vendredi 29 mars 2024

Chantier Ch. 03

 Récit de lecteur9 (2007)

*****

Baisée par le concierge, puis par un étudiant.

Claudia doit sortir porter des vêtements de son mari, au pressing. Elle enfile une courte jupe, boutonnée derrière, des talons mi-hauts et enferme son orgueilleuse poitrine nue sous une veste de tailleur un peu décolleté mais qui reste encore classique. En apercevant son reflet elle voit la parfaite jeune femme élégante et raffinée qu'elle a toujours été.

Mais soudain, elle se rappelle que Mourad en partant, a laissé la porte ouverte et elle reste debout, livide, la bouche ouverte, en voyant défiler dans son esprits des images obscènes de son corps livré à des inconnus qui la prennent partout.

Reprenant ses esprits, elle se rend compte que la culotte qu'elle vient d'enfiler est trempée. Elle l'enlève d'un geste élégant et la lance sur le lit. Alors qu'elle en prend une autre, une brusque inspiration la saisit. Et c'est le ventre à l'air et les joues empourprées par son audace qu'elle sort de l'appartement. En bas de l'escalier elle croise le concierge. Ce dernier en la voyant arriver.

- « Madame Bonnelli, vous penserez à prendre le colis pour votre mari ! »

- « Ah ! oui ! J'avais complètement oublié ! Je dois faire quelques courses et je le prendrais au retour ! » Dit-elle sans un sourire en montrant le sac qu'elle tenait à la main.

- « Euh, oui ! Bien sûr ! »

Claudia s'éloigne et sort de l'immeuble. Le concierge la regardant partir, fixe avec insistance les fesses plantureuses de la jeune femme moulées par sa jupe. Il n'est pas surpris par le ton sec de la jeune femme, elle qui le toise toujours de haut et qui ne lui adresse jamais la parole que forcée.

Il rentre dans sa loge, songeur. Dans sa chambre sortant les clichés qu'il avait pris à la sauvette, de la jeune femme, il les étale sur le couvre lit et sortant son sexe, se met à se masturber frénétiquement.

Il est 11 heures, et il ne fait pas encore trop chaud. Claudia prend sa Clio dans le garage attenant à l'immeuble et part en ville.

Les sens rassasiés pour la première fois depuis des semaines Claudia est joyeuse, même si elle se dégoute de ce qui s'est passé et ne veut absolument pas penser à ce qui l'a rassasiée. Tout au long de ses courses, elle se trouve émoustillée rien qu'à l'idée de se savoir nue sous sa jupe. Elle revient un peu plus d'une heure plus tard. Garant la voiture, elle se dirige vers l'entrée, cherchant ses clés, lorsque une voix l'interpelle.

Elle se retourne et voit Mourad qui l'attend, adossé à un mur. Il lui fait signe de le suivre. Claudia hésite, regardant autour d'elle puis ne voyant personne, le suit.

Le concierge, sa rapide branlette terminée, n'attendait que le retour de la jeune femme, un appareil de photo entre les mains, caché derrière sa fenêtre, comme presque tous les jours, guettant son retour. Des photos d'une nouvelle tenue à ajouter. Il la voit arriver, heureux d'ajouter d'autres clichés à sa collection.

Mais à mi-chemin, elle s'arrête et semble regarder vers le chantier. Intrigué, il la suit du zoom, et son sexe se tend dans son pantalon quand il voit Mourad l'attendre dans un coin. Ce dernier est bien abrité des regards des balcons, mais la loge du concierge permet une vue idéale. La bouche sèche, les mains moites, il mitraille la jeune femme et attend de voir ce qui va se passer.

Claudia avance, un peu inquiète, jetant des regards aux alentours. Arrivée près de Mourad, elle sent une gêne l'envahir. Il la regarde sans ciller et d'une voix suave.

- « Jolie tenue ! Tu la mettras, la prochaine fois ! Ca m'excite de baiser une bourgeoise ! »

La voyant pâlir, il ricane et ajouta.

- « Je veux juste revoir ton cul avant d'aller bosser ! Ca ne te gêne pas, non ?»

La jeune femme, paniquée, cherche à se dérober mais devant l'air menaçant de l'arabe elle s'exécute. Elle remonte la jupe sur ses hanches, et jambes pliées, elle doit tendre son cul pour que Mourad puisse bien voir les fesses s'écarter d'elles mêmes. Lorsqu'il glisse un doigt dans sa raie, elle a un gémissement sourd mais se mord les lèvres quand il le lui enfonce sans autre forme de procès dans l'anus.

- « Déjà plus facile ! Bientôt tu n'aura même plus à me lubrifier pour qu'il entre ! »

Et d'une claque sonore et humiliante, il fait comprendre à la jeune femme que c'est tout pour le moment. Soulagée, mais avilie, Claudia rabat sa jupe et le quitte, les joues empourprées.

Le concierge, lui n'a pas raté une seule seconde, sans même répondre à la sonnerie de son téléphone. Il a pris en photos la scène. Très excité par ce qu'il vient de voir et irrité de voir celle qu'il considère comme sa « propriété » aux mains d'un autre. Il sort en courant de sa loge et attend la jeune femme à mi-escalier. Il ne sait pas ce qu'il va lui dire mais il se jure bien de profiter lui aussi de cette femelle, qui le fait rêver depuis le jour où son con de mari et elle se sont installés. Il a tellement de projets pour elle.

Claudia, ouvre la porte de l'immeuble et entre dans le hall frais avec soulagement. Elle a cru jusqu'à rentrer dans l'immeuble qu'il la rappellerait. Elle s'avance dans le hall et aperçoit le concierge.

- « Oh ! Le paquet... J'allais encore oublier » dit-elle en s'efforçant de reprendre ses esprits.

Le gros homme descend pesamment et lui montre la porte de sa loge. Claudia, perdue dans ses pensées, ne voit pas le regard que lui jette l'homme. Il lui demande d'entrer. Un peu surprise, mais bon, elle va faire un effort aujourd'hui.

La pièce est assez sombre et mal décorée. Une table ovale trône au milieu de la pièce. Le concierge cherche dans un de ses tiroirs et en sort un petit paquet. Claudia va tendre la main pour le prendre et s'en aller lorsqu'il lance.

- « Vous savez la vie de concierge n'est pas gaie tous les jours... » Commence t il.

La jeune femme qui pressent une longue conversation, s'apprête le couper lorsqu'elle pâlit en entendant.

- « Alors on regarde les gens qui passent, par la fenêtre ! Oui celle là, on voit bien de celle là ! On voit beaucoup de choses ! » Ajouta t il en la fixant.

Claudia gênée, croit qu'il plaisante mais quand il ajoute.

- « Alors je fais des photos ! Récemment j'ai pris une jeune femme avec un inconnu ! Si, si ! Et figurez vous que cette jeune femme est mariée ! Ce n'est pas honteux ça ! » 

En haussant le ton 

- « Et moi je ne sais que faire ! Vous croyez que je dois en parler à son mari ?» Termine-t-il avec un sourire ouvertement ironique.

Claudia, se sent tomber, mais se retient à la table et calmant l'angoisse qui la paralyse réussit à articuler.

- « Vous devriez... en parler à cette... cette personne... qui pourrait surement... vous... vous prêter... enfin... oui ! ... vous prêter de l'argent ! Non ? »

Essayant de conserver son calme, elle attend le résultat de sa proposition. Le concierge fait mine de réfléchir puis la fixant. Un long, un très long silence avant qu'il se décide.

- « C'est une très bonne idée, je vais y penser ! Mais... euh... si je lui demandais d'abord d'ouvrir sa veste ! »

Claudia sursaute, elle ne s'attendait pas à cela. Nerveuse, elle cherche à tergiverser, peut être essayer de l'apitoyer mais vu le regard qu'il lui lance, elle sait que ce serait en vain. Alors en désespoir de cause, baissant les yeux, elle commence à défaire les boutons de la veste.

- « Je... euh.. crois... qu'elle n'a pas le choix ! » Termine-t-elle dans un sanglot alors que sa veste s'ouvre et que ses seins épanouis jaillissent, les pointes dressées.

Le concierge déglutit avec peine, les yeux exorbités, jamais il n'a vu une poitrine aussi grosse et aussi ferme, mieux qu'il ne l'imaginait.

- « Vous croyez que si je lui demandait de... de bien remonter sa jupe ! »

Elle croise son regard, rouge de confusion puis prenant une brusque inspiration, elle remonte sa jupe sur ses hanches blanches. Le concierge bande comme un fou, mais quand il découvre la toison brune de la jeune femme, bien dessinée, il manque à peine d'éjaculer dans son pantalon.

La jeune brune garde la tête baissée, rouge de honte. Comme un fou il se débraguette, sortant un sexe court mais trapu sous son ventre proéminent.

- « Allez salope ! Allonge toi sur la table et écarte les cuisses, que je t'enfile ! »

Claudia, pâlit, recule, jusqu'à ce que ses fesses nues viennent buter contre la table.

- « Mais ! Je vous en prie ! Pas ça ! je ferais ce que..... »

- « Ta gueule ! Ca t'excite plus de te faire baiser par ces bicots, putain ! Allez monte sur la table ! Vite ! »

Claudia, paniquée par l'air furieux du concierge, s'assied sur la table et se laisse tomber à la renverse. Elle détourne la tête, pleurant de honte lorsqu'il s'approche. Lui attrapant les mollets, il lui écarte les cuisses très largement et l'attire jusqu'à ce que sa fente vienne à la limite du rebord.

Quand la jeune femme sent le gland pointer à l'entrée de son ventre, elle éclate en sanglots. Lui trop excité, passe le gland le long de la fente délicate, remontant le glisser sur sa toison, puis d'un coup sec, il l'emmanche. Elle pousse un gémissement de douleur.

Mais l'homme trop occupé par son plaisir égoïste, se met à la défoncer avec vigueur. Ses couilles poilues venaient taper contre les fesses laiteuses de la jeune brune avec un bruit sourd. Délaissant ses jambes, il attrappe les seins de la jeune femme, se mettant à les pétrir.

- « Salope ! Ohhh ! Tu es si chaude ! Prends ça, sale pute ! Ca te plait de te faire ramoner, hein ? Tu commences à aimer, on dirait ! »

En effet, Claudia ondule des hanches, venant au devant du sexe. Elle se dégoute mais un plaisir sale et trouble l'envahit. Ce n'était pas le sexe qui la pénètre qui lui procure ce plaisir. C'est la situation si sale et humiliante. Et maintenant il se met à lui tripoter les seins.

Ils continuèrent à baiser sans bruit, le silence entrecoupé uniquement des gémissements étouffés de la jeune femme ou les « Han » de bucheron du concierge. Claudia, sent le plaisir arriver à toute vitesse et ne peut s'empêcher de gémir.

- « Ohhhh ! Ouuuiiii... je jouis... encore ! plus fort ! »

Le gros type, suant comme jamais, essaye de se retenir le plus longtemps possible mais ces cris lui font perdre la tête et il ressort son sexe, pour voir des jets de sperme blancs fuser. Il éjacule avec violence, et macule la toison de la jeune brune de sperme, des coulées luisant sur le ventre plat et opalin de la jeune femme.

Une trainée blanche coule même le long d'un sein et sa jupe marron retroussée est tachée en plusieurs endroits. Prit d'une soudaine inspiration, il attrape son appareil photo et s'approche de la jeune femme encore étendue.

Il lui présente son sexe maculé de sperme d'où coule quelques gouttes. Elle le regarde mais sans commentaires sort sa langue et lui lèche le gland puis le prend en entier dans la bouche. Le bruit d'une photo la fait frissonner alors il lui demande de le regarder en lui nettoyant la queue et il fait une autre photo d'elle.

Claudia semblait ne pas sortir de son plaisir. Les photos lui déclenchent de variables frissons tout le long du corps. Une fois le sexe bien nettoyé, il revient devant elle et la prend ainsi, allongée sur la table, cuisses grandes ouvertes, le corps maculé de traces blanchâtres.

- « Mets-toi à quatre pattes ! »

Elle obéit, en levrette sur la table. Il fait une photo d'elle ainsi, puis un gros plan de ses fesses écartées puis posant l'appareil et lui tâtant l'anus.

- « Dis donc toi, tu t'es faite enculer y a pas longtemps ! »

La jeune brune a un hoquet de honte mais ne répond pas, restant ainsi cambrée, cul nu. Devant son silence qui signifie un acquiescement.

- « L'arabe ! C'est lui qui t'a élargi ! J'ai bien envie moi aussi de passer par là ! Tu as l'air bien serrée ! »

- « Non ! Pas ça ! Vous êtes trop gros... et j'ai mal ! »

Souriant, l'homme ne répond pas, flatté par la réflexion de la jeune femme et de toute façon deux fois en une heure c'est bien trop pour son âge. Il reprend l'appareil et rassure la jeune femme inquiète. Allant devant elle, et braquant l'appareil à cinquante centimètres de son visage.

- « Sors-moi ta langue ! Ouvre un peu la bouche ! Voilà comme ça et regarde l'objectif ! »

Il la prend ainsi, parfaitement obscène et lui murmure en l'aidant à se relever.

- « Comme ça je pourrais me branler et juter sur ta mignonne petite gueule quand je voudrais ! Fous-toi à poil ! »

Claudia rougit quand elle entend cela et avec un reste de pudeur et de honte elle se dévêt complètement. Le gros type ricane.

- « Vous alors, les bourgeoises ! Je viens te défoncer la chatte, tu m'as sucé la bite et tu rougis pour te déshabiller ! »

Il la fait se tourner, la photographiant, nue, puis :

- « Prends tes grosses mamelles à pleine main et caresse toi les bouts ! Voilà comme ça ! »

Claudia, obéit, de plus en plus excitée de se montrer ainsi. Le fait de se montrer ainsi devant ce type gros et laid la rend morte de honte mais la fait mouiller.

Une fois la pellicule finie, il lui indique la salle de bains, pour aller se nettoyer des traces. Elle se promène nue devant lui et en la regardant marcher, ondulant des fesses, il sent son sexe se dresser à nouveau.

- « Tu vas voir ! On va bien s'amuser tous les deux ! » Marmonne-t-il à mi-voix, fixant les fesses généreuses de la jeune brune.

Lorsqu'elle revient il tient à la main une camera vidéo et lui tend sa veste.

- « Enfile-la ! »

Claudia l'enfile, sans la boutonner, la veste s'arrête à sa taille laissant nu son sexe bombé.

- « Bon maintenant on va chez toi ! »

- « Mais... je... je suis nue... et... »

- « Ah ! Bon ! et alors ? »

- « Si... si on rencontre quelqu'un... ! »

Il la regarde en riant, l'attrapant par le bras et la pousse dans le hall.

- « Si c'est un homme, hé bien... tu te feras tringler... et si c'est une femme... tu passeras pour une salope ! »

Il lui assène une claque sonore sur le fesses.

- « En avant ! »

Claudia sort dans le hall, tremblante d'appréhension, les pointes de ses seins dressées par la honte. Il est derrière elle et mettant en marche la caméra il la filme de dos, s'arrêtant sur ses fesses nues cambrées qui ressortent très bien. Sa peau blanche contraste avec le tissu sombre de sa veste.

La jeune brune monte lentement les marches, les jambes flageolantes, s'arrêtant à chaque bruit. En se retournant elle voit le gardien filmer son ascension, lui faisant signe de la main d'avancer. Elle ferme les yeux, humiliée et continue, sachant très bien qu'à chaque pas, il voit tout en contrebas. Heureusement qu'ils habitent au premier étage. Arrivée sur le palier, elle se retourne.

- « Les... les clés... sont dans mon sac ! »

Il ne répond pas et continue à filmer sa poitrine découverte entre les pans de la veste écartés. Il lui lance le sac, lorsqu'ils entendent une porte se refermer à l'un des étages supérieurs. La jeune femme, tétanisée, entend des pas rapides dans l'escalier.

Elle le regarde, éplorée. Mais le gros homme se penche par dessus la rampe et jette un coup d'œil en l'air. Il sourit et continue à la filmer. Claudia, complètement affolée, se jette sur lui, pour lui arracher le sac. Il l'évite et se recule un peu. La jeune femme, en sanglots.

- « Je... je vous en prie ! »

Mais c'est déjà trop tard, elle entend les pas derrière elle et se retourne dans un reflexe. Elle aperçoit un des locataires du troisième étage, un étudiant maigre et boutonneux qui la fixe, bouche bée. La jeune brune plaque une main devant son sexe et de l'autre referme sa veste. Elle se recule contre le mur, rouge de honte, les joues baignées de larmes.

L'étudiant les regarde sans comprendre, son regard allant du concierge qui filme toute la scène avec calme, jusqu'à la jeune femme. Il la détaille lentement et Claudia croit s'évanouir quand elle aperçoit un éclair dans les yeux du jeune homme.

Ce dernier, sa surprise passée, arbore un sourire ironique sur son visage étroit. La jeune brune a perdu toute dignité et reste recluse dans son coin. Le concierge, d'une voix sirupeuse.

- « Allons ! Madame Bonnelli, montrez donc ce que vous cachez à ce Monsieur ! Voilà ce qui se passe quand on promène cul nu ! »

La jeune femme ne bouge pas, et elle voit à travers ses larmes, l'étudiant approcher. Elle a un geste de recul et de dégout qui n'échappe pas aux deux hommes. Un rictus moqueur sur le visage, le jeune homme tend sa main et attrapant le poignet de la jeune femme il murmure :

- « Je peux ? » d'un air amusé.

Comme Claudia ne répond pas, trop humiliée, il lui semble qu'elle touche le fond, l'homme lui écarte le bras. La veste s'ouvre et ses seins semblent jaillir des pans écartés. Elle étouffe un hoquet de honte quand il se met à les soupeser avec ses longs doigts fins. Sa peau se couvre de chair de poule et sa respiration s'accélére.

Ensuite, il la fixe dans les yeux. Claudia ne détourne pas le regard et ne cherche pas à résister lorsqu'il écarte l'autre main. Elle a juste un sursaut, lorsqu'il baisse les yeux pour fixer son entrecuisse.

- « Je m'étais toujours demandé si tu étais fournie... »

Comme il reste là, immobile à un mètre d'elle, le concierge pose sa caméra et sort les clés de la jeune femme de son sac.

- « Nous allions dans son appartement ! Mais je suis sûr que Claudia ne verra aucun inconvénient si vous entrez ! »

La jeune femme sursaute à l'annonce de son prénom, mais ne bronche pas lorsqu'elle voit le concierge ouvrir la porte. L'étudiant qui cherche toujours son regard, s'écarte pour la laisser entrer. Claudia, les joues en feu, entre en titubant comme ivre, sachant le regard des deux hommes braqués sur ses fesses qui ondulent.

Ils entrent sans un mot et ferment la porte. Le concierge a repris sa camera.

- « Dans la chambre ! »

Claudia, docile, s'y dirige suivie par les deux hommes. Avant d'entrer elle les entend discuter à voix basse. Elle se retourne et voit l'étudiant, au faciès inquiétant, sourire.

Le concierge entre et se poste dans un coin de la pièce, les filmant. L'autre vient devant elle.

- « Enlève ta veste et allonge toi sur le lit ! »

Claudia, paniquée, comprenant ce qui va se passer, voudrait refuser, mais une écœurante faiblesse s'empare d'elle, alors elle obéit. Elle voit, le regard trouble, l'étudiant se déshabiller tranquillement.

Claudia pousse un cri de surprise en découvrant le corps malingre et presque décharné du jeune homme. Toutefois, ce qui la stupéfie c'est la vision de son sexe. En plein érection, très long, à l'image de son propriétaire.

Il vient s'allonger près d'elle. Elle frissonne. Se plaçant dans son dos, il la fait se mettre sur le coté et lui lève une jambe à l'équerre. Claudia pousse un gémissement de honte lorsque le concierge vient se placer de telle façon à filmer tout. Claudia, dans cette position lui offre tout et elle ferme les yeux lorsqu'elle sent ses nymphes se décoller. Elle sursaute quand l'étudiant, guidant sa queue d'une main, la promene sur son entaille, le long des lèvres humides jusqu'à son clitoris érigé. Il remonte dans son sillon, écartant les quelques poils bruns avec son gland puis s'arrête devant le petit trou qui palpite.

- « Non ! Je vous en prie ! pas ça ! » les implore t-elle en tremblant.

Mais avant qu'elle n'ait pu ajouter quoique ce soit, le gland est déjà entré. Elle éclate en sanglots, plus par honte que par douleur. Le sexe du jeune homme est beaucoup plus fin que celui de Mourad. La tenant aux hanches il se penche sur elle, et fait entrer peu à peu la moitié de sa queue entre les fesses de la jeune brune.

Cette dernière souffle, pour s'habituer au sexe qui la sodomise.

- « Tu l'as dans la cul salope ! Branle toi pendant que je te défonce ! Voilà ! »

Claudia glisse une main tremblante entre ses cuisses largement ouvertes et entreprend de se caresser. Elle frissonne de honte lorsqu'elle entend le bourdonnement de la caméra entre ses cuisses. Il doit tout filmer.

Sa main qui s'agace le clitoris et la queue qui s'enfonce entre ses fesses. Dans cette position cela doit être obscène. Il lui suffit de penser à cela pour qu'immédiatement, son sexe se mette à mouiller en abondance. Cela doit se voir à l'écran. Un frisson la saisit et elle sent un plaisir sale l'envahir. Mais c'est lorsque l'étudiant qui s'agite entre ses fesses, se retire et éjacule à longs jets sur la peau délicate de sa croupe qu'elle sent l'orgasme la saisir.

- « Salope ! ouiii ! Prend ça ! » 

Son plaisir est bref, et presque douloureux mais foudroyant. Elle reprend assez vite ses esprits, comprenant aux regards qu'ils lui jettent qu'elle a crié son bonheur. Elle détourne la tête et se cache le visage entre ses bras. Claudia entend leurs rires et leurs commentaires, mais la jeune femme reste là, affalée en travers du lit. Elle ne comprend pas comment elle a pu jouir. Les deux hommes la répugne au plus haut point, le concierge avec son ventre mou et son visage porcin et l'autre, véritable squelette ambulant.

Elle pleure sa honte et son désespoir en se demandant ce qu'elle est devenue. Puis quand elle comprend qu'il la tient avec le film et les photos, un spasme honteux la saisit. Le concierge pose sa caméra pour changer de cassette pendant que le jeune homme se relève. Elle croise le regard ironique et méprisant de l'étudiant.

« Alors, ma chérie ! Ca t'a plu de te faire bourrer le cul, hein ? Je crois que je vais venir te voir souvent... ! T'es la moins chère des putes ! Ah ! Ah ! »

Claudia, dégoutée, se cache le visage baigné de larmes dans un oreiller et répond d'une voix presque inaudible.

« Vous n'êtes que des sales porcs... ! »

Les deux hommes éclatent de rire en entendant sa phrase et Claudia n'a pas le courage de répondre quand le concierge ajoute.

« Faut croire que c'est ça qui t'excite... Tu joues la dégoutée et la prude mais tu gueulais comme une chienne en te faisant défoncer la rondelle, non ? Et je ne parle pas de ce que tu fais avec les arabes du chantier, salope ! »

L'étudiant jette un regard surpris vers le concierge puis se retournant vers la jeune brune.

« C'est vrai que tu te fais mettre par les ouvriers ? Dis, t'aimes quand c'est sale, hein ? Ben, tu vas être servie, ma jolie ! »

L'étudiant saisit Claudia par le poignet, elle manque de crier de douleur, il lui fait mal. Ce qu'elle lit dans ses yeux lui fait peur. Mais la sonnerie du téléphone résonne dans l'appartement. Tous les trois regardent l'appareil à coté du lit qui sonne. Claudia jette un regard implorant au concierge. Ce dernier met sa caméra en marche et la braque sur la jeune femme. Et d'une voix impérative.

« Qu'est ce que tu attends... réponds, connasse ! ! ! »

Claudia paniquée, sachant que ce sera surement son mari, ne bouge pas les yeux agrandis par l'appréhension. Et elle se relève, les cheveux en désordre, le sperme coulant le long de sa cuisse, les poils de son sexe collés par sa mouille séchée. Debout, leur tournant le dos, elle décroche et d'une voix aussi assurée que possible elle répond, en entendant le bourdonnement de la caméra derrière elle.

« Allô... »

« Oui, c'est moi... Chérie, tu as l'air essoufflée ? »

Claudia relève la tête. Le monde semble s'écrouler autour d'elle.

FIN.

mercredi 27 mars 2024

La mère du marié se fait sauter - Ch. 03

 Traduction du texte de DkGy, "Sexing the Bride's Mom", par Coulybaca en 2007.

*****

Suite et fin des aventures de la succulente Vanessa.

Vanessa était si perdue dans es sensations érotiques qu'elle se foutait totalement de ce qui lui arrivait. De quelque façon qu'elle tourna la tête elle se retrouvait confrontée aux bites tendues de ces jeunes hommes qui l'entouraient, alors qu'elle en avait une en bouche et une autre dans sa chatte embrasée.

Tom contemplait avec fascination la tête de Vanessa monter et descendre sur la bite déployée et tout en aspirant vigoureusement la bite qui forait sa foufoune. Gémissant et vagissant de façon incontrôlée, la chaude quinqua était passée du statut de mère à celui d'une vamp sexuelle, esclave de ses sens et du plaisir que lui dispensaient ses jeunes suborneurs.

Son con dégoulinait de cyprine alors qu'elle suçait la grosse mentule de son jeune partenaire en s'empalant hardiment sur la queue de son chevaucheur de croupe.

Ces jeunes gens la comblaient d'extase !

Wendell se mit à grogner, il la fourrait allégrement avec sa grosse bite longue d'un bon 25 centimètres alors qu'Akbar la baisait en bouche lui enfonçant ses 20 centimètres dans l'arrière-gorge.

Tom et Mike ne purent attendre plus longtemps, ils s'approchèrent du trio, la belle quinqua en pleine extase empoigna leurs deux bites, elle ne parvenait pas à entourer les grosses hampes de ses petites menottes, mais elle les empoigna fermement et entreprit de les branler furieusement, bien sûr la caméra fixait sur pellicule ces longs moments de plaisir.

C'était follement érotique de voir le somptueux corps de la succulente quinqua appartenir à de jeunes amants qui la baisaient à couilles rabattues. Son étroite petite chatte était maintenant fort distendue par la grosse mentule qui la bourrait, alors qu'elle accueillait à pleine bouche un gros chibre tout en branlant consciencieusement deux autres braquemarts tendus.

- "Hey les mecs, c'est une vraie salope cette Vanessa !" s'enthousiasma Wendell en bourrant sa grosse mentule au fin fond de son utérus.

- "Je ne baiserai plus jamais de jeunes étudiantes !" s'écria Akbar

- "Madame Johnson m'aspire la bite jusqu'aux burnes dans sa foufoune brûlante !" grommelait le jeune homme alors que son pubis heurtait les lèvres de sa chatoune.

Ils regardaient ahuris cette formidable salope faire une gorge profonde à Akbar alors que Wendell la baisait en chatte et qu'elle branlait de ses deux mains Tom et Mike.

Akbar extirpa lentement sa bite gonflée de ses lèvres serrées. La caméra captait chaque instant du retrait centimètre par centimètre de la bite luisante, puis il entreprit de promener son gland poisseux sur le visage de la somptueuse Vanessa alors qu'elle suçait avidement sa large hampe.

Soudain Akbar grogna et lui agrippa la nuque enfournant à nouveau sa bite frémissante dans la bouche accueillante de la ravissante salope.

Elle haleta, la bouche pleine de sa bite tendue tout en continuant à branler précautionneusement les deux bites qu'elle avait en mains, alors que Wendell la possédait toujours aussi fiévreusement en levrette.

- "Putain cette salope à une sacrée expérience ! Avale chienne !" haletait Akbar alors que des geysers blanchâtres jaillissaient de son méat comblant l'arrière gorge de Vanessa.

Le jeune homme issu du moyen orient avait l'habitude de dominer les femmes dans son pays et, agrippant la tête de madame Johnson, il continua à gicler de façon saccadée dans sa bouche alors que de la salive mêlée à son foutre s'écoulait sur son menton couleur café au lait.

Extirpant à nouveau son gland de sa bouche, il projeta ses derniers jets de semence sur son visage et sur ses lèvres gonflées. Des filets de foutre s'étalaient sur le nez et les joues de la ravissante salope.

Les autres ne purent se contrôler bien longtemps à la vue de ce spectacle et Tom grogna à son tour, explosant entre ses mains. Des jets de foutre chauds fusaient de la main de la chaude quinqua des filets de semence poissant sa chevelure teinte en blond champagne. Elle continuait à branler sa bite avec une belle constance.

Réenfournant sa bite dans sa bouche le temps qu'elle la nettoie, Akbar se retira soudain avec un sonore "plop" et Mike qui était sur le point de jouir offrit sa bite à Vanessa qui ouvrit servilement ses lèvres gonflées pour accueillir la colonne massive. Il enfourna sa grosse mentule profondément dans l'arrière gorge de madame Johnson la bâillonnant véritablement, mais elle continua néanmoins à sucer avidement ce nouvel envahisseur.

Akbar se recula d'un pas, Vanessa empoigna involontairement sa bite flasque et la lui massa tendrement.
La gentille mère et fidèle épouse continuait à sucer avec ardeur la bite qui lui encombrait la bouche alors qu'elle se faisait toujours baiser profondément en chatte tout en caressant tendrement la bite amollie de son dernier amant.

Soudain, le succulent corps de Vanessa se mit à vibrer avec intensité, embrochée par les deux bouts elle succombait à un violent orgasme.

Mike gémit son plaisir en projetant des gerbes de foutre blanchâtre sur le visage de sa zélée fellatrice, usant de sa bite comme d'un pinceau il étala sa semence sur ses joues, son nez, son menton !

Pendant ce temps Wendell grognait de plaisir tout en projetant une bonne pinte de semence au fond de sa minette engorgée.

A voir les filets blanchâtres qui s'écoulaient des orifices de la splendide quinqua on comprenait qu'elle pouvait être le rêve de tas de jeunes hommes amateurs de gang bang. 

Ils savaient que la mère de Sam n'irait nulle part tant qu'ils n'auraient pas joui tout leur saoul de sa chaude minette, de ses lèvres purpurines et son petit cul si étroit.

Akbar aimait sa façon de lui caresser doucement la bite, il reprit tout de suite de la vigueur sa bite de cheval était de nouveau prête à honorer la chatoune de Vanessa.

Wendell donna un dernier coup de boutoir et se retira lentement de la foufoune de la quinqua en folie, le représentant du moyen orient le remplaça tout de go enfournant son énorme bite noire dans sa chatte juteuse.

Ils regardaient tous la chaude quinqua écarquiller les yeux alors que son pervers jeune amant lui distendait inexorablement la chagatte, enfin ses grosses couilles velues vinrent se presser contre ses babines gonflées de sang.

- Oh Akbar, t'es bien trop gros, tu me déchires la chatte, ohhhhhhhh... Ta bite est si grosse... gémissait-elle misérablement.

Alors qu'il lui agrippait les hanches en bourrant son énorme mentale dans sa chatoune dilatée baisant la chaude quinqua noire comme une pute, ses gros nichons se balançant mollement au rythme de des coups de queue de son pieu charnu, Tom plongea sa bite tendue dans la bouche de la ravissante salope, étouffant ses cris de douleur alors qu'il s'enfonçait directement dans son arrière-gorge.

Jamais elle n'avait eu la bouche et la chatte aussi remplie que par ses deux épaisses mentules.

Akbar la labourait profondément d'amples coups de boutoir de sa gigantesque biroute au fond de son utérus distendu, ses burnes venant heurter à chaque pénétration la chair café au lait de ses globes fessiers.

Pendant ce temps, Tom regardait la chaude mère de son meilleur ami et souriait en étirant les mamelons de ses gros nibards tout en la baisant lubriquement en bouche.

Vanessa se savait incapable de résister à ces jeunes hommes qui profitaient largement de ses charmes, cuisses bien écartées, elle sentait la longue et grosse mentule d'Akbar se déployer dans toute sa gloire à l'intérieur de sa chatte aussi distendue qu'affamée.

Soudain le jeune basané grogna et enfourna sa bite au plus profond de l'utérus de la voluptueuse quinqua, Vanessa sentit alors les jets de foutre pulser dans sa chatoune lui tapissant les muqueuses d'une épaisse crème onctueuse. Elle gémit, à l'écoute des grognements de plaisir de son jeune amant qui se vidait les couilles dans sa moule de ménagère embrasée.

Tressautant de tous ses membres, Akbar extirpa sa grosse flamberge du trou à bite de la succulente chienne afin que Mike puisse s'installer à son tour entre ses cuisses largement ouverte pour bien l'accueillir. Le jeune gars jeta un regard intéressé sur ses babines enflées qui s'ouvraient en pétales de rose, du sperme blanchâtre suintant au centre de la corolle.

Sa bite était bien plus grosse que celle de bien des hommes, tout en se branlant, il s'approcha d'elle et l'allongea sur le dos. Il pressa sa grosse mentule contre ses babines et enfourna doucement plusieurs centimètres de son braquemart dans la gaine lubrifiée de la mère de son ami.

Vanessa sentait sa gaine se distendre pour mieux accueillir ce nouvel envahisseur d'une taille hors du commun, s'accommodant lentement de ses mensurations hors norme alors qu'il entreprenait de la labourer de lents coups de boutoir. La bite de ce nouvel amant atteignait déjà des zones que jamais Gary, son mari n'avait pu atteindre, une énorme vague de jouissance montait de ses reins affolés.

Son corps réagissait, elle s'arquait sur ses talons alors que sa croupe chaloupait lentement aspirant encore plus profondément la gigantesque bite de cet ami de son fils. 

Mike sentait le corps de Vanessa répondre à ses assauts alors qu'elle se pressait contre lui amplifiant de son mieux le rythme et a profondeur de ses coups de boutoirs. Il s'enfonçait de plus en plus profondément en elle.

Akbar et Wendell remarquèrent que Vanessa avait cessé de se débattre laissant Mike la baiser à couilles rabattues. Ils la virent bientôt redresser ses jambes et les poser sur les épaules de Mike, accentuant la profondeur atteinte par sa bite.

Elle arriva enfin à absorber la totalité de sa flamberge déployée dans sa fentine avide de grosses bites !

Ce spectacle d'un fol érotisme provoqua une espèce de transe sexuelle chez ces jeunes gens, deux d'entre eux convergèrent vers le corps de la voluptueuse quinqua tandis que Wendell récupérait en se branlant lascivement en regardant l'excitante scène.

Tom et Akbar embouchèrent ses nibards qu'ils commencèrent à sucer et à mordiller. Les gémissements de la belle madame Johnson s'amplifiaient alors que les trois jeunes hommes la travaillaient au corps.

- Baise-moi Mike ! Grogna leur ravissante proie.

- Baise-moi à couilles rabattues !

Un nouvel orgasme la submergea, elle tremblait de façon incontrôlable entre les bras de ses jeunes amants.

Mike grogna en éjaculant au plus profond de son intimité, il enfonça sa bite tendue, des filets de foutre blanchâtre suintaient de la foufoune de la mère de son ami. Madame Johnson jouissait toujours, miaulant sourdement alors que son jeune "amant" lui remplissait la chatte de sa chaude semence, les deux autres continuaient à lui mignoter les nichons.

Finalement Mike, Akbar et Tom jouirent de concert rugissant leur émoi.

Mike se retira de la chatte embrasée de la chaude quinqua, et les jeunes gens ravis virent des ruisselets de foutre s'écouler de sa chatte lui poissant les cuisses toujours grandes écartées.

Sa bite ayant repris de nobles dimensions, Wendell ne pouvait plus attendre. Il s'installa entre les cuisses grandes ouvertes de la luxurieuse quinqua et enfourna sa bite raidie dans sa fentine se mettant tout de go à la baiser en profondeur.

Akbar se mit à sa droite, lui saisit gentiment la tête et la tourna de son coté.

Wendell donnait de violents de coups de boutoir à cet instant même, Vanessa ouvrit la bouche pour haleter, Akbar profita de la situation séance tenante. Il lui saisit le menton et la força à emboucher sa rigide colonne. L'empoignant par la chevelure il se mit allégrement à la baiser en bouche alors que Wendell martelait sa chatoune de profonds coups d'estoc.

La chaude mère de famille gémissait, ravie d'être embrochée par les deux bouts par les meilleurs amis de son fils.

Tom savait ce qu'il désirait depuis qu'il avait vu le cul bien rond de sa maîtresse. Le petit anus de la ravissante quinqua était couvert de foutre et de cyprine.

- Tourne son beau cul noir vers moi ! Intima-t-il à Wendell en lui souriant de toutes ses dents.

Wendell vit l'expression diabolique qu'affichait le visage de son ami et explosa de rire, il avait compris ses intentions. Wendell se releva, s'allongea sur le dos et la reprit sur lui.

Secouée par de multiples orgasmes la succulente quinqua ne pouvait lui résister, elle leur était entièrement soumise alors que le chaud jeune homme replantait sa bite dans chatte embrasée. Madame Johnson haletait et gémissait en sentant la grosse bite de Wendell coulisser profondément dans l'intimité de la mère de son meilleur ami.

Alors qu'il se branlait lascivement en regardant la ravissante madame Johnson se démener sur Wendell, Tom vit à nouveau son petit oeillet si tentant s'entrouvrir. Enrobant son gland de cyprine et de foutre tapissant la raie culière de la belle il pressa son vit contre le palpitant orifice anal, et d'un mouvement rotatif il se logea lentement dans son petit anus inviolé.

Vanessa grimaça douloureusement en sentant la monstruosité de Tom forer son chemin dans son boyau rétif. Elle voulait crier mais la bite d'Akbar qui lui emplissait la bouche ne lui permettait de pousser que des vagissements inarticulés.

Cette scène était follement pornographique et la caméra n'en perdait pas un instant.

Tom lui cassait son anus jusqu'ici vierge alors que Wendell la fourrait profondément en con et qu'elle suçait avidement Akbar.

Mike s'approcha du quarto et posa la main de Vanessa sur sa bite bandée, mécaniquement elle se mit le branler accroissant l'érotisme du spectacle qu'ils offraient à l'œil de la caméra.

Les rêves les plus osés d'Akbar se réalisaient alors qu'il baisait en bouche sa nouvelle salope, incapable de se contrôler plus longtemps le représentant du moyen orient cracha son foutre dans la cavité orale de leur conquête. Enfoncé profondément dans son arrière-gorge, il sentit sa gorge déglutir sa purée, elle gargouillait quelque peu alors que sa chaude émission protéinique dévalait son oesophage. Ses soubresauts s'apaisèrent et bientôt Vanessa suça tendrement sa bite qui s'amollissait dans sa bouche.

A la vue de ce spectacle follement érotique Mike n'en put plus, de lourds jets de foutre crémeux jaillirent de son méat sur les mains, la poitrine et le visage de sa branleuse appliquée. La chaude potion s'étala sur ses joues jusqu'aux commissures de ses lèvres. Il la vit, avec un pervers ravissement, pointer la langue pour récupérer le foutre qui tapissait ses lèvres nettoyant les coins de ses babines.

Wendell et Tom prenaient tout leur temps pour profiter des charmes de la chaude quinqua la baisant en con et cul simultanément. Tom était au ciel, il oubliait tout ne se préoccupant que de son petit oeillet qui lui aspirait voracement la bite. Le jeune homme l'étreignait étroitement et pénétrait  plus profondé
ment dans son anus. Ses burnes venaient maintenant frapper ses fesses à chaque coup de boutoir alors qu'il plongeait dans les tréfonds de son intestin.

Pendant ce temps, imperturbable, Wendell lui martelait la chatoune de profonds coups d'estoc.

Les grosses bites de ses jeunes amants visitaient des zones inexplorées de son corps, jamais elle n'avait vécu d'expérience sexuelle aussi érotique, et même si cela lui semblait extrêmement dégradant de se faire prendre simultanément par deux jeunes hommes de l'âge de son fils elle sombrait dans une frénésie sexuelle jusque là inconnue. Sentir ces deux longues, et épaisses bites la fourrer en con et en cul était délicieux, c'était follement excitant de se faire prendre ainsi, même si cela se passait contre sa volonté initiale.

- Oh mon Dieu, oui... Continuez à me baiser avec vos grosses queues ! C'est si bon ! Baisez-moi, enculez-moi à couilles rabattues ! " hurlait-elle extasiée.

Jamais elle n'avait ressenti un tel émoi, jamais une telle sensation de luxure ne l'avait submergée. Elle les sentait tous deux accroître leurs pénétrations alors que montait leurs orgasmes !

Les deux jeunes travaillaient la ravissante quinqua dont la chatte et le trou du cul avalaient voracement leurs vits.

Vanessa commençait à émettre des râles gutturaux, elle s'extasiait d'être le jouet sexuel des ces jeunes gens, de profiter de leurs gros épieux charnus qui la travaillaient fougueusement, elle n'aurait pas pu rêver mieux.

Il l'entendaient feuler doucement :

- Baisez-moi... Enfoncez vos grosses bites en moi ! Baisez-moi ! Encore ! Oh, ouiiiiiiiiiiiiiii ! Mes chéris ! N'arrête pas Wendell... Toi non plus Tom ! Encore ! Uhhhhhhhhhhh..... gémissait-elle en extase.

Elle remarqua rapidement les changements de leurs corps et sut qu'ils étaient sur le point d'éjaculer. Soudain Wendell grogna :

- Oh bordel... Je vais te remplir la chatte, salope ! Foutue salope, je vais te remplir comme jamais tu l'as été !

Sa bite se rigidifia crachant des torrents de foutre dans sa chagatte embrasée.

Vanessa ne parvenait plus à se contrôler, et elle ne voulait plus contrôler ses réactions, elle grognait et montait et descendait sur leurs épieux suçant à tout va sa jeune queue.

Tom sentit Wendell jouir au plus profond de son intimité, il ne put non plus se retenir plus longtemps, il projeta des geysers de semence chaude dans le boyau échauffé de la belle.

- Ooooooohhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiii..... baisez-moi...... emplissez-moi de foutre..... S'époumonait Vanessa extasiée, le plus merveilleux orgasme qu'elle ait jamais ressenti venait de la terrasser alors que les deux gaillards continuaient implacablement leurs enivrantes allées et venues.

Un mélange de cyprine et de foutre s'étalait sur ses cuisses alors qu'elle rebondissait d'orgasme en orgasme. Elle sombra dans un océan de stupre, jamais on ne l'avait baisée ainsi, des jeunes de l'âge de son fils avec l'endurance de leurs jeunes artères.

La caméra enregistrait toujours leur orgie luxurieuse alors qu'ils gémissaient en chœur.

Finalement épuisée madame Johnson s'effondra sur Wendell, Tom sur son dos. Les nombreux orgasmes qu'elle venait d'engranger l'avaient éreintée.

Tom se retira lentement de son petit trou du cul plus du tout secret et Wendell la roula sur le dos. Tom se dirigea vers la caméra pour s'assurer qu'elle était bien positionnée, puis il revint à madame Johnson :

- Juste une petite chose avant qu'on te quitte ! Intervint-il en lui saisissant sa chevelure blonde tout en insérant sa grosse saucisse dans sa bouche.

- Nettoie nos bites salope !

Les quatre jeunes regardèrent attentivement madame Johnson prendre soin de chacun d'eux, suçant lascivement leurs épais bourgeons jusqu'à ce qu'ils soient impeccables, dénués de toute souillure, léchant les hampes du gland à aux couilles, les cajolant avec tendresse.

Elle avait adoré ces viols répétés, ce gang bang auquel l'avait soumis les quatre jeunes gars et avait joui à de nombreuses reprises.

Ils contemplaient leur trophée couvert de foutre, une ménagère, une mère de famille repus de sexe alors qu'ils se préparaient à sortir de la chambre leurs appétits de lucre satisfaits.

Pendant ce temps Tom empoigna la caméra pour revoir l'enregistrement et s'assurer qu'il en avait pour son argent... La mère de la mariée était couverte de sperme, quatre jeunes bites crachant leurs derniers jets crémeux sur son visage.

Le temps qu'ils restèrent en Jamaïque elle fut le jouet de la perversité sexuelle des mâles de son entourage. Tom lui ordonna de trouver une raison pour rester là après la date convenue de son départ, alors que son mari retournerait reprendre son boulot, elle ne lui opposa aucune résistance. Elle dit à Gary que son fils réclamait son assistance pour remettre en ordre les lieux, et l'aider à l'emménager dans sa nouvelle demeure et qu'elle le rejoindrait donc en fin de semaine.

En fait Tom avait aménagé la fin du séjour de la ravissante quinqua pour profiter de ses charmes au maximum. Tom est ses amis la partouzèrent de nouveau à deux reprises, la ravissante quinqua ne saurait dire quelles doses de foutre elle absorba par tous ses trous, en ces occasions.

Ils la regardaient avec enthousiasme se faire partouzer une bite dans la bouche, une dans le con et une troisième dans le cul, rebondissant d'orgasme en orgasme alors qu'ils se vidaient les couilles dans ses trois trous. 

Elle jouit à de nombreuses reprises et ne perdit le compte du nombre de fois qu'elle se fit baiser lors de ces deux nuits orgiaques. Chaque fois, en la quittant ils l'avaient admirée gisant sur le ventre des rivières de foutre débordant de ses deux trous rouges et enflés. Akbar s'empara de sa petite culotte et Mike de son soutien-gorge en souvenir de ces orgies, en plus bien entendu de la copie des nombreuses photos et films qu'ils avaient tournés de ses exploits luxurieux.

Plus tard le jeune homme montra les photos et les films à son père, il en résulta que les pères de Tom, Akbar, et Mike, tous soixantenaires la firent chanter à leur tour l'obligeant à se plier à leurs caprices. Tom se réjouit de filmer la ravissante madame Johnson se faisant fourrer par 3 soixantenaires qui enfournaient simultanément leurs trois bites dans ses trois orifices disponibles.

Les expérimentés maître-chanteurs lui dirent qu'elle avait été totalement dominée sexuellement d'abord par les fils, les meilleurs copains de son fils puis par eux et qu'elle se réjouissait de subir leur joug.

- MMMMMMMMM... Oh oui, c'est ça... Jouis salope..... Suce ma bite...... Suce la bien... Grommelait Mustafa le père d'Akbar alors que Vanessa travaillait de la langue et des lèvres sur sa bite gonflée, lui caressant lascivement les couilles des ses soyeuses mains.

Pendant ce temps, Tom senior, le père de Tom et Fred celui de Wendell alternaient les positions plongeant leurs bites de cheval dans son anus puis dans sa foufoune simultanément. Lorsque Fred s'enfonçait au fin fond de son anus distendu, Tom senior se retirait à l'orée de sa fentine, et lorsque Tom senior plantait son énorme mentule au fin fond de son utérus c'était Fred qui se retirait à l'orée de son oeillet palpitant.

Tout comme les jeunes gaillards ils adoraient sentir Vanessa répondre à leurs assauts alors qu'elle s'arquait pour mieux s'offrir à leurs assauts tout en suçant avidement la bite de son chevaucheur de tête. Ils terminaient sa transformation de petite ménagère fidèle en fieffée sa-lope avide de grosses bites.

- Bordel ! Grogna Fred

- La chatte de cette salope me pompe le dard ! Elle va jouir !

Il sentait que Vanessa se mettait à trembler de toutes les fibres de son corps alors que son orgasme montait ses gémissements révélaient son plaisir imminent. Le vieux bouc continua à baiser la somptueuse Vanessa à couilles rabattues jusqu'à ce que, soudainement, elle cria d'une voix aiguë :

- OH MON DIEU JE JE JOUISSSSSSSSSS ! ! ! ! 

Alors qu'elle succombait aux trois grosses bites la labourant en gorge, con et cul !

Ils ne purent se retenir plus longtemps, grognant sourdement Tom senior remplit le trou du cul de Vanessa de sa chaude semence, alors que Fred enfouissait son épaisse mentule au plus profond de son utérus où il libérait des flots de sperme crémeux.

Pendant ce temps Mustafa pistonnait sa bouche avide de rudes coups d'estoc, ses couilles battants contre son menton soyeux, grognant de plaisir il lui tapissa l'arrière-gorge de son foutre épais.

Vanessa avait perdu le compte du nombre de fois où elle s'était fait baiser en Jamaïque et du nombre de fois ou des orgasmes d'une intensité rare l'avaient terrassée.

Lorsqu'elle retourna chez elle, elle se promettait de ne plus jamais recommencer de telles choses, pourtant elle savait qu'elle devrait se rendre à la convocation de ses nouveaux amis qu'elle visiterait à différentes reprises au cours de l'année, jeunes et vieux se régalant déjà de la présenter à des amis de leur âge qui profiteraient avec eux des charmes de la ravissante quinqua qu'ils réduiraient à nouveau à l'état de salope pantelante.

Si elle se figurait pouvoir refuser avec les nombreuses photos et les films dont ils disposaient tous, de ses exploits jamaïquains ! ! ! ! Elle se faisait de drôles d'idées ! ! ! ! !

Mais déjà quelques semaines plus tard, tandis que son mari dormait profondément à ses cotés, yeux fermés elle se remémorait son séjour en Jamaïque et surtout les orgies auxquelles elle avait largement participés même si au départ se fut à son corps défendant.

Ces pensées déclenchèrent tout de suite des torrents de cyprine qui engorgèrent sa chatoune; Alors en dernier recours, trois doigts fourrés dans la chagatte alors que son pouce triturait son clito exacerbé, elle se doigta follement sombrant rapidement dans une vague d'orgasmes qui la terrassa rapidement, elle prit alors la décision de se rendre aux convocations que ne tarderaient pas à lui envoyer ses différents maîtres-chanteurs.

Elle s'était transformée en salope avide de grosses bites comme le lui avait prédit Tom le meilleur ami de son fils !

FIN.

lundi 25 mars 2024

Changements de vie pour Jessica Ch. 21

 Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

****

Début de la fête d'anniversaire de Matt.

*** Semaine 3 – Samedi ***

Le week-end est arrivé, mais ma semaine de travail continue à m’affecter. La présentation de mon projet a été un échec total et je dois en prendre la responsabilité. Ce résultat va sûrement avoir des répercussions sur ma carrière.

Même si mon avenir est incertain, je dois me concentrer sur la fin de la fête d’anniversaire de Matt samedi soir. A vrai dire, je suis plus excitée à l’idée de retrouver Daniel que d’aller à cette fête. Cependant ma présentation de projet et le dîner d’affaires qui a suivi ont été des tels fiascos que je suis heureuse de faire des choses en dehors du travail. Ça me distrait et m’évite de penser aux conséquences possibles pour ma carrière.

Mieux encore, ça m’offre une chance de faire mes preuves. Jusqu’ici, j’avais toujours eu du succès dans ma vie professionnelle. La présentation du projet cependant, a été un revers et j’ai l’impression d’avoir besoin d’une victoire pour me sentir mieux dans ma peau.

Taquiner et réjouir un groupe d’étudiants excités semble être le cadre idéal. Je serai le Docteur Cougar, la femme la plus chaude et excitante sur le campus, le centre d’attention. Du moins c’est ainsi que j’imagine mon entrée à la fête.

Sachant que Daniel doit passer chez moi avant la fête, je passe la majeure partie de la journée à me préparer. Je vais donc dans un SPA pour des séances de bien-être. C’est parfait pour me détendre.

Alors que je me repose et détend, je ne peux pas m’empêcher de penser aux évènements de la veille dans la ruelle avec les membres du gang « LGZ » de Daniel. Le simple fait de penser à la façon dont ils m’ont traitée comme une pute bon marché et m’ont utilisée comme un vulgaire morceau de viande m’excite sans cesse.

Quand je quitte finalement le SPA, je suis tellement troublée que j’ai besoin d’un certain soulagement. En passant devant le centre commercial en rentrant chez moi, j’ai soudainement une nouvelle idée. Obtenir une nouvelle amélioration pour mon statut de salope semble être l’idée parfaite.

Hier encore, j’ai acheté un tas de bijoux et une nouvelle chaîne de taille avec une breloque « B » en strass . En plus je m’étais fait faire une nouvelle coiffure à franges avec des reflets dorés pour mes longues tresses châtains ondulées.

Daniel n’a pas encore vu ces améliorations. Toutefois ces copains latinos ont vu la chaîne de taille et la coiffure. Je parie qu’ils l’ont déjà dit à mon homme. De toute façon, ça ne va pas le déranger si je fais une autre mise à niveau de salope n’est-ce pas ?

Je me rappelle des bimbos que Daniel m’a montré sur son ordinateur et je me souviens de leurs différents styles. La coiffure avec une frange complète, les stries rouges dans les longs cheveux blond platine, les sourcils amincis et sculptés en une grande arche dramatique. J’ai déjà la frange et les stries, il ne reste que les sourcils.

Travailler mes sourcils est une étape importante. Après tout, seules les stars du porno et les bimbos salopes arborent de tels faux sourcils non ? Cela va changer totalement l’apparence de mon visage et ça va attirer automatiquement l’attention. Mais c’est le but non ? De toute façon ma nouvelle coiffure a déjà changé mon apparence.

C’est décidé. Le cœur battant la chamade, j’entre dans un salon de beauté. Même si l’esthéticienne remet en question ma décision à plusieurs reprises, je reste inflexible. l’idée est tout simplement trop excitante pour que je l’oublie. Quand je quitte le salon, mes sourcils sont épilés et façonnés en de larges arcs. Avec mes yeux bleus étincelants, ça me donne un regard incroyablement provocateur, comme si je mets au défi n’importe quel gars de me saisir et de me baiser sur le champ. Ce n’est pas vraiment un look sophistiqué, mais qui s’en soucie ?

A cause de ce détour, je rentre chez moi juste avant que Daniel ne soit censé arriver vers les 19 heures. Le jeune latino ne m’a donné aucune instruction. Néanmoins, je sais exactement ce qu’il attend de moi.

Juste au moment où je m’agenouille nue au milieu de mon hall d’entrée, la sonnette retentit. Je me relève et je me dirige vers la porte, mes seins se balançant. J’ouvre. C’est bien Daniel portant ses vêtements de loisir typiques composés d’un jean baggy bleu et débardeur blanc qui montre les grands tatouages qui couvrent ses bras. Pas de pantalons élégant ou de chemises pour mon homme le week-end.

Je me tourne rapidement et je vais rejoindre ma place. Une fois de plus je m’agenouille. J’espère que mon homme va rapidement entrer dans la maison et refermera la porte. Mais il n’obéit pas à mes pensées. Au lieu de cela, il fait un pas en avant et s’écarte en laissant la porte ouverte. De la rue, on peut me voir !

Daniel ne semble pas pressé. Il croise les bras sur sa poitrine et prend son temps pour examiner mon corps agenouillé de la tête aux pieds. Je ne peux m’empêcher de commencer à me tortiller.

La porte est ouverte. Bon Dieu, quiconque qui passe me verra nue ! Et si mon voisin promène son chien ? Daniel ne semble pas gêné. Au contraire il rigole de mon malaise.

- Montre-moi tes améliorations, petite chatte, et je fermerai la porte. Commande-t-il avant que j’ai le temps de le supplier.

Nerveusement je regarde la rue. Personne n’est encore passé devant chez moi. Mais tout instant d’hésitation augmente le danger d’être vue. Je dois m’exécuter.

- Avez-vous vu mes nouveaux bijoux, Monsieur ? Dis-je en lui présentant la chaîne de taille sur mes hanches.

- Vous savez que le « B » signifie BRATZ, donc je suis marquée comme Miss BRATZ partout où je vais. Ajouté-je en secouant mes hanches pour faire balancer le B cursif orné de strass avec l’anneau de nombril « Missy » en strass.

Contrairement à mes attentes, Daniel se contente de hocher la tête. Je suis déçue, j’avais vraiment espéré que ce macho serait satisfait de mes modifications.

- Oh Monsieur Daniel, votre animal de compagnie a également amélioré sa coiffure ! Dis-je avec un sourire éclatant.

Faisant de mon mieux pour vendre mes améliorations, je jette mes longues tresses dorées sur mon épaule droite pour montrer pleinement ma nouvelle coiffure/

- Ne pensez-vous pas que les reflets dorés et la frange rendent votre poupée de bureau plus glamour ? Demandé-je pour souligner l’impact de cette nouvelle coiffure.

Encore une fois, il se contente de hocher la tête en réponse, ce qui m’énerve beaucoup. Après tout, j’ai fait ça pour lui plaire n’est-ce pas ? Ou est-ce plutôt pour me remonter le moral ?

Juste au moment où je vais continuer, je vois un homme sur le trottoir avec son chien en remorque. Il marche de l’autre côté de la rue et n’a pas encore regardé chez moi. Mais ça peut arriver d’une seconde à l’autre.

Paniquée, je regarde la porte ouverte puis Daniel puis de nouveau la porte ouverte puis mon homme. Le latino ne montre aucun signe de réaction. La peur montant en moi, je remarque qu’il ne s’agit pas de mon voisin. Je ne connais pas cet homme. Il doit habiter plus bas dans la rue. Toutefois, les ragots se répandent très vite dans ce quartier assez huppé. Les habitants sont pour la plupart des gens riches et conservateurs. Ils vont me traiter de salope dès qu’ils découvriront ma double vie.

- Ce sont toutes les modifications que tu as faites, petite chatte ? Demande Daniel juste au moment où l’homme s’arrête pour attendre son chien.

Je ne peux pas continuer à présenter mes modifications, car je suis trop paniquée. Je ne peux que regarder l’homme de l’autre côté de la rue dans sa tenue de golf avec un polo blanc et un pantalon à carreau gris. Qui dans le monde promène son chien dans une tenue de golf ? Cela ne peut se produire que dans ce genre de communauté riche ? Alors je bégaie pour répondre à Daniel :

- Et… Et.. Je… J’ai les sourcils éclaircis et sculptés Monsieur. Je pense qu’ils me font paraître vraiment sensuelle n’est-ce pas ?

Putain, mes sourcils amincis et si courbés semblent si faux que je crois que c’est la modification de salope la plus vulgaire à ce jour. Daniel devrait simplement aimer ça.

Pendant tout ce temps, je ne peux pas quitter l’homme des yeux. A tout moment, je m’attends à ce qu’il regarde de l’autre côté de la rue et qu’il me voit. Je n’ai pas envie de demander à cet homme riche et conservateur ce qu’il pense de mes nouveaux sourcils sculptés.

- Est-ce que ça vous va Monsieur Daniel ? Demandé-je finalement pour essayer de mettre fin à ma position en montrant mes ongles longs sur mes sourcils.

J’ajoute même un rire idiot pour vendre ma modification de salope. Juste à ce moment, l’homme se retourne. Mes mains commencent à trembler quand je le vois. Il regarde et aperçois…

… les épaules carrées de Daniel alors que le jeune latino se positionne dans l’encadrement de la porte à la dernière seconde.

- J’aime ce nouveau style, surtout en combinaison avec la chaîne de taille. Plus de bling-bling est toujours mieux.

Daniel semble satisfait de mes efforts avant de fermer la porte.

Je rayonne de joie et j’ai envie de sauter partout dans mon hall d’entrée. Mon homme aime mes améliorations. Yes ! Super !

- Et puis j’aime la façon dont tu as maquillé ton visage ainsi que ton enthousiasme.

Le macho latino continue ses louanges, ce qui fait battre mon cœur plus vite. Il s’approche de moi. Il me domine. Il se penche et attrape mon sein gauche. Il commence à le pétrir avant de poser soudainement ses lèvres sur les miennes. Il commence à m’embrasser passionnément et je gémis. Je ferme les yeux et je me laisse baigner dans la passion. Passant sa langue entre mes lèvres, le jeune latino saisit l’arrière de ma tête et maintient mon visage en place alors qu’il m’embrasse fougueusement. Je n’ai jamais eu de rapports avec Daniel aussi fervents et passionnés, mais j’en avais rêvé. Dominant, mais passionné, humiliant, mais protecteur, voilà mon homme.

- Putain j’aimerai enfoncer ma bite dans ta gorge et baiser ton visage de grosse salope, petite chatte. Mais nous n’avons pas le temps. Nous devons nous préparer pour ce soir. Dit-il après avoir rompu notre baiser.

Aussi rapidement qu’il m’avait embrassé, le jeune latino s’est remis aux affaires. Une légère pincée de déception me traverse. Je veux plus de son côté passionné. Mais ce court moment avait été plus que ce à quoi je m’attendais. Maintenant, je vais devoir attendre qu’il resurgisse.

- Matt te veut comme cadeau d’anniversaire pour sa fête. J’ai un plan pour tourner ça à notre avantage. C’est notre chance pour pouvoir l’arrêter. Me dit Daniel pour commencer à m’expliquer.

- Il a des idées précises sur ce qu’il veut que tu fasses. Nous devons donc le satisfaire pour que je puisse mettre mon plan en action. Cette tenue en fait partie !

Il me tend deux vêtements et mes yeux s’écarquillent. Avec méfiance, je les inspecte jusqu’à ce que Daniel m’invite à les enfiler.

Matt est un gros enfoiré vicieux !

Pendant que je commence à m’habiller, Daniel m’explique les détails de son plan, ce qui me fait écarquiller les yeux encore plus. Le latino me dit qu’il doit encore prendre quelques dispositions et qu’il ne m’accompagnera pas à la fête d’anniversaire. Il me dit qu’il me retrouvera là-bas plus tard.

Je n’aime pas l’idée d’assister à la fête sans mon homme à mes côtés pour me protéger. Cependant Daniel me rassure en m’expliquant qu’il avait fixé des limites claires avec Matt. De plus, Taylor, son copain de football et collègue stagiaire sera là pour contrôler le déroulement des choses.

Quand il a fini de détailler son plan, je me tiens au milieu de mon hall d’entrée avec la tenue que Matt a choisie. C’est un uniforme pour les serveuses de ces restaurants où les employés sont choisis pour leur physique et habillés sexy. Un putain d’uniforme de serveuse sexy ! Je ne le crois pas ! Il veut que je serve ses invités !

Je n’aime pas être habillée en serveuse idiote, et encore moins dans un uniforme sexy de salope. Je n’aime pas non plus l’idée de servir Matt, mais c’est un mal nécessaire pour mener à bien notre plan. Il est trop tard pour reculer maintenant.

L’uniforme comprend un débardeur blanc échancré et un short moulant orange vif, rien de plus. Le débardeur fait bien une taille en moins. Donc il n’atteint pas le dessous de mon nombril et laisse bien en vue mon anneau avec le mot « Missy » et le tatouage dans mon dos. Le short orange est fait de polyester fin et brillant et il est tout aussi petit. Bien sûr, il n’y a ni soutien-gorge, ni culotte.

En plus de la tenue, Matt a choisi une paire de chaussures spécifiques. Habituellement, les filles dans ce genre de restaurant portent des baskets blanches. Mais cet enfoiré a choisi une version plus vicieuse. Il me fait porter une paire de basket blanches avec des talons compensés de dix centimètres qui remonte de façon évidente mes fesses. Dans l’ensemble, la tenue est celle d’une vraie salope. Tout homme rêve d’avoir une serveuse habillée ainsi.

Mais avec les vêtements, Matt a donné des instructions spécifiques pour mon apparence. Il veut que je fasse une queue de cheval avec mes cheveux. En fait, je me dis que cette idée va bien avec ma nouvelle coiffure, car elle accentue ma frange. Et ça met en valeur mes nouveaux sourcils en donnant à mon visage un aspect élancé. Après avoir ajouté du maquillage pour mes yeux, du rouge à lèvres rubis et du brillant à lèvres épais, je suis prête. La tenue est si serrée et si minime que je ne peux porter aucun objet personnel.

- Puis-je emporter un petit sac à main Monsieur Daniel ? Pour mes clés et tout ça ? Demandé-je à mon homme ?

- Non tu ne peux pas, salope ! Tu donneras tes clés à Matt à ton arrivée. Il te les rendra quand il te renverra à la maison. Me répond Daniel.

Merde, l’idée de lui donner mes clés ne me plaît pas du tout. Cela va me laisser prisonnière de Matt. Je ne pourrai pas quitter la fête sans sa permission.

- Et mon smartphone Monsieur ? Demandé-je encore.

- Oh, c’est une bonne chose que tu me le demandes, petite salope. Tu vas le porter dans l’ourlet de ton short, c’est l’endroit parfait pour ça ! Me dit le latino.

Et merde, il veut que je mette mon téléphone dans l’ourlet de mon short moulant orange pour que tout le monde puisse le voir ? C’est dégradant ! C’est humiliant ! Mais mon homme a pris sa décision et m’a donné un ordre clair. Alors je suis ses instructions et je mets mon smartphone à l’arrière de mon short serré.

Dans l’ensemble la tenue est audacieuse et sexy. Le plan de Daniel est autant audacieux et risqué. Ça peut fonctionner, mais c’est compliqué. Néanmoins c’est notre meilleure chance. Je ne peux pas passer une nouvelle semaine au bureau avec Matt essayant de nous exposer. Nous devons saisir l’occasion.

Je pense que je n’ai jamais couru aussi vite de ma porte d’entrée à ma voiture de sport dans cette tenue étriquée. Je ne veux même pas imaginer ce qui se serait passé si un de mes voisins m’avait vu habillée ainsi. Ça n’aurait pas été très différent que de me voir nue et agenouillée dans mon hall d’entrée. Heureusement j’ai de la chance aujourd’hui.

J’entre l’adresse de Matt dans mon GPS et je me dirige vers le quartier universitaire et la fraternité où il vit. En chemin mon cœur bat la chamade. Mon Dieu qu’est-ce que je suis nerveuse ! Après tout, je suis une dirigeante d’entreprise d’âge mur qui est sur le point d’aller à une fête d’anniversaire remplie de jeunes étudiants. En plus, je suis vêtue d’un uniforme ridicule et sexy. Je vais me démarquer comme une verrue au milieu du nez avec mon âge et ma tenue.

J’ai bien été la pute de gang de Daniel et ses amis du gang « LGZ » auparavant, mais ce n’est pas pareil. Être avec le gang latino est comme entrer dans un monde complètement différent. En revanche, je suis allée dans la même université, donc c’est plus familier pour moi. De plus ces étudiants constituent la future élite. Et si l’un d’entre eux devenait un collègue ? Ou encore mieux, et si l’un d’entre eux devenait un client ?

Oh mon Dieu, je réalise qu’il faut que je fasse tout pour garder ma dignité !

Pendant le trajet, je me fixe plusieurs limites que je ne franchirai pas. Garant ma voiture devant une maison à la périphérie du campus, je suis déterminée à suivre les règles que je me suis fixée.

La fraternité est une maison en bois gris arborant cinq lettres grecques au-dessus de l’entrée. Comme je suis venue dans cette université, je me souviens de cette confrérie. C’était la plus petite du campus avec une vingtaine de membres. Mais c’était aussi la plus critiquée, car elle avait été impliquée dans plusieurs scandales. De mon temps à l’université, j’avais évité les membres de cette fraternité comme j’aurai évité la peste. On m’avait toujours dit qu’ils organisaient les meilleures soirées sur le campus, bien qu’elles tournaient souvent en des orgies de sexe devenant souvent incontrôlables.

Pour être honnête, je n’avais jamais vraiment adhéré à ce système de fraternité, même étudiante. Je trouve que la plupart des garçons de ces fraternités sont des gamins arrogants, privilégiés et gâtés, essayant d’être cool tout en agissant comme des ânes.

Il ne semble pas y avoir beaucoup de monde, car il n’y a personne debout à l’extérieur de la maison. Au moment où je monte l’allée, la porte s’ouvre et Matt sort de la maison avec les bras ouverts comme pour accueillir un invité de marque. Avec la porte ouverte, j’entends de la musique forte et des discussions bruyantes à l’intérieur. Il y a bien une fête.

- Bienvenue dans mon monde, salope ! Dit le crétin présomptueux en marchant vers moi en gardant les bras écartés de manière accueillante.

- Laisse-moi voir si tu as suivi les instructions que j’ai données à Daniel.

Il me détaille de façon approfondie et il me dit :

- Cette uniforme te va parfaitement, salope. Il convient mieux à tes compétences que tes costumes d’affaires, c’est sûr.

Cette dernière moquerie me met en colère. Toutefois après ces deux derniers jours, je n’arrive plus à regarder ce crétin arrogant avec un air furieux. J’ai l’ai autant soumise  qu’en colère. Ma réaction fait grogner Matt comme s’il s’attendait à une réponse désagréable.  Il prend une gorgée de bière et me laisse mijoter sur la pelouse dans mon uniforme de serveuse salope pour que tout le monde me voit.

Peu de temps après, je comprends pourquoi ce putain de salaud prend son temps. Un groupe de quatre jeunes étudiantes approche de la fraternité. Bien sûr, elles me voient dans ma tenue et elles commencent immédiatement à rire de moi.

Humiliée, je voudrais bouger et me frayer un chemin jusqu’à la maison. Toutefois, je n’ai pas encore obtenu la permission de Matt. C’est lui l’hôte. Il donne les ordres. Putain je suis tellement soumise que je fais automatiquement ce que l’on me demande de faire.

- Ah encore ! Les « YAMOS » organisent une autre fête. Putain, je déteste tous ces pompeux fils de pute ! S’exclame une fille aux cheveux noirs avec des nattes.

- Ouais, encore une soirée alcool et salopes. J’ai entendu dire qu’ils embauchaient toujours des strip-teaseuses, non ? Dit une étudiante blonde en réponse.

- C’est pour ça que personne d’autre n’est invité. C’est seulement pour la fraternité « YAMOS ». Mais regardez cette salope. Si ça ressemble à un canard, c’est que c’est un canard, vous connaissez le proverbe. Dit avec mépris une brune aux cheveux longs.

- J’ai entendu que ces salopes font plus que de se déshabiller ! Dit la fille avec les nattes.

- Woaohhh ! Vous pensez que c’est vrai ? C’est vrai que cette salope semble vouloir en faire plus ! Ajoute une autre étudiante blonde avec des tresses.

- Bah, vous savez, un jour ces connards auront moins de chance et le scandale éclatera ! Répond la brune.

- Ouais et nous ne serons pas loin pour nous moquer d’eux ! Dit, ravie, la fille avec les nattes.

Les quatre étudiantes continuent à discuter de leur aversion pour les garçons de la fraternité « YAMOS » tout en s’éloignant jusqu’à ce que je ne puisse plus les entendre. Toutefois, ce que j’ai entendu est suffisant pour me donner la chair de poule. Le reste des gars de cette fraternité doit être tout aussi crétin que Matt. Et ça ne me laisse pas beaucoup d’espoir pour le déroulement du reste de la soirée.

En plus de cela, ces jeunes étudiantes m’ont vu comme une strip-teaseuse bon marché. Il y a seulement quelques années, j’aurais pu être une de ces filles et j’aurais probablement pensé la même chose. Quelle ironie !

Mais l’information la plus importante est que cette fraternité semble accueillir régulièrement des soirées avec alcool et salopes et des strip-teaseuses comme cadeaux d’anniversaire. Je ne me souviens pas que ça se passait de mon temps à l’université. C’est sûrement quelque chose de nouveau. Soudainement je me rends compte que la soirée n’est plus quelque chose de spécial. Pour le reste des autres gars, je ne serais rien de plus qu’une autre strip-teaseuse bon marché.

Je regarde Matt et je remarque qu’il a écouté toute la conversation. Pourtant il ne semble pas du tout déconcerté. Au lieu de cela il semble apprécier l’antipathie des filles. Il me regarde et se baigne dans mon aversion pour lui tout en sirotant tranquillement sa bière.

- Prête pour que le plaisir commence, salope ? Me dit-il finalement.

Mais je ne joue pas son jeu. Le mépris des étudiantes me fait me souvenir de ce que je me suis promis à moi-même. Je ne franchirai pas les limites que je me suis fixée. Je suis toujours effrayée d’assister à la fête d’anniversaire sans la protection de Daniel, alors je décide d’informer Matt de mes limites.

- Je ne suis pas une salope pour tout le monde. Je ne suis là que pour vous, Matt. Dis-je tout de suite.

Pendant un instant, l’arrogant stagiaire me regarde droit dans les yeux avant que les coins de sa bouche ne se redressent en un sourire et qu’il écarte les bras comme pour s’excuser.

- Bien sûr mon lapin ! Pourquoi ne rentres-tu pas à l’intérieur. Nous discuterons là-bas. Dit-il avec désinvolture.

En s’écartant, il me laisse le passage devant la porte d’entrée. Je saute sur l’occasion et entre à l’intérieur. Matt me laisse aller de l’avant puis il me dirige vers la cuisine.

- Tu veux un verre de pétillant petite salope ? J’ai du Prosecco rien que pour toi ! Me demande-t-il.

- Euhhh… Oui… bien sûr ! Acquiescé-je à contrecœur.

Je ne veux pas vraiment boire trop d’alcool, car je ne veux pas m’enivrer et perdre mes résolutions. Pourtant je suis si nerveuse que j’avale le verre de pétillant bien trop rapidement.

- Tu en veux un autre ? Me demande Matt en agissant comme un hôte attentif.

Avant que je ne puisse rejeter son offre, il a déjà rempli mon verre. Tout en essayant de garder mon sang-froid, je sirote mon verre en commençant à énumérer mes limites.

- Je ne baiserai pas tes copains, Matt ! Dis-je.

- Oh lapin je suis sûr que tu es nerveuse, mais c’est juste pour nous amuser. C’est une fête, tout le monde est là pour s’amuser. Me rassure Matt.

Debout devant moi dans une posture détendue, le garçon a l’air gentil et non pas menaçant.

- Je ne te baiserai pas non plus devant tes copains ! Ajouté-je d’un ton ferme.

Il ne va pas me prendre pour une imbécile !

- Hé ! Détends-toi ! Tu ne feras rien si tu n’es pas d’accord. Me dit-il en restant décontracté pendant que je finis mon deuxième verre de pétillant.

- Mais tu es un cadeau ! C’est bien que tu sois ici. Mais mes amis sont mes invités aujourd’hui. Donc qu’ils assistent à la remise de mon cadeau n’est pas trop demander n’est-ce pas ?

D’une certaine manière il a raison. Il s’agit de son anniversaire et je suis là pour être son cadeau. Il organise la fête. Donc servir ses invités n’est pas trop demander non ?

- Vous ne le direz à personne au travail d’accord ? Demandé-je avec insistance en sachant à quel point il peut être salaud.

- Oh lapin, toi, Daniel, moi, nous sommes tous amis n’est-ce pas ? Les amis ne font pas de crasses aux amis non ? C’est juste entre nous. Répond-il en restant remarquablement calme.

J’aurais considéré Matt comme autre chose qu’un ami. Hé bien c’est peut-être un ami de baise, mais sûrement pas un bon ami. C’est un fils de pute sournois et vicieux, mais c’est aussi une personne persévérante. A chaque fois qu’il a commencé quelque chose au travail, il l’a généralement mené à bien.

- Promettez-moi s’il vous plaît ! D’accord ? Insisté-je encore, bien qu’avec moins de conviction.

Peut-être que c’est l’alcool. Ou alors c’est le comportement apaisant et gentil de Matt. Quoi qu’il en soit, je suis plus détendue.

- Hé lapin, je comprends ! Je te promets de ne le dire à aucun de tes collègues. Ce qui se passe dans la fraternité « YAMOS » reste dans la fraternité « YAMOS ». Dit-il rassurant.

J’ai l’impression qu’il est honnête avec moi, mais je suppose que ça vient aussi du pétillant.

Matt ajoute alors :

- Hé, tu sais que ce n’est pas que pour moi. Tu fais ça pour mes amis aussi. La plupart d’entre eux n’ont jamais participé à une fête « alcool et salopes ». Tu n’es pas un gars de la fraternité « YAMOS » sans en avoir connu une. Alors tu leur fais une faveur, lapin.

Une faveur pour ses copains ? Je n’y avais pas pensé. Je fais une bonne action ici. Généralement les bonnes actions sont récompensées non ?

- D’accord ?  Que dirais-tu… Je vais dans la grande salle et tu me suis. Je pourrais te présenter. Suggère finalement Matt.

Je marche derrière Matt et je le suis dans le hall d’entrée. A présent, deux garçons se tiennent devant une porte avec chacun une petite boite dans la main.

- Comme je te l’ai dit, ce qui se passe dans la fraternité « YAMOS » reste dans la fraternité « YAMOS ». Donc les téléphones ou les caméras ne sont pas autorisés pendant les soirées « Alcool et salopes ». Me dit Matt.

Il me présente alors les deux garçons :

- Ces deux-là sont mes meilleurs frères. Voilà Ben et Ryan.

Les deux gars semblent être étudiants en deuxième année comme Matt et ils ont l’air tout aussi BCBG que lui. Ben a les cheveux noirs avec bien trop de gel. Ryan a le look soigneusement coiffé genre « je sors juste du lit ». En revanche ils portent tous les deux des polos bleu ciel. C’est typique des gars d’une fraternité.

- Maintenant, sois une bonne fille et donne-leur ton téléphone, petite tarte. M’ordonne Matt.

Oh non ! Daniel n’a pas prévu ça ! C’est un gros problème pour notre plan. Nous ne pourrons pas y arriver sans un smartphone.

Je devrais être à nouveau nerveuse, mais je reste détendue. Peut-être que les verres de pétillant affectent mon esprit. Peut-être que je fais entièrement confiance à mon homme. Après tout, ce n’est pas mon travail de faire de grands plans et d’anticiper tout problème. C’est mon travail d’être jolie et de distraire Matt. Je dois commencer avec ça non ?

- Bonjour les gars ! Ronronné-je avec mon sourire le plus chaud.

Je plisse mes lèvres et je fais un bisou aux deux garçons de la fraternité. Puis je tends la main pour sortir mon téléphone de l’ourlet de mon short orange vif. Je le laisse tomber dans la boite de Ben et je remarque qu’il est déjà rempli de smartphone. Apparemment même les garçons de la fraternité ont dû déposer leur portable.

Des que j’ai abandonné mon smartphone, Matt me conduit dans la grande salle. C’est de cet endroit que vient tout le bruit. C’est la salle principale de la fraternité. Pour moi elle a l’air d’être sortir tout droit de Poudlard avec ses boiseries sur les murs. De grandes lettres grecques désignant la fraternité sont suspendues au-dessus d’une cheminée et des photos de groupe des  classes des années précédentes sont alignées sur les autres murs. Deux canapés en cuir marron se trouvent autour d’une table basse devant la cheminée et cinq luxueuses chaises en cuir marron entourent une table en bois massif sombre de l’autre côté de la pièce.

Tous les sièges sont occupés par des membres de la fraternité. J’aperçois aussi Justin et Taylor. Apparemment il y a des règles spéciales pour les copains qui partagent la même salope avec l’un des garçons de la fraternité. Dans l’ensemble il y a une vingtaine de jeunes étudiants. Hou la la, je suis la personne la plus âgée ici.

Toutefois ma présentation diffère de beaucoup à ce que je m’étais attendue. Je ne porte pas de robe chic ni de bijoux élégants. Je ne ressemble pas au Docteur Cougar. C’est tout l’inverse. Je suis habillée en serveuse un peu idiote dans un uniforme minimal et sexy.

Ils sont tous déjà un peu alcoolisés quand j’entre dans la grande salle. En regardant la scène, je reste debout dans l’encadrement de la porte. Et soudain, l’attitude calme de Matt change alors qu’il me pousse brutalement dans la pièce.

Je fais du bruit en trébuchant et j’interromps les conversations des gars de la fraternité. C’est comme si Matt avait lancé une bombe dans la pièce. Instantanément les bavardages cessent et les gars restent silencieux. Ils me regardent tous alors que je rougis.

- Hé les mecs, regardez ce que le chat a ramené ! S’écrit Matt triomphalement.

- Je suppose que c’est mon cadeau d’anniversaire. Super !

Il continue sur sa lancée :

- Vous savez tous que je dois faire un stage de merde dans une boite minable de consultants. Voici donc Mademoiselle Jessica ADDAMS de cette société. Toutefois, elle est plus connue là-bas sous le nom de Miss BRATZ, Miss Allumeuse, ou Miss Pute de Bureau.
Cette salope essaie d’avoir des responsabilités au bureau. Elle croit même qu’elle a une grande carrière devant elle.

Matt renifle.

- Mais, mes amis, personne ne lui a dit que c’était ridicule. Elle ne sera jamais plus qu’un plaisir pour les yeux. Hé hé , Salope de strip-teaseuse une fois, salope de strip-teaseuse toujours non ?

Mon Dieu, en un clin d’œil le comportement de Matt est revenu comme avant. Quel enculé ! J’ai admis que je ne ressemblais pas au Docteur COUGAR, mais il ne me présente pas non plus comme une serveuse aux gros seins. Au lieu de cela, il dit que je suis une sorte de strip-teaseuse bonne à rien.

Pour couronner le tout, il attrape mon menton et me serre grossièrement les joues. Puis il tire mon visage en avant pour me faire pencher. Il s’exclame :

- Regardez ce visage soigné mes frères ! Jolie frange, maquillage chargé, sourcils de salope, c’est optimisé pour le sexe n’est-ce pas ? N’est-ce pas une vraie salope de strip-teaseuse ?

Pour souligner ses paroles il me tire par le menton et tourne mon visage. Il le montre à tous ces copains de fraternité qui inspectent mes sourcils fins et arqués, ainsi que ma coiffure avec frange et queue de cheval avec reflets dorés. Ses doigts qui enserrent mes joues me font mal, mais je le laisse faire.

- Qu’est-ce que vous en pensez les gars ? Quel serait le nom parfait pour une chienne avec un visage aussi sexy ?

Putain de merde ! Ce crétin demande à ses copains de me donner un surnom. Bien sûr, ces étudiants n’ont pas besoin qu’on leur demande deux fois. J’ai plus de 10 ans qu’eux et j’ai plus de diplômes universitaires. Mais je ne ressemble pas à une vraie femme d’affaires. Donc je n’ai pas besoin d’être respectée en tant que telle. Je ressemble à une stupide strip-teaseuse dans un uniforme minimal et je mérite évidemment le respect correspondant.

- Suce-bite ! Crie Ben en premier avant d’ajouter :

- Mec, cette salope a tellement le feu au cul qu’elle doit avoir un camion de pompier dans le derrière.

- Ah Ah Ah Ah !

Tous les gars de la fraternité rigolent. Ryan n’est pas d’accord et il dit :

- Non c’est juste « face de salope », on a envie de voir gémir cette salope.

- Ah ah ah ah ! Ouais ! Ah ah ah ah !

Les gars continuent de rire alors que je déglutis d’horreur.

- Putain, « face à foutre » c’est ça ! Il suffit de regarder ce visage provocateur et tu as envie de gicler partout dessus. Intervient Justin.

- Ah ah ah ah !

 Ces jeunes continuent à rire alors que je jette un regard de désapprobation au stagiaire.

Bien sûr, il fallait qu’il en rajoute. Il devient de plus en plus vicieux de jour en jour. Matt est vraiment un mauvais exemple pour lui. Mais Ben et Ryan ne me semblent pas non plus des jeunes gens réservés.

- « suce-bite », « face de salope », « face à foutre », ils sont tous bons. Dit Matt en répétant les surnoms.

- J’ai du mal à me décider les gars. Mais bon, regardez le bling-bling de cette salope. Je pense qu’elle préfère « face de salope ». Ajoute-t-il.

Non, je n’aime pas ce surnom ! Je n’aime aucun des trois ! Mais Matt montre ma chaîne en strass à la taille et mon anneau de nombril. Les gars rigolent. C’est décidé.

- Génial les gars ! Maintenant cette salope a le nom de strip-teaseuse qui lui convient. « Missy Face de salope » ! N’est-ce pas mignon ? Hé hé hé !

Bien sûr, tous les membres de la fraternité sont d’accord, même si c’est Justin qui crie le plus fort. Bon sang, je ne vais pas pouvoir m’en sortir. Et Matt qui me pousse sur le côté ne me laisse pas le choix non plus.

- Oui, c’est moi, Missy Face de salope ! Dis-je avec un faux sourire sur les lèvres et en pointant avec mes faux ongles mes sourcils taillés.

Je me sens tellement idiote et je dois avoir l’air complètement stupide. Toutefois ça amuse les garçons de la fraternité, car ils ne peuvent pas arrêter de rire. Matt attend que le groupe se soit calmé avant de continuer.

- C’est bien que nous ayons clarifié ça. Maintenant il est temps d’apporter une nouvelle amélioration. Annonce-t-il en s’avançant vers la table et en saisissant un objet.

D’une certaine manière il s’agit d’une chaîne. En y regardant de plus près, je reconnais l’objet. J’en reste bouché bée. C’est un tour de cou en strass qu’une bimbo portait sur les photos. C’est un bijou scintillant composé d’un large tour de cou en strass et de deux bracelets en strass reliés par deux chaînes.

- Arrête de regarder salope et mets-le ! Ordonne Matt en me tendant le bijou.

Cette parure scintille tellement que je suis presque aveuglée. Je reviens à la raison. Les verres de pétillants et l’approbation bruyante des gars m’ont rendu plus malléable, mais je ne me laisserai pas avoir si facilement. Je dois rester ferme. Alors je rappelle à mon hôte arrogant :

- Ce n’est pas notre accord Matt. Je suis là pour m’occuper de vous et vos invités seulement.

Matt reste silencieux un moment avant de redevenir calme et gentil. Il me dit alors :

- Oh… Bien sûr lapin ! Tu auras amplement le temps de servir. Cependant c’est une soirée à thème, une soirée « alcool et salope ». Mes copains s’occupent de la partie alcool, et toi tu dois t’occuper de la partie salope. Le tour du cou est dans le thème.

Puis il me demande :

- Tu ne veux pas prendre en charge la partie alcool n’est-ce pas ?

En voyant toutes les bouteilles de bière vides sur la table et en me souvenant du stock de caisses de bière dans la cuisine, ces gars-là peuvent évidemment boire comme des trous sans fond. En revanche, je me sens déjà un peu éméchée après deux verres de pétillant. Boire n’est certainement pas une activité qui me va. Par contre, être une salope…

- Justin et Taylor ont acheté ce bijou pour cette fête. Tu ne veux pas les décevoir et rejeter leur cadeau n’est-ce pas ?

Justin et Taylor sont aussi les amis stagiaires de Daniel, donc bien sûr que je ne veux pas les décevoir. Il ne faut pas que je leur manque de respect. Bon sang, le monde des affaires est connu pour être féroce et j’ai toujours eu la réputation d’être une partenaire de négociation difficile. Cependant, en dehors du travail, j’ai beaucoup d’empathie et je suis sensible à la pression de mes semblables. Tout comme je le suis maintenant.

- Très bien, je vais le porter ! Mais pas d’autres objets ou de vêtements ! Dis-je sous une salve d’applaudissements.

- Oh, on ne te donnera jamais plus de vêtements que nécessaire, petite tarte. Dit Matt avec un petit rire en me tendant le bijou.

En le mettant, j’essaie de regarder Matt dans les yeux afin de me cacher du public. En bouclant le fermoir derrière mon cou, je n’arrive plus à soutenir son regarde donc je baisse les yeux vers le sol. Mettre ce tour de cou avec les chaînes me donne l’impression d’être l’esclave de Matt. Je fais un pas de plus dans ma condition d’animal de compagnie docile.

- Tire les chaînes à travers ton décolleté sous ton haut, petit lapin ! Ordonne Matt.

Aussi vite que je peux, je fourre les chaînes dans mon décolleté. Je les ressors sous l’ourlet inférieur de mon haut et je ferme les bracelets autour de mes poignets. Avec quatre rangées de faux diamants, le tour de cou est extrêmement large et mes poignets sont extrêmement clinquants. Quel bijou voyant ! Mais pire encore que son aspect criard, mes bras sont maintenant liés à ma tête. Je ne suis pas en laisse, mais enchaînée. Génial !

Matt s’adresse alors à moi :

- Regarde-toi Missy face de salope ! Tu as définitivement compris la partie salope de notre fête. Tout ce que je vois c’est une serveuse idiote, une strip-teaseuse et non une directrice de société. On reste toujours la personne que l’on est à la naissance.

Il se tourne alors vers ses copains :

- Aujourd’hui les gars, c’est notre boulot de montrer à cette chienne ce qu’elle est vraiment. Vous êtes d’accord ?

Ce que je suis vraiment ? Merde, il me présente comme une simple serveuse, une strip-teaseuse qui est incapable de travailler dans un bureau ? Que veut-il dire par me montrer ce que je suis ?

De toute évidence, son petit discours est convaincant, car tous les gars de la fraternité hurlent leur approbation. Ils acceptent pleinement d’utiliser la strip-teaseuse pour leur amusement. La fête « alcool et salope » est sur le point de battre son plein.

Montrez à cette salope ce qu’elle vaut ? Compte sur moi…

- Putain, cette salope a l’air faite pour baiser, pas comme les dernières strip-teaseuses que l’on a eues!

- Quelle bimbo idiote ! Elle doit croire que sa tenue est à sa taille !

Ce mélange de commentaires vicieux et peu flatteurs envers moi augmente. Même dans un état à moitié ivre, tous ces gars affichent déjà un comportement tapageur et méchant. Je me dis que ça ne risque que d’empirer durant la fête.

Habituellement, je n’aurais pas accepté ni le chahut de ces garçons ni les humiliations de Matt. Mais dans ma semi-ivresse, je mijote passivement dans mon embarras et je souris de manière idiote. Le visage rouge, j’évite les regards des garçons de la fraternité et je regarde par la fenêtre.

Depuis que j’ai mis cet uniforme, je n’ai pas vraiment eu le temps de me regarder et de voir s’il me convient. Étant donné qu’il fait nuit dehors, les fenêtres sont sombres et reflètent comme des miroirs. Je peux alors voir ce qui cause les commentaires de ces étudiants. Et ce que je vois surpasse tout ce que j’aurais pu imaginer.

Encore un choc émotionnel qui ne fait qu’augmenter ma honte ? Cet étudiant a raison, la tenue ne me va pas du tout.

Le débardeur blanc est si étiré sur mes gros seins que l’on dirait que le tissu est sur le point de craquer d’une minute à l’autre. Avec le logo affiché juste sous mes gros nichons, ils ont l’air encore plus gros que d’habitude. Le contour de mes aréoles sombres avec mes mamelons gonflés au centre sont outrageusement visibles à travers le tissu étiré.

- Hé mec, cette n’est habillée en serveuse que pour faire joli ? Elle va servir des bières ou pas ? Nous sommes à court d’alcool. Demande un des aînés appelé Aaron, vêtu d’un polo rayé avec des cheveux blonds sur le côté.

- Occupe t’en salope ! Me dit Matt en me donnant une poussée dans le dos pour me mettre en mouvement.

Sa gentillesse a de nouveau disparu. L’hôte arrogant me suit du regard de la grande salle à la cuisine. Dans mes baskets blanches compensées à talons hauts, je ne fais que trébucher, ce qui suscite une nouvelle série de commentaires désobligeants de la part des étudiants de la fraternité.

En regardant les fenêtres sombres, je peux voir la raison. Tout ce que j’ai à offrir rebondit et tremble. Le short orange vif est si petit que mon cul déborde.

En arrivant dans la cuisine, je suis rouge de honte à cause de leurs railleries. Pour me calmer, je me verse rapidement un autre verre de Prosseco. Après l’avoir vidé bien trop rapidement à mon goût, j’attrape un plateau et je place des bouteilles de bière dessus. Je n’arrive pas à croire que je suis sur le point de servir un groupe d’étudiants déjà à moitié ivre comme une serveuse non qualifiée et surtout une serveuse autant moquée.

Si vous demandez à tous ces gars ce qu’ils croient que je fais dans un bureau, je parie qu’ils répondront que je suis secrétaire ou réceptionniste. D’ailleurs, je ne suis pas sûre que moi-même en me voyant je pourrais me prendre pour une directrice.

Quand je reviens dans la grande salle, je remarque que la fête s’est étendue dans toutes les pièces de la maison. Matt et quatre autres étudiants sont restés dans cette pièce. Ils se sont rassemblés autour de la table en bois et ont commencé à jouer à une sorte de jeu à boire. Je fais le tour et je leur tends de nouvelles bières avant d’enlever les bouteilles vides. Chaque fois que je donne une bière à un des gars de la fraternité, il regarde mes gros nichons ou mon gros cul enserré dans le short. Il fait alors un commentaire désobligeant à ses copains. Ces jeunes me regardent à peine dans les yeux, ils semblent plus intéressés par mes « atouts ».

Je ne peux croire que je sers sans ronchonner ces jeunes et arrogants étudiants. J’ai lutté longtemps pour éviter de servir le café ou le déjeuner aux stagiaires. J’avais encore ma fierté après tout ! Mais là il s’agit d’une situation différente n’est-ce pas ? Nous ne sommes pas au bureau. Nous sommes à l’anniversaire de Matt et de servir à sa fête est mon cadeau.

Sur le chemin de retour à la cuisine, je trouve un groupe d’environ sept gars dans la salle télé adjacente. Il y a plusieurs canapés, une grande télévision à écran plasma accrochée au mur et tout un tas de consoles de jeu. Taylor les a rejoints pour jouer à un jeu vidéo.

Justin, lui, a suivi un troisième groupe dans une salle de loisir équipée d’une table de ping-pong, d’un jeu de fléchettes et de plusieurs vieux flippers. Bien sûr, chaque groupe me demande des bières fraîches.

Chancelante sur mes baskets compensées, j’ai du mal à équilibrer le plateau sur ma main, surtout avec les verres de pétillant qui m’enivre légèrement. Plusieurs fois, les bières ont failli tomber, ce qui a bien fait rire les gars.

Quand tous les étudiants ont leur boisson fraîche, ils me font servir des frites et autres collations. Ils n’arrêtent pas de m’appeler dans leur salle me demandant tout ce qui est possible de leur servir. Par conséquent je me déplace d’une pièce à l’autre jusqu’à ce que je sois en sueur. Heureusement, Matt et Justin me font boire quelques verres de pétillant chaque fois que je les vois. Verres que j’accepte avec gratitude pour étancher ma soif.

Au moins, de courir partout me donne le temps d’observer tous les garçons de la fraternité. Ils agissent tous comme des gosses BCBG, sur-privilégiés. Sans aucun doute, ils doivent être populaires auprès d’un certain type de femmes. Mais mon impression personnelle est faite, je considère que pour la plupart ce sont des connards prétentieux.

Avec la bière coulant librement, l’ambiance devient plus alcoolisée. Les gars perdent peu à peu leurs inhibitions. Quand j’arrive la grande table en bois dans la grande salle lors de ma prochaine tournée de bière, Ben, l’un des meilleurs amis de Matt, a une nouvelle idée.

- Allez salope, rejoins notre partie ! Me dit-il.

Pour dire la vérité, je n’ai pas envie de jouer à un jeu à boire. Je n’ai pas trop envie non plus de rester près de ce crétin pompeux. En raison de ses cheveux noirs avec beaucoup trop de gel, j’ai simplement commencé à l’appeler « Gel-Boy » dans mon esprit. Après tout, il y a environ vingt gars dans la maison et ils se ressemblent tous. Je ne peux pas retenir tous les noms.

-  Tu n’es pas simplement une employée engagée pour le service, tu es aussi une invitée. Et une invitée à une soirée « alcool et salope » doit participer aux jeux. Dit Ben qui semble avoir suivi mes pensées.

Dans mon état un peu éméché, ses paroles me semblent flatteuses. Je suis plus qu’une serveuse pour lui. Il me considère comme une invitée à part entière. Donc je peux faire une pause pendant mon service avec les bières. Je glousse en m’excusant :

- Mais je ne suis pas douée pour les jeux de cartes. Et je ne connais même pas les règles de celui-ci.

Gel-Boy me répond :

- Ça s’appelle « conducteur du bus ». Les règles sont probablement trop complexes pour toi. Alors je te dirais quoi faire quand ça sera ton tour.

Je ne remarque même pas son insulte et j’essaie de me concentrer sur le jeu. Je n’en ai jamais entendu parler auparavant, mais je vois que chaque joueur a trois cartes devant lui, face cachée.

Gel-Boy ajoute :

- Et à propos, on te facilite un peu la tâche. Tu ne joues que pour le gars qui a besoin d’une bière fraîche.

Il m’explique :

- Les règles sont simples. Au premier tour, tu dois choisir le rouge ou le noir. Si tu perds, nous te dirons de quelle façon donner la bière. Compris ?

C’est bizarre. Pas le jeu, car il semble facile, mais le gage. Comment veulent-ils que je leur donne une bière ?

- Euhhh… Rouge alors. C’est une couleur de fille, hi hi hi. Dis-je en n’ayant pas trouvé de réponse à ma question.

- Ta ta ta ! Crie Gel-boy en tournant une carte.

- Perdu, c’est noir ! Ajoute-t-il.

Bon sang, premier essai, premier coup perdu. Ça commence mal.

- Bon salope ! Baisse ton cou et donne la bière avec ta bouche de salope. Ça t’évitera de parler de toute façon.

Oh, c’est donc ça qu’il voulait dire ? Je ne l’aurais jamais deviné. Je jette un coup d’œil à Matt et je le vois hausser des épaules. Apparemment il aime l’idée de son copain Ben. Je regarde les autres gars et je vois bien qu’ils s’attendent tous à ce que je le fasse. Je n’ai pas vraiment le choix n’est-ce pas ?

- Wow ! C’est tellement idiot ! Hi hih hi ! Gloussé-je, ma voix commençant à paraître aussi éméchée que je le suis.

Avec précaution, je pose le plateau plein sur la table en bois et je me penche dessus. Au moins, ces petits crétins me le permettent. Je baisse la tête et mes lèvres se rapprochent d’une bouteille de bière.

Oups ! Je titube sur mes baskets compensées, renversant presque deux autres bouteilles. Je dois me concentrer pour arriver à toucher le goulot de la bouteille la plus proche avec mes lèvres pulpeuses. Lentement j’engloutis le col rond avec ma bouche et je laisse mes lèvres douces glisser sur quelques centimètres. En serrant vigoureusement mes lèvres autour du goulot, je commence à soulever la bouteille centimètre par centimètre.

Houla, je manque de renverser une autre bouteille en inclinant celle que je tiens. Il faut vraiment que je fasse attention. Après l’avoir soulevée de quelques centimètres de plus, je la sens glisser. Je perds le contrôle, elle est sur le point de m’échapper et de tomber. A la hâte, je la repose sur le plateau pour refaire ma prise.

- Hi hi hi ! Ce n’est pas facile, vous savez les garçons ! Dis-je pour excuser ma maladresse.

En regardant tout autour de la table avec un sourire d’excuse, je remarque que la moitié des garçons regarde mon visage de salope au travail tandis que l’autre moitié lorgne mes fesses. Avec ma position penchée, le petit short s’est enfoncé profondément dans mon cul. Le polyester orange s’étire sur la moitié supérieure de la courbe de mon cul rond tandis que la moitié inférieure est mise en évidence. Je pense que ça ne les dérange pas de voir un spectacle aussi sexy.

Secouant la tête, j’essaie de chasser mon ivresse. Après m’être ressaisie, je presse mes lèvres autour du goulot de la bouteille. Sentant mes joues se tendre, je la soulève à nouveau. Cette fois, j’ai une meilleure prise sur la bouteille, mais mes joues commencent à me faire mal à cause de la tension. Je ne peux garder cette prise trop longtemps. Aussi vite que je peux, je déplace ma bouche vers la main tendue de Gel-Boy. D’une seconde à l’autre, je crains d’avoir une crampe et de laisser tomber la bière.

Yes ! J’ai réussi ! Hé, ça n’avait pas été si facile !

Je pousse un soupir de soulagement dès que Gel-Boy prend la bouteille de ma bouche. Je me retourne alors, mais il m’arrête.

- Pas si vite ! Il est temps de trinquer !

Hein ? Trinquer ? Pourquoi veut-il trinquer avec moi ?

Même si je ne comprends pas trop son intention, je suis ses instructions et je prends une bouteille sur le plateau. Ce n’est pas vraiment important de toute façon. En fait, je suis reconnaissante de pouvoir boire après ce stress. D’autre part, on trinque avec les invités, mais pas avec une serveuse non? Sous les acclamations, avec un sourire éclatant je trinque avec ce crétin pompeux.

- Maintenant, portons un toast à tous les anciens ! Dit-il en montrant les photos sur les murs et en levant le bras.

« Quelle idée stupide » pensé-je en levant le bras pour lever la bouteille. Mais ce n’est pas aussi stupide que je le pense. C’est moi l’idiote dans l’affaire, car j’ai oublié ce que j’ai autour du cou. En levant mon bras, j’ai également soulevé la chaîne qui passe dans mon débardeur.

Avant de comprendre ce qui se passe, je sens mon haut blanc se soulever et glisser par-dessus mon mamelon droit, exposant ainsi mon gros nichon à la bande d’étudiants. Je ne m’attendais pas à ça ! Je montre ma poitrine !

Les gars ont les yeux qui leur sortent de la tête en voyant mon sein et mon téton gonflé dans toute sa splendeur. Ces garçons sont idiots. Pourtant je frissonne d’embarras. Je suis peut-être un peu éméchée, mais néanmoins un sentiment de honte me submerge. Tout d’un coup la chair de poule recouvre mon corps.

Même si j’ai vécu beaucoup d’expositions sexuelles au cours des dernières semaines, ce sont toujours soit les stagiaires soit les membres du gang qui m’ont vue. Être exposée à un groupe d’étudiants qui représente l’élite montante est complètement différent.

Pour ajouter l’insulte à la honte, Matt félicite son ami Ben pour avoir piégé la stupide serveuse. Tendant sa main, l’hôte arrogant rabat le débardeur sur mon gros nichon tout en secouant la tête en ayant l’air de dire : « Pauvre fille, je dois m’occuper de tout. Je ne peux pas laisser cette andouille faire quoi que ce soit par elle-même ». Malheureusement je suis d’accord avec lui. Si bien que je prends quelques gorgées de bière pour noyer ma honte.

Les deux gars suivants que je dois servir sont des étudiants de première année avec des cheveux en pointes. L’un est blond, l’autre est brun ce qui est la seule caractéristique qui me permet de les distinguer, alors je décide de les appeler Pique-boy et Blondy-boy. Ils sont déjà tellement ivres qu’ils ont du mal à rester debout. Heureusement je devine la couleur de leur carte donc je me contente de leur donner leurs bières avec la main.

De toute évidence cependant, l’idée de Gel-Boy d’exposer mes seins a fait des émules, car ils me demandent eux aussi de porter un toast à certaines photos des anciens. Malgré ma bêtise, je ne ferai pas deux fois la même erreur, je ne suis pas si stupide. Par conséquent, je fais attention de ne pas lever le bras trop haut.

Le garçon suivant est Aaron, un des plus anciens étudiants, celui qui avait demandé que je commence mon travail de serveuse. Avec son polo rayé et ses cheveux blonds, il a l’air si snob que je l’appelle tout de suite Snob-Boy dans ma tête. Comme il est plus expérimenté que les étudiants de première année, il n’est pas aussi ivre.

A présent, tous les joueurs ont montré leur première carte et le jeu a atteint sa seconde phase. Cette fois, je dois deviner si la carte est supérieure ou inférieure à la première. Snob-Boy a un 9. Ce n’est pas une bonne carte pour moi. Je décide de dire que la mienne est plus forte et bien sûr, je me trompe.

- Super ! Dit-il.

Il se moque de moi avec plaisir quand il voit que je ne suis pas trop contente.

- Ça va pas salope ? Pas de chance ? Mais je crois qu’une salope comme toi s’ennuyait de toute façon. Maintenant chaudasse, utilise donc cette poitrine pour me donner une bière.

Quel enfoiré ! Je veux jeter un regard furieux à ce crétin, mais… Oups, je trébuche et je dois m’accrocher à la table pour rester debout. Si bien, que la surprise a transformé mon regard furieux en un clin d’œil encourageant. Euhhh, je crois que je viens d’envoyer un message différent de celui que je prévoyais. Mais ça n’a pas d’importance, le principal est de servir des bières, non ?

Alors je place le plateau sur la table et je me penche dessus. Je sais, je sais, c’est absurde, mais au fond de moi, je veux toujours rester décente. Je ne veux pas exposer ma poitrine à tous ces étudiants. Par conséquent, j’essaie désespérément de trouver un moyen de soulever la bouteille sans soulever le débardeur au-dessus de mes seins. Je prends alors en coupe sur les côtés mes deux gros nichons et je les presse ensemble avant de les pousser vers la première bouteille sur le plateau.

Le tissu blanc est si tendu qu’il ne permet pas de creux entre mes seins. Donc finalement je ne fais que pousser la bouteille sur le plateau sans pouvoir l’attraper, ce qui fait hurler de joie les garçons.

La façon dont j’essaie de saisir la bouteille avec mes gros seins doit être complètement ridicule, d’autant plus qu’elle ne fait que glisser. Toutefois je divertis les étudiants. Je suis plus qu’une servante. Je suis une artiste, ou plutôt un clown.

De toute façon ça ne va pas, il faut que je trouve un autre moyen. Lâchant mes nichons, je lève les bras jusqu’à ce que les chaînes soulèvent le débardeur et révèle la rondeur inférieure de mes seins.

- Waouuuhhhh ! Crient les garçons de la fraternité en voyant le dessous de ma poitrine.

C’est vrai, ils ont une vue parfaite sur le bas de mes nichons. Mais au moins, ils ne voient pas complètement ma poitrine.

Avec mon débardeur remonté ainsi, il y a un large espace dessous et j’en profite. Mettant mes deux mains de chaque côté de ma poitrine, je descends mon débardeur sur la bouteille et je la fais passer dans mon décolleté. En pressant mes seins sur les côtés, je soulève la bouteille. Ça fonctionne ! Tout en restant légèrement pliée, mes nichons pressés contre la bière, je me tourne vers Snob-Boy.

Mon Dieu, je dois vraiment être ridicule !

L’étudiant blond semble déçu de ne pas être arrivé à me faire montrer ma poitrine. Alors il attrape la bouteille et la tire brusquement en essayant de tirer mes seins vers le haut. Mais je suis prête et je tiens solidement le tissu blanc contre mes nichons et le garçon n’arrive pas à exposer ma poitrine.

- Attention salope, ta queue de cheval se détache ! Dit-il soudainement avec de la colère dans la voix.

Par réflexe, je tends ma main pour vérifier ma coiffure.

Oh Oh ! Pas si vite ! C’est un piège et je suis presque tombé dedans.

Si j’avais dû refaire ma queue de cheval j’aurais dû lever les bras. Et les chaînes auraient remonté mon débardeur. Donc j’arrête mon mouvement juste avant de montrer mes seins.

Bien joué ma fille ! Avec un sourire, je montre que je suis fière de moi. Je n’ai pas laissé ce crétin blond me duper.

Entre-temps, le jeu à boire a atteint la troisième phase et je dois dire si la troisième carte se trouve ou non entre les deux premières. A présent les effets de l’alcool est visible sur tous les étudiants. l’ambiance du groupe devient plus torride et excitée.

Le gars qui me fait signe de lui servir une bière a un valet et une reine donc c’est facile. Mais tout me semble facile maintenant. Je suppose que l’alcool n’affecte pas seulement les garçons.

En choisissant en dehors, je gagne. Yes ! Donc je me contente de lui tendre la bière. Comme il est ivre, il essaie lui aussi le coup du toast. Mais ça ne marche plus avec moi. Ça ne marche pas avec « Missy Face de Salope ».

Maintenant que j’ai servi tous les gars, je suis prête à prendre une pause. Pour me détendre, j’attrape ma bouteille de bière et je prends une gorgée. Je me sens de mieux en mieux.

Toutefois, le jeu n’est pas encore terminé. Après le troisième tour, il doit être nommé un perdant. Gel-Boy distribue une pyramide de cartes avec une en haut, deux au milieu et trois en bas. Chaque joueur se défausse des cartes de sa pile qui sont les mêmes que celles de la pyramide. Le joueur à qui il reste le plus de cartes est le perdant. Il s’avère que c’est Matt. Et malheureusement il est le seul gars à qui je n’ai pas encore servi de bière.

- Oh putain, j’ai perdu : Mais bon il s’agit de mon anniversaire. Tu dois me remplacer, FF ! S’exclame-t-il.

Comme j’ai joué avec chaque garçon de la table, je ne pense même pas à me défiler. Même si je ne sais pas ce qui m’attend, ça n’a pas d’importance. Nous sommes ici pour nous amuser non ? Gel-Boy distribue alors cinq cartes face cachée à Matt. Il m’explique :

- Tu dois conduire le bus maintenant FF. Chaque carte est un arrêt, et pour chacune tu dois dire plus haut ou plus bas. Compris ?

Les règles ne sont pas difficiles à comprendre. Ce que je ne comprends pas, c’est pourquoi il m’appelle FF. Que veut-il dire par là ?

Avec une claque sur mon cul, Matt commence. Les trois premières cartes sont un 8, un roi et un as. C’est donc facile. En disant plus haut, plus bas et plus bas, je devine juste avec ces trois-là. Je suis si intelligente. La quatrième carte cependant est un valet. C’est moins facile. En croisant les doigts je dis plus haut.

- C’est un neuf ! S’exclame Gel-Boy après avoir tourné une carte.

Oh non, j’ai perdu. Mais qu’est-ce que ça signifie ?

- Oh c’est dommage FF. Maintenant tu dois boire autant de coups que d’arrêts que tu as faits avant de continuer. N’est-ce pas les gars ? Explique Matt sous les acclamations de ses copains.

Hein ? Quoi ? Pardon ? Je ne sais pas si j’ai bien entendu ou si mon début d’ivresse a brouillé mon audition.  Je dois boire quatre coups ? C’est horrible. Alors qu’ils avaient tous bu de la bière, je vois un verre à liqueur devant chaque garçon de la fraternité. Je ne l’avais même pas remarqué auparavant. Putain !

- Ouais nous ne jouons pas à la version fillette ici, FF ! Me dit Matt en remplissant un verre à liqueur de tequila.

Qu’est-ce qu’il veut dire avec « FF ». Ça ne semble pas très gentil.

- Je suis une fille, je ne peux pas boire autant d’alcool. Dis-je pour m’excuser.

Je n’ai jamais autant bu à la fois. Je vais perdre l’esprit. Mais que puis-je offrir d’autre ?

- Est-ce que je peux choisir une alternative ? Demandé-je timidement.

Peut-être que les gars vont être gentils de me donner un deuxième choix. Il faut bien que j’essaie non ?

- Que veux-tu faire à la place alors ? Demande Matt.

- Hi hi, je ne sais pas. Que puis-je faire ? Dis-je en rigolant bêtement.

Comme je ne connais pas le jeu, je n’ai aucune idée des options qui s’ouvrent à moi.

- Euhhh… Tu pourrais enlever quatre vêtements, FF. Suggère Matt.

Grrrrrr ! Bien sûr, il n’oublie pas de proposer ça. Quelle surprise !

- Bien essayé Matt, Mais…

Ma voix s’éteint. Ouais mais quoi ? Je suis tellement éméchée que j’ai presque oublié ce que je voulais dire.

- … Mais je t’ai dit que je ne me déshabillerai pas devant tes amis. Dis-je en me souvenant subitement.

Et agacée, je lui demande finalement :

- Et puis c’est quoi cette histoire de FF ?

- Hé hé hé , tu ne sais pas ? Glousse-t-il.

Il me montre mon short orange et ajoute :

- C’est un nom parfait pour toi ! Mes frères adorent la vue de ta FF.

Quoi ? Je regarde dans les fenêtres sombres mon petit short orange. Il est si petit et si serré qu’il est plaqué sur ma chatte. Sans string en dessous, on voit vraiment mon intimité. Bon sang, je montre ma foufoune à tous les garçons.

Une vague d’embarras me traverse et me désenivre un peu. J’avais tellement insisté pour ne pas montrer mes charmes à tous ces garçons. Et pourtant je leur montre ma foufoune. Je ne devrais pas me sentir si exhibitionniste non ? Après tout, ces étudiants ont déjà dû voir des sexes de femme non ? Mais je me sens vraiment humiliée.

- Je crois que pute à foufoune est un meilleur nom pour toi. Nous ne voulons pas que les gens confondent tes noms n’est-ce pas ? Continue Matt.

Pute à foufoune ! C’est vicieux ! Toutefois, j’ai beaucoup trop honte pour me sentir agacée par les moqueries de ce crétin arrogant. Montrer ma foufoune, montrer les contours de mon sexe en n’y faisant pas attention ? Trop idiot ! Mon insistance à ne pas vouloir montrer mes charmes ? Tellement stupide ! Je ne peux que rire bêtement au nouveau surnom qu’il vient de me donner tout en rougissante de honte.

- Tu n’as pas d’idées, salope stupide ? Donc je décide que je vais avoir autant d’essais qu’il y a d’arrêts. Voyons voir si j’arrive à faire ressortir ta foufoune ! De toute façon tu la montres déjà. Dit Matt.

Puis il ajoute avec désinvolture :

- Ça ne fait pas de différence si j’en montre plus ou moins non ? C’est toujours mieux que de te déshabiller n’est-ce pas ?

Hein ? J’ai à peine écouté Matt. j’ai encore du mal à réaliser que depuis le début, je montre les contours de ma vulve à tous les garçons de la fraternité. Il faut que j’arrête de boire et que je sois plus attentive. Si je m’enivre plus, il y a plein de choses de ce genre qui vont m’échapper. Donc pour le moment,  il vaut mieux que je hoche la tête pour accepter l’idée de mon hôte arrogant, non ?

- Ok Matt, mais seulement quatre essais. Cédé-je.

- Quatre essais jusqu’à ce que tu conduises de nouveau le bus. Corrige-t-il.

- Oooowwwwww ! Crié-je avant de pouvoir objecter.

Matt a commencé les quatre essais avant de me donner une chance de me préparer. De toute façon, je ne sais pas trop comment j’aurais pu me préparer à ce qu’il vient de faire. Saisissant l’ourlet de mon short orange vif sur le devant, il l’a tiré.

- Tire ! Ouiiii ! Crie la bande de garçons.

Oh ! Matt a tiré mon short en polyester si brutalement que le tissu mord ma chatte sensible. Il me fait un tire-slip comme si j’étais une écolière ringarde. C’est trop vicieux ! Faire ressortir ma foufoune ? C’est ça ? Je m’attendais à quelque chose de différent.

- Arggghhhhh !

- Tire ! Tire !

- Oooowwwwww !

- Tire ! Tire !

- Argghhhhh

- Tire ! Tire !

Putain, ça fait mal !

Je secoue mes bras, les chaînes tirent sur mon haut et le dessous de mes seins apparaît. Et pendant ce temps, Matt tire le short orange aussi haut que possible. Le polyester fin creuse dans ma chatte, de plus en plus profond. Finalement le tissu orange s’enfonce également dans ma raie des fesses et tire sur ma peau douce. Ça fait mal !

Matt a réussi à remonter le short très haut. Il est essentiellement coincé entre mes deux fesses qui ressortent presque complètement. Les lèvres de ma chatte se remplissent de sang, ce qui les fait gonfler et ressortir encore plus qu’avant. Mon sexe donne l’impression qu’il va déchirer mon short et en sortir.

- Le jeu n’est pas encore fini, petit lapin. Dit Matt pour me rappeler que je dois continuer de jouer.

Je n’aime pas ça, mais je ne dis rien. Vous savez pourquoi ? Je ne veux pas montrer aux garçons que j’ai oublié la règle du jeu. Je ne suis pas idiote, juste un petit peu ivre non ? Que cela me plaise ou non, je dois passer les cinq cartes en une seule série avant la fin du jeu.

Donc j’y vais ! Encore une fois, je dis plus haut, plus bas et plus bas et je devine juste pour les trois. Cette fois cependant je choisis plus bas pour le valet.

- Et c’est…. Un roi ! Rugit Matt quand Gel-Boy retourne la carte.

Oh non, pas encore ! Je peux essayer de supplier Matt ! Je peux offrir autre chose ! Mais quoi ?

Les tirages douloureux sur mon short m’ont un peu éclairci la tête, mais je suis encore trop étourdie pour trouver une quelconque idée. Tout ce que je sais, c’est que je ne supporterai pas qu’il me le refasse encore quatre fois. Mais dès que la carte est retournée, il met ses mains sur mon short.

- Ooooohhhhhh ! Aiiiieie !

- Tire ! Tire !

Cette fois, mon cri noir les hurlements des garçons de la fraternité quand le polyester orange creuse dans ma pauvre chatte. Je suis sur la pointe des pieds et je titube dans mes baskets compensées. Je suis vraiment en mauvaise posture. Mais je ne peux échapper à Matt, ce salaud arrogant. Vous vous souvenez lorsque je me tenais sur le bord métallique d’un tableau au bureau ? C’est un peu la même chose. Ça me fait tout autant mal. C’est vraiment douloureux.

- Ooooohhhhhh ! Aiiiieie !

- Tire ! Tire !

Je crie si fort que je lève les bras pour couvrir ma bouche et je ne remarque pas les conséquences avant qu’il ne soit trop tard. Levant mes bras, les chaînes soulèvent mon débardeur si haut que mes seins sont bien en vue.

Merde, je suis debout devant un groupe d’étudiants excités avec ma poitrine à l’air pendant que l’un d’eux tire mon short pour le remonter entre mes fesses comme il le ferait avec une nouvelle étudiante pour la gêner. C’est tellement humiliant ! Et dire que j’avais essayé de garder un peu de décence, c’est vraiment loupé.

- Ahahahahah ! Stupide salope ! Ahahaahh !

Les gars éclatent de rire quand, par réflexe, j’essaie de couvrir mes seins nus avec mes mains.

- Oh petite idiote, tu as fait espérer mes camarades pendant tout ce temps. Plus besoin d’être prude maintenant. Dit Matt en agrippant mes bras.

Puis il fait appel à ma conscience :

- Tu ne veux pas les taquiner et les snober n’est-ce pas ? Ça serait vraiment cruel ! Tu as accepté de t’occuper d’eux non ? Et ils ont du plaisir à te voir, tu ne crois pas ?

Matt baisse mes bras et je ne résiste pas. Il n’a pas vraiment tort dans son raisonnement, n’est-ce pas ? Quoi que je dise, j’ai accepté de m’occuper des invités. Et puis, même si la définition peut paraître étrange, il est l’hôte de la fête. Et on ne contredit pas un hôte, non ?

- Sois fière des compétences que tu possèdes, Pute à Foufoune. N’hésite pas à les montrer ! Ne laisse pas gaspiller ces grosses compétences bien dodues !

- Gros nichons ! Gros nichons ! Hurlent les garçons de la fraternité.

Ohhh, quel beau raisonnement ! Comment peut-on dire non à ça ? Je plaisante bien sûr face à l’ironie de la situation.

Toutefois, je sens la pression monter chez ces jeunes. Et je suis sensible à ça. D’ailleurs, je veux attirer leur attention et leur prouver que je ne suis pas qu’une simple serveuse. Mon ivresse et mon excitation croissante ne m’aide pas non plus à garder l’esprit clair. Tout compte fait, je sais que je n’arriverai pas à résister à cette incitation. Donc je laisse le débardeur blanc où il est, juste au-dessus de mes gros seins. Immédiatement, Matt me taquine :

- N’ai-je pas vu un sourire ? Tu es heureuse de montrer tes compétences à mes amis, n’est-ce pas ?

- Compétence une !

Plop !

- Compétence deux !

Plop !

Pour souligner ses paroles, ce salaud donne un coup de coude à mes nichons pour les faire ballotter de manière séduisante. Je ne suis pas heureuse et je ne souris pas non plus, mais Matt s’attend à ce que je sois d’accord.

- Oui Matt, merci de m’avoir laissé montrer mes compétences. Répondis-je d’une petite voix.

Toutefois, il semble ne pas en avoir fini avec moi. Il continue à me regarder d’un air interrogateur jusqu’à ce que je baisse la tête avec résignation.

- Compétence une !

Plop !

- Compétence deux !

Plop !

Cette fois-ci, c’est moi qui nomme mes seins en les faisant trembler. Je suis idiote, même si ça semble un peu justifié à ce moment.

- Aaarrrrgghhhhh !

- Tire ! Tire !

CRAC

Matt a tiré si fort que le fin polyester s’est déchiré. Un petit trou vient d’apparaître dans la partie du short qui couvre ma raie du cul.

Merde, je comprends ce qu’il veut faire. Il veut montrer ma chatte ! Soit en déchirant mon short orange, soit en le rentrant complètement entre les lèvres de ma chatte. Il veut m’exposer totalement ! Et il va y arriver. Comme cela a-t-il pu arriver ?

- AaaaaooooowwwwwAAAA !

- La chatte ! La chatte !

Les jeunes étudiants changent leurs cris lorsque Matt saisit le polyester orange et tord la bande de tissu recouvrant mon entrejambe pour en faire un fin ruban. La quatrième traction me provoque des larmes et font sortir les lèvres de ma chatte. Tirant sur le tissu orange, mes lèvres gonflées de ma chatte sortent de chaque côté du ruban.

Matt a réussi son coup. Non seulement il est arrivé à ce que je montre ma poitrine, mais il a aussi réussi à montrer ma chatte en me punissant. Tout cela avec un simple jeu à boire. Je devrais être impressionnée par le garçon, mais je le méprise trop. Bien que ce soit le roi de la fête, c’est aussi un connard. Tant de pensées me traversent la tête, je suis si confuse.

- Maintenant, tu es une vraie Pute à Foufoune. C’est une autre étape de ton développement personnel. Cela ne te rend pas heureuse Missy Face de Salope ? Me demande-t-il avec un sourire vicieux.

Je ne devrais pas être contente. Il s’est moqué de moi ! Toutefois j’ai tellement l’air ridicule avec les lèvres de ma chatte sortant de chaque côté du short que ça en est risible. Toutefois cette nouvelle définition semble peu flatteuse. Être toujours plus belle me convient parfaitement. Mais tout ce qui attire l’attention me convient en fait ! Dans ma situation, ça ne peut que m’aider, n’est-ce pas ?

- Matt, vous savez que j’aime imp… OOWwwwwwAAA !

Ma réponse se transforme en un cri quand Matt tire de nouveau sur mon short brutalement. C’est si violent qu’il me soulève sur la pointe des pieds.

Mais ? Mais à quoi ça sert ? Il a déjà montré ma chatte !

- Juste pour mon plaisir, petite salope ! M’explique ce crétin d’un ton neutre.

Oh non ! Il vient juste de montrer à tout le monde qu’il est le dominant. Cette dernière action était si inutile qu’elle me fait craquer alors que ça vaut à ce salaud prétentieux une salve d’applaudissements de ses copains. Mais je ne dois pas être en colère non ? Matt a joué avec moi et il a gagné. J’ai vraiment mérité cette humiliation non ?

- Maintenant que tu as l’uniforme approprié pour une pute de service. Alors rends-toi utile Pute à Foufoune ! Nous sommes tous à court d’alcool. Me dit ce salaud avant de retourner au jeu à boire.

A suivre…