lundi 27 août 2018

Margot est une salope Ch.01

Margot est une salope - récit érotique  domination soumission professeur viol

Texte de Erosxx.

Le viol de Margot.


Les vacances sont là et me tendent les bras. Je suis sorti pas mal mais hélas, toutes mes tentatives de me faire une gonzesse se sont soldées par des échecs. Pourtant on me dit beau gosse.
Je me suis très vite rabattu vers internet et les livres pornos que je planque dans mon armoire, sous mes pulls. Je passe la plupart de mon temps dans le noir à fantasmer sur des femmes à grosses poitrines. Je ne pense plus qu’à ça tout le temps au détriment de ma vie sociale. Au lieu de sortir de mon HLM, je reste enfermé dans ma chambre à me masturber devant des vidéos de plus en plus hard.

Un jour, surprise ! Je suis sorti pour m’acheter des clopes et en revenant, je retrouve mes revues pornos sur le lit. Grillé ! C’était ma mère. Elle a dû repasser mon linge et en le déposant dans mon armoire, a découvert le pot au rose. La honte me gagne. Je ne sais plus où me mettre ni quelle excuse bidon je vais pouvoir lui sortir.

J’habite dans un HHLM avec ma mère qui est professeur de Français à mi-temps dans un collège privé. Elle s’appelle Marguerite, un nom qu’elle n’aime pas trop alors tout le monde l’appelle Margot.
Elle donne aussi des cours de danse moderne le vendredi soir. Nous avons une maison située à 80 bornes où mon père habite. Mes parents ne sont pas divorcés mais pour des raisons professionnelles, ils ont décidé d’acheter une maison en campagne et elle de rester en ville, chacun voulant rester dans son travail.

On vit donc comme un couple dans un appartement HLM vétuste. Les gens sont entassés les uns sur les autres et sont malheureux. Il y règne une ambiance malsaine avec des racailles misogynes.

Ma mère a souffert d’une éducation sévère et depuis, elle adore se mettre en valeur. Elle fait ça aussi pour provoquer les machistes en affirmant sa féminité de femme libérée et insoumise. Elle appartient à une association de quartier qui propose des cours aux jeunes filles et elle enseigne la danse.

Je commence à avoir soif et je vais devoir aller à la cuisine et l’affronter. Je la vois et lui dit bonjour. Elle me répond comme si de rien n’était. Je me sers un verre de coca.

- Comment tu fais pour repasser par un temps pareil ? On crève de chaud.

- Il faut bien le faire mon chéri.

Elle me fait un clin d’œil. Elle ne me fera pas chier avec les revues je pense. J’ose la regarder. Elle est cool en ce qui concerne mes histoires de sexe.

- Tu veux un truc à boire ?

- Oui merci mon chéri ! Sers-moi un coca aussi.

Tout en versant, je la regarde. A cause de mon obsession sexuelle, je commence à la dévisager, non pas comme ma mère mais comme une femme. C’est vrai qu’elle est pas mal fichue ma mère. Elle a 44 ans et est en super forme. La danse moderne, qu’elle enseigne, lui permet d’avoir un corps ferme et des fesses que lui envieraient de nombreuses femmes. Elle fait 1m68 pour 62 kg. Elle a des cheveux noirs qui lui arrivent jusqu’aux épaules. Elle en fait en général un chignon comme maintenant. Une petite mèche lui tombe devant le visage. Un visage typé, méditerranéen car elle est originaire de Marseille bien qu’elle n’en ait pas gardé l’accent. Elle a les yeux en amande de couleur marron et sa peau est mat. Toujours bien maquillée, elle se met des faux cils et ses sourcils sont noirs et très fins ce qui lui donne un regard magnifique. Une petite ride au niveau de la bouche trahi son âge.
Elle porte un chemisier jaune assez fin et on distingue un peu son soutien-gorge rose en dessous ainsi que les reliefs des broderies. Décolleté discret car elle a quand même ouvert les trois boutons du haut à cause de la chaleur. Elle est en mini-jupe de jean qui lui arrive au-dessus des genoux et elle est pied nu sur le carrelage.

Elle pose le fer à repasser et s’assoit en face de moi pour boire son coca à la table de la cuisine. En faisant cela, elle se penche et j’ai une brève vision de ses seins tombants. Aussitôt, je repense à mes vidéos. C’est à ce moment que, pour la première fois de ma vie, je me rends compte qu’elle a quand même une belle poitrine. Oui, deux beaux seins qui sont naturels et pas siliconés comme les femmes que je regarde dans les magazines : Du naturel, du vrai, du gros et en plus devant moi.
Malgré la gêne que j’éprouve, je sens mon sexe se raidir. La vue de cette paire de nichons bronzés a déclenché en moi une véritable excitation. Jamais je n’avais considéré maman comme une femme.
Elle n’a rien perçu de mon délire car pour elle, je suis encore son bébé. Comment pourrait -elle imaginer que j’ai un instant fantasmé sur sa poitrine.

Elle sent ma gêne mais elle doit penser que ça vient des magazines découverts. J’arrive à avoir un discours cohérent avec elle sur notre projet de retour à la maison de campagne cette été. On serait réuni avec mon père, en famille car je suis fils unique.
On finit nos verres et elle me dit qu’elle doit faire des courses. C’est vrai qu’il Il n’y a rien à bouffer ce soir. Elle enfile ses sandales et prend son sac puis s’en va.

Je me rue sur mon ordinateur car j’en peux plus. Je regarde alors des vidéos mais cela ne m’excite plus. J’en veux des nouvelles. Je décide de télécharger des vidéos de femmes matures aux gros seins. Inconsciemment, je pensais à Margot en faisant ça. Je ne les trouve pas belle du tout. Puis je pense à ma mère faisant ses courses, se penchant dans les rayons fruits et légumes, offrant la vision de sa splendide poitrine à des passants inconnus. Je me caresse à cette idée. Puis vient l’image des machos, la lutinant, la déshabillant du regard avec mépris : Elle, ingénue, le soutien-gorge visible à travers le tissu, ses jambes musclées par la danse.

C’est alors qu’un flot d’images plus trash me vient à l’esprit. Elle pourrait très bien se faire agresser par des racailles. Ce ne serait pas la première fois qu’une femme se fasse avoir dans le coin. L’année dernière, une ado et une jeune mère de famille ont été violées dans la cité. Déjà qu’ici, la réputation craint. Alors avec ces deux viols, ça n’a pas arrangé la notoriété du coin.

A force de me palucher, je finis par juter. Puis, je réfléchis et me dit que je suis un beau taré de penser ça de la femme qui m’a mis au monde, que ce n’est pas normal de voir sa mère en femme de sexe.

Ma mère revient au bout de trois quarts d’heure, le sac plein de victuailles.

Une semaine passe et je suis toujours dans mon monde porno. Je télécharge, je me branle, je n’arrête pas.
On arrive bientôt en Juillet et je n’ai rien foutu d’autre. Margot a fait les premiers préparatifs de départ. Elle donne son dernier cours de danse de l’année ce soir. Elle est en forme et toute souriante. Elle a mis ses cheveux en chignon. Elle est en short bleu, un petit short très court qui met en valeur ses jambes musclées et bronzées. Le sport a gardé ses fesses rebondies. Le haut, un petit débardeur blanc qui lui arrive au nombril, avec un décolleté avantageux met en valeur sa belle poitrine. On aperçoit les bretelles de son soutien-gorge rose. Elle a une allure sportive malgré ses trop gros seins. J’espère que son soutien-gorge est costaud parce qu’avec la danse, ça doit bouger à fond. Je bande à cette idée.

Elle mange en vitesse et enfile ses sandales dont elle est si friande. Elle me laisse seul avec ma pizza. Elle, elle fait quelque chose d’utile. Moi, la soirée, je vais la passer encore à me palucher. Je commence à trouver ça pitoyable à la longue. Devant mon ordi, je ne vois pas le temps passer. Soudain mon portable sonne.

- Allô, Chéri ?

- Oui maman ?

- Ma voiture a été vandalisée ! C’est une honte, on m’a crevé un pneu !

- C’est dégueulasse ! Qui crois-tu être l’auteur de ce méfait ?

- Je ne sais pas, je vais porter plainte ! Je vais appeler un taxi ! C’était pour te prévenir que j’allais être en retard et que tu ne dois pas t’inquiéter. Je suis devant l’école de danse.

- Tu veux que je vienne en scooter ?

- Non, ce n’est pas la peine mon chéri, je serais là dans un quart d’heure.

- D’accord maman, bisous a tout à l’heure !

- Bisous mon chéri !

Je me remets sur l’ordinateur mais je n’arrive plus à bander, cette histoire me préoccupe. Je décide au bout de dix minutes, d’y aller, on ne sait jamais. Je vais la prévenir. J’appelle son portable et je tombe directement sur sa messagerie. J’enfourche mon scooter et je fonce là-bas. Arrivé devant l’école de danse, je vois un taxi. Je vais le voir.

- Oui, une dame m’a appelé mais elle n’est pas là. Elle a dû se trouver un autre taxi. Vous lui direz que dans ces cas-là on prévient. Déjà que c’est mal famé ici !

Il claque violemment la porte et s’en va en grognant. Je décide alors d’inspecter la voiture. Les deux pneus avant sont dégonflés. Je dirai qu’ils sont crevés. Je retente de l’appeler mais rien : Toujours sa messagerie directe. Je me mets à tourner autour du véhicule et là je vois un objet qui confirme mes craintes : Un portable explosé. Il est en mille morceaux. Un peu plus loin, une sandale rose ... C’est celle de maman. Elle est devant une ruelle étroite et sombre. Je m’y engage alors. Je suis excité, pas de peur mais excité, animé d’une curiosité malsaine. Au bout de quelques mètres, la seconde tongue. Je suis sur la bonne piste.

J’entends des voix. C’est un peu plus loin et une femme qui gémit et se plaint. Une des voix d’homme crie et j’entends le bruit d’une claque. Des rires qui résonnent. En avançant, je me prépare au pire. Je me cache derrière un pan de mur qui dépasse. Je m’installe le plus confortablement pour espionner.

Mes craintes se justifient. C’est maman. Elle s’est faite coincée par trois hommes cagoulés. Ce sont eux qui ont vandalisé le véhicule. L’un fouille dans son sac à main. Il sort le portefeuille et pique le fric et les cartes. Il le jette ensuite dans le tas de poubelles qui traîne par terre. Maman est maintenue par les bras par un homme placé derrière elle. Elle est en débardeur et short bleu. Instinctivement, je me dis :

- Quelle idée aussi de se promener dans cette tenue en pleine nuit dans ce quartier !

J’avais mon portable à la main, il suffisait que j’appelle les flics. Il y a un commissariat pas loin en plus. Mais quelque chose m’en empêche. Malgré tout l’amour que je porte à ma mère, les pulsions l’emportent. Elle est en danger et je ne fais rien, je ne veux rien faire. La situation est si originale que je ne veux pas l’interrompre.

L’homme devant elle a un énorme couteau avec lequel il joue pour lui faire peur. J’observe sa poitrine qui remplit le débardeur. Elle se soulève, se contracte, se soulève sous l’effet de la peur. Ma mère, si sûre d’elle d’habitude, est en situation de victime. Elle est même en danger car le couteau pourrait plonger dans son corps et mettre fin à sa vie. Elle est à la merci de cet homme cagoulé. Il sent bien la peur de cette femme. Il jouit de sa domination. Son copain derrière aussi. Il sent la peur affluer chez elle.

Je suis dans un état second, submergé par la peur pour elle, mon désir de la protéger mais aussi le besoin de voir la suite. Il met le côté non tranchant sur sa gorge et fait mine de l’égorger. Il se met ensuite à la picoter du bout de sa lame. Le bout des seins, puis tout autour d’eux. Margot est au bord de la crise de larmes. Elle sent ensuite le couteau descendre sur son plexus et piquer à plusieurs reprise son ventre. Il suffirait d’une pression pour que lame rentre comme dans du beurre. Il la torture psychologiquement. Maman se met à geindre, larmoyante :

- Pitié ! pitié ! Je vous en prie, j’ai un fils, j’ai un mari ...pitié !

En guise de réponse, l’homme la gifle une fois, deux fois, trois fois ...

-Tu as une famille, eh bien tu ne leur fais pas honneur ! Tu ne mérites pas d’être une mère ! Elles doivent rester au foyer et pas s’exhiber comme une putain !

J’ai tout de suite compris qui pouvait se cacher dessous les cagoules. Il dégrafe le chignon de maman. Les cheveux tombent, pas encore sec de la douche qu’elle a prise avant de partir de la salle de danse.

- Te voilà plus belle, maintenant !

Il écrase la pince et pose sa main sur sa poitrine.

- J’aime les gros seins. On va bien s’amuser !

Il se met à palper la poitrine généreuse puis incise le haut du col. Il range son couteau. Il la prend par le col et tire de chaque côté de l’incision. Le fin tissu de résiste pas et on entend un gros rippppp ! Margot ferme les yeux et pleure en tentant de faire le moins de bruit possible. Elle sent le tee-shirt lui être enlever. Ses seins sont justes contenus dans le soutien-gorge maintenant. Malgré leur brutalité dans leur geste, les trois agresseurs prennent leur temps. Ils regardent les formes généreuses de cette plantureuse poitrine. Le soutien-gorge est rose, brodé en dentelle. Les motifs en reliefs accentuent les rondeurs de chaque sein. Le tissu qui supporte les motifs est transparent et on distingue le brun du bout des seins ainsi que la pointe du téton.

Je suis en train de jouir à voir cette femme en soutien-gorge et en short bleu être à la merci de ces brutes. Car en ce moment, je ne pense plus qu’à mes pulsions. L’homme au couteau recommence son petit jeu de lame. Il s’avance vers ma mère et picote son ventre autour du nombril. Elle essaie de calmer sa respiration car à chaque expiration, son ventre se gonfle et donc accentue le picotement. Il lui faut respirer par les poumons. Ça le fait jouir de sentir cette femme à sa merci. Il aime jouer avec les nerfs de sa victime. Il remonte ensuite vers le plexus, lentement en l’effleurant du bout de la lame. Il la fixe avec un regard mauvais avec un air de lui faire croire qu’a tout moment, il pourrait lui plonger cette lame dans les entrailles. Il veut lui montrer que sa vie est entre ses mains de fou. Toujours avec son couteau, il s’amuse à faire le tour de ses seins en faisant planer la menace de voir ses seins transpercer. Elle se sent ruisseler de sueur du fait de la peur. Elle sent la lame alors remonter vers son épaule et couper une bretelle, puis d’un coup sec, il tranche. Le morceau de bretelle tombe et le sein droit qui n’est plus soutenu tombe aussi. Il fait de même avec l’autre. Il finit par lui ôter son soutien-gorge. Sa poitrine tombe comme une grosse grappe. La voilà seins nus.

Je suis en train de me palucher comme un malade devant ça. Là, caché derrière ce pan de mur. C’est la première fois que je vois ses seins nus. Les seins de ma mère sont lourds et bronzés uniformément à la peau. Remercions les séances d’UV. Au bout de chaque sein, elle a des auréoles très brunes d’environ 6 à 7cm de diamètre et au centre, de longs tétons d’au moins 3 cm. Avec son couteau, il en dessine les contours devant ses deux camarades. Il le fait lentement en faisant mine de lui couper les lolos. Pour ça il utilise le côté non tranchant de la lame et imite les gestes d’un boucher. Elle sent le contact froid de la lame sur la peau de ses seins opulents. Toujours cette menace présente qu’il s’enfonce dans la chair tendre de l’une de ses mamelles ou qu’il les lui tranche.

Avec ses mains tout en tenant le couteau, il se met à caresser les deux protubérances de chair. Elle ne réagit pas et regarde ailleurs. Contrainte de se laisser toucher et palper ses deux atouts féminins. Je me demande si elle éprouve du plaisir à se faire palper la poitrine. Tout en massant, il descend son autre main et baisse le short. Elle tente de se débattre en se tortillant le buste mais là, réaction de son agresseur. Une belle claque et il lui tord un téton lui arrachant un cri de douleur. Son compagnon qui s’était contenté de regarder vient lui donner un coup de main en tirant sur le short. Elle lui met des coups de jambes mais elle reçoit un coup de poing dans le ventre suivit d’une claque. Le souffle coupé, elle se plie en deux. Ils en profitent pour lui enlever définitivement son short. Elle se retrouve en string. Un string rose assorti à son soutien-gorge. Ça ne m’étonne pas beaucoup qu’elle porte des strings. Elle tousse, crache, essaie de respirer. Elle a envie de se mettre ses mains à l’endroit du coup mais elle est maintenue toujours depuis le début par le troisième homme en cagoule. Avec une violence extrême, le compagnon de l’homme au couteau lui arrache son string et lui fait glisser le long des jambes musclées. La voilà nue maintenant. Ils prennent soin de lui ôter son alliance en or, une bague bon marché et un collier avec un petit crucifix lui aussi en or.

- On en tirera quelque chose de tout ça !

Celui qui la maintenait fini par la lâcher. Elle est recroquevillée se tenant le ventre et reprenant son souffle. Ils la regardent, gisante nue au sol, à leur merci d’un air méprisant. Je pense qu’à ce moment, elle sait qu’il n’y a plus de doute sur ce qu’ils vont lui faire. Elle est sûrement résignée. L’homme au couteau la retourne tandis que son compagnon baisse son pantalon et soulève en parti sa cagoule. Il se met sur elle et commence à l’embrasser de partout en se concentrant sur ses seins. Il mord les long tétons.

L’homme au couteau se frotte le sexe. Un voyeur sans doute. Je n’arrive pas à débander. J’aurai dû appeler les flics et les prévenir que ma mère se faisait violer mais non, les pulsions sont trop fortes. J’ai l’impression d’assister à une vidéo en live. Mais là, c’est la réalité et c’est ma pauvre maman qui subit. Pourtant, ma pauvre maman est aussi une femme aux formes excitantes et avec des gros seins qui se font peloter.

L’homme sur elle lui caresse les cuisses musclées tout en ayant la tête plongée dans la paire de seins opulentes. Il profite des formes généreuses de maman à 100 %. Après les seins, il se met à lui bouffer la chatte. Une chatte touffue mais épilée sur les côtés. Je vois tout, tout. Il a la tête entre ses jambes, Sa tête enfoncée dans le sexe de cette femme. Malgré sa condition, l’aspect mécanique prend le dessus et il y éprouve un certain plaisir malgré elle. Il finit alors par se mettre sur elle et introduire son gros sexe dans son vagin. Tout ça devant moi !

Ma mère sent le membre la souiller, la pénétrer, la violer. Elle qui était si amoureuse de son mari, elle qui était chaste en attendant de le revoir une fois par semaine. Voilà que cet homme la viole comme il veut. Il s’approprie son corps. Elle se sent alors comme une putain et elle pleure à nouveau tandis que l’homme lui lime la chatte. Elle sent en elle les aller-retour brutaux. Il gémit tandis qu’elle pleure. Le poids de l’homme sur elle est douloureux et son dos nu sur le sol frotte contre des déchets. On peut entendre le choc des deux corps, de la peau contre la peau.

Au moment où il sent qu’il va juter, il se retire et éjacule sur les seins et le visage de maman. Un jet monstrueux dont une partie tombe dans la bouche de ma mère. Elle est sur le point de vomir sur le coup. Elle a des nausées et recrache le sperme. En voyant ça, l’homme furieux la saisit par les cheveux et lui met sa bite dans la bouche. Elle sent son copain donner des coups de poinçons dans son dos meurtri par le sol. Elle englobe le gros sexe. Ma mère, ma propre mère suçant un étranger comme dans les vidéos. Même si ce n’est pas volontaire, je ne peux m’empêcher de jouir. L’homme n’avait pas encore fini de jouir et se met à juter dans sa bouche. Il y’en a tellement que ça ressort par la bouche.

- Avale salope, avale !

Luttant contre sa révulsion, elle finit par avaler la semence. Il finit par se vider complètement en effectuant une éjaculation faciale. Je n’avais jamais vu quelqu’un avec autant de jus. Les cheveux noirs de maman sont collés de sperme. Elle sent le liquide blanc et chaud couler sur ses seins. Elle reste assise, subissant.

Le troisième à son tour se jette sur elle la bite en avant. Il la bourre comme un lapin excité l’écrasant de tout son poids. Ma mère se laisse faire, ne réagissant pas et surtout, priant que tout ça prenne fin vite. Elle est détachée de son corps malmené. Elle semble un morceau de viande inerte, ses seins bougeant comme deux grosses masses de chair à cause des coups de reins. L’homme reste à la violer pendant une dizaine de minutes qui lui semble une éternité. Margot est inerte, immobile ne réagissant pas. Les bras écartés sont mous, les jambes écartées aussi. La chair de ses cuisses si musclée bouge mollement car elle ne réagit plus. Pareil pour son ventre détendu et ses seins qui semble comme je le disais, deux masses de chair. Ils ont réussi leur coup, la transformer en pantin de chair inerte soumise. La voilà qui s’abandonne, détachée, elle qui a tant de caractère.

Une fois que l’homme lui ait fait son affaire, il se relève la laissant allongée sur le bitume sale. Elle reste au sol, toujours immobile en espérant que cela va cesser enfin. Allez ! Que l’homme au couteau en finisse. Qu’il vienne se vider en elle maintenant. Que ce calvaire cesse. Mais l’homme au couteau n’est pas satisfait. C’est pas ça qui semble le faire bander. Baiser un corps inerte ne le fait pas jouir. C’est sûr il a aimé la voir se faire prendre sans réaction mais ce qu’il aime c’est la domination et il l’a montré tout au long du viol. Il fouille dans la poubelle et en sort une bouteille de vin vide.

- Tenez là et écartez-lui les pattes.

Margot comprend et hurle. On lui met dans la bouche un bout de chiffon sale trouvé à même le sol près des poubelles. L’homme au couteau a emmené du chatterton. Il avait tout prévu depuis le début. Il consolide le bâillon. Les deux hommes la maintiennent cuisses écartées devant lui. L’homme au couteau a pris soin d’enlever les résidus d’étiquettes métalliques autour du goulot. Il prend son temps et le fait devant le regard terrorisé de ma mère qui pousse des hurlements étouffés par le bâillon. La bouteille est bien lisse maintenant. Il lui introduit la bouteille dans le vagin. La douleur est atroce et on a l’impression que les yeux de ma mère vont sortir de leurs orbites. Il parvient à l’enfoncer à la moitié. La chatte est dilatée à son maximum. Dommage, car il aurait aimé l’enfoncer carrément dans les entrailles. Il cherche à nouveau et trouve alors une autre bouteille plus petite. Il refait la même opération et introduit la bouteille dans l’anus. L’opération douloureuse dure au moins un quart d’heure.

N’ayant jamais été sodomisée, il a dû y aller doucement tout en lui lubrifiant l’anus avec de la salive. La souffrance pour ma mère est terrible. La petite bouteille est à son tour enfoncée dans son anus.

- Tenez la bien, maintenant ! dit l’homme au couteau.

Ils la recroquevillent et lui lie les mains et les pieds avec le chatterton. Ses mains sont solidement scotchées avec les pieds. Elle est attachée en grappe. Ils la relâchent et la laissent sur le sol en la regardant. L’homme sort un petit appareil photo et prend des clichés. Puis il sort sa bite et se branle. Il doit avoir l’habitude vu le coup de main qu’il a. Il se met à juter sur elle. Sur les seins, la face et sur ses jambes. Il en met partout en gémissant. Elle est toute collée de partout. Il finit ses clichés et dit :

- Pour ma collection et pour éviter que tu ailles parler aux flics. Ce serait dommage que tes élèves te voient comme ça, ou ton mari. Et les filles du cours de danse. Et oui, on sait plein de choses sur toi.

Ma mère est au sol, elle ne bouge pas. Il sort son couteau, la menace :

- Maintenant écoute salope, tu as vu ce qu’on est capable de faire ! Maintenant tu vas arrêter de te pavaner devant les cités pour provoquer. Si tu as envie de faire la pute, va en ville mais pas ici. Si on te revoit une seule fois à faire ta connasse alors ce sera pire la prochaine fois. On te retrouvera cette fois dans un terrain vague, les tripes à l’air et tes gros seins découpés, tu piges ?

Les paroles sont horribles, ce gars est un véritable psychopathe. Ils soulèvent alors maman et la jette dans les poubelles. L’homme au couteau prend encore quelques clichés de ma mère dans les détritus. Avec le choc, un sac a été percé et tout son contenu nauséabond s’est déversé sur elle. Ils s’en vont en ricanant fortement. Ils laissent ma mère comme ça, attachée, nue avec les orifices défoncés par les bouteilles encore fichés dedans. Après avoir joui à ce spectacle dégradant, j’attends une bonne demi-heure histoire de faire croire au fils qui a cherché sa mère partout. Qu’elle honte j’ai en osant faire semblant de l’aider. Mais jamais je n’oserai lui avouer m’être masturbé en la voyant se faire agresser et violer. Jamais je n’oserais lui dire à quel point j’avais aimé ça.

Je finis par arriver près des poubelles et vois de près maman attachée dans les ordures et l’urine. Cela va faire plus de trente minutes qu’elle est restée dans cette posture, trente minutes attachée dans cette posture humiliante avec les bouteilles dans le vagin et l’anus. Ils sont allés jusqu’au bout dans la dégradation de la femme. Je la détache et la réconforte comme je peux mais elle est traumatisée. Je l’aide à lui retirer des deux bouteilles. D’abord celle dans son cul défoncé. Puis sa chatte violée. La douleur est atroce quand je retire les corps étrangers et elle ne peut plus marcher, ses deux trous écartés au maximum. Il va pourtant falloir retourner à la cité en scooter. Je l’aide à se remettre debout. Je lui passe mon tee-shirt pour cacher sa nudité et ses seins opulents. Il n’est hélas pas assez long pour cacher sa chatte.

Nous parvenons à rentrer en passant inaperçu heureusement. Du moins j’espère que personne ne nous a vu. Déjà que ça radote pas mal sur maman alors si on dit qu’on l’a vue à moitié nue en compagnie de son fils, imaginez. Depuis, on n’a pas trop reparlé de ça et on fait mine d’oublier mais pourtant, malgré l’horreur de l’acte, en y repensant je me masturbe et culpabilise après. Ma mère ne va pas porter plainte par honte de devoir déballer ça à la famille. Elle garde tout pour elle. Sa façon à elle de se venger de cet acte terrible, c’est d’être allée s’acheter immédiatement une minijupe et un nouveau débardeur blanc cassé afin de montrer ses charmes pour faire chier les machos de la cité.

A suivre…

A la merci de mon beau-frère. Ch 03

A la merci de mon beau-frère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes


Récit de Jane SMITH traduit par Coulybaca (2007)

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Le marché.


Après cette dernière rencontre si humiliante avec mon beau-frère j'essayai de l'éviter.  Je me sentais violentée et honteuse d'autant plus que j'avais répondu à ses assauts lubriques.

Mon mari remarqua que je n'étais pas dans mon assiette, mais je trouvai comme excuse que j'avais un début de grippe. Pour compliquer les choses, une nuit que je baisais avec mon mari, il me fit jouir pour la première fois. Nos rapports sexuels se bornaient à des assauts lubriques sur mon corps et mon orgasme était infime comparé à celui que m'avait procuré mon beau-frère, mais c'était vraiment spécial : mon mari était parvenu à me faire jouir.

Il était si heureux, si fier de me procurer enfin un orgasme, mais au fond de ma tête une petite voix murmurait que c'était là une des retombées du viol que Yan m'avait fait subir. Je savais que John serait désespéré s'il venait à savoir que son frère m'avait violé, c'était une raison de plus pour que je me taise.

Il m'était impossible de rapporter ce viol aux autorités sans que mon mari l'apprenne, et je n'étais pas physiquement assez forte pour m'opposer aux volontés de Yan. Je me mis à fréquenter assidûment le club de gym pour me muscler mais Yan était bien plus grand et plus fort que moi, il était invraisemblable que je puisse le battre.

Je suggérai à mon mari que je pourrais prendre des leçons de self-défense, il ne fut pas opposé à cette idée aussi nous cherchâmes un club où m'inscrire. Ils se trouvaient tous dans des villes éloignées de notre résidence et étaient plus tournées vers les arts martiaux que les concepts de self-défense.

Un jour Yan apprit ce que nous recherchions et offrit de m'initier aux techniques de base du combat rapproché. Il se vanta d'avoir tenu des classes d'arts martiaux pendant plusieurs années. Je dus abandonner cette brillante idée. Je réfléchissais toujours à comment sortir de cette situation lorsqu'il m'assaillit de nouveau.

Je ne compris que John se rendait à une de ces réunions matinales qu'en entendant la porte d'entrée se refermer, je réalisai alors qu'il ne se trouvait plus à mon côté dans notre lit. J'étais encore à moitié endormie et j'étais dans les vapes lorsque Yan ouvrit violemment la porte de la chambre avant d'allumer la lumière. Eblouie par la soudaine luminosité j'étais trop occupée à me frotter les yeux pour comprendre la situation. Yan avait baissé dédaigneusement les couvertures et avait repoussé mon tee-shirt au-dessus de mes épaules. Il empoigna mes nibards comme un mort de faim. Je me débattis mais il m'immobilisa facilement et continua imperturbablement ses assauts.

Déjà, mon corps répondit à ses sollicitations, mes tétons dardèrent et ma chatte se crispa spasmodiquement. Désespérée je lui donnai un coup de genou dans l'estomac, il roula sur le côté le souffle coupé. Je rampai hors du lit et je dévalai les escaliers mi courant mi chutant dans ceux-ci.

Il poussa alors un hurlement de rage et j'entendis le bruit de sa course résonner dans mon dos. J'entrai dans la cuisine et m'emparai de mon couteau le plus impressionnant, je me retournai vivement et le pointai sur Yan qui surgissait dans l'entrée. Il stoppa net et fit un pas en arrière, la situation était dans une impasse.

Je me tenais derrière le plan de travail cherchant à reprendre mon souffle le couteau bien en main. Je pus le voir réfléchir, je ne m'attendais absolument à ce qu'il fit. Il fit un pas en avant, la pointe du couteau reposait contre son buste.

- Si tu veux te servir de ton couteau, vas-y ! Sache que tu vas devoir me blesser sérieusement si tu veux m'empêcher de te sauter ! En fait tu devras probablement me tuer ! Comment comptes-tu l'expliquer ? Et même si tu ne faisais que m'entailler, comment l'expliquerais-tu à John ? S'il me le demande, je lui dirai la vérité, ou tout au moins ma version personnelle. Est-ce que tu le veux réellement ?

Je le regardai comme un lapin terrorisé par un cobra. S'il m'avait attaquée, je me serai sûrement défendue avec le couteau, mais il venait de calmer le jeu, et me faisait voir les conséquences de l'emploi d'un couteau pour me défendre.

- A toi de choisir ! Ajouta-t-il en levant la main alors que j'appuyai la lame sur sa gorge.

- Ou tu me tues, ou tu poses ce couteau et tu remontes avec moi dans ta chambre.

J'étais piégée, je posai lentement le couteau sur l'évier et me laissai emmener vers la chambre. J'essayai mollement de me débattre lorsqu'il me fit allonger sur le lit avant de plonger entre mes cuisses. Il captura mon petit clito entre ses lèvres et poursuivit en parcourant ma fentine de la langue, je tremblai comme une feuille, désespérée. On aurait dit que je regardais un tiers subir une agression, que j'étais simple spectatrice.

Il se foutait totalement de mes sensations, il me positionna à quatre pattes et entreprit de me sauter en levrette. Il venait de démarrer lorsque le son de la porte d'entrée que l'on claquait retentit m'arrachant à mon sort. Quelque qu'en soit la raison, John était revenu, je ne pouvais pas me laisser surprendre en train de me faire sauter par mon beau-frère, je repoussai Yan et me précipitai dans le hall d'entrée.

John devait avoir entendu le bruit de mes pas, il tourna la tête vers l'escalier et me regarda. Je m'accrochai à la rampe, m'efforçant d'adopter une attitude naturelle.

- Bonjour chérie ! Je ne voulais pas te réveiller, c'est idiot, mais j'ai oublié mon porte-documents ! Murmura-t-il.

- N'est-il pas trop tard pour te rendre à ta réunion maintenant ? Chuchotai-je pleine d'espoir.

Du coin de l'œil je vis Yan se diriger calmement vers moi. J'essayai de me concentrer sur les explications de Jean qui me disait qu'il leur avait passé un coup de fil pour annoncer son retard, mais qu'ils l'attendaient.

Yan atteignit l'embrasure de porte et s'agenouilla dans mon dos. Il posa les mains sur mes hanches et me força à écarter les cuisses. Je cherchai à l'en empêcher mais je ne voulais pas que Jean se rende compte quelque chose n'allait pas, ce qui minorait ma défense.

Je répondis aux explications de Jean mais mon attention était tournée vers ce que me faisait Yan. Il avait réussi à m'ouvrir les cuisses en grand et il usait de sa langue pour martyriser ma fente alors que ses doigts jouaient avec mon clito dardé.

J'essayai de me concentrer sur ce que me disait mon mari mais cela devenait très difficile, j'avais envie de me tortiller et de gémir, la langue de Yan générait un plaisir non désiré qui irradiait mes reins. C'est alors que je m'alarmai, Jean gravissait les premières marches pour me donner un bisou d'adieu.

Je me penchai au-dessus de la rampe pour l'embrasser arrêtant ainsi sa progression. Ce faisant il ne pouvait se rendre compte de ce que me faisait son frère, en contrepartie, ce geste livra totalement ma chatte à la merci de Yan qui en profita sur-le-champ.

Jean me sourit et caressa rapidement mes nibards, qui se balançaient mollement du fait de ma position, tout en m'embrassant. C'en était trop, je ne pus m'empêcher de pousser un gémissement. Jean fut surpris de me voir répondre aussi vivement à ses caresses et m'embrassa gentiment les deux mamelons en retour. Je gémis à nouveau alors que mes tétons s'érigeaient sous les caresses de Yan qui intensifiait ses caresses labiales.

Jean suçota mes mamelons me susurrant des petits mots d'amour qu'échangent mari et femme lorsqu'ils font l'amour, puis m'embrassa de nouveau. Je l'embrassai en retour, refreinant désespérément l'orgasme qui n'allait plus tarder à me terrasser.

- Je dois y aller. Je suis déjà très en retard et je n'aime pas trop faire attendre mes collaborateurs. On se couchera tôt ce soir pour reprendre cette conversation. Tu ferais mieux de retourner rapidement au lit afin d'éviter de réveiller Yan ! Je sais à quel point tu te sentirais gênée s'il sortait de sa chambre et te trouvait pratiquement à poil !

Il me donna un dernier baiser, caressa une dernière fois mes nichons, inconscient que son cher frère me baisait deux doigts plantés dans la chatte tout en me dévorant le clito. Je ne savais pas si je devais me plaindre ou me réjouir de voir Jean partir.

A l'instant même où la porte se referma dans le dos de Jean, Yan se redressa et enfourna sa grosse bite dans ma foufoune embrasée. Je m'accrochai à la rampe, accompagnant chaque coup de boutoir. J'entendis distinctement partir la voiture de mon mari alors le premier orgasme me submergea. Yan éjacula rapidement au fin fond de mon utérus et s'effondra contre mon dos. Je le sentais qui riait dans mon dos, mais j'étais loin de m'en soucier. Ma seule pensée était que je n'étais pas rassasiée. Lorsque Yan me poussa sur les genoux et brandit sa bite devant mon visage, je n'hésitai pas un instant. Je le suçai et léchai de tout mon cœur dans ma hâte de le voir bander à nouveau.

Je ne fis pas plus de résistance lorsqu'il me ramena dans la chambre et m'allongea sur le lit avant de m'inviter à monter sur lui. Je le chevauchai comme un mustang sauvage, broyant mon clito contre son pubis, m'empalant durement sur sa bite alors que je rebondissais d'orgasme en orgasme.

Puis les orgasmes diminuèrent d'intensité et je m'effondrai sur son torse, attendant qu'il jute enfin dans mon fourreau.

- Bon veux-tu conclure cette bonne séance de baise maintenant ? Cesseras-tu de me combattre ? Susurra Yan l'air satisfait.

- Que veux-tu dire ? Lui demandai-je intriguée.

- Ouais, j'en ai marre de devoir me battre avec toi avant de te baiser. Je veux que tu fasses ce que je te dirai dorénavant, sans protester, sans résister. Si tu refuses, je dirai à Jean ce qui vient de se passer entre nous aujourd’hui. Je lui dirai que pendant qu'il embrassait sa petite femme chérie, j'avais ma langue fourrée dans sa fente et que cinq minutes plus tard on se faisait une extraordinaire partie de baise.

- J'en ai marre de toi et de tes menaces. Rétorquai-je le provocant en quelque sorte.

Et j’ajoutai :

- Vas-y et dis-lui ce que tu veux. Je lui raconterai que tu tiens ces propos parce que tu es jaloux de notre bonheur. Que tu as déjà gâché tant de choses ! Et je crois que c'est moi qu'il croira !

Yan me gifla durement en plein visage, et m'attrapant par les cheveux il me regarda droit dans les yeux. Il gronda sauvagement :

- Ecoute-moi bien petite pute. J'ai entendu le moindre mot de ce qu'il te disait, y compris tous ces petits noms dont il a affublé ta chatte et tes tétons. Comment pourras-tu lui expliquer que je les connaisse ?

 Une fois de plus j'étais piégée, mais déjà je cherchais un autre moyen de m'en sortir.

- Tu veux que je me laisse faire sans me débattre ? Lui demandai-je doucement en réfléchissant à toute vitesse.

- Peut-on encore appeler ça un viol alors que tu y prends autant de plaisir ma petite salope ? Commenta-t-il cyniquement.

- Si je ne veux pas le faire, c'est bien un viol ! Repris-je avec rage.

Puis je dis :

- Et quel avantage tirerai-je de me laisser faire ?

- A part que je ne vendrai pas la mèche à Jean, 5 ou 6 orgasmes chaque fois que je te baiserai ! Que voudrais-tu de plus ?

- Je ferai ce que tu voudras à la seule condition que tu déménages dans un mois. Lui répondis-je fermement.

En ne lui laissant pas beaucoup de temps de cohabitation avec moi, je pourrai facilement éviter de rester seule en sa compagnie pensais-je avec optimisme. Je ne voyais pas d'autre moyen de me tirer de ces sales draps.

- Je pense que je peux me satisfaire de ta proposition, tu seras mon esclave sexuelle jusqu'à la fin du mois. Tope là, le marché est conclu, je suis d'accord !

- Pour moi aussi !

- C'est d'accord, désormais lorsque Jean partira de bon matin travailler j'attendrai bien au chaud dans mon lit que tu viennes me sucer la bite ! La première chose que je veux voir en ouvrant les yeux c'est ta chatte, d'accord ? Tu ne rouspéteras plus ni te débattras, tu m'obéiras au doigt et à l'œil à partir de cet instant. Et maintenant nettoie ma bite avec ta bouche, je vais finir par me mettre en retard !

Espérant désespérément avoir fait le meilleur choix possible, je lui obéis docilement.


A suivre…


Le chantage de Summer Ch. 06

Le chantage de Summer - récit érotique  domination soumission professeur chantage

Traduction d'une histoire de Wilcox010.

************

Et encore des piercings pour Summer.

Résumé : Summer WAYNE est maintenant complètement soumise à son élève devenu son Maître, Todd SPILLERS qui la fait chanter. Avec succès, il commence à convertir son professeur d'anglais en salope et esclave sexuelle. Il l'a amené dans un salon de piercing où Marco, son ami, vient de percer les deux mamelons ainsi que l'oreille de sa soumise.

Le regard de Marco se porte ensuite sur le mont du pubis complétement rasé et à la chatte qui réagit sous l'effet de l'œuf vibrant. Il a délibérément laissé le temps à Sarah de jouer avec les différents niveaux de puissance de l'objet. L'homme regarde le petit mouvement de hanche de sa cliente qui révèle que l'œuf a sur elle les effets escomptés. Il demande à son assistante :

- A quel niveau de puissance es-tu?

Sa réponse le surprit :

- Je ne suis qu'au cinquième niveau. Je voulais aller doucement pendant que vous perciez l'oreille. Et je me disais que vous vouliez peut-être la stimuler en tordant ses mamelons.

Marco regarde Sarah et dit :

- Je ne suis pas sûr que ses mamelons puissent subir des torsions. Je ne veux pas que les piercings aient trop de jeu. Je pense que son Maître s'amusera à les tordre alors qu'elle sera assise sur sa queue. Mais je peux peut-être les stimuler sans les tordre.

Summer qui écoute la conversation dit alors :

- S'il vous plaît Marco, ne faites rien à mes tétons. Je ne crois pas pouvoir le supporter.

- Ne t'inquiète pas Summer. Je ne vais pas toucher tes mamelons avec mes mains. Mais j'ai un petit instrument électronique que tu vas apprécier je pense.

L'enseignante supplie encore :

- Mais pourquoi vouloir stimuler encore plus mes mamelons? Je suis déjà complétement excitée avec cet œuf en moi. Est-ce que ma chatte n'est pas déjà assez engorgée pour que vous puissiez continuer à me dégrader?

Marco demande à Sarah :

- Sarah, est-ce que les lèvres de sa chatte sont assez gonflées?

- Non Marco, il faut encore travailler son sexe pour que vous puissiez terminer votre travail en toute sécurité.

L'homme regarde Summer et lui dit :

- Tu veux que je sois prudent non? Tu ne veux pas que j'abime une aussi belle chatte.

Summer dont les larmes recommencent à jaillir s'agite et essaie de sortir ses mains des attaches. Elle lève son torse aussi loin que possible et tire sur les liens qui retiennent ses poignets attachés. Ses mouvements provoquent des lignes rouges autour de ses poignets et les sangles autour de ses chevilles commencent à faire la même chose.

- Détends-toi s'il te plaît Summer. Je ne veux pas que tu te blesses. Je te promets que je ne suis pas loin de pouvoir percer tes petites lèvres. Mais celles-ci doivent être bien prêtes auparavant. Déclare Marco pour la calmer.

Sarah, voyant l'enseignante se détendre un peu, tourne le commutateur de l'œuf de la puissance cinq à la puissance huit. Ça donne comme un coup de fouet au corps de Summer. Elle saute presque de la table sous les vibrations intenses de l'œuf. Elle claque ses hanches contre le vinyle de la table d'examen et appuie sa tête en arrière.

A ce moment, Marco peut placer une petite électrode ronde sur les deux pointes des mamelons de sa cliente. Il tourne un bouton pour démarrer l'appareil et le courant passe dans les électrodes. Cette machine n'a pas de régulateur de puissance. Les seins de Summer reçoivent brusquement un petit choc électronique.

Alors que l'anesthésiant commence à ne plus faire effet, les chocs de l'appareil causent une douleur aux seins de Summer, une douleur qu'elle n'a jamais connu dans sa vie. Elle a l'impression qu'on lui arrache le bout des seins. Ses tétons durcissent comme jamais auparavant. La douleur descend de ses seins dans son sexe et son clitoris accentuant la stimulation de l'œuf vibrant que Sarah a positionné à la puissance neuf. L'assistante sait que lorsqu'elle montera à la puissance dix, Summer aura un orgasme qui la fera tomber dans les pommes. L'idée est de prolonger l'orgasme de façon qu'après avoir joui, elle soit inconsciente assez longtemps pour que Marco puisse exercer son art sur les petites lèvres.

Après un clin d'œil complice de son employeur, Sarah est prête à enclencher la puissance maximale. Mais d'abord elle veut voir si l'enseignante est bien humide. Elle se positionne entre les jambes toujours soutenues par les étriers. Elle se penche pour avoir les yeux au niveau du sexe de la femme. Elle peut voir clairement le jus qui s'échappe lentement du vagin. Elle tire légèrement sur la ficelle de l'œuf vibrant et glisse ses doigts dans l'ouverture.

Une fois que son majeur et son index sont bien raide dans la chatte de Summer, elle masse les parois du vagin, commençant l'étape finale où Sarah espère que Summer aura le plus fantastique orgasme de sa vie.

L'enseignante surmonte la douleur intense dans ses mamelons. Ce n'est pas le genre de douleur qu'elle a pu apercevoir dans les films de guerre et de torture que son mari aime regarder. Surtout qu'elle se masque les yeux pendant que les femmes sont torturées. Là, sa douleur est réelle. Et combinée avec les vibrations de l'œuf et maintenant les doigts de Sarah, son corps se tord.

Elle se tortille sur la table sous l'effet de toutes ces sensations. L'œuf vibrant touche des zones de sa chatte qu'elle n'a jamais atteint auparavant, même avec le gros gode noir.

Sarah lève les yeux vers Marco. Celui-ci est fasciné par le spectacle. Le regard de l'assistante se porte sur le bas-ventre du corps souple de son employeur. Il est évident que ce qu'elle fait lui plait. Sarah avait eu le privilège de pouvoir partager son lit de nombreuses fois. Elle connait la courbure de sa queue et comment au lieu de plier à droite ou à gauche elle a une courbe ascendante. Cette forme lui permet de pleinement satisfaire les femmes. Sarah se demande comment Summer allait apprécier.

Au même moment elle est tirée de ses pensées par Marco qui lui demande de monter l'œuf à la puissance dix. Avec son pouce, elle appuie lentement pour accélérer l'objet vibrant. Il était presque impossible de croire que ce petit dispositif pouvait infliger une si forte simulation dans le vagin d'une femme.

Quand le niveau dix est atteint, les épaules et la tête de Summer s'enfonce dans la table d'examen tandis que ses hanches se soulèvent et que son corps se tend aussi loin que le permettent les fixations. Puis ses yeux roulent dans leurs orbites et elle crie sa jouissance.

L'orgasme dure près d'une soixantaine de secondes. Lorsque finalement son corps retombe sur la table, elle sombre dans l'inconscience.

Summer est réveillée par le doux son de la voix de Sarah :

- Summer, réveillez-vous. Vos piercings sont très jolis et je pense que vous en profiterez beaucoup.

Pendant qu'elle sort lentement de son coma orgasmique, l'enseignante éprouve comme une sensation étrange de ballonnement dans son ventre. Ses mains ne sont plus liées à la table mais ses pieds sont toujours dans les étriers. Elle pose ses mains sur son ventre et regarde Sarah qui sourit :

- Nous vous avons fait un lavement. Nous avons pensé que vous devriez être propre et nous avons profité de l'occasion que vous étiez inconsciente pour administrer un peu de liquide tiède dans votre colon.

En regardant Sarah dans les yeux, Summer demande :

- Pourquoi l'avez-vous fait?

- Eh bien, c'était une des instructions de Todd.

- Je ne me sens pas bien. Dit Summer.

Douce, Sarah répond :

- Je vais vous aider à vous lever et je vais vous montrer la salle de bain.

Elle déplace les chevilles de Summer pour les retirer des étriers. L'enseignante remarque qu'elle porte encore son soutien-gorge, le porte-jarretelle noir, ses bas assortis et ses talons rouges. Quand elle pose les pieds sur le sol en linoleum, elle essaie de se lever mais sa tête tourne d'être restée allongée si longtempse.

- Attendez une minute Summer. Laissez votre tête s'habituer à être debout. Dit Sarah.

Summer sent les mains de l'assistante se poser sous son coude droit et dans son dos. Elle sent Sarah lui masser le dos d'une manière douce et agréable. Assise, elle commence à se demander comment sont les piercings sur les lèvres de sa chatte. Elle baisse les yeux et remarquent que ses mamelons sont encore dressés et tenus par les petits bâtons dorés. Elle est surprise de ne pas sentir de la douleur mais seulement une petite gêne.

Quand elle pense que Summer est prête, Sarah tire sur son coude et l'aide à se mettre debout à côté de la table. L'enseignante se stabilise avec sa main gauche posée sur la table. Elle s'immobilise et demande :

- Je dois aller à la salle de bain. Où est-ce?

Sarah répond :

- Tout droit. Je vous accompagne.

Sarah va vers la porte et l'ouvre. Une fois dans le couloir, elle guide sa patiente sur la gauche vers les toilettes clairement identifiées. Alors que les deux femmes atteignent la porte de la salle de bain, celle-ci s'ouvre et une femme de l'âge de Sarah en sort. Elle regarde Summer et dit :

- Marco n'est-il pas merveilleux?

Summer peut voir plusieurs piercings sur le visage de la jeune femme et elle se demande où elle peut être encore percée.

Laissant ses pensées de côté, elle entre dans la première cabine, juste à temps pour laisser ses entrailles se vider. Elle est étonnée de la quantité de liquide qui sort de ses intestins. Soulagée lorsqu'elle ne sent plus de pression dans son ventre, elle s'attarde quelques minutes. Puis elle entend un coup sur la porte de la cabine.

- Ça va? Demande Sarah.

Summer se nettoie et sort de la cabine pour se trouver face à face avec Sarah pour la première fois. L'assistante mesure la même taille qu'elle mais ses seins sont plus petits. Elle sent un doux parfum et Summer espère que ses odeurs corporelles dues au lavement ne dégoutent pas Sarah. Mais celle-ci dit :

- Venez ici Summer, laissez-moi vous aider à vous nettoyer.

L'enseignante sent les mains de l'assistante l'attraper et commencer à frotter son bas-ventre avec un mélange tiède. Tandis qu'elle parcoure son corps, Summer ressent encore les effets chauffants de la lotion qui lui avait été appliquée. Quand le lavage atteint ses fesses, elle est poussée vers le bas contre le lavabo par les mains de Sarah.

Elle est obligée de poser ses mains à plat sur le meuble. Pendant ce temps, l'assistante écarte ses fesses et nettoie avec de l'eau chaude son anus. Summer. Alors qu'elle semble s'attarder un peu trop sur son intimité, Summer tente de se relever. Mais la main ferme de Sarah sur son dos l'oblige à rester baissée.

- Summer, je veux que vous écartiez les jambes très largement. Je dois mettre un peu de crème lubrifiante sur votre anus. Déclare Sarah.

L'enseignante regarde par-dessus son épaule gauche et demande :

- Mais pourquoi ai-je besoin de lubrifiant?

Sarah répond rapidement :

- Summer, si j'étais vous et que l'on m'avait dit d'obéir alors je ne poserai pas de questions. Maintenant penchez-vous et laissez-moi faire mon travail.

Summer sent la pression exercée par la main de Sarah sur son dos. Alors elle obéit et sent le froid du formica contre ses seins. Sa nouvelle boucle d'oreille se pose contre le meuble.

Maintenant que l'enseignante ne bouge plus, la face sur le comptoir, Sarah écarte ses fesses et étale un lubrifiant spécialement composé par Marco. Par expérience, l'assistante sait que cette pommade donne une sensation de fraicheur au début mais que par la suite la femme ressentirait une démangeaison qu'elle voudrait faire cesser à tout prix.

Summer sent les doigts de Sarah qui étale le lubrifiant sur son cul rasé de frais. Ce n'est pas le geste mais la position qu'elle est obligée de prendre qui l'humilie. « Pourquoi doit-elle être traitée de cette façon par une autre femme », se demande Summer.

Au même moment elle sent un doigt de l'assistante glisser à l'intérieur de son anus. Elle sert son sphincter pour essayer d'empêcher l'invasion mais le lubrifiant fait son effet et facilite l'intromission. Bientôt, elle sent un second doigt pénétrer son anus qui n'offre plus de résistance. Sarah commence à limer le trou du cul avec ses deux doigts. Summer n'a pas encore réalisé que le lubrifiant allait la forcer à réclamer une relation sexuelle à Marco. Quand Sarah voit que ses doigts entrent jusqu'à la dernière phalange, elle les immobilise, laissant les trois autres posés contre les fesses de l'enseignante. Elle veut que les muscles du sphincter se détendent complétement avant d'introduire l'œuf noir qui avait déjà poussé sa cliente à l'orgasme. Puis elle écarte ses doigts dans le cul et quand elle considère qu'il est prêt elle chuchote à l'oreille de l'enseignante :

- Détendez-vous Summer. Je vais introduire quelque chose dans votre cul. Ça ne vous feras pas mal sauf si vous vous débattez.

Sarah retire ses deux doigts et constate qu'ils sont propres. Le lavement avait été efficace. Elle prend l'œuf dans sa poche et positionne l'extrémité sur l'anus de Summer. Avec une petite poussée, l'objet rentre sans résistance. Summer essaie quand même de se dégager mais le meuble bloque ses cuisses et elle ne peut éviter l'insertion de l'œuf.

Avec son index, Sarah peut pousser un peu plus profond le jouet vibrant. Et il ne reste visible que le cordon qui servira à retirer l'œuf plus tard. Ayant terminé, l'assistante dit alors :

- Vous pouvez vous redresser maintenant Summer. Il faut que l'on regarde vos nouveaux piercings.

Quand l'enseignante se relève, l'œuf à l'intérieur de son cul lui cause une petite gêne dans le ventre. Lorsqu'elle se retrouve droite, elle sent les mains de Sarah sur ses hanches et son corps qui se presse contre son dos. Puis les mains glissent lentement sur ses hanches. Elles descendent jusqu'à sa chatte fraichement rasée et vont directement sur les petites lèvres. Summer peut sentir les doigts les écarter. Pour la première fois, elle voit alors les deux anneaux d'or qui ornent son sexe. Ils sont assez fins Mais l'enseignante est choquée de les voir si bien se démarquer sur sa chatte rasée. Sarah tout en maintenant les lèvres écartées lui dit :

- Summer, je veux que vous remplaciez mes mains par les vôtres. Je veux que vous preniez le temps de regarder vos piercings pendant que je vous explique comment les nettoyer et prendre soin d'eux. Vous savez que vous ne pouvez pas les ôter n'est-ce pas?

Sarah regarde le visage de Summer tandis que celle-ci remplace ses mains par les siennes sur sa chatte. Elle se rend compte que l'enseignante est surprise par la taille des anneaux. Sarah sait qu'ils sont plus grands que ceux qui sont dans son propre sexe. Après lui avoir expliqué la procédure à suivre pour entretenir l'hygiène des anneaux elle dit à Summer :

- Vous devez comprendre que votre Maître vous a marqué avec son choix personnel de bijoux. Il a choisi des ornement simples mais permanents.

Après cela, Sarah prend Summer par le bras pour la sortir de la salle de bain et l'accompagner dans le couloir jusqu'à la salle numéro 7. Summer est dans un état second, encore choquée par ces piercings que Todd lui a imposés. En marchant, elle se demande comment, lors du premier soir du retour de son mari James, elle va lui expliquer pourquoi elle a tous ces bijoux.

Quand elle entre dans la salle, elle voit Marco assis à la table tenant dans ses mains la télécommande de l'œuf. Dès que Sarah a fermé la porte, il met en marche le mécanisme et l'œuf revient à la vie dans l'anus de l'enseignante.

- Oh mon Dieu! Qu'est-ce que vous me faites? Demande Summer.

Marco ne répond pas immédiatement. Il veut voir la réaction de sa cliente alors qu'il monte l'intensité sur chacun des cinq premiers niveaux. Il sait qu'au cinquième niveau, les vibrations combinées avec l'effet du lubrifiant spécial, la femme ferait tout ce qu'il voudrait. Tandis que l'œuf commence à travailler, Summer est forcée par les vibrations de se pencher sur la table pour se stabiliser.

Quand l'œuf arrive au niveau 5, tout le corps de l'enseignante tremble et est excité à travers son trou du cul. Elle n'avait jamais permis à son mari d'introduire un quelconque objet à cet endroit. Mais voilà qu'un étranger, Marco, y a mis le même œuf noir qui l'a poussé à l'orgasme sur lequel elle s'est évanouie auparavant. Elle sent que son cul est en feu sous l'action du lubrifiant spécial.

Marco regarde Summer qui est penchée sur la table. Il peut voir que ses jambes sont légèrement écartées ce qui lui donne une bonne vue sur la chatte rasée et les deux anneaux qui percent les petites lèvres. Marco augmente d'un niveau l'intensité de l'œuf et il voit le dos de sa cliente s'arquer. Il sait que bientôt elle lui demandera d'arrêter l'appareil. Il sait aussi qu'avec le lubrifiant spécial elle aurait une excitation qui ne pourrait être calmée qu'avec sa bite.

Marco hoche la tête en direction de Sarah. Celle-ci comprend alors qu'il est temps pour elle d'étaler un peu du lubrifiant sur le clitoris de l'enseignante. Avec son expérience, elle sait qu'au moment où elle va toucher le clito de Summer, un orgasme va commencer, le premier de beaucoup d'autres. Quand le doigt de Sarah, couvert de pommade, entre en contact avec le pauvre clitoris de l'enseignante, celle-ci essaie immédiatement de se relever mais la main ferme de Marco la maintient penchée.

Dès que Sarah applique le lubrifiant, Summer sent de la chaleur émaner de son clitoris. Elle essaie de serrer les jambes pour tenter de juguler cette sensation. Mais les doigts de l'assistante s'attardent et massent la région ainsi que ses petites lèvres. Puis, Sarah insère son majeur et son index dans le vagin ouvert de Summer. Elle les enfonce au plus profond du sexe de sa victime. Sarah peut sentir les parois de la chatte se resserrer sur ses doigts. Puis elle et Marco entendent subitement crier Summer qui dit :

- Ah mon Dieu, je vais encore jouir...

Sans égard pour leur victime, les doigts de Sarah continuent à travailler dans son sexe tandis que Marco augmente l'intensité de l'œuf planté au plus profond du cul de Summer. Il peut encore voir le cordon mais il sait que l'œuf est surement plus profond qu'aucun autre objet auparavant. Quand le niveau arrive à 9, Marco peut voir que l'enseignante est prête pour sa prochaine demande.

Summer sent l'intensité de l'œuf augmenter et elle sait qu'un orgasme se construit à l'intérieur d'elle. Elle ressent une chaleur intense dans son clitoris et son vagin. Elle essaie de serrer les cuisses pour coincer les doigts de Sarah et essayer de stopper les démangeaisons dans son sexe, mais en vain. Puis elle entend Marco demander :

- Summer? Es-tu prête pour que je te baise?

Les yeux vitreux, elle répond :

- Marco s'il vous plaît, éteignez l'œuf et arrêtez l'excitation sur mon sexe.

- Summer, je peux faire tout cela mais tu dois d'abord me supplier de te baiser.

Pendant que les vibrations de l'œuf continuent, Summer est submergée par la stimulation des doigts de Sarah qui sont encore complètement insérés dans sa chatte. La chaleur du lubrifiant avait l'impact attendu sur la pauvre femme, ce qui fait sourire Marco. Summer supplie :

- Marco, s'il vous plaît, arrêtez...

Le corps de l'enseignante se met à trembler alors que les prémices de son deuxième orgasme se font sentir. Elle regarde par-dessus son épaule avec des yeux mi-clos et demande :

- Marco, s'il vous plaît, n'arrêtez pas, je suis pas loin de l'orgasme. S'il vous plaît, laissez-moi jouir.

Ce à quoi Marco répond :

- Eh bien salope, qu'est-ce que je reçois en récompense si je te laisse jouir?

Une réponse rapide vient :

- Marco, s'il vous plaît, laissez-moi jouir. Je ferais tout ce que vous voudrez, S'IL VOUS PLAIT...

Souriant intérieurement Marco est content qu'elle ait dit les mots magiques. Il avait voulu entendre ce professeur d'anglais mature le supplier. Il lui dit :

- Summer, je vais ralentir l'œuf mais je veux que tu montes sur la table, que tu t'allonges sur le dos et tu te caresses pendant que Sarah et moi nous regardons.

Sans hésitation, Summer se retourne pour s'assoir avec l'aide d'un tabouret sur le bord de la table. Puis elle s'allonge et écarte les jambes avant de laisser sa main droite glisser vers le bas de son corps, vers sa chatte rasée et son clitoris.

Une fois que les doigts de l'enseignante commencent à caresser son clito, Marco joue avec l'intensité de l'œuf vibrant. Après l'avoir redescendu au niveau un, il le remonte lentement jusqu'au niveau huit. Et pendant que la femme joue avec son clitoris il s'approche de la table. Il a déjà enlevé son pantalon et son caleçon. Sa queue est bien érigée et vise la chatte percée de l'enseignante.

Puis, soudain, il arrête les vibrations de l'œuf et il attend la réaction de Summer. Celle-ci ne tarde pas à supplier :

- Marco, s'il vous plaît, rallumez l'œuf je suis si près de jouir.

Mais, malin Marco demande :

- Mais je ne reçois rien de toi Summer. Que me donnes tu si je rallume l'œuf?

- Je ferais tout ce que vous me demanderez si vous remettez en route l'œuf. Répond rapidement Summer.

- Summer? Je vais te pénétrer avec ma bite.

- Oui Oui, s'il vous plaît, baisez moi Marco.

Savourant ce moment, l'homme questionne encore :

- Dis-moi ce que tu veux salope!

- Je veux votre bite. Gémit Summer.

Marco se déplace lentement vers la chatte humide de l'enseignante. Et quand sa queue touche les petites lèvres, il remet en marche l'objet vibrant directement au niveau 10. Puis il insère la tête de sa bite sans la cavité humide alors que sa cliente jouit puissamment, le jus de sa chatte inondant son membre recouvert d'un préservatif. Il a mis une capote pour que son sexe n'entre pas en contact avec le lubrifiant spécial. Il sait que quand il approchera de l'éjaculation, il forcera sa bite dans la gorge de la femme.

Marco pilonne la chatte de Summer pendant que l'objet vibrant va la forcer à un autre orgasme. L'homme a baisé beaucoup de femmes dans sa vie mais jamais une mature aussi sexy que celle-là. Il essaie d'imaginer les choses que Todd va obliger à faire à sa soumise.

Marco ralentit son assaut de la chatte de la pauvre enseignante. Il établit un rythme plus adapté à une longue séance de baise. Il voit que sa partenaire n'est pas loin de jouir et il veut sentir les parois du vagin se resserrer sur sa bite.

Soudainement, Summer hurle :

- Oh mon Dieu , Oh mon Dieu... Baisez moi!

Marco intensifie ses mouvements de va-et-vient dans le sexe féminin. Il commence à pousser sa queue incurvée plus vers le haut afin de trouver le point G de Summer, espérant le frapper en même temps qu'elle jouit. Le dernier coup, son gland semble glisser dans une ouverture plus profonde du sexe de la femme. Il tape contre la zone magique.

Marco baisse les yeux et voit que les yeux de l'enseignante sont grand ouverts et qu'elle grogne à chaque coup de piston. Il décide de faire une pause juste à l'extérieur du point G de la chatte. Immédiatement il entend :

- Marco, s'il vous plaît, continuez. Je suis prête à jouir. Je veux votre bite au fond de moi. S'il vous plaît laissez moi jouir.

Joueur, Marco demande :

- Salope, tu aimes ma bite?

Summer ne peut que répondre :

- Oui.

Marco continue à narguer la femme :

- Je vois bien que tu aimes ma bite. Il est plus grand que celui de ton mari non?

- Oui Marco il est plus grand, il touche des endroits que n'a jamais atteint mon mari.

- Alors supplie moi encore.

- Marco, s'il vous plaît baisez moi. Votre queue est si bien à l'intérieur de mon ventre.

Summer ne peut croire que ces mots sortent de sa bouche. Elle aime son mari James. Elle ne l'a jamais trompé. Mais voilà qu'elle supplie un autre homme d'enfoncer sa queue dans son vagin. Elle ne pense pas à l'œuf et au lubrifiant qui la poussent à réagir ainsi.

Marco se penche en souriant et demande encore à Summer :

- Salope, dis-moi ce que tu veux.

Avec un regard suppliant, elle plaide!

- J'ai besoin de votre queue et je dois jouir. S'il vous plaît, mettez votre grosse bite dans mon ventre...Je veux jouir.

Marco prend cela comme un signal et il met l'œuf à la puissance 10 tout en enfonçant sa queue profondément à l'intérieur de Summer. Dès que le corps de celle-ci ressent les puissantes vibrations ainsi que le sexe de Marco qui frappe son point G, elle explose dans un orgasme de forte puissance. Elle se tortille et se cabre sur le sexe de l'homme.

Et alors que Summer commence à se remettre de sa jouissance, Marco recommence à pistonner la chatte de l'enseignante. Avec la courbure unique de sa queue, il force son membre dans et hors du point G de la femme. Il peut sentir le col de l'utérus accepter puis essayer de retenir sa bite à chaque coup. A chaque fois que son sexe tape au fond du ventre de Summer, il voit le corps de sa partenaire s'arquer.

Tandis qu'il la pénètre encore et encore, Summer commence à s'appliquer à l'aider. Elle lève les jambes pour les mettre autour du torse de l'homme. Ensuite elle tend les mains pour pouvoir mettre ses bars autour de son cou. Et elle supplie

- Marco, s'il vous plaît, baisez-moi encore plus durement. Je veux sentir votre sperme en moi.

Marco répond :

- Ah Summer, vous êtes géniale. Mais je ne vais pas jouir dans ton ventre. Je ne veux pas que du lubrifiant touche ma bite sinon je ne vais pas débander de la journée. Non, je vais encore te baiser puis j'éjaculerai sur tes belles lèvres sexy.

Après ces mots, Marco devient une machine à baiser. Sa queue claque dans les régions les plus profondes de la femme et ses couilles giflent ses fesses à chaque poussée. Quand il se rend compte qu'il va bientôt venir, il se penche et met ses mains sur les tétons de Summer pour commencer à les tordre. Comme elle ne réagit pas immédiatement, il saisit chaque mamelon par son piercing et il les tire aussi fort qu'il le peut. Il obtient enfin la réaction voulue de Summer qui supplie :

- AIE! Vous arrachez mes seins. Ça fait mal, arrêtez s'il vous plaît!

Mais avant qu'elle ne puisse se plaindre à nouveau, la force de la queue de l'homme, la vibration maximale de l'œuf dans son cul et l'excitation due au lubrifiant lui causent un nouvel orgasme. Pendant qu'elle se tord sur la table, Marco continue à pilonner sa chatte dégoulinante.

Quand elle se calme, Marco retire son membre. Il voit encore le cordon qui permet de retire l'œuf de l'anus de la femme. Il pense que Sarah ne sera pas obligée d'introduire ses doigts pour récupérer l'objet. Justement il coupe le mécanisme de l'objet vibrant car il ne veut pas que le cul de Summer soit trop irrité, ça pourrait déplaire à Todd

Marco se déplace à la tête de la table et il enlève le préservatif de sa queue encore érigée. Il presse sur une pédale qui abaisse le bout de la table. Lorsque la tête de Summer est au niveau de son bas-ventre, il avance et place son gland sur les lèvres le l'enseignante. Celle-ci est assez longue à réagir mais elle se souvient de ce qu'a dit l'homme. Alors elle ouvre la bouche. Marco y pousse lentement sa bite. Bientôt il sent son gland taper le fond de la gorge de Summer. Il fait une pause. Il sait que la courbure unique de son membre, combinée avec la position de la tête de la femme rendrait plus facile l'introduction complète de sa queue dans la gorge. Il lui suffit d'être patient.

Quand il sent les lèvres de sa partenaire serrer sa bite, il commence à baiser sa bouche. Et lentement, à chaque poussée, il s'enfonce de plus en plus au fond de la gorge de Summer.

En même temps, Sarah commence à tirer sur le cordon pour retirer l'œuf. Alors qu'elle tire, elle peut sentir le corps de l'enseignante essayer de résister au retrait. Mais lentement, Sarah amène l'objet à la sortie du cul de Summer. Puis avec une traction rapide, l'assistante est en mesure d'extraire l'œuf noir. Elle constate qu'il y a très peu de fluide corporel dessus. Elle est convaincue que le lavement donné plus tôt avait été efficace.

Summer gémit quand elle sent que l'on retire l'œuf de son cul. Elle a bien essayé de résister en serrant les muscles du sphincter mais elle n'a pas réussi. Elle a du mal à respirer quand Marco enfonce sa longue bite de plus en plus loin dans sa gorge.

Puis elle sent des doigts sur son clitoris. Elle tend ses mains pour essayer de les repousser mais en vain. Elle ne peut éloigner la main dont les doigts tripotent son clito de façon experte. Elle réalise soudain qu'il s'agit de la main de Todd, son élève et Maître, qui s'est glissé silencieusement dans la salle.

Elle gémit sous la stimulation et commence à se tordre sur la table d'examen. Todd est peut-être jeune mais il sait y faire. Ses doigts manipulent son clitoris d'une manière magique et la queue dans sa gorge grossit. Puis elle sent la bite de son Maître se présenter à l'ouverture de sa chatte. Elle écarte les jambes pour permettre au membre de se glisser plus facilement en elle. Todd enfouit sa queue complètement à l'intérieur de son professeur soumis. C'est la première fois qu'il met son sexe dans la chatte de Summer. Jusque-là elle ne l'avait que sucé.

Marco et Todd travaille de concert pour baiser la professeure d'anglais. Quand Todd enfonce sa jeune mais grosse bite dure de 23 centimètres dans la chatte humide, la poussée fait que la queue de Marco s'enfonce plus profondément dans la gorge de la femme.

Marco est désormais en mesure d'enfiler complètement son membre dans la gorge de Summer. Celle-ci est étonnée de pouvoir l'accepter aussi facilement sans perde sa respiration. Elle remarque que la courbure du sexe s'adapte parfaitement à sa gorge. Alors elle laisse simplement les poussées de Todd forcer la bite de Marco dans sa bouche. Elle entre dans le rythme des deux hommes et se concentre sur la queue de son Maître qui se rapproche de son point G.

Summer enroule ses jambes autour du torse de Todd et avec ses talons, elle le tire plus profondément dans sa chatte. Cette action permet au membre du garçon de trouver le point de jouissance de Summer. De nouveau, elle subit un orgasme. Marco, ne voulant pas remplir la gorge de la femme avec son sperme, il retire sa queue et éjacule sur ses lèvres et son visage. Puis un dernier jet de sperme atterrit sur le sein droit de la femme. Marco prend sa queue dans la main et frotte le reste de sperme sur le nez et le front de l'enseignante avant de s'éloigner.

Comme elle n'a plus rien dans la bouche, Summer peut exprimer sa satisfaction et supplier son élève :

- S'il vous plaît Maître T., Baisez-moi plus fort... Je dois encore jouir.

Sans dire un mot, Todd accélère le mouvement dans la chatte de sa chienne. Il claque sa bite au plus profond du ventre féminin et il peut entendre ses couilles frapper contre son cul. Il sent glisser sa queue dans la région du point G à nouveau et il peut sentir le sexe de sa salope qui essaie de la retenir.

Alors, Todd retire presque complétement son bâton, puis il regarde dans les yeux sa professeure d'anglais et il lui demande :

- Qu'est-ce que tu veux salope?

Sa réponse est immédiate :

- Je veux votre bite Maître T. Baisez moi dur!

- Je veux d'abord t'entendre dire ce que tu es?

Rapidement encore, Summer répond :

- Je suis votre salope Maître T.

- Et que feras-tu pour moi si je te laisse jouir?

Summer qui sent l'orgasme approcher, gémit :

- Maître T., je suis votre salope et je ferai tout ce que vous me demanderez. S'il vous plaît, laissez-moi jouir.

Todd la regarde dans les yeux et exige :

- Regarde-moi bien dans les yeux et dis-moi à qui tu appartiens et ce que cela signifie.

Summer fixe les yeux de son élève. Elle a du mal à se retenir de jouir. Elle dit :

- Maître T. je suis votre. Je ferais ce que vous voudrez quand vous le voudrez. S'IL VOUS PLAIT, S'IL VOUS PLAIT, laissez-moi jouir.

Todd lève les yeux et est content de voir que Sarah a enregistré la déclaration de la soumission complète de Summer. Il commande alors :

- Jouis salope! MAINTENANT!

Le garçon sent le corps de l'enseignante s'empaler violemment sur sa queue alors qu'elle crie sa jouissance. Il sent qu'il ne peut se retenir plus longtemps et il remplit le préservatif qu'il a enfilé. Il connaisait le lubrifiant de son ami ainsi que ses effets. Il ne veut pas perdre la journée à se branler alors qu'il a beaucoup de plans pour sa nouvelle salope.

Quand il sort sa queue de la chatte, il sent les muscles du vagin se resserrer dessus pour l'arrêter. Il sourit car il l'a soumise facilement aujourd'hui mais il sait qu'elle voudra essayer d'arranger sa situation plus tard. De toute façon, il a l'idée de la ramener à Marco pour lui faire poser un piercing en forme de fer à cheval sur son clitoris et d'autres sur l'oreille droite. Oh oui, il a beaucoup d'idée pour cette salope de prof et aujourd'hui n'est que le début.

Alors qu'il retire le préservatif, une mauvaise idée traverse son esprit. Il dit à Summer :

- Salope, ouvre ta bouche. Je vais verser mon sperme chaud dans ta gorge.

Il place l'extrémité ouverte de la capote contre les lèvres de la femme. Mais elle hésite. Instantanément elle comprend la colère du garçon quand il saisit son mamelon gauche et tire sur le bâton doré. Elle a l'impression qu'il va lui arracher son téton alors elle ouvre la bouche pour crier. Ce qui donne l'occasion à Todd d'y vider le contenu du préservatif en disant :

- Avale mon sperme salope!

Il la regarde pendant qu'elle lutte avec l'idée de lécher le préservatif. Mais elle le fait, aspirant jusqu'à la dernière goutte.

Quand elle a fini, Todd demande à Sarah :

- Peux-tu emmener ma salope dans la salle de bain qu'elle se nettoie, se maquille et se rhabille.

L'assistante aide Summer à descendre de la table d'examen puis l'accompagne hors de la salle dans le couloir. Dans la salle de bain, elle fait couler de l'eau chaude puis met un gant de toilette dans l'eau.

En regardant l'enseignante elle dit :

- On dirait que vous êtes passée dans une essoreuse. Je ne sais pas ce que Todd a en réserve pour vous mais il vaut mieux que vous vous nettoyez rapidement. Il y a du maquillage dans le tiroir là. Todd aime bien que ses salopes mettent de l'ombre à paupières très sombre et du rouge à lèvres rouge vif.

Summer regarde son corps et est encore surprise pas ses piercings. Elle n'arrive toujours pas à croire que ses mamelons se tiennent encore debout avec les deux goujons dorés. Sa boucle d'oreille est plus intrigante car elle est trop voyante à son goût. Les trois petites perles font que la boucle se replie sur l'avant de son oreille. Toute personne la regardant verrait tout de suite la boucle d'oreille. Ensuite elle baisse les yeux et écarte les lèvres de sa chatte. Les anneaux sont au milieu de chaque lèvre et il est évident que James son mari les verrait dès son retour. Mais Summer ne veut pas y penser pour le moment. Elle doit faire en sorte de ne pas déplaire à Todd pour le reste de la journée. Elle sait maintenant que l'espoir d'arrêter sa servitude a disparu. Maintenant elle doit juste essayer de limiter les risques de son exhibition et soumission.

Quand Summer revient dans la salle, sa transformation d'enseignante à cochonne est complète. Conformément aux instructions, elle a porté beaucoup d'attention à son maquillage. A la réaction de Todd, elle voit qu'elle lui plait. Elle a remis son string mais malheureusement le fin tissu sur le devant rentre dans sa chatte et laisse les piercings exposés.

Elle avance jusqu'au garçon pour qu'il puisse mieux l'inspecter. Todd remarque que les trois boutons du haut du chandail ne sont pas mis et que seulement trois sont boutonnés sur la jupe. Il voit bien les piercings sur les mamelons et il se réjouit déjà du regard des autres dans les endroits où il va emmener sa salope. Il la regarde et lui dit :

- Salope, il faut que tu paies Marco pour son travail. Nous sommes arrivés à un arrangement et je suis sûr qu'il a apprécié son pourboire sur la table.

Abasourdie, Summer regarde le garçon et dit :

- Vous me faites payer ces piercings ? Pourquoi devrai-je payer pour quelque chose que je ne veux pas ?

- Tu fais ce que je te dis Salope ! Les piercings sont là pour te rappeler que tu n'as pas le choix. Répond Todd en colère.

Quand ils sortent du salon de piercing, Summer remarque que la capote de son cabriolet est toujours baissée. Elle se demande « Que va-t-il m'arriver maintenant? »

A suivre...