mardi 2 avril 2019

La nouvelle vie de Christine Ch. 06

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

La Belle-mère devient pute (suite).

Christine revint au salon. Nous étions assis nu sur le canapé, nos verges flasques et collantes. Nos têtes étaient embrumées par l'alcool et le sexe. Nous l'avons regardé tous les deux nous ramener les bières. Pour être honnête ce n'était pas les boissons que nous regardions mais sa poitrine qui rebondissait ainsi que son cul parfait.

- Voilà! Nous dit-elle en nous tendant les canettes.

Puis elle resta debout devant nous, comme en attente de nouvelles instructions.

Je ne m'étais pas encore fait à l'idée que j'étais le maître d'une salope. Si bien que je devais toujours improviser pour les ordres que je lui donnais.

- Assis toi sur la table basse pendant que nous dégustons nos bières.

Je bus une gorgée glacée. Christine s'assit en face de nous. Elle nous regardait boire. Mais je m'aperçus bien vite que ses yeux se posaient souvent sur nos membres encore endormis.

Je lui dis :

- elles te plaisent nos bites?

Elle leva les yeux, gênée d'avoir été surprise à baver sur nos engins.

- euhhhhhh....

- Pourquoi n'ouvres-tu pas un peu tes jambes afin que nous ayons une meilleure vue sur ta chatte humide. Dis-je

Je remarquai que Martin changea de position afin de pouvoir mieux voir.

- Martin ne voit pas très bien. Alors penche-toi en arrière et écarte les jambes.

Elle recula en faisant glisser ses fesses sur la table basse, puis elle se pencha en arrière, se soutenant avec son bras gauche. Elle nous regarda entre ses jambes. Elle faisait si salope, allongée, les cuisses écartées que mon sexe a commencé à revivre.

Je finis ma bière et posai la canette sur le sol. Quelques instants plus tard, Martin fit de même. Nous en avions besoin d'une autre. Et bien que Christine fût dans une position agréable, je lui demandai d'aller nous chercher deux autres bières et de se remettre en place.

Ses seins ballottants et son cul se tortillant, elle m'obéit, nous ramenant les boissons, et s'allongeant de nouveau, les jambes encore plus écartées, la chatte gonflée et luisante exposée dans toute sa splendeur.

Je regardai Martin descendre sa bière. Il avait les mêmes sensations que moi. Son membre se relevait alors que ma belle-mère s'exposait ainsi, encore humide et excitée. Le prenant au dépourvu je lui dit :

- Nous allons terminer nos bières Martin. Et tu pourras profiter du petit trou du cul de Christine.

- Es-tu sérieux? Ta belle-mère? Répondit-il en avalant une autre gorgée.

En parlant, j'avais regardé Christine qui était restée impassible, se doutant bien que son anus serait utilisé cette nuit.

- Bien sûr! Christine aime bien se faire enculer! N'est-ce pas Christine?

Sa réponse fut courte et précise :

- Oui.

En rigolant je rajoutai :

- Donc si j'étais toi, je passerai les prochaines minutes à essayer d'assouplir ton petit trou. Parce que lorsque Martin aura fini sa bière, c'est là qu'il mettra sa queue. N'est-ce pas Martin? Ha ha ha!

En avalant une gorgée et sa bite grossissant à vue d'œil, il dit :

- Bien sûr, tu as raison.

La femme remarqua la façon dont le sexe de mon ami a soudainement jailli à la pensée d'être enterré dans son cul. Alors sa main droite glissa sur sa chatte humide. Elle la pénétra de trois doigts.

Mon ami et moi étions pétrifiés par son comportement de salope. Elle lubrifia soigneusement ses doigts avant d'en mettre un puis deux dans son trou du cul. Sachant que Martin ne serait pas long, elle travailla son orifice afin qu'il soit plus souple.

Les yeux de Christine s'élargir, alors que mon ami vidait d'un coup sa canette. Elle agita frénétiquement ses doigts. Elle savait qu'elle devrait bientôt abandonner son anus à l'ami de son gendre.

Martin se leva. Il vacilla un peu sur ses jambes, embrumé par l'alcool. Il annonça :

- je suis prêt.

Je demandai à ma belle-mère :

- On va rendre les choses plus faciles pour mon copain. Christine, tu vas te mettre à quatre pattes et bien relever ton joli fessier.

Elle m'obéit sans rechigner et nous présenta son arrière train.

- Maintenant, tu vas écarter tes fesses et tu vas demander à Martin de t'enculer.

Ses mains se sont portés sur son derrière. Son visage était tourné de côté et posé sur la table basse. La plupart de son poids reposait sur ses épaules. Ses doigts crochetèrent ses fesses juste à côté de son trou et les écartèrent.

- Waow!

Martin s'exclama alors que le trou intime de ma belle-mère s'ouvrait légèrement. Il semblait inviter mon ami. Par contre j'attendais toujours que Christine réclame.

- Alors? Lui dis-je.

D'une voix assez forte, afin que je ne lui demande pas de répéter, elle dit :

- S'il vous plaît Martin! Enculez-moi! Mettez votre grosse queue dans mon cul!

L'entendre réclamer si facilement m'excita tellement que mon membre fut à nouveau raide et solide, prêt à remplacer Martin s'il le fallait.

Celui-ci avança et mit son gland contre le petit trou légèrement ouvert de Christine. Il poussa en avant mais rentra à peine à l'intérieur. Il avait besoin de plus de force. Il prit son sexe et poussa de nouveau, plus fort.

- AHHHH

Ma belle-mère gémit alors qu'il commença à s'enfoncer. Elle savait que son anus allait s'ouvrir complètement pour accueillir mon copain.

- AHHHH, AHHHH, ARRRGGGGHHHHH, MON DIEEEEEU

elle cria quand le membre de Martin fut entré. Avec un sourire, celui-ci me dit :

- Ouais, j'y suis!

- Amuse-toi

Ce fut tout ce que je lui dis avant de lever ma canette et boire un coup. Il reporta son attention sur Christine, lui prit les hanches dans ses mains et poussa encore plus sa grosse bite dans son cul tout en disant :

- oui je vais m'amuser!

Ma belle-mère ne pouvait pas retenir ses cris et gémissements. A quatre heures du matin, elle ne se souciait pas des voisins. Elle cria et cria alors que chaque centimètre du membre de mon ami remplissait sa cavité anale. Martin s'arrêta au moment où ses couilles tapèrent sa chatte gonflée. Il resta comme ça une bonne minute, savourant cette position agréable. Il se pencha en avant et mordit un mamelon sensible, faisant glapir la femme.

Je finis ma bière alors que Martin commençait à baiser lentement mais profondément le cul de Christine, veillant que ses couilles giflent la chatte de la femme à chaque fois. Je me levai et j'allai m'accroupir à côté de la tête sur la table basse. Ma belle-mère sut instantanément ce que je voulais car elle ouvrit la bouche pour que je puisse mettre ma verge à l'intérieur. Comme ça, j'étouffai ses gémissements.

Dans la position où elle était, elle ne pouvait pas beaucoup bouger sa tête. Donc je la pris entre mes mains et je la baisai comme une chatte humide. Et croyez-moi quand je vous dis que Christine avait une bouche à sucer des bites.

Je sentais que Christine voulais dégager sa tête et respirer. Je me doutais qu'elle n'était pas loin d'un orgasme comme celui qu'elle avait eu sur le capot de la voiture.

Des que sa bouche fut libérée, elle éclata :

- Vas-y! Vas-y!

elle cria encore alors qu'elle était sur le point d'exploser :

- CONTINUEZ!!!!! S'IL VOUS PLAIT!! OHHHHHHHHHHHHHHHHH! ARGHHHHHHHH!

Son corps trembla et ses jambes se resserrèrent tandis que l'orgasme, le quatrième je crois, la terrassa.

Martin, satisfait, se retira pour me laisser la place. J'avoue que j'étais étonné de la facilité avec laquelle elle s'était laissé aller avec mon ami, mais j'ai été encore plus étonné quand elle a ouvert grand la bouche pour accueillir la queue de Martin qui venait juste de l'enculer. Rapidement, j'enfonçai ma bite dans son cul et je dis :

- Oh Christine, quelle sale pute tu es! Je n'arrive pas à croire qu'une femme au foyer, une bonne mère de famille, soit si avide de sucer une bite qui sort de son cul. Je vais avoir beaucoup de plaisir avec toi dans l'avenir.

Je la pilonnai avec de grands coups de bassin, forçant Martin à garder son équilibre alors qu'il tentait d'utiliser sa bouche.

En fin de compte, mon ami arrivait à tenir la tête de ma belle-mère relativement stable. Elle le suçait correctement alors que je martelais son anus. Quelques minutes plus tard, ses fesses se serrèrent et son corps se convulsa alors qu'elle avait un autre orgasme.

Martin laissa son membre à l'intérieur de la bouche, étouffant ainsi les gémissements de Christine. Quand elle finit de frissonner, je ne pus me retenir et j'éjaculai profondément dans son cul.

Je retirai mon sexe avec un gros « plop » et demandai à mon copain :

- Martin? comme nous n'avons pas encore fini avec cette chienne, je voudrais qu'elle continue à me sucer. Peux-tu prendre ma place?

Martin revint derrière Christine et moi, je remplis à nouveau sa bouche.

Mon ami entra facilement dans le cul déjà bien baisé et lubrifié. Je portai mon attention sur ma belle-mère qui faisait des merveilles avec ses lèvres, si bien que je ne débandai pas.

- Maintenant Christine, je vais aller m'asseoir sur le canapé et tu vas venir me chevaucher et enfiler ma bite dans ta chatte.

En hochant la tête, sans cesser de me sucer, elle marmonna :

- Mummmmp, muuuumm

- Puis tu te pencheras en avant, et tu mettras tes seins sur mon visage pour que je puisses sucer tes tétons.

- Mummmmp, muuuumm

Elle ne pouvait mieux répondre alors que mon sexe s'enfonçait au fond de sa gorge chaque fois que Martin plongeait au fond de son cul.

Je l'ai laissé me sucer encore quelques secondes avant de me retirer et de ma vautrer sur le canapé. Puis en me masturbant je lui ordonnai :

- Amène ta chatte ici!

Martin sortit de son cul. Christine s'affaissa sur la table, puis en descendit et vacilla. Elle tenta de garder son équilibre sur ses jambes affaiblies. Finalement, elle se déplaça jusqu'au-dessus de moi. Je décidai de ne pas l'aider. Alors, elle tint ma verge stable avec sa main droite et la guida dans son vagin tout en descendant sur moi.

- Oh oui, comme ça! Continue.

Je la félicitai quand elle fut complétement embrochée sur mon sexe. Puis je lui demandé :

- Penche-toi maintenant et mets ton mamelon droit dans ma bouche.

Elle obéit. Enfin je remuai mon membre et mâchouillai son téton qui devint enflé et sensible. Elle recommença à gémir.

Je vis Martin qui nous regardait, sa queue rigide dans sa main. Et je décidai de pousser encore les limites de Christine. Je dis :

- Martin! Ne reste pas là à ne rien faire! Prend lui le cul!

Christine eut un sursaut. Elle me regarda avec de grands yeux.

- S'il vous plaît! Pas vous deux! je n'ai ja....

Je la coupai au milieu de sa phrase avant qu'elle ne puisse encore supplier.

- Chut Christine! Tu ne vas pas faire de problèmes non? Que penserait ton mari s'il savait comment tu te conduis avec moi. Que penserait ta fille?

Je laissai mes paroles traverser son cerveau. Elle baissa les yeux et se détourna. Je savais que j'avais encore gagné. Sa prochaine phrase me montra que mon contrôle sur elle était bien ancré.

- Je ne veux pas poser de problèmes....

Je souris.

- Alors remets ton mamelon dans ma bouche, présente ton cul à mon ami et demande-lui de t'enculer.

Vaincue, sous mon contrôle, elle demanda :

- S'il vous plaît Martin, enculez moi, je veux vos deux bites en moi.

Je la savais à ma merci alors qu'elle demandait qu'on l'encule avec ma bite qui la pénétrait et ma bouche qui mangeait son sein. Je regardai derrière son dos mon ami qui s'avançait son membre dans sa main. Je souris avant de dire :

- Enfonce-toi bien dans cette pute Martin!

Il leva sa jambe droite pour la poser à coté de nous sur le canapé puis il posa son gland à l'entrée du trou intime de ma belle-mère. Crachant le mamelon, je dis à Christine :

- Regarde-moi! je veux voir ton visage quand il va te pénétrer et te faire jouir.

- ARHHHHHHHH!

Elle haleta et ses yeux s'élargirent. Je savais que Martin commençait à entrer. Je regardai mon ami qui souriait et je l'encourageai :

- Bien au fond Martin! Bien au fond!

Le visage de ma belle-mère grimaça et un cri brisa le silence du matin.

- ARGGGGGGGGGGGGHHHHHHHHHHH!

Christine brailla jusqu'au moment où le ventre de mon ami toucha ses fesses.

- Martin, nous allons baiser cette pute jusqu'au moment où nous ne pourrons plus. Ok?

C'était à la fois une question et une affirmation. Il comprit parfaitement bien et instantanément commença à marteler son anus de coups puissants. Christine gémissait et criait à chaque coup de boutoir.

De ma position, je me mis en rythme avec mon ami, poussant ma bite au plus profond de son vagin. Elle fit de son mieux pour garder un contact visuel avec moi afin que je puisse voir si elle jouissait.

Pendant cinq minutes, je fus content de la position. Mais je décidai d'être celui qui donnerait le rythme.

En arrêtant le mouvement, je dis :

- Changeons de position! Martin, assis toi là s'il te plaît.

Quelques instants plus tard, Christine était face à mon ami, prête à s'empaler sur sa grosse queue. Je l'arrêtai :

- Tu n'oublies pas quelque chose salope?

- Quoi? demanda-t-elle timidement.

- Je veux voir ta figure lorsque tu vas jouir et je ne pourrai pas si tu es face à Martin.

- Désolé!

Elle se releva, en pleine confusion, ne sachant plus que faire.

Je savourai cet instant. Elle s'était excusée. Elle me montrait son obéissance.

- Tu vas seulement t'asseoir sur mon ami, sa bite dans ton cul, puis tu te renverseras sur sa poitrine et tu écarteras bien les jambes.

Elle m'obéit immédiatement, se mettant en position au-dessus du membre de mon copain.

Martin posa une main sur sa verge et une autre sur les hanches de la femme afin de la guider mais j'intervins. Ce serait encore plus dégradant de la voir saisir la bite de mon camarade et la guider dans son cul.

- Laisse la faire, elle aime ça donc elle va bien y arriver.

Christine attrapa sous elle le gros membre avec sa main gauche, puis elle posa sa main droite sur la poitrine de mon ami pour se stabiliser puis elle descendit.

Encore une fois, un long gémissement éclata dans l'air, ses yeux bruns s'élargirent alors qu'elle glissa lentement sur la bite jusqu'au moment où elle ne puisse plus aller plus loin, son anus complétement dilaté. Elle se pencha en arrière, à plat contre martin, sa tête à côté de la sienne sur le rebord du canapé.

- Ouvre grand tes jambes! ordonnai-je.

Elle leva ses jambes et les écarta le plus possible et les tira en arrière. J'avais un accès facile à son sexe complétement humide.

- Attends un moment et garde la pose.

Je récupérai mon téléphone et pris quelques clichées avant de le reposer.

- Il me fallait quelques photos de cette position de pute.

Je n'eus pas besoin de viser. Mon membre cogna la lèvre gauche de sa chatte mouillée et entra avec facilité quand je poussai. Il faut dire que son sexe avait été déjà visité de nombreuses fois cette nuit. Christine cria de nouveau quand je tapai au fond d'elle.

- Maintenant, je peux te baiser et voir ton visage quand tu vas jouir.

Je la pilonnai durement comme je l'aurai fait avec une prostituée. Je baisai durement ma belle-mère, mon ami farcissant son cul. Je la regardai dans les yeux. Je savais qu'elle n'était pas loin de l'orgasme. Ses yeux roulaient et sa chatte commençait à se contracter. Je commençais à bien la connaitre. Le regard dur, je lui dis :

- Allez salope, je sens ta chatte qui se serre. Tu vas bientôt jouir. Allez, vas-y!

Quelques secondes plus tard son corps bouillonna et se prépara à exploser. Puis elle libéra ses jambes et les jeta autour de mon dos, me retenant en elle. Elle essaya bien de soutenir mon regard mais son corps eut d'autres idées. Ses yeux roulèrent derrière sa tête et des spasmes la traversèrent. J'imaginai que la bite de mon ami devait être serrée par son anus.

Avec un orgasme de telle intensité, je pensai qu'elle allait beugler mais sa bouche était entrouverte, ses dents serrées. Elle grognait bizarrement. Pendant une minute elle se libéra encore de nombreuses années de frustration.

Enfin, elle desserra les jambes, me laissant continuer à la baiser. Et ce qu'elle dit ensuite, cimenta notre relation et sa position de soumise. Elle murmura à bout de souffle :

- Merci, je vous remercie de pouvoir être votre pute.

Je souris :

- De rien. Nous aurons encore beaucoup plus de plaisir que tu ne le crois Christine.

Je la baisai plus lentement maintenant.

Avant de s'agiter de haut en bas sur Martin elle demanda

- S'il vous plaît, remplissez-moi maintenant.

- Je pense que cela peut se faire. N'est-ce pas Martin?

- Bien sûr! mais laissez-moi me relever un peu que je puisse m'activer.

Avec quelques manœuvres, nous nous mimes dans une position où nous pouvions la baiser alternativement. Finalement j'éjaculai dans son ventre et quelques minutes plus tard, mon ami fit de même dans son cul.


Nous avons laissé Christine, affalée sur le canapé, du sperme coulant de ses deux orifices. Nous avons chancelé à l'étage supérieur. Le soleil commençait à se lever.

A suivre...

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