mercredi 22 août 2018

A la merci de mon beau-frère. Ch 02

A la merci de mon beau-frère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes


Récit de Jane SMITH traduit par Coulybaca (2007)

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Il assoit son emprise.

Je ne dormis pas de la nuit, cherchant une solution. Je me remémorai le viol de mon beau-frère, j'essayai de toutes mes forces de l'oublier, mais c'était trop difficile. Et voilà qu'il se préparait à recommencer, il fallait que je trouve un moyen de l'en empêcher.

Le réveil sonna à 6 heures et mon mari se leva pour aller dans la salle de bain. Le temps qu'il revienne j'avais concocté un plan. Il s'habillait calmement lorsque je lui dis :

- Jean, puis-je venir avec toi ce matin ?

- Je suis désolé de t'avoir réveillée chérie, j'ai pourtant essayé de de ne pas faire trop de bruit.

- J'étais déjà réveillée !

- D'accord, mais... pourquoi veux-tu venir avec moi ? Que vas-tu faire en m'attendant ? Il y en a pour 1 heure, tu m'attendras dans la voiture ?

- Oui... ou bien j'irai me promener... J'aimerai seulement qu'on passe un peu de temps ensemble tous les deux... Cela me semblait une bonne idée... J'étais certain que tu l'approuverais...

- Dépêche-toi si tu veux m'accompagner... Je dois être parti dans 10 minutes !

Je me sentis très heureuse jusqu'au moment où Jean me ramena à la maison. J'avais passé un bon moment avec mon mari, et j'avais annihilé les plans de Yan qui visaient à me violenter à nouveau. J'espérai qu'il comprendrait le message, je ne voulais pas devenir sa soumise !

Les deux hommes revinrent ensemble, et je me rendis compte que Yan était furieux. Dès qu'il put me parler seul à seule, il m'attrapa par les cheveux et me força à le regarder dans les yeux.

- Je te préviens... Tu vas regretter ta petite ruse de ce matin... Tu vas même le regretter durement...

- Je n'ai pas peur de toi, bâtard... Répliquai-je violemment.

- C'est bien ainsi... Cela démontre ta stupidité salope... Me répondit-il en me tordant cruellement la pointe des seins avant de me repousser.

Je me dis qu'il voulait juste m'intimider, mais sa menace m'inquiéta tout de même.

Trois jours plus tard, je terminai de ranger le salon lorsque j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir puis se fermer. C'était à peu près l'heure où les deux hommes rentraient habituellement, aussi je me dirigeai vers le hall pour accueillir mon mari. A ce moment, mon beau-frère pénétra dans le salon, m'agrippa le bras et me courba sur le dos du canapé.

- Par l'enfer que fais-tu ? Criai-je en me débattant en vain.

- Où est Jean ? Demandai-je affolée."

- Il a dû se rendre en ville pour une réunion impromptue. Nous sommes seuls poupée. Me répondit-il goguenard.

Je me débattis encore, mais en vain. Il me plaça jambes suspendues en l'air. Tout mon poids reposait sur mon estomac compressé contre le dosseret du sofa. J'avais du mal à respirer.

Il tâtonna pour dégrafer mon soutien-gorge puis il me le passa au-dessus de mes épaules, l'entortillant sur mes bras. Puis il retroussa ma jupe sur mes reins et baissa ma petite culotte.

J'essayai de lui donner des coups de pieds, mais il s'installa entre mes cuisses et je ne pus plus l'atteindre. Il me frappa alors durement sur les fesses. je criai de douleur, ce qui le fit rire et l'encouragea à poursuivre la fessée. Lorsqu'il arrêta, mon pétard me brûlait, je retenais mes larmes. Il me saisit alors par les cheveux, me tourna face à lui, vrillant ses yeux dans les miens.

- Cela t'apprendra à te dérober.... Ne recommence jamais ça ! Maintenant tu devines ce qu'on va faire ?

Un instant j'eus le fol espoir qu'il cesse son petit jeu. Il dut le deviner, parce qu'il éclata de rire.

- Je vais te baiser jusqu'à l'os ! Corrigea-t-il alors.

Il relâcha mes cheveux, saisit mes jambes et les écarta largement. Avec ses pouces il ouvrit largement mes petites lèvres puis il enfouit sa bite dans mon ventre d'un élan brutal.

Je n'étais absolument pas prête, et je crus qu'il me frottait l'intérieur de mon sexe à la toile abrasive. Je criai et essayai de me dégager mais c'était impossible. Il se retira puis s'enfonça impitoyablement en gloussant lorsque je criai à nouveau.

Se penchant en avant, il se saisit de mes tétons qu'il pinça, roula entre ses doigts les malmenant vigoureusement.

Je m'entendis pleurer, le suppliant d'arrêter mais je sentis sa grosse bite m'élargir la chatte alors qu’il s'enfouissait bien au fond. Puis à ma grande horreur, je sentis les prémisses d'un orgasme poindrent dans ma poitrine se diffusant rapidement dans ma moule.

Une part de moi-même se réjouissait d'être traitée ainsi. J'essayai de me contrôler, mais inexorablement les sensations de douleur et de plaisir mélangées s'intensifiaient. Je ne me rappelais pas avoir été si déçue lorsqu'il jouit.

J'étais couchée en travers du dosseret du sofa, épuisée et honteuse. Je sentais mon corps vibrer de toutes ses fibres et j'étais consciente d'avoir joui. Je sentis Yan se relever et contourner le sofa.

-Nettoies moi la bite !

- Quoi... Que veux-tu ? M'exclamai-je, ne comprenant pas ce qu'il voulait que je fasse.

Sa bite était encore à demi érigée, couverte de jus. Je tendis les mains dans mon dos pour rabattre ma jupe sur mes fesses et je reposai les pieds au sol, récupérant la capacité de me mouvoir.

- Viens me nettoyer la queue salope ! Tu ferais mieux de te presser si tu ne veux pas que je tache le sofa. Cela fera une jolie tache !

A ma grande horreur, je n'avais pas le choix. J'avais parfois sucé mon mari, mais ce n'est pas quelque chose dont je tirais du plaisir. A contrecœur je léchai sa bite, absorbant le foutre qui la couvrait. Le goût était juste aussi mauvais que dans mes souvenirs, mais il fut bientôt évident que Yan appréciait.

Graduellement sa bite s'érigea, et bientôt me tenant la tête il entreprit de me baiser en bouche. Il s'enfonça de plus en plus profondément au point de m'étouffer. Je gémis et je tentai de le repousser, mais il me tenait fermement. Mes plaintes attirèrent son attention, et il stoppa ses mouvements.

- J'allais juter... Finalement, je suis content que tu aies brisé mon élan... Après tout nous n'en avions pas fini...

Avant même que j'aie une chance de comprendre il avait contourné le sofa. Mes jambes tremblaient et je chancelai. Il profita de mon vertige momentané, il retroussa mes vêtements et m'emmena dans le hall. Il me bloqua contre la porte de la cuisine et descendit son pantalon.

- Juste pour que tu comprennes bien la situation, il faut que je t'explique quelques détails. Je suis calme et je vais te baiser à nouveau. Cependant je vais prendre mon temps, ce sera beaucoup plus long. Ton mari va rentrer dans une demi-heure, on n'arrêtera pas avant son retour. Si tu veux éviter que la première chose que voit ton mari en entrant soit sa bien-aimée et son frère baisant comme des lapins, je te suggère de m'obéir en tout point.

Avec horreur je réalisai qu'il était sérieux, j'étais piégée.

- S'il te plait... Ne fais pas ça ! le suppliai-je en pleurnichant.

- Me supplier n'y changera rien alors allons -y ! Après tout toi aussi tu prends ton pied...

Je coopérai à contrecœur. Il me releva et m'empala sur sa bite tendue. Je bloquai mes chevilles dans son dos l'enserrant entre mes cuisses et je m'accrochai à ses épaules alors qu'il me tenait aux fesses.

A ma grande honte j'étais éblouie, il m'emplissait complétement, jamais je n'avais été aussi comblée. Il glissait facilement. Adossée à la porte, nous commençâmes à bouger de concert, je sentis le plaisir me gagner et je luttai pour le refouler.

Mon clito était pressé contre sa peau, il frottait son ventre à chaque mouvement ce qui éveillait des éclairs de plaisir dans ma chatte et mes reins. Je fermai les yeux et me retint de miauler mon plaisir.

- Sors un de tes tétons ! M'intima-t-il soudain.

Fortement humiliée je dégageai un de mes seins, le présentant à ses lèvres. Il me sourit hilare, se réjouissant de mon embarras, avant de saisir le téton dardé entre ses lèvres. Il n'était pas doux, l'aspirant dans sa bouche avant de le maltraiter de la langue et des dents, et cela suffit à me faire jouir.

J'amplifiai le mouvement giratoire de mes hanches et j'enfonçai mes ongles dans son dos en jouissant. Mon con enserra sa grosse bite d'une main de fer, je m'entendis crier bruyamment ma jouissance. Graduellement mes spasmes ralentirent et j'ouvris les yeux, il me regardait goguenard.

Il était toujours tendu et raide, il reprit ses entrées et retraits. Il retira une de ses mains posées sur ma croupe et se saisit de mon clito qu'il maltraita immédiatement.

- C''est vraiment facile de te faire jouir. Commenta-t-il, me faisant rougir de honte.

- Donne-moi ton autre mamelon. Nous allons voir combien de temps il me faudra pour te procurer un nouvel orgasme.

Un long moment plus tard, je sentis un nouvel orgasme poindre. Mon orgasme fut plus long, et il n'avait toujours pas joui. Lorsque je cessai de vibrer, il se retira de ma moule et alla s'asseoir dans les escaliers.

Il me fit signe de venir et de l'enfourcher. Il appuya sur mes hanches, me forçant à m'empaler jusqu'à sentir les poils de ses couilles contre mon pubis. Nous étions juste en face de la fenêtre et le premier visiteur venu pouvait nous voir baiser.

Je sentis que le retour de mon époux approchait. Mon corps vibrait encore, je n'avais pas besoin d'encouragement pour commencer la chevauchée, me retirant et m'empalant sur sa bite érigée. Il disposait librement de ma poitrine, je l'encourageais poussant des petits cris de plaisir alors qu'il jouait avec mes mamelons, les prenant en bouche.

Plus il se montrait grossier, plus j'appréciais, et je jouis une fois de plus. Il m'agrippa aux hanches et s'enfonçant au plus profond de mon utérus il se vida à gros bouillon dans ma chatte frémissante.

Je m'écroulai contre son épaule. La sueur poissait nos deux corps encore unis et une folle honte m'envahit. Je me comportai comme la dernière des débauchées.

Marchant à quatre pattes je collectai mes vêtements et me ruai dans la salle de bain. Je me frottai furieusement le corps lorsque Yan entra, il était nu lui aussi, ses vêtements posés sur son bras.

- Alors salope, je t'avais bien dit que je te donnerai une leçon. La prochaine fois que John s'absentera tôt le matin, je veux te trouver dans ton lit, jambes grandes ouvertes prête à être baisée.

Il se retourna et repartit vers sa chambre. Désespérée, je ne vis aucun moyen de me soustraire à son emprise.

A suivre…

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