lundi 15 avril 2019

La nouvelle vie de Christine Ch. 07

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Changement de vie au travail pour la belle-mère.

Le lendemain matin, lorsque Martin fut parti, Christine entra dans ma chambre, s'assit sur mon lit et me dit :

- Je n'arrive pas à réaliser ce que vous avez fait de moi la nuit dernière. Je pense que nous devrions arrêter. C'était super mais je n'imaginais pas que ça irait aussi loin.

Elle rechercha mes yeux, essayant de retrouver une certaine autorité sur moi.

Ignorant son discours, je lui répondis en lui faisant comprendre qu'elle était à peine digne d'une réponse :

- Dis Christine! Au lieu de dire des conneries pourquoi ne pas utiliser ta bouche d'une façon plus adaptée?

Je la regardai froidement. De nouveau elle commença à me supplier :

- Nous devrions arrêter.

Je lui mis un doigt sur la bouche :

- Je ne vais le répéter qu'une seule fois encore. Et si tu n'obéis pas, j'appelle ton mari pour lui raconter les aventures de sa petite femme. METS TES LEVRES AUTOUR DE MA BITE COMME UNE BONNE SALOPE.

Je la regardai fixement tout en tirant les couvertures, dévoilant mon membre non lavé.

Elle me regarda 20 secondes, le temps que sa volonté faiblisse. Puis elle se tourna sur le lit de telle façon que sa tête soit près de ma bite, son cul nul près de mon épaule gauche.

Je me penchai et soulevai sa jambe droite sur mon corps afin que nous soyons en position de 69. Mais je n'avais pas l'intention de lécher sa chatte. Je devais la punir.

- Je ne sens pas tes lèvres salope!

Je le dis d'un ton très impatient. Aussitôt je sentis ses doigts fins saisir ma verge afin de la guider avec douceur dans sa bouche humide.

Je l'ai laissé me sucer pendant une ou deux minutes. Ma bite grossissait. Elle pensait que j'étais content.

Mais, je levai ma main droite afin de l'abattre brutalement sur sa fesse droite.

Elle cria en crachant mon sexe :

- AAAAAIIIIIIIEEEEEE!

- SUCE MA BITE SALOPE! criai-je aussi.

Elle enfourna de nouveau mon membre. CLAC. Elle cria et cracha ma bite de nouveau.

- AAAAAIIIIIIEEEEEEE!

Je hurlai de nouveau :

- MA QUEUE DANS TA BOUCHE SALOPE!

Dès qu'elle l'engouffra de nouveau, je giflai ses fesses encore et encore. Cette fois ci elle cria mais laissa mon sexe dans sa bouche. Je pensai qu'un peu de gentillesse serait bienvenu maintenant :

- C'est bien ma pute, tu apprends!

Puis, je frappai encore trois fois rapidement avec ma paume. Ses gémissements étaient étouffés. Le côté droit de son derrière était devenue rouge vif.

En écartant ses fesses, exposant ainsi son anus bien utilisé je lui dis :

- Ecoute sale pute! Je vais donner une fessée à ton cul et ta chatte. Ce sera ta punition pour m'avoir demandé d'arrêter.

Je frappai sa chatte avec ma main. Elle poussa un cri strident mais garda ma bite entre ses lèvres.

Je continuai à claquer alternativement ses fesses, sa chatte et son anus tout en lui expliquant son rôle dans notre relation :

- Maintenant salope, j'arrêterai de te fesser lorsque tu m'auras fait jouir et que tu auras tout avalé. Et écoute moi bien.

Je giflai son sexe.

- A partir de maintenant Christine, tu es ma pute soumise et tu me traiteras comme ton maître. J'ai beaucoup de fantasmes à assouvir et en aucun cas tu ne dois refuser.

Je sentis que j'allai éjaculer. Je frappai sa fesse encore une fois avant de gicler au fond de sa gorge.

Je la poussai sur le côté. Ses mains se portèrent tout de suite à sa chatte et son cul endoloris. Des larmes coulaient sur ses joues. Je me mis à genoux devant son visage puis je commençai à la frapper avec ma bite tout en continuant de parler :

- Maintenant je veux que tu ailles chercher ton agenda de travail et que tu me l'apportes. Dépêche-toi!

J'arrêtai de la gifler.

Quand elle revint et me tendit son carnet elle demanda :

- Que..... Que voulez-vous faire .

Ignorant sa question, je dis :

- A genoux et suce moi encore!

Je poussai mon gland sur ses lèvres jusqu'à ce qu'elle ouvre la bouche. Une fois qu'elle fut occupée à faire ce qu'elle faisait de mieux, j'ouvris son agenda à la page des contacts. Son carnet était très bien tenu et classé. Je trouvai une page où il était indiqué « mon service ». En dessous, il y avait une liste de six noms masculins et trois noms féminins. Je commençai à lire à haute voix les noms d'hommes :

- Bruno TANNIER

Ses yeux se sont élargis mais elle continua sa fellation.

- Jean DEDRE, Nicolas MOUTON, Christian VEILLON, Thierry DUFRENE et Marc DELAIN

Je laissai passer un moment afin qu'elle se pose des questions tout en me suçant.

Enfin la regardant, je lui demandai :

- Marc? C'est le collaborateur que tu as appelé l'autre jour pour qu'il te remplace lors de ton retard?

Ses yeux suppliants, elle marmonna!

- Mummph mummmph

- Vas me chercher mon portable et remets toi au boulot!

Elle fut de retour rapidement, reprenant ma bite dans sa bouche. Je composai le numéro de Marc trouvé sur l'agenda et j'attendis trois sonneries avant qu'il ne décroche. Je ne savais pas trop ce que j'allais dire donc j'improvisai :

- Bonjour! c'est bien Marc au téléphone?

Il répondit, un peu perplexe de recevoir un appel durant le week-end :

- Oui. Je vous écoute.

- Vous travaillez bien avec Christine?

- Oui. Qui êtes-vous exactement?

Je regardai Christine dont les grands yeux bruns étaient fixés sur moi. Elle me suçait en pleurant, complètement sous mon contrôle. J'avais obtenu toute son attention.

- Je suis son gendre. Elle m'a demandé de vous appeler.

Je n'étais pas trop sûr de moi mais je voulais continuer à humilier Christine.

- Elle vous doit une faveur pour le service que vous lui avez rendu l'autre jour n'est-ce pas?

- Oui c'est vrai. Et elle vous a demandé de m'appeler?

Je me lançai :

- Elle vous aurait bien appelé elle-même mais elle est occupée à me sucer la queue pour le moment.

Les yeux de ma belle-mère étaient remplis de larmes de honte. Marc répondit :

- Ohhh.... Je vois..... et ça me concerne en quoi?

Il n'avait pas raccroché. Il était donc assez intrigué pour continuer le dialogue :

- Elle était en retard l'autre matin car elle voulait me faire une fellation et elle voulait que je la baise avant d'aller travailler.

- La chienne!

Ce fut tout ce qu'il dit sans raccrocher. J'ajoutai :

- Elle reconnaît qu'elle n'aurait pas dû se reposer sur vous alors qu'elle était en retard. Donc elle veut vous remercier.

- J'écoute. Dit-il.

- Elle vous rencontrera lundi matin sur le parking près de votre travail une demi-heure avant l'embauche. Nous serons dans une Mondéo blanche. Ne soyez pas en retard.

- J'y serai. Dit-il avant de raccrocher.

Je laissai Christine finir de me sucer puis lui fit avaler mon sperme. Les larmes coulaient sur ses joues mais elle connaissait son rôle. La suite allait être intéressante.

Son mari Alain étant rentré de sa livraison, je ne m'occupai plus de Christine le reste du week-end.

Le lundi matin, je l'interceptai sur le chemin de la salle de bain et lui dis :

- Tu te douches et tu descends avec tes vêtements. Assure-toi d'être sexy.

Je descendis et l'attendis au salon. Dix minutes plus tard, enveloppée dans une serviette, les cheveux et le maquillage bien arrangés, elle me rejoignit.

- Donne-moi ton soutien-gorge et mets le reste. Et dépêche-toi sinon nous allons être en retard.

Nous arrivâmes sur le parking quarante-cinq minutes avant que Christine n'embauche. Il était vide et il n'y avait personne aux alentours. Je m'arrêtai dans un coin et j'attendis que Marc arrive.

Christine me dis, la voix tremblante :

- Pourquoi me faites-vous ça? Vous pourrez me baiser tant que vous voulez. Vos amis aussi. Mais pas à mon travail s'il vous plaît!

Je criai :

- Je croyais t'avoir dit comment m'appeler!!!

- Dé.....solé Maître. Murmura-t-elle.

- Je fais ce que je veux de toi!

Ce fut tout ce que je lui dis. Le silence retomba dans la voiture.

Dix minutes plus tard, je décidai de positionner ma belle-mère. Marc allait bientôt arriver.

Je me penchai vers elle et elle se tourna vers moi. Je déboutonnai trois des quatre boutons de son chemisier. Je forçai une main à l'intérieur afin de saisir et tordre son mamelon droit. Je fis de même avec le gauche puis retirai ma main. Ses deux tétons étaient maintenant tout durs et dressés contre le tissu mince de sa chemise. Je lui demandai ensuite d'aller s'asseoir au milieu du siège arrière.

Elle sortit de la voiture pour passer derrière et elle s'assit comme je lui avais demandé.

- Maintenant, mets tes fesses au bord du siège, penche-toi en arrière et écarte les jambes le plus possible.

Elle m'obéit. En écartant ses jambes magnifiques, sa jupe remonta comme je m'y attendais, me laissant une superbe vue sur sa chatte. Je caressai avec un doigt son entrejambe et je pus sentir une légère humidité.

- Tu aimes ça non? Tu mouilles déjà!

- Oui Maître

A ce moment, un crissement de pneus sur le gravier me fit tourner la tête. Une Volvo bleue se gara à côté de moi. Le conducteur hocha la tête et je fis de même. Il sortit de sa voiture et approcha de ma portière. Je baissai la vitre et lui demandai :

- Marc?

- C'est moi. Me répondit-il.

Je lui fis signe de venir s'asseoir sur le siège du passager. Vingt secondes plus tard, il était dans ma voiture. Il paraissait être un bon gars, dans la trentaine. Il avait une alliance et était bien habillé. Il devait bien gagner sa vie. Christine était très bien payée donc ses assistants devaient l'être aussi.

Nous ne nous serrâmes pas la main et nous n'échangeâmes pas de futiles paroles. Je ne voulais pas tourner autour du pot.

- Ma pute assise derrière vous doit une faveur pour l'autre jour.

Il tourna la tête et vit ma belle-mère les jambes écartés, sa poitrine débordant du chemisier avec ses tétons pointés.

- Mince! Christine....

Il ne savait plus que dire. J'ajoutai :

- Voilà ce qui va se passer aujourd'hui Marc. Ma pute va se masturber devant vous jusqu'à ce qu'elle jouisse. Ensuite vous irez travailler normalement tous les deux. D'accord?

Encore sous le choc, il acquiesça :

- Oui. Ok pour moi.

- Et tous les jours de cette semaine, nous nous retrouverons ici. Ok?

Ses yeux quittant pour la première fois la culotte et les seins de Christine, il répondit :

- D'accord, pas de problèmes pour moi.

Je me retournai vers ma belle-mère et lui dis :

- Allez salope! Qu'est-ce que tu attends? tu as une demi-heure pour te donner en spectacle.

En déboutonnant son chemisier afin de laisser sa grosse poitrine retomber, elle murmura :

- Oui Maître.

Marc marmonna :

- Mon Dieu, vos seins sont formidables Christine. Je rêvais de les voir depuis si longtemps.

Il était pétrifié devant la soumission de cette femme qui se mettait nue devant un de ses collaborateurs. Je remarquai un mouvement dans son pantalon.

Christine prit un mamelon dans chaque main afin de les titiller puis elle déplaça sa main vers le morceau de tissu qui couvrait son sexe.

En s'asseyant plus confortablement et en réarrangeant la bosse dans son pantalon Marc demanda :

- Allez-y Christine, montrez-moi votre chatte.

Les doigts de ma belle-mère glissèrent sous l'élastique de sa culotte afin de la tirer et ainsi exposer son intimité à son assistant.

Marc respirait rapidement.

- Oh merde! je n'aurais jamais penser pouvoir voir cette chatte.

Christine leva légèrement son cul afin de pouvoir pousser sa culotte sur ses cuisses. Ensuite sa main revint à son sexe et elle enfonça directement trois doigts dans son vagin humide.

- Aaaaaaahhhhhh

Elle gémit en fermant les yeux et en titillant son mamelon. Ensuite elle commença à pomper son trou.

Je la rappelai à l'ordre :

- Ouvre tes yeux Salope, je veux que tu regardes Marc pendant que tu te fais plaisir.

Elle m'obéit et verrouilla ses yeux sur ceux de son assistant. Même si celui-ci ne pouvait s'empêcher de regarder sa main s'activer.

Je passai les dix prochaines minutes à regarder Christine et son collaborateur. Elle s'humiliait elle-même en fixant son collègue, plongeant ses doigts dans son sexe et gémissant en attendant l'orgasme.

Je vis l'impressionnant renflement dans le pantalon de l'homme assis à côté de moi. J'étais sûr qu'il aurait aimé se soulager mais ce n'était pas le plan d'aujourd'hui.

Pendant quinze minutes, Christine continua son exhibition. Puis je pus voir qu'elle n'était pas loin du but. Sa tête commença à tomber en arrière, ses yeux roulant dans leurs orbites. Dans trois minutes environ, elle allait jouir. Je lui dis en souriant :

- Tu y es presque salope?

Ses halètements et ses gémissements confirmèrent ma déduction.

- Marc? Voyez-vous ses yeux qui roulent?

Il sortit de sa transe, me regarda puis retourna rapidement au spectacle de sa collègue en répondant :

- Oui.

- Voilà le signe que cette pute va jouir.

Marc était subjugué et je ne pouvais lui reprocher. J'étais content de la prestation de ma belle-mère. Elle se pénétrait avec trois doigts de sa main droite, et maintenant elle caressait son clitoris avec sa main gauche. Les lèvres de son sexe étaient gonflées et brillaient de son jus.

Un long gémissement de sa part me sortit de mes pensées.

- Elle va jouir cette chienne. Allez! continue à te masturber jusqu'à ton orgasme!

Marc dit :

- Merde! C'est surréaliste!

- ARRGGGGGGHHHH! OHHHHHH! OUIIIIIIIII!

Christine cria et ferma les jambes alors que sa chatte se serrait sur ses doigts. Un spasme la traversa et ses hanches se soulevèrent du siège.

Je giflai ses cuisses, les écartai et lui ordonnai :

- Laisse tes jambes ouvertes que l'on puisse voir!

- Oh merde! regardez ça! S'exclama Marc.

Du jus sortait de sa chatte et ses doigts coulissaient avec facilité. Luttant pour garder ses yeux ouverts, le corps de Christine se cabra et se tordit pendant environ trente secondes jusqu'à ce que son orgasme se termine.

Je regardai l'horloge de l'auto. Il était 9 heures moins cinq. Je dis :

- Vous avez 5 minutes pour aller au boulot tous les deux.

Christine retira ses doigts trempés de sa chatte, laissant une tache humide sur mon siège.

- Voilà ton soutien-gorge. Habille-toi et vas travailler avec Marc. Je reviendrai te prendre ce soir.

Christine remit sa culotte, arrangea sa jupe. Ensuite elle mit le soutien-gorge. Elle redevenait une respectable femme d'affaire.

- Marc? Ne dites rien à personne et laissez Christine tranquille au travail. Je reviendrai demain matin pour une autre faveur.

Marc sortit de la voiture, rapidement suivi par Christine. Ils montèrent tous les deux dans la Volvo et partirent.


Je démarrai, heureux que la journée commence si bien.

A suivre...

L'enseignante, ma chienne. Ch. 03

L'enseignante , ma chienne - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Il soumet la fille de sa professeure.

Katie est assise dans sa chambre. Elle fulmine. Elle ne comprend pas ce que veut sa mère. Après tout, elle a toujours de bonnes notes, elle ne boit pas et ne prend pas de drogue. Et elle ne baise pas à tort et à travers. En vérité, elle n'a couché qu'une seule fois avec un garçon après être sortie avec lui pendant plus d'un an.

La bataille avec sa mère a commencé au moment où Katie a franchi la porte de la maison.

- Bonjour maman! Je viens de rencontrer Carl qui m'a dit qu'il allait faire ses devoirs chez lui. Il m'a demandé de sortir avec lui demain soir. Il est un peu solitaire mais mignon, alors j'ai dit oui.

En fait Carl ne lui avait pas vraiment demandé, c'était plus une affirmation. Quand elle a commencé à hésiter, il a pris son bras et l'a serré tout en la regardant avec ses yeux pénétrants et un peu effrayants. Il lui a dit qu'il viendrait la chercher à huit heures. Elle a hoché la tête tout en sentant un picotement dans son ventre. Aucun homme n'avait jamais été aussi sûr avec elle.

- Non Katie, ce garçon a des problèmes. Je ne peux rien faire en tant que professeure, mais je ne veux pas que tu le voies.

- Non maman, nous ne sommes pas d'accord. Je vais juste sortir avec lui, pas l'épouser. Je suis une grande fille, je peux prendre soin de moi. Je n'ai pas besoin que l'on s'occupe de mes rendez-vous.

- Ce n'est pas sujet à discussion! Je t'interdis de sortir avec lui, c'est définitif!

- Nous verrons ce que papa dira! Crie Katie en courant dans sa chambre et en claquant sa porte.

Katie sait que son père va la soutenir. Et c'est ce qu'il fit. La nuit suivante, Carl arrive tôt et toque à la porte. Comme Katie est encore en train de s'habiller, Karen ouvre et demande au garçon de le suivre dans la cuisine. Elle lui dit :

- Si tu poses la main sur elle, je te le ferais regretter d'une façon que tu ne peux même pas imaginer.

Soudain, la main de Carl jaillit et lui attrape le cou. Il la pousse à travers la cuisine et la plaque contre le mur. Son autre main glisse sous sa robe et s'introduise dans sa culotte. Ses doigts frottent les plis de sa chatte et trouve son clitoris.

- Je ne crois pas Mme O'KEEFE. Tu vas être dans ton lit en pensant à ce que tu aurais pu avoir. Pendant ce temps-là, je plierai Katie en deux et je la sauterai. Puis je me viderai dans son ventre.

Carl lui serre le cou. Elle est obligée de se dresser sur ses orteils. Il enfouit deux doigts dans sa chatte et les fait coulisser rapidement. Elle lutte pour pouvoir parler et lui dire :

- D'accord...Tu as gagné. Je vais prendre une chambre d'hôtel et tu pourras m'avoir toute la journée demain. C'est ce que tu veux n'est-ce pas? Je le ferai si tu laisses Katie tranquille.

Carl retire ses doigts de la chatte humide et il les met dans la bouche de la femme. Quand ils entendent un mouvement dans le salon, le jeune garçon relâche Karen. Il la laisse partir après avoir attrapé un mamelon à travers son chemisier et l'avoir tordu méchamment.

- Vous auriez dû y penser plus tôt Mme O'KEEFE. Pensez-vous que Katie aime le sexe violent? Je me demande si elle va se laisser faire ou si elle va renâcler comme sa mère. Je vous le dirai demain.

Karen tremble, en partie parce qu'elle a été étouffée mais aussi parce que Carl l'a excitée. Malgré ses efforts pour lui résister, son corps a réagi à son contact, sa chatte veut de sa bite. Quand elle entre dans le salon, elle est choquée de voir sa fille vêtue d'une jupe très courte en cuir et d'un haut blanc très serré qui montre ses tétons pointés.

Katie s'est habillée de cette façon en réponse au comportement de sa mère. Elle veut qu'elle sache qu'elle va passer un bon moment. Elle ne veut pas le baiser mais sa mère ne le saura pas. Si le rendez-vous se passe bien, peut-être qu'elle le laissera toucher ses nichons.

A l'école, Katie a l'habitude de tout contrôler. C'est sa façon de surmonter son manque de confiance. Carl est différent des autres garçons avec qui elle était sortie. La façon dont il lui avait donné rendez-vous l'excitait.

Tout de suite, Katie fait comprendre à Carl qu'il l'intéresse. Elle connaît tous les trucs : un effleurement sur le bras, un mordillement des lèvres, un rire enfantin de temps en temps, des regards fréquents et appuyés, une tête posée contre l'épaule et une main innocente sur la cuisse au bon moment. Carl parle peu. Katie trouve sa confiance tranquille un peu intimidante. En vérité elle est excitée d'être avec lui. Et elle est fatiguée de toujours avoir le contrôle.

A minuit, la plupart des couples sont partis de la fête où ils ont été. Katie suggère qu'ils peuvent aller faire un tour près du lac. C'est privé, bien éclairé et sûr. Arrivés dans ce coin discret, les deux jeunes grimpent sur les sièges arrière pour avoir plus d'espace. Katie laisse Carl tripoter ses seins à travers son chemisier. Puis elle le laisse remonter son haut ainsi que son soutien-gorge pour qu'il sente la douce chair de ses seins nus.

Katie ne veut pas paraître une fille facile et elle veut aussi lui faire comprendre qu'elle contrôle la situation. Quand Carl glisse une main entre ses jambes et frotte sa chatte à travers sa culotte, elle recule :

- Non... S'il te plaît Carl, nous ne devons pas... ce n'est que notre premier rendez-vous.

- Katie, ne joue pas les prudes! Moi je ne joue pas.

Carl relève la tête et écrase ses lèvres sur les siennes. La main entre les jambes de la jeune fille écarte la culotte. Deux doigts frottent les petites lèvres puis le clitoris. Katie est prise au dépourvu. Elle ressent un frisson d'excitation à être ainsi malmenée. Son corps répond d'une façon qu'elle ne peut expliquer. Elle écarte les jambes pour lui donner un meilleur accès à sa chatte.

Carl plonge deux doigts dans l'antre chaude. Il pousse la fille afin que sa tête soit contre la porte latérale. Il lui embrasse l'oreille puis. Katie se tortille sur les doigts en train de fouiller son intimité humide. Les lèvres du garçon glissent sur un mamelon et le sucent. Il enfonce ses doigts encore plus profond dans le sexe de Katie.

- Non... Non Carl... Il ne faut pas... Mon Dieu Carl...

Katie sait qu'elle perd le contrôle de la situation. Elle essaie faiblement de repousser le garçon, mais Carl ne bouge pas. Il mordille le mamelon et le tire avec ses dents. Ses doigts pénètrent plus profondément la chatte alors que son pouce frotte le clitoris. Il mord plus fort. Katie crie de douleur. Son corps se raidit juste avant que son ventre n'explose.

La jeune fille est surprise par l'orgasme qui la secoue. Carl vient de lui donner le premier orgasme de sa vie. Elle n'avait jamais joui avec aucun garçon. Au moment où elle récupère, Carl a sa tête entre ses jambes. Elle sent sa langue titiller et lécher sa chatte sensible. Se faire brouter ainsi est aussi une première pour Katie.

- Carl, nous devons arrêter... S'il te plaît... Ohhhhh... Carl, ne...

Il remet deux doigts dans le sexe humide et grignote agressivement son clitoris. Les doigts trouvent l'endroit qui provoque des vagues de plaisir à Katie. Quand le garçon mordille le clito et le tire entre ses dents, Katie a son deuxième orgasme en moins de deux minutes.

Carl lèche les jus qui sortent du sexe de la fille, puis il bouge et l'embrasse sur ses lèvres tout en enfonçant sa langue dans sa bouche. Pour la première fois encore, Katie goûte son propre jus de chatte. Elle devrait éloigner le jeune garçon, mais étrangement elle trouve la situation érotique. Plus que cela, la maîtrise totale de Carl est enivrante.

Carl s'assoit et baisse son pantalon. Sa queue dure et volumineuse jaillit libre. Katie regarde le garçon avec appréhension, en se demandant ce qu'il a en tête. Carl guide sa main vers le membre bien droit. Elle s'assoit et enroule ses doigts autour de la hampe. Elle murmure :

- Carl, je suis une très mauvaise fille. Je ne pense pas que ma mère approuverait.

Elle colle ses lèvres contre les siennes et sa langue entre dans sa bouche. Ils s'embrassent de plus en plus avidement. Carl pose alors sa main sur sa nuque et pousse sa tête vers le bas. Elle essaie de résister mais il est trop fort. Alors Katie décide de le finir avec sa bouche.

- D'accord, mais après nous rentrerons. Je n'arrive pas à croire que je vais vraiment faire ça.

Les lèvres de Katie glissent autour du gland de sa queue. Elle n'a pas beaucoup sucé de bites dans sa vite. Et aucunes n'étaient aussi longue et épaisse que celle de Carl. La sensation de la chair dure remplissant sa bouche et glissant sur sa langue est enivrante. Sucer une bite ne lui avait jamais fait d'effet comme ça. Sa chatte est humide et ses tétons sont raides.

L'inexpérience de Katie par rapport à sa mère est évidente. Carl pince ses tétons sensibles et passa sa main dans ses cheveux tandis qu'il la laisse prendre son rythme sur sa queue. Katie ronronne et se déplace pour qu'il puisse atteindre sa chatte. Carl plonge deux doigts dans la grotte dégoulinante.

Katie n'a jamais été aussi excitée avec une autre personne. Elle est toujours déterminée à ne pas se laisser baiser, mais elle veut un autre orgasme avant de le faire jouir. Elle décide même qu'il pourra jouir dans sa bouche, quelque chose qu'elle n'a jamais laissé faire.

Katie se tortille sur les doigts pour qu'ils s'enfoncent encore plus dans son vagin. Elle les sent bien contre ses parois sensibles. Avec sa main libre, elle atteint son clitoris et se met à le frotter furieusement. Ça prend plusieurs minutes mais ça marche. La pression dans son corps est libérée. Son jus coule de sa chatte. La bite de Carl tombe de sa bouche alors qu'elle crie quand un troisième orgasme secoue son corps.

Carl pose ses doigts englués sur les lèvres de la fille. Katie ouvre la bouche pour qu'il les pousse à l'intérieur. Une fois de plus elle est surprise par le goût de sa chatte. Elle suce les doigts et glousse en regardant Carl :

- Je suis vraiment une vilaine fille ce soir. Je ne sais pas ce qui m'arrive. Je vais te finir avec ma bouche puis nous devrons rentrer à la maison.

Dès que les lèvres se sont de nouveau enroulées autour du sexe gonflé, Carl met ses mains sur la tête de Katie et force sa bite dans la gorge ouverte. La jeune fille est étouffée, elle lutte pour se relever. Mais Carl garde la pression sur sa tête en essayant de la forcer plus profondément. Katie n'a pas d'autre choix que de le laisser pénétrer sa gorge.

- Si j'avais voulu la pipe d'une gamine, je serai sorti avec une de tes copines. Maintenant montre-moi quelle femme es-tu.

Les gémissements et la lutte deviennent plus intenses. Carl a enfin pitié d'elle et il la laisse s'éloigner de sa queue pour respirer. De la salive sort de la bouche de Katie pour couler sur la bite et les couilles de Carl. Le garçon, tenant toujours les cheveux de la fille bien serrés dans sa main, baisse de nouveau sa tête jusqu'à ce que sa bite soit bien fichée dans la gorge féminine.

Katie est trop confuse pour penser. Elle croit qu'elle va s'évanouir. La queue est trop grosse pour tenir dans sa gorge. Malgré sa lutte, la bite va plus loin. La douleur des doigts tirant sur ses cheveux ne l'aide pas. Et pourtant, malgré tout ça, elle le veut. Elle veut qu'il la traite comme ça. Elle l'a toujours voulu.

C'est un de ses fantasmes récurrents. Un homme en noir, portant un masque de ski entre dans la maison quand Katie est seule. Elle essaie de courir, mais il est plus rapide. Il colle son visage contre le mur. Sa jupe et sa culotte sont arrachées. Une grosse bite pénètre sa chatte. Les mains déchirent son chemisier et écrasent ses seins. L'homme tire sur ses cheveux pour ramener sa tête en arrière. Il, mord son cou jusqu'au sang. Au même moment son jus de chatte gicle alors qu'elle imagine le sperme inonder son ventre. Ce fantasme lui donne toujours un orgasme intense.

La queue de Carl est complètement enfouie dans sa bouche et sa gorge. Elle étouffe bruyamment et lutte pour trouver de l'air précieux. Le garçon la laisse respirer brièvement avant de remettre sa bite dans sa gorge, lui tenant la tête jusqu'à ce qu'elle étouffe. Puis, en tirant sur ses cheveux, il lui baise le visage en balançant sa tête de haut en bas. A chaque fois, sa bite tape dans sa gorge.

- Voilà c'est bien Katie. Maintenant je vais te sauter.

Elle est encore éberluée quand il la plaque contre la porte et grimpe entre ses jambes. Plutôt que d'enlever sa culotte, il la tire sur le côté. Ses doigts ouvrent sa chatte. Carl se prépare à fourrer sa bite dans son sexe brûlant. Quand elle réalise ce qui va arriver, Katie panique :

- Non arrête, nous ne pouvons pas... S'il te plaît...

Elle essaie de le repousser mais il ne bouge pas. Elle peut sentir le gland frotter l'entrée de sa chatte. Elle réalise qu'elle va perdre la bataille. Elle réalise aussi qu'elle veut perdre cette bataille. Comme dans son fantasme, elle veut se faire baiser. Elle veut être prise de force. Mais il y a un problème.

- je... je ne prends pas la pilule, as-tu un préservatif?

Pour seule réponse, la main de Carl enserre son cou et plaque sa tête contre la fenêtre. Elle sent le sexe glisser dans son intimité. Il commence à la baiser. Sa chatte n'a jamais été autant remplie. Carl lâche son cou et met ses jambes par-dessus ses épaules. Ses mains écrasent ses seins. Sa bite la martèle encore et encore. Katie ne veut pas qu'il s'arrête.

- Oh mon Dieu... Oh Jésus... ohhhh... oui baise-moi... Mon dieu...

Lâcher prise et se laisser maltraiter est comme un puissant aphrodisiaque. Elle peut sentir la construction d'un autre orgasme dans son ventre. La grosse bite la remplit encore et encore. Carl pince ses tétons si fort que la douleur est atroce. Le plaisir et la douleur se mélangent dans un tourbillon de sensations qui irradient son corps. Elle jette sa tête en arrière et elle crie. De nouveau, du jus jaillit de sa chatte.

Le sexe de Carl gonfle dans le passage étroit. Il s'enfonce profondément dans la chatte et il grogne. Le sperme chaud envahit le ventre de Katie. Carl se retire puis la pénètre de nouveau, remplissant son vagin de sa graine épaisse. La jeune fille, sentant la chaleur de l'éjaculation se répandre en elle crie sous l'effet d'un nouvel orgasme.

Carl retire sa queue de la chatte remplie de sperme. Il remet l'entrejambe de la culotte à sa place pour absorber les différents liquides qui s'échappe de la fille. Il grimpe sur le corps de Katie et il pousse son membre dégoulinant entre ses lèvres. Le goût fort du sperme combiné à son jus remplit la bouche de Katie.

- Nettoie ma bite et suce-la jusqu'à ce qu'elle redevienne bien dure. N'hésite même pas à le faire, je ne veux pas te faire de mal.

Katie, la queue entre ses lèvres, lève les yeux vers lui et hoche la tête. Elle est devenue son esclave, son jouet sexuel. Elle veut qu'il le domine, qu'il l'utilise d'une façon qu'elle n'a jamais connue. Elle est accro à son pouvoir. Tous signes de résistance ont disparu. Katie suce la bite avidement dans sa bouche et elle lèche les jus épais sur la queue.

Carl sent le changement dans le comportement de Katie. Elle est à lui maintenant, elle va faire ce qu'il veut. Il attrape ses cheveux et enfonce sa queue dans sa gorge jusqu'à ce qu'elle étouffe. Il le fait encore et encore jusqu'au moment où il lui tire la tête pour qu'elle le regarde. De la salive coule sur son menton et elle respire difficilement.

- Assieds-toi sur mes genoux Katie, je vais te sodomiser.

- Non... S'il te plaît, pas ça... tout ce que tu veux mais pas ça... S'il te plaît...

- je l'ai dit! OBEIS!

Carl la relève et la plaque contre le siège avant avec sa main sur sa nuque. Il appuie sa tête sur le dossier du siège. De l'autre main, il fourre sa queue à l'intérieur de l'entrejambe dégoulinante de sa petite culotte. Puis il remonte la fente du cul. Quand il est bien lubrifié, il presse le bout de sa bite contre le petit trou serré et il pousse.

Katie crie quand elle sent l'énorme gland percer son petit trou vierge et entrer dans son corps. Il pousse plus profond. La jeune fille pense que ses entrailles vont exploser sous la pression insupportable et la douleur. Des larmes coulent sur son visage alors que Carl pousse encore plus loin. Puis il commence à la baiser. Katie peut à peine respirer.

Lentement et graduellement, elle sent la pression insupportable céder la place à une sensation plus agréable. Elle sent des doigts qui pénètrent sa chatte. Le plaisir revient dans son corps. Elle s'assoit sur la queue et l'enfonce encore plus profondément. Elle bouge son cul sur la queue. Carl remonte ses doigts vers sa bouche. Katie les suce consciencieusement et porte ses propres doigts à son clitoris.

Carl la penche sur le dossier du siège et pilonne son cul. Il attrape ses cheveux et tire sa tête en arrière. Sa queue entre et sort du trou du cul qui s'étire de plus en plus à chaque poussée. Sa main saisit la gorge de Katie et serre. Alors que celle-ci lutte pour avoir un peu d'air, elle est déchirée par un nouvel orgasme. Quelques secondes plus tard, elle sent du sperme chaud inonder son cul.

Carl sort sa bite du cul de Katie et remet la culotte bien en place pour absorber le foutre qui bave. Il remonte son pantalon et va s'asseoir sur le siège du conducteur. Katie est en train de remettre son soutien-gorge et son haut sur ses seins.

- Arrête! Est-ce que je t'ai dit que tu pouvais t'habiller? Je ne me souviens pas te l'avoir dit. Enlève tout, compris?

Katie devrait être furieuse de la façon dont il lui parle, mais son désir de lui plaire est plus fort que tout. C'est comme une dépendance. Elle sait qu'elle fera n'importe quoi pour lui. Carl l'effraie et l'excite en même temps. Elle le regarde et enlève son haut et son soutien-gorge.

- Euhhh... Je suis désolé, je ne pensais pas que... vas-tu me faire du mal?

Carl attrape sa mâchoire et tourne la tête vers la sienne. Il déplace son visage à quelques centimètres du sien. Il serre.

- Pourquoi voudrais-je te faire du mal Katie? Je t'aime bien et on va se voir beaucoup. Pendant le trajet je veux que tu me suces. Et je veux que tu continues à me sucer même quand je me serai garé dans ton allée. Compris?

Katie hoche la tête et fait ce qu'on lui dit. Elle sait que sa mère sera encore debout et qu'elle regardera par la fenêtre. La lumière du porche lui permettra de voir dans la voiture. En vérité, elle est contente que sa mère la voit sucer Carl. Elle glisse ses lèvres sur le membre.

Ils se garent dans l'allée. Carl coupe le moteur et attrape la tête de Katie. Il l'empale de haut en bas sur sa queue, en allant plus rapidement et plus profondément à chaque fois. Elle peine à suivre. Carl enfonce sa bite tout au fond de sa gorge et la tient comme ça jusqu'au moment où elle se débat pour avoir de l'air. Puis il relève sa tête et fait en sorte que son visage soit bien éclairé par la lumière du porche. Il voit les rideaux du salon bouger. Il sait que Mme O'KEEFE regarde.

- Très bien Katie, ça suffit. Maintenant je veux que tu sortes de la voiture. Tu te tiens devant et tu enlèves ta culotte. Puis tu me l'amènes.

Sachant bien que sa mère regarde, Katie se dirige vers l'avant de la voiture, soulève sa jupe et enlève sa culotte imbibée de sperme. Les phares l'aveuglent presque. Elle tend sa culotte à Carl. Il la prend puis il tripote ses seins et pince chaque mamelon. Puis il lui donne son haut. Katie l'enfile sur ses seins nus et disparaît par la porte arrière de la maison.


Carl sort de la voiture, s'appuie sur le capot et attend. Effectivement, quelques minutes plus tard, la porte arrière de la maison s'ouvre. Mme O'KEEFE sort, un couteau de cuisine à la main et du venin dans les yeux. Carl sourit, et lève le bras, la culotte imbibée de sperme au bout de son index.

- Bonsoir Mme O'KEEFE, Katie a oublié quelque chose dans la voiture.


A suivre...


Bourgeoises Soldées Ch. 04

Bourgeoises soldées - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Maman devient une pute a blacks.

Je reprends la suite du récit de ma fille Mélanie. A la demande de nos tortionnaires, nous sommes contraintes d'envoyer des comptes-rendus détaillés de nos turpitudes depuis que nous sommes devenues les esclaves sexuelles des élèves de ma fille. Je m'appelle Christiane, j'ai 49 ans. Je suis directrice d'une agence bancaire et j'habite un grand pavillon dans la région parisienne. Je suis grande, élancée. Féminine, raffinée. Je fais très attention à mon corps. Mohamed a créé un site internet où il poste les photos et les vidéos dont nous sommes bien malgré nous les actrices. Il a également ouvert un blog où ma fille et moi, nous devons toutes les semaines raconter notre déchéance.

Après cette après-midi de cauchemar où ma fille et moi, nous avions été partouzées par des jeunes de banlieue, Mohamed m'avait ramenée chez moi. Avec ses complices, ils m'avaient baisée une dernière fois me laissant anéantie...

La sonnerie du pavillon retentit et je me dirige vers la porte. Je suis seule, mon mari est à l'étranger pour visiter un chantier. Il est à la tête d'une grosse entreprise de BTP qui passe des contrats importants un peu partout dans le monde mais aussi en France.

Je reste bouche bée devant la porte. Trois blacks, des jeunes, sont devant moi... Capuche sur la tête, casquette... Sans hésiter, ils rentrent me bousculant presque.

Je tente de protester :

- Mais! Sortez d'ici immédiatement!

Un des blacks se retourne et me dévisage...

Il mate mes seins moulés dans mon chemisier en satin. Je m'apprêtais à partir au travail.

- Pas mal, la bourgeoise! Mohamed m'avait prévenu...Du premier choix!

Ils éclatent de rire et je blêmis...

- Je croyais qu'il t'avait dit de t'habiller sexy pour recevoir tes premiers clients!

Je manque m'évanouir... Je ne pensais pas que ces jeunes étaient sérieux quand ils nous avaient annoncé ça dans la voiture qui nous ramenait...

Il me prend par les bras et m'entraîne vers le salon, les talons de mes escarpins claquent sur le sol.

Le plus grand, qui semble commander me dit s'appeler Moussa. Il me présente ses complices : un plus petit, le crane rasé, le regard méchant qui s'appelle Diouf et un gros, énorme, le ventre en avant. Il a dû trop se nourrir de fast-food... Il porte un sac.

Moussa me demande si j'ai internet. Je les emmène dans le bureau de mon mari. Il allume l'ordinateur et il se dirige sur un site intitulé « Dressage de bourgeoises ». Je défaillis... Ma fille et moi sommes les héroïnes de ce site immonde où l'on nous voit se faire prendre à la chaîne dans le sex-shop et dans la cave de la citée. Je suis quand même soulagée de voir que nos visages sont floutés.

Pendant que je regarde le film, la main de Moussa remonte le long de mes jambes. Je frémis au contact mais ne dis rien, fascinée par le film. Diouf déboutonne mon chemisier. Il baissa les balconnets de mon soutien-gorge faisant apparaître mes seins. Il souleva ma jupe, baissa mon collant et mon string.

- Tu ne devras plus porter de sous-vêtement à part des bas. Tu as un porte-jarretelle?

Médusée, je hoche la tête. La main de Moussa me caresse la vulve. Je commence à mouiller. J'ai honte mais j'aime ce contact. Cette main noire qui caresse ma peau blanche m'excite terriblement.

Moussa m'appuya sur les épaules et je dus m'accroupir. Il sortit son sexe. Un membre qui me parut énorme. Une matraque de chair qu'il m'enfonça brutalement dans la bouche. Je dus le pomper longuement, salivant sur la hampe, lui léchant les couilles. Il éjacula, le sperme giclant contre mon palais. Je déglutis avec peine et avalai sa semence.

Je fus relevée et emmenée dans ma chambre. Je dus faire le tri dans ma penderie, jeter tous mes pantalons. Moussa et Diouf admirèrent ma lingerie.

- C'est pas mal, mais pour aujourd'hui, on t'a ramené des fringues. Enlève ta jupe!

Je me déshabillais et restais devant les trois hommes totalement nue. Le gros, qui se prénommait Brice, me palpa sous toutes les coutures. Les seins, la chatte, le cul. Puis je dus m'habiller avec les vêtements qui étaient dans le sac qu'il avait emmené.

Un collant noir à couture ouvert à l'entrejambe dévoilant mon cul et ma chatte. Un soutien-gorge ouvert également laissant apparaître mes seins. Une minijupe en vinyle s'arrêtant juste en dessous des fesses et une paire de cuissarde en vinyle également aux talons très hauts. Moussa ajusta un collier autour de mon cou avec une laisse. Je ressemblais vraiment à une pute! Non! Pire, à une esclave...

Moussa m'ordonna d'appeler ma banque pour dire que j'étais souffrante et que je ne pourrais venir aujourd'hui. Pendant que je parlais avec mon stagiaire, Jérôme, un jeune que je chargeais en général d'effectuer les tâches ingrates dans la banque comme faire les photocopies, Brice m'enfonça deux doigts dans ma chatte. Je sursautais!

- Oui, Oui, Jérôme...Non, je ne viendrais pas...

Sadiquement, Brice remue ses doigts boudinés, je mouille et j'entends les clapotis. Pendant ce temps, Diouf me malaxe les seins...Je ne tarde pas à réagir à ses caresses et je donne des coups de reins involontaires...Je raccroche précipitamment et je gémis...

- Arrêtez, je vous en supplie...c'est trop...

Ricanement de Brice qui me branle sauvagement faisant coulisser ses gros doigts dans ma fente...Diouf me suce les tétons...

Moussa filme la scène avec une caméra numérique. Brice me branle savamment me caressant lentement puis plus vite me faisant haleter. Diouf m'enfonça son index dans mon anus et je sursautai. Branlée par la chatte et le cul, je ne tardais pas à jouir sous le regard de la caméra.

Le souffle court, je tentais de récupérer. Moussa se pencha vers moi :

- T'as intérêt à récupérer ma chérie, y a du monde qui va arriver. On a mis une annonce sur le site. Une bourgeoise qui recherche des mâles bien montés pour un gang bang géant...On a vite recruté, ils ont tous payé sans rechigner. Ce sont des blacks qui viennent de différentes citées de la région... Tu vas morfler! Pute à blacks!

Et il éclata de rire...

Voila donc ce que j'étais devenue : une pute à blacks... Moi, la bourgeoise respectable, la bonne épouse, bonne mère de famille...

Effondrée, je m'affalais sur le sol...

En effet, ils arrivèrent dans la soirée. Horrifiée, je découvre qu'ils sont au moins une dizaine... Tous blacks. Des jeunes. Ils sifflent en découvrant mon beau pavillon. C'est moi qui vais leur ouvrir dans ma tenue de pute. Je subis des commentaires salaces :

- C'est toi la pute à blacks? Qui veut des bites noires pour te faire gueuler,

Je baisse la tête, honteuse et je dois répondre dans un souffle :

- Oui, c'est moi...

Je suis empoignée et amenée dans le salon. Je suis accroupie sur la moquette. Les jeunes sont déjà en érection et se branlent doucement. Plusieurs bites d'ébène se présentent déjà devant moi. J'engloutis les membres dans ma bouche. Plusieurs mains malaxent mes seins.

- Vas-y la bourgeoise! Ouvre la bouche, suce nous, tu vas nous vider les couilles, pute à blacks!

Un grand black fait coulisser sa bite entre mes lèvres. Il éjacule rapidement m'étouffant avec son sperme. Des mains se faufilent sous ma jupe me titillant le clitoris. On me suce les seins. Moussa filme bien sûr. Je suce plusieurs bites. Et parfois deux en même temps. Je suis essoufflée. On se vide dans ma bouche et je dois avaler le foutre.

Je suis mise à quatre pattes et on me fesse le cul. Des doigts s'enfoncent dans mon cul et ma fente...Puis une queue me pénètre et une autre s'engouffre dans ma bouche. Mon corps ballote sous les coups de pines. Je gémis. Je suis traitée comme une chienne mais j'y prends un sale plaisir! Celui qui me pilonnait éjacula sur mon dos et celui que je suçais se vida sur mon visage. Aussitôt un autre le remplaça. Ses va-et-vient violents me font gémir...Il se retira de mon ventre et sans précaution força mon anus. Je voulus crier mais bâillonnée par la bite que je suce, mes cris se muèrent en gémissements plaintifs.

- Quelle salope! Une vraie pute...

Moussa me filme en gros plan...

Cela dura toute la nuit...Mon corps ne m'appartient plus. Il leur appartient. Je leur appartiens. Les petits salauds en abusent. Empalée sur une bite, enculée par une autre et contrainte d'en sucer une troisième, je jouis sans discontinuer. Je serais enculée et branlée en même temps avec un gode. Que je devrais sucer ensuite...On se branle entre mes seins...Mes « clients » se soulagèrent en se vidant sur mon visage. Le sperme gicla allant s'écraser sur mes lèvres, mes cheveux, mes yeux. Un des jeunes, plus pervers que les autres, voulut éjaculer dans mes mains et je dus lécher son sperme ensuite. Pour la plus grande joie de Moussa qui trouva cette scène « génial! »

Ils partirent au petit matin me laissant affalée sur le sol. Moussa, Brice et Diouf n'eurent aucune pitié. N'ayant pas pu profiter de moi, je fus obligé de terminer la soirée en les suçant tous les trois. Ils se vidèrent rapidement dans ma bouche. J'avais tellement de foutre en bouche que cela déborda et que ça coula sur mon menton...

- Allez, on va te laisser récupérer ma salope!! Mais vite, hein! Bientôt on t'emmènera dans un chantier qui appartient à ton mari. Vu comment il doit les payer, il leur doit bien une compensation!

Ils éclatèrent de rire. Je me relève péniblement...


Apres avoir été une pute à blacks, Allais je devenir une pute à chantier?

A suivre...


Susan et les bidouilleurs de PC Ch.04

Susan et les bidouilleurs de PC - récit érotique - soumission - hu

miliation - dégradation - contrainte

Soumise chez elle alors que son mari n'est pas loin.

Le reste du week-end se déroula normalement, et c'est toute joyeuse qu'elle vit arriver le lundi, et le moment de reprendre son travail au supermarché local. Cela la distrayait de ses pensées moroses.

Le lundi aussi se déroula normalement. Le mardi matin, alors qu'elle se rendait à son boulot, elle jeta un œil sur son portable. Il indiquait qu'elle avait un nouveau message. Il lui avait été envoyé la nuit dernière. Son cœur se mit à battre follement lorsqu'elle reconnut le numéro de Gary sur l'écran.

- Susie as-tu fait les achats qu'on t’a demandé ?

Elle écrasa le message. Elle se mit au travail et comme à d'ordinaire elle ne jeta un œil sur son portable qu'au moment de la pause. Elle avait un nouveau message.

- Si tu as suivi nos instructions tu dois drôlement avoir envie de te faire baiser, non ? Contacte-nous, on va arranger ça !

Paniquée, elle écrasa le bouton d'effacement, avala son café et se rua à l'étage inférieur. Quelques temps plus tard, on l'interpella

- Pourriez-vous vous occuper de nous madame ?

Elle se retourna vivement, reconnaissant la voix qui l'interpellait.

- Hello Susie. Lui sourit ironiquement Ray.

- Par l'enfer que faites-vous ici ? Je travaille ici. Chuchota-t-elle affolée.

- En bien, comme tu n'as pas daigné répondre à nos messages, nous avons décidé de venir te voir !

- Laissez-moi tranquille, je travaille ! Répéta-t-elle obstinément.

- A quelle heure sors-tu ?

- Pas avant 13 heures !

- C'est bon, il te faut environ une demi-heure pour rentrer chez toi.

- Non, je ne peux pas, je dois...

Ray la coupa vivement.

- Tu seras chez toi une demi-heure plus tard ! Lui intima-t-il.

- Mais je...

Il la coupa de nouveau:

- Tu seras chez toi une demi-heure plus tard, sinon...

- C'est d'accord, je ferai comme vous voudrez. Les interrompit-elle tout de suite de peur d'éventuelles représailles.

- T'es une bonne fille, on serra chez toi à 13 heures 30, ne sois pas en retard Susie !

Ils la quittèrent sur ces mots. Elle ne put se concentrer le reste de sa matinée. A 13 heures 25 elle était chez elle. Comme elle avançait vers sa porte, les deux jeunes se pointèrent dans son dos.

- T'es en avance Susie, c'est très bien !

Ils n'attendirent pas qu'elle les invite à entrer. Son sachet d'achats à la main elle pénétra dans les cuisines, les deux amis sur ses talons. Elle portait toujours son uniforme, il s'agissait d'une blouse verte et blanche qui lui arrivait tout juste à la taille. Comme elle défaisait ses paquets, Gray lui releva sa blouse et lui claqua gentiment les fesses.

- Bel uniforme Susie ! Remarqua-t-il gentiment.

- Merci. Lui répondit-elle se tournant vers lui.

Puis elle supplia :

- Je vous en prie les gars, j'ai pas mal de boulot cet après-midi.

- Tu dois obéir ! La coupa Ray.

- A quelle heure ton mari rentre-t-il ?

- Vers 18 heures 30, mais ma fille rentre vers 16 H 30.

- On a donc tout notre temps !

- Mais je…

- Tu t'es encore montrée désobéissante Susie. Une fois de plus tu n'as pas répondu à nos messages.

- Je suis désolée, mais c'est juste que j'avais à faire.

- Être désolée ne suffit pas Susie, tu as besoin d'une bonne leçon, et tu vas l'avoir.

- Allonge toi là-dessus. Dit-il en lui désignant la table de la cuisine.

- Penche toi sur la table. Lui ordonna-t-il en pesant sur sa nuque.

- Et grouille-toi. Dit-il alors qu'elle se raidissait pour résister.

- C'est parfait. Lui dit Gary en lui saisissant les mains pour les maintenir devant elle.

Ray retroussa suffisamment sa blouse pour voir son derrière dénudé, il lui pelota alors machinalement la croupe.

- C'est la seconde fois que tu ignores nos messages. Lui dit-il lui claquant les fesses.

- Ouwwwww ... Cria-t-elle mais déjà une seconde gifle, plus forte s'abattait sur ses fesses.

- Ouwwww ouwwwwwwwww... Arrêtez je vous en prie...

Gary lui tenait fermement les mains.

- Les vilaines filles reçoivent des fessées... Et tu t'es comportée comme une vilaine fille Susie.

Sans même lui donner le temps de répondre à cette accusation, une nouvelle claque s'abattit sur son petit cul bien ferme.

- Owwwww... Ouwwwwwwwww... S'il vous plait, je suis désolée de m'être conduite comme une sale gamine désobéissante. Se lamenta-t-elle misérablement.

- En es-tu vraiment désolée Susie ? Demanda-t-il alors que deux gifles sonores s'abattaient à nouveau sur sa croupe écarlate.

- Ooooowwwwww... Ouwwwwwww... Oui je vous le jure !

- As-tu compris la leçon ?

- Ne me frappez plus je vous en prie... Je ne le ferai plus jamais... j'ai bien compris la leçon...

- C'est bon... Concéda alors Ray hilare.

Gary lui relâcha les mains et elle se frotta les fesses à plusieurs reprises sous les rire de ses tourmenteurs. Elle se retourna et s'assit sur la table.

- Allonge toi sur le dos Susie.

- Non pas ça... je vous en prie... Les supplia-t-elle en voulant éviter de se retrouver dans une position aussi vulnérable.

Sans grand effort ils la poussèrent sur le dos, jambes pendantes.

- Soyez chics les gars. Protesta-t-elle à nouveau cherchant à se redresser.

Mais déjà Ray avait sorti le vibromasseur de sa poche et plaçait le curseur en position moyenne.

- Relaxe toi Susie. Lui ordonna Ray.

Et alors que Gary lui tenait les épaules, il frotta lentement le vibromasseur sur son entrecuisse au travers de son jean. Elle n'avait plus la force de se redresser, elle tenta faiblement de repousser Ray mais elle y renonça rapidement. Elle se contentait de secouer la tête de gauche à droite tout en gémissant. Le gode magique faisait déjà son œuvre, la relaxant tout d'abord. Il commuta le curseur sur "normal", il n'allait pas la laisser jouir si rapidement.

- Alors Susie. reprit Ray. Je t'avais ordonné de ne pas coucher avec ton mari. Qu'en a-t-il été ?

- Il ne m'a pas touchée.

- A-t-il essayé ?

- Bien sûr qu'il a essayé, dimanche matin, mais j'ai prétendu que j'étais trop fatiguée.

- Bien joué Susie.

- Et cela l'a-t-il arrêté ?. S'informa alors Gary dubitatif.

- Oui.

- Es-tu aller faire les achats convenus ?

- Je suis désolée, mais je n'ai pas trouvé de soutien-gorge se boutonnant sur le devant.

- Oh ma chère. Pouffa Ray imitant son ton de petite fille prise en faute.

- Que portes tu sous ton corsage ? S'enquit Gary ouvrant son chemisier exposant un soutien-gorge traditionnel.

- Où ranges-tu tes ciseaux ? Demanda Ray.

- Non... Non...

- Je serai toi je le lui dirai Susie. Intervint Gary railleur.

- Il pourrait bien te donner une nouvelle raclée si tu n'obéis pas.

- Ils sont là... Dit-elle alors pointant du doigt un tiroir.

Ray les sortit prestement et les tendit à Gary.

- A toi l'honneur Gary !

- Avec grand plaisir.

Il sourit largement et inséra les lames entre les deux bonnets les repassant de part et d'autre avant de couper.

- Tu l'as bien mérité ma petite Susie.

En cherchant les ciseaux, Ray avait déniché quelque chose d'autre.

- Hey Gary, j'ai une idée. S'enthousiasme soudain Ray agitant un pot de crème.

Il se posta devant elle secouant énergiquement le petit récipient. Gary lui pinçait gentiment les tétons, qui ne tardèrent pas à darder avec impudence.

- Je vais te montrer quelque chose. La prévint Ray.

Gary savait quoi, il lui saisit les bras. Ray tenait un pot de crème, il en versa quelques gouttes sur ses tétons. Elle sursauta en sentant la froide mixture s'étaler sur sa peau, mais déjà Ray étalait une épaisse couche de crèmes sur ses deux tétons. Gary lui intima de plonger un doigt dans la crème. Comme elle hésitait, Gary la secoua fortement.

- Plonge ton doigt dans la crème ! Répétait-t-il impatient de se faire obéir.

Elle y planta l'index et le ressortit enrobé de l'épaisse crème.

- Et maintenant embouche le et suce.

Elle s'enfonça le doigt dans la bouche et le suça lentement. Puis Gary planta à son tour son doigt dans le pot de crème.

- Ouvre à nouveau ta bouche.

Elle s'empressa d'obtempérer. Il plongea son doit encrémé dans sa bouche. Elle tendit la langue et lécha lubriquement son doigt.

- Je suis incapable de résister à un tel traitement.  Se marra Gary qui avait sorti sa bite de son caleçon et l'enduisait de crème.

- Tu vas te régaler ma petite Susie. Rigola-t-il tendant le ventre.

Elle ne répondit pas mais elle savait ce qu'elle devait faire. II l'attira sur le rebord de la table.

- Ouvre la bouche en grand !

Elle obéit humblement et il glissa sa bite entre ses lèvres.

- Et maintenant suce moi, et sers-toi de ta langue ! Oh oui... Que c'est bon ! Souffla-t-il alors qu'elle lui obéissait servilement.

Pendant ce temps Ray avait déposé une ligne de crème au bas de son ventre, puis il se mit à lécher la crème recouvrant ses tétons raidis. Elle était folle d'excitation. Elle sursautait sur la table chaque fois que la langue habile touchait ses mamelons exacerbés. Elle n'en suçait que plus habilement Gary.

- Oh oui voilà, encore un peu plus de crème... Aaaaaaaahhhhhh... Avale tout ! Bois ma semence ! Lui intima-t-il lui bloquant la tête sur son bas ventre.

Ray terminait de nettoyer ses mamelons dardés.

- Mmmmmmmmm... Gémit-elle éperdue.

La naïve jeune femme, encore honnête peu de temps auparavant, était allongée sur la table, secouée de spasmes. Son corsage était ouvert en grand, son soutien-gorge coupé en deux. Elle portait toujours son pantalon noir d'uniforme, du foutre et de la crème coulaient sur son menton alors qu'ils terminaient le nettoyage de ses nibards.

Il se posta au bout de la table où elle se tenait jambes pendantes et lentement il descendit la fermeture éclair de son pantalon, défit deux boutons à la taille et lui descendit son pantalon aux genoux. Tout surpris il découvrit un tout petit cache sexe de soie bleu.

- Jolie petite culotte Susie ! La félicita-t-il tandis que déjà il inventoriait ses charmes d'une main impatiente.

- Très jolie… S'enthousiasma Gary.

- Mais il y a un seul problème.

- Lequel ? S'informa-t-elle inquiète.

Le cache sexe était si petit que des touffes de poils apparaissaient à la ceinture et aux entrejambes.

- Tes poils... L'informa Gary en pointant le doigt sur les touffes s'échappant de son affriolante petite culotte.

- T'es déjà fait faire une épilation bikini ?

- Je ne porte jamais de bikini. Admit-elle misérablement.

- Avec un tel corps tu ne devrais porter que ça.

- On ferait peut-être mieux de nous en occuper puisqu'elle ne portera plus que des petites culottes sexy désormais. Avança Ray excité comme un pou à cette idée.

- C'est une excellente idée ! Lui rétorqua son complice hilare.

- Non... Non... Je vous en prie.... Je le ferai moi-même ! Les supplia-t-elle frénétiquement.

- Mais nous insistons... Répliqua Ray. Laisse-nous faire... Montons à l'étage !

- Il n'y a pas le feu... Protesta-t-elle.

Mais ils l'encadrèrent et l'entraînèrent dans le vestibule. Ils la reposèrent au pied de l'escalier et comme elle se tenait là immobile son pantalon chut au sol. Elle se pencha et le remonta rapidement rebouclant les boutons, elle se préparait à remonter la fermeture éclair lorsqu'on la poussa dans le dos.

- Ne perds pas ton temps avec ça, puisque tu l'enlèveras dans un instant. L'avisa Gary.

Ray la poussait alors que Gary la tirait dans les escaliers. Lorsqu'ils arrivèrent au sommet, elle protesta encore.

- Ce n'est pas la peine faire ça tout de suite les gars, je vous jure que je le ferai !

- On va s'occuper nous-même de dégager ta minette. Lui dit alors Ray.

- Et si tu continues à te plaindre, on te rasera tout... La menaça-t-il railleusement.

- Gary veux-tu bien l'emmener dans sa chambre qu'elle se foute à poil rapidement !

Et Gary l'emmena dans sa chambre tandis que Ray prenait ses dispositions dans la salle de bain.

- Non... Non... Pas dans ma chambre... Paniquait-elle affolée.

- On va t'arranger tout ça. Répondit-il malicieusement en l'entraînant dans la chambre.

Elle réalisa alors qu'il était inutile de protester. Elle se contenta de supplier Gary:

- Gary, toi qui es un chic garçon raisonnable, s'il te plait ne me fais pas cela, pas ici.

Pour toute réponse il lui enjoignit :

- Allez ma petite chérie, à poil !

- mais... Tenta-t-elle encore une fois misérablement.

Il l'enlaça alors et lui murmura à l'oreille tout en lui pelotant la croupe :

- Ecoute moi bien Susie, tu as tout intérêt à te comporter comme une gentille petite fille, et te foutre à poil sans plus d'histoires, où je t'arrache ton pantalon et je te colle une rouste, une bonne fessée cul nu.

Elle se tint coite. Gary attrapa les épaules de son corsage et le lui retira le jetant au sol.

- Tourne toi ! Lui intima-t-il.

Et elle se retourna obligeamment.

- Et maintenant enlève moi ce pantalon.

Elle s'assit sur le bord du lit, dégrafa sa ceinture et le retira en le faisant glisser le long de ses cuisses juste au moment où arrivait Ray une paire de ciseaux, de la crème à raser, le rasoir de son mari, deux serviettes et une cuvette d'eau chaude en mains.

- Pas encore prête ?

- Elle a eu besoin d'un peu de persuasion... Mais elle se comporte en gentille petite fille maintenant, n'est-ce pas Susie ?

Sans attendre une quelconque réponse il lui ordonna de se relever. Elle obtempéra, son pantalon en boule sur ses chevilles.

- Extirpe toi de ton pantalon ! Ajouta Ray d'une voix ferme.

Elle obtempéra en le rejetant d'un coup de pied.

- Allonge toi sur le lit. Poursuivit Ray, alors qu'elle les priait une dernière fois de faire ça dans une autre chambre.

- Non, on est très bien ici. Refusa Ray péremptoirement.

Elle s'étendit sur le lit, juste vêtue de sa petite culotte et de ses socquettes. IIs s'assirent sur le lit jumeau. Ray demanda à Gary de lui baisser sa petite culotte ce qu'il fit tout de go. Il commença alors à tailler dans sa touffe. Elle restait étendue inerte.

- Lève tes jambes maintenant Susie que je puisse tailler les côtés !

Résignée elle se plia à ses ordres. Ray travailla du ciseau jusqu'au moment où il eut dégagé les deux aines. Puis il fit courir sa main sur sa petite culotte soyeuse et pressa son clito la faisant gémir.

- C'est déjà bien mieux... Approuva Gary.

- Et maintenant au tour du principal. Reprit Ray joyeusement.

- Ne pourriez-vous vous contenter de ça ! Larmoya Susan.

- Vous disiez que c'était bien mieux.

- Y a pas de raison... On va terminer le travail... Répliqua Gary.

Et il glissa les pouces sous l'élastique de la petite culotte la faisant glisser à ses pieds. Il la lui ôta et la jeta triomphalement au sol.

- Très bien je vais commencer par tout te raccourcir. Annonça Ray en se remettant à couper.

Très vite son buisson noir diminua, il ne restait plus que de très courts poils sur la totalité de son mont de Vénus. Ray glissa la main sur sa courte toison.

- Et maintenant que vas-tu faire ? L'interrogea Gary.

Ray lui attrapa les chevilles et lui remonta les talons contre les fesses et lui écarta son compas en grand. Gary l'assura que dans cette position elle offrait l'intégralité de sa chatte.

- A moi l'honneur ! S'esclaffa alors Gary s'emparant de la crème à raser.

- Comportes toi en invité ! Surenchérit Ray éclaté de rire.

Gary fit gicler une bonne dose de crème à raser dans sa main et l'étala sur son pubis hérissé de courts poils. Elle se tortillait sous la caresse.

- Et maintenant tu ne dois plus bouger Susie, je ne voudrai pas te couper.

- Oui... Oh ouiii... Je ne bougerai pas ! Lui répondit-elle affolée.

- Alors, allons-y !

Il commença par enlever une bande de poils sur le haut de son pubis, là où c'était le plus facile. Il n'avait jamais rasé de chatoune féminine auparavant, mais, il avait toujours désiré le faire. Il débroussailla une belle petite clairière avant de rincer le rasoir. Elle fermait les yeux alors que d'étranges fourmillements lui parcouraient la chatte. Il se posta alors entre ses cuisses.

- Ne bouge surtout plus maintenant Susie !

Il travaillait très lentement surtout à proximité de ses grandes lèvres. Il partait de ses babines pour raser vers les aines. D'abord le côté gauche, puis le côté droit. Elle avait du mal à se tenir immobile, sa chatte commençait à la démanger sérieusement. Lentement il rasa tous les poils de chaque côté de sa foufoune. Quelques poils restaient accrochés à la peau, collés par la crème à raser. Il empoigna une serviette et frotta son pubis pour le nettoyer des derniers poils résiduels. Elle grommelait en se mordant les lèvres :

- Mmmmm... Mmmmmmmmmm…

- Un beau petit travail ! Commenta Gary à la vue de sa chatte entièrement glabre, à part une fine ligne de poils juste au-dessus de sa fentine.

Il lui caressa son sexe de bébé la faisant gémir et se tortiller.

- Le toucher est fantastique, essaye petite Susie !

Il lui prit la main et la posa sur son Mont de Vénus en lui disant :

- Vas-y, caresse toi !

Elle se caressa lentement le pubis résistant difficilement à la tentation de titiller son clito. Elle dut admettre que c'était effectivement formidable, sa chatte lui semblait bel et bien beaucoup plus sensible. Gary saisit alors le rasoir et rabattit le capuchon de sécurité, il parcourut lentement sa fente utilisant le manche.

- Oooooh... Mmmmmm… Gémissait-elle l'encourageant vivement à poursuivre ses caresses.

Il poussait toujours le manche du rasoir entre ses babines détrempées.

- Ooooooooh...

Il l'agita plus rapidement.

- Ooooooooh... Oooooooooooooohhh...

Il le retira vivement se rendant compte qu'il était trempé de mouille. Il le remit en place tout aussi rapidement.

- OOOOOoooooh... Aaaaaah... Oooooooooh...

Gary la fourrait maintenant avec le manche du rasoir cognant occasionnellement son clito.

- OOoooooooh... Aaaaaaaah... Que c'est bonnnnnnnnnn... Oooooooooh... Ouiiiiiiiiiiiii... Oooooooooh..... Aaaaaaahh... Ouiiiiiiiiiiiiiiii...

Un orgasme fulgurant la terrassait. Pantelante elle s'écroula sur le lit jambes écartées.

- Non seulement on t'a rasé la chatoune, mais en plus on t'a branlé avec le manche du rasoir. Quelle salope tu fais ma petite Susie. S'esclaffa Gary hilare.

- La prochaine que ton mari se servira de ta chatte, il va avoir une drôle de surprise !

Ray s'allongea à côté d'elle et promena sa main sur son mont chauve, elle se mordit les lèvres étouffant ses gémissements.

- T'aimes ça hein Susie ?

- Mmmmm... Oui...

- C'est beaucoup plus sensible n'est-ce pas ?

-  Mmmmmm... Oh oui...

- J'espère que t'as bien compris que ton corps nous appartient désormais.

- Oh ouiiiiii...

Gary s'était mis à poil et était prêt à la baiser.

- Je veux être le premier à goûter à ton mont chauve. Proclama-t-il alors qu'il commençait à faire courir sa langue entre ses babines.

Pour toute réponse elle s'arqua sur les talons tendant son ventre pour lui faciliter les caresses. Il lui écarta alors le compas en grand et enfouit son visage entre ses cuisses. En un rien de temps elle jouit à nouveau. Ray était maintenant en caleçon, il avait sorti sa bite et se branlait tout en lui pelotant les nibards.

- Est ce que notre petite salope veut se faire baiser ?

- Oh ouiiiiiiiiiiiiiii…

- Tu veux qu'on te baise sur votre lit conjugal ?

- Euh... Oui... Ouiiiiiiiiiii...

- Tu te fous bien qu'on se trouve dans la chambre que tu partages avec ton mari. La taquina-t-il rudement.

- Non... Nonnnn... Mais j'ai tellement envie... Envie de me faire baiser...

- Comme tu veux petite salope ! Commenta Gary promenant sa grosse bite dans sa foufoune.

- Dis-moi ce que tu veux ma petite Susie !

- Je veux que vous me baisiez... Je vous en prie baisez moi !

- Répète le moi chienne !

- S'il vous plait, ne me taquinez pas... Ramonez moi la chatte... Je vous en prie... J'ai trop envie...

- Allez fais ce qu'elle te demande. Elle en meurt d'envie.

Pendant ce temps Ray s'enfonçait dans sa bouche si accueillante. Gary la baisait frénétiquement, tant et si bien qu'ils jouirent tous deux rapidement. Ray n'en avait pas encore fini lorsque Gary se retira de sa chatte engorgée de foutre et de mouille. Il la fit mettre à quatre pattes et la baisa en levrette.

- J'adore baiser ma petite chienne de cette façon. Aimes-tu qu'on te baise ainsi petite Susie ?

- Aaaaaaaah... Aaaaaaaaah... Oui... Oui... OUiiiiiiiiiiii...

Il la baisait à couilles rabattues lui fracassant la chatte.

- Ohhhhhh... Ma salope... Je jouissssssssssss... Cria-t-il s'enfouissant au plus profond de sa cramouille.

Lorsqu'il se retira de sa moule, elle s'effondra pantelante sur le lit, totalement éreintée. Le temps qu'ils se préparent à partir, elle s'était déjà assoupie.

- On se reverra bientôt ma chérie. Ne mets plus de soutien-gorge et éloigne ton mari de tes nichons, de ta chatte, et de ta bouche, tout cela nous appartient désormais.

Ils la quittèrent sur ces mots. Elle posa la main sur sa fente détrempée et se dirigea lentement vers la salle de bain. Comment avait-elle bien pu se laisser subjuguer par ces deux jeunes ados ? Cela allait beaucoup plus loin qu'elle l'aurait voulu... Beaucoup trop loin...


A suivre…

mardi 2 avril 2019

La nouvelle vie de Christine Ch. 06

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

La Belle-mère devient pute (suite).

Christine revint au salon. Nous étions assis nu sur le canapé, nos verges flasques et collantes. Nos têtes étaient embrumées par l'alcool et le sexe. Nous l'avons regardé tous les deux nous ramener les bières. Pour être honnête ce n'était pas les boissons que nous regardions mais sa poitrine qui rebondissait ainsi que son cul parfait.

- Voilà! Nous dit-elle en nous tendant les canettes.

Puis elle resta debout devant nous, comme en attente de nouvelles instructions.

Je ne m'étais pas encore fait à l'idée que j'étais le maître d'une salope. Si bien que je devais toujours improviser pour les ordres que je lui donnais.

- Assis toi sur la table basse pendant que nous dégustons nos bières.

Je bus une gorgée glacée. Christine s'assit en face de nous. Elle nous regardait boire. Mais je m'aperçus bien vite que ses yeux se posaient souvent sur nos membres encore endormis.

Je lui dis :

- elles te plaisent nos bites?

Elle leva les yeux, gênée d'avoir été surprise à baver sur nos engins.

- euhhhhhh....

- Pourquoi n'ouvres-tu pas un peu tes jambes afin que nous ayons une meilleure vue sur ta chatte humide. Dis-je

Je remarquai que Martin changea de position afin de pouvoir mieux voir.

- Martin ne voit pas très bien. Alors penche-toi en arrière et écarte les jambes.

Elle recula en faisant glisser ses fesses sur la table basse, puis elle se pencha en arrière, se soutenant avec son bras gauche. Elle nous regarda entre ses jambes. Elle faisait si salope, allongée, les cuisses écartées que mon sexe a commencé à revivre.

Je finis ma bière et posai la canette sur le sol. Quelques instants plus tard, Martin fit de même. Nous en avions besoin d'une autre. Et bien que Christine fût dans une position agréable, je lui demandai d'aller nous chercher deux autres bières et de se remettre en place.

Ses seins ballottants et son cul se tortillant, elle m'obéit, nous ramenant les boissons, et s'allongeant de nouveau, les jambes encore plus écartées, la chatte gonflée et luisante exposée dans toute sa splendeur.

Je regardai Martin descendre sa bière. Il avait les mêmes sensations que moi. Son membre se relevait alors que ma belle-mère s'exposait ainsi, encore humide et excitée. Le prenant au dépourvu je lui dit :

- Nous allons terminer nos bières Martin. Et tu pourras profiter du petit trou du cul de Christine.

- Es-tu sérieux? Ta belle-mère? Répondit-il en avalant une autre gorgée.

En parlant, j'avais regardé Christine qui était restée impassible, se doutant bien que son anus serait utilisé cette nuit.

- Bien sûr! Christine aime bien se faire enculer! N'est-ce pas Christine?

Sa réponse fut courte et précise :

- Oui.

En rigolant je rajoutai :

- Donc si j'étais toi, je passerai les prochaines minutes à essayer d'assouplir ton petit trou. Parce que lorsque Martin aura fini sa bière, c'est là qu'il mettra sa queue. N'est-ce pas Martin? Ha ha ha!

En avalant une gorgée et sa bite grossissant à vue d'œil, il dit :

- Bien sûr, tu as raison.

La femme remarqua la façon dont le sexe de mon ami a soudainement jailli à la pensée d'être enterré dans son cul. Alors sa main droite glissa sur sa chatte humide. Elle la pénétra de trois doigts.

Mon ami et moi étions pétrifiés par son comportement de salope. Elle lubrifia soigneusement ses doigts avant d'en mettre un puis deux dans son trou du cul. Sachant que Martin ne serait pas long, elle travailla son orifice afin qu'il soit plus souple.

Les yeux de Christine s'élargir, alors que mon ami vidait d'un coup sa canette. Elle agita frénétiquement ses doigts. Elle savait qu'elle devrait bientôt abandonner son anus à l'ami de son gendre.

Martin se leva. Il vacilla un peu sur ses jambes, embrumé par l'alcool. Il annonça :

- je suis prêt.

Je demandai à ma belle-mère :

- On va rendre les choses plus faciles pour mon copain. Christine, tu vas te mettre à quatre pattes et bien relever ton joli fessier.

Elle m'obéit sans rechigner et nous présenta son arrière train.

- Maintenant, tu vas écarter tes fesses et tu vas demander à Martin de t'enculer.

Ses mains se sont portés sur son derrière. Son visage était tourné de côté et posé sur la table basse. La plupart de son poids reposait sur ses épaules. Ses doigts crochetèrent ses fesses juste à côté de son trou et les écartèrent.

- Waow!

Martin s'exclama alors que le trou intime de ma belle-mère s'ouvrait légèrement. Il semblait inviter mon ami. Par contre j'attendais toujours que Christine réclame.

- Alors? Lui dis-je.

D'une voix assez forte, afin que je ne lui demande pas de répéter, elle dit :

- S'il vous plaît Martin! Enculez-moi! Mettez votre grosse queue dans mon cul!

L'entendre réclamer si facilement m'excita tellement que mon membre fut à nouveau raide et solide, prêt à remplacer Martin s'il le fallait.

Celui-ci avança et mit son gland contre le petit trou légèrement ouvert de Christine. Il poussa en avant mais rentra à peine à l'intérieur. Il avait besoin de plus de force. Il prit son sexe et poussa de nouveau, plus fort.

- AHHHH

Ma belle-mère gémit alors qu'il commença à s'enfoncer. Elle savait que son anus allait s'ouvrir complètement pour accueillir mon copain.

- AHHHH, AHHHH, ARRRGGGGHHHHH, MON DIEEEEEU

elle cria quand le membre de Martin fut entré. Avec un sourire, celui-ci me dit :

- Ouais, j'y suis!

- Amuse-toi

Ce fut tout ce que je lui dis avant de lever ma canette et boire un coup. Il reporta son attention sur Christine, lui prit les hanches dans ses mains et poussa encore plus sa grosse bite dans son cul tout en disant :

- oui je vais m'amuser!

Ma belle-mère ne pouvait pas retenir ses cris et gémissements. A quatre heures du matin, elle ne se souciait pas des voisins. Elle cria et cria alors que chaque centimètre du membre de mon ami remplissait sa cavité anale. Martin s'arrêta au moment où ses couilles tapèrent sa chatte gonflée. Il resta comme ça une bonne minute, savourant cette position agréable. Il se pencha en avant et mordit un mamelon sensible, faisant glapir la femme.

Je finis ma bière alors que Martin commençait à baiser lentement mais profondément le cul de Christine, veillant que ses couilles giflent la chatte de la femme à chaque fois. Je me levai et j'allai m'accroupir à côté de la tête sur la table basse. Ma belle-mère sut instantanément ce que je voulais car elle ouvrit la bouche pour que je puisse mettre ma verge à l'intérieur. Comme ça, j'étouffai ses gémissements.

Dans la position où elle était, elle ne pouvait pas beaucoup bouger sa tête. Donc je la pris entre mes mains et je la baisai comme une chatte humide. Et croyez-moi quand je vous dis que Christine avait une bouche à sucer des bites.

Je sentais que Christine voulais dégager sa tête et respirer. Je me doutais qu'elle n'était pas loin d'un orgasme comme celui qu'elle avait eu sur le capot de la voiture.

Des que sa bouche fut libérée, elle éclata :

- Vas-y! Vas-y!

elle cria encore alors qu'elle était sur le point d'exploser :

- CONTINUEZ!!!!! S'IL VOUS PLAIT!! OHHHHHHHHHHHHHHHHH! ARGHHHHHHHH!

Son corps trembla et ses jambes se resserrèrent tandis que l'orgasme, le quatrième je crois, la terrassa.

Martin, satisfait, se retira pour me laisser la place. J'avoue que j'étais étonné de la facilité avec laquelle elle s'était laissé aller avec mon ami, mais j'ai été encore plus étonné quand elle a ouvert grand la bouche pour accueillir la queue de Martin qui venait juste de l'enculer. Rapidement, j'enfonçai ma bite dans son cul et je dis :

- Oh Christine, quelle sale pute tu es! Je n'arrive pas à croire qu'une femme au foyer, une bonne mère de famille, soit si avide de sucer une bite qui sort de son cul. Je vais avoir beaucoup de plaisir avec toi dans l'avenir.

Je la pilonnai avec de grands coups de bassin, forçant Martin à garder son équilibre alors qu'il tentait d'utiliser sa bouche.

En fin de compte, mon ami arrivait à tenir la tête de ma belle-mère relativement stable. Elle le suçait correctement alors que je martelais son anus. Quelques minutes plus tard, ses fesses se serrèrent et son corps se convulsa alors qu'elle avait un autre orgasme.

Martin laissa son membre à l'intérieur de la bouche, étouffant ainsi les gémissements de Christine. Quand elle finit de frissonner, je ne pus me retenir et j'éjaculai profondément dans son cul.

Je retirai mon sexe avec un gros « plop » et demandai à mon copain :

- Martin? comme nous n'avons pas encore fini avec cette chienne, je voudrais qu'elle continue à me sucer. Peux-tu prendre ma place?

Martin revint derrière Christine et moi, je remplis à nouveau sa bouche.

Mon ami entra facilement dans le cul déjà bien baisé et lubrifié. Je portai mon attention sur ma belle-mère qui faisait des merveilles avec ses lèvres, si bien que je ne débandai pas.

- Maintenant Christine, je vais aller m'asseoir sur le canapé et tu vas venir me chevaucher et enfiler ma bite dans ta chatte.

En hochant la tête, sans cesser de me sucer, elle marmonna :

- Mummmmp, muuuumm

- Puis tu te pencheras en avant, et tu mettras tes seins sur mon visage pour que je puisses sucer tes tétons.

- Mummmmp, muuuumm

Elle ne pouvait mieux répondre alors que mon sexe s'enfonçait au fond de sa gorge chaque fois que Martin plongeait au fond de son cul.

Je l'ai laissé me sucer encore quelques secondes avant de me retirer et de ma vautrer sur le canapé. Puis en me masturbant je lui ordonnai :

- Amène ta chatte ici!

Martin sortit de son cul. Christine s'affaissa sur la table, puis en descendit et vacilla. Elle tenta de garder son équilibre sur ses jambes affaiblies. Finalement, elle se déplaça jusqu'au-dessus de moi. Je décidai de ne pas l'aider. Alors, elle tint ma verge stable avec sa main droite et la guida dans son vagin tout en descendant sur moi.

- Oh oui, comme ça! Continue.

Je la félicitai quand elle fut complétement embrochée sur mon sexe. Puis je lui demandé :

- Penche-toi maintenant et mets ton mamelon droit dans ma bouche.

Elle obéit. Enfin je remuai mon membre et mâchouillai son téton qui devint enflé et sensible. Elle recommença à gémir.

Je vis Martin qui nous regardait, sa queue rigide dans sa main. Et je décidai de pousser encore les limites de Christine. Je dis :

- Martin! Ne reste pas là à ne rien faire! Prend lui le cul!

Christine eut un sursaut. Elle me regarda avec de grands yeux.

- S'il vous plaît! Pas vous deux! je n'ai ja....

Je la coupai au milieu de sa phrase avant qu'elle ne puisse encore supplier.

- Chut Christine! Tu ne vas pas faire de problèmes non? Que penserait ton mari s'il savait comment tu te conduis avec moi. Que penserait ta fille?

Je laissai mes paroles traverser son cerveau. Elle baissa les yeux et se détourna. Je savais que j'avais encore gagné. Sa prochaine phrase me montra que mon contrôle sur elle était bien ancré.

- Je ne veux pas poser de problèmes....

Je souris.

- Alors remets ton mamelon dans ma bouche, présente ton cul à mon ami et demande-lui de t'enculer.

Vaincue, sous mon contrôle, elle demanda :

- S'il vous plaît Martin, enculez moi, je veux vos deux bites en moi.

Je la savais à ma merci alors qu'elle demandait qu'on l'encule avec ma bite qui la pénétrait et ma bouche qui mangeait son sein. Je regardai derrière son dos mon ami qui s'avançait son membre dans sa main. Je souris avant de dire :

- Enfonce-toi bien dans cette pute Martin!

Il leva sa jambe droite pour la poser à coté de nous sur le canapé puis il posa son gland à l'entrée du trou intime de ma belle-mère. Crachant le mamelon, je dis à Christine :

- Regarde-moi! je veux voir ton visage quand il va te pénétrer et te faire jouir.

- ARHHHHHHHH!

Elle haleta et ses yeux s'élargirent. Je savais que Martin commençait à entrer. Je regardai mon ami qui souriait et je l'encourageai :

- Bien au fond Martin! Bien au fond!

Le visage de ma belle-mère grimaça et un cri brisa le silence du matin.

- ARGGGGGGGGGGGGHHHHHHHHHHH!

Christine brailla jusqu'au moment où le ventre de mon ami toucha ses fesses.

- Martin, nous allons baiser cette pute jusqu'au moment où nous ne pourrons plus. Ok?

C'était à la fois une question et une affirmation. Il comprit parfaitement bien et instantanément commença à marteler son anus de coups puissants. Christine gémissait et criait à chaque coup de boutoir.

De ma position, je me mis en rythme avec mon ami, poussant ma bite au plus profond de son vagin. Elle fit de son mieux pour garder un contact visuel avec moi afin que je puisse voir si elle jouissait.

Pendant cinq minutes, je fus content de la position. Mais je décidai d'être celui qui donnerait le rythme.

En arrêtant le mouvement, je dis :

- Changeons de position! Martin, assis toi là s'il te plaît.

Quelques instants plus tard, Christine était face à mon ami, prête à s'empaler sur sa grosse queue. Je l'arrêtai :

- Tu n'oublies pas quelque chose salope?

- Quoi? demanda-t-elle timidement.

- Je veux voir ta figure lorsque tu vas jouir et je ne pourrai pas si tu es face à Martin.

- Désolé!

Elle se releva, en pleine confusion, ne sachant plus que faire.

Je savourai cet instant. Elle s'était excusée. Elle me montrait son obéissance.

- Tu vas seulement t'asseoir sur mon ami, sa bite dans ton cul, puis tu te renverseras sur sa poitrine et tu écarteras bien les jambes.

Elle m'obéit immédiatement, se mettant en position au-dessus du membre de mon copain.

Martin posa une main sur sa verge et une autre sur les hanches de la femme afin de la guider mais j'intervins. Ce serait encore plus dégradant de la voir saisir la bite de mon camarade et la guider dans son cul.

- Laisse la faire, elle aime ça donc elle va bien y arriver.

Christine attrapa sous elle le gros membre avec sa main gauche, puis elle posa sa main droite sur la poitrine de mon ami pour se stabiliser puis elle descendit.

Encore une fois, un long gémissement éclata dans l'air, ses yeux bruns s'élargirent alors qu'elle glissa lentement sur la bite jusqu'au moment où elle ne puisse plus aller plus loin, son anus complétement dilaté. Elle se pencha en arrière, à plat contre martin, sa tête à côté de la sienne sur le rebord du canapé.

- Ouvre grand tes jambes! ordonnai-je.

Elle leva ses jambes et les écarta le plus possible et les tira en arrière. J'avais un accès facile à son sexe complétement humide.

- Attends un moment et garde la pose.

Je récupérai mon téléphone et pris quelques clichées avant de le reposer.

- Il me fallait quelques photos de cette position de pute.

Je n'eus pas besoin de viser. Mon membre cogna la lèvre gauche de sa chatte mouillée et entra avec facilité quand je poussai. Il faut dire que son sexe avait été déjà visité de nombreuses fois cette nuit. Christine cria de nouveau quand je tapai au fond d'elle.

- Maintenant, je peux te baiser et voir ton visage quand tu vas jouir.

Je la pilonnai durement comme je l'aurai fait avec une prostituée. Je baisai durement ma belle-mère, mon ami farcissant son cul. Je la regardai dans les yeux. Je savais qu'elle n'était pas loin de l'orgasme. Ses yeux roulaient et sa chatte commençait à se contracter. Je commençais à bien la connaitre. Le regard dur, je lui dis :

- Allez salope, je sens ta chatte qui se serre. Tu vas bientôt jouir. Allez, vas-y!

Quelques secondes plus tard son corps bouillonna et se prépara à exploser. Puis elle libéra ses jambes et les jeta autour de mon dos, me retenant en elle. Elle essaya bien de soutenir mon regard mais son corps eut d'autres idées. Ses yeux roulèrent derrière sa tête et des spasmes la traversèrent. J'imaginai que la bite de mon ami devait être serrée par son anus.

Avec un orgasme de telle intensité, je pensai qu'elle allait beugler mais sa bouche était entrouverte, ses dents serrées. Elle grognait bizarrement. Pendant une minute elle se libéra encore de nombreuses années de frustration.

Enfin, elle desserra les jambes, me laissant continuer à la baiser. Et ce qu'elle dit ensuite, cimenta notre relation et sa position de soumise. Elle murmura à bout de souffle :

- Merci, je vous remercie de pouvoir être votre pute.

Je souris :

- De rien. Nous aurons encore beaucoup plus de plaisir que tu ne le crois Christine.

Je la baisai plus lentement maintenant.

Avant de s'agiter de haut en bas sur Martin elle demanda

- S'il vous plaît, remplissez-moi maintenant.

- Je pense que cela peut se faire. N'est-ce pas Martin?

- Bien sûr! mais laissez-moi me relever un peu que je puisse m'activer.

Avec quelques manœuvres, nous nous mimes dans une position où nous pouvions la baiser alternativement. Finalement j'éjaculai dans son ventre et quelques minutes plus tard, mon ami fit de même dans son cul.


Nous avons laissé Christine, affalée sur le canapé, du sperme coulant de ses deux orifices. Nous avons chancelé à l'étage supérieur. Le soleil commençait à se lever.

A suivre...

L'enseignante, ma chienne. Ch. 02

L'enseignante , ma chienne - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Viol à nouveau de sa prof, mais est-ce bien un viol ?

Karen se sent faible et épuisée quand elle chancelle dans sa maison après avoir été humiliée et baisée par son élève Carl. Heureusement personne n'est là pour s'apercevoir de sa robe déchirée et de son apparence échevelée. Elle prend une douche pendant plus de 45 minutes puis enfile une longue chemise de nuit et s'allonge sur le lit.

Elle essaie désespérément de se convaincre qu'elle n'a pas apprécié l'expérience, mais à chaque fois qu'elle pense à la grosse bite raide de Carl dans sa bouche ou sa chatte, son corps réagit d'une manière qu'elle ne peut contrôler. Finalement, elle cède à ses envies et touche son sexe. Il est déjà dégoulinant de jus.

Les images de l'énorme queue de Carl lui traversent l'esprit. Elle peut presque sentir sa langue glisser sur les veines de membre raidi. Elle a même le goût de son sperme dans sa bouche. Elle se rappelle ses doigts enfoncés dans sa chatte, explorant son intimité. Maintenant elle se souvient comment il lui a tordu le bras et écrasé le visage sur le capot de la voiture. Elle s'imagine sa queue lui martelant sa chatte pendant que ses doigts titillent son clitoris.

Karen s'arque en arrière et pousse un cri. Une explosion traverse son corps. Son jus de chatte jaillit sur ses doigts et dégouline entre ses fesses. Elle continue de se tortiller sur ses doigts jusqu'au moment où elle frissonne de plaisir à nouveau sous un deuxième orgasme.

Toute la nuit elle souffre d'essayer de ne plus penser à la bite de Carl. Elle essaie même de se faire baiser par son mari, mais celui-ci n'est pas d'humeur. Finalement elle va dans la salle de bain et saisit son vibromasseur. Elle atteint un nouvel orgasme tout en revivant en son esprit les événements de l'après-midi.

Le lendemain matin elle appelle l'école pour se faire porter malade. Elle sait qu'elle ne pourra faire face à Carl. Elle élabore un plan pour s'en débarrasser. Elle le menacera d'aller à la police pour montrer ses ecchymoses. Elle lui dira qu'elle a gardé un échantillon de sperme pour prouver qu'il l'avait violée. S'il se tient à l'écart, elle ne s'occupera plus de lui et oubliera ce qui est arrivé.

Carl est furieux que sa professeure se soit faite porter malade. Il attendait avec impatience de pouvoir la baiser après l'école. Il parle avec Katie, la fille de Mme O'KEEFE pour savoir ce qui se passe. La jeune fille lui dit que sa mère ne se sentait pas bien lorsqu'elle est revenue à la maison la veille et qu'elle avait passé la plupart du temps au lit. Carl décide d'enquêter lui-même.

Comme Katie reste à l'école pour s'entraîner comme pom-pom girl et que Monsieur O'KEEFE est toujours au travail, Carl sait que sa professeure est seule chez elle pour encore quelques heures. Plutôt que de frapper à la porte principale, il se faufile derrière la maison pour essayer de voir à l'intérieur. Quand ça sera le bon moment il se montrera.

Karen a réussi à ne pas se masturber de toute la journée et a essayé de faire sortir Carl de son esprit, mais ses efforts sont vains. Elle est déterminée à ne pas toucher sa chatte en pensant à la queue du garçon. Mais comme elle n'y arrive pas, elle sort un film porno d'une cachette. Elle se dit qu'il allait éloigner ses pensées du sexe de Carl.

Carl entend des bruits venant de la chambre de Karen. Il s'approche et se rend compte qu'il s'agit de gémissements et de cris de plaisir. Il comprend que sa professeure est engagée dans une séance de baise sauvage. Est-ce qu'elle le trompe? Il pousse la porte.

Karen est nue. Elle regarde l'écran de son téléviseur tout en tenant entre ses jambes un gros gode. Elle bouge rapidement les hanches tout en poussant l'objet dans et hors de sa chatte. A la télé, une blonde à gros seins se fait pilonner à la fois la chatte et la bouche par deux énormes bites.

La femme n'a pas vu le jeune garçon. Carl se déshabille rapidement et se dirige vers le lit pour la rejoindre. Karen est tellement occupée par ce qu'elle fait qu'il lui faut du temps pour se rendre compte qu'il y a une autre personne dans la pièce. Au moment où elle réalise qu'il s'agit de Carl, il est déjà sur le lit à côté d'elle.

Karen panique. Elle retire le gode de sa chatte et frappe durement son élève avec. Puis elle arrive à sauter du lit et à courir vers la porte ouverte. Elle est dans le couloir quand il l'attrape par les pieds. Elle tombe en avant sur le sol. Carl s'allonge sur elle, sa bite coincée dans la fente de ses fesses. Il lui tire la tête en arrière par les cheveux et il approche sa bouche de son oreille.

- Où croyez-vous aller Mme O'KEEFE? Nous avions rendez-vous cet après-midi et vous m'avez abandonné pour une gode. Comment pensez-vous que j'apprécie Mme O'KEEFE?

Il glisse une jambe entre les siennes et les écarte. Karen lutte pour se libérer mais c'est sans espoir, Carl est beaucoup trop fort. Il la tient par les cheveux et garde sa tête en arrière. Sa bite est toujours dans la raie de ses fesses. Il la frotte activement entre les deux globes.

- Je vais vous baiser Mme O'KEEFE. Nous pouvons le faire gentiment ou plus violemment.

Carl se relève et la tire par les cheveux. Mme O'KEEFE le mord au bras jusqu'au sang et essaie de s'enfuir. Carl la jette contre le mur pour qu'elle soit face à lui. Puis sa main jaillit et il la saisit au cou et la soulève. Elle étouffe et se tient sur le bout des orteils. De son autre main il écarte une de ses jambes.

Karen essaie désespérément de retirer la main autour de sa gorge quand elle sent la queue du garçon sonder sa chatte. Une fraction de seconde plus tard, il s'enfonce en elle. Puis il ressort et redonne un grand coup de rein pour mieux la pénétrer. Lentement la pression sur sa gorge s'amenuise. Bientôt Carl enlève totalement sa main qu'il dépose sur la poitrine de Karen pour la caresser. Il regarde sa professeure dans les yeux :

- Allez-y Mme O'KEEFE, je ne vous arrêterai pas.

Il plonge une nouvelle fois sa queue dans sa chatte tout en levant la tête et fixant sa professeure un grand sourire sur le visage. Karen sait qu'elle peut s'échapper. Le jeune garçon la défie. Mais en vérité, elle ne veut pas s'échapper. La sensation de cette grosse bite dans sa chatte lui manque depuis hier.

Des larmes roulent sur ses joues quand il se retire et plonge de nouveau dans son corps. Lentement, elle enroule ses bras autour des épaules de Carl. Celui-ci saisit ses fesses et la soulève du sol. Elle enroule ses jambes autour de lui et enfonce ses talons dans ses fesses. La bite bien raide cogne encore plus fort dans sa chatte. Un grand gémissement s'échappe de la gorge de Karen.

La tenant suspendue dans les airs, Carl se dirige vers la chambre à coucher. Plusieurs fois Karen se relève et s'empale de nouveau sur la bite bien raide de Carl. Ses fesses deviennent visqueuses avec le jus de sa chatte qui s'écoule. Le couple rebondit sur les murs avant de finalement tituber dans la chambre. Les gémissements et halètements de Karen paraissent de plus en plus désespérés.

Carl se laisse tomber sur le lit tout en tenant fermement les fesses de sa prof. Il veut que sa queue reste enfoncée dans la chatte excitée. Le poids de la femme s'appuie sur ses hanches et son sexe s'enfonce encore plus profondément. Karen crie. Elle monte est descend sur le membre dressé. Elle le chevauche comme au rodéo.

- Oh mon Dieu oui... Baise-moi... Plus fort... Oui... OUI... Ahhhhhhhhh...

En un mouvement rapide, le jeune garçon retourne la situation. Il couche Karen sur le lit et remonte ses genoux par-dessus ses épaules. Et il la pilonne brutalement. Ses couilles mouillées giflent les fesses de la professeure. Du jus continue de s'évader de sa chatte pour couler le long de la raie de ses fesses. Carl saisit les seins et les malaxe puis il tire sur les tétons.

Pendant une brève seconde, Karen réalise qu'elle est en train de baiser un autre homme que son mari dans le lit conjugal. Et il ne s'agit que d'un jeune garçon. Elle a honte et elle sait qu'elle doit arrêter cette folie. Mais le besoin dans son ventre est trop intense. Une fois de plus, elle est devenue une pute et elle ne peut se détacher de la queue du garçon. Elle est hors de contrôle pendant que la bite fourre sa chatte serrée.

- Baise-moi... Baise-moi... Oui... Mon Dieu, j'aime ta bite... Oh putain je vais jouir... Oui... ohhhhhhhh... AHHHHHHHHH...

L'orgasme provoque une giclée de jus dans sa chatte. Carl peut sentir l'humidité qui envahit l'antre et qui coule sur ses couilles. Le liquide ruisselle le long de la raie des fesses de Karen et trempe les draps sous elle. Carl se retire rapidement du vagin et grimpe sur la poitrine de la femme afin de la nourrir de son gourdin de chair.

Karen est en train de se remettre de l'énorme orgasme qui a déchiré son ventre quand elle sent un gland gluant pousser entre ses lèvres. Le goût fort de son jus lui remplit sa bouche. La texture et le goût de la jeune queue contre sa langue l'excite presque autant que quand il baisait sa chatte. Elle commence à sucer agressivement son élève et le laisse glisser dans et hors de sa bouche.

- Super Mme O'KEEFE... Ouais... Sucez moi bien... Plus profond... Oui...Oh merde...

Karen glisse sur le lit jusqu'à ce qu'elle soit presque assise. Carl bouge avec elle et saisit l'arrière de sa tête alors qu'elle s'accroupit devant lui. Puis il pousse sa bite dans et hors de sa bouche. Karen saisit les fesses du jeune garçon et le guide dans ses mouvements. Elle le sent glisser de plus en plus profondément dans sa gorge à chaque poussée. Elle veut son sperme, elle veut qu'il éclabousse son visage et ses seins.

- Oh putain... Suce... Suce bien.... Ohhh.

Karen garde la bouche ouverte pendant que Carl la martèle avec sa grosse queue. De la salive coule en longs filets sur son menton, la bite et les couilles. De temps en temps, le garçon bloque son membre au fond de la gorge et la tient, son pubis collé contre ses lèvres.

- Oh putain... Je vais jouir Mme O'KEEFE... Je vais gicler dans votre bouche... OHHHHH.

C'est ce qu'elle attend. Sa chatte dégouline d'excitation avec cette queue qui martèle sa bouche et la pensée du sperme glissant dans sa gorge ou éclaboussant son visage. Elle sent le jeune garçon se raidir et elle sait qu'il va bientôt éjaculer. Elle glisse une main entre ses fesses et titille le trou du cul de Carl.

Celui-ci sent ses couilles gonfler et se libérer. Le sperme jaillit de son membre entre les lèvres de sa professeure. Il pousse sa bite dans la bouche et laisse échapper un grand rugissement. Il sent les doigts sur son cul qui exacerbent sa jouissance.

Karen sent la première vague de foutre contre son palais puis dans sa gorge. Elle sort la queue de sa bouche au moment du deuxième jet. Il explose sur ses lèvres et sa langue. Elle pointe le membre sur son visage et elle ferme les yeux. Le sperme éclabousse son nez et son front. D'autres giclées atterrissent sur ses joues et dans ses cheveux.

Karen reprend la bite dans sa bouche pour aspirer les dernières gouttes de sperme. Elle continue de le lécher et de le sucer jusqu'à ce que le sexe soit complètement rétréci. Carl sort de sa bouche et s'effondre sur le lit, vidé et satisfait. Mais la chatte de Karen a besoin d'être soulagée. Elle regarde le jeune homme allongé à côté d'elle et elle a un bref sentiment de culpabilité.

- Je... je vais à la salle de bain pour me nettoyer.

- Bien sûr Mme O'KEEFE, je vais vous attendre. Il ne va pas falloir longtemps avant que je ne sois de nouveau en forme.

Karen ramasse le gode sur le lit, va dans la salle de bain et verrouille la porte. Elle se penche sur l'évier et se regarde dans le miroir. Du sperme dégouline de son visage sur ses seins. Elle ressemble à une salope. Elle se sent salope. Elle voudrait être dégoûtée d'elle-même, mais sa chatte est en feu.

Elle se lèche les lèvres et goûte le sperme de Carl qui macule son visage. Elle baisse le gode et le frotte entre les petites lèvres de son sexe et sur son clitoris. Puis elle le fourre profondément dans son antre humide et chaude. Avec deux doigts de l'autre main, elle ramasse le foutre sur tout son visage et ses seins pour le mettre dans sa bouche.

Son corps se raidit. Elle suce ses doigts avec avidité. Des flashs de lumière tourbillonnent dans sa tête et elle commence à trembler. Ses jambes deviennent molles. La pression dans son ventre ne peut être contenue. Elle se mord les doigts alors qu'une explosion balaie son corps. Un flot de son jus intime coule de sa chatte et tombe sur le sol. Il recouvre ses cuisses et ses doigts. Elle laisse tomber le gode en plastique et porte sa main à sa bouche pour la lécher alors que son corps tremble toujours.

Il lui faut environ trente secondes pour récupérer. Enfin elle lève les yeux vers le miroir. Mais cette fois-ci elle ressent de la honte. Elle sait que sa capacité à résister à Carl devient de plus en plus faible. Elle l'a laissé la baiser dans sa propre maison et dans le lit conjugal. Et pire, elle a apprécié chaque seconde. Des larmes coulent de ses yeux et strient son visage encore recouvert d'un peu de sperme.

- Allez Mme O'KEEFE, je suis prêt à recommencer. Je pense que nous pouvons encore avoir du bon temps avant que votre fille Katie ou M. O'KEEFE ne rentrent à la maison.

- Va-t'en Carl! Mon mari va bientôt revenir à la maison. Et je vais prendre une douche. Si tu ne pars pas, je vais appeler la police, j'ai mon portable avec moi.

Karen bluffe à propos de son mari et du téléphone portable, mais elle espère que ce sera suffisant pour se débarrasser de Carl Son silence la rend nerveuse. Elle allume la douche et colle son oreille contre la porte. Toujours rien. Alors elle suppose que sa menace a fonctionné et que le jeune garçon est parti. Elle se glisse sous la douche et elle laisse l'eau chaude couler sur son visage et son corps.

Carl est sûr qu'elle lui ment au sujet de son mari. Elle essaie de se débarrasser de lui après tout ce qu'il a fait pour elle. Le fait qu'elle l'ait menacé d'appeler la police le met en colère. Il écoute doucement à la porte de la salle de bain jusqu'à ce qu'elle entre sous la douche. Ensuite il essaie de déverrouiller la porte.

Quelques secondes plus tard, elle est ouverte. Carl entre dans la pièce humide et voit le corps nu de Mme O'KEEFE à travers la paroi vitrée de la douche. Elle lui tourne le dos. Elle reste sans bouger sous le jet et laisse l'eau chaude couler sur sa tête et son corps. Elle ne l'entend pas se glisser derrière elle.

La queue de Carl se raidit en quelques secondes devant les fesses bien rondes de Karen. Il s'approche jusqu'au moment où ils se touchent presque. Il plie les genoux et avance jusqu'à ce que son gland frôle la peau lisse de la fente du cul de la femme.

Karen ne remarque pas tout de suite ce contact. Elle pense que c'est l'eau qui coule sur son corps. Quand le garçon continue de se presser contre son cul, elle passe une main derrière elle par curiosité, en se demandant pourquoi la pression de l'eau est si forte. Elle se fige quand ses doigts rencontrent le membre de chair bien raide. Il lui faut une seconde pour réaliser et comprendre.

Avant qu'elle ne puisse réagir, les mains de Carl entourent son corps. La bite du garçon se coince entre ses fesses alors qu'il resserre son emprise sur elle. Une main lui écrase la poitrine alors que l'autre descend entre ses jambes jusqu'à sa chatte gonflée.

- Laisse-moi Carl! Mon mari va bientôt rentrer et il appellera la police. Arrête Carl ou tu vas avoir de gros ennuis.

Karen essaie de lutter mais Carl est trop fort pour qu'elle puisse se libérer. Il pousse son visage contre les carreaux de la douche. Il remonte son bras de la poitrine sur son cou et l'étrangle presque. Elle sent deux doigts entrer dans sa chatte et la bite glisser de haut en bas entre ses fesses.

- Madame O'KEEFE, votre mari n'est pas encore près de rentrer. Pourquoi continuez-vous à vous battre après tout ce que j'ai fait pour vous? Vous aimez ma bite, vous l'avez réclamée, pourquoi le niez-vous Mme O'KEEFE? Profitez-en plutôt!

Une partie d'elle-même sait qu'il dit vrai. Elle n'a jamais été baisée aussi bien et aussi fort de toute sa vie, même dans ses années de jeunesse avant de rencontrer son mari. Ce serait si facile de se laisser aller et de le laisser faire ce qu'il veut. Mais elle ne peut pas. Elle est mariée, elle a une fille du même âge que ce garçon. Et de plus, c'est son élève. Il ne faut pas qu'elle lui cède. Pas cette fois.

- Carl, tu as déjà de gros ennuis. J'ai dit à la police que j'avais été violée. Je leur ai donné ma jupe déchirée mais j'ai encore ma culotte avec ton sperme dessus et je leur ai dit que je n'avais pas vu ton visage. Mais si tu continues à m'embêter et si tu ne pars pas immédiatement, je t'enverrai en prison pour très longtemps.

« Violée? Elle est folle » pense Carl. Comment une femme qui crie « baise-moi » encore et encore peut-elle penser qu'elle a été violée? Carl sent son sang bouillir. A-t-elle vraiment été à la police? Il ne le croit pas. Elle bluffe. Eh bien, police ou pas, il va lui donner ce qu'elle mérite.

- Mme O'KEEFE, je n'aime vraiment pas ce que vous avez dit. Je pensais qu'il y avait quelque chose de spécial entre nous deux. Je vais vous laisser seule, mais d'abord je vais vous donner un souvenir spécial de moi. Je vais vous sodomiser.

Karen panique. Elle n'a jamais laissé quelqu'un lui faire ça, même quand elle était jeune. Elle se rappelle que Carl avait mis son doigt entre ses fesses hier quand il l'avait baisée contre la voiture. Elle se souvient de la pression intense, et, elle doit l'admettre, assez agréable. Mais sa queue est énorme. Elle est sûre qu'il va la déchirer et que la douleur sera atroce.

Elle lutte désespérément pour se dégager et se tortiller. Ses dents mordent le bras du garçon jusqu'au sang. Carl resserre son étreinte sur son cou et la soulève. Ses pieds ne touchent plus le sol et battent l'air. Il couche la femme sur le carrelage dur. Karen atterrit durement avec tout le poids de Carl sur son dos. Elle a le souffle coupé. Elle s'évanouit presque en luttant pour respirer.

Leurs corps sont à moitié dans et dehors de la douche. Carl savonne rapidement son sexe et le cale entre ses jambes. Cette lutte le fait bander encore plus. Il presse son gland contre l'anus et commence à pousser. L'ouverture serrée cède lentement jusqu'à ce que le membre de chair perce le passage sombre.

Quand Karen ouvre les yeux, elle réalise qu'il y a une pression terrible dans son cul. La queue du garçon est au fond. Ce n'est pas que ça fait mal, mais la pression sur les parois de son anus lui donne l'impression que ses entrailles vont exploser. La bite coulisse dans le petit passage étroit. Rapidement elle réalise que si elle se débat, la pression se transforme en douleur. Alors elle se détend et laisse faire.

Karen peut sentir son corps répondre une fois de plus à l'invasion importune. Ses fantasmes de sexe forcé avec ses étudiants se réalisent. La bite de Carl qui pénètre son corps est tout ce qu'elle a désiré, tout ce que son mari n'a jamais pu lui donner. Elle y prend encore plus de plaisir car il la baise dans trou interdit, où aucun homme n'a jamais été.

Carl voit sa professeure relever son cul en l'air et le pousser contre lui pour que sa queue la pénètre encore plus profondément. Il tire sa tête en arrière par les cheveux et il donne de violents coups de reins. Il mord durement le lobe d'oreille de la femme, en tirant un peu de sang qu'il lèche. Karen laisse échapper un gémissement qui ressemble plus à du plaisir qu'à de la douleur.


- C'est pour m'avoir mordu au bras. Tu aimes ça n'est-ce pas Mme O'KEEFE? Tu aimes ma queue dans ta chatte, dans ta bouche ou dans ton cul? Tu ne fais pas semblant n'est-ce pas?

- Non... Oui... Non... Oh mon Dieu, j'aime ta bite... J'aime la façon dont tu me baises... Oh mon Dieu... Encule-moi... Plus fort.... Ahhhhhhh

Tout le corps de Karen la brûle pendant que son élève la sodomise. La pression dans son cul combinée à l'orgasme qui se construit dans son ventre est presque insupportable. Elle sent une main bouger entre ses jambes et des doigts pénétrer dans sa chatte dégoulinante.

Sur le sol, Carl voit le gode qu'elle utilise pour se faire plaisir. Il l'attrape et le met dans une poche. Les doigts de son autre main continuent à fouiller la chatte gluante jusqu'à ce que le jus de la femme recouvre toute sa main. Carl remplace ses doigts par le gros gode qu'il fourre tout au fond de la chatte. Il introduit ses doigts englués dans la bouche de Karen pour qu'elle savoure sa propre intimité.

La femme a perdu tout contrôle. Entre l'énorme membre qui martèle son cul, le gros gode en plastique complètement fourré dans sa chatte, sa tête est remplie de tourbillons de couleurs. Elle suce avidement les doigts coincés dans sa bouche. Sa propre main trouve son clitoris et le frotte durement.

- Baise-moi... Baise-moi... Oh merde... Oh mon Dieu... Je vais jouir... Oui... OUI... OUIIIIIIII... AHHHHH...

Le corps entier de Karen se raidit puis se tord et tremble de façon incontrôlable alors qu'une puissante explosion secoue son âme. Ses cris transpercent l'air. Du jus jaillit de sa chatte et inonde le sol. Alors qu'elle pense qu'elle va pouvoir reprendre le contrôle de son corps, celui-ci tremble encore sous une autre série de spasmes.

- Oh putain Mme O'KEEFE, je ne peux plus me retenir. Ohhhh... Je vais jouir dans votre cul... OHHHH... ARGHHHHHH...

Karen est encore sous le coup de son orgasme quand elle sent le foutre chaud de Carl remplir ses intestins. Il continue de se vider jusqu'au moment où il s'effondre sur son dos avec sa queue toujours enfouie dans son cul. Karen est à peine consciente. Elle respire fort, la poitrine écrasée sur le carrelage dur. Le gode est toujours enterré dans sa chatte dégoulinante.

Carl finit par se retirer de son trou du cul rempli de sperme. Il regarde la petite rivière de foutre baver et couler sur la chatte de sa professeure. Il est habillé et se tient au-dessus d'elle quand elle remue et revient à la vie. Le gros gode tombe de sa chatte quand elle roule sur le sol de la salle de bain. Elle lève son regard vitreux vers lui. Sa chatte est encore frémissante à la suite de son orgasme.

- Ne vous inquiétez pas Mme O'KEEFE, je ne vous dérangerai plus. Vous m'avez déçu avec votre discours sur le viol et la police. Je suis sûr que votre fille sera beaucoup plus reconnaissante Mme O'KEEFE.

Karen rampe sous la douche qui coule encore. Elle s'assoit par terre contre le mur. Son cul est douloureux et le goût du sperme de Carl persiste dans sa bouche. Les mots du garçon résonnent dans son esprit. Soudain, elle est paniquée à l'idée de ce monstre avec sa fille. Katie ne sera sûrement pas intéressée par lui non?

Karen met ses mains sur son visage et commence à pleurer.


A suivre...