samedi 23 décembre 2023

Le dressage d'Aline - Ch. 04

Récit de Vadrouille.

*****

Aline de plus en plus chienne et soumise.

Pour une fois, je niquais Aline chez elle… une première !!! Elle ose amener un homme chez elle dans son quartier résidentiel. En même temps, elle ne prenait pas un gros risque, ses enfants n’étaient pas là.

Elle m’avait préparé un dîner de je ne sais plus quoi, rien à foutre, je n’étais pas là pour ça, mais juste pour la baiser et observer mon jouet dans son élément. Elle avait vraiment fait des efforts vestimentaires : une ultra mini jupe, maquillée limite pute, mmmmmmmmmmm ça me plait, string, bas et pas de soutien gorge, les nichons à l’air et bien visibles sous un chemisier presque transparent. Fallait quand même que je trouve quelque chose, je voulais qu’elle rampe donc trouver toujours quelque chose à redire. Elle doit sans cesse chercher à me plaire. 

— Pourquoi une culotte, enfin le string, je veux ton cul nu quand on se rencontre, tu dois être accessible directement, je veux tâter ton con dès que j’entre chez toi ou si tu viens à un rendez-vous, je veux m’assurer que le fait de se rencontrer te fasse mouiller le cul. 

— Pardon, je vais l’enlever.

Je ne lui laisse pas le temps de le faire, je lui arrache, ça se déchire vite ces petits trucs. 

— Ooooooh, c’était un string que j’ai pris dans l’armoire de ma fille !!!! dit-elle

— Ca t’apprendra, tu lui achèteras un nouveau et d’autres pour toi, quoique te tripoter quand tu portes ses sous-vêtements de ta fille pourrait m’exciter, une idée à creuser !

— N’exagère pas, elle est à peine âgée de 20 ans, elle est si jeune.

— C’est çà, dis-je, en attendant vient me montrer sa garde robe, on pourra s’en inspirer pour toi.

— Mais... 

— Pas de mais, c’est où ? dis-je en la menant à l’étage. Quelle chambre ? 

— C’est ici, mais...

— Arrête tes mais. 

J’étais entré et commençais déjà de fouiller les armoires. 

— Putain ! elle se nippe bien ta fille. c’est laquelle ?

— Martine, mais je n’ai pas pour habitude d’aller dans leur chambre.

— J’imagine, dis-je, les bourges ont la propriété privée comme valeur.

Et tout en fouillant dans la lingerie de sa fille, j’aperçus le vibro-masseur d’Aline. Je le cache direct et n’en parle pas. Ce sera un petit secret entre Martine et moi avant même de la connaître. 

— C’est son panier à linge, là ? 

J’y étais déjà prenant une culotte que je reniflais avec plaisir. 

— wouaaaaah la même odeur de cul que toi. goûte çà !

Je lui flanque la culotte sous le nez. 

— Oui. dit-elle 

— Tu parles, ta fille est certainement une salope aussi. 

Elle voulut répondre, je lui avais déjà mis la main dans sa foufoune, elle était trempée. 

— Mais sa culotte t’excite ma parole, tiens bouffe-là !

Et je lui enfonce dans la bouche. 

— Ça t’excite, hein ?
— mmmmmmmmmmm... fit-elle.

— C’est vrai, tu ne peux pas répondre. Penche-toi, je te prends ici, par derrière.

Et je lui plonge la tête dans le linge « sale » de Martine.

— Décidément elle me fait bander aussi sa fille. 

Je la lime quelque minutes pas plus, juste pour lui faire comprendre qu’elle pourrait avoir de la concurrence, faut leur mettre la pression à ces petites bêtes là !

— Viens on va voir tes casseroles maintenant.

— Je croyais que tu voulais me prendre ici.

 — Vraiment salope ! Tu attendras que je veuille, y'a d’autres chose à faire avant. direction cuisine !

A ce moment là, je vis qu’il y avait de la lumière dans la salle de bain de Martine, ne serions-nous pas seuls ? On gagne la cuisine.

— Un apéro ? dit-elle.

— Tu n’en as pas eu assez ?

— Je parlais de boisson, quoique c’est vrai que de la verg... euh de la bite je ne saurais plus m’en passer. dit elle en se caressant son bouton de sonnette.

— Alors, fais en sorte de toujours me satisfaire et tu auras toujours ma queue et même plus.

— Encore plus ?

— Mmmmmm, dis-je, tu comprendras quand tu seras plus grande. 

Quelqu’un sonne à la porte d’entrée.
— shhhhht, me fait-elle, je pense que c’est la voisine. 

— Pas question, tu vas ouvrir. Mieux tu l’invites à prendre un verre avec nous. Je veux voir à quoi ressemblent tes relations.

— Mais je ne me suis jamais habillée ni maquillée comme ça, elle va me voir en mini jupe !

— Et alors ? Ouvre, il serait temps que ton entourage voie que tu es devenue MA salope de bourgeoise.

Elle fit entrer sa voisine qui venait lui demander un service, mais je pense que c’était de la curiosité. Je n’essayerai même pas de toucher cette femme, une bourgeoise mais qu’on a plus envie de pisser dessus et de s’en servir de torchon que de la sauter ! Elle était figée sur la tenue d’Aline. Elle ne tarde pas à prendre congé, ouf. il était temps, j’avais envie de jouer encore avec mon objet, la femelle en rut.

— On se le fait ce repas, dis-je, y a encore à faire après. Je voudrais t’enseigner d’autres choses encore.

— Mmmmmmmmmmm, j’aime ton enseignement.

"Tu vas l’avoir au cul mon enseignement" pensais-je. 

— Qu’est-ce que tu attends, sers moi, tu es mon esclave pour ça aussi. 

Chaque fois qu’elle me servait, elle avait droit au passage à un, deux ou trois doigts suivant la qualité du service. Le moment du dessert arrivait, elle nous avait fait un tiramisu que j’avalais sans même l’attendre.

 — Pendant que tu manges le tien, excite-moi, joue avec ma queue !

— Mmmmmmmmmmm, Ouiiiiiiii, j’aime ça. 

C’était une bouchée de dessert à faire descendre avec un coup de « sucre d’orge »

— Tu es vraiment de plus en plus salope, c’est booooon ! dis-je sans lui laisser le temps de répondre, et tu mouilles vraiment bien, il y en aura assez pour nettoyer la table après.

— Après quoi ? arrive t elle à dire entre deux gorgées.

 — Tu nous as fais un bon dessert, mais le tien manque de crème. 

Me levant, le zob en main, elle veut me prendre en bouche, je la laisse faire cinq ou six coups de pompe puis je me branle au dessus de son assiette . 

— raaaaaaaaah ! dis-je en jouissant et lâchant mon jus sur son dessert. 

Elle plonge dessus la « Marie salope » 

— Ouiiiiiiii, j’adore çàààààààà, c’est booooon !

Elle s’étouffe à bouffer le dessert et la liqueur de chêne qui va avec.

— je t’autorise à lécher l’assiette, dans ton beau monde ça ne se fait pas, mais tu n’es plus complètement une Madame tu es ma pouffiasse, ok ?

— je serai ce que tu voudras. 

Elle allait finir pas croquer dans l’assiette si je ne la retenais pas ! Il ne faut pas abîmer une si bonne bouche !!!

— couche-toi sur la table, le cul en l’air ! dis-je.

— choueeeette, tu vas me prendre, encore ?

— on peut dire ça comme ça, dis-je en lui enfonçant dans son baveux ma bite insatiable qui avait déjà repris forme après quelques coups de pompes de ma chienne. 

J’avais laissé un peu de dessert dans mon assiette, j’y trempe les doigts et pendant que je la fourre avec ma bite, je lui enfonce un doigt dans le cul, ce qui l’a fait sursauter mais du bras je maintiens la bonne position pour l’enculer et déjà un deuxième doigt est allé rejoindre le premier.

— aaaaaaaaaaaah  !!!crie t elle.

— Tracasse pas, la première fois qu’on se fait enculer est des fois pénible, mais tu n’y échapperas pas et tu en redemanderas ! dis-je en reprenant du tiramisu sur les doigts, c’est un excellent lubrifiant, je vous le recommande.

— Ton cul aura un avant goût du dessert avant qu’il ne soit de la merde comme ça, apprécie !

Et l’enculage continue jusqu’au moment où je décide d’arrêter.

— Retourne toi, dis-je, suce !

Elle veut aller à ma bite.

— Nooooon, les doigts qui sortent de ton cul, il y a certainement encore un peu de tiramisu et comme tu as une éducation parfaite on ne jette pas la nourriture. Suce mes doigts !

Pendant ce temps, une nouvelle soupe de couille atterrissait sur la table.

— On va nettoyer cette table ! dis-je.

— Je le ferai tout à l’heure !

— Perdu ! tu le fais maintenant. D’abord ton cul plein de mouille va servir à laver cette table.

Elle se frotte le cul sur la table, il y a des traînées de sperme, de cyprine.

— Tu penseras à notre soirée chaque fois que vous prendrez un repas en famille, j’espère que ça t’excitera et que tu ne sauras t’empêcher d’aller te donner un petit plaisir sous la table.

— Certainement, je me masturbe souvent depuis que je te connais.

— Alors n’arrête pas, tu es en bonne voie. Maintenant que tu as bien lavé la table, tu vas finir le travail, lèche-la !

Ce repas avait été très nourrissant et instructif. Ma bonne chienne était bientôt prête pour le grand saut.

— Lorsque tu seras seule et que tu voudras te branler, tu regarderas le petit film que j’ai fait aujourd’hui.

J’avais une petite caméra, je nous ai filmé de la chambre de Martine jusqu'à maintenant dans la cuisine.

— Tu nous as filmés en train de faire toutes ces choses ?

— Oui, et tu vas voir je te ferai un DVD, je te le donnerai demain à la banque. Rien que ça t’excitera.

— Au fait de bureau, je veux que quand je te rends visite à ton guichet que tu remontes ta jupe et que je vois ce qu'il y a en dessous. Peut être aussi te dirais-je d’aller enlever ta culotte et de finir ta journée cul nu. Ce qui nécessite plus jamais de pantalon ni de bas collants.

— Mais d’autres me verront ?

— Non, tu te démerdes. 

Je suis le seul, pour le moment, à pouvoir profiter de cette vue au bureau. Je la quittais avec le sentiment qu’on n’avait pas été vraiment « seul » et  je vis cette fois encore que la tenture de la chambre de Martine avait bougé et il n’y avait plus de lumière dans sa salle de bain. 

A peine rentré chez moi, je téléphone à mon ami Robert.

— Tu te souviens que je t'ai parlé d’une employée de la banque qui était vraiment LA Madame Maman Bourgeoise ?

— Oui, dit il, et alors ?

— J’en ai fait une chienne, une véritable écrémeuse. un jour ou l’autre, je lui fais passer le cap. Tu passes à la maison et tu la limeras et me diras ce que tu en penses.

— Ok, si elle est bonne, pourquoi pas, on la baise à deux ?

— Non, pas de suite mais tu la sautes devant moi. Pour le reste on verra !

— D’accord mais je voudrais voir comment elle est ! 

— Viens à la banque, je te montrerai un endroit discret, le seul qui de l’extérieur donne vue sur son guichet. Elle a ordre de me montrer son cul quand j’arrive près d’elle. D’où tu seras, tu pourras voir la marchandise !!!

— Ok, à plus !

La tournure que prenait cette histoire me plaisait de plus en plus. En quelque temps elle ne savait plus se passer de sexe, suçait comme une pro, s’exhibait, s’était faite tripotée par des jeunes et des vieux. Bientôt elle devra m’obéir quand je lui donnerai l’ordre de baiser avec Robert et d’autres. Et enfin, la piste de sa fille Martine devient presque du concret. C’est une voyeuse donc prête à passer à l’action. Faudra aussi la dresser. Encore des récits en perspectives.

A suivre...

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