Margot est une salope - récit érotique domination soumission professeur viol
Texte de Erosxx.
Le viol de Margot.
Il se met à palper la poitrine généreuse puis incise le haut du col. Il range son couteau. Il la prend par le col et tire de chaque côté de l’incision. Le fin tissu de résiste pas et on entend un gros rippppp ! Margot ferme les yeux et pleure en tentant de faire le moins de bruit possible. Elle sent le tee-shirt lui être enlever. Ses seins sont justes contenus dans le soutien-gorge maintenant. Malgré leur brutalité dans leur geste, les trois agresseurs prennent leur temps. Ils regardent les formes généreuses de cette plantureuse poitrine. Le soutien-gorge est rose, brodé en dentelle. Les motifs en reliefs accentuent les rondeurs de chaque sein. Le tissu qui supporte les motifs est transparent et on distingue le brun du bout des seins ainsi que la pointe du téton.
Le viol de Margot.
Les vacances
sont là et me tendent les bras. Je suis sorti pas mal mais hélas, toutes mes
tentatives de me faire une gonzesse se sont soldées par des échecs. Pourtant on
me dit beau gosse.
Je me suis
très vite rabattu vers internet et les livres pornos que je planque dans mon
armoire, sous mes pulls. Je passe la plupart de mon temps dans le noir à
fantasmer sur des femmes à grosses poitrines. Je ne pense plus qu’à ça tout le
temps au détriment de ma vie sociale. Au lieu de sortir de mon HLM, je reste
enfermé dans ma chambre à me masturber devant des vidéos de plus en plus hard.
Un jour, surprise
! Je suis sorti pour m’acheter des clopes et en revenant, je retrouve mes revues
pornos sur le lit. Grillé ! C’était ma mère. Elle a dû repasser mon linge et en
le déposant dans mon armoire, a découvert le pot au rose. La honte me gagne. Je
ne sais plus où me mettre ni quelle excuse bidon je vais pouvoir lui sortir.
J’habite
dans un HHLM avec ma mère qui est professeur de Français à mi-temps dans un
collège privé. Elle s’appelle Marguerite, un nom qu’elle n’aime pas trop alors
tout le monde l’appelle Margot.
Elle donne
aussi des cours de danse moderne le vendredi soir. Nous avons une maison située
à 80 bornes où mon père habite. Mes parents ne sont pas divorcés mais pour des
raisons professionnelles, ils ont décidé d’acheter une maison en campagne et
elle de rester en ville, chacun voulant rester dans son travail.
On vit donc
comme un couple dans un appartement HLM vétuste. Les gens sont entassés les uns
sur les autres et sont malheureux. Il y règne une ambiance malsaine avec des
racailles misogynes.
Ma mère a
souffert d’une éducation sévère et depuis, elle adore se mettre en valeur. Elle
fait ça aussi pour provoquer les machistes en affirmant sa féminité de femme
libérée et insoumise. Elle appartient à une association de quartier qui propose
des cours aux jeunes filles et elle enseigne la danse.
Je commence
à avoir soif et je vais devoir aller à la cuisine et l’affronter. Je la vois et
lui dit bonjour. Elle me répond comme si de rien n’était. Je me sers un verre
de coca.
- Comment tu
fais pour repasser par un temps pareil ? On crève de chaud.
- Il faut
bien le faire mon chéri.
Elle me fait
un clin d’œil. Elle ne me fera pas chier avec les revues je pense. J’ose la
regarder. Elle est cool en ce qui concerne mes histoires de sexe.
- Tu veux un
truc à boire ?
- Oui merci
mon chéri ! Sers-moi un coca aussi.
Tout en
versant, je la regarde. A cause de mon obsession sexuelle, je commence à la dévisager,
non pas comme ma mère mais comme une femme. C’est vrai qu’elle est pas mal
fichue ma mère. Elle a 44 ans et est en super forme. La danse moderne, qu’elle
enseigne, lui permet d’avoir un corps ferme et des fesses que lui envieraient
de nombreuses femmes. Elle fait 1m68 pour 62 kg. Elle a des cheveux noirs qui
lui arrivent jusqu’aux épaules. Elle en fait en général un chignon comme
maintenant. Une petite mèche lui tombe devant le visage. Un visage typé,
méditerranéen car elle est originaire de Marseille bien qu’elle n’en ait pas
gardé l’accent. Elle a les yeux en amande de couleur marron et sa peau est mat.
Toujours bien maquillée, elle se met des faux cils et ses sourcils sont noirs
et très fins ce qui lui donne un regard magnifique. Une petite ride au niveau
de la bouche trahi son âge.
Elle porte
un chemisier jaune assez fin et on distingue un peu son soutien-gorge rose en
dessous ainsi que les reliefs des broderies. Décolleté discret car elle a quand
même ouvert les trois boutons du haut à cause de la chaleur. Elle est en
mini-jupe de jean qui lui arrive au-dessus des genoux et elle est pied nu sur
le carrelage.
Elle pose le
fer à repasser et s’assoit en face de moi pour boire son coca à la table de la
cuisine. En faisant cela, elle se penche et j’ai une brève vision de ses seins
tombants. Aussitôt, je repense à mes vidéos. C’est à ce moment que, pour la
première fois de ma vie, je me rends compte qu’elle a quand même une belle
poitrine. Oui, deux beaux seins qui sont naturels et pas siliconés comme les
femmes que je regarde dans les magazines : Du naturel, du vrai, du gros et
en plus devant moi.
Malgré la
gêne que j’éprouve, je sens mon sexe se raidir. La vue de cette paire de
nichons bronzés a déclenché en moi une véritable excitation. Jamais je n’avais
considéré maman comme une femme.
Elle n’a
rien perçu de mon délire car pour elle, je suis encore son bébé. Comment pourrait
-elle imaginer que j’ai un instant fantasmé sur sa poitrine.
Elle sent ma
gêne mais elle doit penser que ça vient des magazines découverts. J’arrive à
avoir un discours cohérent avec elle sur notre projet de retour à la maison de
campagne cette été. On serait réuni avec mon père, en famille car je suis fils
unique.
On finit nos
verres et elle me dit qu’elle doit faire des courses. C’est vrai qu’il Il n’y a
rien à bouffer ce soir. Elle enfile ses sandales et prend son sac puis s’en va.
Je me rue
sur mon ordinateur car j’en peux plus. Je regarde alors des vidéos mais cela ne
m’excite plus. J’en veux des nouvelles. Je décide de télécharger des vidéos de
femmes matures aux gros seins. Inconsciemment, je pensais à Margot en faisant
ça. Je ne les trouve pas belle du tout. Puis je pense à ma mère faisant ses
courses, se penchant dans les rayons fruits et légumes, offrant la vision de sa
splendide poitrine à des passants inconnus. Je me caresse à cette idée. Puis
vient l’image des machos, la lutinant, la déshabillant du regard avec
mépris : Elle, ingénue, le soutien-gorge visible à travers le tissu, ses
jambes musclées par la danse.
C’est alors
qu’un flot d’images plus trash me vient à l’esprit. Elle pourrait très bien se
faire agresser par des racailles. Ce ne serait pas la première fois qu’une
femme se fasse avoir dans le coin. L’année dernière, une ado et une jeune mère
de famille ont été violées dans la cité. Déjà qu’ici, la réputation craint.
Alors avec ces deux viols, ça n’a pas arrangé la notoriété du coin.
A force de
me palucher, je finis par juter. Puis, je réfléchis et me dit que je suis un
beau taré de penser ça de la femme qui m’a mis au monde, que ce n’est pas
normal de voir sa mère en femme de sexe.
Ma mère revient
au bout de trois quarts d’heure, le sac plein de victuailles.
Une semaine
passe et je suis toujours dans mon monde porno. Je télécharge, je me branle, je
n’arrête pas.
On arrive
bientôt en Juillet et je n’ai rien foutu d’autre. Margot a fait les premiers
préparatifs de départ. Elle donne son dernier cours de danse de l’année ce
soir. Elle est en forme et toute souriante. Elle a mis ses cheveux en chignon.
Elle est en short bleu, un petit short très court qui met en valeur ses jambes
musclées et bronzées. Le sport a gardé ses fesses rebondies. Le haut, un petit
débardeur blanc qui lui arrive au nombril, avec un décolleté avantageux met en
valeur sa belle poitrine. On aperçoit les bretelles de son soutien-gorge rose.
Elle a une allure sportive malgré ses trop gros seins. J’espère que son
soutien-gorge est costaud parce qu’avec la danse, ça doit bouger à fond. Je
bande à cette idée.
Elle mange
en vitesse et enfile ses sandales dont elle est si friande. Elle me laisse seul
avec ma pizza. Elle, elle fait quelque chose d’utile. Moi, la soirée, je vais
la passer encore à me palucher. Je commence à trouver ça pitoyable à la longue.
Devant mon ordi, je ne vois pas le temps passer. Soudain mon portable sonne.
- Allô,
Chéri ?
- Oui maman
?
- Ma voiture
a été vandalisée ! C’est une honte, on m’a crevé un pneu !
- C’est dégueulasse
! Qui crois-tu être l’auteur de ce méfait ?
- Je ne sais
pas, je vais porter plainte ! Je vais appeler un taxi ! C’était pour te
prévenir que j’allais être en retard et que tu ne dois pas t’inquiéter. Je suis
devant l’école de danse.
- Tu veux
que je vienne en scooter ?
- Non, ce n’est
pas la peine mon chéri, je serais là dans un quart d’heure.
- D’accord
maman, bisous a tout à l’heure !
- Bisous mon
chéri !
Je me remets
sur l’ordinateur mais je n’arrive plus à bander, cette histoire me préoccupe.
Je décide au bout de dix minutes, d’y aller, on ne sait jamais. Je vais la
prévenir. J’appelle son portable et je tombe directement sur sa messagerie. J’enfourche
mon scooter et je fonce là-bas. Arrivé devant l’école de danse, je vois un
taxi. Je vais le voir.
- Oui, une
dame m’a appelé mais elle n’est pas là. Elle a dû se trouver un autre taxi.
Vous lui direz que dans ces cas-là on prévient. Déjà que c’est mal famé ici !
Il claque
violemment la porte et s’en va en grognant. Je décide alors d’inspecter la
voiture. Les deux pneus avant sont dégonflés. Je dirai qu’ils sont crevés. Je
retente de l’appeler mais rien : Toujours sa messagerie directe. Je me mets
à tourner autour du véhicule et là je vois un objet qui confirme mes craintes :
Un portable explosé. Il est en mille morceaux. Un peu plus loin, une sandale
rose ... C’est celle de maman. Elle est devant une ruelle étroite et sombre. Je
m’y engage alors. Je suis excité, pas de peur mais excité, animé d’une
curiosité malsaine. Au bout de quelques mètres, la seconde tongue. Je suis sur
la bonne piste.
J’entends
des voix. C’est un peu plus loin et une femme qui gémit et se plaint. Une des
voix d’homme crie et j’entends le bruit d’une claque. Des rires qui résonnent.
En avançant, je me prépare au pire. Je me cache derrière un pan de mur qui dépasse.
Je m’installe le plus confortablement pour espionner.
Mes craintes
se justifient. C’est maman. Elle s’est faite coincée par trois hommes cagoulés.
Ce sont eux qui ont vandalisé le véhicule. L’un fouille dans son sac à main. Il
sort le portefeuille et pique le fric et les cartes. Il le jette ensuite dans
le tas de poubelles qui traîne par terre. Maman est maintenue par les bras par
un homme placé derrière elle. Elle est en débardeur et short bleu.
Instinctivement, je me dis :
- Quelle
idée aussi de se promener dans cette tenue en pleine nuit dans ce quartier !
J’avais mon
portable à la main, il suffisait que j’appelle les flics. Il y a un
commissariat pas loin en plus. Mais quelque chose m’en empêche. Malgré tout l’amour
que je porte à ma mère, les pulsions l’emportent. Elle est en danger et je ne
fais rien, je ne veux rien faire. La situation est si originale que je ne veux
pas l’interrompre.
L’homme
devant elle a un énorme couteau avec lequel il joue pour lui faire peur. J’observe
sa poitrine qui remplit le débardeur. Elle se soulève, se contracte, se soulève
sous l’effet de la peur. Ma mère, si sûre d’elle d’habitude, est en situation
de victime. Elle est même en danger car le couteau pourrait plonger dans son
corps et mettre fin à sa vie. Elle est à la merci de cet homme cagoulé. Il sent
bien la peur de cette femme. Il jouit de sa domination. Son copain derrière
aussi. Il sent la peur affluer chez elle.
Je suis dans
un état second, submergé par la peur pour elle, mon désir de la protéger mais
aussi le besoin de voir la suite. Il met le côté non tranchant sur sa gorge et
fait mine de l’égorger. Il se met ensuite à la picoter du bout de sa lame. Le
bout des seins, puis tout autour d’eux. Margot est au bord de la crise de
larmes. Elle sent ensuite le couteau descendre sur son plexus et piquer à
plusieurs reprise son ventre. Il suffirait d’une pression pour que lame rentre
comme dans du beurre. Il la torture psychologiquement. Maman se met à geindre,
larmoyante :
- Pitié !
pitié ! Je vous en prie, j’ai un fils, j’ai un mari ...pitié !
En guise de
réponse, l’homme la gifle une fois, deux fois, trois fois ...
-Tu as une
famille, eh bien tu ne leur fais pas honneur ! Tu ne mérites pas d’être une
mère ! Elles doivent rester au foyer et pas s’exhiber comme une putain !
J’ai tout de
suite compris qui pouvait se cacher dessous les cagoules. Il dégrafe le chignon
de maman. Les cheveux tombent, pas encore sec de la douche qu’elle a prise
avant de partir de la salle de danse.
- Te voilà
plus belle, maintenant !
Il écrase la
pince et pose sa main sur sa poitrine.
- J’aime les
gros seins. On va bien s’amuser !
Il se met à palper la poitrine généreuse puis incise le haut du col. Il range son couteau. Il la prend par le col et tire de chaque côté de l’incision. Le fin tissu de résiste pas et on entend un gros rippppp ! Margot ferme les yeux et pleure en tentant de faire le moins de bruit possible. Elle sent le tee-shirt lui être enlever. Ses seins sont justes contenus dans le soutien-gorge maintenant. Malgré leur brutalité dans leur geste, les trois agresseurs prennent leur temps. Ils regardent les formes généreuses de cette plantureuse poitrine. Le soutien-gorge est rose, brodé en dentelle. Les motifs en reliefs accentuent les rondeurs de chaque sein. Le tissu qui supporte les motifs est transparent et on distingue le brun du bout des seins ainsi que la pointe du téton.
Je suis en
train de jouir à voir cette femme en soutien-gorge et en short bleu être à la
merci de ces brutes. Car en ce moment, je ne pense plus qu’à mes pulsions. L’homme
au couteau recommence son petit jeu de lame. Il s’avance vers ma mère et picote
son ventre autour du nombril. Elle essaie de calmer sa respiration car à chaque
expiration, son ventre se gonfle et donc accentue le picotement. Il lui faut
respirer par les poumons. Ça le fait jouir de sentir cette femme à sa merci. Il
aime jouer avec les nerfs de sa victime. Il remonte ensuite vers le plexus,
lentement en l’effleurant du bout de la lame. Il la fixe avec un regard mauvais
avec un air de lui faire croire qu’a tout moment, il pourrait lui plonger cette
lame dans les entrailles. Il veut lui montrer que sa vie est entre ses mains de
fou. Toujours avec son couteau, il s’amuse à faire le tour de ses seins en
faisant planer la menace de voir ses seins transpercer. Elle se sent ruisseler
de sueur du fait de la peur. Elle sent la lame alors remonter vers son épaule
et couper une bretelle, puis d’un coup sec, il tranche. Le morceau de bretelle
tombe et le sein droit qui n’est plus soutenu tombe aussi. Il fait de même avec
l’autre. Il finit par lui ôter son soutien-gorge. Sa poitrine tombe comme une
grosse grappe. La voilà seins nus.
Je suis en
train de me palucher comme un malade devant ça. Là, caché derrière ce pan de
mur. C’est la première fois que je vois ses seins nus. Les seins de ma mère
sont lourds et bronzés uniformément à la peau. Remercions les séances d’UV. Au
bout de chaque sein, elle a des auréoles très brunes d’environ 6 à 7cm de
diamètre et au centre, de longs tétons d’au moins 3 cm. Avec son couteau, il en
dessine les contours devant ses deux camarades. Il le fait lentement en faisant
mine de lui couper les lolos. Pour ça il utilise le côté non tranchant de la
lame et imite les gestes d’un boucher. Elle sent le contact froid de la lame
sur la peau de ses seins opulents. Toujours cette menace présente qu’il s’enfonce
dans la chair tendre de l’une de ses mamelles ou qu’il les lui tranche.
Avec ses
mains tout en tenant le couteau, il se met à caresser les deux protubérances de
chair. Elle ne réagit pas et regarde ailleurs. Contrainte de se laisser toucher
et palper ses deux atouts féminins. Je me demande si elle éprouve du plaisir à
se faire palper la poitrine. Tout en massant, il descend son autre main et baisse
le short. Elle tente de se débattre en se tortillant le buste mais là, réaction
de son agresseur. Une belle claque et il lui tord un téton lui arrachant un cri
de douleur. Son compagnon qui s’était contenté de regarder vient lui donner un
coup de main en tirant sur le short. Elle lui met des coups de jambes mais elle
reçoit un coup de poing dans le ventre suivit d’une claque. Le souffle coupé,
elle se plie en deux. Ils en profitent pour lui enlever définitivement son
short. Elle se retrouve en string. Un string rose assorti à son soutien-gorge. Ça
ne m’étonne pas beaucoup qu’elle porte des strings. Elle tousse, crache, essaie
de respirer. Elle a envie de se mettre ses mains à l’endroit du coup mais elle
est maintenue toujours depuis le début par le troisième homme en cagoule. Avec
une violence extrême, le compagnon de l’homme au couteau lui arrache son string
et lui fait glisser le long des jambes musclées. La voilà nue maintenant. Ils
prennent soin de lui ôter son alliance en or, une bague bon marché et un
collier avec un petit crucifix lui aussi en or.
- On en
tirera quelque chose de tout ça !
Celui qui la
maintenait fini par la lâcher. Elle est recroquevillée se tenant le ventre et
reprenant son souffle. Ils la regardent, gisante nue au sol, à leur merci d’un
air méprisant. Je pense qu’à ce moment, elle sait qu’il n’y a plus de doute sur
ce qu’ils vont lui faire. Elle est sûrement résignée. L’homme au couteau la
retourne tandis que son compagnon baisse son pantalon et soulève en parti sa
cagoule. Il se met sur elle et commence à l’embrasser de partout en se
concentrant sur ses seins. Il mord les long tétons.
L’homme au
couteau se frotte le sexe. Un voyeur sans doute. Je n’arrive pas à débander. J’aurai
dû appeler les flics et les prévenir que ma mère se faisait violer mais non,
les pulsions sont trop fortes. J’ai l’impression d’assister à une vidéo en
live. Mais là, c’est la réalité et c’est ma pauvre maman qui subit. Pourtant,
ma pauvre maman est aussi une femme aux formes excitantes et avec des gros
seins qui se font peloter.
L’homme sur
elle lui caresse les cuisses musclées tout en ayant la tête plongée dans la
paire de seins opulentes. Il profite des formes généreuses de maman à 100 %.
Après les seins, il se met à lui bouffer la chatte. Une chatte touffue mais
épilée sur les côtés. Je vois tout, tout. Il a la tête entre ses jambes, Sa
tête enfoncée dans le sexe de cette femme. Malgré sa condition, l’aspect
mécanique prend le dessus et il y éprouve un certain plaisir malgré elle. Il
finit alors par se mettre sur elle et introduire son gros sexe dans son vagin.
Tout ça devant moi !
Ma mère sent
le membre la souiller, la pénétrer, la violer. Elle qui était si amoureuse de
son mari, elle qui était chaste en attendant de le revoir une fois par semaine.
Voilà que cet homme la viole comme il veut. Il s’approprie son corps. Elle se
sent alors comme une putain et elle pleure à nouveau tandis que l’homme lui
lime la chatte. Elle sent en elle les aller-retour brutaux. Il gémit tandis qu’elle
pleure. Le poids de l’homme sur elle est douloureux et son dos nu sur le sol
frotte contre des déchets. On peut entendre le choc des deux corps, de la peau
contre la peau.
Au moment où
il sent qu’il va juter, il se retire et éjacule sur les seins et le visage de
maman. Un jet monstrueux dont une partie tombe dans la bouche de ma mère. Elle
est sur le point de vomir sur le coup. Elle a des nausées et recrache le
sperme. En voyant ça, l’homme furieux la saisit par les cheveux et lui met sa
bite dans la bouche. Elle sent son copain donner des coups de poinçons dans son
dos meurtri par le sol. Elle englobe le gros sexe. Ma mère, ma propre mère
suçant un étranger comme dans les vidéos. Même si ce n’est pas volontaire, je
ne peux m’empêcher de jouir. L’homme n’avait pas encore fini de jouir et se met
à juter dans sa bouche. Il y’en a tellement que ça ressort par la bouche.
- Avale
salope, avale !
Luttant
contre sa révulsion, elle finit par avaler la semence. Il finit par se vider complètement
en effectuant une éjaculation faciale. Je n’avais jamais vu quelqu’un avec
autant de jus. Les cheveux noirs de maman sont collés de sperme. Elle sent le
liquide blanc et chaud couler sur ses seins. Elle reste assise, subissant.
Le troisième
à son tour se jette sur elle la bite en avant. Il la bourre comme un lapin
excité l’écrasant de tout son poids. Ma mère se laisse faire, ne réagissant pas
et surtout, priant que tout ça prenne fin vite. Elle est détachée de son corps
malmené. Elle semble un morceau de viande inerte, ses seins bougeant comme deux
grosses masses de chair à cause des coups de reins. L’homme reste à la violer
pendant une dizaine de minutes qui lui semble une éternité. Margot est inerte,
immobile ne réagissant pas. Les bras écartés sont mous, les jambes écartées
aussi. La chair de ses cuisses si musclée bouge mollement car elle ne réagit
plus. Pareil pour son ventre détendu et ses seins qui semble comme je le
disais, deux masses de chair. Ils ont réussi leur coup, la transformer en
pantin de chair inerte soumise. La voilà qui s’abandonne, détachée, elle qui a
tant de caractère.
Une fois que
l’homme lui ait fait son affaire, il se relève la laissant allongée sur le
bitume sale. Elle reste au sol, toujours immobile en espérant que cela va
cesser enfin. Allez ! Que l’homme au couteau en finisse. Qu’il vienne se vider
en elle maintenant. Que ce calvaire cesse. Mais l’homme au couteau n’est pas
satisfait. C’est pas ça qui semble le faire bander. Baiser un corps inerte ne
le fait pas jouir. C’est sûr il a aimé la voir se faire prendre sans réaction
mais ce qu’il aime c’est la domination et il l’a montré tout au long du viol.
Il fouille dans la poubelle et en sort une bouteille de vin vide.
- Tenez là
et écartez-lui les pattes.
Margot
comprend et hurle. On lui met dans la bouche un bout de chiffon sale trouvé à
même le sol près des poubelles. L’homme au couteau a emmené du chatterton. Il
avait tout prévu depuis le début. Il consolide le bâillon. Les deux hommes la
maintiennent cuisses écartées devant lui. L’homme au couteau a pris soin d’enlever
les résidus d’étiquettes métalliques autour du goulot. Il prend son temps et le
fait devant le regard terrorisé de ma mère qui pousse des hurlements étouffés
par le bâillon. La bouteille est bien lisse maintenant. Il lui introduit la
bouteille dans le vagin. La douleur est atroce et on a l’impression que les
yeux de ma mère vont sortir de leurs orbites. Il parvient à l’enfoncer à la
moitié. La chatte est dilatée à son maximum. Dommage, car il aurait aimé l’enfoncer
carrément dans les entrailles. Il cherche à nouveau et trouve alors une autre
bouteille plus petite. Il refait la même opération et introduit la bouteille
dans l’anus. L’opération douloureuse dure au moins un quart d’heure.
N’ayant
jamais été sodomisée, il a dû y aller doucement tout en lui lubrifiant l’anus
avec de la salive. La souffrance pour ma mère est terrible. La petite bouteille
est à son tour enfoncée dans son anus.
- Tenez la
bien, maintenant ! dit l’homme au couteau.
Ils la
recroquevillent et lui lie les mains et les pieds avec le chatterton. Ses mains
sont solidement scotchées avec les pieds. Elle est attachée en grappe. Ils la
relâchent et la laissent sur le sol en la regardant. L’homme sort un petit
appareil photo et prend des clichés. Puis il sort sa bite et se branle. Il doit
avoir l’habitude vu le coup de main qu’il a. Il se met à juter sur elle. Sur
les seins, la face et sur ses jambes. Il en met partout en gémissant. Elle est
toute collée de partout. Il finit ses clichés et dit :
- Pour ma
collection et pour éviter que tu ailles parler aux flics. Ce serait dommage que
tes élèves te voient comme ça, ou ton mari. Et les filles du cours de danse. Et
oui, on sait plein de choses sur toi.
Ma mère est
au sol, elle ne bouge pas. Il sort son couteau, la menace :
- Maintenant
écoute salope, tu as vu ce qu’on est capable de faire ! Maintenant tu vas
arrêter de te pavaner devant les cités pour provoquer. Si tu as envie de faire
la pute, va en ville mais pas ici. Si on te revoit une seule fois à faire ta
connasse alors ce sera pire la prochaine fois. On te retrouvera cette fois dans
un terrain vague, les tripes à l’air et tes gros seins découpés, tu piges ?
Les paroles
sont horribles, ce gars est un véritable psychopathe. Ils soulèvent alors maman
et la jette dans les poubelles. L’homme au couteau prend encore quelques
clichés de ma mère dans les détritus. Avec le choc, un sac a été percé et tout
son contenu nauséabond s’est déversé sur elle. Ils s’en vont en ricanant
fortement. Ils laissent ma mère comme ça, attachée, nue avec les orifices
défoncés par les bouteilles encore fichés dedans. Après avoir joui à ce
spectacle dégradant, j’attends une bonne demi-heure histoire de faire croire au
fils qui a cherché sa mère partout. Qu’elle honte j’ai en osant faire semblant
de l’aider. Mais jamais je n’oserai lui avouer m’être masturbé en la voyant se
faire agresser et violer. Jamais je n’oserais lui dire à quel point j’avais
aimé ça.
Je finis par
arriver près des poubelles et vois de près maman attachée dans les ordures et l’urine.
Cela va faire plus de trente minutes qu’elle est restée dans cette posture, trente
minutes attachée dans cette posture humiliante avec les bouteilles dans le
vagin et l’anus. Ils sont allés jusqu’au bout dans la dégradation de la femme.
Je la détache et la réconforte comme je peux mais elle est traumatisée. Je l’aide
à lui retirer des deux bouteilles. D’abord celle dans son cul défoncé. Puis sa
chatte violée. La douleur est atroce quand je retire les corps étrangers et
elle ne peut plus marcher, ses deux trous écartés au maximum. Il va pourtant
falloir retourner à la cité en scooter. Je l’aide à se remettre debout. Je lui
passe mon tee-shirt pour cacher sa nudité et ses seins opulents. Il n’est hélas
pas assez long pour cacher sa chatte.
Nous
parvenons à rentrer en passant inaperçu heureusement. Du moins j’espère que
personne ne nous a vu. Déjà que ça radote pas mal sur maman alors si on dit qu’on
l’a vue à moitié nue en compagnie de son fils, imaginez. Depuis, on n’a pas
trop reparlé de ça et on fait mine d’oublier mais pourtant, malgré l’horreur de
l’acte, en y repensant je me masturbe et culpabilise après. Ma mère ne va pas
porter plainte par honte de devoir déballer ça à la famille. Elle garde tout
pour elle. Sa façon à elle de se venger de cet acte terrible, c’est d’être allée
s’acheter immédiatement une minijupe et un nouveau débardeur blanc cassé afin
de montrer ses charmes pour faire chier les machos de la cité.
A suivre…
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