lundi 27 août 2018

Margot est une salope Ch.01

Margot est une salope - récit érotique  domination soumission professeur viol

Texte de Erosxx.

Le viol de Margot.


Les vacances sont là et me tendent les bras. Je suis sorti pas mal mais hélas, toutes mes tentatives de me faire une gonzesse se sont soldées par des échecs. Pourtant on me dit beau gosse.
Je me suis très vite rabattu vers internet et les livres pornos que je planque dans mon armoire, sous mes pulls. Je passe la plupart de mon temps dans le noir à fantasmer sur des femmes à grosses poitrines. Je ne pense plus qu’à ça tout le temps au détriment de ma vie sociale. Au lieu de sortir de mon HLM, je reste enfermé dans ma chambre à me masturber devant des vidéos de plus en plus hard.

Un jour, surprise ! Je suis sorti pour m’acheter des clopes et en revenant, je retrouve mes revues pornos sur le lit. Grillé ! C’était ma mère. Elle a dû repasser mon linge et en le déposant dans mon armoire, a découvert le pot au rose. La honte me gagne. Je ne sais plus où me mettre ni quelle excuse bidon je vais pouvoir lui sortir.

J’habite dans un HHLM avec ma mère qui est professeur de Français à mi-temps dans un collège privé. Elle s’appelle Marguerite, un nom qu’elle n’aime pas trop alors tout le monde l’appelle Margot.
Elle donne aussi des cours de danse moderne le vendredi soir. Nous avons une maison située à 80 bornes où mon père habite. Mes parents ne sont pas divorcés mais pour des raisons professionnelles, ils ont décidé d’acheter une maison en campagne et elle de rester en ville, chacun voulant rester dans son travail.

On vit donc comme un couple dans un appartement HLM vétuste. Les gens sont entassés les uns sur les autres et sont malheureux. Il y règne une ambiance malsaine avec des racailles misogynes.

Ma mère a souffert d’une éducation sévère et depuis, elle adore se mettre en valeur. Elle fait ça aussi pour provoquer les machistes en affirmant sa féminité de femme libérée et insoumise. Elle appartient à une association de quartier qui propose des cours aux jeunes filles et elle enseigne la danse.

Je commence à avoir soif et je vais devoir aller à la cuisine et l’affronter. Je la vois et lui dit bonjour. Elle me répond comme si de rien n’était. Je me sers un verre de coca.

- Comment tu fais pour repasser par un temps pareil ? On crève de chaud.

- Il faut bien le faire mon chéri.

Elle me fait un clin d’œil. Elle ne me fera pas chier avec les revues je pense. J’ose la regarder. Elle est cool en ce qui concerne mes histoires de sexe.

- Tu veux un truc à boire ?

- Oui merci mon chéri ! Sers-moi un coca aussi.

Tout en versant, je la regarde. A cause de mon obsession sexuelle, je commence à la dévisager, non pas comme ma mère mais comme une femme. C’est vrai qu’elle est pas mal fichue ma mère. Elle a 44 ans et est en super forme. La danse moderne, qu’elle enseigne, lui permet d’avoir un corps ferme et des fesses que lui envieraient de nombreuses femmes. Elle fait 1m68 pour 62 kg. Elle a des cheveux noirs qui lui arrivent jusqu’aux épaules. Elle en fait en général un chignon comme maintenant. Une petite mèche lui tombe devant le visage. Un visage typé, méditerranéen car elle est originaire de Marseille bien qu’elle n’en ait pas gardé l’accent. Elle a les yeux en amande de couleur marron et sa peau est mat. Toujours bien maquillée, elle se met des faux cils et ses sourcils sont noirs et très fins ce qui lui donne un regard magnifique. Une petite ride au niveau de la bouche trahi son âge.
Elle porte un chemisier jaune assez fin et on distingue un peu son soutien-gorge rose en dessous ainsi que les reliefs des broderies. Décolleté discret car elle a quand même ouvert les trois boutons du haut à cause de la chaleur. Elle est en mini-jupe de jean qui lui arrive au-dessus des genoux et elle est pied nu sur le carrelage.

Elle pose le fer à repasser et s’assoit en face de moi pour boire son coca à la table de la cuisine. En faisant cela, elle se penche et j’ai une brève vision de ses seins tombants. Aussitôt, je repense à mes vidéos. C’est à ce moment que, pour la première fois de ma vie, je me rends compte qu’elle a quand même une belle poitrine. Oui, deux beaux seins qui sont naturels et pas siliconés comme les femmes que je regarde dans les magazines : Du naturel, du vrai, du gros et en plus devant moi.
Malgré la gêne que j’éprouve, je sens mon sexe se raidir. La vue de cette paire de nichons bronzés a déclenché en moi une véritable excitation. Jamais je n’avais considéré maman comme une femme.
Elle n’a rien perçu de mon délire car pour elle, je suis encore son bébé. Comment pourrait -elle imaginer que j’ai un instant fantasmé sur sa poitrine.

Elle sent ma gêne mais elle doit penser que ça vient des magazines découverts. J’arrive à avoir un discours cohérent avec elle sur notre projet de retour à la maison de campagne cette été. On serait réuni avec mon père, en famille car je suis fils unique.
On finit nos verres et elle me dit qu’elle doit faire des courses. C’est vrai qu’il Il n’y a rien à bouffer ce soir. Elle enfile ses sandales et prend son sac puis s’en va.

Je me rue sur mon ordinateur car j’en peux plus. Je regarde alors des vidéos mais cela ne m’excite plus. J’en veux des nouvelles. Je décide de télécharger des vidéos de femmes matures aux gros seins. Inconsciemment, je pensais à Margot en faisant ça. Je ne les trouve pas belle du tout. Puis je pense à ma mère faisant ses courses, se penchant dans les rayons fruits et légumes, offrant la vision de sa splendide poitrine à des passants inconnus. Je me caresse à cette idée. Puis vient l’image des machos, la lutinant, la déshabillant du regard avec mépris : Elle, ingénue, le soutien-gorge visible à travers le tissu, ses jambes musclées par la danse.

C’est alors qu’un flot d’images plus trash me vient à l’esprit. Elle pourrait très bien se faire agresser par des racailles. Ce ne serait pas la première fois qu’une femme se fasse avoir dans le coin. L’année dernière, une ado et une jeune mère de famille ont été violées dans la cité. Déjà qu’ici, la réputation craint. Alors avec ces deux viols, ça n’a pas arrangé la notoriété du coin.

A force de me palucher, je finis par juter. Puis, je réfléchis et me dit que je suis un beau taré de penser ça de la femme qui m’a mis au monde, que ce n’est pas normal de voir sa mère en femme de sexe.

Ma mère revient au bout de trois quarts d’heure, le sac plein de victuailles.

Une semaine passe et je suis toujours dans mon monde porno. Je télécharge, je me branle, je n’arrête pas.
On arrive bientôt en Juillet et je n’ai rien foutu d’autre. Margot a fait les premiers préparatifs de départ. Elle donne son dernier cours de danse de l’année ce soir. Elle est en forme et toute souriante. Elle a mis ses cheveux en chignon. Elle est en short bleu, un petit short très court qui met en valeur ses jambes musclées et bronzées. Le sport a gardé ses fesses rebondies. Le haut, un petit débardeur blanc qui lui arrive au nombril, avec un décolleté avantageux met en valeur sa belle poitrine. On aperçoit les bretelles de son soutien-gorge rose. Elle a une allure sportive malgré ses trop gros seins. J’espère que son soutien-gorge est costaud parce qu’avec la danse, ça doit bouger à fond. Je bande à cette idée.

Elle mange en vitesse et enfile ses sandales dont elle est si friande. Elle me laisse seul avec ma pizza. Elle, elle fait quelque chose d’utile. Moi, la soirée, je vais la passer encore à me palucher. Je commence à trouver ça pitoyable à la longue. Devant mon ordi, je ne vois pas le temps passer. Soudain mon portable sonne.

- Allô, Chéri ?

- Oui maman ?

- Ma voiture a été vandalisée ! C’est une honte, on m’a crevé un pneu !

- C’est dégueulasse ! Qui crois-tu être l’auteur de ce méfait ?

- Je ne sais pas, je vais porter plainte ! Je vais appeler un taxi ! C’était pour te prévenir que j’allais être en retard et que tu ne dois pas t’inquiéter. Je suis devant l’école de danse.

- Tu veux que je vienne en scooter ?

- Non, ce n’est pas la peine mon chéri, je serais là dans un quart d’heure.

- D’accord maman, bisous a tout à l’heure !

- Bisous mon chéri !

Je me remets sur l’ordinateur mais je n’arrive plus à bander, cette histoire me préoccupe. Je décide au bout de dix minutes, d’y aller, on ne sait jamais. Je vais la prévenir. J’appelle son portable et je tombe directement sur sa messagerie. J’enfourche mon scooter et je fonce là-bas. Arrivé devant l’école de danse, je vois un taxi. Je vais le voir.

- Oui, une dame m’a appelé mais elle n’est pas là. Elle a dû se trouver un autre taxi. Vous lui direz que dans ces cas-là on prévient. Déjà que c’est mal famé ici !

Il claque violemment la porte et s’en va en grognant. Je décide alors d’inspecter la voiture. Les deux pneus avant sont dégonflés. Je dirai qu’ils sont crevés. Je retente de l’appeler mais rien : Toujours sa messagerie directe. Je me mets à tourner autour du véhicule et là je vois un objet qui confirme mes craintes : Un portable explosé. Il est en mille morceaux. Un peu plus loin, une sandale rose ... C’est celle de maman. Elle est devant une ruelle étroite et sombre. Je m’y engage alors. Je suis excité, pas de peur mais excité, animé d’une curiosité malsaine. Au bout de quelques mètres, la seconde tongue. Je suis sur la bonne piste.

J’entends des voix. C’est un peu plus loin et une femme qui gémit et se plaint. Une des voix d’homme crie et j’entends le bruit d’une claque. Des rires qui résonnent. En avançant, je me prépare au pire. Je me cache derrière un pan de mur qui dépasse. Je m’installe le plus confortablement pour espionner.

Mes craintes se justifient. C’est maman. Elle s’est faite coincée par trois hommes cagoulés. Ce sont eux qui ont vandalisé le véhicule. L’un fouille dans son sac à main. Il sort le portefeuille et pique le fric et les cartes. Il le jette ensuite dans le tas de poubelles qui traîne par terre. Maman est maintenue par les bras par un homme placé derrière elle. Elle est en débardeur et short bleu. Instinctivement, je me dis :

- Quelle idée aussi de se promener dans cette tenue en pleine nuit dans ce quartier !

J’avais mon portable à la main, il suffisait que j’appelle les flics. Il y a un commissariat pas loin en plus. Mais quelque chose m’en empêche. Malgré tout l’amour que je porte à ma mère, les pulsions l’emportent. Elle est en danger et je ne fais rien, je ne veux rien faire. La situation est si originale que je ne veux pas l’interrompre.

L’homme devant elle a un énorme couteau avec lequel il joue pour lui faire peur. J’observe sa poitrine qui remplit le débardeur. Elle se soulève, se contracte, se soulève sous l’effet de la peur. Ma mère, si sûre d’elle d’habitude, est en situation de victime. Elle est même en danger car le couteau pourrait plonger dans son corps et mettre fin à sa vie. Elle est à la merci de cet homme cagoulé. Il sent bien la peur de cette femme. Il jouit de sa domination. Son copain derrière aussi. Il sent la peur affluer chez elle.

Je suis dans un état second, submergé par la peur pour elle, mon désir de la protéger mais aussi le besoin de voir la suite. Il met le côté non tranchant sur sa gorge et fait mine de l’égorger. Il se met ensuite à la picoter du bout de sa lame. Le bout des seins, puis tout autour d’eux. Margot est au bord de la crise de larmes. Elle sent ensuite le couteau descendre sur son plexus et piquer à plusieurs reprise son ventre. Il suffirait d’une pression pour que lame rentre comme dans du beurre. Il la torture psychologiquement. Maman se met à geindre, larmoyante :

- Pitié ! pitié ! Je vous en prie, j’ai un fils, j’ai un mari ...pitié !

En guise de réponse, l’homme la gifle une fois, deux fois, trois fois ...

-Tu as une famille, eh bien tu ne leur fais pas honneur ! Tu ne mérites pas d’être une mère ! Elles doivent rester au foyer et pas s’exhiber comme une putain !

J’ai tout de suite compris qui pouvait se cacher dessous les cagoules. Il dégrafe le chignon de maman. Les cheveux tombent, pas encore sec de la douche qu’elle a prise avant de partir de la salle de danse.

- Te voilà plus belle, maintenant !

Il écrase la pince et pose sa main sur sa poitrine.

- J’aime les gros seins. On va bien s’amuser !

Il se met à palper la poitrine généreuse puis incise le haut du col. Il range son couteau. Il la prend par le col et tire de chaque côté de l’incision. Le fin tissu de résiste pas et on entend un gros rippppp ! Margot ferme les yeux et pleure en tentant de faire le moins de bruit possible. Elle sent le tee-shirt lui être enlever. Ses seins sont justes contenus dans le soutien-gorge maintenant. Malgré leur brutalité dans leur geste, les trois agresseurs prennent leur temps. Ils regardent les formes généreuses de cette plantureuse poitrine. Le soutien-gorge est rose, brodé en dentelle. Les motifs en reliefs accentuent les rondeurs de chaque sein. Le tissu qui supporte les motifs est transparent et on distingue le brun du bout des seins ainsi que la pointe du téton.

Je suis en train de jouir à voir cette femme en soutien-gorge et en short bleu être à la merci de ces brutes. Car en ce moment, je ne pense plus qu’à mes pulsions. L’homme au couteau recommence son petit jeu de lame. Il s’avance vers ma mère et picote son ventre autour du nombril. Elle essaie de calmer sa respiration car à chaque expiration, son ventre se gonfle et donc accentue le picotement. Il lui faut respirer par les poumons. Ça le fait jouir de sentir cette femme à sa merci. Il aime jouer avec les nerfs de sa victime. Il remonte ensuite vers le plexus, lentement en l’effleurant du bout de la lame. Il la fixe avec un regard mauvais avec un air de lui faire croire qu’a tout moment, il pourrait lui plonger cette lame dans les entrailles. Il veut lui montrer que sa vie est entre ses mains de fou. Toujours avec son couteau, il s’amuse à faire le tour de ses seins en faisant planer la menace de voir ses seins transpercer. Elle se sent ruisseler de sueur du fait de la peur. Elle sent la lame alors remonter vers son épaule et couper une bretelle, puis d’un coup sec, il tranche. Le morceau de bretelle tombe et le sein droit qui n’est plus soutenu tombe aussi. Il fait de même avec l’autre. Il finit par lui ôter son soutien-gorge. Sa poitrine tombe comme une grosse grappe. La voilà seins nus.

Je suis en train de me palucher comme un malade devant ça. Là, caché derrière ce pan de mur. C’est la première fois que je vois ses seins nus. Les seins de ma mère sont lourds et bronzés uniformément à la peau. Remercions les séances d’UV. Au bout de chaque sein, elle a des auréoles très brunes d’environ 6 à 7cm de diamètre et au centre, de longs tétons d’au moins 3 cm. Avec son couteau, il en dessine les contours devant ses deux camarades. Il le fait lentement en faisant mine de lui couper les lolos. Pour ça il utilise le côté non tranchant de la lame et imite les gestes d’un boucher. Elle sent le contact froid de la lame sur la peau de ses seins opulents. Toujours cette menace présente qu’il s’enfonce dans la chair tendre de l’une de ses mamelles ou qu’il les lui tranche.

Avec ses mains tout en tenant le couteau, il se met à caresser les deux protubérances de chair. Elle ne réagit pas et regarde ailleurs. Contrainte de se laisser toucher et palper ses deux atouts féminins. Je me demande si elle éprouve du plaisir à se faire palper la poitrine. Tout en massant, il descend son autre main et baisse le short. Elle tente de se débattre en se tortillant le buste mais là, réaction de son agresseur. Une belle claque et il lui tord un téton lui arrachant un cri de douleur. Son compagnon qui s’était contenté de regarder vient lui donner un coup de main en tirant sur le short. Elle lui met des coups de jambes mais elle reçoit un coup de poing dans le ventre suivit d’une claque. Le souffle coupé, elle se plie en deux. Ils en profitent pour lui enlever définitivement son short. Elle se retrouve en string. Un string rose assorti à son soutien-gorge. Ça ne m’étonne pas beaucoup qu’elle porte des strings. Elle tousse, crache, essaie de respirer. Elle a envie de se mettre ses mains à l’endroit du coup mais elle est maintenue toujours depuis le début par le troisième homme en cagoule. Avec une violence extrême, le compagnon de l’homme au couteau lui arrache son string et lui fait glisser le long des jambes musclées. La voilà nue maintenant. Ils prennent soin de lui ôter son alliance en or, une bague bon marché et un collier avec un petit crucifix lui aussi en or.

- On en tirera quelque chose de tout ça !

Celui qui la maintenait fini par la lâcher. Elle est recroquevillée se tenant le ventre et reprenant son souffle. Ils la regardent, gisante nue au sol, à leur merci d’un air méprisant. Je pense qu’à ce moment, elle sait qu’il n’y a plus de doute sur ce qu’ils vont lui faire. Elle est sûrement résignée. L’homme au couteau la retourne tandis que son compagnon baisse son pantalon et soulève en parti sa cagoule. Il se met sur elle et commence à l’embrasser de partout en se concentrant sur ses seins. Il mord les long tétons.

L’homme au couteau se frotte le sexe. Un voyeur sans doute. Je n’arrive pas à débander. J’aurai dû appeler les flics et les prévenir que ma mère se faisait violer mais non, les pulsions sont trop fortes. J’ai l’impression d’assister à une vidéo en live. Mais là, c’est la réalité et c’est ma pauvre maman qui subit. Pourtant, ma pauvre maman est aussi une femme aux formes excitantes et avec des gros seins qui se font peloter.

L’homme sur elle lui caresse les cuisses musclées tout en ayant la tête plongée dans la paire de seins opulentes. Il profite des formes généreuses de maman à 100 %. Après les seins, il se met à lui bouffer la chatte. Une chatte touffue mais épilée sur les côtés. Je vois tout, tout. Il a la tête entre ses jambes, Sa tête enfoncée dans le sexe de cette femme. Malgré sa condition, l’aspect mécanique prend le dessus et il y éprouve un certain plaisir malgré elle. Il finit alors par se mettre sur elle et introduire son gros sexe dans son vagin. Tout ça devant moi !

Ma mère sent le membre la souiller, la pénétrer, la violer. Elle qui était si amoureuse de son mari, elle qui était chaste en attendant de le revoir une fois par semaine. Voilà que cet homme la viole comme il veut. Il s’approprie son corps. Elle se sent alors comme une putain et elle pleure à nouveau tandis que l’homme lui lime la chatte. Elle sent en elle les aller-retour brutaux. Il gémit tandis qu’elle pleure. Le poids de l’homme sur elle est douloureux et son dos nu sur le sol frotte contre des déchets. On peut entendre le choc des deux corps, de la peau contre la peau.

Au moment où il sent qu’il va juter, il se retire et éjacule sur les seins et le visage de maman. Un jet monstrueux dont une partie tombe dans la bouche de ma mère. Elle est sur le point de vomir sur le coup. Elle a des nausées et recrache le sperme. En voyant ça, l’homme furieux la saisit par les cheveux et lui met sa bite dans la bouche. Elle sent son copain donner des coups de poinçons dans son dos meurtri par le sol. Elle englobe le gros sexe. Ma mère, ma propre mère suçant un étranger comme dans les vidéos. Même si ce n’est pas volontaire, je ne peux m’empêcher de jouir. L’homme n’avait pas encore fini de jouir et se met à juter dans sa bouche. Il y’en a tellement que ça ressort par la bouche.

- Avale salope, avale !

Luttant contre sa révulsion, elle finit par avaler la semence. Il finit par se vider complètement en effectuant une éjaculation faciale. Je n’avais jamais vu quelqu’un avec autant de jus. Les cheveux noirs de maman sont collés de sperme. Elle sent le liquide blanc et chaud couler sur ses seins. Elle reste assise, subissant.

Le troisième à son tour se jette sur elle la bite en avant. Il la bourre comme un lapin excité l’écrasant de tout son poids. Ma mère se laisse faire, ne réagissant pas et surtout, priant que tout ça prenne fin vite. Elle est détachée de son corps malmené. Elle semble un morceau de viande inerte, ses seins bougeant comme deux grosses masses de chair à cause des coups de reins. L’homme reste à la violer pendant une dizaine de minutes qui lui semble une éternité. Margot est inerte, immobile ne réagissant pas. Les bras écartés sont mous, les jambes écartées aussi. La chair de ses cuisses si musclée bouge mollement car elle ne réagit plus. Pareil pour son ventre détendu et ses seins qui semble comme je le disais, deux masses de chair. Ils ont réussi leur coup, la transformer en pantin de chair inerte soumise. La voilà qui s’abandonne, détachée, elle qui a tant de caractère.

Une fois que l’homme lui ait fait son affaire, il se relève la laissant allongée sur le bitume sale. Elle reste au sol, toujours immobile en espérant que cela va cesser enfin. Allez ! Que l’homme au couteau en finisse. Qu’il vienne se vider en elle maintenant. Que ce calvaire cesse. Mais l’homme au couteau n’est pas satisfait. C’est pas ça qui semble le faire bander. Baiser un corps inerte ne le fait pas jouir. C’est sûr il a aimé la voir se faire prendre sans réaction mais ce qu’il aime c’est la domination et il l’a montré tout au long du viol. Il fouille dans la poubelle et en sort une bouteille de vin vide.

- Tenez là et écartez-lui les pattes.

Margot comprend et hurle. On lui met dans la bouche un bout de chiffon sale trouvé à même le sol près des poubelles. L’homme au couteau a emmené du chatterton. Il avait tout prévu depuis le début. Il consolide le bâillon. Les deux hommes la maintiennent cuisses écartées devant lui. L’homme au couteau a pris soin d’enlever les résidus d’étiquettes métalliques autour du goulot. Il prend son temps et le fait devant le regard terrorisé de ma mère qui pousse des hurlements étouffés par le bâillon. La bouteille est bien lisse maintenant. Il lui introduit la bouteille dans le vagin. La douleur est atroce et on a l’impression que les yeux de ma mère vont sortir de leurs orbites. Il parvient à l’enfoncer à la moitié. La chatte est dilatée à son maximum. Dommage, car il aurait aimé l’enfoncer carrément dans les entrailles. Il cherche à nouveau et trouve alors une autre bouteille plus petite. Il refait la même opération et introduit la bouteille dans l’anus. L’opération douloureuse dure au moins un quart d’heure.

N’ayant jamais été sodomisée, il a dû y aller doucement tout en lui lubrifiant l’anus avec de la salive. La souffrance pour ma mère est terrible. La petite bouteille est à son tour enfoncée dans son anus.

- Tenez la bien, maintenant ! dit l’homme au couteau.

Ils la recroquevillent et lui lie les mains et les pieds avec le chatterton. Ses mains sont solidement scotchées avec les pieds. Elle est attachée en grappe. Ils la relâchent et la laissent sur le sol en la regardant. L’homme sort un petit appareil photo et prend des clichés. Puis il sort sa bite et se branle. Il doit avoir l’habitude vu le coup de main qu’il a. Il se met à juter sur elle. Sur les seins, la face et sur ses jambes. Il en met partout en gémissant. Elle est toute collée de partout. Il finit ses clichés et dit :

- Pour ma collection et pour éviter que tu ailles parler aux flics. Ce serait dommage que tes élèves te voient comme ça, ou ton mari. Et les filles du cours de danse. Et oui, on sait plein de choses sur toi.

Ma mère est au sol, elle ne bouge pas. Il sort son couteau, la menace :

- Maintenant écoute salope, tu as vu ce qu’on est capable de faire ! Maintenant tu vas arrêter de te pavaner devant les cités pour provoquer. Si tu as envie de faire la pute, va en ville mais pas ici. Si on te revoit une seule fois à faire ta connasse alors ce sera pire la prochaine fois. On te retrouvera cette fois dans un terrain vague, les tripes à l’air et tes gros seins découpés, tu piges ?

Les paroles sont horribles, ce gars est un véritable psychopathe. Ils soulèvent alors maman et la jette dans les poubelles. L’homme au couteau prend encore quelques clichés de ma mère dans les détritus. Avec le choc, un sac a été percé et tout son contenu nauséabond s’est déversé sur elle. Ils s’en vont en ricanant fortement. Ils laissent ma mère comme ça, attachée, nue avec les orifices défoncés par les bouteilles encore fichés dedans. Après avoir joui à ce spectacle dégradant, j’attends une bonne demi-heure histoire de faire croire au fils qui a cherché sa mère partout. Qu’elle honte j’ai en osant faire semblant de l’aider. Mais jamais je n’oserai lui avouer m’être masturbé en la voyant se faire agresser et violer. Jamais je n’oserais lui dire à quel point j’avais aimé ça.

Je finis par arriver près des poubelles et vois de près maman attachée dans les ordures et l’urine. Cela va faire plus de trente minutes qu’elle est restée dans cette posture, trente minutes attachée dans cette posture humiliante avec les bouteilles dans le vagin et l’anus. Ils sont allés jusqu’au bout dans la dégradation de la femme. Je la détache et la réconforte comme je peux mais elle est traumatisée. Je l’aide à lui retirer des deux bouteilles. D’abord celle dans son cul défoncé. Puis sa chatte violée. La douleur est atroce quand je retire les corps étrangers et elle ne peut plus marcher, ses deux trous écartés au maximum. Il va pourtant falloir retourner à la cité en scooter. Je l’aide à se remettre debout. Je lui passe mon tee-shirt pour cacher sa nudité et ses seins opulents. Il n’est hélas pas assez long pour cacher sa chatte.

Nous parvenons à rentrer en passant inaperçu heureusement. Du moins j’espère que personne ne nous a vu. Déjà que ça radote pas mal sur maman alors si on dit qu’on l’a vue à moitié nue en compagnie de son fils, imaginez. Depuis, on n’a pas trop reparlé de ça et on fait mine d’oublier mais pourtant, malgré l’horreur de l’acte, en y repensant je me masturbe et culpabilise après. Ma mère ne va pas porter plainte par honte de devoir déballer ça à la famille. Elle garde tout pour elle. Sa façon à elle de se venger de cet acte terrible, c’est d’être allée s’acheter immédiatement une minijupe et un nouveau débardeur blanc cassé afin de montrer ses charmes pour faire chier les machos de la cité.

A suivre…

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