Traduction du texte de Cathartico : "Jessica's Change Management"
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Jessica doit faire une présentation importante.
*** Semaine 3 – Jeudi ***
Mercredi a été une longue et dure journée de travail. J’ai eu du mal à ne pas être exposée à mes collègues. Et Daniel mon homme a risqué d’être renvoyé à causes des manigances de Matt. Toutefois je n’ai pas beaucoup de temps pour réfléchir à notre problème, car je dois partir en voyage d’affaires pour deux jours.
Le plus gros projet de mon département arrive à terme. Je dois donc faire des propositions pour son extension. Ce projet rapporte une grande partie des revenus de mon service et il est essentiel pour la prospérité de ma société. En conséquence, je ne peux pas me louper. Mais avec ma situation de soumise et les défis, je n’ai pas trouvé le temps de tout préparer.
En m’habillant pour la prochaine réunion importante, je suis divisée. D’une part, il est important pour moi d’avoir une allure de femme professionnelle et sophistiquée. D’un autre côté, je sais que Daniel veut que je garde un style de poupée glamour et sexy. Ce sont deux apparences difficiles à combiner.
Finalement j’opte pour un blazer gris serré avec des boutons et un col noirs, boutonné juste en dessous de mes seins, et une jupe crayon grise moulante avec des rayures latérales noires. En dessous je porte un chemisier noir. Pour compléter ce thème de couleur grise et noire, je mets des bas noirs, et des sandales à hauts talons grises aux bouts ouverts avec des brides noires. Les talons font bien dix centimètres.
Comme la réunion se déroule hors de la ville chez les clients, je peux déroger aux règles de Daniel et porter soutien-gorge et culotte. Donc, pour ajouter du piquant à ma tenue, je choisis un ensemble soutien-gorge et culotte rouge. Je ne montrerai pas beaucoup de peau, mais mes courbes seront bien apparentes.
Comme je ne veux pas faire trop poupée de luxe, je décide de ne pas mettre de bijoux. Toutefois un texto de Daniel contrarie mes plans :
« Peu importe où et quand, n’oublie pas les accessoires qui te désigne comme animal de compagnie ».
Zut ! Même en dehors de la ville mon homme veut me contrôler. Mais comment va-t-il savoir si je suis ses règles ? Pourtant je ne réfléchis pas longtemps à désobéir à ses ordres. J’imagine qu’inconsciemment j’espérais ces instructions, car j’avais étalé tous mes bijoux me désignant comme animal de compagnie.
Je mets donc le bracelet en argent avec la petite règle et le bracelet avec les dés autour de mes poignets. J’y ajoute également les bracelets en strass. J’accroche le collier avec la petite pierre autour de mon cou. Toutefois, je n’ose pas ajouter les bracelets de cheville en strass, car ils sont trop voyants.
En me regardant dans le miroir, je vois que ma tenue ne laisse pas beaucoup de peau apparaître. Néanmoins, les accessoires scintillants me font plus ressembler à une secrétaire de bureau sexy qu’à une directrice de projet. Mince, mon exposé du projet doit vraiment être convaincant et je dois être compétente afin que mes clients restent concentrés sur la présentation. Je dois vraiment être au top.
Ce n’est pas le cas.
Debout dans ma tenue professionnelle gris serrée au milieu de la salle de conférence, je fais de mon mieux pour faire une présentation convaincante. Mais ça ne se passe pas bien. A chaque fois que je lève le bras pour appuyer sur la télécommande du photo-projecteur pour passer à la diapositive suivante, la petite règle heurte le bracelet avec un bruit sourd. Non seulement ça distrait les clients, mais ça attire leur attention sur tous mes accessoires scintillants.
Le troisième cliquetis pousse le président du comité pour le projet, M. MOORE, un homme en surpoids aux cheveux gris, à tousser de contrariété. En réponse, je me contente de rigoler timidement et je continue ma présentation. Que faire d’autre ?
Le reste de mon exposé ne se passe pas mieux. A maintes reprises je perds le fil conducteur. Mon manque de préparation se fait sentir et je ne semble pas convaincante.
De toute façon, M. WILSON et M. ANDERSON, deux autres membres du comité, d’âge moyen, ne semblent pas se soucier beaucoup de ma présentation. M. WILSON, les cheveux noirs, ne peut arrêter de regarder mon décolleté. Le chauve, M. ANDERSON regarde mes bijoux, essayant de comprendre leur signification. Plusieurs fois, je vois leurs têtes se rapprocher et ils chuchotent et rient. Seuls les deux plus anciens membres du comité, M. MOORE et Mme THOMAS, semblent intéressés par mon argumentaire sur le projet.
- Mademoiselle ADDAMS ? Quelle est votre réponse ? M’interrompt le président.
Merde ! Le vieil homme aux cheveux gris et aux traits grincheux m’a posé une question et je n’ai pas écouté. Au lieu de cela j’ai regardé son entrejambe en me demandant comment pouvait être sa queue. Putain mon esprit dérive toujours à des choses liées au sexe.
- Oh ! Laissez-moi réfléchir ! Dis-je en réponse.
Putain, j’ai l’air complètement désemparée. Pire encore, je lève ma main et je pose l’ongle long de mon index sur ma lèvre inférieure pour réfléchir. Mais je suis perdue et je n’arrive pas à trouver une réponse. Par conséquent, je me contente de répéter les points concernant la dernière diapositive jusqu’à ce que le président du comité m’interrompe à nouveau.
- Ça ne répond pas à ma question Mademoiselle ADDAMS. Dit-il, agacé.
Je suis nerveuse. Putain je ne connais pas la réponse . Je ne connais même pas la question.
- Je vous posais une question sur la vitesse d’adaptation et d’utilisation par nos employés de ce nouvel outil de gestion de la qualité pendant le processus de changement. Avez-vous des données à ce sujet ?
Le vieux président répète sa question tout en paraissant encore plus agacé.
- Oui oui bien sûr ! Balbutié-je rapidement en réponse.
- Je voulais juste mettre les données en relation avec ma présentation, vous comprenez ! Hihihi ! Ajouté-je.
Mon Dieu, non seulement c’était une mauvaise excuse, mais en plus ça sonnait faux. Et mes rires d’idiote n’aidaient pas non plus.
- je vous ai apporté des copies de la fiche technique. Laissez-moi vous les donner. Dis-je en essayant de sauver la situation.
A la hâte, je me dirige vers ma mallette que j’ai posée sur une chaise à proximité. Puis je me penche en avant pour sortir les documents. Malheureusement, mon entraînement en tant que jouet de luxe pour les stagiaires m’a habitué à me pencher de la façon la plus sexy qui soit, avec la jambe droite et le cul relevés. Je ne remarque même pas que je me penche exactement de la même manière, jusqu’à ce que j’entende derrière moi une toux gênée. Cette fois, il s’agit de Mme THOMAS, une femme d’affaire dans la cinquantaine avec un visage strict et une tresse blonde parfaite.
Paniquée, je regarde par-dessus mon épaule et je vois les quatre hommes regarder mon cul. Ils ont le souffle coupé. Avec ma jambe droite relevés, le tissu de ma jupe grise s’est étirée sur mon joli postérieur et les rayures latérales noires encadrent mes fesses, ce qui rend mon cul rond encore plus sexy.
Toutefois, au lieu de me redresser rapidement, les regards lubriques de mes clients masculins me font me relever lentement. Mais qu’est-ce que je fous ? C’est grave, il y a beaucoup de choses en jeu pour mon département. Pourtant le temps passé comme Miss BRATZ m’a conditionné à agir de façon sexy à chaque fois que le regard d’un homme se pose sur moi. Je ne le fais même pas intentionnellement.
Je deviens de plus en plus nerveuse. Je ne peux qu’espérer que mon comportement sexuellement agressif et alléchant me rapporte des points. En me retournant, je remarque les grands sourires sur les visages des deux hommes d’âge moyen.
Mais les deux autres clients plus âgés n’ont pas l’air amusé du tout. Mme THOMAS me regarde d’une manière si dégoûtée que j’ai l’impression que mon comportement vient d’annuler tout ce que la cause féminine a accompli dans le monde du travail au cours de la dernière décennie. Et M. MOORE, lui, a l’air totalement contrarié. Et merde, c’est lui qui doit prendre la décision finale.
En réalisant cela je panique. Frénétiquement, je lève la main et je repousse quelques mèches de mes cheveux châtains de mon visage avant de vouloir continuer mon exposé. Mais dans ma hâte, je ne fais pas attention. Quand je baisse le bras, un bracelet se coince dans le décolleté de mon chemisier noir. Avant que je ne le remarque, mon encolure est tirée et mon soutien-gorge rouge est bien visible.
Non ! Ça ne peut pas arriver ! Pas aujourd’hui ! Pas à moi !
J’ai un bonnet de soutien-gorge qui est bien visible en plein milieu de la salle de conférence pendant le projet le plus important de ma carrière. La dentelle rouge est clairement visible pour tous mes clients.
La surprise est telle que je me fige et que je reste immobile pendant quelques secondes, continuant à montrer mon soutien-gorge en dentelle rouge. En voyant WILSON et ANDERSON pencher leurs têtes l’un vers l’autre, j’essaie d’entendre leurs chuchotements.
- Je t’avais dit que c’était rouge ! Plaisante ANDERSON doucement.
- Moi je croyais qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Répond WILSON presque déçu.
Ils ont parié sur ce que je portais comme sous-vêtements. Les entendre me fait rapidement rougir et ne m’aide pas à réagir. Il me faut encore quelques instants avant de pouvoir démêler maladroitement mon chemisier du bracelet et de remettre le tissu en place pour cacher mon soutien-gorge en dentelle rouge.
Je m’approche alors de mes clients pour distribuer les fiches techniques, tout en essayant de cacher mon embarras derrière un faux sourire éclatant. Mais ça ne fait rien, les choses sont faites. L’avis de mes clients est déjà posé.
Pendant que j’explique les données des fiches, ils semblent désintéressés. De ma présentation en tout cas, mais pas de mes courbes. Les deux hommes d’âge moyen continuent à me regarder alors que le regard dégoûté de Mme THOMAS est de plus en plus évident.
Soudain, le capuchon du stylo-plume de WILSON tombe de sa main sur le sol juste à côté de moi. En tant que femme consciencieuse ou femme asservie, je continue ma présentation tout en me baissant pour ramasser le capuchon.
Sans réfléchir, je garde les jambes bien droites. Bon sang, ça augmente encore plus l’aversion de Mme Thomas envers moi et l’agacement de M. MOORE. Mais est-il encore possible pour moi de me pencher différemment ? Je n’en suis pas certaine.
Cette fois, j’ai totalement baissé le haut de mon corps pour ramasser le capuchon du stylo. Ma tête se retrouve au niveau de mon cul. Et je sens le tissu gris de ma jupe s’étirer sur mes grosses fesses et l’ourlet se relever un peu.
C’est à ce moment que je réalise que ce n’est pas vraiment un accident cette histoire de capuchon. Il essaie de voir ma culotte pour savoir si elle a la même couleur que mon soutien-gorge.
Je ne peux pas laisser faire ça ! M. MOORE et Mme THOMAS vont me jeter hors de la salle de conférence en un clin d’œil.
Donc, je plie les genoux et je m’accroupis pour ramasser le capuchon de stylo. Je peux voir la déception des deux autres hommes. Manifestement ils s’attendaient à voir ma culotte pendant la présentation. Du coup je réalise quelle opinion ils peuvent avoir sur moi.
Mais je ne peux pas les décevoir non ? Ne sachant pas trop pourquoi, il me semble important de les aguicher un peu. Je me relève donc lentement tout en balançant légèrement mon cul.
Dès que je suis de nouveau debout, je regarde mes clients. Les deux hommes d’âge moyen on un grand sourire sur le visage qui contraste avec le regard glacial que Mme THOMAS me lance. Si elle le pouvait, elle me tuerait avec ses yeux.
Quelques diapositives plus tard, la présentation est terminée et mes clients n’ont pas beaucoup de questions, ce qui n’est pas vraiment bon signe. J’ai donné l’impression que ce projet n’était pas ma plus grande préoccupation. Et je n’ai pas réussi non plus à mettre en avant les réalisations que nous avions accomplies pour gagner la confiance de nos clients afin de continuer le projet sur la phase suivante. Au lieu de ça, je me suis ridiculisée en me faisant passer pour une idiote qui essaie d’utiliser ses attraits plutôt que son intelligence pour convaincre ses interlocuteurs. Mes clients ont dû me considérer exactement comme le type de femme que j’ai toujours méprisé.
Frustrée, je sors de la salle de conférence sur mes talons hauts en sentant deux regards collés sur mon cul. Ses clients n’ont peut-être pas eu la chance d’avoir une présentation convenable , mais au moins ils int eu la chance d’avoir un joli cul devant les yeux.
Merde, quelle pensée stupide ! Je ne suis pas ici pour faire la belle. Je ne suis pas là pour leur montrer mon soutien-gorge et ma culotte. Je ne suis pas là pour qu’ils se divertissent en pariant sur la couleur de mes sous-vêtements. Pourtant, le fait que M. WILSON et M. ANDERSON aient apprécié mon apparence me donne un peu de réconfort et réduit ma frustration, aussi ridicule que cela puisse paraître.
Pour le reste de la journée, étant donné que des cabinets concurrents devaient eux aussi exposer leur projet, je n’avais rien à faire à part attendre la décision le lendemain matin. Mais inquiète pour cette décision, je ne peux rester assise et attendre. J’ai besoin de faire quelque chose pour atténuer mon stress. Je décide alors de suivre la première idée qui me vient à l’esprit.
Devinez quelle est ma première pensée ? En toute honnêteté, j’ai pensé à surprendre Daniel avec de nouvelles améliorations pour mon apparence. Quelque chose à laquelle il ne s’attend pas. Quelque chose qui l’obligera à me féliciter pour mes efforts.
Je prends donc un taxi pour me rendre dans un centre commercial et je pars à la recherche de nouveaux accessoires. Malgré ma détermination il s’avère qu’il est assez compliqué de trouver de nouvelles choses. Tout d’abord, j’entre dans une bijouterie. Même s’ils n’ont rien d’aussi pervers que les bijoux que Daniel m’a montré sur les bimbos en photo, j’ai quand même acheté deux paires de boucles d’oreille bien voyantes, deux colliers et deux bracelets, tous en conception or et argent.
Une femme achète toujours plein de bijoux non ? Donc j’achète également une chaîne pour la taille en strass avec un motif papillon dans le dos et une lettre B en écriture cursive sophistiquée qui pend sur le devant. Le charme est tellement agrémenté de strass qu’il brille magnifiquement.
Toutefois, je ne suis pas satisfaite. Ces bijoux sont gentils et n’ont rien de spécial, bien qu’ils fassent l’affaire. Ce shopping me fait complètement oublier ma présentation bâclée. Au contraire, j’ai des envies d’achats. j’en veux plus. Je veux passer à l’étape suivante.
En me remémorant les photos que m’avait montrés Daniel sur son ordinateur dans le bureau des stagiaires, je me souviens des femmes qui présentaient tous les bijoux. C’était des bimbos refaites qui s’étaient transformées en poupée sexuelle. J’ai toujours méprisé les femmes qui comptent sur leur apparence pour se débrouiller dans la vie. Leurs apparences stylisées sapaient mon image de femme d’affaires coriace.
De toute façon, je ne peux même pas en parler en mal n’est-ce pas ? Mon faux bronzage, mes ongles longs bien entretenus et mes bijoux bien voyants m’ont transformée en une poupée de luxe bandante, qui fait tourner la tête des hommes sur son passage. Je dois admettre que j’apprécie beaucoup l’attention que l’on me porte. La simple pensée de continuer à me changer en salope crée une onde de chaleur dans mon bas-ventre. Bon sang, j’en veux plus ! Alors que pourrais-je prendre comme idée chez ces mannequins ?
De toute façon la chirurgie plastique est hors de question. Mais je me souviens que toutes ces femmes mannequins arboraient un style différent qui leur donnait le look séduisant que je recherche. La coiffure à franges et les stries rouges dans de longs cheveux platine me viennent tout d’abord à l’esprit.
C’est ce que je veux ! Alors je me dirige vers le salon de beauté le plus proche.
Quand je quitte le salon, mon visage est différent. J’ai une coiffure à franges avec des reflets dorés dans de longues tresses ondulées châtains. La frange encadre mon visage et lui donne du contour en soulignant mes traits féminins alors que les stries dorées donnent à mes cheveux un éclat lumineux. Finalement, ça me fait encore moins ressembler à une femme d’affaires, même si je n’oublie pas que j’en suis une. Mais je suis concentrée sur la réaction que va avoir Daniel quand il me verra. J’espère que ce sera positif.
*** Semaine 3 – Vendredi ***
Le lendemain matin, la mauvaise nouvelle arrive comme prévu. Nos clients ont choisi de ne pas prolonger notre partenariat et ils ont confié leur projet à un autre cabinet de conseil. Je n’ai pas réussi à faire accepter le projet le plus important et le plus lucratif pour mon département.
Bien sûr, j’en informe immédiatement O’BANNON le PDG. Il est choqué et bouleversé par la nouvelle, si bien qu’il organise instantanément une réunion d’urgence. Il me dit que toute la direction de l’entreprise doit être revue et réorientée. A ma grande consternation, il appelle également ORTEGA, mon rival, pour assister à cette réunion. Je dois donc revenir pour retrouver les deux hommes dans la soirée pour leur expliquer mon échec.
Comme mon train arrive tard dans l’après-midi, O’BANNON organise la réunion dans un restaurant chic. Je porte la même tenue, blazer et jupe grise, que j’avais pour présenter le projet. Je change seulement mon chemisier noir par un haut léger noir avec un col en V. Puis j’ajoute ma chaîne de taille. De retour en ville, je sens le besoin d’abandonner mon soutien-gorge et ma culotte en dentelle rouge. C’est la ville de Daniel, donc ce sont ses règles non ?
O’BANNON et ORTEGA sont déjà là quand j’entre dans le restaurant. Ils arrêtent de parler un moment quand ils voient ma nouvelle coupe et mes reflets dorés. Et ils ne sont pas les seuls. Un homme plus âgé assis à la table voisine n’arrête pas de lorgner mes courbes jusqu’à ce que sa femme lui donne une gifle de reproche sur l’épaule.
Contrairement à cet homme, mes collègues directeurs ne prêtent pas attention à ma tenue. Ils sont trop occupés à discuter des évènements de la journée. Immédiatement ils me parlent de ma présentation du projet. Même si je sais que c’est de ma faute, j’essaie de me justifier du mieux que je le peux, en expliquant que les clients ont eu une nouvelle approche stratégique du projet.
Tout ce temps, je remue nerveusement sur ma chaise. Après tout, je ne peux pas leur parler de ma maladresse et de mon soutien-gorge exposé. Le fait que le projet était bien finalisé dans son ensemble ne m’aide pas non plus à expliquer la fin de notre collaboration. Par conséquent, mes explications ne ressemblent qu’à de faibles excuses.
Après bien des discussions, O’BANNON semble me croire même s’il était réticent au début. En revanche, ORTEGA me fait clairement sentir qu’il considère que c’est de ma faute. La façon dont il me regarde me montre bien qu’il me considère plus comme une bimbo qu’une directrice de projet.
Enfin, la discussion s’oriente sur les étapes suivantes, sur ce que nous devons faire pour trouver de nouveaux projets et de nouveaux clients afin de compenser cette perte. Mais je ne contribue pas beaucoup, car je suis trop occupée à essayer d’exhiber mon corps de façon discrète.
Le mari âgé de la table voisine continue à me jeter des coups d’œil à chaque fois que sa femme ne regarde pas. Et deux hommes dans la quarantaine portant des costumes de grands couturiers se sont assis à une table à notre droite. Ils sont ici pour un dîner d’affaires, c’est évident. Cependant, après m’avoir vu, ils passent plus de temps à regarder mes courbes qu’à discuter de travail. Je dois constamment changer de position sur ma chaise pour donner permettre aux trois hommes de me voir mieux. Une femme ne peut se concentrer que sur une chose à la fois non ?
Putain, j’aime qu’ils me portent attention. Ça m’excite et ça me distrait de toute pensée liée à mon travail. De toute façon, la discussion m’ennuie même si elle porte sur mon travail et ma carrière. Je me sens plus apte à être jolie et plaire aux hommes qu’à concocter une stratégie pour le futur de notre cabinet.
Après presque deux jours d’abstinence, je veux une bite. Je veux la sentir en moi, je veux la sucer. Je veux être remplie. Je veux rejoindre Daniel et être sa soumise pour le reste de la nuit plutôt que de discuter de sujets ennuyeux avec mes deux collègues qui le sont tout autant.
Avant le plat principal, je reçois un SMS inattendu :
« SLP ? Oute ? Bsin béz ? Dan di dispo »
Je ne reconnais pas le numéro et je ne comprends pas non plus le message. Je réponds donc pour demander qui me l’envoie et comment il a obtenu mon numéro.
« Tu es stupide ou quoi ? Où es-tu salope ? Besoin de baiser ! Daniel m’a dit que tu étais disponible sur un simple appel ! Lucio. »
Mon Dieu, c’est Lucio, le colocataire de Daniel. Mon homme a dû donner mon numéro de portable à ses potes. Y’a-t-il vraiment écrit « besoin de baiser » et « disponible sur appel » ? Merde, Daniel tient sa promesse de me transformer en pute de gang.
C’est vraiment avilissant. Je suis assise à un important dîner d’affaires primordial pour l’avenir de notre cabinet de conseil et je reçois un appel d’un membre d’un gang latino pour baiser.
Cependant, mes priorités sont claires. Cette réunion est cruciale pour ma carrière et ma réputation dans l’entreprise. Pourquoi alors j’envoie un texto à Lucio en lui donnant le nom et l’adresse du restaurant ? C’est arrivé comme ça et je n’ai pas le temps d’y réfléchir, car O’BANNON veut mon point de vue sur certains sujets.
RING !
Environ quinze minutes plus tard, je reçois un appel sur mon smartphone.
- Nous sommes dehors salope et nous t’attendons. Amène ton cul ! Dit Lucio dans le téléphone après que j’ai décroché.
Il ne dit rien d’autre et raccroche, me laissant complètement abasourdie. Je ne peux sérieusement pas lui obéir. Je ne peux pas sortir du restaurant maintenant, pas avec tous ces sujets importants, pas avec ma carrière en jeu !
Cependant, plus mon esprit proteste, plus la chaleur se répand dans mon entrejambe. Retrouver les membres du gang de Daniel sera sûrement plus amusant que ce dîner d’affaires ennuyeux. Et puis quel choix ai-je vraiment ? Je suis la pute des 3LGZ » après tout. Mon tatouage de bronzage le dit non ? Je dois être disponible pour tous les membres du gang.
Quelle situation ! Je suis prise entre le marteau et l’enclume. Le dîner et la rencontre du gang sont deux choses importantes. Le premier pour ma position en tant que directrice d’entreprise, et la seconde pour mon rôle de pute de gang. Autant la partie rationnelle de mon esprit me demande de rester à table que mon côté soumis m’encourage à sortir pour voir Lucio.
J’envoie discrètement au latino un SMS pour qu’il me rappelle. Je veux simuler un appel téléphonique de clients. Lorsque je reprends mon smartphone en train de sonner, j’informe mes collègues qu’il s’agit de M. MOORE qui veut sûrement reparler du projet. Je laisse O’BANNON et ORTEGA croire qu’il y a encore une chance d’obtenir l’aval pour le projet, je m’excuse et je me lève. Putain, mon cœur bat à tout rompre.
C’est vraiment imprudent ! Et c’est vicieux ! C’est irresponsable et tellement excitant !
Je vais sortir d’un restaurant chic et haut de gamme en laissant mon patron et mon rival discuter pour aller baiser des jeunes membres d’un gang latino. Ça ressemble plus à de la fiction qu’à la réalité.
En parlant au client imaginaire dans mon téléphone, je me dirige vers les toilettes pour femmes situées sur le côté droit. A gauche se trouve les cuisines et au bout du couloir il y a une porte qui permet de sortir.
En chemin, je regarde autour de moi pour voir si quelqu’un fait attention à moi. Un serveur sort de la cuisine et manque me heurter. Quand il s’éloigne, la route est libre et je m’approche rapidement de la porte. Heureusement elle n’est pas verrouillée.
Je sors rapidement et je ferme la porte avant de jeter un coup d’œil aux alentours. Je suis dans une petite ruelle qui débouche sur une avenue à trois voies. Cette ruelle est bordée de bennes à ordures et de poubelles. Ça contraste fortement avec le restaurant chic. Il est évident que presque personne ne met les pieds ici, surtout pas les clients. Tout au plus, ce sont les employés qui sortent rapidement les poubelles.
Près de la porte est garé un vieux véhicule « lowrider » avec le capot face à l’avenue. Trois types sont appuyés contre le coffre de la voiture en fumant. L’un d’eux est le locataire musclé de Daniel, Lucio. Il porte un pantalon kaki taille basse, un tee-shirt blanc et une chemise à carreaux avec seulement le bouton du haut fermé. A côté de lui se trouve Chico, le gars dans la quarantaine qui travaille au restaurant de tacos. Il porte un pantalon baggy noir et un maillot de football blanc. Le troisième latino semble être près de la trentaine. Il arbore un bandana autour du front, un pantalon kaki et une chemise blanche qui lui colle à la peau. Malgré la ruelle faiblement éclairée, je suis sûre de ne l’avoir jamais vu.
Dès que Chico me voit, il jette sa cigarette et s’approche de moi. Je n’aime pas la tournure que prennent les évènements. Après tout, Chico est un ex-détenu avec une apparence méchante, de gros tatouages et de l’encre sur les doigts. Il est le membre le plus effrayant du gang des « LGZ » que j’ai rencontré à ce jour. J’avais espéré ne plus avoir à le croiser. Pourtant je ne peux que pousser un petit « ah » avant qu’il ne pose sa main sur mon cul et qu’il commence à pétrir mes fesses à travers le tissu gris.
- Hé mes frères, cette pute s’est bien habillée ! Maintenant les putes de gang ont leur propre style pour afficher leurs gros nichons et leur gros cul ! Dit-il aux deux autres.
Je jette mes cheveux châtains avec leurs nouveaux reflets dorés en arrière. Malgré ses propos grossiers, j’ai l’impression qu’il loue mes efforts.
- Paco ici ne croit pas qu’une femme d’affaires soit notre pute de gang. Montre-lui que nous ne mentons pas, salope ! Dit Chico.
Son ordre me fait regarder la ruelle de haut en bas. Il n’y a personne d’autre et la vue depuis la rue principale est bloquée par des bennes à ordures. c’est bien !
Pourtant il m’est difficile de comprendre que j’en suis arrivée là. Je suis sur le point de me déshabiller dans une ruelle publique. Quelle honte ! Comme c’est dégradant ! Pourtant la seule présence de ces voyous grossiers me pousse dans la soumission, surtout après deux jours sans qu’un dominant ne me contrôle. Mon Dieu, comme je désire ce genre de domination !
En balançant mes hanches je me dirige vers Paco. Il n’est pas aussi musclé que les deux autres latinos, mais il est vraiment grand et bien bâti. Il donne l’impression d’être un géant silencieux à côté de ses deux acolytes bavards.
Debout devant lui, je me tourne et je secoue mon cul bombé sous la jupe crayon grise moulante aux rayures latérales noires. Soudainement je suis aveuglée par de la lumière ! Une voiture arrive vers la ruelle.
Je me fige dans ma position !
La voiture s’approche de l’entrée de la rue. Je suis sur le point d’entrer dans le faisceau des phares. Les passagers du véhicule vont voir une femme d’affaires entourée d’une bande de latinos.
Toutefois, la voiture tourne subitement à droite et continue sa route. Nous n’avons pas été vus. En poussant un soupir, je regarde Lucio et Chico. Malgré cette interruption, ils n’ont pas l’intention de me laisser m’en aller. Je suis la pute du gang « LGZ » et ils ont fait du chemin pour en faire bon usage. Ils ne repartiront pas sans rien.
Je ne peux pas non plus prolonger l’inévitable trop longtemps. Ce faux appel simulé me fait gagner du temps, mais je ne peux pas laisser O’BANNON et ORTEGA attendre indéfiniment sans rendre mon comportement suspect.
Donc je commence à défaire les boutons de mon blazer gris. Puis soigneusement je le place sur la banquette arrière de la voiture des trois gars pour ne pas le salir. J’attrape ensuite mon haut et je le lève, présentant ainsi mon ventre plat.
En balançant mes hanches, je continue à présenter mes atours. Je leur montre la nouvelle chaîne de taille avec la lettre B orné de strass qui monte haut sur mes hanches ainsi que mon anneau de nombril avec le cœur et le mot « Missy » et le tatouage en faux bronzage « LGZ » avec la couronne de vajazzling .
Paco s’exclame avec surprise :
- Putain les gars, personne ne m’a dit que notre pute de gang était une poupée avec du style. Vous vous êtes foutu de moi mes frères. Ce n’est pas une femme d’affaires. Peut-être qu’elle se prend pour une directrice quand elle ne prend pas les appels en tant que réceptionniste. Ah ah ah !
Merde, ce membre du gang ne me connaît pas, mais il ne me croit pas une seconde. Il ne me prend pas pour une directrice de société, mais pour une vulgaire réceptionniste au mieux. Mes sentiments sont mitigés. D’une part je suis profondément indignée, mais d’un autre côté, je suis ravie de son approbation de mon apparence de poupée glamour.
Le souvenir d’ORTEGA me faisant jouer le rôle d’une secrétaire pendant une heure me revient en tête. Même si je repousse cette pensée, ce rappel donne une décharge à ma chatte.
- Je suis une salope de directrice ! Dis-je impulsivement à Paco en passant l’ongle long de mon index le long de sa poitrine.
Puis j’ajoute :
- Je suis intelligente et élégante tu sais !
Bon sang, pourquoi avais-je parlé ? L’avais-je marmonné ou avais-je vraiment envie de le clamer ? En fait je voulais dire que j’étais une femme d’affaires sophistiquée, mais j’ai obtenu l’effet contraire.
L’expression « salope de directrice » était tout simplement entrée dans ma tête et je l’avais laissée échapper. En voilà d’une réponse réfléchie ! Mais tout en parlant, je me suis souvenu de la présentation du projet la veille. J’étais élégante c’est sûr, mais j’étais loin d’être intelligente.
- Hé hé ! Salope de directrice, si ce n’est pas un contradiction ! Tu aurais du choisir un « S » sur ta chaîne pour salope ! Dit Chico.
Non non ! En fait j’ai choisi la lettre pour représenter le « BRATZ » de « Miss BRATZ », car le « Missy » pend déjà à mon nombril. Pourtant je ne suis pas en désaccord avec le latino. Après tout je me suis moi-même traitée de salope non ?
- Yo ! Je ne vois pas de directrice ou de pute de gang en ce moment ! Réagit Paco pour me donner un ordre indirect.
Bon sang, je veux prouver que je suis les deux et démontrer mes compétences, même si la pute prend le dessus en ce moment. Je réalise où se trouve ma priorité.
Glissant mes bras hors de mon haut, je tire l’ourlet vers le bas jusqu’à ce que mon haut repose juste au-dessus de mes tétons dressés. Puis d’un coup sec je laisse mes mamelons sortir l’un après l’autre.
Dès que mes gros nichons sont libres, Paco tend la main pour les saisir. Mais j’échappe à son emprise en me retournant. Puis je baisse soigneusement mon haut sur mes hanches, je ne veux pas que ces voyous le déchirent. Du coup je lui présente mon gros fessier.
Penchée sur le coffre de la voiture, je fais glisser mes mains manucurées le long des bandes latérales noires. Saisissant l’ourlet de ma jupe grise, je le remonte lentement. Tout d’abord c’est la bordure de mes bas noirs qui apparaît. Puis ce sont les courbes de mon derrière que l’on peut voir. Finalement, mon cul se retrouve pleinement exposé.
Toutefois mes actions sexy ont une autre conséquence inattendue. Pendant que Paco me regarde, Lucio s’approche du côté conducteur de la voiture. Il actionne un interrupteur et enclenche le système hydraulique qui fait sauter le véhicule « lowrider ». Les roues avant rebondissent de haut en bas sur un rythme lent.
- Putain les gars, regardez comment ma voiture réagit à ce gros cul ! S’exclame joyeusement Lucio.
- Quelle salope ! Regardez cette pute de gang ! Répond Chico avec un rire vicieux.
- Allez salope, une pute de gang doit savoir faire bouger une lowrider ! Montre-nous ce que tu sais faire !
Je ne sais pas vraiment ce que je suis censée faire, alors je me retourne et je commence à faire tourner mes hanches. Même si je fais de mon mieux pour bouger mon cul comme des danseuses professionnelles que je vois habituellement dans des clips, je dois être plus comique que sexy. Je n’ai jamais dansé comme ça auparavant. Mais au moins ça fait rebondir mes gros seins sur ma poitrine. Et je vois que ça enchante les gars.
- Maintenant, applaudis comme une bonne pute ! Ordonne Chico.
Encore une fois je ne comprends pas ce qu’il veut dire, alors je commence simplement à frapper dans mes mains en rythme avec le mouvement de la voiture.
CLAC !
L’ex-détenu vient de me donner une grosse gifle qui instantanément me brûle la joue droite.
- Putain de salope ! Tu crois que tu portes toutes cette ferraille pour rien ? Gronde le latino visiblement déçu par mon manque de compréhension.
- Applaudis avec tes bijoux salope ! Ajoute-t-il.
Frottant ma joue brûlante avec ma main droite, je voudrais lui lancer un regard méchant. Mais je n’ose pas regarder ce membre de gang brutal dans les yeux.
Applaudir avec mes accessoires ? C’est tellement stupide ! Pourtant j’ai acheté ces bijoux pour les montrer et attirer l’attention des hommes non ? C’est peut-être la meilleure façon.
Écartant mes jambes, je m’accroupis légèrement et je commence à bouger mon cul dans de larges mouvements circulaires. La lettre B commence à se balancer de gauche à droite. Balançant ma tête sur un rythme imaginaire avec un mouvement exagéré, mes boucles d’oreille en argent se balancent alors d’avant en arrière. En accélérant, je prends le rythme de la voiture qui rebondit sur ses roues. Finalement l’anneau de mon nombril avec le « Missy » commence à se balancer également.
Faire bouger mes bijoux me donne l’impression d’être fabriquée, comme un mannequin humain décoré et présenté en vitrine. Merde, l’idée d’être un simple mannequin pour afficher les bijoux est une déchéance de plus pour moi.
Tout cela est bien beau, ou plutôt idiot et absurde, mais rien ne clique encore. Que puis-je faire d’autre ? J’ai toujours mes bracelets non ? En écartant les bras, je commence à secouer les poignets en rythme ce qui fait que tous les bracelets s’écrasent les uns contre les autres en produisant un faible cliquetis.
CLING ! CLING !
- Je n’entends rien salope ! Allez, fais du bruit ! Gronde Lucio en mettant sa main derrière son oreille pour accentuer son ordre.
- Une salope de directrice ? Cette idiote n’arrive même pas à faire du bruit avec son corps couvert de quincaillerie. N’importe quelle réceptionniste y arriverait ! Dit Chico avec mépris.
Putain, ces latinos grossiers ne croient pas que je sois une femme d’affaires. Je voudrais protester, mais ils se contenteront de me rire au nez. Debout dans une ruelle sale, les seins à l’air et mes hanches se balançant à côté d’un lowrider sautillant, je ne suis pas dans la meilleure position pour me vanter de mes diplômes de toute façon. Et puis, je ne suis pas là pour me vanter. Je suis ici pour faire du bruit avec mes bijoux pour le plus grand plaisir des membres du gang.
Il faut que je fasse frapper la lettre B contre l’anneau avec « MISSY » sur mon nombril. Comment puis-je faire ça ? Pour l’instant les deux bijoux ne font que se balancer. Il faut que je fasse autrement.
Je me redresse, puis je me penche en arrière avec les jambes écartées et je commence à pousser mes hanches à chaque fois que la voiture rebondit. La lettre B cesse de se balancer et commence à monter et descendre. Mais ça ne suffit pas pour le moment à le faire heurter l’anneau de nombril.
Je suis désespérée. De plus en plus fort, je pousse mon cul en arrière jusqu’à ce qu’il touche la voiture quand elle est au plus bas. Et je pousse mon entrejambe en avant à chaque fois que l’avant du véhicule saute.
En arrière ! En avant ! En arrière ! En avant !
Plus rapide ! Plus fort ! Plus rapide ! Plus fort !
J’effectue pratiquement une danse du ventre rapide, brassant l’air de plus en plus vite jusqu’à ce que la lettre B et le cœur avec « Missy » rebondissent sauvagement. Mais il n’y a pas que mes bijoux qui se balancent violemment. Mes gros seins tremblent si fort qu’ils donnent l’impression de s’envoler de ma poitrine d’une seconde à l’autre.
CLING ! CLING !
La lettre B et le coeur marqué « Missy » cognent l’un contre l’autre. Ça fonctionne !
CLING ! CLING !
Les membres du gang « LGZ » me laissent continuer encore et encore. Je remue et fais cliqueter mes bijoux en rythme avec le mouvement de la voiture jusqu’à ce que je me fatigue. Finalement Lucio coupe le circuit hydraulique.
- Hé bien, il en a fallu du temps pour que cette pute comprenne. Stupide salope ! Fait-il remarquer.
- Cette chatte n’apprend pas rapidement n’est-ce pas ? Ça suffit les préliminaires, au travail ! Glousse Chico en réponse.
Il attrape alors mes cheveux châtains aux reflets dorés et il me pousse en avant jusqu’à ce que mon corps soit penché sur la voiture. La main sur mon dos, il presse fermement mes seins sur le métal pendant qu’il retrousse rapidement ma jupe au-dessus de mes fesses.
CLAC ! CLAC !
Chico met deux grandes claques sur mes jolies fesses. Ma peau rougit instantanément.
- Hé les gars ! Pensez-vous pouvoir faire trembler son cul autant que ses seins il y a un moment ? Dit le latino pour défier ses potes.
Tout en s’écartant, il garde sa main sur mon dos pour me tenir en place. Je ne veux pas que ces salauds giflent mon cul jusqu’à ce qu’il tremble, mais je peux à peine bouger. Tout ce que j’arrive à faire c’est d’agripper les côtés de la voiture avec mes mains et mes doigts aux ongles longs et de me préparer.
CLAC ! CLAC !
CLAC ! CLAC !
Chacun des deux autres gars frappent mon cul de bas en haut pour faire trembler mes fesses aussi sauvagement que mes seins avaient rebondis auparavant. Je me mords les lèvres et j’agrippe la voiture. Je fais de mon mieux pour rester calme. Après tout nous sommes dans une ruelle publique. Finalement Chico s’exclame :
- Voyons si ses trous sont prêts ! Cette salope doit mouiller pour nous. c’est à ça que sert une pute de gang non ?
Putain, ce latino intimidant vient juste de dire clairement que je ne suis que de la viande à baiser pour lui est ses copains. Toutefois l’idée d’être une simple poupée de chiffon qui n’a pas d’opinion personnelle et qui n’a rien le droit de dire m’excite énormément. C’est à ça que sert une pute. Je pense qu’il a raison sur ce point.
En un clin d’œil, Chico a sorti sa bite de son pantalon kaki et il la positionne sur ma chatte.
- Non Monsieur ! Dis-je en remuant les hanches.
- Ma chatte est pour mon homme seulement. S’il vous plaît, enculez-moi. Votre pute est là pour être sodomisée. Ajouté-je rapidement.
Mes paroles arrêtent Chico dans son élan. Du moins pour un instant. Il semble se demander quoi faire.
- Non ! c’est peut-être valable pour les gamins à ton travail. Mais pas pour les potes de Daniel ! Répond Chico pour me faire comprendre qu’il se fout de mes protestations.
Mais il suggère alors :
- Je dis ça, mais… Tu veux que ton cul soit rempli ? Alors montre-nous qu’il est plus serré que ta chatte ! Ok ?
Je ne comprends pas vraiment de quoi il parle. Cependant, tout est mieux que de simplement les laisser me baiser. Au moins, j’ai essayé de résister et de suivre les règles de Daniel.
Brusquement, Chico attrape ma chevelure châtaine et me traîne à l’avant de la voiture décapotable. Je ne peux rien faire d’autre que le suivre pliée en deux. Il ouvre la portière du conducteur et il me jette sur le siège.
- Allez grosse pute, prouve-nous que ta chatte est bien mouillée et étirée !
Je regarde par-dessus mon épaule ce voyou. Ma bouche s’est ouverte sous la surprise. Que veut-il que je fasse ? Que je m’empale sur le levier de vitesse ? Il n’est pas sérieux !
CLAC ! CLAC !
Deux autres coups sur mon cul déjà bien rouge m’indiquent qu’il faut que j’obéisse. Il ne plaisante pas. S’il doit se contenter de baiser mon cul, il veut que ma chatte reçoive un autre type d’entraînement.
Pour éviter d’autres claques sur mes fesses brûlantes, je me précipite et j’inspecte le levier de vitesse. Comme le reste de la voiture, il est personnalisé avec un pommeau sur mesure. C’est une boule marquée 8. Avec ses six centimètres de circonférence il a la taille originale d’une boule de billard. C’est assez gros pour ma chatte.
- Je ne vois toujours pas la pute de gang ! Dit Lucio en me voyant hésiter.
Titillée par cette remarque, je me souviens que Matt a mis tout son poing dans ma chatte. Si ça avait marché, ça ira à nouveau. Je peux prendre cette boule.
J’essaie de me clamer et j’écarte les jambes. Je place chacun de mes genoux sur les sièges. Avec le toit ouvert, je peux m’agenouiller sur les sièges et tenir ma chatte juste au-dessus du levier de vitesse avec la boule de billard. En descendant, j’écarte les lèvres de ma chatte avec l’index et le majeur de ma main gauche. En passant l’index de ma main droite à travers ma fente évasée, je remarque que ma chatte est bien humide.
Ce n’est pas une surprise non ? Le traitement brutal que m’imposent ces membres de gang grossiers en tant que pute de leur gang m’entraîne dans un monde de soumission et me rend excitée et chaude.
Lentement j’abaisse mon entrejambe jusqu’à ce que la chair de ma chatte touche la boule. C’est si froid ! Des deux mains j’attrape les lèvres de ma chatte et je les écarte. Puis j’appuie ma fente contre la boule de billard. Je fais glisser ma chatte de haut en bas afin de la rendre lisse et bien lubrifiée par mon jus.
Pendant ce temps, les trois latinos encerclent la voiture. Chico se place du côté conducteur et ses deux potes du côté passager. Il tend la main et commence à me pincer le mamelon gauche. Prenant exemple sur lui, Lucio attrape mon téton droit et le pince lui aussi.
Les deux hommes serrent de plus en plus fort jusqu’à ce que je gémisse. Ils tirent mes mamelons vers le bas pour essayer de me faire descendre dur le pommeau de vitesse. Il est temps pour moi de remplir ma chatte. Prenant une profonde inspiration, je baisse mon entrejambe sur le levier de vitesse.
Mon corps descend, ma chatte s’étire. La boule est grosse, mais pas autant que le poing de Matt. Avec un plop, le pommeau glisse en moi. Je suis empalée sur un levier de vitesse, qui peut le croire ?
La boule de billard dure et froide remplit vraiment ma chatte. Mais les latinos n’en ont rien à foutre que je m’habitue ou non à la taille de l’objet. Ils se mettent à tirer mes tétons vers le haut.
Et ils continuent jusqu’à ce que je gémisse à nouveau. Ils atteignent leur objectif alors que je me lève et que la boule de billard sort presque de ma chatte.
En haut ! En bas !
- Aaaaahhhh !
En haut ! En bas !
- Ooooowwwww !
Les gars se moquent de mes plaintes, même si elles deviennent plus bruyantes à chaque traction. Ils me pincent si fort que ça me fait vraiment mal. Pourtant, je ressens des picotements sur ma peau et mon jus de chatte commence à couler le long du levier de vitesse.
- Allez, chevauche-le salope ! Chevauche-le comme une grosse bite ! Dit soudainement Chico.
- AIEEEEE ! Crié-je une seconde plus tard.
Ce salaud vient d’actionner l’interrupteur hydraulique pour faire lever l’avant de la voiture. Je perds l’équilibre.
-OUILLLLLE ! Crié-je en encore plus fort quand Chico et Lucio me retiennent en pinçant mes tétons plus rudement.
Mes pauvres mamelons ! J’ai l’impression qu’ils sont pris dans un étau ! Entre deux membres des « LGZ, mon corps est tenu droit avec une main sur chaque téton et une autre main sur chaque hanche. Ils réussissent à maintenir le pommeau du levier de vitesse profondément enfoncé dans ma chatte.
Heureusement pour moi, Chico a réglé la pompe hydraulique à faible puissance si bien que la voiture ne saute que légèrement. Pourtant c’est suffisant pour me faire rebondir sur le levier de vitesse comme sur un taureau mécanique.
Je me tiens accrochée aux dossiers des sièges auto avec mes mains aux ongles longs. Et je fais de mon mieux pour garder mon corps soulevé alors que le véhicule saute sous moi. Dans cette position, le levier de vitesse terminé avec la boule de billard entre et sort de ma chatte comme un perforateur. Mais je bondis avec les mouvements de la voiture. Et comme les deux latinos pincent encore mes tétons, le rebond fait sauter mes seins sauvagement dans leur main. Ça les amuse vraiment.
- Ahahahhahah ! Ahahahaha !
Ils ne peuvent s’arrêter de rire.
- Ohhhhh ! Ahhhhhh ! Ohhhhh !
Je ne peux m’arrêter de gémir. A présent mes gémissements se transforme en un mélange de cris de douleur avec la torture de mes tétons et de cris de plaisir avec la pénétration de ma chatte.
Mais tout d’un coup, mes gémissements restent coincés dans ma gorge. A travers le pare-brise, je vois passer une autre voiture. Et contrairement aux précédentes, celle-ci s’arrête. Je vois les feux de recul s’allumer et je comprends que le conducteur a enclenché la marche arrière. Il recule vers nous.
Les trois latinos ne semblent pas s’en soucier, car ils n’arrêtent pas le système hydraulique de la voiture qui continue à sauter. La musique rap continue à jouer bruyamment alors qu’ils s’acharnent à tordre mes mamelons.
Je vois les feux de recul se rapprocher. La voiture roule à reculons dans la ruelle. Il faut que je me cache ! Je ne peux pas prendre le risque d’être vue ! Et si c’était un de nos collègues qui venait voir ORTEGA et O’BANNON au restaurant pour les aider ? Et si c’était un client qui me reconnaît ?
Les feux arrière s’approchent toujours. Les deux latinos me maintiennent toujours en place. Ils ne me laissent pas bouger. J’essaie de descendre ma chatte sur le levier de vitesse pour baisser mon corps et me cacher. Mais c’est ridicule, je ne peux pas devenir invisible.
Soudain la voiture s’arrête et la portière du conducteur s’ouvre. Une femme de mon âge avec un chignon noir sort la tête. Tandis que le « lowrider » continue à sauter, Paco passe devant le capot.
- Pouvez-vous baisser votre musique ? C’est un quartier tranquille ici ! Sinon, je vais aller en informer le propriétaire du restaurant. Dit la femme avec une voix énervée.
Merde, c’est un problème de voisinage. Et on ne parle pas ainsi à un groupe de latinos, membres de gang. Ils ne vont pas se laisser faire. Le ton va monter et ils vont se disputer. La police va être appelée et je serais arrêtée comme une vulgaire prostituée de rue. Oh mon Dieu non !
Mais la femme n’a rien dit sur la salope que je suis, nue dans la voiture. Elle n’a rien dit sur mon comportement. Est-ce un bon ou mauvais signe ?
- Bien sûr Madame ! Répond Paco rapidement en faisant signe à Lucio.
Ça c’est une surprise. Je ne m’attendais pas à ce que ces voyous restent calmes. Apparemment, baiser leur pute de gang est plus important que de s’attirer des ennuis.
Alors que la voiture continue de sauter, Lucio arrête la musique rap. Toutefois, nerveuse, mon cœur bat si fort que je crains que la femme ne l’entende. Heureusement elle semble satisfaite, même si elle secoue la tête avec mépris.
L’allée sombre et mal éclairée ainsi que les bonds de la voiture ont du l’empêcher de me voir jusqu’à maintenant. Mais elle pourrait m’entendre alors que le levier de vitesse continue à pilonner ma chatte. Me mordant les poignets, je fais de mon mieux pour étouffer mes gémissements.
- OOOoooooooohhhhh !
Mais ça ne fonctionne pas. Je viens de gémir à haute voix. Et la femme l’a entendu. Elle se fige, fronce les sourcils et étudie le « lowrider » de plus près.
Toujours debout devant le capot, Paco fait un pas de côté pour bloquer la vue de la femme. Apparemment, elle ne peut voir que Lucio et Chico debout sur les côtés du véhicule sautillant. Elle regarde encore quelques instants les trois latinos avant de laisser tomber. Elle ferme sa portière, démarre et va se garer sur le parking de l’autre côté de la rue principale.
Nous la regardons sortir de sa voiture et entrer dans le restaurant. Alors Lucio relance la musique. Pendant tout ce temps, le levier de vitesse pilonne ma chatte et la boule de billard étire ma chatte. Cette pénétration rapide et rythmée a eu son effet. Mon jus coule de ma chatte sur le levier de vitesse, donnant l’impression qu’il est recouvert d’une mousse blanche.
- Ohhhhh ! Putain ! Aaaaaah ! Crié-je finalement.
C’est le point de non-retour. J’ai atteint mes limites et je jouis en force. Pendant un instant mon esprit se vide complètement. Puis l’orgasme éclate comme un coup de tonnerre et fait trembler mon corps sur le levier de vitesse.
Les vagues de plaisir me traversent l’une après l’autre. Cet orgasme est si puissant que mon corps s’effondre. Je suis simplement maintenue par la poigne impitoyable des latinos sur mes mamelons et mes hanches.
Quand j’ouvre enfin les yeux et que je vois les trois gars à travers mes yeux vitreux, je remarque qu’ils ont éteint le système hydraulique et que la voiture ne saute plus. Je ne sais même pas quand ils l’ont fait.
- Ça y est, elle revient ! Fait simplement remarqué Chico.
Il ne va pas me laisser le temps de me remettre complètement. Au lieu de cela, il attrape mes cheveux châtains et me tire du levier de vitesse. Il me traîne hors de la voiture jusqu’au coffre où il me jette brusquement. J’atterris sur le dos, bras et jambes largement écartés.
- Regardez cette chatte ! Grande ouverte ! Commente le voyou en montrant ma chatte béante.
Elle doit être bien ouverte, car je sens l’air froid se précipiter à l’intérieur. Malgré sa remarque grossière, je garde les jambes écartées et je me contente de rigoler bêtement pour répondre.
- Hihihihi ! Étirée et mouillée comme la chatte d’une bonne pute de gang non ? Dis-je.
Chico renifle.
- C’est sûr salope ! Maintenant, laisse-moi voir ce trou à merde serré. Prête à te le faire déchirer tout autant grosse chienne ?
Puis sans attendre de réponse de ma part, il s’adresse à son pote :
- Viens Paco, il est temps que tu lui bourres le cul !
Sans dire un mot, le latino calme répond à l’invitation de Chico et s’intercale entre ses deux amis. Il sort simplement sa bite de son pantalon kaki et il attrape mes jambes pour me mettre en position. Il n’y a pas à dire, c’est un silencieux.
Avec ma chatte débordante de mon jus, il ne lui faut que passer sa bite une ou deux fois sur ma fente pour bien la lubrifier. Saisissant mes chevilles avec ses grosses mains, ils poussent mes jambes en arrière jusqu’à ce que mes genoux reposent de chaque côté de ma tête.
Comme mon trou du cul n’est pas du tout préparé, j’essaie d’offrir au géant au bandana un accès plus facile. Alors je tends la bras et pose mes mains sur mes fesses pour les écarter. Lucio fait alors remarquer :
- Joli contraste ! Le cul rouge et les ongles longs et blancs.
CLAC ! CLAC !
Encouragé par ce commentaire, Chico réagit et donne une grosse claque à ma fesse gauche suivie d’une autre violente donné par Lucio sur ma fesse droite. Les deux rigolent quand l’impact pousse mon corps sur le coffre de la voiture et que je gémis tout en tenant mes fesses comme si ma vie en dépend.
- Maintenant on voit encore mieux le contraste ! Dit Chico après avoir accentué la rougeur de mon cul.
Quand Paco positionne sa bite lubrifiée entre mes fesses, je les écarte le plus possible pour lui offrir un meilleur accès. Il grogne simplement quelque chose que j’interprète comme un « bon travail salope ».
Puis il commence à pousser. La taille de sa bite correspond à sa morphologie, car elle est presque aussi grosse et épaisse que la bite noire de Taylor. Ça ne va pas être une partie de rigolade pour moi. Même s’il est silencieux, le latino sait comment traiter une pute de gang tout autant que les deux autres membres du gang. Montrant un mépris total pour mon confort, il se contente de se pencher en avant et d’utiliser tout son poids pour percer mon anneau anal avec sa grosse bite.
- OUILLLLEEEE ! Crié-je.
Encore une fois, je dois me motiver pour garder mes mains sur mes fesses et les écarter. Mon corps est poussé par la force du latino et ma tête heurte la vitre de la voiture. Mais mon trou du cul n’a aucune chance de pouvoir résister et mon sphincter serré perd la bataille.
Sans tenir compte de ma douleur, le latino géant commence à me pilonner le cul. Mon anus et mon goulot anal serrent si fort son membre épais que je sens chacune de ses grosses veines sur sa tige bien dure.
Avec ses mains enserrant mes chevilles, il tient mon corps en place et mes jambes en l’air. Chaque coup de rein pousse mon corps en arrière sur le coffre de la voiture avant qu’il ne le tire comme si je pesais rien. J’ai l’impression d’être une simple poupée de chiffon dans les mains d’un géant silencieux.
- Ouais ! Encule bien cette salope ! Défonce cette pute !
Chico encourage son pote avant d’ajouter :
- Je parie que tu ne peux pas lui remplir le cul en moins de cinq minutes !
Paco se contente de grogner pour répondre. Mais ce défi lui fait intensifier son martèlement dans mon cul. La force de ses coups de rein est si grande que je dois enfoncer mes ongles longs dans mon cul pour garder mes mains sur mes fesses. Malgré l’intensité de cette sodomie, le géant latino ne fait aucun bruit alors qu’il pilonne méthodiquement mon trou du cul. En revanche, mes cris sont de plus en plus forts. Heureusement ils sont couverts par la radio et la musique rap.
Le rythme avec lequel Paco m’encule est très rapide et il ne peut tenir longtemps. Après tout c’est ce qu’il cherche non ? Quatre minutes après avoir commencé, il sort brusquement sa grosse bite de mon cul. Comme mes fesses sont toujours serrées sur son engin, on entend un « plop »
- Regardez les gars ! Son trou à merde est aussi large que sa chatte ! Dit Chico.
- Quelle salope ! Ouvre-moi ça comme des bennes à ordures ! Crie Lucio.
Hein ? Des bennes à ordures ? Que c’est dégradant ! Pourtant c’est excitant ! Je suis l’ordre de Lucio et je glisse rapidement mes deux index dans ma chatte et mes majeurs et annulaires dans mon trou du cul.
Paco m’aide en poussant mes jambes encore plus en arrière jusqu’à ce que mes pieds reposent de chaque côté de ma tête et que mon cul soit relevé en l’air.
Avec mes doigts dans mes deux trous, je commence à les étirer pour les exposer grands ouverts. Bon sang, j’y arrive sans trop de difficulté. Mes trous doivent être ouverts comme le tunnel sous la manche !
- Putain, on pourrait y mettre un arbre là-dedans ! Dit Chico.
Je continue d’écarter mes orifices, les ongles blancs de mes pouces et auriculaires encadrant les trous sombres et dilatés. Je dois donner un bon spectacle , car finalement ça fait jouir le géant au bandana.
Sa queue éclate et du sperme épais et blanc jaillit. Le premier jet est toutefois mal dirigé. Dans un grand arc, son éjaculation loupe mes trous béants et s’écrase à droite sur mon nichon gauche.
Mais le latino s’approche un peu et son tir s’améliore. Cependant il tremble tellement de jouissance que le deuxième jet éclabousse mes jolies fesses.
- Bien vu ! Rugit Chico alors que le troisième jet tombe dans mon cul grand ouvert.
D’abord, le latino géant m’a déchiré la chatte et le trou du cul, puis il a utilisé mes trous béants comme cible. C’est vraiment avilissant, dégradant.
- Au prochain ! s’exclame Lucio dès que les couilles de Paco sont vides.
Tirant sur mes chevilles, il me fait glisser sur le coffre de la voiture. J’ai à peine le temps de retirer mes doigts de mes orifices béants avant que mes pieds touchent le sol. Sinon, je crois que je serais tombée la figure en avant. Dès que je tiens fermement sur mes talons gris, Lucio me fait tourner et me penche sur le coffre. Puis il m’ordonne :
- Écarte ! Il faut que je vérifie si ton cul est toujours plus serré que ta chatte.
Merde ! Ce n’est pas encore fini ! M’empaler sur le levier de vitesse n’a pas suffi. Chacun des gars veut m’enculer. L’un après l’autre ils vont tester la largeur de mon cul.
Même si je n’aime pas la façon dont cela se passe, je ne veux pas perdre de temps à protester. J’ai laissé ORTEGA et O’BANNON depuis quinze minutes maintenant. Ils commencent probablement à se demander ce que je fais. Les laisser croire que l’appel téléphonique offrait une chance de récupérer le projet était une bonne idée, car ça me laisse une bonne marge de temps. Un appel peut durer très longtemps n’est-ce pas ?
Mais je dois penser à autre chose pour le moment. Je suis la pute de gang de Daniel après tout et je dois suivre ses règles. Il faudra que je trouve une explication pour dire que l’appel n’a pas donné de résultat positif à mes collègues. Mais je trouverai plus tard.
Pour le moment, je dois mettre mes mains aux ongles longs sur mes fesses pour les écarter et présenter mon trou du cul à Lucio. Et c’est exactement ce que je fais. Quand je suis en position j’entends des petits claquements derrière moi. Quand je regarde derrière moi, je vois Chico et Lucio avec des canettes de bière. Ils boivent un coup en regardant leur pute de gang écarter ses fesses.
Putain ! Je suis penchée sur le coffre d’une voiture dans une ruelle sale en présentant mon intimité à des membres de gang alors que mes collègues directeurs sont en train de dîner à côté. Et ces voyous latinos me font attendre, préférant boire un verre plutôt que de profiter de leur pute.
Après avoir pris une dernière gorgée, Lucio se penche en avant et présente la bouteille vide à mon visage.
- Devine où ça va salope ? Dit-il.
Les yeux écarquillés, je voudrais protester. Le fond de la bouteille fait bien sept centimètres de circonférence. Il est encore plus gros que le pommeau du levier de vitesses. Néanmoins, je me retiens de dire quelque chose. Il faut que ce soit rapide si je ne veux pas que ORTEGA ou O’BANNON se mettent à ma recherche. Je ne veux même pas penser à ce qui se passerait s’ils me trouvaient dans cette ruelle entourée des trois latinos.
- Oooohhhh ! Gémis-je quand je sens le verre froid sur ma chatte dégoulinante.
En écartant largement mes fesses, j’essaie d’offrir le moins de résistance possible. Lucio exploite mon obéissance en passant la bouteille sur la chair rose de ma chatte. Il me taquine en passant maintes et maintes fois le verre sur ma fente sans essayer de pousser l’objet dedans. Encore une fois, il touche ma chatte sensible avec la bouteille.
Il pousse. Je sursaute.
Sautant sur la droite, je trébuche. Relâchant mes fesses, il faut que j’agrippe le bord du coffre pour ne pas tomber.
- Héhéhé ! Stupide salope !
Le latino musclé se moque de moi. Bon sang, il avait feint d’enfoncer la bouteille. Il s’amuse avec moi.
- Si tu bouges encore, je vais te défoncer le cul avec la bouteille dans ta chatte. Compris salope ? Gronde-t-il.
Non ! Je veux dire oui ! Je veux dire que j’ai compris. Mais non, je ne peux pas le supporter.
Effrayée, je me remets en place, les seins pressés sur le coffre, mes mains écartant mes fesses. Pour éviter que je ne m’en aille à nouveau, Lucio attrape mes cheveux avec sa main gauche et place la bouteille de bière sur ma fente.
Au lieu de pousser la bouteille à l’intérieur, il commence à tirer sur mes cheveux. En fléchissant mon dos, mes nichons sont soulevés du coffre. Le latino continue à tirer. Avec le dos plié en arrière, il n’y a aucun moyen que je puisse m’échapper.
Lentement, l’homme pousse et mon corps me trahit. Ma chatte est si lâche d’avoir chevauché le levier de vitesse et si humide avec mon jus qu’elle ne résiste pas du tout. Peu à peu, elle s’ouvre et engloutit la bouteille.
Sa taille est quand même différente de la boule de billard. Elle remplit vraiment ma chatte et je ressens des picotements tout autour de l’intrus. Lucio ne perd pas de temps et il commence des va-et vient dans ma chatte avec la canette. Mon antre est si humide que bientôt de la mousse blanche de mon jus se forme sur mes petites lèvres distendues et des bruits spongieux sortent de mon trou.
- Cette chatte accepte vraiment tout ! Se moque Lucio.
Puis il se tourne vers Chico et lui tape sur l’épaule en lui disant :
- Tu vas avoir du mal à trouver mieux !
Enfin Lucio termine son jeu et retire la bouteille de ma chatte qui fuit. Il dit alors :
- Laisse-moi l’enculer avant que cette salope ne gicle partout !
Dès que ma chatte est vide, il plonge sa bite bien raide dans mon trou du cul. Son membre ne rencontre pas beaucoup de résistance car mon anus est toujours distendu d’avoir accueilli la queue de Paco.
- Même trou, même défi. Je parie que tu ne peux pas remplir son cul en moins de deux minutes. Dit Chico.
- Héhéhé ! Attends et vois ! Répond simplement Lucio.
Ce pari a l’effet escompté parce que le latino musclé commence à labourer mon pauvre trou du cul comme un damné. Il me baise si fort que mon corps s’écrase contre le pare-chocs à chaque coup de rein.
Une fois de plus, je dois enfoncer mes ongles longs dans la chair de mes fesses pour les garder écartées. Son sexe est plus petit que celui de Paco. Pourtant la vitesse de son enculage fait que je le sens bien dans mon cul.
Tout le temps il garde sa prise sur mes cheveux châtains afin que mon dos reste fléchi et que ma poitrine soit bien relevée. Mes gros seins se balancent sauvagement d’avant en arrière et me frappent presque le menton.
Le voyou musclé ne dure pas longtemps non plus. Quand il est prêt à décharger il retire sa bite de mon cul. Il lâche aussi mes cheveux et je tombe en avant, mes seins s’écrasant sur le coffre de la voiture. Comme je ne reçois pas d’autres instructions, je reste dans cette position en écartant mes fesses.
Tout en tenant sa bite serrée dans sa main, Lucio prend rapidement la bouteille et l’enfonce de nouveau dans ma chatte. Dès qu’elle tient toute seule, sa bite commence à gicler. Visant le goulot de la bouteille, il éjacule tout son sperme dans la bouteille, giclée après giclée.
Putain il ne jouit même pas sur sa pute de gang. Il préfère remplir une bouteille vide. Une pointe d’orgueil me traverse, je suis blessée dans ma fierté. Après tout je suis leur sac à foutre, donc je veux leur sperme en moi.
- Ah Ah Ah !
Les trois membres des « LGZ » rigolent. Il trouve ça hilarant.
Une fois que Lucio a terminé, Chico s’approche de moi. Rapidement il attrape la bouteille de bière incrustée dans ma chatte et la pousse plusieurs fois.
- Cette pute adore se faire étirer la chatte. Elle ne veut pas lâcher la bouteille. Tu en veux plus ? Pour le moment tu peux avoir ça ! Dit-il.
- Ohhhh !
Je gémis de surprise quand il sort la bouteille de ma chatte avec un « plop » bruyant.
Oh mon Dieu, je me sens terriblement vide ! Je veux que ma chatte soit de nouveau bourrée avec quelque chose ! Chico me tire brutalement et pousse mon cul contre la voiture.
- Allez grosse pute, bois un coup ! Dit-il.
Mon cul appuyé contre le coffre de la voiture, il tire sur mes cheveux pour me faire lever les yeux. Tenant la bouteille de bière au-dessus de mon visage, il me fait ouvrir la bouche et tirer la langue. Puis il verse la bouteille. Lentement le sperme coule en un long fil.
Le voyou latino bouge la bouteille de gauche à droite pour essayer de me prendre au dépourvu, mais je suis ses mouvements avec ma langue tendue pour récupérer chaque goutte de sperme. Il est très important pour moi d’empêcher le foutre de couler et tâcher ma jupe grise ou mon haut noir qui sont tire-bouchonnés à ma taille. Heureusement je récupère tout et je garde mes vêtements propres.
- Maintenant salope, montre-moi ta chatte ! Montre-moi qu’elle veut être bien étirée. Dit Chico après que le sperme ait disparu dans ma gorge.
Alors que cette brute intimidante se déplace sur le côté du véhicule, je pose ma jambe gauche sur le pare-chocs. Puis je passe mon index droit sur les lèvres gonflées de ma chatte.
TAP ! TAP !
J’entends un bruit sourd qui me surprend. Alors je regarde autour de moi pour voir d’où il vient. Je vois alors Chico qui s’approche de moi. Il frappe sa main gauche avec un bâton en métal qu’il tient dans sa main droite. Mais ce n’est pas un bâton ordinaire, il s’agit d’une batte de baseball !
Choquée, ma bouche reste ouverte quand je réalise ce que cet homme a l’intention de faire avec cet objet. Il veut l’enfoncer dans ma chatte.
- Non ! Je… je… ne pourrais pas le supporter ! Balbutié-je quand je retrouve ma voix.
- Ouais ! Qui se soucie de ce que tu veux, salope ?
La latino me montre à quel point mon opinion l’importe peu.
- Tu vas le faire avec envie salope ! Tu échoues et je me paie ta chatte. Et tu veux que je le dise à Daniel ou tu le feras toi-même ?
Bien sûr, je ne veux pas enfreindre les règles de mon homme. C’est ma priorité absolue. Pourtant la batte de baseball a l’air énorme. Je n’aime pas du tout l’idée de la pousser dans ma pauvre chatte. Toutefois en la regardant bien, je me dis qu’elle ne semble pas plus épaisse que le culot de la bouteille de bière. Peut-être que Chico a raison , je pourrais le supporter.
- Allez, fais ça bien chérie ! Me dit-il en me tendant la batte.
Putain non seulement il veut étirer ma chatte avec une batte de baseball, mais il veut en plus que je le fasse moi-même. j’ose à peine regarder Chico, il est trop intimidant. Je ferais tout ce qu’il me demande. Néanmoins j’ai la gorge sèche en prenant la batte dans ma main. Elle me semble lourde. Je pense alors qu’il faut que je la lubrifie si je veux avoir une chance de la faire entrer. Mais comment ?
- S’il vous plaît les gars, crachez dessus ! Mouillez-la !
Je fais de mon mieux pour obtenir de l’aide des trois latinos.
Bien sûr, il est inutile de leur demander deux fois. Alors que je tiens la batte devant moi, Chico est le premier à réagir, car il se tient juste à côté de moi. Après avoir rassemblé suffisamment de salive dans sa bouche, il se penche sur l’épais bâton. Puis en me regardant avec une lueur vicieuse dans les yeux, il ouvre la bouche. Très lentement il laisse couler son épaisse salive blanche tout en gardant le contact visuel. Il savoure chaque instant. Il me voit trembler de dégoût devant ce spectacle. Mon Dieu, c’est horrible !
Quand il a fini, Lucio prend sa place. Au lieu d’imiter son ami, il crache une grosse masse de salive directement sur la batte. Et une autre. Puis une autre. Finalement il crache cinq fois et ajoute cinq paquets de salive.
Puis Paco s’avance. Sans dire un mot, le latino se penche sur la batte et crache un seul paquet de salive sur la pointe. Ça coule lentement sur le bord.
Je me penche alors moi aussi sur le bâton de métal et j’ajoute ma salive à celle des trois gars. Je veux jouer la sécurité. La batte de baseball est bien humidifiée. Mon cul contre le coffre de la voiture et mon pied gauche posé sur le pare-chocs, je pousse le bâton entre mes jambes ouvertes.
L’heure est venue. Je suis sur le point d’empaler ma chatte sur une énorme batte de baseball en métal. C’est quelque chose que je n’aurais même pas considéré comme possible il y a quelques semaines. Je n’aurais jamais pensé que ça puisse m’arriver.
En frottant le bout de la batte le long de ma fente, je recueille un peu de jus de ma chatte qui fuit. A ce moment-là je suis plus que ravie d’avoir été excitée par le traitement dégradant que m’imposent les trois membres du gang « LGZ ».
Après avoir pris mon temps pour bien étaler le mélange salive et jus de chatte sur la pointe de la batte de baseball, j’enfonce trois doigts dans ma chatte. Ils glissent facilement à l’intérieur. L’ajout d’un quatrième doigts n’est pas difficile non plus. Ma chatte est tellement trempée qu’elle brille et que je fais des bruits de succions lorsque je pousse mes doigts dedans et dehors. Je suis prête, aussi prête que je ne le serais jamais.
Formant un V inversé avec l’index et le majeur de ma main gauche, j’écarte les lèvres de ma chatte et je place la pointe de la batte entre elles. Puis je pousse et je sens ma chatte s’ouvrir de plus en plus largement.
Je regarde entre mes jambes et je vois mes lèvres plissées s’étirer autour du bâton en métal. La pression est forte.
Je décide d’être moins prudente et j’insiste fortement. Toutefois, la batte ne veut pas glisser à l’intérieur. Ça ne va pas ! C’est trop gros ! Je fais alors glisser mon pied gauche posé sur le pare-chocs un peu plus vers l’extérieur pour écarter mes jambes au maximum. En fermant les yeux, je donne une bonne poussée à la batte de baseball.
SCHLOP !
Avec un bruit baveux, la batte glisse dans ma chatte. Ça y est !
Je pousse un soupir de soulagement. Mais il se change rapidement en un gémissement. Ma chatte est tellement distendue que j’ai l’impression que mes lèvres vont se déchirer d’une seconde à l’autre. Pourtant je me sens bien remplie. Je me sens si bien !
- Ohhhhh ! Ahhhhh ! MmmmmHHH !
Je gémis sans retenue quand je commence à pousser prudemment la batte de baseball vers l’extérieur et l’intérieur de ma chatte tout en frottant avec vigueur mon clitoris.
Mon Dieu, je suis sur le point de jouir ! Une batte de baseball va me faire jouir ! C’est complètement fou ! C’est même trop vicieux ! Quelle espèce de salope suis-je devenue ?
- Regardez les gars, cette pute s’amuse bien. Mais il est temps d’arrêter. Je ne veux pas que tu jouisses avant que ton travail soit terminé. Dit Chico.
J’(ouvre les yeux et je regarde docilement le latino rugueux. Je ne veux pas m’arrêter. Je veux mon orgasme. J’ai travaillé si dur pour ça ! Je le mérite !
Je voudrais maudire ce voyou de m’avoir autant excité de manière si désagréable. Je voudrais supplier cet enfoiré de me laisser continuer jusqu’à l’orgasme. Cependant je ne dis rien. Je suis trop effrayée pour dire quoi que ce soit.
Au lieu de ça, je me comporte comme une bonne fille obéissante et je retire la batte de ma chatte dégoulinante. Dans mon état d’excitation, j’agis comme une salope et je lèche avidement mon jus sur la batte tout en restant les jambes grandes ouvertes et montrant ma chatte béante.
- Hé hé hé ! Cette pute a des envies ! Plaisante Lucio.
Même si Chico a bu une autre bière en me regardant harponner ma chatte avec la batte de baseball, il utilise sa main libre pour sortir sa bite de son pantalon et il se dirige vers moi avec un regard qui dit clairement qu’il n’est pas du tout impressionné par mon comportement de salope.
Quand le latino est près de moi, il saisit la batte toujours dans ma main et il la jette dédaigneusement à l’arrière de la voiture. Tenant toujours la bière dans une main, il met deux doigts dans ma chatte. Il les pousse à l’intérieur aussi loin qu’il le peut. Puis Il me tire pour m’entraîner loin de la voiture.
Chico me promène avec ses doigts dans ma chatte ! Je ne peux pas résister. J’essaie de le suivre sans trébucher, les jambes écartées. Chacun de mes pas est accompagné du claquement provoqué par mes talons hauts sur le sol. Mes bras battent l’air et ajoute le bruit des cliquetis des bracelets qui s’entrechoquent. Je dois vraiment avoir l’air comique.
Puis Chico se retourne et prend ma place. Il s’appuie contre le coffre de la voiture. Détendu, il prend une gorgée de bière tandis que sa bite, dure comme du roc, sort de son pantalon.
- Allez ! Au boulot sale pute ! Dit-il simplement avant de continuer à boire.
Bon sang, ce latino a un contrôle total sur moi et il le sait ! Je veux la bite de ce gars, peu importe où et comment je vais l’obtenir. Il veut que je fasse tout le travail ? Il veut que j’empale mon trou du cul sur sa queue ? Très bien ! Je suis plus que disposée à le faire. Peu importe à quel point je passe pour une salope.
Je m’avance vers le latino et me retourne pour lui présenter mon cul. Je me penche et je pousse mes fesses en arrière jusqu’à ce que les lèvres scintillantes de ma chatte et mon trou du cul ouvert soient visibles. Tremblante d’anticipation, je jette mes cheveux châtains sur le côté pour regarder derrière moi la brute intimidante.
CLAC !
- Putain , toutes les pouffiasses de bureau sont les mêmes. Une fois que vous y avez goûté, vous devenez des salopes insatiables. Dit le latino après avoir claqué mon cul.
- Ne dites pas ça ! Je ne suis pas une pouffiasse de bureau. Protesté-je docilement avant qu’une autre claque me fasse taire.
Je tends les mains et j’écarte mes fesses pour présenter mon trou du cul ouvert. Et je recule sur la bite bien raide de Chico. Tenant sa bite en place avec sa main libre, il me laisse pousser mon gros cul de plus en plus profondément.
Heureusement que je viens déjà d’être enculée deux fois. Maintenant mon anneau anal n’offre pas beaucoup de résistance. Si bien que j’embroche facilement mon cul sur la bite du latino.
Chico semble presque désintéressé de ce que je fais. Il prend une autre gorgée de bière. Son indifférence me met en colère. Je deviens agressive. Pourtant je sais qu’il joue avec moi. Et ça a l’effet escompté.
Je commence à remuer mon corps d’avant en arrière tout en restant dans ma position penchée avec mes mains écartant mes fesses et mes seins pendant sur ma poitrine. Aussi vite que je le peux, je chevauche la bite de Chico en faisant trembler mes nichons.
Cette position penchée est dure à tenir et je dois rester jambes tendues. Donc je suis rapidement épuisée. Pourtant je tiens en place et je recule durement sur l’homme, harponnant encore et encore mon cul sur sa bite. Le comportement décontracté de Chico me rend folle.
- Mmmmmmhhhhh ! Putain !!!! OOOOhhhhh !! Ouiii !
J’essaie de gémir comme une chienne en chaleur pour faire réagir le latino.
- Arrghhhhh ! Crié-je quand mes actions ont eu l’effet désiré.
Chico vide sa bière et la jette sur le côté puis me pousse dans le dos. Avec les bras derrière moi, je tombe en avant. Je suis presque tombée sur mon visage, mais je réussis à atterrir sur mes genoux.
Avec ses mains libres, le vieux latino est sur moi en quelques secondes. Oui, attrape-moi et utilise-moi comme une poupée de chiffon. Je veux vraiment qu’il me malmène. Tout vaut mieux que son indifférence.
Et merde, je n’arrive pas à croire que je pense ça ! C’est un ancien taulard qui me fait peur. Mais c’est vrai, je le veux, je ne peux pas le nier.
Chico me donne une autre poussée dans le dos, ce qui fait tomber le haut de mon corps. Je vois le béton sale se rapprocher, mais je ne résiste pas. Allez mec, montre-moi à quel point je t’ai excité ! Montre-moi ta bestialité ! Il n’arrête pas de pousser jusqu’à ce que mon visage repose sur le sol. Je mets une main sous ma joue pour essayer d’empêcher que ma peau touche le béton sale.
CLAC !
Le latino donne une grosse claque à mon cul qui fait trembler ma fesse droite.
- Écarte, sale pute ! Ordonne-t-il tout simplement.
A la hâte, je tends mes mains et pose mes doigts aux longs ongles sur mon derrière. Voilà pour ma tentative d’empêcher ma joue de toucher le sol. Je peux sentir la surface grossière sur ma peau douce. La pensée de toute cette saleté me fait trembler.
Il y a peu de temps, je dînais à une table recouverte d’une belle nappe. Maintenant mon visage repose sur du béton sale et fissuré. Pourrait-il y avoir un plus grand contraste ? Pourrait-il y avoir une plus grande humiliation ?
Chico attrape mes hanches et tire mon cul en arrière jusqu’à ce que sa bite soit complètement enfournée dans mon cul. Puis il fait un pas en avant et place ses pieds au niveau de mes hanches.
Cette position lui donne le meilleur angle pour me sodomiser brutalement. Et ça étire mon cul d’une autre façon, me faisant crier. Cependant mon cri se transforme en grognements lorsque le latino commence à me pilonner durement comme si c’était la chose la plus importante pour lui.
- Aaaahhh ! Putain !!! ooohhh ! Putain ! Bai… EUURKKK !
Mes gémissements se transforment soudainement en un cri de dégoût.
Tout en m’enculant, Chico a levé un pied du sol et l’a mis sur ma tête. Sa semelle est sur ma joue gauche, pressant mon autre joue sur le sol sale.
Sa semelle dégueulasse sur ma peau douce, c’est vraiment dégoûtant.
- C’est comme ça qu’on baise une sale pute ! Déclare Chico.
Puis il ajoute :
- Tu n’es pas d’accord, salope ?
- Oohhh ! Putain !! Oooohhh ! Ouiii ! Baise cette sale pute ! Dis-je avec des gémissements de désir mélangés à mes paroles.
Merde, c’est vraiment symbolique. Je suis aux pieds du gang « LGZ », non seulement au figuré mais physiquement aussi maintenant. La métaphore est si puissante que je jouis presque tout de suite. Je sens la chaleur s’accumuler dans mes reins. Ça va être un orgasme fantastique. j’en ai tellement envie.
Quelques secondes avant que la première vague de plaisir ne se forme, Chico retire sa bite de mon cul. Il attrape mon épaule et me fait pivoter de façon que mon visage, encadré mes cheveux soit positionné juste devant sa bite tendue.
Comme un bon animal dressé, j’ouvre la bouche avec empressement. La première giclée sort de la bite dure de Chico. Mais le latino pointe sa queue vers le bas.
C’est quoi ce bordel ? Qu’est-ce qu’il fait ?
Son sperme rate mon visage. Il ne tombe pas dans ma bouche ouverte. Au lieu de cela son foutre éclabousse mon haut noir entouré autour de ma taille.
- Nonnnnnnnn ! Crié-je quand je réalise l’étendue des dégats.
- Nonnnnnn ! Nonnnnnn ! Crié-je de nouveau quand le latino continue de gicler sur le tissu noir.
Ce salaud vient de salir mon haut avec son sperme. Il vient de ruiner ce vêtement.
Tout ça après avoir été si prudente avec mes habits ! Dire que j’avais rangé soigneusement ma veste de costume grise sur la banquette arrière de la voiture. Ce salaud a quand même réussi à gâcher ma tenue. Et je n’ai rien pour me changer. Il va falloir que je retourne dans le restaurant et que j’affronte ORTEGA et O’BANNON dans ces vêtements. Comment vais-je faire ?
A la hâte, j’essaie de récupérer le sperme gluant pour l’enlever du tissu, mais Chico gifle ma main. Je n’ai réussi à l’enlever que d’un seul endroit. Il y a encore plusieurs autres tâches de foutre épais et gluant.
- Salope, une pute de gang ne se nettoie pas. Tu vas porter mon offrande avec fierté, d’accord ? Gronde-t-il.
Non je ne suis pas d’accord. Je ne veux pas. Ce n’est pas réel ? J’ai fait tout ce qu’ils m’ont demandé. j’ai agi comme une bonne pute de gang obéissante. Je les ai laissés m’utiliser comme un vrai sac à foutre. Mais ça va trop loin !
- Il ne faut pas gaspiller mon sperme. Ramasse-le sous tes faux ongles salope ! Continue Chico.
Ce voyou brutal se met en colère. Il me fait peur alors je lui obéis. Le sperme que j’ai gratté sur mon haut noir colle au bout de mon index droit. En utilisant l’ongle long de mon index gauche comme une palle, je pousse le sperme vers l’avant. Le foutre est si collant qu’il est difficile de le faire glisser de mon doigt sous le faux ongles. En utilisant le bout de mon ongle long comme une cuillère, je commence à ramasser le reste de sperme. En fin de compte, je me retrouve avec une masse de sperme en train de sécher coincé sous le bout de mes faux ongles.
- Tu as un dîner d’affaires là-dedans, ou une merde comme ça non ? Demande Chico.
J’acquiesce rapidement.
- Tu lécheras tes faux ongles pendant le repas pour avoir le goût de mon foutre. Comme ça tu sauras que tu restes une grosse pute. Même dans un restaurant chic ! Même dans un dîner d’affaires !
Quoi ? Il est malade ce salaud ? Il veut que je suce mes ongles pendant mon dîner ? Je vais avoir l’air complètement stupide ! Et ma tenue ? Qu’est-ce que je suis censée faire ,
- Maintenant, habille-toi et casse-toi. Tu ne sers plus à rien pour le moment, salope ! Dit-il avant de monter dans la voiture.
Lucio et Paco le suivent pendant que je remonte mon haut tâché sur mes seins. Je le rentre dans ma jupe que je lisse soigneusement. Je fais bien attention de ne pas toucher les endroits où se trouve du sperme gluant. Au moment où j’ai fini, les trois gars sont partis.
J’examine ma tenue et je remarque que les taches de sperme sur mon haut sont essentiellement du côté gauche et sous mon nombril. Néanmoins ces taches blanches sont bien visibles.
Je réfléchis frénétiquement aux options que je peux avoir. Mais je ne peux pas faire grand-chose. Les pulsations impitoyables dans ma chatte insatisfaite ne m’aident pas non plus. j’ai besoin de jouir avant de bien réfléchir.
Puis j’ai une idée. J’ai toujours mon blazer gris ? Je l’ai soigneusement plié sur la banquette arrière de la voiture. Mais où est-il maintenant ? Paniquée, je regarde dans la ruelle mal éclairée. Les trois latinos ne l’ont pas emporté quand même ? Non Non Non !!!!
Il est là ! Sur le couvercle d’une poubelle. Les trois gars l’ont jeté là avant de partir. Et voilà pour mon plan de le garder au propre. Néanmoins je suis plus que contente de l’avoir toujours sous la main.
Je l’inspecte et je n’y vois aucune tache de saleté. Au moins c’est une bonne chose. j’enfile le blazer et je le boutonne complètement. Le tissu gris cache les taches de sperme sous mon nombril. Oui, mais à chaque fois que je bouge des taches deviennent visibles. Bon, ça ne va pas être facile, mais je vais faire avec. c’est toujours mieux que rien.
Tout ce temps ou j’ai joué à la pute n’a pas duré plus d’une demi-heure. J’avais l’impression que ça avait duré deux fois plus. Trente minutes, je vais pouvoir l’expliquer avec le coup de téléphone. Après tout, je vais pouvoir dire que je n’ai pas renoncé d’essayer de convaincre le client de prolonger notre collaboration..
Avec précaution, j’entre dans le restaurant mon téléphone à la main. Je fais un petit tour par les toilettes pour femme afin de vérifier ma coiffure et mon maquillage. Après avoir réorganisé ma tenue, je reviens à ma table. OERTEGA et O’BANNON cessent immédiatement leur conversation pour me regarder avec impatience.
Cependant, la première chose que je fais en m’asseyant est de monter mon index droit à ma bouche et de poser l’ongle long sur ma lèvre inférieure. Merde, même si je n’avais pas pensé à l’ordre de Chico, je lui obéissais de suite.
Les expressions sur les visages de deux hommes ont instantanément changé quand ils ont vu mon mouvement idiot. O’BANNON me regarde dans une confusion totale. En revanche le regard d’ORTEGA se change en un mélange d’amusement et d’arrogance. C’est le genre d’expression qui me dit qu’il me considère comme une stupide secrétaire de bureau. Exactement comme m’ont traitée les trois membres du gang « LGZ ».
J’explique longuement l’appel téléphonique imaginaire, en racontant à mes collègues dirigeants comment j’ai négocié et essayé sans succès de récupérer la clientèle de M. MOORE. Les deux hommes sont tellement occupés à analyser mes dires qu’ils ne perdent pas de temps à se demander pourquoi ça a duré si longtemps. Je suis hyper nerveuse sur ma chaise. A chaque mouvement, je crains qu’une tache de sperme devienne visible. J’ai l’impression de marcher sur des charbons ardents.
Ma nervosité n’est pas atténuée par l’ordre de Chico. Chaque fois que l’on me pose une question, je pose mon faux ongle sur mes lèvres comme pour réfléchir et je goûte le sperme du latino. Bon Dieu, ça me fait perdre totalement le fil de mes pensées.
Ça ne m’aide pas à rendre crédible l’appel téléphonique imaginaire. O’BANNON semble de plus en plus déconcerté par mon comportement inhabituel. En revanche ORTEGA semble plutôt amusé. Il se fait un plaisir de me poser plein de questions et de me regarder poser mon ongle sur mes lèvres en oubliant la réponse.
Agir d’une manière aussi stupide devant deux cadres supérieurs hautement qualifiés est humiliant. Pourtant, la façon dont ça fait picoter ma chatte est si ahurissante. Bon sang, je suis assise dans un restaurant chic et haut de gamme pour un important dîner d’affaires, et je lèche le sperme d’un membre de gang latino sur mes doigts. Est-ce qu’il peut y avoir quelque chose de plus vicieux ?
Alors que j ‘ai encore oublié une des questions d’ORTEGA, je me penche en avant pour mieux l ‘écouter. Dans cette position, je vois soudainement l’un des hommes d’affaires à la table voisine donner un coup à son collègue. Quelques secondes plus tard, ils me regardent tous les deux. Mais pourquoi ?
Je suis leurs regards et je remarque que mon blazer gris est remonté et que la plus grosse tache de sperme est bien visible. Merde ! Merde ! Merde ! Rapidement je me redresse et je remets le blazer en place.
Heureusement j’étais penchée vers ORTEGA et O’BANNON n’avait pas pu voir la tache de sperme. Mon rival lui était fixé sur mes ongles longs et mes lèvres. Il ne donne pas l’impression d’avoir remarqué quoi que ce soit. Pourtant je rougis et je baisse le regard. Je ne peux plus regarder les hommes d’affaires, j’ai trop honte.
Pour le reste du dîner j’aurais voulu être dans un trou de souris. Les deux hommes d’affaires à côté n’arrêtent pas de me regarder et de chuchoter ensemble. Chaque fois qu’ils ricanent, je sais qu’ils se moquent de moi et font des blagues sur la bimbo stupide. ORTEGA n’arrête pas de me poser des questions et le goût du sperme sous mes ongles ne cesse pas de me distraire. Je suis très nerveuse mais aussi très excitée.
Quand finalement O’BANNON décide de stopper le repas, mon corps me picote de partout. Je peux à peine me souvenir des prochaines étapes stratégiques que nous avons planifiées. Par contre je me souviens de toutes les instructions que les trois membres du gang m’ont données.
En me préparant pour partir, je suis tellement excitée que je me sens vraiment femme. J’embrasse mes deux collègues en donnant à chacun deux baisers sur la joue pour leur dire au revoir. Une fois de plus, le regard confus de O’BANNON rivalise avec le regard amusé de ORTEGA.
Lorsque mes deux collègues administrateurs quittent le restaurant, je m’excuse auprès d’eux et je leur dis que je dois aller aux toilettes. Dans cette pièce, je m’enferme dans une cabine et je frotte mon clitoris jusqu’à ce que j’aie un orgasme fracassant. Enfin !!!
En sortant du restaurant, je tombe sur une femme avec un chignon noir. C’est la femme de la ruelle. En nous croisant elle me regarde et fronce les sourcils. Fuyant son regard, je me dépêche de sortir. Je ne sais pas si elle m’a reconnue et si elle m’avait vue me prostituer dans la ruelle. Quoi qu’il en soit, son regard fait que je rougis et que ma chatte me picote malgré mon orgasme récent.
A suivre...
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