lundi 15 avril 2019

Susan et les bidouilleurs de PC Ch.04

Susan et les bidouilleurs de PC - récit érotique - soumission - hu

miliation - dégradation - contrainte

Soumise chez elle alors que son mari n'est pas loin.

Le reste du week-end se déroula normalement, et c'est toute joyeuse qu'elle vit arriver le lundi, et le moment de reprendre son travail au supermarché local. Cela la distrayait de ses pensées moroses.

Le lundi aussi se déroula normalement. Le mardi matin, alors qu'elle se rendait à son boulot, elle jeta un œil sur son portable. Il indiquait qu'elle avait un nouveau message. Il lui avait été envoyé la nuit dernière. Son cœur se mit à battre follement lorsqu'elle reconnut le numéro de Gary sur l'écran.

- Susie as-tu fait les achats qu'on t’a demandé ?

Elle écrasa le message. Elle se mit au travail et comme à d'ordinaire elle ne jeta un œil sur son portable qu'au moment de la pause. Elle avait un nouveau message.

- Si tu as suivi nos instructions tu dois drôlement avoir envie de te faire baiser, non ? Contacte-nous, on va arranger ça !

Paniquée, elle écrasa le bouton d'effacement, avala son café et se rua à l'étage inférieur. Quelques temps plus tard, on l'interpella

- Pourriez-vous vous occuper de nous madame ?

Elle se retourna vivement, reconnaissant la voix qui l'interpellait.

- Hello Susie. Lui sourit ironiquement Ray.

- Par l'enfer que faites-vous ici ? Je travaille ici. Chuchota-t-elle affolée.

- En bien, comme tu n'as pas daigné répondre à nos messages, nous avons décidé de venir te voir !

- Laissez-moi tranquille, je travaille ! Répéta-t-elle obstinément.

- A quelle heure sors-tu ?

- Pas avant 13 heures !

- C'est bon, il te faut environ une demi-heure pour rentrer chez toi.

- Non, je ne peux pas, je dois...

Ray la coupa vivement.

- Tu seras chez toi une demi-heure plus tard ! Lui intima-t-il.

- Mais je...

Il la coupa de nouveau:

- Tu seras chez toi une demi-heure plus tard, sinon...

- C'est d'accord, je ferai comme vous voudrez. Les interrompit-elle tout de suite de peur d'éventuelles représailles.

- T'es une bonne fille, on serra chez toi à 13 heures 30, ne sois pas en retard Susie !

Ils la quittèrent sur ces mots. Elle ne put se concentrer le reste de sa matinée. A 13 heures 25 elle était chez elle. Comme elle avançait vers sa porte, les deux jeunes se pointèrent dans son dos.

- T'es en avance Susie, c'est très bien !

Ils n'attendirent pas qu'elle les invite à entrer. Son sachet d'achats à la main elle pénétra dans les cuisines, les deux amis sur ses talons. Elle portait toujours son uniforme, il s'agissait d'une blouse verte et blanche qui lui arrivait tout juste à la taille. Comme elle défaisait ses paquets, Gray lui releva sa blouse et lui claqua gentiment les fesses.

- Bel uniforme Susie ! Remarqua-t-il gentiment.

- Merci. Lui répondit-elle se tournant vers lui.

Puis elle supplia :

- Je vous en prie les gars, j'ai pas mal de boulot cet après-midi.

- Tu dois obéir ! La coupa Ray.

- A quelle heure ton mari rentre-t-il ?

- Vers 18 heures 30, mais ma fille rentre vers 16 H 30.

- On a donc tout notre temps !

- Mais je…

- Tu t'es encore montrée désobéissante Susie. Une fois de plus tu n'as pas répondu à nos messages.

- Je suis désolée, mais c'est juste que j'avais à faire.

- Être désolée ne suffit pas Susie, tu as besoin d'une bonne leçon, et tu vas l'avoir.

- Allonge toi là-dessus. Dit-il en lui désignant la table de la cuisine.

- Penche toi sur la table. Lui ordonna-t-il en pesant sur sa nuque.

- Et grouille-toi. Dit-il alors qu'elle se raidissait pour résister.

- C'est parfait. Lui dit Gary en lui saisissant les mains pour les maintenir devant elle.

Ray retroussa suffisamment sa blouse pour voir son derrière dénudé, il lui pelota alors machinalement la croupe.

- C'est la seconde fois que tu ignores nos messages. Lui dit-il lui claquant les fesses.

- Ouwwwww ... Cria-t-elle mais déjà une seconde gifle, plus forte s'abattait sur ses fesses.

- Ouwwww ouwwwwwwwww... Arrêtez je vous en prie...

Gary lui tenait fermement les mains.

- Les vilaines filles reçoivent des fessées... Et tu t'es comportée comme une vilaine fille Susie.

Sans même lui donner le temps de répondre à cette accusation, une nouvelle claque s'abattit sur son petit cul bien ferme.

- Owwwww... Ouwwwwwwwww... S'il vous plait, je suis désolée de m'être conduite comme une sale gamine désobéissante. Se lamenta-t-elle misérablement.

- En es-tu vraiment désolée Susie ? Demanda-t-il alors que deux gifles sonores s'abattaient à nouveau sur sa croupe écarlate.

- Ooooowwwwww... Ouwwwwwww... Oui je vous le jure !

- As-tu compris la leçon ?

- Ne me frappez plus je vous en prie... Je ne le ferai plus jamais... j'ai bien compris la leçon...

- C'est bon... Concéda alors Ray hilare.

Gary lui relâcha les mains et elle se frotta les fesses à plusieurs reprises sous les rire de ses tourmenteurs. Elle se retourna et s'assit sur la table.

- Allonge toi sur le dos Susie.

- Non pas ça... je vous en prie... Les supplia-t-elle en voulant éviter de se retrouver dans une position aussi vulnérable.

Sans grand effort ils la poussèrent sur le dos, jambes pendantes.

- Soyez chics les gars. Protesta-t-elle à nouveau cherchant à se redresser.

Mais déjà Ray avait sorti le vibromasseur de sa poche et plaçait le curseur en position moyenne.

- Relaxe toi Susie. Lui ordonna Ray.

Et alors que Gary lui tenait les épaules, il frotta lentement le vibromasseur sur son entrecuisse au travers de son jean. Elle n'avait plus la force de se redresser, elle tenta faiblement de repousser Ray mais elle y renonça rapidement. Elle se contentait de secouer la tête de gauche à droite tout en gémissant. Le gode magique faisait déjà son œuvre, la relaxant tout d'abord. Il commuta le curseur sur "normal", il n'allait pas la laisser jouir si rapidement.

- Alors Susie. reprit Ray. Je t'avais ordonné de ne pas coucher avec ton mari. Qu'en a-t-il été ?

- Il ne m'a pas touchée.

- A-t-il essayé ?

- Bien sûr qu'il a essayé, dimanche matin, mais j'ai prétendu que j'étais trop fatiguée.

- Bien joué Susie.

- Et cela l'a-t-il arrêté ?. S'informa alors Gary dubitatif.

- Oui.

- Es-tu aller faire les achats convenus ?

- Je suis désolée, mais je n'ai pas trouvé de soutien-gorge se boutonnant sur le devant.

- Oh ma chère. Pouffa Ray imitant son ton de petite fille prise en faute.

- Que portes tu sous ton corsage ? S'enquit Gary ouvrant son chemisier exposant un soutien-gorge traditionnel.

- Où ranges-tu tes ciseaux ? Demanda Ray.

- Non... Non...

- Je serai toi je le lui dirai Susie. Intervint Gary railleur.

- Il pourrait bien te donner une nouvelle raclée si tu n'obéis pas.

- Ils sont là... Dit-elle alors pointant du doigt un tiroir.

Ray les sortit prestement et les tendit à Gary.

- A toi l'honneur Gary !

- Avec grand plaisir.

Il sourit largement et inséra les lames entre les deux bonnets les repassant de part et d'autre avant de couper.

- Tu l'as bien mérité ma petite Susie.

En cherchant les ciseaux, Ray avait déniché quelque chose d'autre.

- Hey Gary, j'ai une idée. S'enthousiasme soudain Ray agitant un pot de crème.

Il se posta devant elle secouant énergiquement le petit récipient. Gary lui pinçait gentiment les tétons, qui ne tardèrent pas à darder avec impudence.

- Je vais te montrer quelque chose. La prévint Ray.

Gary savait quoi, il lui saisit les bras. Ray tenait un pot de crème, il en versa quelques gouttes sur ses tétons. Elle sursauta en sentant la froide mixture s'étaler sur sa peau, mais déjà Ray étalait une épaisse couche de crèmes sur ses deux tétons. Gary lui intima de plonger un doigt dans la crème. Comme elle hésitait, Gary la secoua fortement.

- Plonge ton doigt dans la crème ! Répétait-t-il impatient de se faire obéir.

Elle y planta l'index et le ressortit enrobé de l'épaisse crème.

- Et maintenant embouche le et suce.

Elle s'enfonça le doigt dans la bouche et le suça lentement. Puis Gary planta à son tour son doigt dans le pot de crème.

- Ouvre à nouveau ta bouche.

Elle s'empressa d'obtempérer. Il plongea son doit encrémé dans sa bouche. Elle tendit la langue et lécha lubriquement son doigt.

- Je suis incapable de résister à un tel traitement.  Se marra Gary qui avait sorti sa bite de son caleçon et l'enduisait de crème.

- Tu vas te régaler ma petite Susie. Rigola-t-il tendant le ventre.

Elle ne répondit pas mais elle savait ce qu'elle devait faire. II l'attira sur le rebord de la table.

- Ouvre la bouche en grand !

Elle obéit humblement et il glissa sa bite entre ses lèvres.

- Et maintenant suce moi, et sers-toi de ta langue ! Oh oui... Que c'est bon ! Souffla-t-il alors qu'elle lui obéissait servilement.

Pendant ce temps Ray avait déposé une ligne de crème au bas de son ventre, puis il se mit à lécher la crème recouvrant ses tétons raidis. Elle était folle d'excitation. Elle sursautait sur la table chaque fois que la langue habile touchait ses mamelons exacerbés. Elle n'en suçait que plus habilement Gary.

- Oh oui voilà, encore un peu plus de crème... Aaaaaaaahhhhhh... Avale tout ! Bois ma semence ! Lui intima-t-il lui bloquant la tête sur son bas ventre.

Ray terminait de nettoyer ses mamelons dardés.

- Mmmmmmmmm... Gémit-elle éperdue.

La naïve jeune femme, encore honnête peu de temps auparavant, était allongée sur la table, secouée de spasmes. Son corsage était ouvert en grand, son soutien-gorge coupé en deux. Elle portait toujours son pantalon noir d'uniforme, du foutre et de la crème coulaient sur son menton alors qu'ils terminaient le nettoyage de ses nibards.

Il se posta au bout de la table où elle se tenait jambes pendantes et lentement il descendit la fermeture éclair de son pantalon, défit deux boutons à la taille et lui descendit son pantalon aux genoux. Tout surpris il découvrit un tout petit cache sexe de soie bleu.

- Jolie petite culotte Susie ! La félicita-t-il tandis que déjà il inventoriait ses charmes d'une main impatiente.

- Très jolie… S'enthousiasma Gary.

- Mais il y a un seul problème.

- Lequel ? S'informa-t-elle inquiète.

Le cache sexe était si petit que des touffes de poils apparaissaient à la ceinture et aux entrejambes.

- Tes poils... L'informa Gary en pointant le doigt sur les touffes s'échappant de son affriolante petite culotte.

- T'es déjà fait faire une épilation bikini ?

- Je ne porte jamais de bikini. Admit-elle misérablement.

- Avec un tel corps tu ne devrais porter que ça.

- On ferait peut-être mieux de nous en occuper puisqu'elle ne portera plus que des petites culottes sexy désormais. Avança Ray excité comme un pou à cette idée.

- C'est une excellente idée ! Lui rétorqua son complice hilare.

- Non... Non... Je vous en prie.... Je le ferai moi-même ! Les supplia-t-elle frénétiquement.

- Mais nous insistons... Répliqua Ray. Laisse-nous faire... Montons à l'étage !

- Il n'y a pas le feu... Protesta-t-elle.

Mais ils l'encadrèrent et l'entraînèrent dans le vestibule. Ils la reposèrent au pied de l'escalier et comme elle se tenait là immobile son pantalon chut au sol. Elle se pencha et le remonta rapidement rebouclant les boutons, elle se préparait à remonter la fermeture éclair lorsqu'on la poussa dans le dos.

- Ne perds pas ton temps avec ça, puisque tu l'enlèveras dans un instant. L'avisa Gary.

Ray la poussait alors que Gary la tirait dans les escaliers. Lorsqu'ils arrivèrent au sommet, elle protesta encore.

- Ce n'est pas la peine faire ça tout de suite les gars, je vous jure que je le ferai !

- On va s'occuper nous-même de dégager ta minette. Lui dit alors Ray.

- Et si tu continues à te plaindre, on te rasera tout... La menaça-t-il railleusement.

- Gary veux-tu bien l'emmener dans sa chambre qu'elle se foute à poil rapidement !

Et Gary l'emmena dans sa chambre tandis que Ray prenait ses dispositions dans la salle de bain.

- Non... Non... Pas dans ma chambre... Paniquait-elle affolée.

- On va t'arranger tout ça. Répondit-il malicieusement en l'entraînant dans la chambre.

Elle réalisa alors qu'il était inutile de protester. Elle se contenta de supplier Gary:

- Gary, toi qui es un chic garçon raisonnable, s'il te plait ne me fais pas cela, pas ici.

Pour toute réponse il lui enjoignit :

- Allez ma petite chérie, à poil !

- mais... Tenta-t-elle encore une fois misérablement.

Il l'enlaça alors et lui murmura à l'oreille tout en lui pelotant la croupe :

- Ecoute moi bien Susie, tu as tout intérêt à te comporter comme une gentille petite fille, et te foutre à poil sans plus d'histoires, où je t'arrache ton pantalon et je te colle une rouste, une bonne fessée cul nu.

Elle se tint coite. Gary attrapa les épaules de son corsage et le lui retira le jetant au sol.

- Tourne toi ! Lui intima-t-il.

Et elle se retourna obligeamment.

- Et maintenant enlève moi ce pantalon.

Elle s'assit sur le bord du lit, dégrafa sa ceinture et le retira en le faisant glisser le long de ses cuisses juste au moment où arrivait Ray une paire de ciseaux, de la crème à raser, le rasoir de son mari, deux serviettes et une cuvette d'eau chaude en mains.

- Pas encore prête ?

- Elle a eu besoin d'un peu de persuasion... Mais elle se comporte en gentille petite fille maintenant, n'est-ce pas Susie ?

Sans attendre une quelconque réponse il lui ordonna de se relever. Elle obtempéra, son pantalon en boule sur ses chevilles.

- Extirpe toi de ton pantalon ! Ajouta Ray d'une voix ferme.

Elle obtempéra en le rejetant d'un coup de pied.

- Allonge toi sur le lit. Poursuivit Ray, alors qu'elle les priait une dernière fois de faire ça dans une autre chambre.

- Non, on est très bien ici. Refusa Ray péremptoirement.

Elle s'étendit sur le lit, juste vêtue de sa petite culotte et de ses socquettes. IIs s'assirent sur le lit jumeau. Ray demanda à Gary de lui baisser sa petite culotte ce qu'il fit tout de go. Il commença alors à tailler dans sa touffe. Elle restait étendue inerte.

- Lève tes jambes maintenant Susie que je puisse tailler les côtés !

Résignée elle se plia à ses ordres. Ray travailla du ciseau jusqu'au moment où il eut dégagé les deux aines. Puis il fit courir sa main sur sa petite culotte soyeuse et pressa son clito la faisant gémir.

- C'est déjà bien mieux... Approuva Gary.

- Et maintenant au tour du principal. Reprit Ray joyeusement.

- Ne pourriez-vous vous contenter de ça ! Larmoya Susan.

- Vous disiez que c'était bien mieux.

- Y a pas de raison... On va terminer le travail... Répliqua Gary.

Et il glissa les pouces sous l'élastique de la petite culotte la faisant glisser à ses pieds. Il la lui ôta et la jeta triomphalement au sol.

- Très bien je vais commencer par tout te raccourcir. Annonça Ray en se remettant à couper.

Très vite son buisson noir diminua, il ne restait plus que de très courts poils sur la totalité de son mont de Vénus. Ray glissa la main sur sa courte toison.

- Et maintenant que vas-tu faire ? L'interrogea Gary.

Ray lui attrapa les chevilles et lui remonta les talons contre les fesses et lui écarta son compas en grand. Gary l'assura que dans cette position elle offrait l'intégralité de sa chatte.

- A moi l'honneur ! S'esclaffa alors Gary s'emparant de la crème à raser.

- Comportes toi en invité ! Surenchérit Ray éclaté de rire.

Gary fit gicler une bonne dose de crème à raser dans sa main et l'étala sur son pubis hérissé de courts poils. Elle se tortillait sous la caresse.

- Et maintenant tu ne dois plus bouger Susie, je ne voudrai pas te couper.

- Oui... Oh ouiii... Je ne bougerai pas ! Lui répondit-elle affolée.

- Alors, allons-y !

Il commença par enlever une bande de poils sur le haut de son pubis, là où c'était le plus facile. Il n'avait jamais rasé de chatoune féminine auparavant, mais, il avait toujours désiré le faire. Il débroussailla une belle petite clairière avant de rincer le rasoir. Elle fermait les yeux alors que d'étranges fourmillements lui parcouraient la chatte. Il se posta alors entre ses cuisses.

- Ne bouge surtout plus maintenant Susie !

Il travaillait très lentement surtout à proximité de ses grandes lèvres. Il partait de ses babines pour raser vers les aines. D'abord le côté gauche, puis le côté droit. Elle avait du mal à se tenir immobile, sa chatte commençait à la démanger sérieusement. Lentement il rasa tous les poils de chaque côté de sa foufoune. Quelques poils restaient accrochés à la peau, collés par la crème à raser. Il empoigna une serviette et frotta son pubis pour le nettoyer des derniers poils résiduels. Elle grommelait en se mordant les lèvres :

- Mmmmm... Mmmmmmmmmm…

- Un beau petit travail ! Commenta Gary à la vue de sa chatte entièrement glabre, à part une fine ligne de poils juste au-dessus de sa fentine.

Il lui caressa son sexe de bébé la faisant gémir et se tortiller.

- Le toucher est fantastique, essaye petite Susie !

Il lui prit la main et la posa sur son Mont de Vénus en lui disant :

- Vas-y, caresse toi !

Elle se caressa lentement le pubis résistant difficilement à la tentation de titiller son clito. Elle dut admettre que c'était effectivement formidable, sa chatte lui semblait bel et bien beaucoup plus sensible. Gary saisit alors le rasoir et rabattit le capuchon de sécurité, il parcourut lentement sa fente utilisant le manche.

- Oooooh... Mmmmmm… Gémissait-elle l'encourageant vivement à poursuivre ses caresses.

Il poussait toujours le manche du rasoir entre ses babines détrempées.

- Ooooooooh...

Il l'agita plus rapidement.

- Ooooooooh... Oooooooooooooohhh...

Il le retira vivement se rendant compte qu'il était trempé de mouille. Il le remit en place tout aussi rapidement.

- OOOOOoooooh... Aaaaaah... Oooooooooh...

Gary la fourrait maintenant avec le manche du rasoir cognant occasionnellement son clito.

- OOoooooooh... Aaaaaaaah... Que c'est bonnnnnnnnnn... Oooooooooh... Ouiiiiiiiiiiiii... Oooooooooh..... Aaaaaaahh... Ouiiiiiiiiiiiiiiii...

Un orgasme fulgurant la terrassait. Pantelante elle s'écroula sur le lit jambes écartées.

- Non seulement on t'a rasé la chatoune, mais en plus on t'a branlé avec le manche du rasoir. Quelle salope tu fais ma petite Susie. S'esclaffa Gary hilare.

- La prochaine que ton mari se servira de ta chatte, il va avoir une drôle de surprise !

Ray s'allongea à côté d'elle et promena sa main sur son mont chauve, elle se mordit les lèvres étouffant ses gémissements.

- T'aimes ça hein Susie ?

- Mmmmm... Oui...

- C'est beaucoup plus sensible n'est-ce pas ?

-  Mmmmmm... Oh oui...

- J'espère que t'as bien compris que ton corps nous appartient désormais.

- Oh ouiiiiii...

Gary s'était mis à poil et était prêt à la baiser.

- Je veux être le premier à goûter à ton mont chauve. Proclama-t-il alors qu'il commençait à faire courir sa langue entre ses babines.

Pour toute réponse elle s'arqua sur les talons tendant son ventre pour lui faciliter les caresses. Il lui écarta alors le compas en grand et enfouit son visage entre ses cuisses. En un rien de temps elle jouit à nouveau. Ray était maintenant en caleçon, il avait sorti sa bite et se branlait tout en lui pelotant les nibards.

- Est ce que notre petite salope veut se faire baiser ?

- Oh ouiiiiiiiiiiiiiii…

- Tu veux qu'on te baise sur votre lit conjugal ?

- Euh... Oui... Ouiiiiiiiiiii...

- Tu te fous bien qu'on se trouve dans la chambre que tu partages avec ton mari. La taquina-t-il rudement.

- Non... Nonnnn... Mais j'ai tellement envie... Envie de me faire baiser...

- Comme tu veux petite salope ! Commenta Gary promenant sa grosse bite dans sa foufoune.

- Dis-moi ce que tu veux ma petite Susie !

- Je veux que vous me baisiez... Je vous en prie baisez moi !

- Répète le moi chienne !

- S'il vous plait, ne me taquinez pas... Ramonez moi la chatte... Je vous en prie... J'ai trop envie...

- Allez fais ce qu'elle te demande. Elle en meurt d'envie.

Pendant ce temps Ray s'enfonçait dans sa bouche si accueillante. Gary la baisait frénétiquement, tant et si bien qu'ils jouirent tous deux rapidement. Ray n'en avait pas encore fini lorsque Gary se retira de sa chatte engorgée de foutre et de mouille. Il la fit mettre à quatre pattes et la baisa en levrette.

- J'adore baiser ma petite chienne de cette façon. Aimes-tu qu'on te baise ainsi petite Susie ?

- Aaaaaaaah... Aaaaaaaaah... Oui... Oui... OUiiiiiiiiiiii...

Il la baisait à couilles rabattues lui fracassant la chatte.

- Ohhhhhh... Ma salope... Je jouissssssssssss... Cria-t-il s'enfouissant au plus profond de sa cramouille.

Lorsqu'il se retira de sa moule, elle s'effondra pantelante sur le lit, totalement éreintée. Le temps qu'ils se préparent à partir, elle s'était déjà assoupie.

- On se reverra bientôt ma chérie. Ne mets plus de soutien-gorge et éloigne ton mari de tes nichons, de ta chatte, et de ta bouche, tout cela nous appartient désormais.

Ils la quittèrent sur ces mots. Elle posa la main sur sa fente détrempée et se dirigea lentement vers la salle de bain. Comment avait-elle bien pu se laisser subjuguer par ces deux jeunes ados ? Cela allait beaucoup plus loin qu'elle l'aurait voulu... Beaucoup trop loin...


A suivre…

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