La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte
Changement de vie au travail pour la belle-mère.Le lendemain matin, lorsque Martin fut parti, Christine entra dans ma chambre, s'assit sur mon lit et me dit :
- Je n'arrive pas à réaliser ce que vous avez fait de moi la nuit dernière. Je pense que nous devrions arrêter. C'était super mais je n'imaginais pas que ça irait aussi loin.
Elle rechercha mes yeux, essayant de retrouver une certaine autorité sur moi.
Ignorant son discours, je lui répondis en lui faisant comprendre qu'elle était à peine digne d'une réponse :
- Dis Christine! Au lieu de dire des conneries pourquoi ne pas utiliser ta bouche d'une façon plus adaptée?
Je la regardai froidement. De nouveau elle commença à me supplier :
- Nous devrions arrêter.
Je lui mis un doigt sur la bouche :
- Je ne vais le répéter qu'une seule fois encore. Et si tu n'obéis pas, j'appelle ton mari pour lui raconter les aventures de sa petite femme. METS TES LEVRES AUTOUR DE MA BITE COMME UNE BONNE SALOPE.
Je la regardai fixement tout en tirant les couvertures, dévoilant mon membre non lavé.
Elle me regarda 20 secondes, le temps que sa volonté faiblisse. Puis elle se tourna sur le lit de telle façon que sa tête soit près de ma bite, son cul nul près de mon épaule gauche.
Je me penchai et soulevai sa jambe droite sur mon corps afin que nous soyons en position de 69. Mais je n'avais pas l'intention de lécher sa chatte. Je devais la punir.
- Je ne sens pas tes lèvres salope!
Je le dis d'un ton très impatient. Aussitôt je sentis ses doigts fins saisir ma verge afin de la guider avec douceur dans sa bouche humide.
Je l'ai laissé me sucer pendant une ou deux minutes. Ma bite grossissait. Elle pensait que j'étais content.
Mais, je levai ma main droite afin de l'abattre brutalement sur sa fesse droite.
Elle cria en crachant mon sexe :
- AAAAAIIIIIIIEEEEEE!
- SUCE MA BITE SALOPE! criai-je aussi.
Elle enfourna de nouveau mon membre. CLAC. Elle cria et cracha ma bite de nouveau.
- AAAAAIIIIIIEEEEEEE!
Je hurlai de nouveau :
- MA QUEUE DANS TA BOUCHE SALOPE!
Dès qu'elle l'engouffra de nouveau, je giflai ses fesses encore et encore. Cette fois ci elle cria mais laissa mon sexe dans sa bouche. Je pensai qu'un peu de gentillesse serait bienvenu maintenant :
- C'est bien ma pute, tu apprends!
Puis, je frappai encore trois fois rapidement avec ma paume. Ses gémissements étaient étouffés. Le côté droit de son derrière était devenue rouge vif.
En écartant ses fesses, exposant ainsi son anus bien utilisé je lui dis :
- Ecoute sale pute! Je vais donner une fessée à ton cul et ta chatte. Ce sera ta punition pour m'avoir demandé d'arrêter.
Je frappai sa chatte avec ma main. Elle poussa un cri strident mais garda ma bite entre ses lèvres.
Je continuai à claquer alternativement ses fesses, sa chatte et son anus tout en lui expliquant son rôle dans notre relation :
- Maintenant salope, j'arrêterai de te fesser lorsque tu m'auras fait jouir et que tu auras tout avalé. Et écoute moi bien.
Je giflai son sexe.
- A partir de maintenant Christine, tu es ma pute soumise et tu me traiteras comme ton maître. J'ai beaucoup de fantasmes à assouvir et en aucun cas tu ne dois refuser.
Je sentis que j'allai éjaculer. Je frappai sa fesse encore une fois avant de gicler au fond de sa gorge.
Je la poussai sur le côté. Ses mains se portèrent tout de suite à sa chatte et son cul endoloris. Des larmes coulaient sur ses joues. Je me mis à genoux devant son visage puis je commençai à la frapper avec ma bite tout en continuant de parler :
- Maintenant je veux que tu ailles chercher ton agenda de travail et que tu me l'apportes. Dépêche-toi!
J'arrêtai de la gifler.
Quand elle revint et me tendit son carnet elle demanda :
- Que..... Que voulez-vous faire .
Ignorant sa question, je dis :
- A genoux et suce moi encore!
Je poussai mon gland sur ses lèvres jusqu'à ce qu'elle ouvre la bouche. Une fois qu'elle fut occupée à faire ce qu'elle faisait de mieux, j'ouvris son agenda à la page des contacts. Son carnet était très bien tenu et classé. Je trouvai une page où il était indiqué « mon service ». En dessous, il y avait une liste de six noms masculins et trois noms féminins. Je commençai à lire à haute voix les noms d'hommes :
- Bruno TANNIER
Ses yeux se sont élargis mais elle continua sa fellation.
- Jean DEDRE, Nicolas MOUTON, Christian VEILLON, Thierry DUFRENE et Marc DELAIN
Je laissai passer un moment afin qu'elle se pose des questions tout en me suçant.
Enfin la regardant, je lui demandai :
- Marc? C'est le collaborateur que tu as appelé l'autre jour pour qu'il te remplace lors de ton retard?
Ses yeux suppliants, elle marmonna!
- Mummph mummmph
- Vas me chercher mon portable et remets toi au boulot!
Elle fut de retour rapidement, reprenant ma bite dans sa bouche. Je composai le numéro de Marc trouvé sur l'agenda et j'attendis trois sonneries avant qu'il ne décroche. Je ne savais pas trop ce que j'allais dire donc j'improvisai :
- Bonjour! c'est bien Marc au téléphone?
Il répondit, un peu perplexe de recevoir un appel durant le week-end :
- Oui. Je vous écoute.
- Vous travaillez bien avec Christine?
- Oui. Qui êtes-vous exactement?
Je regardai Christine dont les grands yeux bruns étaient fixés sur moi. Elle me suçait en pleurant, complètement sous mon contrôle. J'avais obtenu toute son attention.
- Je suis son gendre. Elle m'a demandé de vous appeler.
Je n'étais pas trop sûr de moi mais je voulais continuer à humilier Christine.
- Elle vous doit une faveur pour le service que vous lui avez rendu l'autre jour n'est-ce pas?
- Oui c'est vrai. Et elle vous a demandé de m'appeler?
Je me lançai :
- Elle vous aurait bien appelé elle-même mais elle est occupée à me sucer la queue pour le moment.
Les yeux de ma belle-mère étaient remplis de larmes de honte. Marc répondit :
- Ohhh.... Je vois..... et ça me concerne en quoi?
Il n'avait pas raccroché. Il était donc assez intrigué pour continuer le dialogue :
- Elle était en retard l'autre matin car elle voulait me faire une fellation et elle voulait que je la baise avant d'aller travailler.
- La chienne!
Ce fut tout ce qu'il dit sans raccrocher. J'ajoutai :
- Elle reconnaît qu'elle n'aurait pas dû se reposer sur vous alors qu'elle était en retard. Donc elle veut vous remercier.
- J'écoute. Dit-il.
- Elle vous rencontrera lundi matin sur le parking près de votre travail une demi-heure avant l'embauche. Nous serons dans une Mondéo blanche. Ne soyez pas en retard.
- J'y serai. Dit-il avant de raccrocher.
Je laissai Christine finir de me sucer puis lui fit avaler mon sperme. Les larmes coulaient sur ses joues mais elle connaissait son rôle. La suite allait être intéressante.
Son mari Alain étant rentré de sa livraison, je ne m'occupai plus de Christine le reste du week-end.
Le lundi matin, je l'interceptai sur le chemin de la salle de bain et lui dis :
- Tu te douches et tu descends avec tes vêtements. Assure-toi d'être sexy.
Je descendis et l'attendis au salon. Dix minutes plus tard, enveloppée dans une serviette, les cheveux et le maquillage bien arrangés, elle me rejoignit.
- Donne-moi ton soutien-gorge et mets le reste. Et dépêche-toi sinon nous allons être en retard.
Nous arrivâmes sur le parking quarante-cinq minutes avant que Christine n'embauche. Il était vide et il n'y avait personne aux alentours. Je m'arrêtai dans un coin et j'attendis que Marc arrive.
Christine me dis, la voix tremblante :
- Pourquoi me faites-vous ça? Vous pourrez me baiser tant que vous voulez. Vos amis aussi. Mais pas à mon travail s'il vous plaît!
Je criai :
- Je croyais t'avoir dit comment m'appeler!!!
- Dé.....solé Maître. Murmura-t-elle.
- Je fais ce que je veux de toi!
Ce fut tout ce que je lui dis. Le silence retomba dans la voiture.
Dix minutes plus tard, je décidai de positionner ma belle-mère. Marc allait bientôt arriver.
Je me penchai vers elle et elle se tourna vers moi. Je déboutonnai trois des quatre boutons de son chemisier. Je forçai une main à l'intérieur afin de saisir et tordre son mamelon droit. Je fis de même avec le gauche puis retirai ma main. Ses deux tétons étaient maintenant tout durs et dressés contre le tissu mince de sa chemise. Je lui demandai ensuite d'aller s'asseoir au milieu du siège arrière.
Elle sortit de la voiture pour passer derrière et elle s'assit comme je lui avais demandé.
- Maintenant, mets tes fesses au bord du siège, penche-toi en arrière et écarte les jambes le plus possible.
Elle m'obéit. En écartant ses jambes magnifiques, sa jupe remonta comme je m'y attendais, me laissant une superbe vue sur sa chatte. Je caressai avec un doigt son entrejambe et je pus sentir une légère humidité.
- Tu aimes ça non? Tu mouilles déjà!
- Oui Maître
A ce moment, un crissement de pneus sur le gravier me fit tourner la tête. Une Volvo bleue se gara à côté de moi. Le conducteur hocha la tête et je fis de même. Il sortit de sa voiture et approcha de ma portière. Je baissai la vitre et lui demandai :
- Marc?
- C'est moi. Me répondit-il.
Je lui fis signe de venir s'asseoir sur le siège du passager. Vingt secondes plus tard, il était dans ma voiture. Il paraissait être un bon gars, dans la trentaine. Il avait une alliance et était bien habillé. Il devait bien gagner sa vie. Christine était très bien payée donc ses assistants devaient l'être aussi.
Nous ne nous serrâmes pas la main et nous n'échangeâmes pas de futiles paroles. Je ne voulais pas tourner autour du pot.
- Ma pute assise derrière vous doit une faveur pour l'autre jour.
Il tourna la tête et vit ma belle-mère les jambes écartés, sa poitrine débordant du chemisier avec ses tétons pointés.
- Mince! Christine....
Il ne savait plus que dire. J'ajoutai :
- Voilà ce qui va se passer aujourd'hui Marc. Ma pute va se masturber devant vous jusqu'à ce qu'elle jouisse. Ensuite vous irez travailler normalement tous les deux. D'accord?
Encore sous le choc, il acquiesça :
- Oui. Ok pour moi.
- Et tous les jours de cette semaine, nous nous retrouverons ici. Ok?
Ses yeux quittant pour la première fois la culotte et les seins de Christine, il répondit :
- D'accord, pas de problèmes pour moi.
Je me retournai vers ma belle-mère et lui dis :
- Allez salope! Qu'est-ce que tu attends? tu as une demi-heure pour te donner en spectacle.
En déboutonnant son chemisier afin de laisser sa grosse poitrine retomber, elle murmura :
- Oui Maître.
Marc marmonna :
- Mon Dieu, vos seins sont formidables Christine. Je rêvais de les voir depuis si longtemps.
Il était pétrifié devant la soumission de cette femme qui se mettait nue devant un de ses collaborateurs. Je remarquai un mouvement dans son pantalon.
Christine prit un mamelon dans chaque main afin de les titiller puis elle déplaça sa main vers le morceau de tissu qui couvrait son sexe.
En s'asseyant plus confortablement et en réarrangeant la bosse dans son pantalon Marc demanda :
- Allez-y Christine, montrez-moi votre chatte.
Les doigts de ma belle-mère glissèrent sous l'élastique de sa culotte afin de la tirer et ainsi exposer son intimité à son assistant.
Marc respirait rapidement.
- Oh merde! je n'aurais jamais penser pouvoir voir cette chatte.
Christine leva légèrement son cul afin de pouvoir pousser sa culotte sur ses cuisses. Ensuite sa main revint à son sexe et elle enfonça directement trois doigts dans son vagin humide.
- Aaaaaaahhhhhh
Elle gémit en fermant les yeux et en titillant son mamelon. Ensuite elle commença à pomper son trou.
Je la rappelai à l'ordre :
- Ouvre tes yeux Salope, je veux que tu regardes Marc pendant que tu te fais plaisir.
Elle m'obéit et verrouilla ses yeux sur ceux de son assistant. Même si celui-ci ne pouvait s'empêcher de regarder sa main s'activer.
Je passai les dix prochaines minutes à regarder Christine et son collaborateur. Elle s'humiliait elle-même en fixant son collègue, plongeant ses doigts dans son sexe et gémissant en attendant l'orgasme.
Je vis l'impressionnant renflement dans le pantalon de l'homme assis à côté de moi. J'étais sûr qu'il aurait aimé se soulager mais ce n'était pas le plan d'aujourd'hui.
Pendant quinze minutes, Christine continua son exhibition. Puis je pus voir qu'elle n'était pas loin du but. Sa tête commença à tomber en arrière, ses yeux roulant dans leurs orbites. Dans trois minutes environ, elle allait jouir. Je lui dis en souriant :
- Tu y es presque salope?
Ses halètements et ses gémissements confirmèrent ma déduction.
- Marc? Voyez-vous ses yeux qui roulent?
Il sortit de sa transe, me regarda puis retourna rapidement au spectacle de sa collègue en répondant :
- Oui.
- Voilà le signe que cette pute va jouir.
Marc était subjugué et je ne pouvais lui reprocher. J'étais content de la prestation de ma belle-mère. Elle se pénétrait avec trois doigts de sa main droite, et maintenant elle caressait son clitoris avec sa main gauche. Les lèvres de son sexe étaient gonflées et brillaient de son jus.
Un long gémissement de sa part me sortit de mes pensées.
- Elle va jouir cette chienne. Allez! continue à te masturber jusqu'à ton orgasme!
Marc dit :
- Merde! C'est surréaliste!
- ARRGGGGGGHHHH! OHHHHHH! OUIIIIIIIII!
Christine cria et ferma les jambes alors que sa chatte se serrait sur ses doigts. Un spasme la traversa et ses hanches se soulevèrent du siège.
Je giflai ses cuisses, les écartai et lui ordonnai :
- Laisse tes jambes ouvertes que l'on puisse voir!
- Oh merde! regardez ça! S'exclama Marc.
Du jus sortait de sa chatte et ses doigts coulissaient avec facilité. Luttant pour garder ses yeux ouverts, le corps de Christine se cabra et se tordit pendant environ trente secondes jusqu'à ce que son orgasme se termine.
Je regardai l'horloge de l'auto. Il était 9 heures moins cinq. Je dis :
- Vous avez 5 minutes pour aller au boulot tous les deux.
Christine retira ses doigts trempés de sa chatte, laissant une tache humide sur mon siège.
- Voilà ton soutien-gorge. Habille-toi et vas travailler avec Marc. Je reviendrai te prendre ce soir.
Christine remit sa culotte, arrangea sa jupe. Ensuite elle mit le soutien-gorge. Elle redevenait une respectable femme d'affaire.
- Marc? Ne dites rien à personne et laissez Christine tranquille au travail. Je reviendrai demain matin pour une autre faveur.
Marc sortit de la voiture, rapidement suivi par Christine. Ils montèrent tous les deux dans la Volvo et partirent.
Je démarrai, heureux que la journée commence si bien.
A suivre...
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