien mouillé. Je fais une bonne fellation à un crayon.

Daniel laisse glisser mes lèvres de haut en bas du feutre huit fois avant de le retirer. Exactement le nombre que j'avais tiré. J'aurais aimé qu'il me laisse plus de temps pour me préparer. Mais au moins le marqueur est bien humide maintenant.

Le macho arrogant ne me donne toujours pas le stylo. Au lieu de cela, il tend la main et le tient derrière mes fesses. Une fois encore je comprends ses intentions. Je me penche plus, collant mes seins sur le bureau, et je remonte ma jupe en cuir noir pour dévoiler mon cul nu. Ensuite je me cambre et j'écarte mes fesses pour présenter mon trou du cul serré.

Je suis vraiment vulnérable dans cette position. Mais même si je suis consciente du fait que n’importe quel stagiaire peut voir mon cul et ma position de soumission s'il se lève, je n'hésite pas.

Daniel commence à faire courir le marqueur de haut en bas le long de ma raie des fesses, me faisant trembler et frissonner. Il se rapproche de ma chatte sensible et de mon clitoris engorgé. Mon excitation me fait passer d'un pied sur l'autre pendant que mon cul commence à tourner en rond.

Puis je sens l'objet sur l'entrée de mon trou du cul plissé. Daniel appuie la pointe dure conte mon petit anneau. Malgré tous mes efforts, je suis tellement nouée que je n'arrive pas à me détendre. Toutefois le latino ne cède pas. J'ai peur de commencer à grogner sous l'effort d'une seconde à l'autre. Ça attirera sûrement l'attention des autres stagiaires.

Je serre les dents pendant que Daniel tortille le feutre sur mon petit trou. Ça prend un temps fou avant que le marqueur ne soit à l’intérieur. Même s'il n'y a que la pointe que tient mon sphincter, Mon tourmenteur s'arrête. Il me laisse dans cette position de soumission, penchée sur son bureau, mes mains fraîchement manucurées écartant mes fesses et un stylo sortant de mon trou du cul comme une queue obscène.

Saisissant le stylo avec ma main droite, j'essaie de continuer le défi. Mais Daniel gifle ma main. Une fois encore, il ne me laisse pas utiliser le feutre par moi-même.

Je n'ai rien d'autre à faire que rester dans cette position humiliante et d'attendre le bon vouloir du latino. De seconde en seconde, mon cœur s'accélère. Je ne peux pas rester dans cette position éternellement ! Un des stagiaires va se lever à un moment ou un autre, et il va me voir comme ça !

Je commence à tortiller du cul pour tenter de séduire Daniel. J'essaie de l'inciter à me baiser le cul avec le crayon. Mais il ne réagit pas.

Il me faut un certain temps pour réaliser son intention. Il veut que je me baise sans utiliser les mains. Il veut que j'empale mes fesses sur le marqueur.

En poussant mon gros cul en arrière, je sens le feutre cogner contre la main de Daniel. Je continue à pousser en arrière et je sens l'objet glisser dans mon cul. Je ne m'arrête pas avant de sentir le bouchon cogner contre  mon anneau anal sensible.

Je serre et desserre mon cul tout en maintenant mes fesses écartées avec mes mains pour donner un spectacle à Daniel. Il regarde mon cul tout en tenant le marqueur.

CLAC !

Avec un bruit sec, il frappe mes fesses. Je retiens mon souffle. Ses collègues ont dû entendre le bruit.

- Tout va bien ?

La question de Justin confirme instantanément mes inquiétudes. Il a bien entendu. L'étudiant en droit commercial est sur le point de venir vérifier si tout va bien. Je dois sortir de cette situation. Je m'apprête à me relever de ma position penchée, mais immédiatement, je sens la main de Daniel sur mon dos pour me tenir fermement. Il ne me laisse pas bouger. Il dit à la place :

- Ouais tout va bien ! Mle ADDAMS vient de laisser tomber son crayon.

Pendant un moment, tout est silencieux dans la salle. Je peux presque entendre mon cœur battre dans ma poitrine. De toute évidence, les stagiaires réfléchissent à la réponse de Daniel. Mais le bruit de la claque ne ressemble pas à un stylo qui tombe sur le sol. Je prie pour qu'ils acceptent le mensonge. 

- OK ! Dit finalement Justin semblant accepter l’explication de Daniel.

Je laisse échapper un soupir de soulagement. J’étais pas loin de me faire prendre.

Néanmoins je dois terminer ce défi. Encore une fois, Daniel ne veut pas me prêter main forte. Je dois sortir le marqueur moi-même puis recommencer à pousser.

Bon sang, c’est trop vicieux ! Je me trouve dans le bureau des stagiaires en train de sortir un crayon de mon cul. Je me sens vraiment comme une dégénérée. Et en plus je le fais sous les yeux de Daniel. J’ai trop honte !

Sentant l’objet glisser lentement hors de mon cul, je continue d’écarter mes fesses avec mes mains aux ongles longs. Je dois faire attention de ne pas faire sortir totalement le crayon. Je ne peux pas le laisser tomber par terre. Les autres stagiaires ne comprendront pas que je le fasse une seconde fois.

Quand il reste seulement quelques centimètres de l’objet dans mon cul, je serre mon sphincter. Encore sept fois, ce défi va prendre du temps.

Une fois encore, je pousse mon cul en arrière jusqu’à ce qu’il cogne contre la main de Daniel et que le marqueur soit entré dans mon petit trou. Une fois de plus, le latino me laisse serrer et desserrer mes fesses pour son plus grand plaisir. Et cette fois je dois le faire plus longtemps que la fois d’avant. Heureusement il s’abstient de me claquer le cul une nouvelle fois pour me dire d’arrêter. Au lieu de cela, il me pince la fesse gauche. Ç’est douloureux mais inaudible.

Je répète la procédure six fois de plus. A chaque fois, je dois tortiller des fesses un peu plus longtemps. Et à chaque fois il me pince les fesses en alternance. Durant tout ce temps, je reste penchée, mes gros seins écrasés sur le bureau et mes fesses écartées par mes mains.

Je ne sais pas combien de temps ça prend, mais ça ressemble à un gros cours de gym qui me laisse épuisée. Seulement huit poussées dans mon cul, ça paraît simple non ? Ça ne l’est pas cependant ! J’ai l’impression d’avoir été baisée sans fin.

Contrairement à mon attente, Daniel n’a pas fini ce défi. Quand il pince mes fesses pour la dernière fois, il ne me laisse pas sortir le marqueur. Il dit :

- Maintenant souris et fais signe à la caméra !

Je sursaute. La caméra ? De quoi il parle ?

Avec un sourire vicieux sur le visage, il pointe son doigt sur la webcam au-dessus de son écran. Et il agrandit l’application de messagerie instantanée qui avait été réduite. Je me rends compte qu’il y a une vidéoconférence en cours. Et je vois les visages de Matt, Taylor et Justin me regarder.

A suivre…

1 commentaire:

  1. Je viens de lire ces 12 chapitres avec un grand plaisir, je me suis imaginée à la place de Jessica, ma lingerie en est toute mouillée. Je ne suis point sûre que j'aurais réussi à mettre en jeu ma carrière professionnelle. J'attends la suite avec une grande impatience (je suis une femme qui vit dans le corps d'un homme)

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