samedi 23 mars 2024

Cocu content, mais pas trop - Ch. 06

Récit de Atortetadore (2010)

*****

Mon compte est bon.

Nous y voilà. Deux mois se sont écoulés depuis le dernier épisode. Mathilde m’a quitté quinze jours plus tard n’y tenant plus. J’ai eu beau prendre soin d’elle, la chouchouter, la câliner, rien n’y a fait, j’avais l’impression d’être en face d’un bloc de granit. Elle ne m’aime plus, ça ne fait aucun doute.

Je sais maintenant que le jour où j’ai reçu le DVD, soit une quinzaine de jours après qu’elle fut allée chez Bernard, elle n’était pas en déplacement, mais avec Bernard les deux jours.

Mathilde est quelqu’un d’entier. Elle a quitté son premier mari de la même façon. Elle l’a trompé, puis elle est partie. À l’époque c’était avec un ancien militaire mythomane qui lui avait promis monts et merveilles. Elle l’a quitté avec près de 45 000 € de dettes que nous avons mis 20 ans à éponger. Et maintenant elle est amoureuse et elle est prête à tout et n’importe quoi pour vivre pleinement son nouveau délire.

C’est en rentrant qu’elle m’annonce qu’elle me quitte. Quand je lui demande pourquoi :

— Écoute chéri ! Je ne t’ai pas épousé pour que tu me traites de tous les noms. Alors tant qu’à être la pute, la trainée ou la chienne de quelqu’un, autant que je choisisse avec qui. Moi je voulais être ta femme pour que tu m’aimes en tant que telle. Maintenant, je pars avec Bernard parce que j’aime qu’il me traite comme il le fait. Tu n’as rien compris. Tant pis pour toi.

Elle boucle une petite valise, prend quelques affaires personnelles puis quitte la maison sans même que je puisse lui dire quelque chose. Aucun mot ne sort de ma bouche, je reste là, à la regarder passer. Je reste un long moment debout dans le salon à regarder la porte d’entrée close.

Puis je suis allé dans la chambre, la salle de bain, comme pour me réveiller de ce cauchemar et pour bien me rendre compte qu’elle est partie. Partie, sans rien ou presque, pas une photo, pas un souvenir, rien qui nous relie, rien de ce qu’on a en commun. Vingt ans de mariage biffés d’un claquement de porte. Elle m’a rayé de sa vie comme on tourne la dernière page d’un mauvais roman, roman que l’on sait que jamais on ne le relira et qu’on pose sur une étagère, dans un vieux tiroir ou jette négligemment dans la première poubelle venue.

Depuis, je suis en pleine dépression. J’ai été remercié à mon travail. Je suis au chômage, assez confortable pour que je puisse continuer à vivre, mais il va me falloir en retrouver, me reconstruire. Ce n’est pas en me bourrant la gueule comme je le fais tous les soirs que je vais y arriver.

Je profite de ces quelques moments de clarté pour finir d’écrire cet épisode qui me pèse car je ne sais par quel bout le prendre. Alors je vais vous le donner comme il vient. Vous me pardonnerez. J’espère.

Je suis donc au chômage depuis une semaine. Depuis presque deux mois, tous les soirs je me bourre la gueule. Mon patron en a eu marre, je lui ai raconté rapidement mon histoire, sans évoquer les détails auxquels vous avez eu droit, il m’a dit qu’il ne pouvait pas me garder et qu’il me proposait de me licencier à l’amiable afin que je touche le chômage et en m’offrant une prime de départ intéressante. J’ai accepté !

Depuis j’erre dans mon appart crade, j’ai coupé mon téléphone, je ne sors quasiment pas, je me fais livrer des pizzas, je sors acheter deux trois trucs à grignoter à l’épicerie du coin, de l’alcool et des cigarettes, car je me suis remis à fumer.

Il y a trois jours j’ai reçu un recommandé de Bernard. Je suis resté un long moment dans le canapé à regarder cette enveloppe encore scellée sur la table basse du salon. À l’intérieur, une lettre et trois DVD numérotés d’un à trois comme il se doit.

La lettre manuscrite :
« Bonjour Laurent,
Je t’écris ce courrier alors que Mathilde t’a quitté. Je suis désolé pour toi. En fait non je n’ai aucun regret. Jamais je n’aurais pensé au début de notre aventure récupérer ta femme. Cela dit je ne regrette pas car c’est vraiment un bon coup. Elle est insatiable. Pour preuve, je te fais parvenir les photos et vidéos de ses derniers exploits. Je sais que tu regarderas ceci avec attention et que sans doute tu y prendras du plaisir.
Elle est raide dingue de ma grosse queue et je peux te dire que j’en profite un max. Elle est prête à tout pour que je la baise, même à des choses que tu n’aurais sans doute jamais imaginées de sa part. Je n’hésite pas à la prêter aux copains, à la faire baiser par n’importe qui. Depuis quinze jours que nous sommes ensemble, elle est en vacances pour 4 semaines, nous baisons tous les soirs et parfois même plusieurs fois par jour.
Je vais faire de ta femme un paillasson, une serpillère, tu m’entends ? Je vais la faire baiser jusqu’à l’os par la terre entière et te la rendrai quand elle ne sera plus que l’ombre d’elle-même. Mais avant je vais la faire tourner dans un ou deux bons pornos amateurs, histoire de me rembourser.
Allez, je te laisse profiter du spectacle.
Bonne branlette.
Bernard »

Je tiens cette lettre dans mes mains, ne sachant qu’en faire. La détruire, la déchirer, la jeter. Je suis abasourdi et à la fois excité par ce que je viens de lire. Je prends les DVD, les regarde et m’avance vers le lecteur. Introduis le n°1 et le mets en route. Je reviens m’asseoir dans le canapé, j’allume une cigarette, me sers un verre de whisky et attends patiemment la première image.

C’est à nouveau Bernard qui apparaît, décidément, il me persécute, je ne m’en déferai jamais.
 
— Salut Laurent, je savais que tu ne résisterais pas à la tentation. Nous sommes donc dans ma maison de campagne près d’Arcachon, il fait un temps magnifique et je te propose de profiter de quelques photos de ta femme faites par-ci par-là. Je les ai bien sélectionnées. Mais je te rassure, que du soft. Tu te souviens sans doute du jour où tu as reçu le premier DVD. Mathilde était soi-disant en déplacement. Tu le sais depuis un certain temps elle était avec moi. Profite ! »

L’image devient noire et laisse la place à un défilement de photos de Mathilde.

La première série, Mathilde est vêtue d’une longue robe noire fendue très haut au-dessus des hanches maintenue par un lacet de chaque côté. On aperçoit d’ailleurs qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, sa lourde poitrine tombe légèrement. La robe s’arrête au milieu du dos et juste au-dessus de la poitrine. Elle porte de jolis escarpins noirs qui laissent apparaître de jolis pieds dont les ongles sont joliment colorés de rouge. Mathilde sourit à son photographe prenant des poses plus suggestives les unes que les autres puis rapidement baisse le haut de la robe dévoilant ses seins magnifiques puis relevant sa jupe pour nous laisser découvrir un string ficelle noir lui passant entre les fesses puis faisant entrer le string dans sa chatte en le tirant vers le haut.

Puis une seconde encore en robe de soirée noire sans bretelles, dos nu et s’arrêtant au-dessus de la poitrine surmontée d’une jolie broche mais cette fois avec un rabat d’un pan sur l’autre. Encore une fois pas de soutien-gorge et on découvrira par la suite qu’elle ne porte pas de culotte non plus.

Une troisième dans un salon sur un canapé en cuir avec une robe dont le haut est complètement transparent puisque l’on distingue les aréoles de ses seins, seule une partie opaque démarre juste sous le galbe des seins et vient se finir juste sous les fesses.

Puis une série en extérieur ou je l’aperçois tour à tour dans un verger en robe orange à 4 pattes les seins pendants et le cul à l’air, puis dans une voiture en pleine ville avec un petit haut blanc qui laisse bien à l’air son nombril et pendre ses seins sans soutien-gorge dans une petite jupe fendue, déguisée en cow-girl, ou encore dans une robe blanche dans l’entrée d’un immeuble dévoilant ses charmes à je ne sais qui.

Et enfin une série en intérieur dans toutes les pièces dans la maison, je suppose, des toilettes à la salle de bain en passant par la buanderie, le salon, la cuisine et le dressing. Toujours dans des positions de plus en plus osées. Une photo d’elle dans la bibliothèque avec un haut en filet de pêcheur blanc à grandes mailles, nue dessous et un pantalon noir transparent. Sur une photo de cette série, elle pose les yeux fermés dos au photographe face à la bibliothèque juste vêtue de son filet de pêche elle cambre les reins d’une façon obscène et s’écarte les fesses à pleines mains nous dévoilant ainsi son anus et sa chatte. On constate d’ailleurs sur cette photo que son anus est meurtri et boursouflé.

Sur une autre vêtue d’une nuisette en satin, elle s’enfile une banane tout en discutant au téléphone.

Puis des gros plans de son anus, de ses seins, de sa chatte, ainsi qu’avec un gros gode rose avec lequel elle se donne du plaisir.

Le premier DVD s’achève donc sur quelques vidéos de Mathilde en train de se masturber dans la chambre, dans la baignoire et dans les toilettes.

Je bande comme un âne. Je me masturbe doucement prenant beaucoup de plaisir à regarder ce DVD. Je me demande ce qui va bien pouvoir suivre. La curiosité me gagne. J’insère donc le second DVD dans le lecteur. À nouveau Bernard :

— Bonsoir Laurent, oui nous sommes le soir. Vois-tu ? Il est presque 20 heures et j’ai invité quelques vieux amis à dîner. Trois. Pour être exact. Je te rassure, ils sont tous aussi vicieux les uns que les autres, elle va se régaler. Comme tu peux le constater, nous sommes dans mon salon. Tu le connais déjà et je suis sûr que tu l’avais reconnu. Mathilde est en train de se préparer j’espère que la tenue te plaira. Tu sais mes amis sont de vieux beaux, ils adorent les petites jeunes, mais ne crachent pas de temps en temps sur une veille pute. Je l’ai donc habillée en conséquence. J’avoue avoir eu du mal à la décider à mettre ce que je lui ai acheté mais elle a fini par accepter. C’est assez étonnant d’ailleurs, comme elle mégote à mettre une tenue de pute alors qu’elle est prête à se faire tringler par tout le quartier. Elle est bizarre ta femme non ? Ha ! Ha ! Ha ! »

— Oui, je sais qu’elle est bizarre. C’est bien pour ça qu’elle est chez toi connard ! crié-je à haute voix dans mon salon.

Je suis comme fou. Je n’imagine pas que je vais voir ma femme se faire baiser par plusieurs hommes en même temps comme ça. Alors qu’elle était réticente à le faire avec moi. Je suis aussi déboussolé qu’excité à l’idée de la voir se faire prendre par de vieux vicieux.

L’image se coupe un instant puis revoilà le salon, toujours cette fameuse caméra qui filme. Quatre hommes dont Bernard sont assis dans le salon et discutent de choses et d’autres. Les hommes sont habillés classique pantalon de ville et chemise. Tous ont, au moins, la soixantaine, plutôt pas mal, style cadres à la retraite légèrement ventripotents mais beaucoup de classe.

— Messieurs, dit Bernard, il est temps que je vous présente notre perle de ce soir.

Ces paroles sont accueillies par un brouhaha collectif.

— Mathilde ? Viens, sers-nous l’apéritif ! Tu veux bien ?

À cet instant tous les regards se tournent, je pense, vers l’entrée de la pièce. On voit dans les regards une curiosité malsaine. Puis soudain les visages s’éclairent et tous se mettent à siffler. Mathilde fait son apparition.

— Ah oui ! dit l’un d’entre eux.

— Superbe ! s’exclame un autre.

L’autre reste bouche bée alors que Bernard, déjà, jubile. Il jette un œil à la caméra et me fait un clin d’œil. Mais que se passe-t-il ?

La première vision que j’ai de Mathilde est de dos. Je vois une robe ultra courte, une bande allant du galbe des fesses à la naissance du dos, juste au-dessus des reins lui laissant le dos nu. Seules deux bandelettes nouées sur la nuque maintiennent apparemment le devant de la robe.

Les jambes nues et des chaussures à talons vertigineux l’obligeant à se cambrer. La hauteur des talons lui donne une cambrure de reins superbe et des mollets magnifiques. Elle pose le plateau sur la table du salon en se penchant en avant jambes tendues. Aussitôt la jupe remonte sur ses fesses laissant une vue imprenable sur son gros cul et sa chatte toute lisse dont les grandes lèvres ressortent légèrement. On dirait qu’elle mouille déjà.

— Mathilde, viens t’assoir avec nous !

Mathilde contourne la table puis se retourne avant de s’assoir en croisant les jambes au centre du canapé entre deux inconnus qui sont en admiration. Effectivement, je comprends mieux pourquoi. Les deux bandelettes nouées sur la nuque descendent de chaque côté du ventre juste reliées par de fines bandes de tissu. On peut donc voir une bande de peau nue descendant sous le nombril presque jusqu’au pubis. Le spectacle est hallucinant. On voit son ventre, son nombril, ses gros seins dont seuls la partie extérieure et les tétons, déjà dardés, sont cachés par la robe. On peut profiter de ce magnifique entre-deux-seins profond et généreux pendant lourdement.

Tous s’exclament sur la beauté de Mathilde et sa tenue ultra sexy. Puis Bernard prend la parole.

— Chers amis je vous présente Mathilde ma nouvelle conquête.

— Mathilde, je te présente Serge, Henri et Marcel. Ils sont venus faire ta connaissance.

— Enchantée, dit Mathilde.

— De même, répondent les trois autres à l’unisson

Sur le plateau un seau à champagne et 5 coupes. Bernard se lève et ouvre la bouteille puis commence le service. Je suis dans tous mes états. À la fois fasciné, intrigué, anxieux, excité, malheureux, tous ces sentiments se mêlent pour finalement me laisser complètement subjuguer par ce qui se passe à l’écran.

Chacun y va de sa conversation avec Mathilde, ils parlent de tout et de rien, puis trinquent et vident leur coupe cul sec. Bernard ressert tout le monde. Mathilde a l’air si détendu, c’est hallucinant. Maintenant qu’ils dégustent la seconde coupe, déjà Serge glisse une main sur la cuisse de Mathilde. Délicatement il caresse sa peau nue. Henri, assis de l’autre côté passe une main entre deux bandelettes entre les seins et vient saisir à pleine main le sein qui lui est opposé. Il le masse langoureusement regardant la réaction de Mathilde qui continue à boire et à discuter avec Marcel et Bernard. Puis Henri, félicitant Mathilde quant à la douceur de sa poitrine, saisit le téton entre deux doigts et commence à le faire rouler et à tirer doucement dessus. Serge, lui, décroise les cuisses de Mathilde, laissant à la vue de tous et surtout à la mienne, qui est bien placée, une vue imprenable sur sa chatte. Sa main est déjà en train de fouiller sa chatte alors que sa bouche se saisit de celle de Mathilde qui a posé son verre pour mieux pouvoir lui rendre son baiser. Leurs langues se mélangent en dehors de leurs bouches pour se rapprocher. Mathilde prend la tête de Serge entre ses mains pour l’embrasser à pleine bouche pendant qu’Henri lui maltraite le sein droit. Marcel dit :

— Regarde, Bernard, elle en veut la petite.

— Oui, elle adore ça.

Henri profite que Mathilde embrasse goulument Serge pour défaire le nœud qui maintient le haut de la robe, puis tire délicatement sur le devant pour libérer ses seins dont les tétons sont magnifiquement érigés. Il passe une main de chaque côté pour pouvoir prendre un sein dans chaque main. Par-derrière, il commence à les soupeser, les malaxer, les triturer sans vergogne embrassant Mathilde dans le cou. Mathilde frissonne. Serge, lui, a pris de l’avance à fourrer sa grosse paluche entre les cuisses et s’affaire sur ou dans sa chatte. Marcel et Bernard se resservent copieusement attendant certainement leur tour.

— Putain, cette paire de nibards qu’elle a, c’est un plaisir de les tripoter. Ils sont doux à souhait et ses tétons réagissent au quart de tour. Regardez, les gars.

Henri tire sur Mathilde pour qu’elle relâche son étreinte sur Serge afin que tout le monde puisse voir à quel point ses tétons sont gonflés et à quel point ils sont sortis de sa poitrine. Henri, toujours les mains sous les seins de Mathilde les soupèse et fait rouler les tétons entre ses pouces et ses index afin d’accentuer la tension.

Serge profite de l’occasion pour lui écarter les cuisses en grand et lui mettre deux doigts dans la chatte. Mathilde grimace légèrement puis ferme les yeux pour savourer la caresse.

— Elle est déjà trempée. Tu parles d’une salope.

Henri Allonge Mathilde sur le canapé puis se met à genoux pour lui bouffer les seins et lui prendre la bouche fiévreusement. Serge lui ramone la chatte avec férocité et rapidement Mathilde se laisse aller. On l’entend maintenant respirer fortement, gémir sous les baisers d’Henri et les caresses forcenées de Serge. Bernard une caméra au poing fait le tour de la scène. 

Nous voici sous un autre angle. Bernard filme par-dessus le dossier du canapé. Mathilde, les yeux fermés se fait mordiller les tétons alors que Serge porte ses doigts pleins de mouille à la bouche de Mathilde qui les suce sans rechigner. Sa robe n’est plus qu’un petit bandeau de tissu autour de sa taille. En arrière-plan dans un fauteuil Marcel se caresse doucement au travers de son pantalon déjà déformé par une belle bosse qui laisse présager un beau morceau. Puis Henri se relève, et sort sa queue longue, fine et toute rasée déjà à demi bandée pour la présenter à la bouche de Mathilde qui n’hésite pas une seconde à la prendre, tout en prenant l’initiative d’extirper la grosse paire de couilles du pantalon.

— Oh, ouiii ! Elle a une bouche, c’est un vrai fourneau. Hummm oui vas-y suce bien. Oui tiens prends-la toute hummm.

— Elle est trempée, elle me dégouline sur la main, je vais lui en mettre un troisième, je suis sûr qu’elle va apprécier. Elle est quand même serrée pour son âge, son mec était mal monté ou quoi ? Dit Serge

Je ne réagis même pas à ses paroles sur le coup tellement je suis excité. Je me caresse doucement la queue que j’ai sortie.

— Vas-y Mathilde pompe-lui bien son dard à notre ami Henri il va tout te mettre dans ta petite bouche.

Sur ces paroles Mathilde redouble d’efforts pour sucer Henri qui commence à gémir. Il sent qu’à ce train-là il ne va pas résister longtemps. Serge de son côté a réussi à lui foutre trois doigts dans la chatte et la ramone bien à fond, le pouce écrasant son clitoris.

— Elle a un clito minuscule. Mais alors regarde comme il marche bien.

À chaque fois que Serge appuie sur le clitoris Mathilde se cambre ou pousse un soupir d’enchantement. Puis utilisant l’abondante mouille de sa chatte, il lui enduit l’anus et commence à jouer avec en faisant de petits ronds et en insinuant un doigt de temps à autre. Rapidement il pose sa bouche sur la chatte trempée et tout en lui dévorant le clito lui visse littéralement jusqu’à la garde son majeur dans le cul en lui faisant faire de longs va-et-vient et le tournant à l’intérieur. L’anus se déforme et on le voit nettement entrer et sortir au rythme des allées et venues, preuve d’un manque de lubrification et pourtant Mathilde gémit de plus belle toujours la queue d’Henri dans la bouche qui maintenant lui a pris la tête et lui assène de grands coups de reins.

— Ohhh oui tiens bouffe, je vais tout te mettre dans la bouche. Ouiii ! Ohh putain je viens.

Henri lui enfonce la queue à fond dans la bouche et visiblement jouit. Mathilde déglutit tant bien que mal du foutre dégouline légèrement de ses lèvres, elle a les yeux qui pleurent. Il va l’étouffer. Puis doucement, il relâche la pression alors que Mathilde lui pompe le nœud comme une furie, il est obligé de la repousser tellement elle lui fait mal. Alors qu’Henri se recule et que Mathilde reprend son souffle difficilement à cause du traitement de Serge, Marcel est déjà devant elle lui présentant sa queue épaisse et sombre. Elle ouvre la bouche et se laisse docilement investir.

— La vache elle m’a vidé en rien de temps. Dit henri

Et il se ressert une coupe de champagne.

Serge répond :

— Attends, Marcel, tu vas t’asseoir elle va te sucer à genoux.

Marcel relève Mathilde et vient s’asseoir sur le canapé pendant que Mathilde s’agenouille entre ses jambes pour reprendre sa fellation. J’ai une vue imprenable sur son gros cul luisant et sa grosse chatte maintenant bien dilatée, trempée de mouille. Serge derrière pousse la table du salon sur le côté, se débarrasse de sa chemise et de son pantalon et recommence à lui fourrer trois doigts dans la chatte tout en lui léchant l’anus. C’est lui finalement le moins bien monté de l’équipe une queue tout à fait normale ni trop longue, ni trop grosse, mais il bande bien raide.

Marcel prend la tête de Mathilde à deux mains et lui imprime le rythme. On entend les bruits obscènes que fait sa bouche et les clapotis de sa chatte. Serge tout en se redressant prend les mains de Mathilde et les pose sur ses fesses.

— Vas-y salope ouvre moi bien ton cul, je vais te la mettre direct dans le fion.

Mathilde comme par réflexe et très fermement tire sur ses fesses pour bien ouvrir son anus.

— Voilà une fille bien obéissante. Tu vas voir je vais bien t’enculer maintenant.

Il crache sur l’anus, puis enfonçant comme de rien son majeur dans le cul de Mathilde, il se positionne au-dessus, la queue bien à la verticale et une fois son doigt retiré pose le gland contre l’anus qui déjà palpite. Il s’enfonce doucement mais surement dans son cul laissant Mathilde pousser un cri étouffé par la queue de Marcel. Une fois bien au fond, il attend un moment afin que le cul de Mathilde se dilate puis commence à limer lentement, puis plus vite écartant lui aussi les fesses charnues de ma femme. Puis lui imprime un rythme soutenu.

— Ohhh putain comme elle est serrée. C’est trop bon. Elle va me faire gicler la salope. Hummm. Tiens prends ça sale garce, je vais t’éclater le cul. Han han han.

Mathilde, toujours la queue de Marcel dans la bouche, étouffe des cris de plaisir, se faisant refaire le conduit par Serge à grands coups de reins. Il la défonce maintenant bien de tout son poids, ressortant parfois complètement, admirant l’anus bien dilaté pour la lui remettre à fond. C’est au moment où Marcel se lâche dans la bouche de Mathilde que Serge explose dans son cul. De longs râles emplissent le salon. Mathilde déglutit tant bien que mal. Marcel reprend ses esprits.

Bernard et Henri se branlent doucement en regardant la scène. J’ai éjaculé dans un papier absorbant. Je mets sur pause le temps de faire une toilette, me servir un coup et de fumer une clope. Je reviens quelques minutes plus tard et relance la lecture.

Je vois Bernard dire:

— Bravo Mathilde tu as été superbe si tu allais te refaire une beauté.

Mathilde tout échevelée se relève sourit à Bernard et disparaît du salon. Les trois hommes commentent allègrement les performances de Mathilde.

— Alors vous la trouvez comment ? demande l'hôte.

Serge répond :

— Oui, elle est vraiment bonne, je n’aurais pas cru qu’elle aurait un cul aussi serré.

Marcel  ajoute :

— Elle suce vraiment pas mal, elle a vraiment du potentiel.

Henri renchérit :

— Dommage qu’elle ne soit pas plus jeune on aurait pu la présenter à Abdel.

— Oui je sais. Mais bon, j’aimerais bien lui trouver un plan bien salace tu vois ? Qu’elle en prenne plein le cul pour de bon. Je veux la rendre à son connard de mari quand elle sera bien usée. Dit Bernard.

— Bonne idée. Finit Marcel

Une autre bouteille de champagne a été ouverte, la discussion continue une dizaine de minutes avant que Mathilde ne refasse son apparition. Vêtue cette fois d’une espèce de robe noire dans le même style que la précédente mais complètement transparente. On aperçoit un string ficelle qui lui rentre dans la raie du cul et ses grosses mamelles aux tétons érigés. Je ne lui connais pas ces tenues, Bernard a surement dû lui prévoir toute une garde-robe, ce n’est pas possible autrement. Je me souviens des photos que j’ai vues sur le premier DVD et je m’aperçois que je ne connaissais aucune de ces tenues.

Une fois de plus, elle est accueillie sous les applaudissements. Elle adore ça apparemment et tourne sur elle-même pour bien leur en faire profiter, puis retourne s’asseoir cette fois entre Bernard et Henri qui après avoir trinqué et vidé leur verre commencent à nouveau à tripoter Mathilde sous le regard de ses amants précédents. Bernard lui malaxe les seins fermement pendant qu’Henri lui tripote la chatte au travers du string, tirant parfois pour qu’il pénètre dans sa chatte écartant ses lèvres. Il tire plus fort pour exacerber son clitoris déjà irrité par la séance précédente. Puis passe une main sous le string et lui fourre un doigt dans la chatte et rapidement un deuxième. Il lui bouffe un sein pendant que Bernard agace le second. Mathilde naturellement écarte les cuisses afin de faciliter le travail d’Henri. Je suis impressionné de voir comme elle est docile, je la reconnais à peine.

Henri s’assied dans le canapé et demande à Mathilde de venir sur lui, elle enlève son string et le plus naturellement du monde, elle lui sourit et s’empale doucement sur sa queue. Bernard derrière lui prépare son petit trou et dit :

— On va te prendre en double ma belle, tu vas adorer. Une bite dans chaque trou tu vas voir c’est le paradis sur terre.

— Ohh ! Oui venez, je veux tout essayer. J’ai tellement envie de baiser. Répond ma femme.

Il prend alors une coupe de champagne sur la table et pendant que Mathilde monte et descend sur la bite d’Henri il en verse une peu dans le sillon de son cul puis y colle la langue. Enfonçant celle-ci dans son petit trou. Mathilde pousse un petit cri de surprise entremêlé de gémissements, elle savoure déjà l’effet que lui fait la queue d’Henri. Puis Bernard se met en position pour la lui mettre.

— Attends bouge pas. Voilà tiens, hum regarde ça rentre tout seul maintenant. Tu vois qu’on te l’a bien élargi ton trou du cul. Serge a fait du bon boulot.

— Oui. Vas-y mets-la moi, bien à fond. Oui putain, oui que c’est bon ! soupire Mathilde

— La vache elle aime ça ! Dit Serge.

— Oui ça se sent. Répond Marcel.

Bernard gémit :

— Humm oui bien à fond, jusqu’aux couilles. Bien emmanchée.

Puis il commence un lent va-et-vient alors que Mathilde est toujours assise sur la queue d’Henri. Bernard lui taraude l’anus méthodique, un vrai métronome, puis accélère doucement accroché aux hanches de Mathilde qui commence à partir sérieusement, on la sent prendre son pied, elle a la tête dans le cou d’Henri l’embrasse fougueusement étouffant ses cris dans son épaule. Puis Henri commence à bouger doucement. Dans un rythme un peu désordonné ils prennent Mathilde, elle apprécie le traitement.

Bernard jouit dans ses fesses et se retire laissant Mathilde empalée sur Henri qui finit de la baiser alors qu’elle est épuisée et éjacule dans son con. Une fois épanché il l’allonge sur le canapé ou elle s’endort quasi instantanément. Il prend une petite couverture et la recouvre.

Bernard s’approche de la caméra :

- J’espère que ça t’a plu ? À la prochaine !

Et il m’envoie un baiser.

Fin du DVD.

Je suis décomposé dans le canapé. J’aimerais la prendre dans mes bras la câliner ou la tuer, je ne sais pas vraiment. À ce moment les sensations se mélangent. Je suis là désolé, attristé, excité et désemparé.

Je me demande ce que peut bien contenir le dernier DVD. Mais je ne pense pas que je le regarderai. Maintenant il faut me reprendre et trouver du boulot. La vie doit continuer.

A suivre...

5 commentaires:

  1. Dommage que ce soit la fin, j’aurais aimé qu’on découvre ensemble le dernier dvd et jusqu’où Bernard aurait emmené Mathilde avant qu’elle ne soit complètement usée comme il dit…

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  2. Quoiqu’il en soit très beau texte, merci Monsieur Didier

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  3. La suite de cette charmante histoire ici : https://www.histoires-de-sexe.net/cocu-content-mais-pas-trop-voire-pas-du-tout-(7)-des-nouvelles-de-mathilde--9718

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    1. Je te remercie beaucoup pour cette précision. Je vais pouvoir publier la suite. D. Trouchard

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    2. c'est avec grand plaisir, j'aime les écrits que tu publies, en dehors de ce lien, je n'ai trouvé aucune suite à ce 7ième chapitre, mais qui sait, d'autres lecteurs auront peut-être plus de chance que moi et publieront les liens ici

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