A la merci de mon beau-frère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes
Récit de Jane SMITH traduit par Coulybaca (2007)
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Il assoit son emprise.
Je ne dormis
pas de la nuit, cherchant une solution. Je me remémorai le viol de mon
beau-frère, j'essayai de toutes mes forces de l'oublier, mais c'était trop
difficile. Et voilà qu'il se préparait à recommencer, il fallait que je trouve
un moyen de l'en empêcher.
Le réveil
sonna à 6 heures et mon mari se leva pour aller dans la salle de bain. Le temps
qu'il revienne j'avais concocté un plan. Il s'habillait calmement lorsque je
lui dis :
- Jean,
puis-je venir avec toi ce matin ?
- Je suis
désolé de t'avoir réveillée chérie, j'ai pourtant essayé de de ne pas faire
trop de bruit.
- J'étais
déjà réveillée !
- D'accord,
mais... pourquoi veux-tu venir avec moi ? Que vas-tu faire en m'attendant ?
Il y en a pour 1 heure, tu m'attendras dans la voiture ?
- Oui... ou
bien j'irai me promener... J'aimerai seulement qu'on passe un peu de temps
ensemble tous les deux... Cela me semblait une bonne idée... J'étais certain
que tu l'approuverais...
- Dépêche-toi
si tu veux m'accompagner... Je dois être parti dans 10 minutes !
Je me sentis
très heureuse jusqu'au moment où Jean me ramena à la maison. J'avais passé un
bon moment avec mon mari, et j'avais annihilé les plans de Yan qui visaient à
me violenter à nouveau. J'espérai qu'il comprendrait le message, je ne voulais
pas devenir sa soumise !
Les deux
hommes revinrent ensemble, et je me rendis compte que Yan était furieux. Dès
qu'il put me parler seul à seule, il m'attrapa par les cheveux et me força à le
regarder dans les yeux.
- Je te
préviens... Tu vas regretter ta petite ruse de ce matin... Tu vas même le
regretter durement...
- Je n'ai
pas peur de toi, bâtard... Répliquai-je violemment.
- C'est bien
ainsi... Cela démontre ta stupidité salope... Me répondit-il en me tordant
cruellement la pointe des seins avant de me repousser.
Je me dis
qu'il voulait juste m'intimider, mais sa menace m'inquiéta tout de même.
Trois jours
plus tard, je terminai de ranger le salon lorsque j'entendis la porte d'entrée
s'ouvrir puis se fermer. C'était à peu près l'heure où les deux hommes
rentraient habituellement, aussi je me dirigeai vers le hall pour accueillir
mon mari. A ce moment, mon beau-frère pénétra dans le salon, m'agrippa le bras
et me courba sur le dos du canapé.
- Par
l'enfer que fais-tu ? Criai-je en me débattant en vain.
- Où est
Jean ? Demandai-je affolée."
- Il a dû se
rendre en ville pour une réunion impromptue. Nous sommes seuls poupée. Me
répondit-il goguenard.
Je me débattis
encore, mais en vain. Il me plaça jambes suspendues en l'air. Tout mon poids
reposait sur mon estomac compressé contre le dosseret du sofa. J'avais du mal à
respirer.
Il tâtonna
pour dégrafer mon soutien-gorge puis il me le passa au-dessus de mes épaules, l'entortillant
sur mes bras. Puis il retroussa ma jupe sur mes reins et baissa ma petite
culotte.
J'essayai de
lui donner des coups de pieds, mais il s'installa entre mes cuisses et je ne pus
plus l'atteindre. Il me frappa alors durement sur les fesses. je criai de
douleur, ce qui le fit rire et l'encouragea à poursuivre la fessée. Lorsqu'il
arrêta, mon pétard me brûlait, je retenais mes larmes. Il me saisit alors par
les cheveux, me tourna face à lui, vrillant ses yeux dans les miens.
- Cela
t'apprendra à te dérober.... Ne recommence jamais ça ! Maintenant tu devines ce
qu'on va faire ?
Un instant
j'eus le fol espoir qu'il cesse son petit jeu. Il dut le deviner, parce qu'il
éclata de rire.
- Je vais te
baiser jusqu'à l'os ! Corrigea-t-il alors.
Il relâcha
mes cheveux, saisit mes jambes et les écarta largement. Avec ses pouces il ouvrit
largement mes petites lèvres puis il enfouit sa bite dans mon ventre d'un élan
brutal.
Je n'étais
absolument pas prête, et je crus qu'il me frottait l'intérieur de mon sexe à la
toile abrasive. Je criai et essayai de me dégager mais c'était impossible. Il se
retira puis s'enfonça impitoyablement en gloussant lorsque je criai à nouveau.
Se penchant
en avant, il se saisit de mes tétons qu'il pinça, roula entre ses doigts les
malmenant vigoureusement.
Je m'entendis
pleurer, le suppliant d'arrêter mais je sentis sa grosse bite m'élargir la
chatte alors qu’il s'enfouissait bien au fond. Puis à ma grande horreur, je
sentis les prémisses d'un orgasme poindrent dans ma poitrine se diffusant
rapidement dans ma moule.
Une part de
moi-même se réjouissait d'être traitée ainsi. J'essayai de me contrôler, mais
inexorablement les sensations de douleur et de plaisir mélangées
s'intensifiaient. Je ne me rappelais pas avoir été si déçue lorsqu'il jouit.
J'étais
couchée en travers du dosseret du sofa, épuisée et honteuse. Je sentais mon
corps vibrer de toutes ses fibres et j'étais consciente d'avoir joui. Je sentis
Yan se relever et contourner le sofa.
-Nettoies
moi la bite !
- Quoi...
Que veux-tu ? M'exclamai-je, ne comprenant pas ce qu'il voulait que je fasse.
Sa bite
était encore à demi érigée, couverte de jus. Je tendis les mains dans mon dos
pour rabattre ma jupe sur mes fesses et je reposai les pieds au sol, récupérant
la capacité de me mouvoir.
- Viens me
nettoyer la queue salope ! Tu ferais mieux de te presser si tu ne veux pas que
je tache le sofa. Cela fera une jolie tache !
A ma grande
horreur, je n'avais pas le choix. J'avais parfois sucé mon mari, mais ce n'est
pas quelque chose dont je tirais du plaisir. A contrecœur je léchai sa bite,
absorbant le foutre qui la couvrait. Le goût était juste aussi mauvais que dans
mes souvenirs, mais il fut bientôt évident que Yan appréciait.
Graduellement
sa bite s'érigea, et bientôt me tenant la tête il entreprit de me baiser en
bouche. Il s'enfonça de plus en plus profondément au point de m'étouffer. Je
gémis et je tentai de le repousser, mais il me tenait fermement. Mes plaintes
attirèrent son attention, et il stoppa ses mouvements.
- J'allais
juter... Finalement, je suis content que tu aies brisé mon élan... Après tout
nous n'en avions pas fini...
Avant même
que j'aie une chance de comprendre il avait contourné le sofa. Mes jambes tremblaient
et je chancelai. Il profita de mon vertige momentané, il retroussa mes
vêtements et m'emmena dans le hall. Il me bloqua contre la porte de la cuisine
et descendit son pantalon.
- Juste pour
que tu comprennes bien la situation, il faut que je t'explique quelques détails.
Je suis calme et je vais te baiser à nouveau. Cependant je vais prendre mon
temps, ce sera beaucoup plus long. Ton mari va rentrer dans une demi-heure, on
n'arrêtera pas avant son retour. Si tu veux éviter que la première chose que
voit ton mari en entrant soit sa bien-aimée et son frère baisant comme des
lapins, je te suggère de m'obéir en tout point.
Avec horreur
je réalisai qu'il était sérieux, j'étais piégée.
- S'il te
plait... Ne fais pas ça ! le suppliai-je en pleurnichant.
- Me
supplier n'y changera rien alors allons -y ! Après tout toi aussi tu
prends ton pied...
Je coopérai
à contrecœur. Il me releva et m'empala sur sa bite tendue. Je bloquai mes
chevilles dans son dos l'enserrant entre mes cuisses et je m'accrochai à ses
épaules alors qu'il me tenait aux fesses.
A ma grande
honte j'étais éblouie, il m'emplissait complétement, jamais je n'avais été
aussi comblée. Il glissait facilement. Adossée à la porte, nous commençâmes à
bouger de concert, je sentis le plaisir me gagner et je luttai pour le
refouler.
Mon clito
était pressé contre sa peau, il frottait son ventre à chaque mouvement ce qui
éveillait des éclairs de plaisir dans ma chatte et mes reins. Je fermai les
yeux et me retint de miauler mon plaisir.
- Sors un de
tes tétons ! M'intima-t-il soudain.
Fortement
humiliée je dégageai un de mes seins, le présentant à ses lèvres. Il me sourit
hilare, se réjouissant de mon embarras, avant de saisir le téton dardé entre
ses lèvres. Il n'était pas doux, l'aspirant dans sa bouche avant de le
maltraiter de la langue et des dents, et cela suffit à me faire jouir.
J'amplifiai
le mouvement giratoire de mes hanches et j'enfonçai mes ongles dans son dos en
jouissant. Mon con enserra sa grosse bite d'une main de fer, je m'entendis
crier bruyamment ma jouissance. Graduellement mes spasmes ralentirent et j'ouvris
les yeux, il me regardait goguenard.
Il était
toujours tendu et raide, il reprit ses entrées et retraits. Il retira une de ses
mains posées sur ma croupe et se saisit de mon clito qu'il maltraita
immédiatement.
- C''est
vraiment facile de te faire jouir. Commenta-t-il, me faisant rougir de honte.
- Donne-moi
ton autre mamelon. Nous allons voir combien de temps il me faudra pour te
procurer un nouvel orgasme.
Un long
moment plus tard, je sentis un nouvel orgasme poindre. Mon orgasme fut plus
long, et il n'avait toujours pas joui. Lorsque je cessai de vibrer, il se
retira de ma moule et alla s'asseoir dans les escaliers.
Il me fit
signe de venir et de l'enfourcher. Il appuya sur mes hanches, me forçant à
m'empaler jusqu'à sentir les poils de ses couilles contre mon pubis. Nous
étions juste en face de la fenêtre et le premier visiteur venu pouvait nous
voir baiser.
Je sentis
que le retour de mon époux approchait. Mon corps vibrait encore, je n'avais pas
besoin d'encouragement pour commencer la chevauchée, me retirant et m'empalant
sur sa bite érigée. Il disposait librement de ma poitrine, je l'encourageais
poussant des petits cris de plaisir alors qu'il jouait avec mes mamelons, les
prenant en bouche.
Plus il se
montrait grossier, plus j'appréciais, et je jouis une fois de plus. Il
m'agrippa aux hanches et s'enfonçant au plus profond de mon utérus il se vida à
gros bouillon dans ma chatte frémissante.
Je
m'écroulai contre son épaule. La sueur poissait nos deux corps encore unis et
une folle honte m'envahit. Je me comportai comme la dernière des débauchées.
Marchant à
quatre pattes je collectai mes vêtements et me ruai dans la salle de bain. Je
me frottai furieusement le corps lorsque Yan entra, il était nu lui aussi, ses
vêtements posés sur son bras.
- Alors
salope, je t'avais bien dit que je te donnerai une leçon. La prochaine fois que
John s'absentera tôt le matin, je veux te trouver dans ton lit, jambes grandes
ouvertes prête à être baisée.
Il se
retourna et repartit vers sa chambre. Désespérée, je ne vis aucun moyen de me
soustraire à son emprise.
A suivre…
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