mercredi 1 août 2018

Ma mère Martine chapitre 09

Ma mère Martine - récit érotique - humiliation - contrainte - bourgeoise -soumission.

Récit de Gabrieldutour

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La fin de l’histoire – 1ère partie.

Bonjour à tous. Me voici donc décidé de vous narrer la suite des mésaventures extrêmement pornographiques de ma mère, Martine. Avant toute chose, il faut que vous sachiez qu'elle a enfin augmenté le volume de sa poitrine. Les médecins n'étaient pas très enthousiastes car elle avait déjà des seins énormes et ils ont tenté de la dissuader. Heureusement, elle a insisté et au bout de presque deux longs mois, cela s'est fait.

Ma mère a donc cessé ses cocufiages répétés afin de se concentrer sur son opération. Elle s'est bien déroulée et même si elle ne me le dit pas, je sais qu'elle en a profité pour se faire faire un léger lifting.

Je suis donc revenu sur Nantes début Décembre afin de voir le résultat. Du fait de la présence de mon père, Dominique, ma mère m'a accueilli en tailleur jupe. Mais de toute façon en voyant les deux énormes bosses sur sa poitrine, je pouvais déjà deviner la taille gigantesque de ses seins. Désormais, elle ne peut plus masquer leur opulence et même en mettant des soutiens gorges adaptés qui enserrent son énorme poitrine.

De visage, elle semble avoir rajeunie et paraît avoir 35 ans. Elle a également dû se faire injecter du collagène dans les lèvres. Elle a pris soin de se passer un beau rouge à lèvres qui rajoute un plus de sensualité. Elle est coiffée au carré, les cheveux teints en noir lui arrivent à la moitié du cou. Elle ressemble un peu à la présentatrice Evelyne T. mais avec des formes nettement plus plantureuses.

Sa tenue est conventionnelle mais la façon qu'elle a de se maquiller et sa démarche en disent long sur sa personne. A force de faire le trottoir et de s'offrir à des inconnus, elle a pris de mauvaises habitudes et adopte souvent une démarche provocante. Ma mère est une femme épanouie qui n'hésite plus à rendre son corps le plus attirant possible.

Mon père ne dit rien et fait comme si de rien était. Nous passons la soirée à trois en train de dîner comme une famille bourgeoise exemplaire. Harassé par sa semaine de travail, mon père nous laisse seuls, maman et moi. Nous débarrassons la table et nous nous servons un petit verre de rhum arrangé. Au salon, nous parlons de son opération des seins. Elle m'avoue avoir eu du mal à obtenir l'accord des médecins. Ils ont tenté de l'en dissuader plusieurs fois. Mais elle a réussi à obtenir ce qu'elle voulait. Le résultat est plutôt réussi et même au-delà de ses espérances.

Elle m'avoue également avoir eu des propositions salaces de la part de l'associé du médecin qui l'a opéré mais elle a refusé. Je lui demande :

- Et tu comptes refaire le tapin?

- Oui mon chéri. Tu sais que je n'ai pas le choix de toute façon. Je suis l'esclave de cet ignoble pervers de proxénète même s'il me paye pour que je me prostitue.

- Mais cela te plaît-il d'être obligée de vendre ton corps à tous ces hommes.

- Au départ, je t'avoue que j'ai eu honte mais tu sais que j'aime être soumise aux hommes et surtout par plusieurs à la fois. Le fait d'être en plus devenue une prostituée me procure une sensation de bien-être incroyable. J'aime me vendre, être à la merci de tous ces hommes qui m'humilient.

- Mais tu es folle. Et les autres femmes qui se prostituent : Elles n'ont pas le choix et sont dans la misère.

- Eh bien moi, je fais cela pour mon plaisir sexuel. Je me sens une vraie femme désirée et non une mère de famille honorable. J'en ai assez d'être obligée de jouer la comédie devant les amis de ton père. Je vous ai élevé ta sœur et toi et maintenant, j'ai envie de profiter de mon corps.

- De toute façon, tu sais que j'approuve ce que tu fais. J'ai même hâte de passer une soirée avec toi et de voir la taille de tes seins.

- Aaah que tu es gentil mon chéri! Si toutes les mères pouvaient avoir des enfants aussi compréhensifs que toi.

- Et si tous les fils avaient des mamans aussi libertines et courageuses de concrétiser leur perversion.

Ma mère me sourit et dit :

- Je passerai dans ton studio en fin de semaine et je mettrai un décolleté très provocant avec cette mini-jupe en cuir que tu aimes tant.

- Il faudra faire attention car les voisins savent que tu es ma mère et ils pourraient tout dire à papa.

- Bah, on se retrouvera en ville de toute façon. Si tu veux, vu que tu n'as plus d'amies, je verrai si je ne peux pas te trouver une collègue.

- Tu sais maman, je préfère les filles normales. J'aime bien les séduire et qu'il y'ait des sentiments.

Ma mère me regarde en fronçant des sourcils.

- Et moi, tu préfères me voir me faire baiser comme la dernière des truies. Je n'ai pas oublié que tes copains et toi, vous vous êtes bien rincés l'œil pendant que je me faisais violer sur le parking. Même dans cette cité, vous étiez heureux de me voir me faire saillir par ces jeunes salauds.

- Oui, mais toi c'est différent car je sais qu'au fond, tu aimes ça.

- Ce n'est pas une raison! Je suis ta mère, celle qui t'as mis au monde et toi, tu me traites comme une pute et tu me laisses subir les derniers outrages en y prenant beaucoup de plaisir.

- N'oublie pas que c'est toi qui a donné notre adresse.

- Ooh, je ne l'oublie pas et d'autres non plus ne l'ont pas oubliée.

- Il y'a eu du monde?

- Pendant deux semaines, cela n'a pas arrêté. Je ne m'habillais même plus. J'avais juste un peignoir et ils sont même venus à dix une fois. Ils m'ont tous baisé dans la cuisine, sur la table. Après ça, ils m'ont forcé à les suivre dans leur cité en peignoir. Puis j'ai dû à nouveau les satisfaire dans une de leur cave vétuste.

- Tu devrais arrêter d'aller dans ces endroits, j'ai peur qu'il t'arrive des choses là-bas.

- De toute façon, plus personne ne passe ces temps-ci.

Ma mère termine son verre d'alcool et monte se coucher. Elle semble frustrée que plus personne ne lui rende visite. Pour ma part, je suis content car je trouve que maman exagère sur ses relations extra-conjugales. Pour elle, le sexe est devenu une véritable drogue et pire encore car elle éprouve de plus en plus le besoin de se dépraver et d'être soumise à des jeunes de mon âge et peut être même plus jeunes.

Je pense un peu à mon père aussi. Que penserait-il s'il savait pour maman. Je n'ose l'imaginer. Certes, je suis heureux que ma mère aime le sexe mais cela me rend un peu amer vis à vis de mon père. Je monte me coucher à mon tour mais je dois avouer avoir hâte de voir le décolleté de maman la semaine prochaine.

Je rentre donc à mon petit studio et travaille mes cours. C'est dur et il faut assimiler pas mal de chose. La fin de semaine arrive enfin et ma mère me rejoint. De visage, elle ressemble de plus en plus à une actrice X tant elle est maquillée outrageusement et sa démarche provocante est suffisamment explicite. Elle porte toujours un tailleur jupe mais on devine les énormes protubérances mammaires qui déforment agréablement son chemisier. Elle a dû passer des heures dans la salle de bain et elle sent un agréable parfum de femme. Elle est une vraie professionnelle et même moi, son propre fils, suis subjugué par tant de sensualité. Il arrive que ma mère me fasse bander et que je la vois autrement que la femme qui m'a mis au monde et élevé.

Mais la soirée ne fait que commencer. Maman et moi prenons l'apéritif. Nous discutons beaucoup de sexe. Les verres se succèdent, la désinhibant. Ensuite, elle file se changer dans ma petite salle de bain et en ressort quelques minutes plus tard, transformée en véritable bombe sexuelle.

Je vais la décrire une fois de plus pour bien allécher le lecteur. Certes, pour les amoureux de Martine, cela peut être rabatteur mais il faut penser aux nouveaux lecteurs. Ma mère mesure environ 1m64 (un peu plus avec ses talons). Elle est brune aux yeux noisette avec de fins sourcils. Elle est coiffée au carré avec des cheveux teints en noir qui lui arrivent jusqu'à la moitié de son cou. Elle ressemble un peu à la présentatrice Evelyne T. de visage mais avec des lèvres pulpeuses mises en valeur par un rouge à lèvres très vif. Elle n'a presque pas de rides pour ses 47 ans et paraît en faire 35. N'ayant pas travaillée de sa vie et s'entretenant beaucoup, elle a su garder un corps bien conservé. Elle n'a pas un corps de mannequin ni de sportive et loin s'en faut mais elle a ce qu'il faut où il faut. En fait, elle est plantureuse. Elle a de belles formes bien arrondies et sensuelles. Ses deux grossesses lui ont donné un très léger embonpoint au niveau des hanches mais cela se voit peu. Il ne faut pas oublier que c'est une mère de famille bourgeoise, bien entretenue.

Ce qui attire le regard, et les lecteurs le savent bien, c'est sa grosse poitrine. Croyez-moi, cela est assez choquant mais terriblement excitant. L'opération a été sublime. Les amateurs de grosses poitrines seraient heureux à la vue de ses deux énormes nichons compressés dans un body noir en cuir. Déjà, maman avait une très grosse poitrine mais là, cela dépasse les espérances. Et le plus terrible, c'est que cela lui va parfaitement bien. Ils sont lourds et bien ronds, pressés dans ce body qui menace d'exploser au moindre mouvement. L'échancrure du body est large et ses seins ressortent vers le haut. Je me demande comment elle fait pour respirer. Son ventre est à l'air et j'aurai aimé qu'elle fasse comme mon ancienne copine Laëtitia : c'est à dire qu'elle se mette un anneau sur le nombril. Mais maman est un peu rétive à propos de tout ce qui est en rapport avec le piercing.

Elle a mis sa mini-jupe en cuir moulante qui lui arrive à ras les fesses. Ses jambes sont nues mais bien entretenues. Elle porte des sandales noires à talons hauts, lacés à ses chevilles. On peut voir aussi qu'elle s'est vernie les ongles avec une couleur crème.

Avec un sourire éclatant elle me dit :

- Alors, tu les trouves comment mes seins?

- Ils sont énormes mais tu as eu raison car cela te rend vraiment largement plus attirante, les hommes vont apprécier.

- Je sais que les hommes sont attirés par les gros seins et je suis très contente que cela te plaise. J'ai eu peur que cela te choque de voir ta mère avec des gros seins.

- Tu devrais savoir que j'aime te voir t'exhiber.

- Oui, mais je me demandais s'il était sain pour toi de voir ta mère faire la pute.

- Oooh non, Je suis fier de toi, fier d'avoir une mère qui est une bombe sexuelle que les hommes adorent.

Ma mère me sourit, les yeux en larmes et m'embrasse sur la joue, heureuse que moi, son propre fils , approuve ses dépravations et soit son complice.

Au même moment, j'entends frapper à la porte. Les coups sont insistants. En ouvrant, je reconnais le proxénète avec deux de ses copains.

- Ta pute de mère est ici?

Je réponds machinalement que oui. Ils entrent sans se gêner mais je ne les repousse pas, bien au contraire. Le proxénète la regarde et dit :

- Alors, tu t'es fait grossir les seins.

Ma mère opine.

- Enlève ton body que je vois tes nichons! Ils semblent bien gros!

Ma mère s'exécute et elle enlève lentement son body noir. Ses grosses loches tombent lourdement. Ils sont énormes et l'on peut voir ses larges auréoles brunes et ses tétons qui pointent durs, sans doute l'excitation due à la situation.

L'homme s'approche et les empoigne fermement. Il les soupèse en les pétrissant comme pour tester la marchandise. Son regard est vraiment pervers et l'on sent qu'il se retient de ne pas la baiser dans mon propre studio. Ma mère se cambre bien et lui offre ses gros seins. Il continue à lui malaxer les nichons devant les yeux concupiscents de ses amis.

- Eh bien ma salope, tu es une sacrée vache à lait! J'ai rarement vu des seins aussi gros et aussi bien foutus. Ce soir tu vas faire fureur. Tu vas d'abord faire la pute à la sortie des bars mais les seins à l'air. Tu n'as pas besoin de soutien-gorge au point où tu en es.

Ma mère ne dit rien et se laisse peloter par ce salopard vicieux qui en profite pour insinuer une de ses mains sous sa mini -jupe. Il constate qu'elle porte un sous-vêtement qui est un magnifique string noir.

- Vire ton string aussi, ce sera plus rapide comme cela.

Elle obéit sans broncher et enlève son superbe string noir. Elle le glisse le long de ses jambes nues et le tend à l'homme. Le Proxénète s'empare du sous-vêtement et le passe à ses amis. L'un d'eux dit :

- C'est vrai que cette pute a de gros seins mais je crois qu'il vaut mieux qu'elle mette un truc, ça serait plus sensuel, non?

Le proxénète rétorque :

- On verra après. On va l'accompagner dans un bar que je connais. La sensualité, on s'en fout, surtout avec elle. Elle aura les seins à l'air et ira directement au comptoir.

Il se tourne vers moi.

- Et toi tu peux venir. Maintenant tu es dans le coup et c'est normal que tu veilles à ce que ta mère fasse bien son métier.

- Ecoutez, je n'aime pas le fait de prostituer ma mère. C'est honteux, immoral et je n'adhère pas à cela.

- De toute façon, tu vas venir avec nous que tu le veuilles ou non. Sinon, ta chère maman risque de souffrir par ta faute.

Je ne comprends pas pourquoi ils tiennent tant à ma présence mais les lecteurs sauront pourquoi plus tard.

Nous suivons donc ces salopards qui nous emmènent vers leur véhicule. Ma mère a une veste mais en dessous, elle est seins nus. Elle reste silencieuse et résignée à vendre son corps ce soir. La voiture démarre en trombe et nous voilà partis pour une soirée de dépravation intense, une soirée qui restera à jamais gravés dans ma mémoire tant la conclusion est perverse.

Je suis monté à l'avant comme la dernière fois et bien sûr, je ne peux m'empêcher de lorgner cette femme à gros seins dans le rétroviseur intérieur. A l'intérieur du véhicule, c'est l'enfer. La fumée, l'odeur de la sueur donne envie de vomir.

Ma mère commence à se faire peloter et surtout ses gros nichons. Elle a enlevé sa veste et se retrouve donc seins nus coincée entre deux hommes aux regards lubriques. Sans hésitation, ils lui pétrissent les seins dans le véhicule en poussant des gémissements pervers. Ma mère commence à son tour à gémir car elle est très sensible au niveau de la poitrine. Ses tétons durcissent et les deux gars les lui pincent.

L'un d'eux, un basané au crâne rasé lui roule un patin de folie tandis qu'il la doigte. Il sent qu'elle s'excite et finit par mouiller. Son ami est en train de lui gober ses si gros seins, l'un après l'autre. Voyant cela, le proxénète s'arrête brusquement :

- Bon les mecs, elle est censée travailler pour nous. En théorie, on baise pas nos prostituées avant qu'elles ne travaillent.

Il voit que ses amis sont bien trop affairés à la tripoter et surtout ses seins. Furieux il redémarre la voiture et se gare dans un coin sombre.

- Bon, sortez là et baisez-la sur le capot cette salope. Comme ça, vous serez un peu plus calme.

Ma mère est tirée hors du véhicule assez violemment et elle est plaquée sur le capot. On la retourne puis l'homme basané au crâne rasé lui baisse et lui enlève sa minijupe sans que maman ne réagisse. La voilà nue cette fois (elle porte juste des mules et son alliance). Elle est à leur merci et sait par expérience que se débattre ne sert à rien

Elle sent un doigt pénétrer et fouiller longuement sa chatte humide, puis son anus. Elle entend les gémissements de l'homme qui prend son pied à tripoter cette bourgeoise qui n'est autre que ma propre mère. Elle entend aussi les commentaires salaces sur elle.

Pendant une bonne minute, il explore les deux orifices puis terriblement excité, il déboutonne son jean et en sort un sexe gonflé à bloc. Sans plus de finesse, il enfonce sa queue dans le cul de ma mère et la ramone longuement et de plus en plus vite. Ma mère se laisse donc enculer par cet homme peu subtil et elle commence à gémir de plaisir. Elle accompagne les mouvements de va-et-vient par des ondulations du bassin et la voiture est animée de secousses.

Ses gros seins sont plaqués contre le capot froid du véhicule et on a l'impression qu'elle est sur deux ballons. On entend les cris de jouissance de ma mère dans toute la rue et la scène est plus que perverse.

Moi, je commence à vraiment bander bien que ce soit la femme qui m'a mis au monde qui se comporte comme la dernière des salopes en hurlant de plaisir. Le basané finit par se lâcher dans les entrailles de ma mère. De gros jets de sperme lui remplissent le cul.

L'homme se retire et le foutre dégouline de son anus. Son copain, un blanc au look hooligan pas très fin prend le relais mais la retourne car visiblement, il ne peut se passer de malaxer cette grosse poitrine qui jadis m'a allaité. C'est vrai que ma mère a de gros seins. Je repense toujours à mon enfance, au rapport maternel. Si j'avais su que ces deux protubérances mammaires satisferaient tant d'hommes. Peut-être que les seins de ma mère leurs rappellent leur propre enfance : ce doux lien qui unit l'enfant et sa mère, de la subtile jouissance éprouvée par la mère lors de l'allaitement. Car il faut le dire : ma mère aime par-dessus tout se faire tripoter les nichons.

Mais revenons-en au blanc. Lui ne veut pas l'enculer mais il s'affaire à lui tripoter les seins. Ma mère a les bras écartés et se laisse triturer son opulente poitrine, totalement soumise et la tête en arrière. Il grogne :

- Espèce de salope à gros seins, tu n'as pas honte de te faire baiser devant ton propre fils.

Ma mère ne dit rien trop excitée. L'homme continue de lui masser les nichons avec ses deux mains et finalement, lui aussi baisse son pantalon et la baise sur le capot avec violence. Ma mère hurle à nouveau, heureuse d'être baisée dans cet endroit sordide au risque d'être vue par tous. Le hooligan est bien moins endurant que le basané et il éjacule rapidement. Il se retire et laisse maman pantelante sur le capot.

On entend un crissement de pneu : Un autre véhicule s'arrête. Une bande de jeune de toutes nationalités en sort. Il y'a deux noirs, un arabe et un blanc.

- C'est quoi le plan, ici? Dit un des noirs qui semble être le meneur.

Le proxénète le regarde :

- Le plan c'est qu'on a rendez-vous, alors si tu veux baiser cette bourge raciste, il faut banquer.

Le noir devient fou et sort une liasse de billet dont la provenance est loin d'être légale.

- Allez mec, on va la faire morfler. Je paye cash la pute.

Le proxénète le regarde à nouveau :

- Bon, elle est à vous mais pas de coups, hein! Cette pute est réservée. Pour le reste, elle fait ce que vous voulez.

Les jeunes entourent ma pauvre mère et la bouscule. Elle reçoit une ou deux claques malgré les consignes du proxénète.

- Alors la pute, on est raciste, hein?

Ma mère commence à avoir peur mais cela l'excite aussi.

- Heureusement que t'es méga bonne, salope! Et que t'as vraiment de gros seins de vache à lait!

Le noir la met à genoux et sort un mandrin pas possible qu'il enfourne dans sa bouche. Elle se met à le pomper et le noir s'excite en grognant de plaisir. Il la saisit par les cheveux en marmonnant :

- Allez, suce-moi salope de bourgeoise raciste, allez!

Ma mère pompe sec et avec professionnalisme. Ses lèvres pulpeuses se referment sur la verge d'ébène et de temps en temps, elle l'enfourne tout au fond de sa bouche goulue. Le noir se lâche et le foutre envahit la bouche de ma mère. Rassurez-vous, elle fait tout son possible pour ne pas en perdre une miette. Elle en avale le plus possible tandis que le reste coule sur ses énormes seins et son ventre.

Le noir, les couilles vidées, passe le relais à son pote, l'autre noir. Ma mère se badigeonne de sperme tout en suçant le grand black. Elle prend du plaisir alors qu'elle a osé, il y a peu (et ça les lecteurs s'en souviennent) proférer des insultes racistes envers un jeune arabe qui la draguait en boite.

Pour ma part, je suis satisfait que ma mère se fasse punir de la sorte. Il faut qu'elle comprenne que des idées comme ça, c'est vraiment de la merde. J'éprouve un plaisir malsain à la voir se faire humilier par ce grand black, juste retour des choses. Elle continue à la pomper tandis que l'arabe passe derrière elle et lui écarte les fesses. Son anus, en feu et encore dégoulinant de sperme, est exposé à la vue de tous :

- Bordel, c'est plus un cul qu'elle a mais c'est le tunnel du mont blanc. Dit le blanc.

L'arabe s'en fiche et il l'encule sauvagement à son tour. Ma mère se retrouve donc à quatre pattes, totalement nue en train de sucer un grand black et en train de se faire enculer par un arabe. La scène est salace et elle dure une bonne dizaine de minutes jusqu'à ce que les deux éjaculent à leur tour remplissant les entrailles et la gorge de ma mère déjà pleine alors que la soirée commence à peine.

Le blanc désire à son tour la baiser mais il semble plus attiré par les gros nichons de ma génitrice, même s'ils sont recouverts de sperme. Il la force à se mettre à genoux et enfourne sa queue entre les lourdes mamelles enduites de foutre. Ma mère, experte en branlette espagnole, commence à presser ses grosses loches autour de la queue de ce jeune de mon âge. Elle le branle avec ses énormes loches. Lui aussi ne tarde pas à gicler sur les seins lourds et laiteux aux larges auréoles brunes. Le sperme dégouline à flot et ses seins sont recouverts d'une couche de foutre incroyable qui dégouline sur son ventre. Elle tente d'en récupérer le plus possible avec ses doigts qu'elle lèche un à un. Pour le reste, elle l'étale sur ses gros seins et son ventre en gémissant de bonheur. Les jeunes, même comblé sur l'instant, veulent nous accompagner et surtout ma mère. Le noir demande :

- Vous allez en faire quoi de cette salope?

- On va la prostituer dans un bar mais regardez dans quel état elle est cette putain. Elle est enduite de sperme. Il va falloir déjà la forcer à se laver et il n'est même pas 22h00.

Alors le noir dit :

- Mais venez faire un tour à la cité, vous la nettoierez là-bas. En plus, je peux vous trouver plein de clients.

- Pourquoi-pas mais à minuit, direction le bar et tant pis pour ceux qui n'auront pas leur dose de sexe.

Ma mère est relevée sans ménagement et mise, toujours nue, dans la voiture. Nous rentrons tous et suivons la voiture du noir qui nous mène à sa cité. Décidément, ma pauvre mère se retrouve toujours dans ces endroits-là.

Elle est donc nue dans la voiture, toujours encadrée par les deux hommes : Le basané et le hooligan. Ils continuent à la peloter vicieusement en la doigtant et en lui malaxant les seins fébrilement. Ma mère s'inquiète de ce début de soirée. Elle vient de se faire baiser comme la dernière des truies dans cette ruelle sordide mais la soirée commence à peine. Elle a peur : sans doute l'intuition féminine. Nous arrivons enfin à la cité. Les malheurs pornographiques de ma mère ne font que commencer.

A suivre....

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