dimanche 17 décembre 2023

Jennifer - Ch. 03

Traduction Par Coulybaca d'un texte de Black Demon

*****

Livrée par son maître chanteur à la vedette de l'équipe.

Un mois et demi plus tard, Jennifer n'avait plus été confrontée à la lubricité du concierge noir. Elle priait pour que ce soit fini, qu'il se désintéresse d'elle, mais elle savait bien qu'au fond c'était faux, qu'elle ne pourrait se passer éternellement de ses étreintes, elle aspirait au jour où il la contraindrait à se soumettre de nouveau à ses désirs lubriques.

Elle se demandait ce qu'il exigerait maintenant, elle savait qu'elle se plierait à ses exigences, elle avait été trop loin dans les concessions pour laisser son mari ou quiconque en dehors de son aventure pour se rebiffer maintenant...

Gardant son calme, ne se laissant envahir ni par la peur, ni par le stress, Jennifer, encouragée par le principal, accompagnait les sorties des sportifs. Le principal voulait l'en charger officiellement avec le titre de conseillère sportive.

Plus jeune, dans ses années collèges, elle avait joué au basket, Tim se réjouissait de l'accompagner lors de ses sorties d'autant plus que cette année l'équipe locale briguerait le titre. Dans la classe de soutien de maths dans laquelle elle enseignait, se trouvait la star de l'équipe de basket. Bien qu'encore junior, il était la vedette de l'équipe, il mesurait aux environs de 2,18 mètres, c'était le joueur le plus grand de la formation, et même du championnat. Grâce à ses prouesses, le lycée de Wilson était le favori du championnat, il faisait partie de l'équipe nationale junior.

Ce vendredi soir, alors qu'accompagnée de Tim elle contournait le court de tennis pour se rendre aux vestiaires, ils stoppèrent brutalement. Jamal Johnson courait après un ballon, leur coupant le chemin. En attrapant la balle, il s'arrêta net et sourit :

- Oups, Excusez moi madame Harrington...

Jennifer lui retourna son sourire et rétorqua :

- Bonne chance pour le match de ce soir Jamal ! Gagne... D'accord ?

En rejoignant l'équipe, le jeune athlète se retourna et s'exclama :

- Pour gagner, on va gagner madame Harrington. Je vais y mettre le paquet. On va gagner par plus de dix points de différence !

Jennifer ne pouvait comprendre le sens caché de cette réplique.

Léon le concierge noir du lycée avait parié gros sur lui et sur la victoire finale de l'équipe. Jamal était en pleine forme, il se refusait à minorer son jeu pour entrer dans les combines de Léon, cependant il s'efforçait d'obtenir les scores que Léon réclamait. Pour le match de ce soir, Léon avait parié que le lycée de Wilson gagnerait par plus de dix points d'écart.

Lorsque Léon lui avait demandé :

- Hey Jamal ! Aimerais tu te farcir la prof de maths ?

Jamal n'avait pu qu'accepter, sans commentaire superflu. Depuis un bon moment il contemplait les jambes de la jeune prof se demandant s'il aurait un jour une chance de se la faire.

- Et comment que j'aimerai m'la baiser... S'était-il exclamé tout surpris de voir Léon lui faire une telle proposition.

Ce dernier lui avait dit que s'il intervenait, la jolie madame Harrington lui ouvrirait son lit et ses cuisses. Pour ça, il lui suffisait de battre l'équipe adverse par plus de 10 points d'écart.

Après s'être cogné dans la jolie prof pendant l'échauffement, Jamal avait rejoint ses partenaires. Il était heureux que la période d'échauffement s'achève, il pouvait profiter du début de la partie pour dissimuler sa bandaison.

- Wow... Jamal joue comme un Dieu ce soir... T'as vu les passes qu'il donne à ses partenaires... Et ces tirs à 3 points... Quel spectacle... On le croirait vraiment en mission ce soir... Il est sacrément inspiré... s'enthousiasmait Tim aux exploits de Jamal.

Il n'avait jamais vu un joueur d'une équipe de province suivi par des représentants des équipes pros.

A la fin du match, Le lycée de Wilson triomphait par 88 à 66, Jamal avait récupéré 14 ballons et marqué 34 points. Comme Jennifer se rendait aux vestiaires, il s'approcha d'elle et lui dit joyeusement :

- J'ai gagné pour vous madame Harrington... Juste pour vous ! 

- Merci Jamal... Tu as été terrible... Juste terrible... Félicitations... répliqua-t-elle innocemment, ignorant la véritable signification de ses paroles.

- Oh... Jamal... Mon époux Tim... C'est un de tes fans ! entendit-il la jolie prof de maths lui dire.

Il adressa un sourire triomphant à l'époux de la ravissante prof, lui donna une bonne poignée de main, lui faisant sentir sa puissance. C'était une drôle de sensation de serrer la main de l'homme dont il allait baiser la femme en récompense de ses prouesses.

Après déjeuner, le lendemain matin, Tim embrassa sa belle et la quitta pour se rendre à sa partie de golf quotidienne. Entrant dans le garage, il jeta un oeil à sa femme qui se préparait à jardiner. Il sourit à sa petite femme si jolie dans sa tenue de jardinage composée d'un fin corsage blanc, d'un short bleu, et d'une paire de tennis bleue.

Quelques minutes plus tard, le téléphone sonna. Jennifer se précipita vers le combiné dans le patio. Un frisson d'angoisse lui parcourut le corps en identifiant la voix détestée du concierge noir, elle craignait de devoir se soumettre une fois de plus à ses désirs.

- Où es-tu chérie ?

- Je... Je suis dehors... dans le patio... Je fais un peu de jardin...

- Est-ce que t'aimerais une bonne grosse bite noire, Madame Harrington ? lui demanda Léon, alors que Jamal avait l'écouteur à l'oreille.

- Je ne t'entends pas ma chérie... Que dis-tu ? On t'a coupé la langue ?

Après un long silence, elle murmura d'une voix étouffée :

- Oui... Oui...

- Que dirais-tu d'une très grosse queue ? Une bite encore plus grosse que la mienne ? Hé chérie... Tu réponds ?

- Non... Non... T'es pas fou ! Jamais je ne... répliqua-t-elle sourdement alors que Jamal quittait la voiture du concierge noir pour se glisser derrière la maison.

Elle écoutait le pervers concierge lui dire combien elle allait pleurer et hurler sa douleur lorsqu'elle se ferait troncher par une vraie grosse bite, elle pensait qu'il était juste en train de se vanter. Focalisée sur le coup de fil, Jennifer n'entendit pas la porte de bois s'ouvrir puis se fermer, ni les pas du grand Jamal Johnson. Pas encore, elle se rendrait compte bien assez tôt que ce serait lui son nouvel amant. La petite chérie allait être servie.

Jennifer fut toute surprise lorsque le dialogue fut interrompu, visiblement Léon venait de raccrocher. Raccrochant à son tour, elle se demandait ce qu'il avait sous-entendu. Se retournant, elle heurta la masse musculaire qui se trouvait juste derrière elle :

- Jamal... Mon Dieu... Que fais-tu chez moi ? Que veux-tu ?

- Je suis venu recueillir mon prix madame Harrington, celui que j'ai obtenu en gagnant par plus de dix points d'écart. Je pensais que Léon se foutait de moi. Mais lorsque je l'ai entendu te parler, te dire qu'il allait te faire baiser par une grosse bite noire, j'ai compris qu'il ne bluffait pas. Je n'aurai jamais pensé que t'étais une pouf pour grosses bites noires. Mais c'est ce que t'es une bonne pute pour grosses bites noires. Tu ne peux pas le nier madame Harrington. l'avisa Jamal hilare.

Muette de stupéfaction, elle frissonna à la vue du large sourire de l'élève noir, elle frissonna à nouveau lorsqu'il la prit dans ses bras, dans une douce étreinte. Au contact de l'énorme bosse déformant son soyeux short de basket, ses doigts apprécièrent les pulsations de l'énorme chibre. Instinctivement, elle enserra de ses doigts l'énorme hampe, la caressant sur toute sa longueur. Focalisant sur l'énorme bite dont elle devinait la taille au travers du short, Jennifer s'angoissait :

- Mon Dieu... Mon Dieu... C'est énorme... pensa-t-elle effrayée.

 Tout en le caressant lentement, elle constata qu'il grossissait encore. Ne résistant pas à la tentation, emportée par sa curiosité, elle roula la ceinture du short permettant à l'énorme braquemart de prendre un peu l'air par l'ouverture. Elle s'empara tout de suite de l'énorme colonne de la main droite, elle ne parvenait pas à en faire le tour, elle le caressa de la paume de la main. Ahurie elle le vit prendre encore de l'ampleur. Elle introduisit la main gauche dans son short pour apprécier l'épaisseur de l'énorme gourdin à la base.

"Mon Dieu c'est pas croyable... C'est pas humain..." pensait Jennifer terrifiée.

Et comme il grossissait toujours sous ses caresses langoureuses, elle comprit que vraiment ce jeune athlète était un cas unique.

Jamal pouvait garder son contrôle pendant longtemps lorsqu'on le caressait, mais cette fois ce n'était pas n'importe qui, c'était la jolie madame Harrington, la plus jolie femme du lycée, une jeune mariée qu'il supposait prude et fidèle, qui manipulait sa grosse bite. A ce moment il n'avait plus qu'une envie, voir la jolie petite prof agenouillée entre ses cuisses suçant son énorme flamberge.

A genoux, Jennifer pensa qu'elle allait se démettre la mâchoire à tenter désespérément d'ouvrir une bouche assez grande pour s'accommoder de la circonférence de l'épaisse colonne. Repoussant de la main gauche la jambe du short, elle suçait maintenant le gros brugnon qui couronnait la colonne de chair, branlant à deux mains le monstrueux gourdin, une goutte de pré-sperme se formait sur son méat, elle grandissait, grandissait...

Elle captura la grosse goutte de la pointe de la langue, en savourant voluptueusement le goût, par l'esprit elle retournait dans la ferme de ses grands-parents comparant la hampe qu'elle manipulait et la queue d'un âne reproducteur qui sautait une ânesse. De fait les deux braquemarts étaient comparables, aussi bien en longueur qu'en largeur, Jamal était vraiment monté comme un âne.

Les doigts vissés dans sa chevelure, Jamal grogna sourdement :

- Ah, ma jolie prof... ohhhhh, yeahhhhhhhhhhh ! Oh ouiiiiiiii ma belle ! T'es la reine des suceuses, On se croirait au bordel. C'est si bon... Ahhhhh... Yyeahhhhhh... C'est... C'est... Vraiment trop bon... Suce-moi encore... Encore... haletait-il

Et lui jetant un oeil il ajouta :

- Regarde moi madame Harrington. Je veux voir tes yeux quand je me viderai les couilles dans ta gorge.

Alors qu'il avait déjà enfoui une bonne quinzaine de centimètres dans sa bouche, Jamal prétendait aller encore plus loin, mais il savait que jamais personne ne l'avait accueilli dans son arrière-gorge sans s'évanouir, ou suffoquer à mort, incapable de respirer. Une seule femme y était parvenue, mais elle avait failli en crever. Et c'était une pute, une pro de la pipe qui avait arpenté le trottoir toute sa vie. La dernière chose qu'il voulait, c'était bien de voir la jolie madame Harrington s'évanouir.

C'est alors que c'est arrivé, le jeune étudiant explosa dans sa bouche. Il entendait le gargouillis de sa gorge, il vit le blanc de ses yeux, il se retira précipitamment, ne laissant que son gland dans la bouche de sa jolie suceuse au bord de l'apoplexie. Des filets de son épais foutre lui passaient par les narines, il fallait bien que sa bouche inondée se soulage, et alors qu'il continuait à juter dans sa gorge, l'épaisse liqueur suinta aux commissures de ses lèvres s'écoulant dans son cou et sur son menton.

Alors que la grosse bite légèrement amollie glissait d'entre ses lèvres, Jennifer restait agenouillée entre ses cuisses, effarée, alors que d'épaisses traînées de foutre striaient son menton et son cou. Le devant de son corsage était trempé, les gouttes tombaient même sur son short bleu qui se couvrait de larges taches blanchâtres et visqueuses, elles lui poissaient même les cuisses. Il avait bien lâché un bon bol de foutre, elle embaumait sa forte odeur virile, elle était parfumée au jus de couille. Elle se releva et prit sa main, Jennifer bégaya :

- Je... Je ne peux pas rester dehors... Couverte de foutre...

Instinctivement elle leva les bras pour permettre à Jamal de lui ôter son chemisier trempé. Se trouvant dans le patio, jardinant, elle avait pris la liberté de ne pas mettre de soutien-gorge, et Jamal en profitait pour empaumer ses tétons humides. Short et petite culotte baissée sur les mollets, elle enjamba ses vête-ments alors que Jamal la repoussait dans la cuisine. Elle ne portait plus que ses tennis bleues, Jennifer constata que son excitation était revenue, sa bite avait repris une énorme ampleur. Les tétons sucés par la bouche avide de son jeune amant, Jennifer s'allongea sur le sol carrelé de la cuisine.

A quelque kilomètres de là, au club de golf local, Tim Harrington discutait avec ses meilleurs amis de l'excitante équipe de basket du lycée.

- J'ai rencontré Jamal Johnson cette nuit. Bon Dieu il les a vraiment démolis ce soir là. Il a récupéré 14 ballons. Lorsque ma femme me l'a présenté j'avais l'impression que sa tête touchait le plafond. Je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi grand, ni d'aussi noir. Il est noir comme le charbon. discourait Tim

Comme la conversation se poursuivait, au sujet du phénoménal joueur, Tim ajouta :

- Je n'ai jamais un tel tireur. Vous auriez vu le spectacle qu'il a donné ! Ses adversaires jonchaient le tapis. Imaginez ce géant de 2 mètres 20 vous heurtant de tout son poids, un coup à embrasser le plancher...

Ironiquement, au même instant, Jamal disputait un sacré match sur le sol carrelé de sa cuisine. Mais c'était un sport plus jouissif que le basket, un sport qu'on aurait pu intituler la foufoune partie. Si seulement Tim Harrington avait su que Jamal dispensait ses talents sur le sol carrelé de sa cuisine. Et à cet instant, le poids du colossal Jamal avait véritablement cloué sa jolie femme si menue au sol.

- Ahhhhhh... Ahhhhhh... Ahhhhhh... Ahhhhhh... Ahhhhhh... Ahhhhh... Ahhhhhh... Ahhhhhh !

Jennifer poussait ces soupirs, allongées sur le sol de la cuisine, subissant l'apre possession de Jamal profondément dans sa chatte distendue, élargie au delà de l'imiginable.

- Ahhhhhhhhhh... Oh Jamal... Ohhhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhhhhh ! gémissait-elle encore alors que Jamal faisait l'impossible pour s'enfouir jusqu'aux couilles dans sa caverne embrasée.

Tim aurait était bien désappointée en voyant sa jolie petite femme si fidèle étreindre entre ses bras le colossal joueur de basket. Elle disparaissait sous le corps de son suborneur, Tim n'aurait pu l'identifier qu'à ses tennis bleues qu'elle portait déjà lors de son départ. Il aurait pu croire de la même façon que sa femme avait renversé un carton de lait, au vu de la mare blanchâtre qui jonchait le sol formant un grand cercle.

Tim se sentait frustré, il avait très mal joué, son score était en dessous de la norme, son putting avait été pour le moins incertain. Put après put, il avait placé la balle devant ou derrière le trou.

C'était bien différent chez lui, étalée sur le lit conjugal, Jennifer se faisait perforer la chatte par Jamal, il ne ratait jamais son trou, l'empalant à chaque coup de boutoir. Sa jolie petite femme avait serré ses muscles vaginaux sur l'énorme bite qui coulissait facilement dans sa cramouille ravagée. Ses tennis bleues aux pieds, cuisses grandes ouvertes, sa petite Jennifer rebondissait d'orgasme en orgasme.

Bien plus tard, alors qu'un de ses amis commentaient les possibilités pour Jamal de devenir le premier joueur recruté par une équipe pro, après son année dans l'équipe junior du lycée, Tim répliqua :

- Encore faudra-t-il qu'il obtienne son diplôme en fin d'année. D'après Jennifer il a vraiment de gros problèmes en maths. Il ne comprend pas les bases et cela risque de l'empêcher d'obtenir son diplôme. Apparemment il ne sait compter que jusque 50, le plus grand nombre de points qu'il ait marqué dans un match...

Au même instant, Jamal avait largement dépassé le nombre 50, il s'était arrêté sur le 69, en fait c'est lui qui apprenait à sa jolie prof de maths ce que signifiait cette expression, il fouillait les replis de ses babines jetant parfois une pointe sur son clito. Comme Jennifer volait d'orgasme en orgasme, Jamal la sentait couler comme une fontaine, mais il était lui aussi prêt à se vider les couilles dans sa bouche, sur son visage, son cou, son menton, ses cheveux...

FIN.

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