vendredi 29 mars 2024

Chantier Ch. 03

 Récit de lecteur9 (2007)

*****

Baisée par le concierge, puis par un étudiant.

Claudia doit sortir porter des vêtements de son mari, au pressing. Elle enfile une courte jupe, boutonnée derrière, des talons mi-hauts et enferme son orgueilleuse poitrine nue sous une veste de tailleur un peu décolleté mais qui reste encore classique. En apercevant son reflet elle voit la parfaite jeune femme élégante et raffinée qu'elle a toujours été.

Mais soudain, elle se rappelle que Mourad en partant, a laissé la porte ouverte et elle reste debout, livide, la bouche ouverte, en voyant défiler dans son esprits des images obscènes de son corps livré à des inconnus qui la prennent partout.

Reprenant ses esprits, elle se rend compte que la culotte qu'elle vient d'enfiler est trempée. Elle l'enlève d'un geste élégant et la lance sur le lit. Alors qu'elle en prend une autre, une brusque inspiration la saisit. Et c'est le ventre à l'air et les joues empourprées par son audace qu'elle sort de l'appartement. En bas de l'escalier elle croise le concierge. Ce dernier en la voyant arriver.

- « Madame Bonnelli, vous penserez à prendre le colis pour votre mari ! »

- « Ah ! oui ! J'avais complètement oublié ! Je dois faire quelques courses et je le prendrais au retour ! » Dit-elle sans un sourire en montrant le sac qu'elle tenait à la main.

- « Euh, oui ! Bien sûr ! »

Claudia s'éloigne et sort de l'immeuble. Le concierge la regardant partir, fixe avec insistance les fesses plantureuses de la jeune femme moulées par sa jupe. Il n'est pas surpris par le ton sec de la jeune femme, elle qui le toise toujours de haut et qui ne lui adresse jamais la parole que forcée.

Il rentre dans sa loge, songeur. Dans sa chambre sortant les clichés qu'il avait pris à la sauvette, de la jeune femme, il les étale sur le couvre lit et sortant son sexe, se met à se masturber frénétiquement.

Il est 11 heures, et il ne fait pas encore trop chaud. Claudia prend sa Clio dans le garage attenant à l'immeuble et part en ville.

Les sens rassasiés pour la première fois depuis des semaines Claudia est joyeuse, même si elle se dégoute de ce qui s'est passé et ne veut absolument pas penser à ce qui l'a rassasiée. Tout au long de ses courses, elle se trouve émoustillée rien qu'à l'idée de se savoir nue sous sa jupe. Elle revient un peu plus d'une heure plus tard. Garant la voiture, elle se dirige vers l'entrée, cherchant ses clés, lorsque une voix l'interpelle.

Elle se retourne et voit Mourad qui l'attend, adossé à un mur. Il lui fait signe de le suivre. Claudia hésite, regardant autour d'elle puis ne voyant personne, le suit.

Le concierge, sa rapide branlette terminée, n'attendait que le retour de la jeune femme, un appareil de photo entre les mains, caché derrière sa fenêtre, comme presque tous les jours, guettant son retour. Des photos d'une nouvelle tenue à ajouter. Il la voit arriver, heureux d'ajouter d'autres clichés à sa collection.

Mais à mi-chemin, elle s'arrête et semble regarder vers le chantier. Intrigué, il la suit du zoom, et son sexe se tend dans son pantalon quand il voit Mourad l'attendre dans un coin. Ce dernier est bien abrité des regards des balcons, mais la loge du concierge permet une vue idéale. La bouche sèche, les mains moites, il mitraille la jeune femme et attend de voir ce qui va se passer.

Claudia avance, un peu inquiète, jetant des regards aux alentours. Arrivée près de Mourad, elle sent une gêne l'envahir. Il la regarde sans ciller et d'une voix suave.

- « Jolie tenue ! Tu la mettras, la prochaine fois ! Ca m'excite de baiser une bourgeoise ! »

La voyant pâlir, il ricane et ajouta.

- « Je veux juste revoir ton cul avant d'aller bosser ! Ca ne te gêne pas, non ?»

La jeune femme, paniquée, cherche à se dérober mais devant l'air menaçant de l'arabe elle s'exécute. Elle remonte la jupe sur ses hanches, et jambes pliées, elle doit tendre son cul pour que Mourad puisse bien voir les fesses s'écarter d'elles mêmes. Lorsqu'il glisse un doigt dans sa raie, elle a un gémissement sourd mais se mord les lèvres quand il le lui enfonce sans autre forme de procès dans l'anus.

- « Déjà plus facile ! Bientôt tu n'aura même plus à me lubrifier pour qu'il entre ! »

Et d'une claque sonore et humiliante, il fait comprendre à la jeune femme que c'est tout pour le moment. Soulagée, mais avilie, Claudia rabat sa jupe et le quitte, les joues empourprées.

Le concierge, lui n'a pas raté une seule seconde, sans même répondre à la sonnerie de son téléphone. Il a pris en photos la scène. Très excité par ce qu'il vient de voir et irrité de voir celle qu'il considère comme sa « propriété » aux mains d'un autre. Il sort en courant de sa loge et attend la jeune femme à mi-escalier. Il ne sait pas ce qu'il va lui dire mais il se jure bien de profiter lui aussi de cette femelle, qui le fait rêver depuis le jour où son con de mari et elle se sont installés. Il a tellement de projets pour elle.

Claudia, ouvre la porte de l'immeuble et entre dans le hall frais avec soulagement. Elle a cru jusqu'à rentrer dans l'immeuble qu'il la rappellerait. Elle s'avance dans le hall et aperçoit le concierge.

- « Oh ! Le paquet... J'allais encore oublier » dit-elle en s'efforçant de reprendre ses esprits.

Le gros homme descend pesamment et lui montre la porte de sa loge. Claudia, perdue dans ses pensées, ne voit pas le regard que lui jette l'homme. Il lui demande d'entrer. Un peu surprise, mais bon, elle va faire un effort aujourd'hui.

La pièce est assez sombre et mal décorée. Une table ovale trône au milieu de la pièce. Le concierge cherche dans un de ses tiroirs et en sort un petit paquet. Claudia va tendre la main pour le prendre et s'en aller lorsqu'il lance.

- « Vous savez la vie de concierge n'est pas gaie tous les jours... » Commence t il.

La jeune femme qui pressent une longue conversation, s'apprête le couper lorsqu'elle pâlit en entendant.

- « Alors on regarde les gens qui passent, par la fenêtre ! Oui celle là, on voit bien de celle là ! On voit beaucoup de choses ! » Ajouta t il en la fixant.

Claudia gênée, croit qu'il plaisante mais quand il ajoute.

- « Alors je fais des photos ! Récemment j'ai pris une jeune femme avec un inconnu ! Si, si ! Et figurez vous que cette jeune femme est mariée ! Ce n'est pas honteux ça ! » 

En haussant le ton 

- « Et moi je ne sais que faire ! Vous croyez que je dois en parler à son mari ?» Termine-t-il avec un sourire ouvertement ironique.

Claudia, se sent tomber, mais se retient à la table et calmant l'angoisse qui la paralyse réussit à articuler.

- « Vous devriez... en parler à cette... cette personne... qui pourrait surement... vous... vous prêter... enfin... oui ! ... vous prêter de l'argent ! Non ? »

Essayant de conserver son calme, elle attend le résultat de sa proposition. Le concierge fait mine de réfléchir puis la fixant. Un long, un très long silence avant qu'il se décide.

- « C'est une très bonne idée, je vais y penser ! Mais... euh... si je lui demandais d'abord d'ouvrir sa veste ! »

Claudia sursaute, elle ne s'attendait pas à cela. Nerveuse, elle cherche à tergiverser, peut être essayer de l'apitoyer mais vu le regard qu'il lui lance, elle sait que ce serait en vain. Alors en désespoir de cause, baissant les yeux, elle commence à défaire les boutons de la veste.

- « Je... euh.. crois... qu'elle n'a pas le choix ! » Termine-t-elle dans un sanglot alors que sa veste s'ouvre et que ses seins épanouis jaillissent, les pointes dressées.

Le concierge déglutit avec peine, les yeux exorbités, jamais il n'a vu une poitrine aussi grosse et aussi ferme, mieux qu'il ne l'imaginait.

- « Vous croyez que si je lui demandait de... de bien remonter sa jupe ! »

Elle croise son regard, rouge de confusion puis prenant une brusque inspiration, elle remonte sa jupe sur ses hanches blanches. Le concierge bande comme un fou, mais quand il découvre la toison brune de la jeune femme, bien dessinée, il manque à peine d'éjaculer dans son pantalon.

La jeune brune garde la tête baissée, rouge de honte. Comme un fou il se débraguette, sortant un sexe court mais trapu sous son ventre proéminent.

- « Allez salope ! Allonge toi sur la table et écarte les cuisses, que je t'enfile ! »

Claudia, pâlit, recule, jusqu'à ce que ses fesses nues viennent buter contre la table.

- « Mais ! Je vous en prie ! Pas ça ! je ferais ce que..... »

- « Ta gueule ! Ca t'excite plus de te faire baiser par ces bicots, putain ! Allez monte sur la table ! Vite ! »

Claudia, paniquée par l'air furieux du concierge, s'assied sur la table et se laisse tomber à la renverse. Elle détourne la tête, pleurant de honte lorsqu'il s'approche. Lui attrapant les mollets, il lui écarte les cuisses très largement et l'attire jusqu'à ce que sa fente vienne à la limite du rebord.

Quand la jeune femme sent le gland pointer à l'entrée de son ventre, elle éclate en sanglots. Lui trop excité, passe le gland le long de la fente délicate, remontant le glisser sur sa toison, puis d'un coup sec, il l'emmanche. Elle pousse un gémissement de douleur.

Mais l'homme trop occupé par son plaisir égoïste, se met à la défoncer avec vigueur. Ses couilles poilues venaient taper contre les fesses laiteuses de la jeune brune avec un bruit sourd. Délaissant ses jambes, il attrappe les seins de la jeune femme, se mettant à les pétrir.

- « Salope ! Ohhh ! Tu es si chaude ! Prends ça, sale pute ! Ca te plait de te faire ramoner, hein ? Tu commences à aimer, on dirait ! »

En effet, Claudia ondule des hanches, venant au devant du sexe. Elle se dégoute mais un plaisir sale et trouble l'envahit. Ce n'était pas le sexe qui la pénètre qui lui procure ce plaisir. C'est la situation si sale et humiliante. Et maintenant il se met à lui tripoter les seins.

Ils continuèrent à baiser sans bruit, le silence entrecoupé uniquement des gémissements étouffés de la jeune femme ou les « Han » de bucheron du concierge. Claudia, sent le plaisir arriver à toute vitesse et ne peut s'empêcher de gémir.

- « Ohhhh ! Ouuuiiii... je jouis... encore ! plus fort ! »

Le gros type, suant comme jamais, essaye de se retenir le plus longtemps possible mais ces cris lui font perdre la tête et il ressort son sexe, pour voir des jets de sperme blancs fuser. Il éjacule avec violence, et macule la toison de la jeune brune de sperme, des coulées luisant sur le ventre plat et opalin de la jeune femme.

Une trainée blanche coule même le long d'un sein et sa jupe marron retroussée est tachée en plusieurs endroits. Prit d'une soudaine inspiration, il attrape son appareil photo et s'approche de la jeune femme encore étendue.

Il lui présente son sexe maculé de sperme d'où coule quelques gouttes. Elle le regarde mais sans commentaires sort sa langue et lui lèche le gland puis le prend en entier dans la bouche. Le bruit d'une photo la fait frissonner alors il lui demande de le regarder en lui nettoyant la queue et il fait une autre photo d'elle.

Claudia semblait ne pas sortir de son plaisir. Les photos lui déclenchent de variables frissons tout le long du corps. Une fois le sexe bien nettoyé, il revient devant elle et la prend ainsi, allongée sur la table, cuisses grandes ouvertes, le corps maculé de traces blanchâtres.

- « Mets-toi à quatre pattes ! »

Elle obéit, en levrette sur la table. Il fait une photo d'elle ainsi, puis un gros plan de ses fesses écartées puis posant l'appareil et lui tâtant l'anus.

- « Dis donc toi, tu t'es faite enculer y a pas longtemps ! »

La jeune brune a un hoquet de honte mais ne répond pas, restant ainsi cambrée, cul nu. Devant son silence qui signifie un acquiescement.

- « L'arabe ! C'est lui qui t'a élargi ! J'ai bien envie moi aussi de passer par là ! Tu as l'air bien serrée ! »

- « Non ! Pas ça ! Vous êtes trop gros... et j'ai mal ! »

Souriant, l'homme ne répond pas, flatté par la réflexion de la jeune femme et de toute façon deux fois en une heure c'est bien trop pour son âge. Il reprend l'appareil et rassure la jeune femme inquiète. Allant devant elle, et braquant l'appareil à cinquante centimètres de son visage.

- « Sors-moi ta langue ! Ouvre un peu la bouche ! Voilà comme ça et regarde l'objectif ! »

Il la prend ainsi, parfaitement obscène et lui murmure en l'aidant à se relever.

- « Comme ça je pourrais me branler et juter sur ta mignonne petite gueule quand je voudrais ! Fous-toi à poil ! »

Claudia rougit quand elle entend cela et avec un reste de pudeur et de honte elle se dévêt complètement. Le gros type ricane.

- « Vous alors, les bourgeoises ! Je viens te défoncer la chatte, tu m'as sucé la bite et tu rougis pour te déshabiller ! »

Il la fait se tourner, la photographiant, nue, puis :

- « Prends tes grosses mamelles à pleine main et caresse toi les bouts ! Voilà comme ça ! »

Claudia, obéit, de plus en plus excitée de se montrer ainsi. Le fait de se montrer ainsi devant ce type gros et laid la rend morte de honte mais la fait mouiller.

Une fois la pellicule finie, il lui indique la salle de bains, pour aller se nettoyer des traces. Elle se promène nue devant lui et en la regardant marcher, ondulant des fesses, il sent son sexe se dresser à nouveau.

- « Tu vas voir ! On va bien s'amuser tous les deux ! » Marmonne-t-il à mi-voix, fixant les fesses généreuses de la jeune brune.

Lorsqu'elle revient il tient à la main une camera vidéo et lui tend sa veste.

- « Enfile-la ! »

Claudia l'enfile, sans la boutonner, la veste s'arrête à sa taille laissant nu son sexe bombé.

- « Bon maintenant on va chez toi ! »

- « Mais... je... je suis nue... et... »

- « Ah ! Bon ! et alors ? »

- « Si... si on rencontre quelqu'un... ! »

Il la regarde en riant, l'attrapant par le bras et la pousse dans le hall.

- « Si c'est un homme, hé bien... tu te feras tringler... et si c'est une femme... tu passeras pour une salope ! »

Il lui assène une claque sonore sur le fesses.

- « En avant ! »

Claudia sort dans le hall, tremblante d'appréhension, les pointes de ses seins dressées par la honte. Il est derrière elle et mettant en marche la caméra il la filme de dos, s'arrêtant sur ses fesses nues cambrées qui ressortent très bien. Sa peau blanche contraste avec le tissu sombre de sa veste.

La jeune brune monte lentement les marches, les jambes flageolantes, s'arrêtant à chaque bruit. En se retournant elle voit le gardien filmer son ascension, lui faisant signe de la main d'avancer. Elle ferme les yeux, humiliée et continue, sachant très bien qu'à chaque pas, il voit tout en contrebas. Heureusement qu'ils habitent au premier étage. Arrivée sur le palier, elle se retourne.

- « Les... les clés... sont dans mon sac ! »

Il ne répond pas et continue à filmer sa poitrine découverte entre les pans de la veste écartés. Il lui lance le sac, lorsqu'ils entendent une porte se refermer à l'un des étages supérieurs. La jeune femme, tétanisée, entend des pas rapides dans l'escalier.

Elle le regarde, éplorée. Mais le gros homme se penche par dessus la rampe et jette un coup d'œil en l'air. Il sourit et continue à la filmer. Claudia, complètement affolée, se jette sur lui, pour lui arracher le sac. Il l'évite et se recule un peu. La jeune femme, en sanglots.

- « Je... je vous en prie ! »

Mais c'est déjà trop tard, elle entend les pas derrière elle et se retourne dans un reflexe. Elle aperçoit un des locataires du troisième étage, un étudiant maigre et boutonneux qui la fixe, bouche bée. La jeune brune plaque une main devant son sexe et de l'autre referme sa veste. Elle se recule contre le mur, rouge de honte, les joues baignées de larmes.

L'étudiant les regarde sans comprendre, son regard allant du concierge qui filme toute la scène avec calme, jusqu'à la jeune femme. Il la détaille lentement et Claudia croit s'évanouir quand elle aperçoit un éclair dans les yeux du jeune homme.

Ce dernier, sa surprise passée, arbore un sourire ironique sur son visage étroit. La jeune brune a perdu toute dignité et reste recluse dans son coin. Le concierge, d'une voix sirupeuse.

- « Allons ! Madame Bonnelli, montrez donc ce que vous cachez à ce Monsieur ! Voilà ce qui se passe quand on promène cul nu ! »

La jeune femme ne bouge pas, et elle voit à travers ses larmes, l'étudiant approcher. Elle a un geste de recul et de dégout qui n'échappe pas aux deux hommes. Un rictus moqueur sur le visage, le jeune homme tend sa main et attrapant le poignet de la jeune femme il murmure :

- « Je peux ? » d'un air amusé.

Comme Claudia ne répond pas, trop humiliée, il lui semble qu'elle touche le fond, l'homme lui écarte le bras. La veste s'ouvre et ses seins semblent jaillir des pans écartés. Elle étouffe un hoquet de honte quand il se met à les soupeser avec ses longs doigts fins. Sa peau se couvre de chair de poule et sa respiration s'accélére.

Ensuite, il la fixe dans les yeux. Claudia ne détourne pas le regard et ne cherche pas à résister lorsqu'il écarte l'autre main. Elle a juste un sursaut, lorsqu'il baisse les yeux pour fixer son entrecuisse.

- « Je m'étais toujours demandé si tu étais fournie... »

Comme il reste là, immobile à un mètre d'elle, le concierge pose sa caméra et sort les clés de la jeune femme de son sac.

- « Nous allions dans son appartement ! Mais je suis sûr que Claudia ne verra aucun inconvénient si vous entrez ! »

La jeune femme sursaute à l'annonce de son prénom, mais ne bronche pas lorsqu'elle voit le concierge ouvrir la porte. L'étudiant qui cherche toujours son regard, s'écarte pour la laisser entrer. Claudia, les joues en feu, entre en titubant comme ivre, sachant le regard des deux hommes braqués sur ses fesses qui ondulent.

Ils entrent sans un mot et ferment la porte. Le concierge a repris sa camera.

- « Dans la chambre ! »

Claudia, docile, s'y dirige suivie par les deux hommes. Avant d'entrer elle les entend discuter à voix basse. Elle se retourne et voit l'étudiant, au faciès inquiétant, sourire.

Le concierge entre et se poste dans un coin de la pièce, les filmant. L'autre vient devant elle.

- « Enlève ta veste et allonge toi sur le lit ! »

Claudia, paniquée, comprenant ce qui va se passer, voudrait refuser, mais une écœurante faiblesse s'empare d'elle, alors elle obéit. Elle voit, le regard trouble, l'étudiant se déshabiller tranquillement.

Claudia pousse un cri de surprise en découvrant le corps malingre et presque décharné du jeune homme. Toutefois, ce qui la stupéfie c'est la vision de son sexe. En plein érection, très long, à l'image de son propriétaire.

Il vient s'allonger près d'elle. Elle frissonne. Se plaçant dans son dos, il la fait se mettre sur le coté et lui lève une jambe à l'équerre. Claudia pousse un gémissement de honte lorsque le concierge vient se placer de telle façon à filmer tout. Claudia, dans cette position lui offre tout et elle ferme les yeux lorsqu'elle sent ses nymphes se décoller. Elle sursaute quand l'étudiant, guidant sa queue d'une main, la promene sur son entaille, le long des lèvres humides jusqu'à son clitoris érigé. Il remonte dans son sillon, écartant les quelques poils bruns avec son gland puis s'arrête devant le petit trou qui palpite.

- « Non ! Je vous en prie ! pas ça ! » les implore t-elle en tremblant.

Mais avant qu'elle n'ait pu ajouter quoique ce soit, le gland est déjà entré. Elle éclate en sanglots, plus par honte que par douleur. Le sexe du jeune homme est beaucoup plus fin que celui de Mourad. La tenant aux hanches il se penche sur elle, et fait entrer peu à peu la moitié de sa queue entre les fesses de la jeune brune.

Cette dernière souffle, pour s'habituer au sexe qui la sodomise.

- « Tu l'as dans la cul salope ! Branle toi pendant que je te défonce ! Voilà ! »

Claudia glisse une main tremblante entre ses cuisses largement ouvertes et entreprend de se caresser. Elle frissonne de honte lorsqu'elle entend le bourdonnement de la caméra entre ses cuisses. Il doit tout filmer.

Sa main qui s'agace le clitoris et la queue qui s'enfonce entre ses fesses. Dans cette position cela doit être obscène. Il lui suffit de penser à cela pour qu'immédiatement, son sexe se mette à mouiller en abondance. Cela doit se voir à l'écran. Un frisson la saisit et elle sent un plaisir sale l'envahir. Mais c'est lorsque l'étudiant qui s'agite entre ses fesses, se retire et éjacule à longs jets sur la peau délicate de sa croupe qu'elle sent l'orgasme la saisir.

- « Salope ! ouiii ! Prend ça ! » 

Son plaisir est bref, et presque douloureux mais foudroyant. Elle reprend assez vite ses esprits, comprenant aux regards qu'ils lui jettent qu'elle a crié son bonheur. Elle détourne la tête et se cache le visage entre ses bras. Claudia entend leurs rires et leurs commentaires, mais la jeune femme reste là, affalée en travers du lit. Elle ne comprend pas comment elle a pu jouir. Les deux hommes la répugne au plus haut point, le concierge avec son ventre mou et son visage porcin et l'autre, véritable squelette ambulant.

Elle pleure sa honte et son désespoir en se demandant ce qu'elle est devenue. Puis quand elle comprend qu'il la tient avec le film et les photos, un spasme honteux la saisit. Le concierge pose sa caméra pour changer de cassette pendant que le jeune homme se relève. Elle croise le regard ironique et méprisant de l'étudiant.

« Alors, ma chérie ! Ca t'a plu de te faire bourrer le cul, hein ? Je crois que je vais venir te voir souvent... ! T'es la moins chère des putes ! Ah ! Ah ! »

Claudia, dégoutée, se cache le visage baigné de larmes dans un oreiller et répond d'une voix presque inaudible.

« Vous n'êtes que des sales porcs... ! »

Les deux hommes éclatent de rire en entendant sa phrase et Claudia n'a pas le courage de répondre quand le concierge ajoute.

« Faut croire que c'est ça qui t'excite... Tu joues la dégoutée et la prude mais tu gueulais comme une chienne en te faisant défoncer la rondelle, non ? Et je ne parle pas de ce que tu fais avec les arabes du chantier, salope ! »

L'étudiant jette un regard surpris vers le concierge puis se retournant vers la jeune brune.

« C'est vrai que tu te fais mettre par les ouvriers ? Dis, t'aimes quand c'est sale, hein ? Ben, tu vas être servie, ma jolie ! »

L'étudiant saisit Claudia par le poignet, elle manque de crier de douleur, il lui fait mal. Ce qu'elle lit dans ses yeux lui fait peur. Mais la sonnerie du téléphone résonne dans l'appartement. Tous les trois regardent l'appareil à coté du lit qui sonne. Claudia jette un regard implorant au concierge. Ce dernier met sa caméra en marche et la braque sur la jeune femme. Et d'une voix impérative.

« Qu'est ce que tu attends... réponds, connasse ! ! ! »

Claudia paniquée, sachant que ce sera surement son mari, ne bouge pas les yeux agrandis par l'appréhension. Et elle se relève, les cheveux en désordre, le sperme coulant le long de sa cuisse, les poils de son sexe collés par sa mouille séchée. Debout, leur tournant le dos, elle décroche et d'une voix aussi assurée que possible elle répond, en entendant le bourdonnement de la caméra derrière elle.

« Allô... »

« Oui, c'est moi... Chérie, tu as l'air essoufflée ? »

Claudia relève la tête. Le monde semble s'écrouler autour d'elle.

FIN.

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