mercredi 13 mars 2024

Cocu content, mais pas trop - Ch. 05

 Récit de Atortetadore (2010)

*****

Dans la gueule du loup.

Ça fait une bonne heure que je me lamente sur mon sort. Que vais-je lui dire ? Que dois-je faire ? Si je lui fais une scène, elle va me dire que c’est de ma faute, qu’elle m’avait prévenu. Et si je ne disais rien ? Si je laissais faire ? Peut-être qu’on n’en reparlerait plus. Que l’épisode serait clos. Mais comment vivre avec ça ? J’ai bien peur de ne pas avoir le choix. Soit je lui dis et je brise, sans doute tout, soit je me tais, tout sera fini et j’oublierai peut-être avec le temps. Il me reste encore la solution de partir, mais comment ne pas faire face à ce dont je suis l’initiateur ? Ce serait pure lâcheté. Je ne suis pas un lâche.

Je finis par m’endormir sur le canapé.

Il doit être 14 heures lorsque Mathilde vient me réveiller tendrement.

— Chéri ? Que fais-tu dans le canapé ?

Je me réveille. Elle est assise à côté de moi, en nuisette noire transparente, nue dessous, ses gros seins pendent joliment. Elle est belle. Je ne peux pas la perdre. Je l’aime.

— Oh, rien, je n’ai pas très bien dormi, je crois que j’ai trop bu.

— Oui, moi aussi, je ne suis vraiment pas bien. Je vais aller me recoucher.

Je passe une main sur un de ses seins puis entre ses cuisses. Elle sursaute en gémissant.

— Aïe !

— Excuse-moi. Je t’ai fait mal ?

— Oui, enfin non. Ce n’est rien, j’ai chopé une hémorroïde. J’ai l’anus en compote.

Sachant que ça lui arrive de temps en temps quand elle fait trop la fête, elle a sans doute pensé que ça ferait l’affaire. Avec ça, la voilà tranquille une à deux semaines. Mais je ne suis pas dupe. Je sais pourquoi elle a mal au cul cette pute qui, en plus, me ment outrageusement avec une décontraction mal assurée. Non mais qu’est-ce qu’elle croit, cette traînée ? Que je vais me laisser faire ? Puis, je me vois dans la glace. C’est de MA FAUTE ! Allez ! Du calme, tout ça passera avec le temps.

Le dimanche passe finalement calmement. Nous regardons la télé chacun dans son fauteuil. Demain boulot. Nous verrons bien dans quel état nous serons.

Le lendemain matin, je suis levé de bonne heure et je me prépare rapidement, je n’ai pas très envie de la croiser. J’arrive au bureau, m’installe, et me connecte au site de rencontre afin d’y détruire mon profil. De nombreux mails m’attendent. Je les parcours rapidement avant de les effacer mais je tombe sur un mail de Bernard. Mon cœur passe de 0 à 100 en un millième de seconde. Cet enculé ose me parler ? Alors qu’il a baisé et enculé ma femme ? Non mais je rêve. J’ouvre son mail, me promettant de l’insulter, voire d’aller lui casser sa grosse gueule de frimeur.

"Bonjour.
J’espère que tu as bien dormi, mais c’est vraiment dommage que tu n’aies pas assisté à une belle enculade de ta femme. J’aurais aimé que tu sois là pour voir comment je l’ai bien baisée. Elle est vraiment trop bonne. Tu sais, il y a sûrement moyen d’en faire quelque chose."

Putain, je vais le tuer ! Il me parle comme à un ami. Comme si… comme si… comme si je lui avais demandé de baiser ma femme… Non, mais quel con je fais. C’est exactement ce que je lui ai demandé de faire. Je suis vraiment le dernier des connards.

"Tu sais c’est vraiment une grosse chienne. Puisque tu n’étais pas là je vais te raconter."

S’il savait que j’étais là ! Je lis malgré tout son histoire. Il me raconte ce qu’il a ressenti, quand il a été tour à tour dans sa chatte et dans son cul. Comment il l’avait trouvée serrée, puis comment elle s’était bien dilatée et comment elle mouillait comme une folle. Je bandais à nouveau.

"Tu sais, dans le porno, j’en ai vu des chiennes qui aimaient la bite. Je peux te dire que Mathilde est du bois dont on fait les cochonnes, elle se le cache mais elle adore ça. Tu verras, on va bien la baiser, ça va te plaire. Avant de partir, je lui ai laissé mon numéro de téléphone et mon adresse mail perso. Histoire de voir ce que ça donne. Je suis sûr qu’elle va me rappeler. C’est une salope, tu avais raison.
À bientôt.
Bernard."

Je n’y crois pas une seconde. Non seulement elle m’a menti, mais en plus elle a les coordonnées de ce mec. Il a raison, tout au fond de moi je sais que ça me plaît, mon corps approuve et mon cœur saigne. Mais bon. Elle a essayé, pas de raison qu’elle recommence. J’efface donc tous les mails de la boîte et supprime le profil. Voilà une bonne chose de faite.

Quelques semaines passent, tout est redevenu normal. Elle passe ses soirées à dormir devant la télé et me rejoint dans la nuit comme avant. Normal, en apparence, seulement. Il y a toujours cette petite tension bizarre, ce je-ne-sais-quoi de malsain qui règnent. Elle est calme, détendue. Trop beau pour être vrai. Je suis peut-être con mais pas débile. D’habitude, son boulot la stresse, elle est toujours fatiguée, alors que là, je la trouve sereine et détendue. Il y a quelque chose d’autre, j’en suis sûr.

Mathilde s’est inscrite à la gym. Elle veut, soi-disant, perdre son gros cul et ses bourrelets disgracieux. Moi, je ne vois pas la différence. Mais bon si ça lui fait plaisir. Ça fait maintenant trois mois qu’elle va à la gym deux fois par semaine et effectivement elle a perdu quelques kilos, mais franchement rien d’exceptionnel. Et si elle n’allait pas à la gym ? Si c’était une connerie et qu’elle revoyait Bernard ? Non ! Impossible ! Pas si sûr…

Je me décidai un soir à la suivre jusqu’à son cours de gym. Discrètement je suis parti un bon quart d’heure après elle, me rendant à la salle. Sa voiture est bien garée devant. Je pousse la porte et je la vois, soulagé, en train de se secouer les miches comme une damnée au milieu de plein d’autres gonzesses. Je me dis que je suis trop con et me décide à rentrer.

Elle arrive, 45 minutes plus tard, toute transpirante. Je lui sers l’apéro pendant qu’elle prend sa douche. Quand elle revient, elle est toute belle, toute propre dans son pyjama en pilou. Elle sent bon. Je la serre contre moi, fier de sa fidélité, je l’embrasse, elle me rend mon baiser, nous roulons sur le tapis et je la déshabille délicatement.

— Mon amour, je t’aime.

— Moi aussi, mon cœur,

— Tu es toute ma vie, lui dis-je en suçant la pointe de ses seins.

Elle soupire. Doucement, je descends, lui caresse la chatte puis je la lèche doucement, tendrement. Je veux qu’elle ressente combien je l’aime et combien je suis tendre et que tout ce que j’ai fait avant est du passé. Finalement, je la pénètre doucement, je lui fais l’amour lentement, passionnément, et finis par éjaculer dans un râle. Elle pousse un soupir de plaisir me serrant fort contre elle. Je suis heureux.

Pourtant en y repensant, je n’ai pas l’impression qu’elle y ait pris beaucoup de plaisir. Ça manquait franchement de sincérité. Je ne sais pas pourquoi. Comme s’il lui avait manqué quelque chose. Mais bon je me fais sans doute des idées. Il faut vraiment que j’arrête ça.

Un samedi soir, elle me dit qu’elle sort avec des copines de boulot. C’est assez rare, mais ça arrive lors d’anniversaires. Évidemment ça pourrait être n’importe quand, je ne connais pas une seule date d’anniversaire de ces copines, mais je sais que c’est souvent l’occasion d’une virée entre filles.

Moi, je décide soirée télé, match de foot, ça me passera le temps.

Quand Mathilde débarque dans le salon, je suis à deux doigts de l’infarctus. Elle a effectivement bien perdu du poids et un peu de ventre. Je suis surpris du résultat et déjà je m’en veux de ne pas en avoir fait autant. Elle doit avoir honte de sortir avec un gros tas comme moi maintenant. Surtout que la tenue met vraiment ses formes en valeur. Un petit chignon bien rangé, une petite robe courte moulante qui s’arrête bien au-dessus du genou, des jambes nues finissant dans des escarpins que je ne lui connaissais pas. Visiblement pas de soutien-gorge et pas de slip.

— Eh bien, eh bien ! dis-je. Tu vas où comme ça ?

— Je sors, cher ami, me dit-elle en me narguant, tournant sur elle-même.

— Tu es drôlement belle et bien habillée pour une soirée entre filles !

— Pourquoi devrais-je m’habiller comme un sac quand je sors avec mes copines ?

— Je ne dis pas ça, c’est juste que je te trouve particulièrement ravissante.

— Eh bien oui ! Monsieur a une belle femme, ne lui déplaise.

— Mais… je te rassure, ça ne me déplaît pas du tout.

— Eh bien tant mieux, parce que de toute façon t’as pas le choix !

— Bien chef, dis-je en me mettant au garde-à-vous.

Elle rit, vient m’embrasser puis se dirige vers la porte d’entrée en prenant une petite veste à la volée, puis revient.

— Au fait, ce soir on dort chez Mélanie
.
— Oui, tu as raison c’est aussi bien, je préfère que tu ne roules pas bourrée, je sais que tu en es capable.

Elle éclate de rire et disparaît. Finalement, en voilà une bonne idée. Une nuit télé tout seul dans mon canapé. La vie de célibataire a parfois du bon. Je me décide donc à prendre un bon petit apéro. Un vieux whisky, 16 ans d’âge derrière les étiquettes, ça n’a jamais tué personne. Après, on se fera une petite raclette avec un coup de rouge. Peut-être un porno, une branlette et au lit.

Mais pourquoi je ne lui ai pas dit que j’avais remarqué qu’elle ne portait pas de culotte et que ça ne lui arrivait jamais ? Qu’elle refusait systématiquement quand je le lui demandais ? Pareil pour le soutien-gorge. Mais qu’est-ce qui se passe, bordel ? Je deviens cinglé ou quoi ? Je deviens complètement parano. 

La soirée passe, finalement, comme une lettre à la poste. Apéro aidant, toutes mes questions saugrenues s’évaporent dans l’alcool. Mathilde rentre pimpante le dimanche sur le coup de 13 heures. Je lui ai préparé le repas. Nous déjeunons rapidement puis nous nous mettons dans le canapé, dans lequel nous faisons une petite sieste. Elle a dû passer une sacrée nuit, elle s’est endormie quasi instantanément.

Deux semaines passent. Un lundi bon pied bon œil, j’arrive au bureau. 11 heures, le courrier. Un paquet à mon nom. Étonnant, je n’ai jamais que des lettres, en général. J’ouvre et à l’intérieur un DVD. Dessus, il est écrit :

"Souvenir, souvenir."

Mais c’est quoi cette connerie ? Qui a bien pu m’envoyer ça ? Peut-être ma sœur. Elle vient d’accoucher et mitraille son fils. On reçoit des tonnes de photos et de vidéos. Mais pourquoi au boulot ? Pourquoi en recommandé ? Ça n’a pas de sens. Je vais rentrer un peu plus tôt pour voir ça.

15 heures, je quitte le boulot. Je vais faire deux-trois courses vite fait, histoire de casser une bonne croûte ce soir, et je vais me mater cette vidéo pendant l’apéro. Une fois à la maison, je pose mes affaires sur mon bureau. Je prends une bonne douche puis me mets dans le canapé. Les vidéos sont plus souvent des clips qu’autre chose ou des diaporamas mis en musique et ça ne dure jamais très longtemps.

Je mets le DVD dans le lecteur, branche le BOSE, me sers un petit Kiki de la même marque que l’autre fois et c’est parti… Je sais, c’est un peu tôt, mais que voulez-vous en ce moment ça va quand même mal et il n’y a que ça qui me détend !

L’image est noire quelques secondes, film amateur oblige, puis ça tourne. Un salon que je ne connais pas, puis une ombre, je souris déjà dans l’attente d’une connerie, et là je manque de m’étouffer. Je recrache mon whisky sur la table basse du salon. À l’écran, Bernard !

— Putain, c’est quoi cette connerie ?

Mon cœur bat à tout rompre. Il va sortir de ma poitrine. Qu’est-ce qu’il fout là ? Qu’est-ce qu’il veut ?

— Salut Laurent ! Tu me reconnais ? Bien sûr que tu me reconnais ! Comment oublier le mec qui a baisé sa femme, hein ? Comme tu peux le constater, j’ai installé une caméra dans le pied de ma télé sur le meuble du salon. Ce qui me permet de pouvoir enregistrer tout ce qui s’y passe. Le tout branché sur mon ordi qui enregistre bien gentiment. Tu te demandes sans doute pourquoi je t’envoie cette vidéo. Eh bien, j’ai un regret. Comme tu dormais la nuit où j’ai niqué ta femme, je me suis dit que ça te ferait certainement plaisir de savoir qu’elle m’a appelé la semaine dernière et que je l’attends d’une minute à l’autre. Et que je ne pouvais, décemment, pas la baiser une seconde fois sans que tu en profites un peu. Je sais, c’est frustrant derrière un écran. Mais bon ! C’est mieux que rien. Évidemment, elle n’en sait rien. Sinon ne se serait pas drôle ! Hein ? Je suis sûr que t’es d’accord avec moi.

Je suis… Je suis… Je ne saurais dire ce que je ressens à ce moment-là. Il a disparu de l’image. Il revient avec une bouteille de champagne dans un seau. Il installe les petits fours. Il doit être tard. Tout se mélange dans ma tête. Quand ? Comment ? Pourquoi ?

— Ohh, Putain… La salope ! L’anniversaire de sa copine !

J’entends sonner. J’entends parler. Je reconnais distinctement la voix de Mathilde qui rit. Elle apparaît à l’écran dans la tenue de cette fameuse soirée d’anniversaire. Bernard arrive, elle se jette à son cou. L’embrasse à pleine bouche. Il la soulève et la fait tourner.

— Tu es magnifique, petite cochonne.

— Merci, dit-elle en rougissant.

— Vraiment ! Ces séances de gym t’ont fait le plus grand bien.

Quoi ? Comment sait-il qu’elle fait de la gym ? Seraient-ils restés en contact pendant tout ce temps sans que je m’en rende compte ?

— Oui, j’ai tout donné pour obtenir ce résultat, je n’ai pensé qu’à ça. Je voulais te plaire, que tu me trouves à ton goût.

— C’est très bien Mathilde, je suis fier de toi.

— Merci. Tu vas me faire rougir.

— Je voudrais que tu regardes la télé.

— Ah oui ?

— Oui, regarde bien la télé, fixe-la, je veux que tu ne penses à plus rien d’autre qu’à toi.

Elle frissonne. Puis elle fixe le téléviseur, comme si elle me regardait. Bernard est derrière elle. Ses mains sont sur ses hanches. Elles remontent sur ses seins. Il les soupèse par-dessus la robe. Fermement, sans ménagement, il les malaxe puis frôle les tétons que l’on voit apparaître au travers du tissu. Puis sans doute allume-t-il le téléviseur.

— Mais que fais-tu ? Tu nous filmes ?

— Oui ! Ça te fera un souvenir !

— Cochon, va !

— Oui et tu adores ça.

Mathilde ferme les yeux pour mieux savourer les caresses de Bernard. Il remonte la robe sur ses hanches et masse l’intérieur de ses cuisses qu’elle a légèrement écartées. Il caresse sa chatte puis l’écarte doucement, insinuant un doigt dedans. Elle pousse un soupir de soulagement comme si ça faisait des mois qu’on ne l’avait pas caressée. Il joue avec le clitoris.

— Alors ma belle tu ne regrettes pas d’être venue ?

— Oh non, alors !

— Tu vas prendre ma grosse queue. C’est pour ça que tu es venue. Salope.

— Ouiiii !

Il lui branle le clito rapidement, elle commence à se dandiner.

— Tu vas me sucer.

Il appuie légèrement sur les épaules de Mathilde et se met de profil pour que la caméra filme la scène. Mathilde, elle, extirpe la grosse queue du pantalon et commence à lécher le gros gland violacé. Bernard lui enlève la main.

— Apprends à sucer sans les mains. Les vraies salopes ne sucent qu’avec leur bouche.

Alors elle lèche le gland puis se contorsionne pour attraper le gros gland. Puis prend la queue dans la bouche qui ne tarde pas à vraiment prendre forme. Il bande maintenant bien dur et Mathilde monte et descend avec sa bouche sur l’énorme mandrin qui lui déforme bien les joues.

— Regarde-toi comme tu suces bien. Caresse-toi en même temps. Profite.

Puis il passe une main derrière la nuque de Mathilde et alors qu’elle regarde l’écran les yeux brillants, il commence à lui fourrer sa grosse queue bien à fond dans la bouche. On voit la queue de Bernard lui déformer la bouche, il lui enfonce si profond que parfois elle manque de s’étouffer. Quand je lui faisais ça, elle se fâchait. Et là…

— Ohh oui, comme ça vient, regarde comme je te baise bien la bouche. Ouvre-la grande. Humm, elle est bouillante. Ohhhh oui. Ohh, la vache, que t’es bonne. Je ne vais pas tenir longtemps. Tu vas me faire gicler.

La bouche de Mathilde fait des bruits obscènes. Il lui bourre la bouche de sa grosse queue bien à fond puis dans un râle lui colle tout dans la bouche et le visage. Elle en a partout.

— Ohhh ouiiiiiiiii, c’est trop bon ! dit-il en éjaculant. T’as tout pris dans la gueule. Le coup est parti tout seul, dit-il en riant.

— Oui j’ai tout pris dis donc.

— Nettoie ma queue et va te rafraîchir, je sers le champagne.

Mathilde finit de lécher la queue de Bernard puis sort de l’écran. Bernard s’approche et dit à voix basse en s’adressant à moi.

— Bon t’as vu, elle suce pas mal, hein ? Mais maintenant je vais lui casser le cul, à ta femme. Tu vas pouvoir voir comment je vais lui exploser son trou du cul. Il me montre sa grosse bite flasque, épaisse. Tu vas voir qu’avec ça je vais lui ramoner le conduit comme jamais tu lui as ramoné.

Mathilde revient.

— Tu peux éteindre la télé, s’il te plaît ? Je n’ai pas envie que tu filmes la suite.

— Oui, si tu veux, dit-il en riant.

Et il coupe sans doute l’image.

Ahh ma femme et la technologie. Elle ne se doute même pas que ça continue de filmer. Excès de confiance sans doute…

Ils trinquent et boivent une ou deux coupes de champagne. Ils s’observent, ils ne se parlent pas. Un silence inquiétant comme s’il allait se passer quelque chose de grave.

— Enlève ta robe ! dit soudain Bernard.

Mathilde s’exécute.

— T’es vraiment pas mal, pour cinquante piges.

— Merci.

Elle tourne sur elle-même.

— Allez, viens me sucer, fais-moi bien bander.

Mathilde finit sa coupe puis se penche vers la queue et sans les mains, attrape le gland pour le prendre en bouche.

— Oui c’est bien tu apprends vite pour ton âge.

Elle le suce et sa grosse queue reprend vigueur. Il faut un peu de temps pour qu’il rebande bien.

Si je ne vous décris pas ce que je ressens à ce moment-là, c’est sans doute parce que je ne sais pas encore vraiment ce que ça m’a fait. Mathilde prend visiblement un certain plaisir à être insultée et bousculée par cet homme qu’elle connaît peu finalement. Les images se bousculent dans ma tête. Pourquoi quand je la traite de salope ou de pute, je me fais incendier, alors que lui a droit à ses faveurs ?

En vérité, j’ai coupé le DVD. Je me suis enfilé deux gros verres de whisky. Je suis resté là, planté comme un con pris à mon propre jeu dont il allait quand même falloir à un moment ou à un autre en assumer les conséquences et en payer le prix. Ce n’est que plus tard que j’ai décidé de continuer à regarder. Parce que malgré tout, je bandais.

Je me rassois dans le canapé, bien décidé à voir la suite.

Mathilde à genoux entre les cuisses de Bernard, le suce. J’ai une vue sur son cul et sa chatte qui est déjà luisante de mouille. Il lui caresse les cheveux tendrement tout en lui disant qu’elle est belle, qu’elle suce comme une reine, que sa bouche est accueillante, qu’elle le rend dingue. Tous ces compliments, bien sûr, flattent l’ego de Mathilde qui, pour ne pas être en reste, s’applique de son mieux à sucer cette grosse queue. Moi, bien sûr, je suis fasciné par le spectacle.

Puis Bernard, la queue bien raide, se lève et fait mettre Mathilde à genoux sur le canapé, les bras sur le dossier, le cul vers la télé. Il lui demande de bien se cambrer. Il est debout à côté d’elle et commence à lui malaxer les fesses très fermement. Ouvrant et refermant les fesses, laissant apparaître à la caméra son petit trou fripé, s’ouvrant légèrement quand Bernard tire sur les fesses.

— Quel cul tu as ! Un bon gros cul ! dit-il en claquant sèchement les fesses, laissant échapper un petit cri de surprise ainsi qu’une trace de main sur la fesse droite qui disparaît doucement. Ça donne qu’une envie : t’enculer. On a envie de l’enculer à longueur de journée. On a envie d’y enfoncer des tas de trucs de plus en plus gros pour voir comment il est capable de se dilater. C’est comme tes nibards, un vrai appel au viol. Tes grosses miches, on a envie de les bouffer. Moi je te verrais bien dans un bar à putes. À prendre des kilomètres de bites. Je suis sûr que tu adorerais ça.

— Non mais tu es fou, dit Mathilde en tournant la tête pour le voir. Je ne suis pas une pute.

— Non c’est vrai, t’es pas une pute. La preuve t’es là à te faire tripoter le cul par un mec que tu connais à peine pendant que ton mari te croit je ne sais où et tout ça pour pas un rond. Alors effectivement, t’es pas une pute. T’es une vraie salope. Une bonne vieille salope.

— Oui, je suis une salope. Je suis ta salope.

Il lui fourre deux doigts dans la chatte, les ressortant luisants de mouille.

— Regarde, dit-il en lui mettant ces doigts sous le nez, regarde comme tu mouilles déjà. Eh bien moi je te le dis, Mathilde, t’es pire que ça. Et je vais te le prouver ! dit-il en lui remettant les doigts dans la chatte et en faisant des va-et-vient, en les faisant tourner de plus en plus vite la faisant vraiment mouiller.

Mathilde ne met pas longtemps à remuer du cul. Elle rentre dans sa phase marre des préliminaires. Je reconnais son attitude. Dans moins de cinq minutes, elle le supplie de la baiser et sera prête à tout pour ça. Bernard la branle vraiment bien. Il se relève, se place derrière elle la queue à la main. Il bande comme un cerf, le salaud. Il va la défoncer avec son gros truc. Puis, il pose son gland à l’entrée de la chatte de ma femme et d’une seule poussée s’enfonce en elle de toutes ses forces. J’entends les fesses de Mathilde claquer sous l’impact.

— Ahhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiii ! crie Mathilde d’une voix rauque d’une bête en chaleur.

— Tiens, prends ça ! dit Bernard moqueur et certain de son effet.

Il ressort complètement et recommence de la même façon trois ou quatre fois de suite et à chaque fois Mathilde pousse le même cri. La queue rentre de plus en plus facilement dans sa chatte.

— Ahhh ! Ahhh ! Ouiii ! Ouiii !

Elle aime ça, se faire défoncer par Bernard, elle est devenue dingue de sa grosse queue. Alors que moi je subis. J’ai sorti mon sexe et me masturbe doucement. Je mate ce film comme si c’était un bon porno. J’en oublierais presque que c’est Mathilde, comme ça, vue de dos.

Bernard se retire et maintenant lui colle trois doigts dans la chatte et la branle à nouveau. Il lèche son anus et sort la mouille de sa chatte pour lubrifier son cul tellement elle dégouline. J’ai souvent fait de la sorte pour la sodomiser. Je n’utilisais pas de gel mais uniquement la mouille de sa chatte. Il en profite pour glisser un doigt dans son cul puis lui remet les trois doigts dans la chatte, jusqu’à ce qu’il puisse en mettre un second dans le cul. Mathilde, elle, continue à grimper aux rideaux, on peut la voir griffer le dossier, un doigt dans la bouche, les yeux fermés pour ne pas hurler. Bernard, lui, l’encourage.

— Allez Mathilde, laisse-toi aller. Prends ton pied, tu adores ça, que je te branle la chatte ! dit-il en insinuant un quatrième doigt.

Il pousse doucement et finit par y arriver. Il la branle maintenant avec quatre doigts lui dilatant bien la chatte et deux doigts dans le cul.

— Ohh ouii, vas-y, viens, baise-moi fort, je t’en prie.

Il se redresse puis lui fourre la queue dans la chatte. Doucement puis plus vite, plus fort. Il alterne. Mathilde prend son pied. Elle va jouir.

— Ouiii, baise-moi fort. Plus vite, ouiii, encore plus fort.

Il la pilonne maintenant comme un sauvage, accroché à ses hanches.

— Ohh oui, je viens, dit-elle. OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !

— Jouis bien, salope, parce que maintenant, je vais t’enculer.

À peine a-t-elle récupéré, qu’il la tire à quatre pattes sur un coussin préalablement jeté par terre et lui fait bien cambrer le cul. La tête par terre, les seins pendants, lui remet ses doigts dans la chatte, crache dans son anus, lui plante un puis deux doigts qu’il tourne tout en les faisant entrer et sortir.

— Aïe, doucement ! dit-elle.

— Ferme un peu ta gueule, tu vas me faire débander ! dit-il en accélérant les doigts dans son cul.

Puis du tiroir de la table du salon, il sort un petit gode qu’il fourre dans le cul de Mathilde et le met en route. Aussitôt on entend le gode vibrer et Mathilde pousse un râle de surprise et de plaisir. Puis il sort une espèce d’élastique et un petit sachet. Il passe l’élastique autour de sa queue le plaçant à la base de son sexe derrière les couilles et le serre fermement. On voit la queue se gorger de sang ce qui la rend encore plus impressionnante. Enfin du sachet, il sort je ne sais quoi, et se l’enfile sur la bite. C’est une capote avec des picots en plastique, apparemment. Son sexe ainsi harnaché est monstrueux. Puis, enjambant Mathilde qui est à quatre pattes dos à la caméra, il se place face à moi. Il retire le gode du cul de Mathilde, qui se plaint de ce vide soudain, laissant son cul bien ouvert.

Me regardant d’un air vainqueur :

— Regarde bien, maintenant… Je vais lui casser le cul, à ta connasse de femme.

Mathilde est trop dans les vapes pour comprendre ce qu’il fait et à qui il parle. L’action dure peu de temps.

— Après ça elle ne pourra plus se passer de ma grosse queue pour lui boucher son trou du cul.

Puis d’une poussée, il descend et s’enfonce dans le gros cul de Mathilde. Lui fourrant le gode dans la chatte à la vitesse max. En même temps.

— Ahhhhhhhhhhh !

— Oui, vas-y, gueule, salope ! Je sais que tu aimes te faire déboîter le fion.

— Ouiiiii. Oh ouiiiii. Encore…

— Tu vois, c’est magique, regarde ce trou du cul comme il est beau !

Effectivement, l’anus de ma femme est là devant mes yeux, béant. Et elle réclame de la lui remettre.

— Vas-y Bernard. Encore.

Bernard lui remet sa grosse queue et commence un va-et-vient frénétique, lui défonçant le cul de tout son poids. Mathilde gémit, crie, hurle sa jouissance. Il jouit, Mathilde l’accompagne et moi aussi.

Une nouvelle fois la question se pose de savoir comment je vais réagir. Que dire à Mathilde qui cette fois, volontairement, m’a trompé ? Je vous avoue qu’à cet instant, je n’en sais rien. Je suis encore sous le choc.

Je vous passe le récit du reste du DVD qui ne filme plus que le salon de Bernard, vide, mais où l’on entend clairement Mathilde prendre du plaisir. Je ne saurais vous dire combien de fois il l’a fait jouir cette nuit-là, mais je comprends mieux pourquoi elle était si fatiguée le dimanche en rentrant.

Comment ma femme a-t-elle pu se laisser traiter de la sorte ? Elle qui ne supportait pas les mots crus ! Jamais, je n’aurais imaginé ma femme dans une telle situation, humiliée et qu’elle y prenne autant de plaisir.

Au moment même où j’écris ces mots (5 h 30 du matin), je ne peux dormir. Je me passe et repasse ces images dans ma tête, en boucle. Je n’arrive plus à penser à autre chose. Ma femme, mon amour de ma vie, ma raison de vivre…

Il reste un épisode à écrire. Je ne peux m’y résoudre mais il faut que je le fasse.

Pourquoi me demanderez-vous ?

Je n’en ai aucune idée. Peut-être que ça m’aidera à exorciser la détresse dans laquelle je suis plongé. Je dois avouer. Écrire cette histoire m’excite autant qu’elle me fait souffrir.

Je dois être un grand malade…

À suivre…

2 commentaires:

  1. C'est fini pour lui. Il est définitivement un bon cocu soumis. Fallait pas faire rentrer le loup dans la bergerie !! Son amant a révélé à sa femme le plaisir de se comporter en salope. J'espère qu'il va l'emmener dans un club pour l'offrir à plusieurs hommes et le faire prendre par tous les trous en même temps. Et pourquoi, sur ordre de son amant, elle ne dresserait pas son mari en cocu totalement soumis à sa femme pendant qu'elle en profite avec d'autres mecs bien montés ?

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  2. Bernard va-t-il en faire une star du porno ou une simple pute prête à tout pour se faire baiser et enculer ou pourquoi pas les deux en même temps ?

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