Susan et les bidouilleurs de PC - récit érotique - soumission - hu
miliation - dégradation - contrainte
Le chantage se poursuit.Les jours suivants, Sue Hutchinson tenta de toutes ses forces d'ignorer les derniers événements. Une paire de jours plus tard elle commença à recevoir de courts messages. Le premier s'enquérait :
- Es-tu prête à te faire baiser à nouveau Sue ?
Elle l'effaça rapidement. Plus tard dans la journée un nouveau message lui parvint :
- Je veux que ma petite suceuse de bite me fasse une pipe !
Elle éteignit son portable pour le reste de la journée, mais alors qu'elle le commutait sur le lendemain il sonna pour lui notifier la réception d'un nouveau message.
- Hey petite salope, on veut te baiser à nouveau... Réponds nous !
Elle ne répondit pas mais son corps se mit fourmiller d'émoi. Bien qu'elle ne veuille pas l'admettre elle fut très désappointée de ne pas recevoir de nouveaux messages les jours suivants.
Samedi elle sortit faire des courses avec sa fille et son mari, elle était fin prête à vivre un bon petit après-midi de farniente. Sa fille partit visiter des amies, son mari s'était programmé un après-midi télé. Après le repas il grommela quelque chose au sujet de son ordinateur dont il voulait amplifier les performances mais n'en dit pas plus. La sonnette tinta alors il se leva en disant :
- Ce doit être eux !
- Qui ?
- Les p'tits jeunes qui vont upgrader mon PC.
Elle ne s'y intéressa pas jusqu'à l'instant où ils apparurent dans le salon accompagnant son mari.
- Oh mon Dieu... Ce n'est pas vrai ! Soupira-t-elle éperdue.
- Sue, je te présente Ray et Gary, ils viennent upgrader mon PC.
- Enchanté de vous rencontrer. Grimaça Ray.
- Oh... Oui... euh... Bonjour... Balbutia-t-elle affolée par leur présence.
- Suivez-moi, je vais vous montrer où se trouve la bête. Proposa son mari.
Ils le suivirent à l'étage. Sue était paniquée, ils pouvaient se vanter, elle ne savait pas quoi faire pour diminuer le danger. Son mari revint et ralluma la télé.
- Que leur as-tu demandé ? Ils paraissent bien jeunes. Commenta-t-elle affolée.
- Effectivement, mais Dave me les a chaudement recommandés, ce sont des amis de son fils Ben. Répliqua-t-il calmement.
- C'est bon. Dit-elle le cœur battant la chamade.
- Je vais préparer de la boisson, je monte leur demander s'ils en veulent un verre.
- Ok.
Elle grimpa à l'étage, pénétra précipitamment dans la petite chambre et referma la porte dans son dos.
- Par l'enfer ! Que venez-vous faire chez moi ? Demanda-t-elle aussi doucement que fermement.
- On vient upgrader le PC de ton mari. Lui répondit sarcastiquement Gary.
- A moins que tu ne veuilles autre chose ! Ajouta Ray en se levant et s'approchant d'elle.
- Non... Je suis une femme mariée et mon mari est au rez-de-chaussée.
Ray se tenait entre elle et la porte, Gary était assis sur le lit face à elle. Il lui empoigna les fesses, elle repoussa violemment sa main.
- Ça suffit ! Grogna-t-elle furieuse.
Il lui empoigna à nouveau les fesses et saisit son poignet lorsqu'elle voulut le repousser à nouveau. Il se serra contre elle et murmura à son oreille :
- Tu t'es comportée comme une vilaine petite file Susan, tu le sais bien !
- Qu'ai-je donc fait de mal ? Balbutia-t-elle effarée.
- Tu n'as pas répondu à nos messages.
- Vous n'avez pas à m'envoyer des messages aussi grossiers.
Ray lui pelotait les fesses au travers de son jean.
- J'avais presque oublié à quel point ton cul est magnifique, Sue. Commenta Ray affairé.
- Les nichons ne sont pas mal non plus. Surenchérit Gary en glissant sa main sous son chandail bouffant.
- Non... Arrêtez...Mon mari est en bas ! Grogna-t-elle en cherchant à éviter sa main fouineuse.
Mais il parvint à son but. Ses mamelons répondirent immédiatement aux langoureuses manipulations qu'il leur octroyait.
- Nonnnnnn... Je dois redescendre. Je ne suis venue que pour vous demander si voulez boire quelque chose. Protesta-t-elle sourdement.
- S'il vous plait, laissez-moi redescendre au rez-de-chaussée.
- Nous te laisserons descendre au bon moment, mais pour l'instant tu n'as pas encore demandé pardon de t'être mal conduite.
- Je suis désolée.
- De quoi ?
- De m'être comportée comme une sale gamine.
- C'est déjà mieux... On va maintenant te poser trois questions, puis tu pourras redescendre voir ton mari.
- C'est d'accord. Accepta-t-elle impatiente de quitter cette chambrette pour rejoindre le rez-de-chaussée.
- Susan, t'es-tu fait baiser depuis notre dernière visite ?
- Non... Murmura-t-elle misérablement.
- Non quoi ?
- Non je ne suis pas fait baiser depuis votre visite.
- Mon Dieu, et as-tu eu recours à ton godemiché ?
Un ange passa.
- Eh Bien ? Reprit Gary titillant ses nibards.
- Euh oui... Je me suis servi de mon vibromasseur.
- Ton quoi ?
- Mon... Mon godemiché.
- Je m'en doutais. Sourit Gary.
Ray s'approcha d'elle et lui susurra fermement dans l'oreille :
- Ecartes tes cuisses !
- Mais…
- Ecartes les ! Reprit-il sur un ton autoritaire.
Elle s'exécuta et ouvrit ses cuisses en grand. Ray se mit à son tour à lui peloter les fesses, lui écartant les cuisses au maximum. Il palpa fermement son entrecuisse.
- Oooooh... Ooooh non... S'il vous... S'il vous plait, ne me touchez pas cet endroit.
Ignorant ses protestations, Ray poursuivit :
- Une question encore, puis tu pourras repartir.
- As-tu sucé des bites depuis notre dernière visite ?
- Non vous savez très bien que... Je veux dire que non je n'ai sucé personne.
- Que voulais tu dire Susan ?
- Rien. Mentit-elle pitoyablement.
- Si tu veux qu'on te laisse redescendre, tu ferais mieux de dire la vérité ma petite chérie. Dit-il secouant brutalement sa chatte au travers de son jean.
- Ahhhhhh... ooooh... Gémit-elle sourdement
- Oh oui... Je vais vous le dire... Je n'ai fait ça qu'avec vous.
- Fait quoi ? Lui demanda Gary.
- Euh... sucé vos bites. Précisa-t-elle effondrée.
- Ainsi, s'enthousiasma Ray, ta bouche nous appartient. T'es notre petite suceuse à nous seuls.
Elle ne répondit pas. Ray posa le doigt sur ses lèvres pulpeuses.
- Suce l ... Suce mon doigt comme s'il s'agissait d'une petite bite.
Elle ouvrit lentement la bouche et Ray glissa son doigt entre ses lèvres.
- Allez suce mon doigt !
Elle ferma les yeux et suça son doigt selon ses ordres alors qu'il le faisait coulisser entre ses lèvres entrouvertes.
- Hey, hey, elle adore vraiment sucer. Se marra Ray.
Gary se posta à ses côtés caressant lentement ses longues jambes couvertes de chair de poule.
- J'aimerai remplacer ton doigt par ma bite maintenant.
- C'est d'accord. Arrête de sucer mon doigt ma chérie. Va nous faire deux thés et remonte nous les, et ne nous fait pas attendre !
Sur ces mots, il extirpa son doigt de sa bouche.
- C'est bien d'accord Susan ? Lui demanda Gary lui claquant gentiment la croupe.
- C'est d'accord. Répondit-elle en se retournant pour sortir de la chambrette.
Elle s'appuya lourdement contre le mur un fois qu'elle eut refermé la porte dans son dos.
« Pourquoi ces deux jeunes bâtards m'amènent-ils à me comporter ainsi ? » réfléchissait-elle. Elle se rajusta attentivement et redescendit les escaliers.
- T'as mis bien longtemps ! L'interrogea distraitement son mari.
- Euuh oui... On a parlé de Ben. Se pressa-t-elle de répliquer.
- Je vais faire du thé ... En veux-tu une tasse ?
- Avec plaisir.
Elle rassembla ses esprits en préparant le thé, chassant de son esprit leurs exigences. Puis elle donna son thé à son mari.
- Merci. Veux-tu que je leur en monte une bonne tasse.
- Oh non .. Ce n'est pas la peine .. Je vais m'en charger. De toute manière je dois remonter à l'étage.
Elle posa les deux mugs sur un plateau avec des petites cuillères et une sucrière. Elle tremblait, mais ce n'était pas de peur tout en grimpant à l'étage. Elle poussa la porte pour l'ouvrir.
- Je pose le plateau ici. Dit elle le déposant sur la table basse.
Ray se redressa souplement, et s'assit au bout du lit, bloquant la sortie.
- Merci Susan. As-t-on le temps de…
- Non je dois redescendre rapidement. Il m'a demandé pourquoi que j'avais été si longue la première fois.
- Que lui as-tu dit ?
- Je lui ai dit que nous avions parlé de Ben.
- T'as eu raison Et tu peux encore te servir de la même excuse.
- Je dois redescendre rapidement. Laissez-moi partir.
- On ne va pas te garder très longtemps.
- Mais... Que voulez-vous encore ? Leur demanda-t-elle grimaçante.
- Nous aimerions déchirer tes vêtements et te baiser comme des bêtes sur le lit.
Elle recula contre le mur.
- Mais... Mais vous ne pouvez pas me faire ça !
- Peut-être pas tout de suite effectivement. Se marra Ray en s'emparant de son poignet.
Il avait dégagé son sein droit qu'il malaxait allégrement.
- Non laissez-moi ! Protesta-t-elle faiblement mais déjà Gary déboutonnait la ceinture de son jean.
- Non je vous en prie... Il pourrait nous entendre...
- C'est pourquoi tu ferais mieux de te calmer et de coopérer. Suggéra Ray repoussant son soutien-gorge au-dessus de ses nibards.
Gary repoussa sa main qui cherchait à l'empêcher de déboutonner son pantalon, il descendit alors la fermeture éclair et enfouit sa main dans sa petite culotte. Elle avait cessé de se défendre se contentant de larmoyer :
- Je vous en prie...
Alors que déjà un doigt de Gary parcourait sa fentine glaireuse.
- Ecarte les cuisses ! Lui intima-t-il.
Elle obéit servilement ouvrant son compas en grand. Cela lui facilitait l'accès à sa chatoune et il en profita immédiatement. Il manipulait maintenant habilement son clito gorgé de sang. Avec un soupir elle se laissa aller contre le mur, chancelant sur ses jambes.
- T'aimes bien que je parcoure ta chatte du doigt. N'est-ce pas ma grosse cochonne ?
- S'il vous plait ... ohhhhhh...
- Est-elle mouillée ? S'informa Ray.
- Rends t'en compte par toi-même... Pendant que je cherche son petit cadeau.
- Un cadeau... Quel cadeau ?
- Tu vas pas tarder à le savoir ma chérie ! Répliqua Gary en s'asseyant sur le lit face à elle.
Il fouillait dans son sac. Il voyait distinctement la main de Ray s'agiter dans sa petite culotte.
- Il faut que je descende maintenant. Dit-elle en cherchant à forcer le passage.
- Pas tant que tu n'auras pas ton cadeau ! L'avisa Ray en la retenant de la main tout en lui titillant lascivement le clito.
Gary sortit un petit objet argenté de son sac, c'était un petit cylindre d'environ 10 cm de long.
- Le voilà. Dit-il, le tenant entre ses doigts.
- Sur internet ils appellent cet objet le cylindre magique. Se marra Ray.
- Et nous sommes sûrs que tu vas l'adorer ! Ajouta Gary hilare.
Ray avait cessé ses caresses.
- Je dois redescendre maintenant ! Reprit-elle affolée.
- On sait... Cela ne prendra qu'une minute.
Gary lui descendit son jean sur les genoux et la tira en arrière. Ray agrippa ses mains.
- Je les laisserai là où elles se trouvent si j'étais toi... Sinon on devra te punir !
- Mais... Chercha-t-elle en vain à protester.
- Y a pas de mais qui compte. Coopère comme une gentille petite fille et tu seras bientôt redescendue. Lui intima Gary en descendant sa petite culotte à mi cuisses et en lui caressant son chaton velu.
- Ecarte bien tes cuisses !
Elle se décida à obtempérer pour éviter de voir son jean et sa petite culotte descendre sur ses chevilles. Comme Gary écartait ses babines soyeuses, elle se demandait bien ce qu'ils comptaient lui faire.
- Vous n'allez pas... Commença-t-elle alors que Gary approchait le petit cylindre de son entrecuisse.
- On ne va pas quoi ? Explosèrent de rire ses tourmenteurs.
- Vous n'allez tout de même pas me fourrer ça dans le vagin. Soupira-t-elle inquiète.
Ray amplifia sa prise sur ses bras alors que Gary lui insérait le petit objet dans la chatte. Sue retint sa respiration en sentant le froid objet se loger dans son fourreau. Il remonta alors sa petite culotte et la caressa au travers du fond de la petite culotte.
- Et maintenant on teste le joujou. Dit-il sortant une petite télécommande de son sac.
- Et en plus on peut doser les effets.
Il dirigea le gadget sur elle et pressa le bouton. Le cylindre se mit à vibrer doucement. Elle avala sa salive et respira profondément à plusieurs reprises.
- Tu le sens vibrer ? S'enquit Ray en lui lâchant les mains.
- Oh oui... Opina-t-elle se mordant les lèvres.
- Et ce n'est que sur doucement. Ajouta Gary
- Essayons la vitesse moyenne. Dit-il pressant à nouveau le bouton de contrôle.
- Ohhhhh... Souffla-t-elle alors qu'elle se penchait en arrière pour s'appuyer contre le mur, son jean glissant sur ses genoux.
Elle posa les mains entre ses cuisses.
- Ohhh... S'il vous plait... arrêtez le ! Les supplia-t-elle.
Gary pressa le bouton.
- Merci. Puis-je aller rejoindre mon mari maintenant ?
- Bien sûr, allez vas-y ! Dit Ray, se moquant ouvertement d'elle en lui remontant son jean sur les hanches.
- Eh mais que faites-vous ?
- Tu le gardes dans ton vagin ! Lui dit fermement Ray à l'oreille.
- Non... Pas ça... Je ne peux pas descendre avec ça dans la chatte.
Ray pressa à nouveau le bouton de contrôle alors que Gary lui saisissait les bras.
- Oh non... S'il vous plait… Pleurnicha-t-elle misérablement.
Gay remit le bouton sur pause. Ray lui chuchota à l'oreille.
- Je vais lâcher tes bras. Lui dit-il en parlant lentement
- Et tu vas boucler la ceinture de ton jean et descendre au rez-de-chaussée.
Il n'attendait pas de réponse et la relâcha séance tenante. Elle remonta son jean puis la fermeture et boucla sa ceinture.
- T'es une bonne fille... Maintenant tu sais pourquoi on est là... On a pris le contrôle de ton corps.
- Oui…
- Si on le met en route, tu sauras qu'on besoin de tes services à l'étage.
- Si tu nous fais attendre trop longtemps, on changera de vitesse.
- Mais... Chercha-t-elle à argumenter.
Il remit le vibreur en route.
- Ooh... Oooh... c'est d'accord... S’empressa-t-elle d'accepter en se dirigeant vers la porte.
- Une chose encore Susan...
- Oui...
- Ne tente pas de l'ôter de ta chatte ! Lui ordonna-t-il alors qu'elle quittait la chambrette.
Elle s'assit nerveusement sur le canapé. Vingt minutes plus tard le godemiché se mit à vibrer doucement dans sa chatte. Elle serra les cuisses alors que sa respiration s'accélérait.
- Un problème ? Lui demanda son mari.
- Euh... Non... Tout va bien. Répondit-elle en réprimant un frisson.
- Je pense qu'ils ont dû terminer de boire leur thés je monte chercher leurs tasses pour les laver.
- C'est d'accord. Répliqua-t-il totalement détaché.
Elle frémit en sentant le vibreur redémarrer alors qu'elle entamait la montée des escaliers. Elle pénétra dans la chambrette et vit qu'ils lui souriaient de toutes leurs dents.
- As-tu bien reçu notre message ?
- S'il vous plait arrêtez.... Mon époux risque de s'apercevoir de quelque chose.
- T'as de la chance que nous ayons un plan. La coupa Gary hilare.
- Un plan... Quel plan ? Que voulez-vous dire ? Interrogea-t-elle nerveuse.
- On doit changer certaines pièces dans l'ordinateur, et on va envoyer ton époux nous les chercher à la boutique de notre copain. Ll'informa Gary calmement.
- Et pendant qu'il fera ce petit aller-retour, on pourra vraiment tester ton cadeau.
- Non... Je ne veux pas... ce serait... Ohhhhhh…
Ray venait d'appuyer sur le bouton de force intermédiaire, et l'arrêta immédiatement.
- Descends. On te rejoint dans deux minutes en bas.
Ce n'est qu'arrivée en bas qu'elle réalisa qu'elle avait oublié les tasses. Presque immédiatement Ray survint et expliqua à son mari ce dont il avait besoin. Il était un peu récalcitrant, il aurait voulu regarder la fin des sports à la télé
- Susan ne pourrait-elle pas y aller ?
- C'est vrai je pourrai y aller. S’empressa-t-elle d'approuver entrevoyant une échappatoire.
Ray appuya sur le bouton doucement. Elle se mordit la lèvre. Ray la regardait droit dans les yeux, doigt rivé à la télécommande, elle savait ce que cela signifiait.
- En y repensant, je n'y connais rien à l'informatique et toutes ces choses, si tu veux je peux t'enregistrer la fin de ton émission.
Avec un peu plus de persuasion ils finirent par le décider à s'y rendre lui-même. Gary lui fit un petit plan et une note pour son copain.
- M’accompagnez-vous ?
- Non... On va en profiter pour avancer.
Et sur ces mots, il les quitta.
- T'es une gentille fille. La félicita Ray.
- J'ai pensé un instant que tu allais nous laisser tomber, mais tu n'as pas pu résister à l'envie de tester de plus prêt ton cadeau, n'est-ce pas ?
Il sourit ironiquement et sans attendre de réponse, il poursuivit :
- Installe l'enregistrement de la vidéo pour ton mari, et rejoins-nous immédiatement à l'étage où tu testeras la pleine force. Sur ce, il remonta à l'étage.
- Ca marche comme sur des roulettes. Confia-t-il en souriant à Gary.
- C'est excellent, Dave nous donnera un coup de fil lors qu'il sortira du magasin, cela devrait nous laisser une heure de répit.
Ils l'entendirent monter les escaliers.
- Les gars…
Elle se tenait face à eux, mains sur les hanches, l'air déterminé.
- Je suppose que vous pensez avoir agi habilement, mais vous allez arrêter tout ça, je vais enlever cette chose de mon sexe.
Elle essayait de les impressionner.
- Je suis une femme mariée et j'aime mon mari, donc tout cela doit cesser sur le champ !
Les deux copains se contentèrent de sourire.
- Pas de problème. Lui répondit Gary.
- Bien que je suppose que tu ne veuilles pas vraiment que cela cesse.
- Si, c'est juste ce que je veux !
- Pourtant on sait tous très bien que ton mari ne satisfait pas tes appétits de lucre. Lui dit Ray en s'approchant d'elle.
- Tu as besoin qu'on te caresse les nibards, qu'on suce tes tétons, qu'on titille ton clito, ta chatte a besoin de se faire ramoner et ta bouche de sucer des bites. Poursuivit Ray impavide.
- De plus une queue ne te suffit pas, n'est-ce pas vrai ma petite Susan ?
Elle ne répondit pas, elle cherchait à masquer son émoi et à rester ferme sur ses positions.
- Je le répète... Je veux que tout cela cesse sur le champ !
Sur ces mots, elle se retourna vers la porte, se heurtant à Ray qui se trouvait sur son chemin.
- Laissez-moi passer ! Ordonna-t-elle d'une voix sèche.
Pour toute réponse, Ray sortit sa queue de son pantalon.
- Sauras-tu te passer de ceci ?
- Et de ça ! Ajouta Gary empoignant à son tour sa bite à pleine main.
- Et maintenant à genoux, et suce nos bites. Lui intima Gary autoritairement.
- Et si t'es gentille, on se contentera de te bouffer la chatte ! Ajouta Ray.
Elle ne put s'empêcher de soupirer, elle savait que déjà sa résistance faiblissait.
Elle tenta un dernier refus :
- S'il vous plait... Je vous en prie, laissez-moi tranquille, laissez-moi redescendre au rez-de-chaussée. Dit-elle sur un ton peu convaincant.
Les jeunes gens prenaient plaisir à ce petit jeu.
- C'est d'accord. Avança Ray.
- Si c'est ce que tu veux vraiment, mais tu dois savoir que si tu descends, il n'y aura pas de retour.
- On en aura définitivement fini avec toi. Mais, pour t'aider à te déterminer, regarde bien ma grosse bite Susan.
- Regarde ! Lui intima-t-il d'une voix plus rude.
Elle avait les yeux rivés sur sa bite en semi érection.
- Veux-tu la toucher ?
- Non... Non je ne veux pas... Répondit elle alors qu'elle en mourait d'envie.
- C'est bon Susan.
Ray s'approcha d'elle insidieusement pour frotter sa queue le long de sa jambe, alors qu'à son tour Gary sortait sa queue pour la lui exposer.
- On va sa rasseoir sur le lit, tu peux nous rejoindre et tu sais très bien qu'au fond de ton âme, c'est ce que tu veux faire. Ou tu peux sortir de la chambre. A toi de choisir !
- Si tu passes la porte, tu pourras te débarrasser du vibreur, mais si tu te veux te comporter en gentille fille, enlève ton pantalon.
Ils s'assirent sur le lit et refermèrent leurs fermetures éclairs. Susan se tenait immobile, indécise, son esprit lui disait de partir, mais son corps lui disait de rester. Elle empoigna le bouton de porte. Elle espérait qu'il la force à rester avec eux, mais ils ne pipaient mots, alors qu'elle tirait la porte sur elle. Ils se marraient en constatant son évidente irrésolution. Elle se tourna vers eux et leur dit d'une voix tremblante :
- C'est bon... Mais c'est la dernière fois... On arrêtera ensuite...
Les deux gars sourirent largement, leur petit jeu s'avérait payant, elle s'avouait totalement sous contrôle.
- Bien, ferme la porte et approche-toi, on a perdu assez de temps comme ça.
Elle obéit et se posta à côté du lit. Gary tendit la main et empoigna son entrecuisse
- C'est ce que tu veux, n'est-ce pas ?
Elle ne répondit pas.
- N'est-ce pas ? Insista-t-il lourdement.
- Oui... Soupira-t-elle faiblement.
- Dis-moi ce tu veux exactement Ajouta-t-il lui pelotant rudement l'entrecuisse.
- Si tu ne me dis pas clairement ce que tu veux, tu peux partir.
- Je... Je veux... Je veux vos bites !
- C'est bien mieux comme ça. Et maintenant enlève moi tout ça !
Elle s'agenouilla, déboucla sa ceinture, descendit la fermeture éclair de sa braguette et sortit sa grosse bite tendue de son caleçon.
- Tu veux me sucer, si je comprends bien.
- Oh oui...
- Alors demande le moi !
- Je veux sucer ta grosse bite.
- Bien sur ma petite salope, allez vas-y, suce-moi !
Elle l'emboucha séance tenante et se mit à léchouiller et à sucer la bite de Gary. Ray s'agenouilla à son coté et tendit la main pour s'amuser avec ses nibards, il glissa tout de suite sa main sous son tee-shirt. Il la tira par les cheveux et lui murmura à l'oreille :
- A partir de cet instant on t'appellera Susie, ce sera ton nom de salope. Quant à arrêter ensuite, on cessera de jouer avec tes charmes et ton cul quand nous en déciderons. Tu as eu ta chance. Mais tu as préféré devenir notre petite pute. Tout cela parce que tu es sexuellement frustrée. Et maintenant lève les bras que je te débarrasse ton tee-shirt.
Elle s'empressa de lever les bras, et il la dépouilla prestement de son tee-shirt. Elle reprit les cajoleries de la bite de Gary tandis que Ray lui relevait son soutien-gorge.
- N'aurais-tu pas quelques soutien-gorge s'ouvrant sur le devant ?
- Nommph. Souffla-t-elle brièvement.
- Tu vas en acheter dès demain, je veux accéder facilement à tes nichons la prochaine fois. Je veux que tu portes dorénavant des soutien-gorge à ouverture faciale. C'est bien compris ?
Elle ne put que répondre :
- Mmmmmmmmmm...
Sa respiration se faisait lourde, difficile. L'action conjointe du vibromasseur enfoui dans son intimité et des doigts de Ray lui triturant les mamelons l'emmenait tout droit à l'orgasme. Ray le remarqua et pressa le bouton sur arrêt, Susan protesta mollement.
- Je crois qu'elle était sur le point de jouir. Dit-il à son copain.
- Il va falloir faire un peu plus d'effort pour jouir aujourd'hui petite Susie. Lui murmura-t-il à l'oreille.
- Installons la sur le lit !
Ils se relevèrent d'un même mouvement et elle s'allongea sur le dos. Gary s'empressa de la débarrasser de son soutien-gorge. Ils s'agenouillèrent à ses côtés.
- Montre nous si tu saurais sucer deux bites en même temps !
Et ils lui plaquèrent leurs deux bites sur les lèvres.
- Ouvre largement la bouche ! Lui intima Ray.
Ils parvinrent à loger leurs deux glands entre ses lèvres. Gary lui releva la tête alors qu'elle les suçait tous deux
- Bordel. Commenta Gary, je n'aurais jamais cru qu'elle y parvienne. Quelle bonne petite suceuse !
Quelques minutes plus tard, ils sortirent de sa bouche lui arrachant un grognement d'insatisfaction. Gary entreprit alors de lui triturer les nibards alors que Ray descendait plus bas. Elle n'opposa pas la moindre résistance lorsqu'il lui écarta largement les cuisses lui caressant rudement la face interne des cuisses. Puis il lui empoigna rudement le sexe, lui arrachant un couinement de plaisir. Il répéta son geste plusieurs fois. Elle commença à se cambrer pour tendre le ventre vers la main dispensatrice de son plaisir. Il dégrafa son jean, déboutonna la ceinture et glissa ses mains dans sa petite culotte et extraya le vibromasseur de sa chatte. La voyant aussi mouillée, il commenta avec un sourire :
- Ton petit cadeau a l'air de te faire de l'effet, on s'en servira encore.
Il lui ôta son jean. Elle leva les fesses pour lui faciliter la tâche. Elle ne portait plus que ses socquettes et une petite culotte bleu pâle. Déjà Ray tendait la main pour l'enlever. La regardant droit dans les yeux, il intima :
- Quand tu iras t'acheter un soutien-gorge s'ouvrant sur le devant, achète donc des culottes sexy.
Et saisissant l'élastique de sa culotte il lui dénuda le ventre.
- C'est le type même de culotte qu'on porte avec son mari. Pour nous on veut que tu t'achètes des parures plus excitantes.
Sur ces mots il attrapa une paire de ciseaux dans sa boite à outils et il découpa sa culotte de la jambe droite à la ceinture.
- Et une culotte à remplacer. Une !
La main de Gary s'aventurait maintenant dans son entrejambe, il l'ouvrit encore plus se pencha et parcourut sa fente détrempée de la pointe de la langue.
- Ohhhhhhhhhh... Soupira-t-elle enivrée par la caresse.
- Veux-tu que je bouffe la chatte Susie ?
- Ooooooh... Oui !
- Hey mec veux-tu lui brouter le gazon si elle te le demande gentiment ?
Mordillant son clito, il répondit la bouche pleine :
- Bien sûr mais elle devra me le demander très gentiment.
Ray sourit de toutes ses dents à la belle, elle savait ce qu'il voulait.
- S'il vous plait... Léchez mon... minet. Les implora-t-elle doucement.
Gary n'eut besoin de l'entendre le lui demander deux fois. Comme il ensevelissait son visage entre ses cuisses Ray pointa son braquemart sur ses lèvres qu'elle ouvrit docilement. Il se logea dans sa bouche et elle entama une nouvelle pipe. Il devait lui maintenir le visage en place, tant elle frémissait sous les coups de langue de Gary qui la butinait. Après quelques minutes de ce traitement, elle s'inclina dos sur le lit, perdant la bite de ray qui lui emplissait la bouche, submergée par un orgasme dévastateur. Gary se redressa satisfait d'avoir atteint son but, Ray rengaina sa bite dans sa bouche.
- Allez Susie, finis-moi !
Deux minutes plus tard, il se vidait les couilles dans son accueillante bouche.
- Aaaaaah... Oh oui Susie... Avale tout ! Râla-t-il terminant de se vider dans sa gorge.
Ils laissèrent passer quelques instants, se contentant de parcourir son corps de caresses habiles, puis Gary décida qu'il était temps qu'elle le suce à son tour.
- C'est mon tour. Dit-il logeant sa bite en semi érection entre ses lèvres.
Mais après la dose de foutre qu'elle venait d'avaler, elle était un peu récalcitrante. Malgré tout, elle empoigna sa hampe et l'installa dans sa bouche.
- Sers toi de ta langue pour me faire bander. Lui intima-t-il doucement.
Comme la bite grossissait entre ses lèvres, elle entreprit une furieuse fellation.
- Bordel... Elle a des lèvres de soie ! S'enthousiasmait-il.
Le mobile de Ray sonna à cet instant.
- Salut... C'est d'accord Dave... Merci... De combien de temps disposons nous encore ? C'est bon... C'est ce qu'on va faire... Je n'ai jamais été aussi comblé et Gary semble vraiment péter de joie. Dit-il en explosant de rire.
- C'est d'accord mon gars, on te la prêtera... C'est sur... je sais bien que c'est ce que tu veux. A la prochaine !
- C'était Dave... Il dit que le cocu va bientôt quitter sa boutique. Il sera là d'ici 25 minutes.
Susan paniqua à ces mots, elle repoussa Gary.
- Je dois y aller... Proféra-t-elle se relevant.
- Pas tant que tu n'auras mas fini ta pipe ! Lui imposa-t-il durement.
- Mais je… Muuuuuuuph...
Gary venait de reloger sa pine entre ses lèvres.
- Concentre toi sur ce que tu fais !
Et comme elle se remettait à le sucer, il ajouta :
- Fais quelque chose pour la calmer Ray... On dispose encore de pas mal de temps.
Ray empoigna le vibreur et appuya sur le bouton lent.
- Cela devrait la calmer. Grogna-t-il en frottant lentement son clito gorgé de sang.
Elle se mit de nouveau à se tortiller tout en suçant avec ardeur la bite de Gary.
- Ah oui... Elle en redemande. S'esclaffa Ray hilare.
- T'as vu comme elle se met à sucer quand on la caresse avec le vibreur. Commenta-t-il jubilant.
Ce n'était pas faux. Une paire de minutes plus tard elle savourait avec avidité sa jouissance. Ray jouait avec son clito l'amenant aux frontières d'un nouvel orgasme. Elle était étendue sur le dos, la respiration courte, son adorable buste se gonflant et se vidant au rythme de ses halètements.
- S'il te plait... Fais-moi jouir... Je t'en prie… Balbutiait-elle éperdue.
- J'ai besoin... j'en ai tant envie... Je t'en prie...
- Je vais te faire jouir très bientôt, mais avant nous avons besoin d'éclaircir quelques points. Dit-il en lui caressant les nibards.
Puis ses doigts coururent sur ses lèvres.
- A qui appartient cette bouche Susie ?
- Oooooh... A vous !
Il reprit ses nibards en main.
- A qui appartiennent tes nibards et tes tétons ? Lui dit-il en giflant légèrement d'une petite chiquenaude son téton turgescent.
- A vouuuuusssss...
Sa main rampa sur son ventre et s'immisça entre ses cuisses empoignant son pubis.
- A qui appartient ta chatte Susie ?
- Oooooh... Aussi à vous... Mais je vous en prie... Faites-moi jouir !
Ignorant sa plainte, il poursuivit :
- Ton corps nous appartient Susie, et parce que tu n'as pas été gentille, on ne te baisera pas aujourd'hui, mais on te sautera la prochaine fois. Si t'es gentille quand tu en auras une irrésistible envie, nous te sauterons à nouveau cela te va-t-il ainsi ?
- Oh oui ! Je vous en prie...
- Mais d'ici là, Susie, on ne veut pas que tu baises avec ton mari, il ne doit pas mettre les doigts dans ta chatte, c'est notre petit jardin privé dorénavant... Tu as bien compris ?
- Oui... Oh, oui... Mon corps vous appartient désormais... Je vous obéirai... Mais faites-moi jouir je vous en prie...
- C'est bon, mais rappelle-toi, demain tu iras acheter un nouveau soutien-gorge et des culottes plus sexy.
- Je le ferai.
- T'es une bonne fille, allez Ray fais la jouir !
Il tritura alors son clito entre pouce et index, la doigtant férocement du majeur fourré dans sa chatte. En quelques secondes elle fut terrassée par un orgasme fulgurant.
Elle eut juste le temps de se changer dans sa chambre avant le retour de son mari. Ray et Gary terminèrent la remise à niveau de l'ordinateur en un rien de temps et retournèrent chez eux.
A suivre…
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