A la merci de mon beau-frère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes
Récit de Jane SMITH traduit par Coulybaca (2007)
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Le marché.
Après cette dernière rencontre si humiliante avec mon beau-frère j'essayai de l'éviter. Je me sentais violentée et honteuse d'autant plus que j'avais répondu à ses assauts lubriques.
Mon mari remarqua que je n'étais pas dans mon assiette, mais je trouvai comme excuse que j'avais un début de grippe. Pour compliquer les choses, une nuit que je baisais avec mon mari, il me fit jouir pour la première fois. Nos rapports sexuels se bornaient à des assauts lubriques sur mon corps et mon orgasme était infime comparé à celui que m'avait procuré mon beau-frère, mais c'était vraiment spécial : mon mari était parvenu à me faire jouir.
Il était si heureux, si fier de me procurer enfin un orgasme, mais au fond de ma tête une petite voix murmurait que c'était là une des retombées du viol que Yan m'avait fait subir. Je savais que John serait désespéré s'il venait à savoir que son frère m'avait violé, c'était une raison de plus pour que je me taise.
Il m'était impossible de rapporter ce viol aux autorités sans que mon mari l'apprenne, et je n'étais pas physiquement assez forte pour m'opposer aux volontés de Yan. Je me mis à fréquenter assidûment le club de gym pour me muscler mais Yan était bien plus grand et plus fort que moi, il était invraisemblable que je puisse le battre.
Je suggérai à mon mari que je pourrais prendre des leçons de self-défense, il ne fut pas opposé à cette idée aussi nous cherchâmes un club où m'inscrire. Ils se trouvaient tous dans des villes éloignées de notre résidence et étaient plus tournées vers les arts martiaux que les concepts de self-défense.
Un jour Yan apprit ce que nous recherchions et offrit de m'initier aux techniques de base du combat rapproché. Il se vanta d'avoir tenu des classes d'arts martiaux pendant plusieurs années. Je dus abandonner cette brillante idée. Je réfléchissais toujours à comment sortir de cette situation lorsqu'il m'assaillit de nouveau.
Je ne compris que John se rendait à une de ces réunions matinales qu'en entendant la porte d'entrée se refermer, je réalisai alors qu'il ne se trouvait plus à mon côté dans notre lit. J'étais encore à moitié endormie et j'étais dans les vapes lorsque Yan ouvrit violemment la porte de la chambre avant d'allumer la lumière. Eblouie par la soudaine luminosité j'étais trop occupée à me frotter les yeux pour comprendre la situation. Yan avait baissé dédaigneusement les couvertures et avait repoussé mon tee-shirt au-dessus de mes épaules. Il empoigna mes nibards comme un mort de faim. Je me débattis mais il m'immobilisa facilement et continua imperturbablement ses assauts.
Déjà, mon corps répondit à ses sollicitations, mes tétons dardèrent et ma chatte se crispa spasmodiquement. Désespérée je lui donnai un coup de genou dans l'estomac, il roula sur le côté le souffle coupé. Je rampai hors du lit et je dévalai les escaliers mi courant mi chutant dans ceux-ci.
Il poussa alors un hurlement de rage et j'entendis le bruit de sa course résonner dans mon dos. J'entrai dans la cuisine et m'emparai de mon couteau le plus impressionnant, je me retournai vivement et le pointai sur Yan qui surgissait dans l'entrée. Il stoppa net et fit un pas en arrière, la situation était dans une impasse.
Je me tenais derrière le plan de travail cherchant à reprendre mon souffle le couteau bien en main. Je pus le voir réfléchir, je ne m'attendais absolument à ce qu'il fit. Il fit un pas en avant, la pointe du couteau reposait contre son buste.
- Si tu veux te servir de ton couteau, vas-y ! Sache que tu vas devoir me blesser sérieusement si tu veux m'empêcher de te sauter ! En fait tu devras probablement me tuer ! Comment comptes-tu l'expliquer ? Et même si tu ne faisais que m'entailler, comment l'expliquerais-tu à John ? S'il me le demande, je lui dirai la vérité, ou tout au moins ma version personnelle. Est-ce que tu le veux réellement ?
Je le regardai comme un lapin terrorisé par un cobra. S'il m'avait attaquée, je me serai sûrement défendue avec le couteau, mais il venait de calmer le jeu, et me faisait voir les conséquences de l'emploi d'un couteau pour me défendre.
- A toi de choisir ! Ajouta-t-il en levant la main alors que j'appuyai la lame sur sa gorge.
- Ou tu me tues, ou tu poses ce couteau et tu remontes avec moi dans ta chambre.
J'étais piégée, je posai lentement le couteau sur l'évier et me laissai emmener vers la chambre. J'essayai mollement de me débattre lorsqu'il me fit allonger sur le lit avant de plonger entre mes cuisses. Il captura mon petit clito entre ses lèvres et poursuivit en parcourant ma fentine de la langue, je tremblai comme une feuille, désespérée. On aurait dit que je regardais un tiers subir une agression, que j'étais simple spectatrice.
Il se foutait totalement de mes sensations, il me positionna à quatre pattes et entreprit de me sauter en levrette. Il venait de démarrer lorsque le son de la porte d'entrée que l'on claquait retentit m'arrachant à mon sort. Quelque qu'en soit la raison, John était revenu, je ne pouvais pas me laisser surprendre en train de me faire sauter par mon beau-frère, je repoussai Yan et me précipitai dans le hall d'entrée.
John devait avoir entendu le bruit de mes pas, il tourna la tête vers l'escalier et me regarda. Je m'accrochai à la rampe, m'efforçant d'adopter une attitude naturelle.
- Bonjour chérie ! Je ne voulais pas te réveiller, c'est idiot, mais j'ai oublié mon porte-documents ! Murmura-t-il.
- N'est-il pas trop tard pour te rendre à ta réunion maintenant ? Chuchotai-je pleine d'espoir.
Du coin de l'œil je vis Yan se diriger calmement vers moi. J'essayai de me concentrer sur les explications de Jean qui me disait qu'il leur avait passé un coup de fil pour annoncer son retard, mais qu'ils l'attendaient.
Yan atteignit l'embrasure de porte et s'agenouilla dans mon dos. Il posa les mains sur mes hanches et me força à écarter les cuisses. Je cherchai à l'en empêcher mais je ne voulais pas que Jean se rende compte quelque chose n'allait pas, ce qui minorait ma défense.
Je répondis aux explications de Jean mais mon attention était tournée vers ce que me faisait Yan. Il avait réussi à m'ouvrir les cuisses en grand et il usait de sa langue pour martyriser ma fente alors que ses doigts jouaient avec mon clito dardé.
J'essayai de me concentrer sur ce que me disait mon mari mais cela devenait très difficile, j'avais envie de me tortiller et de gémir, la langue de Yan générait un plaisir non désiré qui irradiait mes reins. C'est alors que je m'alarmai, Jean gravissait les premières marches pour me donner un bisou d'adieu.
Je me penchai au-dessus de la rampe pour l'embrasser arrêtant ainsi sa progression. Ce faisant il ne pouvait se rendre compte de ce que me faisait son frère, en contrepartie, ce geste livra totalement ma chatte à la merci de Yan qui en profita sur-le-champ.
Jean me sourit et caressa rapidement mes nibards, qui se balançaient mollement du fait de ma position, tout en m'embrassant. C'en était trop, je ne pus m'empêcher de pousser un gémissement. Jean fut surpris de me voir répondre aussi vivement à ses caresses et m'embrassa gentiment les deux mamelons en retour. Je gémis à nouveau alors que mes tétons s'érigeaient sous les caresses de Yan qui intensifiait ses caresses labiales.
Jean suçota mes mamelons me susurrant des petits mots d'amour qu'échangent mari et femme lorsqu'ils font l'amour, puis m'embrassa de nouveau. Je l'embrassai en retour, refreinant désespérément l'orgasme qui n'allait plus tarder à me terrasser.
- Je dois y aller. Je suis déjà très en retard et je n'aime pas trop faire attendre mes collaborateurs. On se couchera tôt ce soir pour reprendre cette conversation. Tu ferais mieux de retourner rapidement au lit afin d'éviter de réveiller Yan ! Je sais à quel point tu te sentirais gênée s'il sortait de sa chambre et te trouvait pratiquement à poil !
Il me donna un dernier baiser, caressa une dernière fois mes nichons, inconscient que son cher frère me baisait deux doigts plantés dans la chatte tout en me dévorant le clito. Je ne savais pas si je devais me plaindre ou me réjouir de voir Jean partir.
A l'instant même où la porte se referma dans le dos de Jean, Yan se redressa et enfourna sa grosse bite dans ma foufoune embrasée. Je m'accrochai à la rampe, accompagnant chaque coup de boutoir. J'entendis distinctement partir la voiture de mon mari alors le premier orgasme me submergea. Yan éjacula rapidement au fin fond de mon utérus et s'effondra contre mon dos. Je le sentais qui riait dans mon dos, mais j'étais loin de m'en soucier. Ma seule pensée était que je n'étais pas rassasiée. Lorsque Yan me poussa sur les genoux et brandit sa bite devant mon visage, je n'hésitai pas un instant. Je le suçai et léchai de tout mon cœur dans ma hâte de le voir bander à nouveau.
Je ne fis pas plus de résistance lorsqu'il me ramena dans la chambre et m'allongea sur le lit avant de m'inviter à monter sur lui. Je le chevauchai comme un mustang sauvage, broyant mon clito contre son pubis, m'empalant durement sur sa bite alors que je rebondissais d'orgasme en orgasme.
Puis les orgasmes diminuèrent d'intensité et je m'effondrai sur son torse, attendant qu'il jute enfin dans mon fourreau.
- Bon veux-tu conclure cette bonne séance de baise maintenant ? Cesseras-tu de me combattre ? Susurra Yan l'air satisfait.
- Que veux-tu dire ? Lui demandai-je intriguée.
- Ouais, j'en ai marre de devoir me battre avec toi avant de te baiser. Je veux que tu fasses ce que je te dirai dorénavant, sans protester, sans résister. Si tu refuses, je dirai à Jean ce qui vient de se passer entre nous aujourd’hui. Je lui dirai que pendant qu'il embrassait sa petite femme chérie, j'avais ma langue fourrée dans sa fente et que cinq minutes plus tard on se faisait une extraordinaire partie de baise.
- J'en ai marre de toi et de tes menaces. Rétorquai-je le provocant en quelque sorte.
Et j’ajoutai :
- Vas-y et dis-lui ce que tu veux. Je lui raconterai que tu tiens ces propos parce que tu es jaloux de notre bonheur. Que tu as déjà gâché tant de choses ! Et je crois que c'est moi qu'il croira !
Yan me gifla durement en plein visage, et m'attrapant par les cheveux il me regarda droit dans les yeux. Il gronda sauvagement :
- Ecoute-moi bien petite pute. J'ai entendu le moindre mot de ce qu'il te disait, y compris tous ces petits noms dont il a affublé ta chatte et tes tétons. Comment pourras-tu lui expliquer que je les connaisse ?
Une fois de plus j'étais piégée, mais déjà je cherchais un autre moyen de m'en sortir.
- Tu veux que je me laisse faire sans me débattre ? Lui demandai-je doucement en réfléchissant à toute vitesse.
- Peut-on encore appeler ça un viol alors que tu y prends autant de plaisir ma petite salope ? Commenta-t-il cyniquement.
- Si je ne veux pas le faire, c'est bien un viol ! Repris-je avec rage.
Puis je dis :
- Et quel avantage tirerai-je de me laisser faire ?
- A part que je ne vendrai pas la mèche à Jean, 5 ou 6 orgasmes chaque fois que je te baiserai ! Que voudrais-tu de plus ?
- Je ferai ce que tu voudras à la seule condition que tu déménages dans un mois. Lui répondis-je fermement.
En ne lui laissant pas beaucoup de temps de cohabitation avec moi, je pourrai facilement éviter de rester seule en sa compagnie pensais-je avec optimisme. Je ne voyais pas d'autre moyen de me tirer de ces sales draps.
- Je pense que je peux me satisfaire de ta proposition, tu seras mon esclave sexuelle jusqu'à la fin du mois. Tope là, le marché est conclu, je suis d'accord !
- Pour moi aussi !
- C'est d'accord, désormais lorsque Jean partira de bon matin travailler j'attendrai bien au chaud dans mon lit que tu viennes me sucer la bite ! La première chose que je veux voir en ouvrant les yeux c'est ta chatte, d'accord ? Tu ne rouspéteras plus ni te débattras, tu m'obéiras au doigt et à l'œil à partir de cet instant. Et maintenant nettoie ma bite avec ta bouche, je vais finir par me mettre en retard !
Espérant désespérément avoir fait le meilleur choix possible, je lui obéis docilement.
A suivre…
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