A la merci de mon beau-frère - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contraintes
Récit de Jane SMITH traduit par Coulybaca (2007)
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Un beau frère se tape sa belle-sœur.
Pour comprendre mon embarras, il faut savoir un chose : j'aime profondément mon mari. Je ferai n'importe quoi pour le rendre heureux, nous formons un couple heureux depuis 6 ans déjà. Jean, mon mari dirige sa propre entreprise, il a engagé récemment son frère aîné Yan qui vivait au Danemark avec sa petite amie ces trois dernières années, mais il avait décidé de revenir en Angleterre.
Jean adore son frère et lui a aussitôt offert un poste et notre chambre d'ami. C'est la première fois que je rencontre Yan, il semble de compagnie agréable. Incontestablement ils se ressemblent fortement, cependant Jean est plutôt franc et ouvert, alors que Yan s'avère cruel et sournois. Quoiqu'il en soit, ils bossent de concert, bien qu'ils n'aient pas les mêmes horaires.
L'un de leur principal client demeure dans la ville voisine, à une heure de route. Il aime avoir une réunion le matin ou le soir, mais chaque semaine. Cela implique qu'une fois par semaine, mon mari quitte le domicile à 7 heures du matin, ou rentre vers 20 heures.
C'était le cas hier matin, il s'était levé de bonne heure, il avait essayé de s'habiller silencieusement mais, comme d'habitude, j'étais déjà réveillée. Lorsqu'il s'en rendit compte, il revint m'embrasser et revint au lit pour une petite séance amoureuse. C'était justement la seule chose qui n'était pas parfaite. Pour une raison inconnue, mon mari ne me fait pas orgasmer, nous avons essayé différentes méthodes, mais nous avons fini par nous y résigner.
Parfois il me conseille d'utiliser un vibromasseur, ou bien il me regarde me masturber, mais nous avons dû nous résigner au fait qu'il ne puisse me mener à l'orgasme. Je n'y fais plus attention, me contentant de lui dispenser du plaisir. Dès que Jean me quitte, je prends mon vibromasseur et je me donne du plaisir.
Nous essayons de ne pas être trop bruyant de façon à ne pas incommoder Yan, mais il ne dit jamais rien.
J'étais encore couchée, lorsqu'un courant d'air me prévint que quelqu'un se glissait dans mes draps. Pendant un instant j'ai pensé qu'il s'agissait de Jean qui était revenu pour une raison quelconque, mais lorsque je roulai sur le flanc me tournant vers lui, je vis, dans le demi-jour dû aux rideaux, que c'était Yan qui s'était allongé dans le lit, à mes côtés.
J'étais encore somnolente et avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, il s'étendait sur moi. Le contact de sa peau nue sur la mienne m'amena à comprendre rapidement la situation, et j'essayai de le repousser.
Il me sourit ironiquement, et il m'agrippa aux épaules, me laissant me débattre en vain, son poids m'enfonçait dans le matelas et je ne pouvais pas bouger. Pire que ça, plus je me tortillais, plus je prenais conscience de sa virilité.
- Que fais-tu ?
- Cette question est stupide ... Que penses-tu que je fasse ? Je suis un bon paillard et j'en ai marre de ne rien avoir à me mettre sous la dent .....Je veux un bon vieux con bien juteux ....C'est pourquoi je suis venu te rejoindre dans ton lit !
- Mais je suis ta belle-sœur ...Tu ne peux pas faire ça......
- Et qui va m'arrêter ? Il n'y a personne d'autre que nous ici ! Tu peux pleurer si tu veux... Mais personne ne viendra nous interrompre... Et comme tu peux t'en rendre compte je suis beaucoup plus fort que toi !
- Si tu me violes.... Je me plaindrai à la police !
- T'as raison c'est ce que tu devras faire ! Mais que pensera Jean de ta démarche ?
- Que veux-tu dire par là ?
- Je veux dire que si tu révèles que je t'ai violé tu vas provoquer l'effondrement de Jean. Sa femme et son frère ? De plus comment saura-t-il lequel croire, spécialement lorsque je lui aurai dit que c'est toi qui m'a séduit ! Et même s'il feint de te croire, il ne pourra jamais en être sûr. Bien sûr je lui décrirai avec force détail comment tu es venue ver moi pour faire des choses que tu n'as jamais pu faire avec lui. Oh oui je suis sûr que si tu parles tu vas ruiner sa vie.
Tout ce qu'il disait était vrai.
- N'as-tu pas plus d'égard pour ton frère ? Tu ne peux pas vraiment vouloir le blesser en agissant ainsi ?
- Je ne veux pas être celui qui lui fera du mal… Ce sera toi… Moi je veux juste baiser… Si tu te tais, personne n'en souffrira !
- Excepté moi !
- Oh je suis sûr que tu prendras ton pied. Ajouta-t-il m'embrassant.
- Est ce que ce n'est pas un gentil bisou, comme ceux que te donne Jean ?
En disant cela il força mes lèvres de la langue, explorant ma bouche jusqu'aux amygdales.
J'essayai à nouveau de le repousser et cette fois je pris le temps de l'observer. Je voulus l'éjecter de mon lit, mais il m'immobilisa et me remit sur le dos.
Il agrippa mes genoux et les écarta de force s'installant entre mes cuisses. Je sentais les poils autour de son nombril me taquiner le clito. Avec mes jambes grandes ouvertes il pouvait se presser contre ma foufoune. J'avais la moule détrempée, j'étais encore sous l'impact de l'orgasme que je m'étais procurée grâce au vibro. Je le bourrai de coups de poings, mais il ignora mes coups et il agrippa mes seins. Il ne les traitait pas mieux qu'il avait traité ma bouche, il pinça et mordit mes mamelons qui ne tardèrent pas à darder à ma grande honte. Il roula mes tétons entre ses doigts et je ne pus m'empêcher de gémir lorsqu'il se mit à les sucer chacun à leur tour.
La chaude chaleur de son haleine me fit tant de bien que bientôt j'oubliai de lutter. Il martyrisait cruellement mes tétons avec sa langue, puis il léchait langoureusement les aréoles. Les sensations provoquées par ces manœuvres étaient si agréables que je tirai ses cheveux pour l'encourager tout en bombant le torse pour presser mes mamelons contre ses lèvres.
Il fit une petite pause et me jeta un regard triomphant, c'est alors que je réalisai ce que je faisais.
- Tu as de splendides nichons belle-sœur. Ça fait un bon moment que je me demande comment ils sont ! Ils ne sont pas trop gros, juste la bonne taille. De plus tu as les plus gros mamelons que j'ai vu depuis longtemps.
Je recommençai à me débattre, pleurant et criant à l'aide. Il se contenta de rire et recommença à m'embrasser la poitrine, mordillant et étirant les tétons. Quoi qu'il soit particulièrement grossier je ressentis un frémissement, comme une onde annonciatrice de plaisirs, il m'était très difficile d'y résister.
Me prenant par surprise, il se retourna soudainement et s'agenouilla au-dessus de moi. Il avait la tête entre mes cuisses et la bite devant mon visage. Elle était sensiblement différente de celle de Jean, plus courte mais plus épaisse, d'un brun plus prononcé.
A la pensée qu'il allait plonger en moi, un frisson me secoua provoquant une forte émission de secrétions qui engluèrent ma chatte. L'instant d'après je me raidissai, sa bouche frôlait ma foufoune. Il avait les mains posées sur mes cuisses me forçant à les garder grandes ouvertes, me maintenant totalement à sa merci.
Il ne montrait aucune miséricorde, et comme tout à l'heure il avait utilisé impitoyablement sa langue pour explorer ma bouche puis mignotet mes tétons, il fouillait mes replis intimes, je me tortillais sur le lit mais je ne savais plus si c'était de peur ou de plaisir.
Une intense onde de plaisir me submergea et mon corps succomba à un puissant orgasme, un torrent de plaisir que je n'avais jamais connu. J'étais vaseuse lorsqu'il a cessé, mais Yan n'en avait pas fini avec moi.
Il se retourna vivement, et m'agrippant aux hanches, il enfonça violemment sa queue dans ma moule. Je ne vois pas comment décrire cette sensation. Il semblait me combler et m'élargir, Je pouvais le sentir palpiter dans mon ventre et les frissons se répercutèrent en écho partout dans mon corps. Il commença à me labourer vigoureusement s'enfonçant chaque fois un peu plus profondément dans mon tunnel d'amour. Je sentis poindre un autre orgasme tandis qu'il haussait le rythme, et je jouis, dos arqué sur le matelas. J'étais consciente qu'il vomissait son sperme au fin fond de mon utérus.
Il s'écroula sur mon torse, nos deux corps tremblant de concert, puis il finit par se relever et quitta la pièce m'abandonnant étendue sur le lit.
Lorsqu'il partit au bureau, je pris une longue douche et je changeai les draps. J'essayai d'oublier ce qui m'était arrivé, mais des frissons résiduels m'en empêchait. Je savais que je ne dirai rien à personne que ce soit à mon mari ou à la police.
Je n'avais aucune preuve et j'avais bien trop peur que Jean ne me demande jusqu'à quel point il m'avait forcée. J'étais incapable de nier avoir pris du plaisir à me faire baiser par mon beau-frère, aussi je me comportai comme si rien ne s'était passé, jusqu'à ce soir…
Jean avait une autre conférence le lendemain matin et Yan me chuchota à l'oreille :
- Je viendrai te rejoindre demain matin, très tôt, j'en bande déjà !
Je préférai croire qu'il plaisantait, mais je savais qu'il n'en était rien. J'avais bien peur qu'il ne veuille encore me baiser demain, et je ne voyais pas quoi faire pour l'éviter.
A suivre…
Merci pour ce blog. En espérant qu'il s'étoffe.
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