Récit de Vadrouille.
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Un petit voyage pour le dressage.
Tu t’imagines, hier quand je suis rentrée chez moi, ma fille Martine a vu que j’avais une tache sur ma jupe et m’a demandé ce que c’était. Je lui ai dit que je m’étais assise sur un banc public et… « Oui, on va dire ça, m’a t-elle répondu », tu te rends compte ? « Je vais me changer de suite, » ai-je dit pour éviter de donner d’autres explications.
Je parie que sa fille n’était pas dupe, elle a reconnu la giclée de sperme que j’ai expressément envoyée sur les vêtements de sa mère. Elle aura compris qu’elle à maintenant un mec qui la baise.
Il y a maintenant trois semaines que je la saute sans obtenir grand-chose en échange. Va falloir que je reprenne l’éducation.
— Je n’y arrive pas, dit-elle, je vois bien que les collègues à la banque ont remarqué mes changements vestimentaires mais plus, je n’y arrive pas.
Fallait pas trop la brusquer pour l’instant, je n’aurais pas voulu qu’elle m’échappe et que ce soit quelqu’un d’autre qui profite du premier dressage !!!
— Mais si, tu verras, je vais te préparer un petit voyage d’agrément, on fera une petite croisière. Ce sera plus facile pour commencer, avec des personnes qui te sont étrangères.
— Tu crois ?
— Jusqu’à maintenant quand tu fais ce que je te dis, c’est toujours profitable, non ? et les petites récompenses te plaisent, non ? tu aimes que je te prenne et que je joue avec ton p’tit clito ? alors faut continuer, obéis…
Elle se butait un peu. Mais je savais que dans peu de temps elle serait ma petite pute qui mangera dans ma main ou plutôt y lapera mon jus.
Le soir même après l’avoir de nouveau tringlée, je cherchais sur internet une traversée en bateau à faire avec elle, là, petit restaurant, salle de jeux, dancing, couchette, tout pour la « débourrer »
— J’ai trouvé un petit voyage à faire en amoureux , lui dis-je, mais faudra prendre un bateau en Belgique, ce n’est qu’à plus ou moins 100 Km de Douai, à Zeebrugge. Tu verras tu aimeras !
En fait c’est surtout moi qui aimerai pensais-je, toi tu feras ce que je te dis comme une gentille salope à son maître…
— Chouette !!! nous deux en amoureux (tu parles !!) merci, merci…
— N’oublie pas de mettre des tenues que j’aime, jupe courte.
— Mais je n’en ai pas vraiment.
— Tu trouveras, je n’aime pas non plus les bas collant, etc. je veux des bas et porte-jarretelle
— Avec une jupe courte ???
— Oui, je veux que tu attires les regards sur le bateau…
— J’essayerai !
— Tu le feras et tu verras, on va faire l’amour pendant tout le voyage (qu’est-ce qu’il ne faut pas dire pour arriver à ce qu’elle se conduise comme une débauchée !)
Le grand jour est arrivé, 19h30, nous embarquons après une heure de route sans histoire. Elle était habillée d’une petite jupe noire, pas une mini, chemisier classique de bourgeoise qu’elle est encore. De toute façon ce n’est pas ses nichons que je voulais qu’on regarde c’est son cul ! Galamment je porte son imper surtout pour éviter qu’elle le mette.
Dans les couloirs du bateau et surtout dans les escaliers elle faisait sensation. J’étais derrière elle, décalé sur le côté de façon à ce que ceux qui suivent lui mate sa culotte, son cul. Elle ne s’en est pas rendu compte de suite.
— Tu es vraiment jolie avec cette petite jupe noire et ta culotte de la même couleur ! Mmmmmmmmmmm.
— Comment sais-tu la couleur de ma culotte ? tu ne m’as même pas tripotée dans la voiture... (tiens ? elle le voulait ?)
T’as qu’à attendre pensais-je pour être tripotée, tu vas l’être…
— Oui, je l’ai vue comme tous ceux qui te suivaient dans les escaliers, tu offrais une vue splendide !!
— Ce n’est pas vrai, on voyait ma culotte ?
— Oui, des hommes, des femmes, même des adolescents, et tout à l’heure ce sera ton string que tu montreras et donc ton cul
— Je n’ai pas de string !!
— Je m’y attendais, tiens...cadeau…
Il était l’heure de se rendre au restaurant.
- La même tenue, dis-je, sauf que tu vires ta culotte et porte le string.
Pendant qu’elle enlevait un pour mettre l’autre, je fis passer ma main dans sa petite fente. Elle se retourne vivement pour m’embrasser. Elle croyait que j’allais la baiser… non, ma salope, juste t’exciter pour que j’ai une monnaie d’échange, tu fais ce que je dis, en échange je te fais vibrer le cul. Joignant le geste à la pensée, je lui ai mis deux doigts dans son con, effet immédiat son cul mouille déjà, bon signe pour la suite.
— viens, j’ai envie. dit-elle (je joue encore un peu dans son trou)
— j’aimerais bien, mais on va au resto maintenant et je pense que ce sera facile de te tripoter là-bas
.— Comment ? arrive-t-elle à dire en commençant à jouir .
— T’occupe pas, fais ce que je te dis, on y va, holà pas besoin de ton imper…
— Allez, zou, lui dis-je en lui tapant sur les fesses la poussant vers la porte pendant qu’elle réajustait son string déjà plein de cyprine.
J’ai vraiment bien choisi cette femelle. La bourge qu’elle était devient la pute que je forme et qui aimera s’exhiber pour moi et après pour la faire monter par mes amis et amies.
— c’est grand ! dit-elle en parcourant les coursives.
J’allongeais volontairement le parcours pour nous rendre au restaurant empruntant même des escaliers qu’il n’y avait pas lieu de prendre mais fallait qu’elle s’habitue à être regardée à montrer ses jambes avant le reste.
— on s’assoit là, dis-je après avoir choisi la place avec soin.
Elle devrait traverser la salle pour aller se servir. Je ne lui avais pas dit que c’était des buffets « self service »
— prends ce que tu veux, moi j’aime la cuisine indienne, mais prends pour toi d’abord
— Ok, si tu veux.
Elle gambadait vers le buffet sa petite jupe cachait encore de trop… Tu vas être surprise pensais-je.
— J’ai pris surtout des crudités, dit-elle, pour toi toujours de l’indien ?
— Oui bien sûr c’est épicé, ça excite l’appétit sexuel…
— Oh alors je t’en prends double portion. minauda-t- elle encore.
J’avais choisi la cuisine indienne, car elle se trouvait en retrait sur la table du self. Aline devait donc se pencher et s’étendre pour me préparer mon plateau. Elle offrit une vue à l’assemblée. On ne voyait pas son cul, pas encore, mais la limite de ses fesses et ses bas. Les hommes seuls la regardaient franchement, ceux qui étaient accompagnés faisaient mine de ne pas regarder mais n’en perdait pas une miette et des étudiants qui effectuaient probablement un voyage de classe avaient des yeux exorbités et la bouche ouverte. Moi sans avoir l’air de rien, je filmais et zoomais son cul en gros plan ainsi que l’intérêt qu’il lui était porté par les différents « spectateurs ». Ça allait servir pour mon projet « chienne en délire »
— Tu as des jambes splendides, tu ne cachais pas grand-chose, c’est bien tu auras vite ta récompense !
— Que veux-tu dire ?
— Ce que je veux dire par récompense ?
— Oui enfin non, que je ne cachais pas grand-chose as-tu dit…
Je mis ma webcam en route et lui montrait comment elle avait intéressé la salle et que bien sûr on la regardait toujours. Je m’étais installé à côté d’elle à table et d’un coup de main à son cul, je me suis aperçu que en fait le petit film lui plaisait. Elle allait nettoyer les tissus des fauteuils avec son jus de cul…
— ça commence à t’exciter qu’on te regarde le cul
— Ce n’est pas vraiment ce que mon éducation m’imposait, mais celle que tu me donnes est mmmmmmmmmmm je commence à aimer.
— Et ce n’est pas fini, regarde le mec assis en face de nous, il n’arrête pas de regarder sous notre table, pourquoi ?
Elle voulut avoir un mouvement pour remettre sa jupe ! Inutile, elle était trop courte, elle voulut serrer un peu les jambes ! Trop tard ma main était déjà à la bonne place au grand plaisir du petit vieux en face. Une chose que je remarquais quand même, Aline écartait presque automatiquement les jambes quand ma main remontait ses cuisses vers sa boite à mouille. Elle commence à être une bonne chienne.
— On retourne dans la chambre après le dîner ? dit-elle pleine d’espoir.
Non, on va aller boire un verre, mais avant j’ai remarqué un petit coin discret où j’ai envie de jouer avec toi… Et je la conduis sur un pont un peu à l’écart. Je la retourne d’un coup et sans ménagement, debout dans un recoin du pont, je lui enfonce ma bite bien profondément. Elle était trempée, je n’ai eu aucun souci pour lui foutre. Un petit coup rapide, sans lâcher le jus, encore l’exciter pour ma monnaie d’échange. Titiller le clito, juste assez pour qu’elle accepte tout en échange de sexe.…
— Viens au dancing maintenant.
— On va danser ? je ne connais pas trop les danses actuelles !
— Ne te tracasse pas, il y a des danses que tu pratiques déjà très bien…
— On se pose là, dis-je.
Il y a ce groupe d’étudiants et aussi le petit vieux qui avait bien reluqué ma chienne tout à l’heure... Je vais chercher les boissons et à ma grande surprise elle jouait déjà sa petite salope assise les jambes croisées montrant bien ses atouts vestimentaires et sexuels.
— C’est bien tu t’exhibes comme je le veux, continue surtout, la récompense n’en sera que meilleur. De plus tu verras ta jouissance serra de plus en plus forte. Écarte un peu les jambes, tu m’excites…
Aussitôt demandé, elle le fait… brave chienne, tu auras bientôt ton su-sucre. Le petit vieux avait presque la langue hors de la bouche. Enfin de la musique où je peux me frotter pendant qu’on danse, je l’attire (je la tirerai plus tard) sur la piste et elle se colle à moi son sexe bien appliqué contre le mien. Je bande, elle s’en aperçoit…
— C’est moi qui te fais cet effet ?
— Oui, de plus en plus. De mère bourgeoise, tu deviens une vraie salope et j’aime.
— Tu n’es pas jaloux qu’on me regarde ?
— Non, au contraire et tu ne toucheras quelqu’un d’autre que quand tu auras mon autorisation et uniquement ceux que je te dirai.
— Oui maître. dit-elle en souriant.
La danse était terminée, je cessais de presser ses seins, j’ai remarqué que ses nichons étaient un des points de création de source dans sa culotte. A peine à notre place que le petit vieux venait l’inviter à danser.
— Je peux me demande t elle ?
La chienne se fait obéissante pensais-je.
— Oui, vas-y, puis on rentre dans la cabine… amuse toi…
Elle est déjà sur la piste, me jette un coup d’œil et place ses bras au cou de son cavalier qui ne tarde pas à lui caresser les seins au travers de son chemisier mais caché par la veste. Elle me regarde, sollicite mon autorisation. D’un hochement de tête, j’acquiesce. Elle profite des mains du mec qui la tripote et tente de jouer avec son con, mais là elle bloque encore un peu. Quelques jeunes étudiants danseront aussi avec. Elle prenait du plaisir, me semble t il, à être désirée par des jeunes gens. Nous quittons la salle, il est déjà 2 heures du matin. J’ai envie de refaire un petit détour par le pont. Il est désert.
— Tu m’as excité à mort aujourd’hui. lui dis-je.
— Pas le temps de rentrer dans la cabine, trop envie…
Elle me regarde un peu étonnée. Trop tard j’ai déjà ouvert ma braguette, ma queue gonflée à bloc. Elle veut enlever son string, elle n’a pas le temps. J’en profite qu’elle s’est courbée afin de libérer son cul pour lui prendre la tête et lui enfoncer ma bite dans la bouche.…
— mmmmmmmmmmm, dit-elle la bouche pleine
— raaaaaaaaah ! Dis-je.
Je ne lui laisse pas le temps de respirer, je lui tiens la tête en lui faisant effectuer un mouvement de va et vient.
— Je veux une pipe… une vraie pipe jusqu’au bout !
Elle ne peut que lever les yeux, approbation ou pas, je m’en fiche. Je me branle dans sa bouche, la jouissance arrive. Bien lui maintenir la bouche autour de ma queue… Bien lui mettre dans le fond et…
— raaaaaaaaaahhhhhh !
Je lâche la purée, je lui en fous plein la bouche tellement loin qu’elle est obligée d’avaler…
— lèche le reste autour de mon zob.
Elle s’active, une nouvelle étape est passée. Nous rentrons dans la cabine ou elle m’embrasse goulûment, avec encore de l’envie de queue. J’avais prévu le coup.
— tu vas continuer à me sucer la bite, dis-je, mais en attendant, couche-toi sur le lit et commence seule !
— Que je commence seule ?
— J’ai pu remarquer l’autre jour que tu te masturbais pendant que je te tringlais, tu crois que je n’ai rien vu ? Je suis certain que tu es une adepte de ça depuis le temps que tu n’as plus eu d’hommes !
— Oui, c’est vrai ! avoua t-elle un peu gênée.
Mais ça m’arrangeait qu’elle sache et aime se branler. Pendant qu’elle se doigtait, je m’étais installé, j’étais couché maintenant sur le lit, elle n’avait pas vu que j’avais préparé un sextoy qui allait bien me servir et la préparer à un autre jeu pour la soirée suivante.
— vas-y, suce-moi ! Dis-je.
— oh oui, j’aime te sucer, j’y prends vraiment goût…
Attends salope, tu vas en goûter des bites dans quelques temps, pensais-je. Je la couche sur le lit et commence à lui sucer le clito, ça la rend dingue.…
— hooooooooo, c’est bon, oui, joue avec moi, c’est booooon, tu es un amant splendide…
Ma langue arrivait même à la pénétrer, doucement j’approchais l’engin sans le faire vibrer à l’entrée de sa chatte en chaleur, je pousse l’engin, elle croit que c’est ma bite et gueule de plus en plus. Elle est presque en transe. Je l’embrasse, sa bouche est toute salivé…
— Tu vois que ce petit truc est agréable, dis-je, Ce n’est pas ma bite c’est un sextoys.
— Un quoi ?
— Un sextoys, un vibro, un gode, appelle ça comme tu veux, mais tu viens de jouir comme une grosse salope grâce à ça… Et attends, avec le petit bouton ici, je peux parfaire l’utilisation.
Là, elle a carrément pissé de plaisir, elle est devenue dingue, j’en ai fait une adepte du godemiché.
Elle finit par s’endormir d’un sommeil profond qui m’a permis de pénétrer son trou de cul en préparation d’explorations futures. Elle avait un cul assez large pour trois doigts, elle ne s’est même pas réveillée....mmmmmmmmmmm.
Nouvelle surprise pour la soirée suivante, même topo au resto, dancing, etc... Sauf que cette fois, et ce fut encore une nouveauté pour elle, j’avais acheté un œuf vibrant que je lui ai mis dans la chatte et c’est moi qui avais la télécommande. Au resto, amusant sans plus, mais au dancing, là un véritable plaisir. Comme la soirée précédente elle me demandait l’autorisation pour danser et pour tout d’ailleurs.
- Tu es mon maître ! Dit-elle
Mon dressage de chienne fonctionne. Chaque partenaire de danse pensait qu’il l’excitait alors que je pressais le bouton de la télécommande. Chaque fois son cul se tendait vers le mec, qu’elle serrait plus fort dans ses bras, un œuf magique, je vous le recommande. Je bandais encore comme un cheval. Cette bourge n’a plus rien de ça maintenant, elle est passée à l’état d’esclave. Cet œuf, elle m’en redemandera sur l’autoroute en direction de Douai, le retour.
— Je m’habille comment pour le retour ?
— Ton imper et à poil en dessous… même pour quitter la cabine, visiter les boutiques du bateau et la récupération de la voiture.
— A poil ?
— Ok, je t’accorde des bas et jarretelle c’est tout, je veux sentir ton odeur, celle que tu as quand tu es excitée. j’ai des projets pour toi.
Assise dans la voiture, on était encore sur le bateau, en attente du START. Il y avait encore du passage entre les voitures, j’espérais que quelqu’un la regarderait se masturber.
— Tiens le vibro-masseur, tu vas te le mettre maintenant et jouer à te branler.
— Maintenant ?
— Non, demain, à ton guichet, à la banque...bien sûr, maintenant !
Quoique à la banque pensais-je...mmmmmm ça me donne des idées ! Le retour, je m’arrangeais pour dépasser les camions et rester à la hauteur de la cabine de façons à ne rien cacher au chauffeur qui souvent marquait leur plaisir d’un petit coup de klaxon. D’un coup d’œil je m’assure qu’elle se montre bien et oui elle y va franchement d’une main, le sextoy qu’elle fait vibrer et de l’autre les caresses du clito.
— mmmmmm rrrrrrrrrrr raaaaahhhh ! N’arrête elle pas de « dire ».
Je marque une pause sur un parking pour m’assurer que ce n’est pas de la simulation. Non, elle mouille à fond. Je joue avec son cul et lui fait lécher mes doigts au grand plaisir d’un homme que je n’avais pas vu.
— Il commence à faire sombre, nous nous arrêterons à Lille, ferons un tour en ville.
— Ok, je mets ma jupe.
— NON, pas question, tu es partie quasi à poil, tu continues, tu verras c’est excitant d’être à poil sous son manteau et en public.
— Oui maître ! dit-elle encore.
La balade est sans problème avec des arrêts sur des bancs publics. Je la tripote, lui met des doigts, elle continue d’apprécier. La route du retour était là. Elle me demande si elle peut se mettre l’œuf dans sa chatte.
- Ok, dis-je, si tu arrives en plus à me branler et me sucer la fin de la route.
Elle a commencé à me branler et me sucer comme une véritable salope qu’elle est devenue. Je ne sais si elle s’est aperçue qu’on était entré dans Douai, je n’avais garde de lui dire. Il n’y avait plus grand monde dans les rues, juste quelque curieux qui ont été heureux de voir ma petite pute me faire une pipe en pleine ville.
C’est arrivé devant chez elle que j’ai décidé de lui envoyer toute la marmelade dans la bouche. Elle couinait la salope en avalant mon jus. J’ai cru voir sa fille Martine qui observait derrière les rideaux de sa chambre. Voilà, le dressage d’Aline était fait. La bourgeoise est devenue une insatiable bouffeuse de bite, mon esclave qui bien sûr allait encore en apprendre grâce à la complicité de mes amis et de ma maîtresse à qui je désire faire profiter de ma petite pute. En plus, j’avais remarqué qu’elle avait un chien... Un chien pour ma chienne…
Le dressage d’Aline vous a paru long peut être et dans la réalité deux années pour en faire ce qu’elle devient. Deux ans depuis que je la connais, sa fille, Martine est majeure maintenant et je pense assez délurée si vous voyez ce que je veux dire.....mmmmmmmmmmm.
A suivre...
Un vrai délice cette histoire. Merci
RépondreSupprimersuperbe histoire, cette petite bourgeoise qu'on dévergonde deviennent de vraies chaudasses
RépondreSupprimerExcellente étape.
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