mardi 5 mars 2024

Changements de vie pour Jessica Ch. 19

Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"

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Le défi du rouge à lèvres continue.

Finalement, l’heure s’écoule rapidement. La porte s’ouvre et Daniel entre dans mon bureau et se dirige directement vers moi.

- Alors, tu as tenu le fort ? C’est toujours appréciable d’avoir une idiote au bureau qui prend son travail au sérieux. Même s’il s’agit de taches subalternes. Me dit-il, moqueur.

Il s’approche de ma chaise et tend tout de suite la main pour la poser sur ma chatte trempée. Il commente alors :

- On dirait que tu apprécies tes contraintes. Je suppose que tu veux continuer alors.

Je n’ai pas le temps de répondre qu’il ouvre les boutons de ma veste en cuir bordeaux. J’essaie de l’arrêter, mais il gifle mes mains.

- Tu veux que je t’attache les bras aussi ? Me demande-t-il, agacé.

Je ne veux pas que ma veste soit grande ouverte, mais je veux encore moins que mes bras soient liés à ma chaise. Comment suis-je censée me cacher ? Je ne peux donc faire que la moue pour exprimer mon mécontentement, ce qui fait rire Daniel. Il me taquine :

- En fin de compte tu me remercieras pour m’avoir laissé montrer tes seins à tes collègues, petite salope exhibitionniste. Tu aimerais n’est-ce pas ? Je parie que tu fantasmes sur le fait de montrer tes gros nichons à Damon ou Eric depuis longtemps.

Je voudrais crier non. Mais il ne se trompe pas vraiment. Après tout, l’idée de servir mes collègues comme un animal de compagnie m’a traversé l’esprit lors de la dernière réunion.

Daniel s’éloigne de moi pour vérifier son travail. Les boutons enlevés, ma veste en cuir bordeaux est ouverte et pend librement sur mes seins comme des rideaux. Les pans sont essentiellement soutenus par mes mamelons durs comme le roc qui pointent. La moitié de mes seins est exposée et mon décolleté fait un grand V qui descend jusqu’à mon nombril avec le corset bien en vue.

Ma tenue est plus qu’indécente. C’est totalement obscène et plus qu’inapproprié au travail. Apparemment, Daniel ne semble pas satisfait de seulement me taquiner. Il se retourne et ouvre la porte de mon bureau.

- Pourquoi faites-vous ça ? Essayez-vous de vous faire virer avant que Matt le fasse? Demandé-je au voyou macho, incrédule.

Je n’arrive pas à croire qu’il prend tous ces risques. Je suis enchaînée à la chaise de mon bureau et je ne peux pas en bouger. Je suis bien en vue. Quiconque passe dans le couloir peut me voir !

- On doit jouer ensemble aujourd’hui, tu ne te souviens petite pute ? Je dois convaincre cet enfoiré ou alors il devinera notre entente. Explique-t-il.

Je n’aime pas son explication, mais c’est logique. Tout au long de la semaine, Matt a défié mon homme et a essayé de devenir le mâle dominant. Le latino a toujours réagi en augmentant la mise et je l’ai même encouragé. Il ne peut pas se permettre d’être moins dur maintenant, sinon Matt remarquera qu’il se passe quelque chose.

Daniel me laisse alors dans mon bureau, la porte ouverte. Voilà pour augmenter l’intensité du jeu ! Enchaînée et exposée, je suis sur les nerfs. J’ai trop envie de me réfugier dans un trou de souris. Je n’arrête pas de prier pour que Daniel revienne et mette fin à cette mascarade. Et mon esprit continue de s’égarer en fantasmant sur les choses que ce jeune latino pourrait me faire alors que mon corps est lié et impuissant.

Chaque petit bruit dans le couloir me fait sursauter de peur sur ma chaise. Mais de toute façon, je ne bouge pas beaucoup avec mes jambes attachées. Et à chaque petit bruit, ma chatte reçoit une décharge d’excitation. Soudain j’entends des pas, ils se rapprochent.

C’est O’BANNON, le PDG de l’entreprise. Il est tellement pressé qu’il passe devant la porte de mon bureau sans regarder. Quelques minutes plus tard, il repasse pour une autre réunion. Encore une fois, il passe devant mon bureau et il se contente d’un bref signe de tête. Pourtant ses passages m’ont presque provoqué une crise cardiaque.

J’ai à peine le temps de reprendre mon souffle que j’entends de nouveaux pas. Le bruit se rapproche très vite. A chaque pas mon cœur bat plus fort. Puis j’ai l’impression qu’il s’arrête de battre. C’est ORTEGA qui se dirige vers mon bureau. Il s’arrête dans l’encadrement de ma porte.

- Merci d’avoir pris mes appels ! Me dit-il simplement.

Un soupçon de sarcasme est clairement perceptible dans sa voix comme si ses appels étaient plus importants que mon travail. Cependant je sens que je mérite sa dérision. Après tout je n’ai pas protesté et j’ai accepté de jouer sa secrétaire.

Avant de continuer à me parler, il hésite soudainement. Il me regarde droit dans les yeux et je ne peux tenir son regard. Je sens ses yeux se baisser sur ma peau et mon décolleté. Il est en train de remarquer mon décolleté indécent.

Je voudrais fuir et me cacher. Mais je ne peux rine faire avec mes jambes attachées à la chaise. Frénétiquement, je bouge mon corps et pousse la chaise sur le côté. Ainsi, je réussis à positionner mon corps derrière le moniteur de mon ordinateur pour cacher mon large décolleté.

Ouf ! Ma tenue indécente est cachée pour le moment.

Pourtant ORTEGA a dû remarquer quelque chose. A chaque seconde qui passe, il peut s’approcher de mon bureau. A chaque seconde qui passe, il peut voir ma veste ouverte et mon corset sans balconnets.

- Bon… Avez-vous reçu des appels importants pour moi ? Me demande finalement ORTEGA en me lançant un regard perplexe.

La façon dont il fronce les sourcils me fait comprendre clairement que mon mouvement l’a dérouté pendant quelques secondes.

- Euhhhh….

Je m’attendais à autre chose qu’à cette question.

- Non, pas un seul ! Répondis-je en essayant de mettre du dédain dans ma voix afin d’insinuer qu’il n’est pas aussi important qu’il le pense.

Je peux voir la déception s’afficher sur son visage. Pourtant il semble satisfait de ma réponse , se détourne et se dirige vers son bureau sans un autre mot. Sa déception me donne un peu de satisfaction. Néanmoins, je ne comprends pas pourquoi il n’est pas venu voir pourquoi je me comportais aussi étrangement. Il devait être trop pressé…

Une demi-heure plus tard, ORTEGA Part rencontrer un client, confirmant mon analyse et apaisant un peu mes nerfs. Cette fois il ne me demande pas de jouer la secrétaire et passe rapidement devant ma porte. Je suppose qu’il n’est pas satisfait de mon travail précédent. Comme si je m’en soucie…

De toute évidence Daniel attendait seulement le départ de O’BANNON et ORTEGA car il ne lui faut que quelques minutes pour revenir dans mon bureau avec les autres stagiaires à sa suite. Le latino s’approche de moi et passe son doigt sur ma fente. Triomphalement, il le montre recouvert du jus de ma chatte.

Je gémis quand je vois Matt tendre à mon homme un billet de cinq dollars. De toute évidence ils avaient fait un pari sur le fait que je mouille après avoir été enchaînée à ma chaise de bureau. Plus que jamais, je me sens le jouet des stagiaires, un jouet à utiliser comme bon leur semble.

CLAC ! CLAC !

- AIEEEEEE !

Je glapis quand Matt gifle chacun de mes gros seins. De toute évidence il ne semble pas content d’avoir perdu le pari.

- Espèce de salope stupide ! Quelle tête vide ! N’importe quelle attention t’excite n’est-ce pas ? Me réprimande-t-il.

Au lieu de répondre je lui lance un regard noir. Après tout, ce n’est pas moi qui ai demandé d’être attachée dans mon bureau. Cependant il n’a pas tort. Plus les stagiaires m’accordent de l’attention à mon corps, plus ils m’utilisent comme un vulgaire objet, plus je suis excitée.

- Voyons à quel point elle désire vraiment notre attention. C’est mon tour de toute façon. Intervient Taylor.

Alors que je réfléchis encore à l’autorité nouvellement trouvée du stagiaire noir, il se place derrière moi et attrape mes bras. Les tirant en arrière, il accroche les bracelets de mes poignets derrière le dossier de la chaise. Maintenant mes bras et mes jambes sont attachées et je ne peux plus bouger. Je suis complètement à la merci des stagiaires.

- Tu veux que je prête plus d’attention à tes grosses mamelles, coquine ? Me demande Taylor de façon provocante.

- Oui Monsieur. S’il vous plaît, donnez à mes gros nichons l’attention qu’ils méritent. S’il vous plaît, amusez-vous avec comme vous le voulez Monsieur. Dis-je en ne pouvant m’empêcher de m’humilier devant les quatre jeunes.

- Bof, ça ne paraît pas sincère ! Dit Matt qui ne peut s’empêcher d’intervenir.

- Nous devrions la laisser y réfléchir pendant un moment je pense. Ajoute Daniel en réaction aux mots de Matt et en faisant signe aux autres stagiaires de le suivre hors de mon bureau.

- Non, je vous en prie Monsieur. Gémis-je de désespoir quand ils se sont tous dirigés vers la porte.

Putain ! Cette maudite rivalité entre les deux me met sur les nerfs. Ils ne peuvent pas me laisser comme ça, pas avec les bras attachés aussi.

- S’il vous plaît Monsieur, Giflez votre stupide salope ! Giflez mes grosses mamelles ! Dis-je à Matt avant qu’il ne suive Daniel.

CLAC ! CLAC !

- Aiieee ! Ouillle !

Cet arrogant salaud ne laisse pas passer cette invitation et il gifle violemment mes seins de gauche à droite avant de prendre mes mamelons et les pincer rudement. Tout en serrant, il commence à tirer dessus jusqu’à ce que ma poitrine soit tendue au-dessus de mon corps. Bien que ce soit le tour de Taylor pour le défi du rouge à lèvres, Matt me torture sans rien demander au stagiaire noir.

- OUILLLE ! Qu’est-ce que vous faites ? Dis-je alors qu’il continue à tirer.

- Tu as supplié pour que tes seins soient maltraités n’est-ce pas Miss BRATZ ? Maintenant tu as ce que tu voulais, alors tais-toi chienne pleureuse !

Sa réponse me fait taire instantanément. Il continue à tirer sur mes mamelons sensibles jusqu’à ce que la chaise de bureau commence à bouger. Il me remorque comme un jouet à tirer. Et il continue sans s’arrêter.

Les autres stagiaires sont pliés de rire à la vue humiliante de la directrice d’entreprise qui gémis comme un animal autant par honte que par la douleur infligée à ses seins. Matt ne s’arrête que lorsqu’il a tiré  la chaise loin de mon poste de travail et jusqu’au milieu du bureau. C’est vraiment vicieux.

- Tu en veux plus ? Me demande Daniel en prenant la place de Matt devant moi.

Non je ne veux pas ! Bien sûr que non! Pourtant je ne le dis pas. Après tout, je ne veux pas qu’ils me quittent en sortant du bureau. A ce moment-là mon jus de chatte coule si librement qu’il laisse une tâche humide sur le siège de ma chaise. Bon sang, il semble que je veuille encore plus de ce traitement brutal et dégradant.

- Oui Monsieur Daniel ! Votre animal aime la façon dont vous faites attention à son corps de salope !

En m’ayant utilisé comme il vient de le faire, Matt a placé la barre très haute. Il va être difficile de faire mieux. Toutefois, comme Daniel est mon homme, je veux l’aider à surpasser l’autre salaud dominateur. Mes sentiments ont peu d’importance.

- S’il vous plaît Monsieur Daniel, j’ai besoin que l’on s’occupe de ma chatte ! Peu importe comment ! Dis-je en essayant de lui donner un indice.

- Ce n’est pas assez petite chatte ! Répond-il pour augmenter les enjeux.

- Oh s’il vous plaît Monsieur, crachez sur moi ! Montrez-moi ce que vous pensez de moi ! Supplié-je aussi fort que possible.

Rrrrrrrrrrr Pfeuthhh !

Je pense que mon auto-dégradation avait été assez bonne, car Daniel a instantanément accepté ma demande et m’a craché un gros mollard sur le visage. Son crachat frappe ma joue gauche et coule lentement sur ma peau. Cet impact fait frémir de dégoût mon corps entier.

- Mmmm ! Merci Monsieur ! Réussis-je à dire malgré mon dégoût.

Toutefois les rires des gars ne sont pas aussi bruyants qu’auparavant. Il semble que l’action de Daniel ne soit  pas aussi perverse que celle de Matt. Il faut qu’il fasse quelque chose de plus dégradant. J’échange un regard avec lui et je hoche légèrement de la tête, lui permettant ainsi de passer à l’étape suivante.

Daniel recule d’un pas et lève la jambe. Une seconde plus tard, je tremble encore une fois dans mes liens. Mais cette fois, je ne peux pas réprimer un gémissement de dégoût.

Le latino vient de poser sa semelle sur ma chatte exposée et il la frotte sur ma fente rasée. Je peux sentir la rugosité de la semelle en cuir sur ma chatte sensible. Je peux sentir chaque caillou et chaque saleté sur ma peau douce. C’est tellement dégoûtant ! Mais je ne peux que rester immobile en tremblant dans mes liens.

Puis il retire son pied pour le tenir à quelques centimètres seulement de ma chatte. Il veut que ce soit moi qui frotte mon sexe à sa semelle de chaussure sale. Je soulève mes fesses de la chaise autant que je le peux, mais il est trop loin.

Je commence à me cabrer alors que les bracelets de cheville et de poignets me maintiennent en place. Encore et encore j’essaie de lever ma chatte rasée. Lentement, la chaise de bureau commence à avancer, petit à petit.

Bon sang, c’est difficile et je commence à transpirer. Néanmoins je continue jusqu’à ce que je halète. Je dois vraiment avoir l’air ridicule. La pute de bureau attachée pousse son corps vers l’avant pour déplacer une chaise et atteindre une chaussure sale avec sa chatte.

Toutefois je m’en fiche tant que Daniel reste le dominant. Les éclats de rire des autres stagiaires me font comprendre qu’ils apprécient le spectacle pathétique que je donne. Je suis sur la bonne voie.

- Ahhhhh ! Ohhhhh !

Quand finalement j’arrive à atteindre le pied du latino, il le retire brusquement. J’avais poussé en avant si fort que je manque de basculer en avant et m’écraser le visage par terre. Hurlant bruyamment, je réussis à garder l’équilibre tandis que mes gros seins ballottent et que mon anneau de nombril rebondit sur mon ventre.

Les rires montent d’un cran. Je deviens l’objet de risée de tous. Je suis la clown de bureau divertissant les stagiaires avec ma maladresse. Mais malgré ça, mon homme a l’impression d’avoir dépassé Matt en vice. Il pousse alors sa semelle sur ma chatte.

- Oooooohhhhh ! Mmmmm !

Je ne peux m’empêcher de gémir au toucher. Daniel n’a pas besoin de frotter sa semelle plus de deux fois sur mon sexe avant qu’un orgasme ne me traverse. Je me débats une fois de plus dans mes liens. Je me frotte contre la chaussure sale comme si c’est la bite la plus magnifique que j’ai vu de ma vie.

Il continue à frotter ma chatte tremblante pendant que je jouis. Quand finalement je me remets lentement de ma jouissance, je suis épuisée. La sueur scintille sur mon front et mes cuisses tremblent d’épuisement.

Comme Taylor n’a pas encore commencé son tour pour le défi du rouge à lèvres, il semble qu’il s’impatiente. Sans me donner la chance de récupérer des forces, il passe derrière moi et détache mes poignets pour libérer mes bras. Ensuite il enlève les bracelets de cheville, mes jambes sont enfin libres.

Puis en tirant mes cheveux châtains, Taylor me retourne. Me poussant en avant il m’oblige à m’agenouiller sur la chaise de bureau. Toujours avec une traction sur ma chevelure, il pousse le haut de mon corps sur le dossier de la chaise. De cette façon, mes gros nichons pendent de l’autre côté.

Puis il pousse chacune de mes jambes à travers l’espace sous les accoudoirs des deux côtés avant de tirer mes bras en arrière. Enfin il accroche mes poignets et mes chevilles ensemble. Encore une fois, je me retrouve attachée à ma chaise de bureau.

Le jeune noir se place ensuite en face de moi. Il a sorti le rouge à lèvres de mon sac et il me l’applique sur la bouche. Après l’avoir rangé il revient derrière moi.

- Ohhhhh ! Gémis-je quand je le sens saisir mes fesses et pousser.

La chaise tourne. Tout tourne autour de moi et je ne peux rien y faire. Attachée dans cette position, à genoux sur le siège, je suis complètement impuissante  tandis que la chaise tourne jusqu’à ce que je fasse face au stagiaire noir.

Sans rien dire, il pousse son sexe dressé contre mes lèvres. J’ouvre la bouche et je le laisse pousser son engin à l’intérieur. Mes lèvres s’étirent largement autour de sa queue épaisse. Poussant son membre jusqu’au fond de ma gorge, j’étouffe immédiatement.

Les muscles de ma gorge se contractent autour de l’objet de chair qui m’envahit tandis que Taylor tient ma tête en place. Mes yeux commencent à pleurer, les larmes coulant sur mes joues. C’est à ce moment que Taylor sort son sexe de ma bouche et me laisse reprendre mon souffle.

Pendant ce temps, mes gros seins pendent sur le dossier de la chaise. Soudain, je sens une paire de mains rugueuses attraper ma chair tendre et commencer à la pétrir. Daniel est passé derrière moi et commence à tripoter rudement ma poitrine.

En poussant mes fesses, ce macho fait de nouveau tourner ma chaise. Encore une fois je dois subir les volontés des stagiaires. Je ne suis qu’un objet amusant pour eux. En tournant, mon visage frotte le pantalon et l’entrejambe de Daniel avant d s’arrêter.

- Mec, je crois que je ne pourrais jamais me lasser de la vue de ces gros nichons ! S’exclame Taylor en regardant mes seins se balancer sur le côté.

- Héhéhé ! Si on regarde bien, on peut même voir son anneau au nombril virevolter. Ajoute Daniel avec un rire.

Le spectacle doit être vraiment amusant, car le stagiaire noir donne une autre poussée à la chaise et il me fait tourner plus vite. Ça me prend tellement par surprise que je pousse des grands cris alors que ma poitrine se balance violemment et que l’anneau sur mon nombril frappe à gauche et à droite contre mon ventre.

Taylor tient sa grosse bite d’ébène et me gifle la joue avec lorsque mon visage se trouve devant lui. La honte de me faire gifler avec une queue me fait rougir. Mais j’oublie tout lorsque Daniel touche mon clitoris et m’envoie de nouvelles vagues de plaisir dans le corps.

Taylor pousse mon épaule pour faire de nouveau tourner la chaise. Je ne peux m’empêcher de crier à nouveau jusqu’à ce que la bite de Daniel me gifle aussi. En même temps, Taylor tend la main et gifle mon clitoris, m’envoyant une nouvelle décharge d’extase dans la colonne vertébrale.

- EEEHHH Oooooohhhh EEEEHHHH !

Mes cris se transforment en gémissements, pour redevenir des cris lorsque Daniel me pousse une nouvelle fois et fait tourner la chaise. Les deux stagiaires m’utilisent comme une toupie chantante. Ils jouent avec moi comme des enfants avec un nouveau jouet.

La directrice d’entreprise est réduite à une toupie bruyante pour le plaisir des jeunes gars. De plus en plus j’ai l’impression de n’exister que pour le plaisir de ces gars.

Les deux stagiaires continuent de me faire crier et gémir en me faisant tourner sur ma chaise, leur bite giflant mes joues et leur main claquant mon clitoris. Je tourne encore et encore et bientôt je suis étourdie. Quand ils arrêtent finalement de jouer avec moi, je me retrouve face à la bite de Daniel.

- C’est mon tour ! Dit Taylor en poussant mes fesses pour faire tourner la chaise.

- Non c’est mon animal de compagnie, ma suceuse ! Dit Daniel.

Avant même que la chaise s’arrête ; il donne une nouvelle impulsion sur mon cul et fait tourner mon corps. Comme des gamins mal élevés, les deux gars se disputent pour savoir qui va être le premier à mettre sa bite dans ma bouche.

Et je tourne ! Et je tourne !

La rotation devient de plus en plus rapide. Le balancement de ma poitrine est devenu de plus en plus violent. J’aurais basculé de la chaise si je n’étais pas attachée.

- S’il vous plaît, j’ai le vertige ! Crié-je alors que je commence à avoir des nausées.

Heureusement ils arrêtent le mouvement et ils éclatent de rire. Ils ne se disputaient pas en réalité. Il voulait tester la résistance de leur jouet. Quels salauds !

Je me retrouve face à Taylor. Malgré ma tête étourdie et enivrée, je suis tellement excitée que j’agis comme une salope avide de sperme. Pas besoin de préliminaires, je vois une bite devant mon visage et je vais la sucer goulûment comme une friandise.

Me penchant en avant, j’essaie d’avaler le gourdin de chair du stagiaire noir. Mais celui-ci a d’autres plans. Il fait glisser sa bite sur mon visage et mes lèvres pour me faire comprendre qu’il a le contrôle. Pendant ce temps ma chatte me picote de façon exaspérante. J’ai vraiment besoin qu’elle soit remplie avec une grosse bite bien dure.

Mais je n’ai pas à attendre longtemps avant que l’on ne réalise mon souhait. Saisissant mes hanches, Daniel  me tire vers lui. La chaise de bureau roule vers lui et sa bite fend facilement l’entrée de mon sexe. Il faut dire qu’il a été fisté il n’y a pas longtemps.

Je grogne de façon bien audible. Toutefois, mes gémissements sont immédiatement étouffés Par Taylor qui enfonce son énorme membre dans ma bouche. Pendant que son gland glisse dans ma gorge, je sens les veines épaisses de sa queue contre mes lèvres, ma langue et mon gosier. Il place ses mains sur ma tête pour guider mes mouvements, même si ce n’est pas nécessaire. De toute façon je ne me débats pas, l’envie de plaire aux garçons étant trop présente.

Daniel me donne de vigoureux coups de reins et pousse sa bite dans et hors de ma chatte. Attachée à la chaise, j’ai l’impression d’être une volaille rôtie embrochée des deux côtés. Ses coups de bite dans ma chatte qui fuit sont si puissants que la chaise de bureau est poussée d’avant en arrière, empalant ma bouche sur la grosse queue noire de Taylor à chaque coup. J’ai l’impression que mes seins vont se détacher. Ils se balancent d’avant en arrière et frappent le dossier de la chaise.

Daniel me baise si fort par-derrière qu’il m’est difficile de continuer à faire plaisir à Taylor avec ma bouche. Pourtant j’essaie de garder sa bite autant que possible, comme un chien qui ne veut pas lâcher un os.

Mes lèvres glissent rapidement le long de son membre noir et ma langue tournoie sans cesse autour de son sexe tandis que ma bave coule des coins de ma bouche en flot continu. C’est délicieux ! Des bruits de succion émergent de ma chatte trop humide et se mélangent avec mes bruits de bouche.

CLAC !

CLAC !

Soudain, les deux bites se retirent et deux empreintes de mains brûlent mon cul.

- AIEEEE ! Crié-je avec une seconde de retard.

La chaise tourne à nouveau. Les seins ballottants, je tourne. Et avant même d’avoir fini de crier, Daniel enfonce sa bite dans ma bouche. Elle est complètement enrobée de mon jus. Avec avidité, j’avale mon fluide gluant qui se trouve sur la tige de mon homme. Pendant ce temps, Taylor passe sa bite sur ma fente qui fuit pour ramasser encore plus de mon jus de chatte.

CLAC !

CLAC !

Avec deux grosses claques, le stagiaire noir ajoute l’empreinte de ses deux mains à celles de Daniel sur mon gros cul. Et il me fait tourner à nouveau. Dès que mon visage se retrouve devant lui, il met son énorme bite dans ma bouche et me laisse sucer mon jus.

Mon sexe dégoulinant se retrouve devant Daniel qui recommence à me pilonner. Pendant quelques minutes il matraque mon antre humide à un rythme furieux comme s’il était possédé par un démon. Je sens les décharges électriques annonciatrices d’un orgasme s’accumuler dans mon ventre. Je ne suis pas loin de jouir.

Toutefois , juste avant que mon homme soit sur le point d’éjaculer, il sort sa bite et fait un pas en arrière. Suivant son exemple, Taylor recule lui aussi et sort sa queue de mes lèvres. Il y a maintenant un espace entre moi et leurs bites.

Une poussée dans le dos fait soudainement avancer la chaise. Daniel m’a donné une bourrade et a fait rouler la chaise vers Taylor. Je garde la bouche ouverte et son sexe y entre sans aucun geste de ma part.

Dès que mon menton heurte les grosses couilles noires du stagiaire il pousse mes épaules et renvoie la chaise. En roulant en arrière, ma chatte s’empale facilement sur la bite bien raide de Daniel.

En avant ! En arrière : En avant ! En arrière !

Maintes fois, les deux stagiaires poussent la chaise d’avant en arrière et remplissent chacun à leur tour ma bouche et ma chatte. Je suis juste un morceau de viande attaché à une chaise qui bouge pour que mes trous soient pris par les queues des jeunes gars.

Il continue à utiliser la chaise de bureau jusqu’à ce que Daniel soit sur le point de jouir. Finalement il attrape mes hanches et enterre chaque centimètre de sa queue en moi. Me donnant deux coups de reins supplémentaires, je sens son sexe se tendre. Avec un long gémissement il se vide en moi. J’ai l’impression qu’il déverse des litres de foutre alors que je reste à vibrer d’excitation.

CLAC !

CLAC !

Deux autres claques sur mon cul annoncent la rotation de la chaise. Dès que mes fesses font face à Taylor, il pousse de nouveau son énorme bite contre ma fente.

- Tu sais ce qui va arriver Miss BRATZ n’est-ce pas ? Tu l’attends non ? Demande-t-il.

Je ne sais pas trop de quoi il parle, et automatiquement je serre mon trou du cul en réaction à ses paroles. Je suis un peu paniquée. C’est ce que je crains depuis que le stagiaire noir a commencé son tour du défi du rouge à lèvres.

A ce jour, j’ai plusieurs bites qui m’ont sodomisée, Daniel, ses potes et les autres stagiaires. On peut dire que mon homme m’a cassé le cul ou « trou à merde » comme il aime dire. Pourtant je ne suis pas une experte en sodomie et aucun de ceux qui m’ont enculée n’ont une bite aussi impressionnante que celle de Taylor.

Son sexe fait probablement trente centimètres de long pour quinze d’épaisseur. Déjà, il tient à peine dans ma bouche. Je suis petite avec un petit squelette. Mon corps n’est pas fait pour accueillir une queue aussi massive.

Pourtant, le stagiaire noir veut que je le supplie de mettre son sexe dans mon cul. La pensée de cet engin me sodomisant est fortement inquiétante. Cependant, comme je suis attachée sur une chaise, je ne peux pas résister de toute façon.

- S’il vous plaît Monsieur, maquiller mon cul ! Supplié-je finalement après avoir refoulé ma peur.

- Je veux mettre du rouge à lèvres sur votre bite comme une bonne enculée est censée faire. Ajouté-je.

Taylor n’a pas besoin que je lui dise deux fois. Quand je regarde par-dessus mon épaule, je vois Matt prendre le rouge à lèvres dans mon sac à main et le tendre au stagiaire noir. Ce salaud met même une claque dans le dos de son collègue pour le féliciter de son initiative.

Taylor prend son temps pour maquiller avec précision le contour de mon trou du cul. Il pousse même le rouge à lèvres à l’intérieur pour le préparer. Il s’applique à rougir mon trou sensible. Puis il applique de grandes quantités de mon jus de chatte sur mon sphincter pour le lubrifier.

Même si Matt m’a déjà enculé plus tôt, je sais que je ne suis pas prête pour le monstre de Taylor. Mais au moins, mon cul est lubrifié et bien préparé. Malgré son audace croissante le stagiaire noir va doucement en posant lentement son membre à l’entrée de mon cul.

- Oohhhhhh ! Aiiiiiiiieeeee ! Merde ! Crié-je quand je sens que mon sphincter commence à céder.

Très lentement le jeune noir force son gland dans mon cul. Néanmoins, la tête de sa bite étire mon trou du cul plus que certaines bites qui ont envahi mon trou auparavant.

- Ooooohhhhhh ! Putain ! AIIIIEEEEE !

Jetant ma tête en arrière et envoyant mes cheveux châtains voler au-dessus de mes épaules, je beugle encore plus fort quand Taylor applique une pression pour pousser son gourdin dans mon cul. Mais ça n’avance pas du tout. Son sexe est tout simplement trop gros et mon cul trop serré.

Mais imperturbable, le stagiaire continue de forcer. Je crie encore et encore jusqu’à ce qu’une cravate atterrisse dans ma bouche pour étouffer les sons pour la deuxième fois de la journée. Désespérément, j’essaie de me détendre, mais la douleur est trop intense.

Taylor commence à donner des petits coups énergiques. Il essaie de me casser le cul comme un marteau-piqueur forant du béton. Et il réussit. Très lentement , centimètre par centimètre, mon trou du cul s’étire et son énorme bite glisse à l’intérieur.

Matt et Justin applaudissent et sifflent alors qu’ils regardent la pute de bureau se faire embrocher par une grosse queue noire. Finalement, Taylor a tellement martelé mon cul qu’il s’est rendu et sa bite est entré dans ma caverne intime.

Le stagiaire commence à me baiser avec des coups durs et forts. Chaque coup me fait trembler dans mes liens. Je crie derrière la cravate quand je le sens retirer sa bite de mon cul jusqu’à ce que seul son gland reste à l’intérieur puis m’empaler une nouvelle fois.

Le jeune noir a une endurance impressionnante alors qu’il continue à m’enculer vigoureusement pendant dix bonnes minutes. Malgré cette baise continue, mon trou du cul serré ne s’habitue pas à la taille de ce monstre et il sert l’engin comme un étau. Toutefois, après un certain temps, cette pression commence à stimuler les nerfs sensibles de mon rectum, ajoutant du plaisir à la douleur. Bon sang, c’est tellement intense !

A chaque coup de rein, Taylor prend de la vitesse. Ses couilles battent contre ma chatte et son torse claque contre mes fesses. Je sursaute et je ressens une décharge à chaque fois dans ma chatte. Il défonce mon cul avec tant de force que Daniel doit saisir la chaise pour l’empêcher de bouger partout dans le bureau. Il en profite pour gifler mes joues avec sa bite recouverte de sperme.

Lorsque finalement la queue du stagiaire noir se contracte et qu’il laisse échapper un grognement profond, Daniel lâche la chaise pour que le dernier coup de reins de Taylor dans mon cul pousse la chaise.

Tandis que ses couilles se vident et que du sperme blanc et épais commence à sortir de sa queue, la chaise roule à travers le bureau. Donc le premier jet de foutre forme un arc et éclabousse mon cul. Et pendant que je m’éloigne, complètement impuissante, les jets suivant giclent en l’air et retombent sur le sol de mon bureau.

Attachée à la chaise, je ne peux rien faire d’autre que de regarder le mur se rapprocher tout en poussant des cris bruyants. Le dernier coup de reins de Taylor a été si puissant que la chaise roule jusqu’à ce qu’elle s’écrase contre le climatiseur. Ma tête a presque heurté la vitre et je me retrouve à regarder par la fenêtre.

Je ne me suis jamais sentie aussi impuissante auparavant. La vue de la pute de bureau enchaînée et roulant à travers le bureau doit être si comique que les gars sont pliés de rire. Bien sûr, juste au moment où la chaise est arrivée devant la fenêtre, un groupe de mes collègues traversait le parking. Vous savez maintenant que je n’ai pas de chance !

Aucun son ne s’échappe de mes lèvres alors que j’essaie désespérément d’éviter tout ce qui pourrait les avertir et leur faire tourner la tête vers ma fenêtre. Le premier collègue atteint sa voiture et ouvre la portière. Pour y entrer, il se retourne. Il fait directement face à l’immeuble de nos bureaux. Il lui suffit de lever les yeux pour me voir !

A ce moment-là, Daniel tire la chaise et m’éloigne de la fenêtre. Une seconde de plus et mon collègue m’aurait vu. Et ma situation aurait été dévoilée.

En regardant mon homme, je peux voir qu’il est tout aussi heureux que moi d’éviter cette exposition. Mais quand je regarde Matt, je vois qu’il ne partage pas cet avis. Le scandale évité, Daniel me libère de mes entraves. Après que mes bras et mes jambes aient été attachés ensemble si longtemps , je n’ai plus la force de me tenir debout toute seule alors je tombe à genoux. c’est Justin alors qui se moque de moi :

- Dommage que tu n’aies pu garder ton cul sur la bite de Taylor, putain de salope ! Nous ne voulons pas que tu gaspilles du sperme, non ? Allez, au boulot chienne !

Taylor avait éjaculé une quantité impressionnante de foutre et il y en avait partout sur le sol de mon bureau. Et pendant la journée, plusieurs personnes avaient marché sur ce sol, donc il n’est pas vraiment propre. Je n’ai pas vraiment envie de le toucher avec mes lèvres.

Pourtant j’ai un défi à accomplir. C’est mon travail d’utiliser mes trous pour mettre du rouge à lèvres sur leurs bites et récupérer leur foutre. Je n’ai pas très bien géré la deuxième partie travail. Je dois donc rectifier cette erreur même si ça signifie de lécher le sperme sur le sol sale.

Déterminée, je me glisse jusqu’à la flaque de sperme au milieu de mon bureau. Tous les muscles de mes membres me font mal, mais je n’y prête pas attention.  Sentant plusieurs paires d’œils posés sur moi, je me penche et je sors ma mangue. La pensée de toucher ce sol sale foulé par un tas de chaussures pas trop propres me fait frissonner et trembler.

Pourtant je me penche jusqu’à ce que ma langue entre en contact avec le parquet. Le frisson de dégoût augmente jusqu’à ce que tout mon corps se contracte. Je dois fermer les yeux. Puis consciencieusement, je lape la masse gluante.

Avec Daniel qui me dirige, je dois ramper d’un endroit à un autre jusqu’à ce que j’ai léché chaque goutte de sperme. Finalement, ma langue est engourdie et j’ai l’impression d’avoir nettoyé tout le parquet. Mais je n’ai ramassé que le sperme de Taylor.

Fini le défi du rouge à lèvres, les quatre stagiaires quittent rapidement mon bureau. Il est tard et ils veulent rentrer chez eux. Je sais que je n’arriverai plus à travailler, alors je décide de partir aussi.

Rapidement je réajuste ma tenue et je vérifie mon apparence dans les toilettes pour femme avant de descendre. Quand je suis au niveau inférieur, j’entends du bruit venant du bureau des stagiaires. Je décide alors d’aller voir ce qui se passe.

- Où étiez-vous ? Je vous ai cherché partout !

J’entends la voix de LAMBERT qui crie sur les quatre stagiaires quand j’arrive au bureau.

Il semble qu’il est en colère et passe une avoinée aux quatre jeunes. Inutile de dire qu’ils ne peuvent raconter la vérité. Je dois donc intervenir et les aider. En entrant dans leur bureau, je demande à mon collègue ce qui se passe.

C’est alors que je me souviens que je n’ai plus de chemisier. Même si j’ai boutonné la veste en cuir bordeaux, elle laisse entrevoir un joli décolleté. Mais c’est trop tard maintenant pour faire marche arrière.

De toute évidence, LAMBERT souhaitait revoir la présentation une dernière fois avant de rentrer chez lui. Avec les stagiaires absents il a dû attendre. Il semble plus que déçu par leur travail.

Il est tellement en colère qu’il m’a à peine regardé. Tout en essayant de garder mon décolleté hors de sa vue, j’essaie de la calmer et je lui parle des bons résultats précédents de Daniel, Taylor et Justin. Mais il ne m’écoute pas. Il reste en colère et continue à engueuler les stagiaires.

Alors qu’il prend une courte inspiration, Matt en profite pour essayer de trouver une excuse. En regardant les trois autres, je leur fais signe de trouver des excuses similaires.

C’est alors que je remarque une grosse traînée de rouge à lèvres sur le pantalon de Daniel, juste à côté de son entrejambe. LAMBERT ne l’a pas encore vu. A la hâte je fais signe au latino pour attirer son attention sur cette tache.

- Pourquoi ne demandez-vous pas à Daniel où il était ? Dit soudainement Matt à LAMBERT en pointant directement la tache sur le pantalon du latino.

Quel enfoiré ! C’est évident, il essaie de reporter la faute sur Daniel et de le faire virer. Si mon collègue voit la tache de rouge à lèvres, il n’y aura aucune excuse qui pourra le protéger.

Sans réfléchir, mes mains se mettent à bouger et je tire le rouge à lèvres de mon sac à main puis je lève ma main comme pour le porter à ma bouche. Pendant ce temps, LAMBERT se retourne lentement comme s’il  bougeait au ralenti.

Rapide comme l’éclair je tourne ma cheville, et je fais semblant de casser le talon de ma chaussure droite. Simulant une culbute en avant, je me penche. Je baisse ma main tenant le rouge à lèvres et je presse le cosmétique rouge contre le pantalon du latino. Puis en  feignant la surprise je glapis :

- Ouppps ! Oh mon Dieu, je suis vraiment désolée. J’ai complètement sali votre pantalon Daniel. C’est de ma faute, je vous paierai le teinturier.

Les yeux écarquillés, LAMBERT me regarde avec perplexité et il secoue la tête avec désapprobation sur ma perte d’équilibre. On peut clairement le voir penser : « Et cette bimbo est censée être ma supérieure ? ».

Dans ma position penchée, il a même pu voir profondément dans mon décolleté. Il a dû voir que je ne portais ni chemisier, ni soutien-gorge. Cependant, pour le moment je m’en fiche. C’est un petit sacrifice. Le plus important est de sauver Daniel et contrecarrer le plan de Matt. Au moins ça a fonctionné.

Mon jeu d’actrice doit être convaincant, car LAMBERT croit que je suis maladroite et que j’ai perdu l’équilibre en me mettant dur rouge à lèvres.

Cet intermède a également eu l’avantage de le calmer. Après avoir dit aux stagiaires qu’il les surveillerait de plus près les prochains jours, il quitte le bureau. Nous avons survécu à la journée, même si je ne suis pas sûre  de savoir combien de temps nous allons pouvoir continuer comme ça. Il faut que Daniel ait un bon plan et qu’il le mette en route au plus tôt.

A suivre…

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