dimanche 3 décembre 2023

Le dressage d'Aline - Ch. 02

 Récit de Vadrouille.

*****

Début de sa soumission.

— Je n’ai rien oublié chez toi ? dit-elle en rougissant un peu.

Ce furent ses premières paroles après son bonjour lorsque le lendemain je la revis au bureau. Je remarque de suite qu’elle a fait un effort supplémentaire point de vue vestimentaire : elle avait, comme hier, la même jupe fendue qu’elle ne portait jamais au bureau. Elle était plutôt comme je l’ai dit « bon chic bon genre » et tailleur stricte ou pantalon. Je la sentais bien…

« Aline il y a vraiment une salope qui sommeille en toi » pensais-je. « Tu ne le sais pas encore, mais tu suceras bientôt des kilomètres de bites et avaleras du sperme jusqu’à plus soif et là on t’en foutra partout. Il y a encore du chemin, patience, mon jouet prend forme... »

— Je pourrai venir récupérer ma culotte ? dit-elle— Il n’en est pas question.

Je vois là sa déception s’afficher dans son regard, j’ai ferré la salope, elle mord à l’hameçon…

— Il n’est pas question que tu la récupères, je la garde en souvenir, mais tu peux passer ce soir !

— On a quelque chose à finir ! dit-elle rougissante. 

Elle apprenait vite, elle est en manque depuis des années, ce soir elle rattrapera le temps perdu et je compte lui enseigner des… nouveautés, nouveautés qu’elle devra un jour faire profiter mes ami(e)s. « tu ne le sais pas mais doucement tu vas devenir une machine à baiser toute bourgeoise que tu es. »

— A te voir aussi excitante (toujours appâter) je suis certain qu’on va en profiter

— Tu me trouves bien ? Dit-elle.

— Plutôt ! Et aujourd’hui, au bureau, j’ai déjà vu des hommes te reluquer. Dis-je,  tu vois en plus de ton charme, les vêtements un peu sexy attirent le regard... (Comme dirait le corbeau au renard)

« Avec ces compliments-là, tu viendras vite au bureau en mini », pensais-je « et la culotte disparaitra pour faire place au string ».

— merci minauda-t--elle en rougissant.

« Salooooope » pensais-je, « t’as une bouche à sucer et des yeux qui crient braguettes ».

— A ce soir ! Fais-toi encore plus belle. Dis-je en partant, afin de ne pas avoir de réponse de sa part et la laisser à son imagination ou excitation.

Ce soir-là elle est arrivée avec un très léger retard, 10 minutes. Je lui fis remarquer, cela fait partie du dressage.

— Excuse-moi dit-elle.

— Tu vas pouvoir te faire pardonner !

Et sans prévenir je lui colle ma main au cul au travers de sa jupe et lui caresse le con.

— ooooooh dit-elle avec un mouvement de recul…

elle ne s’attendait pas à un assaut si rapide « pauvre petite bourge si tu savais... ». Je reprends le contrôle, la serre encore plus fort, ma main remonte le long de ses cuisses et sans surprise je constate qu’elle mouille déjà.

— inutile de dire que tu n’aimes pas dis-je, tu es toute humide.

Elle essaye de créer une diversion en disant :

— Tu sais, au bureau, ce matin, j’étais encore toute excitée du jour d’avant et en manque de toi…

Elle s’enfonçait dans ses phrases et moi je pensais que je n’allais pas non plus tarder à m’enfoncer mais moi… dans sa chatte qui ne demandait qu’à être manipulée. Je sentais bien qu’elle n’en avait plus eu depuis pas mal de temps.

— tu vas vite dit-elle.

En effet j’avais déjà la main dans sa culotte qui n’allait pas tarder à être retirée, mais j’attendais, j’ai toujours aimé le contact de l’élastique quand je glisse ma main dans les dessous féminins.

— Ose dire que tu n’aimes pas… là, ton corps parle pour toi !

Ma main qui jouait avec son petit cul était trempée…

— Qu’est-ce ? lui demandais-je en lui mettant ma main pleine de cyprine que j’avais retiré de sa culotte sous le nez. La preuve que tu es excitée comme une vraie femelle…

Elle rougit encore.

— c’est ton corps, ton envie, ton excitation, ton plaisir ! Je ne veux pas que tu sois gênée, compris ? Osais-je d’autorité, le dressage continuait.

Afin d’éviter une réponse qui ne me plairait pas et continuer son éducation de chienne en rut, je lui clos la bouche avec la mienne…

— mmmmmm réussit-elle encore à dire.

Trop tard, sa langue commençait à jouer avec la mienne c’était l’accord tacite de sa volonté de se faire enfin baiser. Son corps, elle ne le contrôlait plus, elle le serrait contre moi en pressant bien son sexe contre le mien. Elle était cuite, la bourge, bientôt prête à se faire baiser sans complexe. 

Ma main toujours pleine de mouille déboutonnait son chemisier qui du coup me servait de serviette… l’idée qu’elle rentre chez elle avec des vêtements dans cet état m’excitait… Il allait falloir que je me démerde pour foutre plein de sperme sur sa jupe à un endroit bien voyant pour que ses (grands) enfants voient que leur mère est aussi une bonne salope, qu’elle a retrouvé un mec pour la niquer.

— Raaaaaaaaah mmmmmmmmmmm

C’est tout ce qui arrive à sortir de sa bouche bien occupée à m’embrasser pour l’instant, je lui présenterai autre chose à y mettre dans quelques instants.

— Tu m’excites vraiment fort dis-je entre deux passes langues.

Je commençais à lui caresser les seins toujours cachés dans son soutif... pas vraiment le temps de m’occuper de lui, il y a plus urgent… sa culotte et surtout lui laisser sa jupe pour mon projet… 

Je lui retirai sans ménagement à sa grande surprise j’aurais plutôt voulu lui arracher, la déchirer mais ce sera pour plus tard.

— ooooooh Ouiiiiiiii vient me prendre, continue ce que tu as si bien commencé, hier !

— Je te prendrai quand je le voudrai lui répondis-je en la fourrant bien sûr mes avec mes doigts pour l’instant.

Elle se raclait, gémissait,  on aurait hésité entre du rire et des pleurs. La salope s’éveillait, « deux doigts en plus dans sa boîte à mouille serait les bienvenus » pensais-je. Aussitôt dit aussitôt fait.

— mets-moi ta verge dit-elle, je t’en supplie j’en ai envie, depuis le temps que je n’ai plus jouis, fais-moi l’amour, je t’en supplie…

— Ce n’est pas ma verge que tu vas avoir, c’est ma queue, ma grosse queue, qui te prendra quand je voudrai et ce n’est pas te faire l’amour, c’est te baiser que je vais faire.

Elle allait de nouveau dire quelque chose et pour bien lui montrer que seul mon avis comptait, je lui remplis de nouveau la bouche avec un baiser où les langues parlaient faisant un bruit de déglutition… Elle pompait ma salive. « Petite pute tu suceras ma bite bientôt... ». Je jouais des doigts dans la chatte en effleurant son clitoris. Effleurer seulement pour que cette chienne en redemande. Son clitoris va me servir de monnaie d’échange.

 — Tu veux me faire mourir... je jouis comme je ne l’ai jamais fait, tu me prends quand tu veux, tu es mon maître !!!!!

Cette phrase n’était pas tombée dans l’oreille d’un sourd, je serai effectivement ton maître et mieux tu seras une esclave ! J’en profite pour la coucher à même le sol, je vais la pénétrer sur le tapis comme une bête, elle ne mérite pas encore mon lit. Ce sera pour plus tard quand elle sera presque domptée.

— ooooooh mmmmmmmmmmm c’est booooon dit-elle pendant que je lui enfonçais la bite dans son con et effectuait le traditionnel va et vient.

Elle avait les larmes qui lui coulait mais pas autant que le jus de son cul !!! Ne pas la baiser trop longtemps, la laisser sur sa faim il faudra qu’elle en redemande qu’elle ne sache plus s’en passer afin de devenir ma chienne bien dressée à la baise.

Pendant qu’elle continuait de gémir, et à sa plus grande désapprobation, ce dont je me foutais éperdument, je me retire de son corps… Garder en tête mon idée, arroser ses vêtements de mon foutre.

— viens sur moi... assieds-toi sur ma bite (elle ne fait pas de commentaire sur le vocabulaire, la bourgeoisie s’émancipe)

— dis-moi ce que tu veux…

— je te l’ai dit, merde, tu t’assois sur moi et tu t’empales sur mon pieu qui va te pénétrer encore plus comme ça…

Aucun commentaire sur le ton, la chienne commence à obéir.

— J’aime quand tu me prends et me parle rigoureusement… Tu es mon maître je veux recevoir ton sperme…

Et elle se branlait carrément assise sur ma bite, elle se caressait le clito !!!! La salooooope, elle n’en avait pas encore assez, j’allais monter d’un degré.

Je continue à la limer pendant un bout de temps et de nouveau je la fais changer de position, la tête sur mon ventre, le cul en l’air, elle me donnait des baisers je lui pris la tête et croyant que j’allais de nouveau l’embrasser elle fit mouvement pour remonter vers le haut. D’une main ferme je la repousse vers ma bite. Elle est soufflée, je profite de son étonnement pour lui foutre ma queue dans la bouche, elle est coincée, c’est là que tout se joue. 

Cette petite pute y va doucement du bout des lèvres. Je lui enfonce bien profondément, elle est surprise…

— Maintenant suce… Même si tu ne sais pas comment, rappelle-toi quand tu étais enfant et que tu suçais une friandise. Maintenant la friandise c’est ma bite et si tu es sage un jour tu en auras le jus. Tu serres les lèvres et profite de ma queue.

— mmmmmm 

Et oui, que pouvait-elle dire de plus, on ne parle pas la bouche pleine ce n’est pas poli… Surtout ne pas encore me laisser aller… faisons semblant de donner une récompense.

— Couche-toi, je veux me mettre sur toi, je veux t’embrasser…

Elle se recouche sur le dos, je reprends possession de sa bouche avec la mienne. Avec une main je remets sa jupe en place, me frotte contre elle, l’excitation est à son comble une grosse giclée de sperme atterrit sur sa jupe…

— mmmmmm comme c’est booooon dis-je en l’embrassant de plus belle jouant avec ses seins et son corps de façon à ce qu’elle oublie cette coulée de sperme sur l’arrière de sa jupe.

J’avais manœuvré pour la faire pivoter et remise en place elle ne se rend compte de rien. Je me marre à l’idée de la question qui va être posée chez elle : c’est quoi derrière sur ta jupe ? 

- Tu vois, lui dis-je, comme tu excites en t’habillant moins classique, j’aimerais que ce soit comme ça au bureau. Que tu sois excitante et que je puisse voir les hommes te regarder avec envie

— Je n’oserai jamais. Dit-elle.

— si tu le feras pour moi et ça m’excitera aussi et plus je suis excité plus je baise.

J’avais dit là une phrase qui allait résonner sans cesse dans sa tête. Le dressage continuait, prochaine étape à poil sous le manteau en public…

Mais c’est encore à venir, tu deviens ma salope, tu seras ma chienne toujours prête à m’obéir. 

A suivre...

2 commentaires:

  1. J’aime beaucoup ce.texte avec cette voix off qui nous dit ce que ce pervers pense

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  2. Excellente 2ème partie, on attend la suite impatiemment

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