samedi 4 août 2018

Ma mère Martine chapitre 10

Ma mère Martine - récit érotique - humiliation - contrainte - bourgeoise -soumission.

Récit de Gabrieldutour

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La fin de l’histoire – 2ème partie.

Nous sommes donc arrivés dans la cité où ma mère, Martine, doit se faire une toilette du fait de ses précédentes dépravations. Elle a rendez-vous dans un bar du centre pour y vendre ses charmes. Mais elle n'a pas pu s'empêcher de se donner aux deux complices de son proxénète et même à des jeunes qui passaient dans le coin.

Ainsi, elle se retrouve souillée à nouveau et doit se refaire une beauté. Le noir indique où nous devons nous arrêter : Juste devant un HLM où il semble habiter. Nous sortons tous et suivons le noir et ses amis. Nous montons trois étages et arrivons chez lui. Une jeune noire d'une vingtaine d'année nous ouvre. Elle est habillée en cuir et elle est assez belle. Mais elle semble soumise à son compagnon et ne pose pas de question en voyant cette femme à gros seins, enduite de sperme qui, en plus, est complètement nue, pénétrer dans l'appartement.

- Voilà! Cette salope n'a qu'à se refaire une beauté ici, il y'a ce qu'il faut. Ma copine aime se maquiller de façon provocante.

Je suis abasourdi par tant de grossièretés. La fille n'a pas bronché et sourit. Elle montre la salle de bain à ma mère qui, toujours nue, se presse pour se refaire une beauté. La fille noire n'est pas très farouche et se vautre entre les amis de son copain affalés sur le fauteuil. A ma grande surprise, la voilà en train de leur toucher le sexe avec ses deux mains. Elle semble avoir l'habitude de cocufier son copain avec son approbation visiblement. Elle prend plaisir à malaxer ces bosses que l'on voit à travers leur pantalon mais ils ne s'en cachent pas. Bien au contraire, ils exhibent bien leur bosse histoire de montrer leur virilité. Elle sort sa langue et la passe autour de ses lèvres charnues. Le proxénète regarde le noir et lui dit :

- Dis donc, elle est bien ta copine. Tu pourrais te faire du pognon en la vendant à des hommes.

La fille ne dit rien et sourit malicieusement avec un air de dire « T'inquiète, c'est déjà fait ». Le noir la regarde en souriant à son tour, heureux et fier que sa nana attise tant de convoitise :

- Ouais, mais il lui faudra prendre de la graine sur la pute blanche et surtout ses seins.

Tous approuvent et la noire perd son sourire et se lève brusquement.

- Bande de connards! Z'avez qu'à vous la taper cette bourgeoise blanche, elle et ses grosses mamelles!

L'un des gars lui dit :

- T 'inquiète, c'est déjà fait!

La jeune femme s'en va dans la cuisine en marmonnant des injures. Ma mère, au bout de dix minutes, sort toute nettoyée et sa peau est encore humide. Le proxénète lui dit :

- Te voilà enfin propre, ma salope. Mais pour combien de temps?

Le black lui met la main au sexe et caresse sa toison bien entretenue. Il est assez grand et elle paraît vraiment ridicule du haut de ses 1m64. Mais peu importe la différence de taille, le noir s'en fiche et la doigte à présent en la traitant de putain. Ma mère se laisse tripoter avec un certain plaisir qui se lit sur son visage. Le hooligan se lève du fauteuil et lui pelote ses gros seins. Depuis le début de la soirée, il n'arrête pas de se focaliser sur cette grosse poitrine. Sans se soucier de la présence des autres, il se met à les embrasser et à sucer les tétons tout en soupesant les grosses loches encore humides de la toilette. Ma mère, bien évidemment se laisse faire. Elle est heureuse de sentir cette bouche s'affairer sur sa grosse poitrine. A peine sortie de la salle de bain que déjà, elle excite ces hommes qui plus est la font chanter afin qu'elle se prostitue. Le noir se reprend et dit :

- Ecoutez, on a qu'à l'offrir à des amis à moi, ils ne voient pas souvent de femme et c'est bientôt Noël.

Tous opinent. Le hooligan a vraiment du mal à se détacher de cette paire de loches si excitante. Le proxénète répond :

- D'accord, on a du temps devant nous de toute façon mais tu vas nous accompagner.

Le noir est d'accord :

- Vous autres, occupez-vous de ma copine. Elle va faire la gueule toute la semaine si personne ne la baise ce soir. Elle va croire qu'on ne la désire plus.

Ses amis se lèvent et ne se font pas prier. Rapidement, on entend des cris de jouissance venant de la cuisine et le noir, heureux, reprend :

- Au moins, elle sera de bonne humeur cette semaine.

Nous sortons de l'HLM avec ma mère, laissant la petite amie du black avec ses potes jouir de plus belle et nous voilà repartit dans les bas-fonds.

Il est à peu près 23h30 lorsque nous arrivons au lieu indiqué par le noir. L'endroit est désaffecté. C'est un ensemble de vieux immeubles sur le point de s'écrouler. Cette zone sera rasée dans quelques temps, mais en attendant, des gens y squattent. C'est ce que l'on peut affirmer car on distingue de la lumière dans l'un d'eux, au rez-de-chaussée.

Plus nous approchons, plus il paraît clair que la bâtisse est effectivement squattée par des gens. On peut entendre des ricanements et des bruits de bouteilles qui s'entrechoquent. Visiblement la fête bat son plein depuis quelques temps déjà. On peut voir le visage d'un homme à la fenêtre. Il est mal rasé et semble pas très clair mais il se met à crier :

- On a de la compagnie les gars!!

Ma mère sort de la voiture et elle est serrée de près par le basané et le hooligan. Il ne faudrait pas qu'elle tente de s'enfuir au dernier moment. Mais elle n'irait pas bien loin et serait bien vite rattrapée. Ses sandales à talons hauts ne facilitent pas non plus la course et elle n'est pas une championne de sprint, loin de là. Elle serait aussi très gênée par son énorme poitrine qui ballotterait durant sa course. Le poids de ses seins est aussi un handicap qui la fatiguerait beaucoup. Mais les lecteurs savent que sa spécialité n'est pas la course mais bien autre chose où elle excelle par-dessus tout : le sexe cru. Même si par chance elle parvenait à leur fausser compagnie (et je le répète, c'est impossible), que pourrait-elle faire après? Il lui faudrait regagner mon studio à pied et cela fait au moins presque 5 km du centre. Il ne faut pas oublier qu'en plus, elle est nue (hormis ses sandales) et l'endroit est bien sordide. Elle pourrait rencontrer des hommes bien plus pervers voir fous et subir des sévices vraiment sérieux.

Non, elle ne peut prendre ce risque d'autant plus qu'ils pourraient se retourner contre moi, son propre fils. Elle refuse que je subisse le moindre outrage par sa faute et en tant que mère, serait prête à subir tous les sévices, faire tous les sacrifices pour éviter que son enfant chéri subisse le courroux de ses ravisseurs. Elle n'a d'autres choix que de suivre ces voyous dont le but est de la livrer à ces ivrognes.

Je sais que maman n'est pas rassurée et même s'il fait froid et qu'elle est nue, (nous sommes en décembre quand même) ce n'est pas l'unique raison de ses frissons. Nous rentrons donc dans la bâtisse désaffectée. Malgré les brèches dans le mur et les fenêtres dépourvues de carreaux, il y règne une forte chaleur. La pièce est assez grande mais complètement vétuste et dans un état de délabrement incroyable. Il y a une bonne quinzaine d'hommes avec des chiens qui courent dans tous les sens et se disputent. Tous sont des hommes majoritairement blancs, bien entamés par l'alcool et semblent des clochards. Il règne dans cet endroit une forte odeur d'urine, d'alcool, de cigarette et de sueur. En plus, c'est un véritable dépotoir. En regardant le sol, on peut y voir des monticules de canettes de bière vides disséminées à droite et à gauche, des poches en plastique remplies de restes de nourriture en putréfaction, d'immondices et bien d'autres saloperies qui se passent de commentaires : Un véritable squat.

Apparemment, certains y passent des jours car il y a quelques matelas humides avec des trous sans doute fait par les chiens. Sur les mêmes matelas, des tâches jaunes et des couvertures horriblement sales, faisant penser à des couvertures militaires récupérées dans un surplus. Il y a de la musique venant d'une radio paradoxalement neuve.

Les hommes se retournent vers les nouveaux venus. Le noir les connaît tous et leur dit bonjour. Ils semblent nous ignorer jusqu'à ce qu'ils aperçoivent ma mère enfin. Un gros silence dans la salle, on entend plus que la musique. Tous ont les yeux rivés sur cette femme nue surveillée de près par les deux hommes pour ne pas qu'elle s'échappe. Ils reluquent avidement cette femme mature d'1m64, aux cheveux teints en noir et aux yeux noisette. Ils remarquent le maquillage très provoquant et ses lèvres pulpeuses. Certains lui trouvent une vague ressemblance avec une présentatrice de télévision, Evelyne T.

Mais rapidement, leurs regards se concentrent sur cette poitrine énorme, aux larges auréoles brunes. Elle est lourde, bien ronde et ses tétons pointent. Ils ont du mal à le croire mais pourtant c'est vrai : cette femme aux gros seins est belle et bien nue devant eux, prête à assouvir leur désir. Ils semblent fascinés par cette paire de mamelles si plantureuses. Ils regardent aussi son sexe, bien entretenu, rasé avec soin en forme de triangle : un sexe de bourgeoise entretenue. Certes, elle a un peu de hanche à cause de ses grossesses mais cela est relativement bénin. Ils matent aussi son cul histoire de voir s'il y a moyen de bien la sodomiser. Pour leur plus grand bonheur, ils en arrivent à la conclusion qu'elle pourra effectivement être prise par cet orifice. Il est bien rond avec des fesses légèrement enrobées suite à la naissance de ses deux enfants. Ils imaginent déjà la mettre à quatre pattes et s'agripper à ses hanches pour la sodomiser. Ils la regardent tous avec une envie folle car ils n'ont pas l'habitude de voir des femmes si bien entretenues et à la poitrine si généreuse. De plus, son visage est outrageusement maquillé et fait penser à ces actrices de cul, ces hardeuses qu'ils ne peuvent admirer que dans des revues pornos. Sa teinture de cheveux est d'un noir luisant et sa coiffure au carré lui arrive au niveau du cou. Ma mère n'a pas de longs cheveux et cela donne l'impression d'une petite tête par rapport à ses énormes seins. Mais tous savent que ce n'est pas de philosophie dont ils veulent parler avec elle. Elle a de fin sourcils et des yeux noisette. Malgré ce visage d'une femme de 35 ans (alors qu'elle en a bientôt 48), son regard est celui d'une femme mature, bourgeoise et sûre d'elle. Sa bouche est vraiment pulpeuse et on a l'impression dans la façon dont elle plisse les lèvres qu'elle n'attend qu'une seule chose : un sexe à savourer goulûment.

Ma mère n'est pas tranquille et elle me jette un rapide coup d'œil mais je sais que la situation l'excite au plus haut point, elle qui aime tant se soumettre aux pires exigences des hommes. Elle éprouve un sentiment de culpabilité et de désir mélangé. Mais de toute façon, elle sait qu'elle va devoir subir les assauts de ces pervers alcooliques et dépravés. Elle n'a pas le choix de toute façon. Elle sait aussi que la nuit ne fait que commencer pour elle. Le proxénète jette un regard à ses salauds de complices :

- Allez, donnez cette pute à ces gars. C'est bientôt noël et ils ont droit de baiser comme tout le monde.

Ma mère est saisie par les deux complices qui lui tiennent les bras. Puis, elle est donnée à trois hommes en rut qui s'emparent d'elle sans demander leur reste. Rapidement, ma mère est entourée et on se met à la tripoter de partout. Son corps est malmené de toute part et ses seins sont même tirés par des mains avides. Cela fait longtemps qu'ils n'ont pas vu de femme et cela se voit tant ils se disputent pour pouvoir toucher son corps.

Ma mère se sent un peu comme une vulgaire poupée gonflable que des hommes en rut se disputent. Elle sent leur haleine fétide, alcoolisé lui lécher son corps mais elle est obligée de se laisser tripoter et humilier. Rapidement, les ivrognes ravagés par l 'alcool commencent à tirer chacun de leur côté. On tire sur ses bras et ses jambes comme une poupée de chiffon.

Deux hommes se sont même emparés chacun d'un de ses nichons et tirent dessus comme pour les arracher et les emporter avec eux. Ma mère pousse un cri de douleur surtout qu'un des hommes lui enfourne un doigt dans son anus pour tester la marchandise. La scène est incroyable : ma mère est entourée de cinq ivrognes qui se disputent son corps comme des hyènes en furie. L'un lui insinue son index dans l'anus tandis que les deux autres tirent chacun sur un gros sein. Le proxénète intervient :

- Eh! Bandes de pervers, n'abîmez pas cette salope ; j'en ai besoin pour ce soir.

Je suis outré de ce vocabulaire. Ma mère est traitée comme de la marchandise et cela me révulse mais m'excite aussi. Les gars regardent le proxénète et semblent se calmer. Elle est ensuite mise à genoux. Les cinq gars sortent leurs queues et l'un d'eux dit avec une voix rauque :

- Allez, ma salope, va falloir nous montrer comment tu suces. A te voir, on peut dire que tu n'es pas à ta première pipe.

Et il a raison ce salopard, mais cela, les lecteurs sont déjà au courant. A force de sucer des hommes, ma mère est devenue une véritable experte de la fellation. Elle engloutit la première bite et de ses deux mains, branlent deux autres types. Sa bouche aux lèvres pulpeuses semble prendre goût à pomper cet homme dépravé. Elle l'engouffre bien au fond de sa gorge, le plus possible puis fait des va et vient avec sa tête. Le sexe en érection déforme sa joue et à l'aide de sa langue, elle lui titille le gland provocant du plaisir à cet alcoolique. Comme elle bouge ses bras pour branler les hommes qui se retiennent comme des fous pour ne pas se lâcher immédiatement, ses gros seins ballottent outrageusement excitant davantage les membres de l'assemblée.

Ma mère, à genoux, accélère la cadence de va-et-vient avec ses poignets décidément si experts. On a l'impression que ses deux grosses loches rebondissent de haut en bas tant elle se presse de branler ces dépravés. Les trois hommes ravagés par l'alcool n'en peuvent plus. Cette femme est bien trop habile, bien trop habituée à ce genre de pratique et ils éjaculent par grosses saccades sur ma mère qui se retrouve inondée de sperme. Elle réussit à avaler la totalité du foutre du premier mais ceux qu'elle branlait lui giclent sur le visage et ses cheveux. Le foutre dégouline sur sa figure, le long de son cou pour terminer sur sa poitrine. Son maquillage est fichu et se mêle avec la coulure de sperme.

La scène ne rebute pas les autres qui s'excitent davantage. On la relève et on la force à boire deux bouteilles de bières de qualité médiocre. Le goût est affreux mais ma mère avale cet alcool avec un plaisir indéniable. Comme elle boit vite, elle en met partout et la bière coule sur ses gros seins et se mélange au sperme.

Ils la saisissent alors par les bras et les jambes à quatre et l'emmènent comme un vulgaire sac patate sur un des matelas pourri et poussiéreux. Elle est lâchée sans ménagement et les clochards se jettent sur elle en se disputant à nouveau son corps. Ils s'emparent de ses membres et elle a l'impression d'être écartelée par ces fous.

Le proxénète est obligé d'intervenir car ma mère souffre vraiment de cette violence primitive. Imbibés d'alcool, les hommes rechignent mais savent qu'ils doivent faire attention. Un semblant d'ordre s'installe alors. Le premier se penche sur elle et la baise à grand coup de boutoir. Ma mère écarte bien les cuisses et accueille cette semence pas très engageante. Elle sent que l'homme se libère de son foutre chaud et inonde ses entrailles. Pas très endurant le gars et il sent vraiment l'alcool. Il est enlevé par ses copains et tombe pitoyablement sur le sol et s'endort. Un autre écarte les cuisses de maman et regarde son sexe longuement.

- Quelle belle salope! Faut en profiter les gars. Regardez cette chatte magnifique remplie de foutre.

Ma mère est allongée sur le dos et il lui écarte bien les jambes afin de montrer cette chatte bien entretenue, rasée en triangle et déjà souillée. Il écarte les lèvres humides et l'exhibe bien à la vue de tous. Ma mère se laisse manipuler heureuse que ces hommes dépravés la reluquent avec envie. Il reprend :

- Retourne-toi et montre-nous ton cul.

Ma mère se retourne, se met à quatre pattes sur le matelas et exhibe son anus.

- A mon avis, ce n'est pas un terrain vierge cet endroit. Tant mieux! Ecarte les fesses et montre nous ton trou du cul.

Les mots sont crus mais ma mère s'en fiche visiblement. La preuve, c'est qu'elle écarte ses fesses avec ses deux mains et exhibe son anus depuis longtemps ramoné par une multitude d'hommes. Les ivrognes sont excités par ce geste si salace. Elle reste un moment à leur montrer son anus les fesses bien écarté.

Je suis un peu époustouflé de voir cette femme, ma propre mère, s'exhiber de façon aussi crue. Elle qui nous a donnée naissance, nourrie de son sein et nous a élevé ma sœur et moi dans la moralité et la droiture cette femme qui se montrait comme un modèle à suivre. Quel changement, la bourgeoise puritaine est devenue la pire des dépravés qui cocufie son mari de la plus salace des manières.

Et moi, son propre fils, je ne fais rien et je regarde ma mère se comporter comme une putain. J'ai honte de moi et j'ai honte de ma perversité qui fait que je bande comme un fou devant cette scène immorale.

Soudain, elle sent un homme se tenir derrière elle et s'agripper à ses hanches.

- Allez ma salope, tu vas voir!

Elle sent un gros sexe chaud pénétrer son trou du cul et elle ne peut s'empêcher de lâcher un petit gémissement de plaisir. Pourtant l'homme la ramone avec force, comme un pourceau et sans doute, considère-t-il cette femme comme la dernière des truies. Mais une truie avec une paire de seins énorme et un cul capable d'accueillir des mandrins gonflés à blocs. Il fait des va et vient et est heureux d'enculer cette bourgeoise qui hurle de bonheur. Ma mère visiblement prend son pied à se faire sodomiser et humilier par cet homme qu'elle mépriserait en temps normal, elle qui d'habitude est une bourgeoise fière de son statut social.

L'un des clochards se met devant elle, lui prend la tête et lui fait boire presque cul sec la moitié d'une bouteille de bière. Ma mère n'hésite pas et boit cet alcool putride, à quatre pattes tout en se faisant enculer sauvagement par ce porc qui décidément n'arrive pas à se vider. Son visage est recouvert de sperme et elle est devenue méconnaissable. Elle qui était si bien maquillée il y'a quelques minutes. Le clochard lance sa bière et remarque les énormes seins qui pendent et ballottent dans tous les sens. Il plaque ses mains sur les grosses loches de ma mère et se met à les pétrir.

L'homme de derrière éjacule en poussant un long râle et l'anus de ma mère dégouline de foutre à nouveau. Il est aussitôt remplacé par un autre qui y va de plus belle. Lubrifié par le foutre de son ami, le sexe rentre comme dans du beurre et ma mère est secouée par ces coups de reins si violents. Ma mère commence à hurler de plaisir et accentue l'excitation des autres hommes. Lui aussi se vide par grosses saccades dans les entrailles de ma génitrice. Il se retire. Mais il y'a une bonne dizaine de gars à satisfaire et ma mère n'a pas fini de se faire posséder.

Celui de devant veut par-dessus tout se branler entre ses gros seins et lui gicler en pleine figure et il le lui dit clairement. Elle se met alors à genoux devant lui et lui offre ses gros seins déjà enduits de sperme et d'alcool. Lui s'en fout et met sa queue entre ces deux gros nichons. Ma mère empoigne donc ses grosses mamelles et les presse autour de la queue de l'ivrogne qui grogne de plaisir. Un chien, probablement le sien, s'approche de ma mère et lui lèche avec insistance le visage la nettoyant du sperme séché. Ma mère a du mal à se concentrer sur sa branlette espagnole mais elle accepte d'être nettoyée par l'animal. Les autres rient :

- Même les chiens sont excités par cette salope.

Ma mère, tout en se faisant lécher le visage, le nez et ses lèvres pulpeuses, accélère le mouvement de ses seins autour du sexe du clochard. Elle les prend par les tétons qu'elle pince. Cela lui procure beaucoup de plaisir et les léchouilles du chien aussi. L'homme éjacule comme jamais. Ma mère reçoit une giclée en pleine poitrine. Ses seins sont inondés et elle se les tartine avec ses mains tout en gémissant de bonheur.

Voilà que le chien, visiblement amateur de sperme, se met à lécher à grand coup de langue la poitrine de maman. Il atteint le bout de ses tétons qu'il lape avec avidité. La sensation de cette langue chaude est si excitante qu'elle se laisse choir au sol, sur le dos, et s'abandonne à l'animal. D'autres chiens, intrigués par la découverte de leur congénère entourent ma mère, la reniflent un peu partout, et se mettent à lui lécher tout le corps. Ils sont quatre et la nettoie de tout ce foutre accumulé par leur maître. Ma mère a les bras en croix et respire de plus en plus vite. Les chiens lapent ses pieds, ses cuisses, son ventre, ses énormes seins et son visage : bref, tout son corps est exploré par ses longues langues dégueulasses. Excitée comme jamais, elle se met à suer et à se tortiller dans tous les sens en tentant de se masturber. Elle sent venir l'orgasme. Le summum est atteint lorsqu'un berger allemand bâtard lui lèche avidement le sexe. Elle ne comprend plus ce qu'il lui arrive, elle sent une bouffée électrique remonter de son bas ventre. La longue langue lape son vagin et s'insinue à l'intérieur en lui procurant des sensations terriblement excitantes. Il lui fait un cunnilingus bien involontairement mais cela marche. Elle ne peut s'empêcher de pousser un long râle de jouissance et plaque ses deux mains sur la tête du chien pour l'inciter à continuer à lui procurer du plaisir.

La scène est vraiment terriblement perverse, au-delà de tout. Je suis là, en train de voir ma mère totalement nue et souillée, se faire lécher l'ensemble de son corps par ces animaux devant les yeux de ces pervers de clochards. Certains se sont branlés et même moi, j'ai du mal à me retenir. Un ivrogne appelle deux de ses amis pour l'aider à relever ma mère. Mais ce n'est que pour la retourner et la mettre à quatre pattes.

- Tenez les chiens, voici votre chienne : elle est en chaleur.

On place le chien sur ma mère et sans se poser la question, il la chevauche vigoureusement, par instinct. Le chien la besogne et ma mère ne réalise même pas, du fait de son extase et de son ivresse, qu'elle se fait baiser par un chien. D'ailleurs, il finit rapidement et finalement, tous les chiens de la salle, conduits par leur maître et sans exception, baisent ma perverse de mère qui se prête volontairement à ce jeu des plus lubriques. Elle est à quatre pattes et se comporte elle aussi comme une femelle en chaleur. Ses gros seins pendent et ballottent à chaque assaut des animaux.

Pendant que leur congénère la pénètre, d'autres chien la lèchent à nouveau. Un chien passe sous son ventre et lui lape longuement l'abdomen et son nombril tandis qu'un autre s'occupe de lui nettoyer les nichons qui n'arrêtent pas de bouger. Son visage est pris d'assaut par les grands coups de langue du berger bâtard.

Quelle scène de débauche absolue! Jamais je ne l'aurai crue capable d'aller aussi loin dans sa dépravation. Quelle image honteusement dégradante de la femme! Mais ça, elle s'en fiche pas mal et seul son plaisir compte. Les clochards se mettent à la saillir maintenant et même en sachant que leurs chiens sont passés avant eux.

Ma mère est remise sur le matelas et on la fait boire encore et encore. Elle se fait baiser par le reste de l'assemblée. Elle est enculée à plusieurs reprises tout en taillant des pipes de folies. Elle se sent à l'aise dans toute cette débauche et cette saleté. Ma mère est en train d'atteindre un haut degré de dépravation. Ses gros nichons sont triturés, malaxés et même gobés par des bouches à l'haleine putride.

Finalement, tous et d'un commun accord sortent leur sexe et l'inonde d'urine. Une urine qu'elle accueille avec un bonheur inouï tentant de boire chaque goutte. La pisse lui coule sur tout le corps et se dilue au reste de la souillure. Jamais son corps n'avait été souillé de la sorte et elle souhaiterait que jamais ce moment cesse. Les hommes repus, les couilles et la vessie vidé se retirent laissant cette femme dans les immondices en train de gémir de plaisir. Elle se masturbe tout en se caressant les seins. Le proxénète reprend ses esprits tant il est surpris de la perversité de ma mère.

- Incroyable! Eh bien, je crois que t'as atteint des sommets ma salope.

Il demande à deux clochards de la relever.

- ' On est en retard et il faut une fois de plus te remettre propre. Bon, pour le bar, on laisse tomber car il est trop tard mais on a un rendez-vous bien plus important. Celui-là, on n'a pas intérêt à le louper.

Maman n'écoute pas, elle s'est endormie, bien pleine et les clochards la transportent vers le véhicule, l'un lui prenant les jambes et l'autre les bras. Pour ne pas salir les sièges du véhicule, car je le rappelle, elle est enduite de sperme, d'alcool, d'urine et de poussière, elle est mise dans le coffre. Je commence à m'insurger mais le proxénète me dit qu'il ne fallait pas s'en faire, il conduirait bien. Ma mère est endormie, ivre et mise dans le coffre. Puis les clochards nous remercient en faisant promettre à ces salauds de voyous que ma mère reviendrait les voir le plus souvent possible.

Le véhicule démarre et le proxénète tient parole pour ne pas abîmer sa précieuse passagère. Il passe un rapide coup de fil. Au bout de 10 minutes, il s'arrête dans un parking d'un hôtel qu'il connaît. Un fourgon l'attend et il y a des hommes et deux jeunes filles qui en sortent. Il ouvre le coffre en leur montrant ma mère endormie à cause de l'alcool. Il murmure des instructions que je n'entends pas et me somme de monter dans le véhicule. Je désire rester avec ma mère mais le basané me force à rentrer dans le véhicule. Ils rentrent tous et moi je leur demande ce qu'ils vont faire d'elle. Le proxénète me dit tout en démarrant :

- T'inquiète, on va lui faire faire un brin de toilette et la remaquiller en pute. Sa nuit n'est pas finie.

Je le regarde d'un air méprisant mais lui s'en fiche et il poursuit :

- Ce soir, tu vas avoir une petite surprise mais ta mère aussi et surtout elle.

Le véhicule s'éloigne et je regarde les voyous extirper maman du coffre du véhicule. Je ne savais pas à quel point la surprise serait si choquante mais finalement cela devait arriver. Ma mère a abusé et tôt ou tard il lui faudrait rendre des comptes, payer le prix de tant de débauches et dépravations.

Ma mère se réveille enfin. Elle émerge lentement de son demi sommeil, elle a un peu récupéré. Elle se sent bien, allongée mais à l'étroit, elle ne peut plus bouger. Ses yeux s'habituent peu à peu à l'obscurité et elle s'aperçoit qu'elle est dans un hangar. Elle sent également qu'elle a subi une toilette assez intensive. Tout son corps suinte le parfum et on l'a remaquillé comme une pute, cela va de soi.

Elle ne peut remuer sa tête et tout son corps est comme compressé, emprisonné. Elle sent également une fine couche de plastique qui lui recouvre la peau car elle est toujours nue. Ma mère ne peut voir que cette pellicule est en fait du film plastique transparent. Elle ne peut voir qu'elle est allongée sur du polystyrène qui épouse parfaitement son corps. Elle est en fait empaquetée comme un poulet sous-vide que l'on trouve dans les supermarchés. Elle a juste deux trous au niveau de ses narines pour qu'elle puisse respirer. Ne pouvant relever la tête, elle ne peut voir que sur ses gros seins et spécialement sur son téton droit, une grosse étiquette collée avec marqué dessus « colis à livrer pour trois heures quarante-cinq ».

Ma mère réalise alors qu'elle est dans un sacré pétrin mais trop tard, elle entend du bruit derrière elle. Elle ne peut plus s'enfuir. Les battements de son cœur s'accélèrent et elle aimerait bouger mais elle ne le peut pas car elle est trop compressée par le film. Ce sont des bruits de pas qui se rapprochent. Elle s'imagine le pire et hélas pour elle, elle est loin de se douter que cela pourrait être la plus terrible de toutes les nuits qu'elle ait jamais passées, peut-être même la dernière

A suivre....

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