dimanche 29 janvier 2023

Un fils qui aurait mieux fait de s’occuper de ses oignons - Ch 02.

  Texte de Lecrapo

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Un garçon qui aime beaucoup sa mère.

Depuis la dernière fois, mes parents sont toujours ensemble et les potes de Nadir ont lâché la grappe à ma mère. Je pensais que la leçon lui aurait suffi mais Sylvie sort toujours et en plus dans la même boite. De toute façon, elle rentre gratuitement car selon les rumeurs, ce serait une femme facile et cela attire les clients. Les patrons l’encouragent même à s’habiller de plus en plus court et lui offre ses consommations la plupart du temps. Cela ne l’a pas aidé à se détacher de la bouteille et cela la rend imprudente et naïve.

Du côté de mon père, je crois qu’il ne veut pas le voir de même qu’il ferme les yeux sur le fait qu’elle boive un peu trop. Les tenues sexy de ma mère ne le dérangent pas trop, car elle s’habille comme ça depuis des années. Mais ce qu’il ignore, c’est que les tenues sexy qu’il voit n’ont rien à voir avec celles qu’elle met pour sortir.

Enfin bref, l’été est arrivé et mes parents décident de partir en vacances en m’y invitant. Je n’avais rien à faire ce mois-ci, car toujours au chômage et ayant rompu avec la sœur de Nadir, je me disais que le camping serait une aubaine pour trouver des nanas. Mais là, pas de terrain de camping mais un de mes oncles nous prêtait sa caravane dans un petit terrain qui lui appartenait près de la mer.

A 28 ans, comme un gros Tanguy, je filai le train à mes parents tout ça pour essayer de me taper une nana à la plage alors que j’aurai pu rester à l’appart et en profiter. Mais ce qui me motiva, c’est sans doute la semaine avant le départ. Ma mère, en vacance pendant un mois, avait picolé un peu histoire de se détendre. Mon père travaillait toujours dans son entreprise (mais il est patron). Donc elle était dans le salon et moi, je regardais du tennis à la télé. Je l’ai vu se verser deux verres et les boire en vitesse. Elle sait que je sais mais comme je dis rien, elle ne se cache pas avec moi. Voilà qu’elle va à sa chambre et au bout de cinq minutes elle m’appelle. Je suis intrigué et j’y vais. C’est là que je tombe sur le cul. Ma mère est en bikini et un bikini noir horriblement court avec une culotte de bain qui ressemble plus à un string.

- Alors tu en penses quoi ?

- C’est chouette mais un peu provoc non ?

Elle me regarde et secoue la tête.

- Tu es bien prude toi !

- Ben, je sais pas, les femmes de ton âge évitent de montrer leurs charmes.

Je savais que ce que je disais était faux et que de plus en plus de femmes proches de la cinquantaine n’hésitent plus à se mettre en valeur.

- De mon âge ? tu me trouves trop vieille ?

Je sens qu’elle le prend mal et en plus, il est clair que ma mère ne fait pas son âge. Elle fait femme la petite quarantaine. Elle a quelques formes, pas très grande, 1m57, mais de très gros seins. Le haut de bikini noir aux bretelles fines les met bien en valeur, voire de façon indécente. Sylvie a des cheveux noirs, des yeux bleus avec un visage sans trop de rides. Sans oublier ses lèvres pulpeuses et naturelles qui donne l’impression qu’elle aurait pu faire carrière dans le porno. Mais là, je commence à me sentir un peu chauffé à la voir comme ça, car même si c’est ma mère, c’est une femme aussi. Ses seins débordent de partout et c’est affolant. Son bikini ressemble plus à des dessous de charme qu’autre chose.

- Non, pas vieille et d’ailleurs tu fais pas ton âge mais un peu délurée.

- Bon ben , je vais mettre mon monokini si tu veux !

- Non, non, m’an, il te va bien ce bikini même très bien, mais je n’ai pas l’habitude de te voir comme ça.

Elle sortit comme ça de la chambre et se servit un autre verre puis se retourna vers moi. Je savais que l’alcool la rendait désinhibée et là, je la vois qui se prend les seins et me dit :

- Et mes seins, tu les trouves comment ?

- Euh, ils sont gros

- Je voudrais faire une opération de chirurgie esthétique tu sais. Je trouve qu’ils tombent.

C’est vrai qu’ils étaient si gros qu’ils ne pouvaient échapper à la loi de la pesanteur mais au moins ils étaient vrais.

- Surtout pas, m’an , ils sont très beaux et bien gros !

- Merci, mon chéri, mais si je te demande ça , c’est parce que ça fait des années qu’on est pas allé à la plage et je ne suis plus sûre de moi.

- Rassure-toi, non seulement tu fais pas tes cinquante ans mais en plus, bien des jeunettes t’envieraient.

Elle me sourit rassurée et se rhabilla. Le soir même, je me branlai comme un fou en repensant à la scène qui venait de se produire. J’avais donc hâte de partir et de voir les réactions des hommes sur la plage, à la vue de ce bikini de fou. Mais avant de partir, coup de théâtre, mon père nous apprend qu’il doit rester jusqu’au mercredi pour son boulot et mieux encore, nous incite à partir tous les deux avant lui. Etonnant mais suspect (des fois qu’il aurait une maîtresse, mais pourrait-on le blâmer ?)

Ceci dit, nous fîmes nos bagages et on y alla. On arriva donc après presque trois heures de route. Il faisait super chaud et j’en pouvais plus. J’étais blasé mais ma mère à peine arrivée se but deux verres de whisky coke qu’elle avait mis dans une glacière bien au frais et elle se mit en bikini. Chaussée de tongues, elle se mit à faire le ménage dans la caravane. Je trouvais son bikini encore plus hard que la première fois et franchement, cela cachait juste l’essentiel. On voyait, ceci dit, la déformation au niveau de l’entrejambe faites par les lèvres de la foufoune de Sylvie et en ce qui concerne les seins, on voyait un tout petit peu le haut des auréoles de ses seins. Elle voulait vraiment se faire remarquer, y’a pas de doute, mais même si j’appréciais, c’était trop, beaucoup trop. 

Puis on dîna. Elle n’avait pas trop bu, ça allait, mais elle était contente. Le lendemain, le jour que j’appréhendais arriva : la plage. Nous somme à à peine deux km à pied. Pour venir, elle avait mis sa grande serviette, des tongues et ses lunettes de soleil donc elle passa plus où moins inaperçue, mais lorsqu’elle alla se baigner, on sentit tout de suite qu’elle devenait le centre d’intérêt. Non seulement à cause de son bikini mais en plus par les atouts honteusement provocants qu’elle mettait en valeur. Ses seins bougeaient de haut en bas et le summum fut atteint lorsqu’en évitant une vague en sautillant, l’un de ses nichons sauta trop haut et se retrouva à l’air. Elle le remit presque aussitôt faussement honteuse. Voilà qu’elle revint toute trempée.

- Pff, tu devrais aller te baigner ?

- Non, je préfère bronzer.

En fait j’avais un peu honte de son exhibition même si j’en éprouvais une certaine fierté. Puis elle fit quelque chose d’inattendu mais logique la connaissant. Elle se mit seins nus. Sa grosse poitrine au soleil, elle s’allongea avec ses lunettes de soleil et se mit à bronzer. Je sentais le regard des hommes la mater et surtout ses seins. Gêné, j’allais piquer une tête, mais je ne pouvais pas détacher mon regard de ses gros seins. Vers 17h00, on rentre non sans passer par un supermarché pour se ravitailler en alcool. La journée avait passé très vite et ma mère était contente de son bronzage. Elle resta en bikini pour mon grand bonheur. Elle siffla quelques verres et se trouva pompette.

- Si on sortait ?

- Moi je suis fatigué m’an ! Demain !

- Eh ben, dire que c’est censé moi la plus âgée et pourtant j’ai plus la forme que toi.

- Tu n’as qu’à y aller, il y’a une boite à quatre ou cinq km d’ici près de la plage.

- Tu crois que je le savais pas.

Elle rigola. C’est vrai que j’aurai dû me douter qu’elle aurait remarqué le truc. Elle fit sa toilette et s’habilla. Enfin s’habiller est un grand mot. Elle avait une mini-jupe à raz les fesses et un tee-shirt blanc moulant et transparent où l’on voyait son soutien-gorge noir. Elle se maquilla . On aurait dit une pute avec ses talons haut, ses cuisses à l’air et ses seins énormes moulés dans le tee-shirt. Elle s’avala un dernier verre et entreprit de prendre la voiture. Je lui pris les clés et malgré son début d’ivresse, je compris qu’elle allait faire une bêtise.

- Je vais t’emmener !

- Merci , mon chéri

Elle m’embrassa. Sur le chemin, elle n’arrêta pas de parler et je fus content de la lâcher devant la porte de la boite. Ça semblait être une boite huppée du moins à l’extérieur. Attifée comme elle était, Ma mère entra gratuitement . Puis je rentrai. Je m’endormis rapidement bien que l’air soit chaud. 

Vers trois heures, ma mère appela avec son portable comme convenu pour que je vienne la chercher. J’entendais la musique derrière elle et elle était bien saoule et festive. Elle me dit qu’on allait la raccompagner un peu plus tard : une bande de jeune à peine plus vieux que moi. Je compris immédiatement ce qui allait arriver. Ma mère, comme à son habitude, allait se faire avoir.

Au bout d’une bonne demi-heure, je décidai d’aller voir ce qu’il en était. J’appelai son portable mais rien. Une fois, deux fois toujours rien. Je pris la voiture. Et à deux km, je remarquai deux voitures garées sur le côté mais sans en faire cas, je continuai vers la boite. Elle était fermée et plus personne. L’instinct peut-être me dit d’aller voir ce qui se passait du côté des véhicules. Je me garai à une bonne centaine de mètres. Puis je décidai d’approcher à pas de loups. J’entendis des rires et un vocabulaire ordurier. En m’approchant des voitures, je vis, près d’un bosquet, un attroupement d’une bonne dizaine de mecs. Je vis tout autour des vêtements répandus de partout. Je reconnus la mini-jupe, le soutien-gorge, le tee-shirt blanc déchiré et les talons haut de ma mère. Ils avaient déjà commencé à s’occuper d’elle. Je reconnus un cri que je ne pourrai décrire comme un cri de plaisir ou d’appel à l’aide. Puis je la vis à poil, maintenue au sol par quatre gars, deux lui écartant les jambes pour offrir son sexe et deux autres lui tenant les bras écartés. Un autre avait sorti sa bite et la secouait devant la bouche de ma mère. Ils riaient en attendant leur tour.

- C’est elle, la bonne femme de la plage qui se dorait la pilule avec son fils ?

- Oui, je la reconnais et matez-moi cette paire !

- Mais quelle pute !

Le gars qui secouait sa bite lui malaxa les seins devant tous le monde. Il le fit de façon bien lente et provocante. Ma mère ne disait rien et semblait même apprécier. Je ne savais pas si elle était consentante ou pas. Elle ne se débattait pas et paraissait calme. Puis elle gémit aux caresses de ses seins. L’homme les lui goba et lécha les tétons.

- Elle est complètement ronde ! On va bien en profiter les gars.

- De toute façon, elle a suffisamment allumé les mecs pour savoir qu’elle était en manque.

Ma mère tenta de dire quelque chose :

- Ramenez-moi s’il vous plaît, mon fils va s’inquiéter.

En guise de réponse, l’homme qui était sur elle lui enfourna son sexe dans la bouche. Elle le suça goulûment tout en étant maintenue à terre. Mais voyant cela, les deux qui lui maintenaient les bras la lâchèrent et sortirent leur sexe en manque. Les deux qui lui tenaient les jambes aussi et tous se mirent autour d’elle et précisément vers son visage pour avoir leur plaisir. Avec 5 bites en érection, elle avait de quoi faire. Elle s’empara d’une queue dans chaque main et se mit à les branler. Sa bouche pompait, pompait, pompait dur et avec un bruit gluant. De là je pouvais entendre sa bouche qui y allait sec.

D’un coup elle se mit à gémir, un des mecs s’était mis à lui lécher le minou. Le mot, c’était bouffer, car à voir l’ardeur avec laquelle il s’acharnait, on avait l’impression qui lui dévorait le sexe. Ma mère gémissait de plus belle tout en pompant dur. Rapidement, elle se mit à mouiller et voyant ça, l’homme sortit sa bite et la pénétra. Les autres lui éjaculèrent dans la bouche et sur le visage. J’avais l’impression d’un film porno dans un bosquet. Ma mère en avait plein le visage et cela fit couler son maquillage. Je la vis s’étaler du sperme sur ses seins tout en gémissant.

Mais voilà que les 5 autres décident d’entrer dans la danse. Celui qui la baisait finit par jouir et, les couilles bien vides, se retira et laissa la place aux autres. Un à un, les hommes la prirent en attendant chacun leur tour. Tout ça se passa rapidement, de la baise d’alcoolique, car bien sûr, ces mecs étaient tout aussi ivre que Sylvie. Ma mère écartait les cuisses et jouissait pendant qu’on la besognait. On avait l’impression d’une succession de lapins en rut, la baisant rapidement mais avec fougue. Ce qui était sûr , c’est que les mecs s’étaient bien vidés et avait pris leur plaisir. Plaisir rapide mais bon, qu’attendre de plus de ce genre de soirée. Avant de partir, l’un des deux lui enfonça lentement une bouteille de bière vide :

-Voilà, un p’tit souvenir, toi qui aimes la bibine !

Deux hommes lui écartèrent les cuisses tandis qu’on lui mettait la bouteille dans le con. Ma mère se laissa faire et l’homme put à loisir s’amuser à la goder devant ses amis dont certains retrouvaient leur vigueur. De temps en temps, Sylvie lâchait un petit cri car visiblement, il semblait s’y connaître dans l’art de masturber une femme avec ce genre d’objet. 

Puis comme si de rien était , ils la laissèrent là en riant, nue, saoule et souillée avec cette bouteille enfoncée dans le sexe. Les voitures démarrèrent et le silence retomba sur le bosquet. Après une bonne demi-heure, il me fallut me résoudre à intervenir. Ma mère s’était endormie du sommeil de l’ivrogne avec sa bouteille dans la chatte. Je rassemblai ses affaires en constatant qu’effectivement son tee-shirt avait été furieusement arraché. Puis je lui ôtai la bouteille. Je la mis dans la voiture et on rentra. 

En la sortant du véhicule, toujours nue, pour la coucher dans la caravane, mon regard s’arrêta sur ses seins qui dégoulinaient encore. Elle avait aussi encore du sperme sur le visage. Je l’essuyai et voilà que je fus pris d’une pulsion perverse. En lui essuyant les seins, je me dis que pourquoi pas tâter la marchandise. Après tout, j’y avais eu droit étant petit. Je me mis donc à jouer avec les seins maternels en les triturant et en m’amusant avec les tétons. Quelle superbe poitrine bien grosse et naturelle. Je les empoignai, les malaxai, les soupèsai. Ma mère dormait et je jouai avec ses deux nichons.

J’avais le sexe bien dur maintenant. Je me mis à caresser son corps en entier : les cuisses , le ventre , le visage. Elle ne remuait toujours pas. Alors, je me dis pourquoi ne pas aller plus loin. Je sortis mon sexe gonflé à bloc et entrepris de me masturber. Mais là, coup de théâtre, ma mère émergea de son sommeil. Je me retrouvai la bite à la main devant elle à poil. Elle était encore bien saoule et ne devait pas se rendre compte qu’elle n’était plus avec ses amants. Elle empoigna mon sexe et commença à le masturber. Puis comme je m’avançai, elle le prit dans sa bouche et j’eus droit, pour mon bonheur, à une pipe magistrale. 

Elle me décalotta et avec sa langue, me lécha le sexe. J’évitai de justesse de me lâcher dans sa bouche. Le plaisir était trop bon, je voulais faire durer. Bien que je la sache à moitié endormie, je m’étonnai de la vigueur avec laquelle elle me pipait. Le plaisir atteignit son paroxysme et au dernier moment, je retirai mon sexe de sa bouche assoiffée. Mais ma gaule étant trop monstrueuse, je voulus aller au terme de cette histoire. Alors je la pris, sans ménagement, la bourrinant comme un sauvage. Elle écarta ses jambes et commença à me dire des insanités. Elle voulait entre autres que je la prenne comme une pute ou que je la défonce comme si c’était une truie. Son vocabulaire m’étonna fortement mais avec de tels encouragements, je ne pouvais qu’en vouloir plus. Je la limai de plus en plus vite, encore et encore, le tout sous les cris de plaisir de cette femme qui dès lors , n’était plus ma mère mais une femme comme les autres.

La caravane devait tanguer tant j’étais excité et l’effet des coups de reins devait fortement faire bouger la caravane. Jamais je n’avais juté autant. Les couilles vidées, crevé, je dus me coucher. Ma mère se rendormit aussi sec, sur sa couchette, toujours à poil. Nous nous sommes réveillés tardivement, vers 13h00. Ma mère avait un terrible mal de crâne à cause de la quantité excessive d’alcool. Elle sortit de la caravane à poil avec seulement des lunettes de soleil, sans-gêne et devant moi. Je fis celui qui était outré.

- Maman, fais attention, si une voiture passe on va te voir !

- C’est vrai ! Cela pourrait choquer !

Elle s’approcha de moi.

- Mais tu sais mon chéri, maintenant, je n’ai plus besoin de me cacher de toi.

- Pardon, mais pourquoi ?

- Tu as oublié hier, moi pas !

Le ciel me tombait sur la tête. Je la croyais ivre, dans les vapes mais non. Elle était bien consciente. Pour justifier le tout, elle posa sa main sur mon maillot. Je me mis à bander comme un fou. Elle extirpa mon sexe et le mis en bouche. Elle me pipa si fort que je crus que mon sexe allait être dévoré. J’en eus limite mal. Je ne pus m’empêcher d’éjaculer dans sa bouche. Elle avala tout. Elle alla ensuite dans la caravane et vida les restes de la bouteille. Chauffée à à peine 13h00 et malgré un horrible mal de crâne, elle me fit un beau sourire et enfila son maillot provoquant. Elle passa devant moi en roulant des fesses et en faisant rebondir ses seins.

- Allez, on va à la plage, maintenant.

Ce fut encore là une chaude et longue journée.

FIN

vendredi 27 janvier 2023

Le Stage en Entreprise - Ch 02

Histoire d'Elko.

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La déchéance de ma famille.

Quelques jours plus tard, je commençai mon stage. Comme tous les matins, Audrey et Marine venaient nous chercher Caroline et moi. Ce matin là, je m'étais habillée d'une mini jupe en cuir noir sur des collants noirs. Le printemps étant enfin arrivé, je mis un haut décolleté qui moulait mes seins. Audrey et Marine avait insisté pour que je mette durant mon stage des escarpins que je ne mettais habituellement que pour aller en boite. La paire que je porte aujourd'hui est d'un rouge vif éclatant! Ma mère, elle, est habillée très classe. Un tailleur blanc sur des bas blancs satinés et des talons aiguilles couleur ivoire. A peine entré dans notre salon, Audrey et Marine nous ordonnerent de retrousser nos jupes dévoilant notre chatte. Elles décidèrent d'un petit jeu avant de partir au travail.

- Vous allez nous lécher la chatte, la première qui nous fait jouir a gagner, la seconde aura un gage.

Nous nous exécutons immédiatement. Agenouillées devant nos tortionnaires, maman s'occupe d'Audrey et je m'approche de Marine. Elle agrippa mes cheveux et me força à lécher sa fente. Je lui donne des coups de langue espérant la faire jouir rapidement. Marine donne des coups de reins en haletant. Mon père regarde le spectacle sans dire un mot.

Je caresse la vulve de Marine avec mes doigts puis en donnant des grands coups de langue. A coté de moi, maman bouffe la chatte d'Audrey qui gémit. Marine agita son bassin de plus en plus violemment. J'agite mes doigts dans sa fente rapidement ce qui la fit jouir. Son orgasme la fit hurler de plaisir et elle resta bouche ouverte, haletante. J'ai de la mouille sur le visage et m'essuie avec un mouchoir. Furieuse, Audrey repoussa maman qui tomba a terre.

- T'es vraiment nulle ma pauvre. T'as un gage !

Je me demandais en quoi allait consister le gage et maman aussi sans doute.

- J'ai une idée, lança Audrey, allez on part au boulot.

Nous nous préparons pour sortir de notre pavillon. Je baisse ma jupe et maman va pour faire la même chose quand Audrey l'arrête.

- Non! C'est ça ton gage, tu vas jusqu'à la voiture jupe troussée et cul nu !

Maman blêmit sous son maquillage.

- Mais... les voisins vont me voir...

- C'est bien ce qu'on espère!! lancèrent Audrey et Marine en éclatant de rire.

Rouge de honte, maman dut obéir, elle sortit de notre pavillon, courant presque sur ses talons aiguilles, jupe tirebouchonnée autour de la taille laissant apparaître son porte-jarretelles blanc immaculé tenant ses bas satinés. Je la suis jetant des regards alentour. Aucuns voisins à l'extérieur. Mon cœur fit soudain un bond dans ma poitrine ! J'aperçoit derrière sa vitre, monsieur Lambert, notre vieux voisin. Il a au moins 70 ans. Un gros pervers qui nous matte régulièrement moi et maman. Le rideau de la fenêtre se rabat subitement.

Nous montons précipitamment dans notre Mercedes et nous démarrons.

Maman et moi sommes a l'arrière, coincées entre Audrey et Marine qui nous caressent la vulve ou nous malaxent les seins à travers nos vêtements. Maman a du ouvrir sa veste de tailleur exhibant ses seins dégagés de son soutien-gorge. Audrey m'a enfoncé deux doigts dans ma chatte et elle les agite vigoureusement me faisant couiner et mouiller. Marine suce les pointes des seins de Caroline.

Antoine, mon père, conduit la Mercedes tout en jetant des coups d'œil dans le rétroviseur. Cela dure ainsi toute le trajet nous mettant dans un état d'excitation intense. Nous arrivons dans l'entreprise où travaillent mes parents. 

Comme par hasard, j'ai été affecté à la DRH qui est dirigée par maman. Elle entre dans son bureau saluant les secrétaires. Il n'y a pas que des femmes dans son service. Deux hommes, Guillaume et Fabrice, la trentaine la saluent en matant ses jambes ou son cul ou les deux, je ne sais pas trop...
Ils me lancent un regard rempli de convoitise. Faut dire qu'avec ma jupe en cuir et mes talons aiguilles rouges je ne passe pas inaperçu. Audrey et Marine me donne des photocopies à faire (travail de stagiaires !!) pendant qu'elles prennent un café avec leurs collègues.

La matinée se passe tranquillement à part Audrey et Marine qui me caressent le cul ou les seins dès qu'elles le peuvent. C'est dans l'après midi que cela c'est un peu gâté

J'avais terminé mon travail et Audrey et Marine me demandèrent de venir avec elles. Elles m'emmenèrent au second étage , l'étage de la direction. Nous entrons dans le bureau de monsieur Dumoulin, le PDG de la boite. Un homme petit et gros. Je reste stupéfaite devant la scène que je découvre : Maman, debout sur ses escarpins, jupe enroulée autour de la taille, veste ouverte, seins hors du soutien-gorge, se tenant au bureau, se fait pilonner par monsieur Dumoulin qui la tenant aux hanche la pilonne comme un fou lui donnant de violents coups de reins faisant sauter ses seins. Son gros ventre vient claquer contre ses fesses. Mon père debout à coté de ma mère regarde la scène.

Audrey et Marine me pousse dans le bureau.

- Voila la fille, Monsieur le Directeur. Comme promis !

Monsieur Dumoulin tourna la tète vers moi.

- Aussi salope que la mère ?

- Pire Monsieur le Directeur, pire !

Audrey soulève ma mini jupe en cuir dévoilant mon collant. Elle me positionne à quatre pattes et m'oblige à aller vers Monsieur Dumoulin qui continue de baiser ma mère.

Monsieur Dumoulin sortit son sexe de maman et me l'enfourna dans la bouche m'ordonnant de le sucer. Je m'appliquais du mieux que je pouvais bien que je n'aie pas pas une grande expérience dans le sujet. Je lui pompe la bite, léchant le gland, salivant dessus. Monsieur Dumoulin m'agrippa les cheveux et fit coulisser sa queue rapidement dans ma bouche m'étouffant à moitié.

Pendant ce temps, Audrey et Marine exige de mon père qu'il enlève son pantalon. Il se retrouve la bite à l'air. Monsieur Dumoulin a de nouveau enfournée maman et il s'agite comme un fou dans sa chatte. Caroline halète et gémit en ouvrant la bouche sous les coups de reins de son patron.

Je fut trainée par Audrey vers mon père.

- Suce ton père, petite chienne !

Horrifiée, je proteste. Audrey et Marine me pousse en avant me contraignant à avaler la bite d'Antoine. Mon père me jette un regard. Je m'active sur sa queue, lui léchant la hampe de bas en hauts, lui titillant le gland. Mon père bande comme un fou, j'ai presque du mal a tenir son sexe dans ma main. J'entends ma mère qui pousse un cri de protestation. Monsieur Dumoulin vient de l'enculer sans ménagement. La tenant aux hanches, il lui défonce son cul avec frénésie.

Sous mes coups de langue, papa ne tarda pas à jouir en grognant. Une importante quantité de sperme gicla dans ma bouche, débordant, coulant sur mon menton.

Monsieur Dumoulin éjacula sur le cul de Caroline et me promis que la prochaine fois, il me baiserait.

Ce fut ainsi pendant tout mon stage qui heureusement ne durait que quinze jours. Maman et moi nous étions régulièrement baisées soit par Monsieur Dumoulin, soit par Audrey et Marine. Le dernier jour de mon stage, je préparais mon rapport que je devait faire signer à la DRH, ma mère donc.

J'entrais dans son bureau et malgré tout ce que j'avais déjà vu, j'eus un choc en découvrant la scène.

Antoine, entièrement nu, se faisait fouetter par Audrey avec un martinet, un chat à neuf queues comme on dit, ma mère, accroupie, pompait les bites de Guillaume et Fabrice, alternant entre les deux queues, ses mains manucurées s'agitaient autour de leurs bites. Marine s'approcha de moi et souleva ma petite jupe Ecossaise. Dessous, je ne porte rien a part des bas auto-fixant.

Elle me caresse la vulve, me faisant mouiller immédiatement. Caroline penchée en avant suce la bite de Fabrice pendant que Guillaume, la tenant aux hanches la pilonne comme un fou.

Audrey ordonne à mon père de se masturber. Marine me poussa contre le bureau et commença à me bouffer la chatte avec application me faisant gémir comme une folle. Je me mords les lèvres, secouant la tête de droite à gauche. J'entends les grognements de mon père se faisant masturber par Audrey qui prend un plaisir sadique à s'arrêter juste avant qu'il n'éjacule maintenant la pression. J'entend les cris de maman défoncée par Fabrice a quatre pattes au milieu de son bureau.

Marine agite ses doigts dans ma fente me faisant couiner de bonheur. Guillaume et Fabrice demandèrent à baiser la mère et la fille. Nous nous retrouvons , maman et moi, cote à cote, debout sur nos escarpins. pilonnées par Guillaume et Fabrice. Nos gémissements puis nos cris emplissent le bureau. Audrey prend des photos pour les montrer à Monsieur Dumoulin. Marine se fait lécher la fente par mon père pendant qu'Audrey lui fouette le cul avec le chat à neuf queues...

Mon stage terminé, je pensais que le cauchemar l'était aussi, du moins pour moi. Je me trompais...

Je rentrais des cours et à peine étais-je rentrée dans notre pavillon que j'entendais les cris et les gémissements, je fut horrifiée par le spectacle.

Caroline, ma mère, vêtue d'une tenue de soubrette, robe noire ultra courte lui arrivant aux tiers des cuisses, petit tablier blanc, bas résilles et talons aiguilles vertigineux se fait baisée comme une chienne par Monsieur Lambert notre vieux voisin, il la pilonne son ventre flasque venant claquer contre les fesses de maman. Elle porte un collier autour du cou et une laisse pend entre ses seins. Mon père porte un porte-jarretelles en vinyle et des bas noirs. Il titube sur des escarpins. Lui aussi porte un collier et une laisse. Ils sont tout deux bâillonnés par des boules en latex enfoncées dans leur bouches. Il est à quatre pattes dans le salon et derrière lui, le tenant aux hanches, Audrey équipée d'un gode-ceinture lui défonce son cul.....

- Alors petite chienne ? Tes parents nous appartiennent maintenant.

Je me retourne. Marine, Monsieur Dumoulin, Guillaume et Fabrice sont là également...

Vous devinez la fin n'est ce pas ? Maman et moi avons été défoncées tout le Week-end par ces pervers. Papa est devenu la lopette d'Audrey et Marine. Maman la pute de Monsieur Dumoulin et Monsieur Lambert et moi la chienne de Guillaume et Fabrice...

FIN

mercredi 25 janvier 2023

La Descente aux Enfers de Jessie - Ch. 08

 Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.

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Soirée poker et soumission à sa rivale à l'université.

Le lendemain, Jessie se réveille d'un sommeil agité. Elle n'a pas parlé avec son mari Marcus de la soirée dernière avec Maître John. Tout ce qu'elle arrive à penser c'est, qu'en dépit de leur situation désespérée, son esprit obéit à son corps et elle accepte son esclavage. Chaque jour sous le contrôle de ses maîtres la pousse plus profondément dans la soumission et elle devient de plus en plus incapable de résister ou refuser d'obéir. Chaque barrière franchie la fait supplier pour plus.

Elle voudrait parler à son mari, mais cette dernière semaine il a semblé changer. Après son retour de chez les médecins, Marcus n'était plus lui-même, il semblait plus féminin. Jessie avait même remarqué que lorsque Maître John lui avait ordonné de le sucer, la bite de son mari était dure comme du roc et il avait éjaculé quand Maître John avait giclé son foutre dans sa bouche. Marcus était tellement en colère qu'il avait pleuré. Jessie n'avait jamais vu son époux pleurer. Et il avait même arrêté de se plaindre de porter des bas et des culottes féminines.

Aujourd'hui c'est la soirée poker et Jessie sait qu'elle sera donnée à plusieurs hommes. Elle ne peut rien y faire.

Elle se lève et se dirige vers la salle de bain. Quand elle voit son visage dans la glace, une larme coule sur sa joue. Le sperme de John a séché sur son visage et elle n'y faisait plus attention.

Son reflet lui rappelle sa visite au magasin de hier. Heureusement, elle n'a rencontré aucun de ses amis proches, mais elle a vu plusieurs connaissances. Jessie sait que lundi tout le monde dans le quartier le saura, et que la partie de poker ne fera que confirmer.

Elle entre dans la cuisine après avoir pris sa douche matinale. Marcus est assis à table. Aujourd'hui, il porte un haut très court, une mini-jupe et des talons. Jessie manque de rire, mais ce qui la choque le plus c'est que son mari ressemble plus à une femme qu'à un homme. Son visage n'a plus de moustache et ses tétons poussent le tissu du haut. Quand elle le regarde, elle voit qu'il a les larmes aux yeux.

- Marcus, pourquoi pleures-tu? Maître John t'a-t-il déjà puni?

L'homme lève les yeux vers sa femme nue. Les larmes coulent alors qu'il répond :

- Je ne sais pas, je n'arrive pas à arrêter. Mes émotions me submergent.

Soudain Maître John entre dans la cuisine et beugle :

- À genoux tous les deux! Je vais vous donner vos instructions pour la journée.

Il leur ordonne pour le reste de la journée de nettoyer toute la maison. Jessie s'occupe du nettoyage de la cuisine et de l'entrée alors que Marcus s'occupe des salles de bain. John prend un malin plaisir à lui faire lécher les toilettes. Pour compliquer les choses, il avait fait lécher le cul de Marcus par Jessie et il lui avait inséré un gros plug anal vibrant tout au fond de son petit trou. Et quand son soumis léchait les toilettes il activait le plug ce qui faisait bondir Marcus. Bien sûr le couple dut le sucer et avaler son sperme. En début de soirée, il leur ordonne de se doucher et de se préparer pour leurs invités.

Jessie descend de la chambre après s'être habillée. Maître John lui a assorti un soutien-gorge et une jupe assortie. Les vêtements sont noirs en dentelle. La jupe est très courte. Elle est contente d'avoir pu mettre un string, même si elle sait bien qu'elle ne le portera pas longtemps. Des sandales à lanières noires avec des talons de dix centimètres complètent sa tenue.

Marcus, de son côté, semble presque normal. Sa chemise de golf bleu et son short en jean paraissent normaux. Mais si on regarde attentivement ses jambes, on peut voir des bas couleur chair qui les recouvrent. Par contre, caché sous la chemise, se trouve un haut rose orné d'un « j'avale » sur le devant. Sous le short se trouve la petite culotte habituelle. Malgré tous ses efforts, Marcus a une érection tout en attendant les invités.

Jessie s'approche de son mari et le serre dans ses bras. Marcus ne bouge pas et ne lui rend pas son geste. Il regarde la salope qui se tient devant lui et l'accuse en pensée de tous leurs problèmes. Il y a trois semaines, il n'aurait jamais pensé porter des vêtements de femme et devoir sucer des bites. Il a laissé faire. Et il avait seulement accepté parce que ses ébats sexuels avec Jessie étaient devenus phénoménales. Toutefois ces derniers jours, il ne s'était pas intéressé à sa femme. Il lui semble que son excitation se réveille que lorsqu'il est forcé de sucer la bite de son Maître. « son Maître », c'est la première fois qu'il pense à John comme son Maître, et qu'il pense surtout à sa queue.

Maître John réunit les deux esclaves et leur explique les règles pour la soirée et la nuit :

- Ok vous deux, faites attention, je ne le dirai qu'une fois. Ce soir, vous allez tous les deux être bien sages. Si je vois une hésitation, une plainte, une question ou une mauvaise attitude alors vous le regretterez. Je n'ai pas besoin de détailler, vous comprenez très bien. Donc voici comment ça va fonctionner ce soir. Marcus, tu vas jouer avec le seul moyen de paiement que tu disposes, c'est-à-dire Jessie. À chaque main que tu perdras, Jessie enlèvera une pièce de vêtement et s'assoira sur les genoux du vainqueur jusqu'au prochain vainqueur. Si elle perd tous ses vêtements, elle devra au vainqueur une fellation, se faire baiser ou ce qu'il veut. A la fin de la nuit, je comptabiliserai les pertes et je donnerai aux gagnants des coupons pour pouvoir baiser Jessie quand ils le voudront. En fin de soirée, je vais clore la séance avec une surprise.

Jessie gémit et Marcus se remet à pleurer. Il pense « Mon Dieu, mais qu'est-ce qui ne va pas avec moi? Je ne peux pas m'arrêter de pleurer ».

Maître John continue :

- Jessie, tu serviras n'importe qui et tout le monde comme ils le veulent. Et ça inclue de les accompagner aux toilettes. On ne peut pas s'attendre à ce qu'ils tiennent leur queue. Ensuite tu lécheras tout ce qui est en dehors de la cuvette et tu nettoieras leur bite.

Les épaules de la femme s'affaissent sous ces ordres. C'est aujourd'hui que ça commence. Maître John les avait avertis qu'ils feraient des jeux urophiles. Mais elle ne pensait pas que ce serait avec leurs voisins.

Maître John sourit en voyant la réaction de Jessie à ses ordres. Puis il se tourne vers Marcus et lui annonce :

- Ne t'inquiète pas lopette, tu auras ta part avant la fin de la nuit.

Il regarde Marcus pour voir comment il réagit. Il est surpris quand il voit l'homme gémir et caresser sa queue à plusieurs reprises.

Au moment où Maître John finit ses recommandations, on frappe à la porte. Il ordonne à Jessie :

- Va ouvrir la porte et assure-toi de mettre un sourire sur ton visage et de le garder, salope!

Jessie hoche la tête et se dirige vers la porte d'entrée.

Le premier à arriver est Michael. Il habite quelques maisons plus bas. John, Marcus et lui avaient l'habitude de passer du temps ensemble avant que tout ne change. Il était venu chez eux plusieurs fois, mais jamais Jessie n'avait ouvert la porte dans une tenue comme ça.

- Waouuu Jessie, tu es sexy! Essayes-tu de donner un avantage à Marcus pour qu'il gagne? Dit-il en rigolant.

Jessie sourit et dit doucement :

- Entre Michael!

Dix minutes après, Cory arrive et Jessie le salue. Il sait déjà ce qu'il se passe et en profite pour frôler la femme en entrant. Tous les hommes échangent des salutations et la partie commence.

Marcus, Cory l'ami de John, Michael et Maître John s'assoient à la table de poker.

 
Jessie s'empresse d'aller leur chercher des boissons alors que la première main est distribuée. Tout ceci bien sûr sous l'œil vigilant de Maître John qui s'assure que ses esclaves se comportent correctement.

À la fin de la première main, John se lève et attire l'attention de tout le monde. Il demande à Jessie de venir près de lui.

- Je pense qu'il est temps que j'annonce les règles de la maison pour le jeu de ce soir. Chaque fois que Marcus perd une main, Jessie doit enlever une pièce de vêtement et s'asseoir sur les genoux du gagnant. Elle doit y rester jusqu'à ce que ce soit un autre qui gagne. Je suis sûr que vous allez tous apprécier l'attention qu'elle va vous porter.

Jessie rougit. John continue :

- Oh, une dernière chose. Si elle manque de vêtements, à la fin du jeu, nous calculerons ce qu'elle vous doit et vous obtiendrez des coupons échangeables pour trente minutes où vous pourrez faire ce que vous voulez avec elle, n'importe où et n'importe quand.

Cory et Michael sourit tous les deux et se frappent dans la main. John regarde Jessie et lui ordonne :

- D'abord, enlève ta culotte, salope!

Jessie n'hésite pas et relève sa jupe. Mais ses mains tremblent si fort qu'elle a du mal à passer les doigts dans la fine ceinture de son string. L'humiliation de se déshabiller devant ces hommes la rend folle. Chaque pore de sa peau dégouline d'excitation. Finalement elle arrive à contrôler ses mains et elle descend sa culotte le long de ses jambes. Elle remet sa jupe en place et attend que son Maître lui dise qu'elle peut disposer.

John s'assoie et tire la femme sur ses genoux, tout en s'assurant que tout le monde a une vue dégagée sur sa chatte.

Jessie n'a pas le contrôle de son corps. Ses jambes sont étendues de part et d'autre sur la cuisse de Maître John. Sa chatte est en contact direct. Il ne se passe qu'une minute avant que sa respiration accélère et que cuisse de Maître John soit trempée. Les yeux de Jessie sont ouverts, mais elle a le regard vague, la respiration rapide et sa bouche ouverte émet un cri silencieux. John sait qu'elle est sur le point de jouir, mais il veut qu'elle le supplie de pouvoir le faire alors il la pousse et elle tombe au sol.

- Bon Dieu salope! Tu trempes ma jambe! Regarde ce que tu as fait! Tu as laissé une traînée de bave comme un escargot! Crie très fort John.

Tout le monde regarde attentivement le visage de Jessie prendre plusieurs de nuances de rouge. Elle baisse la tête et pense dans son esprit : « Mon Dieu, je suis une salope. Je mérite que l'on me traite ainsi. Je suis une esclave ».

Après cela le poker prend un aspect légèrement différent. Les paris sont plus élevés et les plaisanteries sont beaucoup plus crues.

 
Cory gagne la main suivante. Aussitôt que les cartes tombent ses yeux s'illuminent. Il ramasse le pot et se tourne pour regarder Jessie enlever son prochain vêtement. Tous les yeux sont rivés sur la salope alors qu'elle passe les mains dans son dos pour dégrafer le fermoir de son soutien-gorge. Ensuite, elle le fait glisser le long de ses bras.

Elle se retrouve seins nus avec seulement une mini-jupe et des chaussures. Cory lui attrape le bras et la tire sur ses genoux. Une seconde après, ses mains tripotent sa poitrine et elle gémit bruyamment.

 
Elle ne se soucie plus de savoir s'ils s'aperçoivent tous qu'elle est excitée au-delà de tout contrôle. La seule chose qui lui passe par la tête est de trouver une bite pour la baiser violemment. Cory éclate de rire quand il sent le jus de la femme tremper son short. Il glisse ses doigts entre les jambes de Jessie et touche légèrement son clitoris. Elle crie :

- OH MON DIEU, BAISE-MOI!

Maître John tend la main et retire celle de Cory d'entre les jambes de Jessie. Et il dit :

- Attends mon gars! Il nous reste du temps, on verra ça plus tard.

L'enseignante commence à pleurer de frustration. Elle supplie Maître John :

- S'il vous plaît Monsieur, laissez cette salope vous servir! S'il vous plaît Maître, votre esclave a besoin de jouir! S'il vous plaît, s'il vous plaît Maître, Ayez pitié de moi!

Les quatre hommes assis sont stupéfaits du comportement de la femme de Marcus, suppliant d'être baiser et voulant à tout prix jouir. Elle a annoncé qu'elle est vraiment une esclave salope.

Maître John se contente de rire et se remet à distribuer les cartes. Jessie est toujours assise sur les genoux de Cory et elle frotte sa chatte tout en lui mordillant le cou. Elle fait son possible pour l'exciter. Elle ne se rend pas compte que la main est finie avant que Maître John la saisisse par un sein en disant :

- Stop salope! Enlève ta jupe et viens sur mes genoux!

Jessie se lève et fait descendre sa mini-jupe le long de ses jambes. Puis elle écarte les jambes de son Maître.

Elle se penche en arrière et fait ressortir sa poitrine. Sa main droite glisse le long de son sein droit et elle pince son téton tout en fixant directement les yeux de son Maître. Lentement, elle abaisse sa poitrine jusqu'à la bite dure comme du roc de l'homme encore enveloppée dans le short. Elle sourit vicieusement alors qu'elle presse ses globes sur le sexe dur.

John regarde la femme de son ancien ami se dégrader sur son sexe, l'implorant de la baiser. Il sourit de satisfaction. Il sait qu'il peut l'utiliser quand il le veut. Elle ne le refusera plus jamais.

Michael rassemble les cartes et recommence à distribuer. Pendant les deux heures qui suivent, Jessie passe de joueur en joueur, mais n'atterrit jamais sur les genoux de son mari. Pendant que la soirée se poursuit, elle peut voir la frustration de son époux augmenter. Ce qui la surprend, c'est qu'il ne la regarde pas. Il regarde les sexes raides des autres joueurs sous leur short et il se lèche les lèvres. Sa propre main caresse sa queue.

Lorsque la dernière main est finie, Marcus l'a finalement gagné. Mais lorsque Jessie monte sur ses genoux, elle remarque qu'il ne bande pas et qu'il rougit. Elle gémit en se rendant compte qu'elle ne fait plus d'effet à son mari.

Tandis qu'elle essaie de faire réagir son époux, Maître John demande aux autres gars de se déshabiller et d'aligner trois chaises. Quand ils ont fini, il appelle sa soumise :

- Laisse la lopette! Mets-toi à genoux et viens ici pour sucer nos bites, esclave!

Jessie saute rapidement des genoux de Marcus et se laisse tomber au sol. Son esprit ne pense plus à son esclavage et son côté salope. Elle ne voit même pas les trois hommes nus au milieu de la pièce. Toute son attention est attirée par les trois bites dressées. On dirait un prédateur qui voit de la chair fraîche. Elle salive à l'idée de les sucer et ses yeux sont remplis d'envie. Elle rampe comme une panthère traquant sa proie, ses muscles crispés alors qu'elle va se jeter sur sa victime.

L'enseignante commence par se diriger vers Michael sur la gauche et les vingt centimètres de sa queue. Plus elle se rapproche de sa cible, plus elle bave. Au moment où son visage est très proche, elle étire la langue et touche légèrement le gland. Elle savoure son goût comme un bon vin. Puis elle passe la langue le long de la tige dure, des couilles aux glands. Elle recouvre le membre de sa salive et jouit presque en le léchant. Son corps est maintenant sous contrôle et son esprit est totalement plongé dans la consommation de sa proie. Elle n'est plus une esclave soumise, mais un prédateur en mission. Et sa mission est de capturer la longue bite dans sa bouche et de la faire gicler.

Michael gémit alors que Jessie le taquine sans pitié. Finalement, il ne peut plus le supporter et il attrape sa tête pour pousser la bouche sur son sexe. La femme accueille bien la pénétration. Elle ouvre la bouche et la gorge, et elle aspire la queue au plus profond de son être. Un gémissement s'échappe de sa gorge alors que pour la première fois elle a un orgasme. Michael sent la gorge serrer sa bite. Il ne peut plusse contrôler et il explose dans la gorge impatiente de la salope désespérée. Jessie recule et fait tourner son sperme dans sa bouche pour en saisir la saveur.

Puis elle ne perd pas de temps et elle rampe vers son Maître. Elle lui sourit et avale sa queue en entier. Elle fait glisser sa bouche plusieurs fois de haut en bas jusqu'au moment où elle comprend qu'il est sur le point d'éjaculer. Alors elle sort la bite de sa gueule, sourit et dit :

- Prenez-moi Maître! Utilisez mon cul, ma chatte, ma bouche et remplissez-moi de votre semence. S'il vous plaît Maître, utilisez votre esclave comme elle est censée l'être.

John se lève et tire la femme devant la cheminée. Il la met à quatre pattes et enfonce son sexe dans sa bouche. Il la pilonne violemment en s'enfonçant au plus profond de sa gorge.

- Cory, viens ici et remplis la chatte de mon esclave. Baise cette salope!

Cory se laisse tomber derrière Jessie et il aligne sa grosse bite avec la fente dégoulinante. Puis il la fourre d'un coup.

Les yeux de l'enseignante sortent presque de sa tête alors que sa chatte est complètement remplie. Ça lui provoque des spasmes dans la colonne vertébrale.

Jessie se retrouve dans un autre monde alors que son excitation a envahi tous les pores de sa peau. Elle enfonce encore plus sa bouche sur le sexe de son Maître jusqu'à ce son nez soit enfoui dans ses poils pubiens. John n'a aucun moyen de contrôler sa jouissance alors que son esclave s'occupe de sa bite et avale sa semence en gémissant.

Dès que John s'effondre sur une chaise, Michael le remplace. Il prend la tête de Jessie et la tourne pour l'obliger à se mettre sur le dos. Cory se débrouille pour ne pas sortir sa bite de la chatte et il continue à la marteler. Michael s'accroupit au-dessus de la tête féminine et fait descendre sa queue. Jessie ouvre sa bouche pour que l'engin emplisse sa cavité buccale.

Marcus regarde attentivement sa femme sucer la bite avec une ferveur et une envie qu'il n'a jamais vu auparavant. Sa queue durcit alors que son esprit détaille la scène érotique devant lui. Ce n'est pas sa femme qui le fait bander, mais l'idée d'être à sa place et de sentir des grosses bites dans son corps.

Maître John regarde son esclave masculin et sourit. Il est temps de faire sortir son autre moi de Marcus.

- Esclave, lève-toi et enlève ta chemise et ton short! Montre à nos invités ta nouvelle garde-robe!

Marcus n'hésite pas. Il saute de son siège et déchire ses vêtements d'homme pour montrer son petit haut et sa culotte de femme. Son esprit et son corps sont conscients de l'humiliation. Mais ça le pousse seulement à désirer avoir leurs grosses queues.

Michael et Cory s'arrêtent quelques instants pour voir leur voisin se déshabiller. Ils rigolent tous les deux et Michael sort sa bite de la bouche de Jessie en demandant :

- Qui suce le mieux ici? Toi salope, ou ta lopette de mari?

Jessie jette un coup d'œil à Marcus et ressent une pointe de jalousie. Son besoin de queue dépasse l'amour qu'elle a pour son époux. Alors elle sourit à Michael et lui dit d'une voix sexy :

- Vous n'avez pas besoin de son cul Monsieur, alors que vous pouvez avoir le mien.

Et elle se remet à sucer l'homme. Les deux gars reprennent le rythme en baisant rudement l'enseignante. Jessie a l'impression que les deux gros membres la traversent. Il ne lui faut que quelques instants pour que tout son être explose et qu'elle convulse sur les bites qui perforent ses trous.

Les contractions du corps de Jessie poussent les deux hommes à jouir. Ils la remplissent de foutre par les deux bouts.

Michael laisse tomber la tête de la femme et s'effondre sur le sol. Cory est totalement épuisé et se laisse tomber à genoux tandis que son bâton sort de la chatte gluante. Les trois hommes sont à bout de souffle, mais John appelle Marcus et lui dit :

- Viens travailler esclave! Tu vas occuper ta langue à nettoyer tout le monde. Et quand tu auras fini, tu pourras nous faire bander pour que nous puissions encore baiser ta femme. Cette fois, je veux son cul.

Marcus se laissa tomber au sol et rampa jusqu'à la queue flasque de Cory. Avec sa langue, il lèche le mélange de sperme et de jus de sa femme qui enveloppe le membre. Ils regardent tous Marcus, dans sa tenue sexy, s'appliquer à nettoyer le sexe de Cory, le léchant comme s'il s'agissait de son cornet de glace favori. Ils rigolent quand, au lieu de nettoyer la chatte de sa femme, il se déplace pour aller sucer le sexe de Michael.

Jessie lève les yeux vers son mari qui vient d'engloutir la bite et une nouvelle vague de jalousie la traverse. Alors elle dit méchamment à son mari :

- Ne t'avise pas de le faire jouir, lopette. Je veux sa queue dans mon cul. Contente-toi de faire ton travail et de le faire bander. J'ai besoin de sa bite dans mon cul.

John est surpris par la méchanceté de Jessie envers son mari.

Pendant les deux heures qui suivent, les trois voisins prennent Jessie dans différentes combinaisons et trous. Marcus s'occupe de nettoyer les queues des différents fluides qui les recouvrent. Il lèche même le sol quand il est sale. Finalement les trois hommes n'en peuvent plus. Ils n'arrivent plus à bander et ils s'allongent sur le sol totalement satisfait. De son côté, Jessie est incapable de bouger son corps complètement rassasié.

John n'arrive plus à bander, mais il veut finir en beauté. Alors il se lève et dit :

- Les deux esclaves, suivez-moi à la salle de bain. J'ai une surprise pour vous.

Il se détourne et s'éloigne dans le couloir. Jessie et Marcus rampent derrière lui. Une fois à l'intérieur de la salle de bain, il appelle Jessie près de lui alors qu'il se tient devant les toilettes.

- Tiens ma bite pendant que je pisse esclave! Et débrouille-toi pour bien viser sinon tu vas lécher tout ce qui tombe à côté.

Jessie rampe vers Maître John. Il y a seulement quelques jours elle n'aimait cet homme ignoble. Mais à présent, tout ce qu'elle pense c'est comment lui plaire pour qu'il la récompense avec des orgasmes puissants. Elle tend la main et attrape sa queue. Elle commence à le caresser et elle apprécie le membre tout chaud entre ses mains. John lui frappe l'arrière de sa tête et l'avertit :

- Arrête ça salope, je ne peux pas pisser si je bande!

- Elle obéit, sourit à l'homme et roucoule :

- Désolé Maître John, j'adore votre bite.

L'homme rigole et relâche sa vessie. Un puissant jet d'urine jaillit de sa queue. Jessie est prise au dépourvu alors que le liquide arrose la cuvette et le sol. Rapidement elle reprend le contrôle et corrige la visée. Quand son Maître a fini, elle lèche les dernières gouttes sur son sexe.

Puis avant qu'on ne lui dise, elle se penche en avant et commence à lécher le liquide qui recouvre la cuvette et qui se trouve sur le sol. Quand elle a fini, elle lève les yeux vers Maître John et lui demande avec une expression de chiot :

- Ai-je bien fait Maître?

John est content de sa soumise et lui tapote la tête en disant :

- Oui esclave, tu as bien fait!

Jessie rayonne devant la satisfaction de son Maître. Celui-ci regarde Marcus et dit :

- À ton tour lopette! Viens ici et aide mes amis à pisser. Les mêmes règles s'appliquent à toi.

Ensuite il ordonne à Jessie de sortir de la pièce et de le suivre jusqu'au salon. Dix minutes plus tard, Michael et Cory entrent dans la pièce. Cory sourit et dit :

- Pour un mec, il a une attitude de lope. Il va être occupé pendant un moment.

Tout le monde rigole y compris Jessie.

Les hommes rassemblent leurs vêtements et s'habillent. Michael s'approche de John et lui serre la main en disant :

- Je veux bien être là à chaque fois que tu organises une partie. Appelle-moi!

John hoche la tête et se lève pour guider ses amis vers la porte. Jessie les suit alors qu'ils sortent tous sous le porche. Elle dit au revoir et reste immobile à la porte, complètement nue. Maître John pointe son doigt vers elle et dit :

- Je dois rentrer chez moi et retrouver ma femme. Tu vas tout nettoyer. Puis une fois que tu auras terminé, tu attacheras la lopette et tu iras te coucher. Je reviens demain.

Jessie sourit et répond :

- Oui Maître!

***********

Le lendemain matin, l'enseignante se retourne lentement dans son lit. Tout son corps lui fait mal, mais c'est bon. Son esprit est encore en train de savourer les séquelles de la nuit dernière. La partie de poker, sa soumission, l'humiliation et la baise se sont combinées pour donner à la femme ce dont elle a besoin. Après ces dernières semaines et la perte de presque tout, elle se sent complètement satisfaite. C'est ce dont elle avait besoin quand elle a commencé cette aventure. Sa première pensée de la journée est : « Je me demande ce que mes maîtres ont pour moi aujourd'hui ».

Elle se lève de son lit et manque trébucher sur son mari qui est nu et attaché sur le sol. Elle l'aime beaucoup, mais maintenant c'est différent. Elle le veut dans sa vie, mais ce sont ses Maîtres qu'elle désire. Chaque jour elle se demande si le mystérieux Maître X viendra réclamer son esclave, s'il la prendra, l'utilisera et complétera sa domination sur elle.

Elle entre dans la salle de bain et commence à se préparer pour aller au travail. Elle doit se dépêcher car Janice lui demande d'être présente à l'université avant 6 heures 30. Elle doit se rendre à son bureau, se déshabiller et proposer de servir son ennemie détestée. Ceci aussi ne fait qu'augmenter la soumission dont elle a besoin.

Elle termine dans la salle de bain et se dirige vers la chambre d'ami où Maître John a pris l'habitude de mettre sa tenue pour la journée. Jessie redoute toujours ce moment, car Maître John fait de chaque jour une nouvelle aventure. Il y a toujours une robe ou une jupe très courte. Le haut ou le chemisier est trop petit ou alors des boutons ont été enlevés. L'un des administrateurs de l'université l'a déjà mise en garde contre les tenues vestimentaires inappropriées. Elle sait que bientôt, tout va lui exploser au visage.

Mais alors qu'elle enfile la jupe en faux cuir noir qui lui arrive à peine à mi-cuisse, son corps tremble d'excitation et d'anticipation. Son haut d'aujourd'hui est un pull en cachemire blanc qui doit être deux tailles plus petites. Il se plaque sur ses seins et n'offre aucun soutien.

Et comme aujourd'hui Maître John ne lui a sorti aucun soutien-gorge, sa poitrine va rebondir à chaque pas. Ses mamelons sont déjà durs à la pensée que tous les étudiants qui vont la lorgner. Ces derniers jours, elle s'applique à ne pas regarder toutes les queues dures qui poussent sous les pantalons dans sa classe.

Après avoir fini de s'habiller, Jessie se rend dans le bureau pour consulter sa messagerie. Comme d'habitude il y a un message de Maître X. :

« Esclave,

Aujourd'hui, tu vas prendre le plus anal moyen et le porter toute la journée. Tu devras demander la permission pour le retirer. Tu devras également porter le vibromasseur sans fil et t'assurer qu'il est synchronisé avec ton téléphone. Et assure-toi que les boules de geisha sont profondément enterrées dans ta chatte de salope. Et débrouille-toi pour que ça ne tombe pas en classe. Tu feras comme d'habitude, tu marcheras pendant quinze minutes, puis tu resteras assise à ton bureau vingt minutes. Il t'est interdit bien sûr de croiser tes jambes. Pendant l'heure du déjeuner, tu te déshabilleras et tu te masturberas pendant quinze minutes. Tu n'es pas autorisée à jouir. A la fin des cours, tu rentres chez toi, mais n'oublie pas d'enlever ta jupe. Ensuite Maître John te conduira à ton deuxième emploi. Tu feras comme si tu veux gagner de l'argent pour payer les études de tes enfants.

Maître X. »

Jessie est presque soulagée. La journée va être relativement tranquille par rapport aux derniers jours. Elle a l'habitude d'exposer son corps en cours, de se déshabiller et de se masturber sans jouir dans sa classe, et de conduire nue. Ce qui la dérange, c'est la fin du message. Elle n'a aucune idée de ce deuxième boulot et ça l'effraie un peu.

Jessie arrive à l'heure à l'université et entre dans le bureau de Janice. Celle-ci est assise à son bureau comme d'habitude, mais aujourd'hui elle a un regard mauvais. Jessie devine qu'il y a quelque chose et que leur relation va changer.

- Juste à temps esclave! Mais je crois que tu devrais passer ma porte complètement nue. En fait, à partir de maintenant, je veux que tu te déshabilles quand tu sors du parking. Tu mets tes vêtements dans un sac, tu te menottes les mains dans le dos et tu portes le sac avec tes dents jusqu'à ce que tu arrives devant mon bureau. Là, tu te mets à genoux, tu frappes et tu attends que je te dise d'entrer. Puis tu rampes jusqu'à moi et tu me supplies de me servir. Ordonne Janice.

Puis elle continue :

- Maintenant déshabille-toi et agenouille-toi esclave!

Jessie regarde sa rivale détestée. Une colère monte de son ventre. Elle dit tout en se déshabillant :

- Mon Dieu Janice, je ne peux pas être nue dans les couloirs de l'école. C'est déjà assez grave que je le sois dans ton bureau.

Janice attend que Jessie cesse de parler avant de dire calmement :

- Oh? Tu ne peux pas c'est ça?

Elle ramasse les vêtements de Jessie avant de continuer :

- Je pense que tu peux le faire. Et en fait, tu le feras!

Janice sort avec les vêtements hors de son bureau et ferme la porte. Jessie a peur maintenant. Elle vient de rétorquer à sa maîtresse au travail. Et elle sait par expérience que désobéir à un ordre signifie généralement douleur, humiliation ou les deux. Elle réfléchit à la façon dont elle va pouvoir demander pardon quand Janice revient dans le bureau. La première chose que l'enseignante remarque c'est qu'elle n'a plus ses vêtements.

- Maîtresse, je suis tellement désolée de vous avoir répondu. C'est juste que vos ordres m'ont pris par surprise. S'il vous plaît Maîtresse, ayez pitié de moi. Laissez-moi quelque chose à porter, je vous supplie. Implore Jessie la tête baissée.

Janice tend la main et attrape la soumise nue par le menton.

- Oh, c'est sûr que tu vas être désolée. Maintenant lève-toi et penche-toi sur mon bureau. Je pense que tu mérites quelques claques, et ta capacité à les subir sans crier décidera si tu récupères tes vêtements, ou si tu pars et rentre chez toi nue.

- Oui Maîtresse! Répond Jessie en se levant et en se penchant pour pointer son cul nu vers Janice.

Celle-ci lui menotte les mains dans le dos et sort une règle plate de son bureau. Puis elle dit :

- je pense que dix c'est bien!

CLACK!

- Un! Merci Maîtresse!

Janice est surprise d'entre Jessie compter les coups.

CLACK! CLACK! CLACK!

Jessie lutte pour ne pas crier tellement la douleur est intense. Mais elle réussit à dire :

- Quatre! Merci Maîtresse!

CLACK! CLACK! CLACK!

Jessie pleure maintenant, le cul en feu et la chatte dégoulinante.

- Sept! Merci Maîtresse!

Janice s'arrête et glisse sa main entre les jambes de l'enseignante, ses doigts glissant sur les petites lèvres. Quand elle les retire, ils sont couverts de jus de chatte.

- Mon Dieu! Tu es vraiment une salope soumise malade. Regarde mes doigts!

CLACK! CLACK! CLACK!

Jessie pleure maintenant de façon hystérique, non seulement à cause de la douleur, mais aussi de l'humiliation. C'est comme si son âme et ses désirs intérieurs étaient exposés au monde entier.

- Dix Maîtresse! Merci d'avoir puni votre esclave!

- Bien, maintenant sors d'ici, j'ai du travail. Et n'oublie pas comment tu dois faire demain.

Jessie se laisse tomber à genoux. Elle lève son visage couvert de larmes et elle gémit.

- Qu'est-ce qu'il y a esclave? Qu'est-ce que tu veux?

- S'il vous plaît Maîtresse, je suis toujours nue. Comment suis-je censée enseigner?

- Va dans ta salle de cours et je te ferai livrer tes affaires et la clé. Sors maintenant!

Jessie hoche la tête, sort du bureau et monte dans sa salle de classe. Elle y entre et tente de se calmer. Mais à mesure que le temps passe et que le début des cours approche, elle commence à paniquer. Devant sa porte, elle peut entendre des étudiants et des professeurs se promener dans le couloir. Elle ne peut même pas verrouiller la porte, car ses clés sont toujours dans son sac avec ses affaires.

Elle commence à réfléchir à la façon dont elle pourrait sortir de sa classe et quitter le bâtiment. Les cours doivent commencer dans dix minutes. Elle sait que son visage est en désordre et que son cul est rouge vif. Et avec les mains attachées dans le dos, même si elle arrive à sa voiture, elle ne pourra pas y entre et encore moins conduire. Elle est piégée et elle en arrive à la conclusion qu'aujourd'hui est son dernier jour en tant qu'enseignante.

Mais deux minutes plus tard, Janice entre dans sa salle de classe. Elle a le contrôle total sur Jessie. Celle-ci le sait et a peur qu'elle ne ferme pas la porte derrière elle et que tout le monde entre. Mais elle ne dit rien et ne fait rien. Elle regarde le sol et attend que Janice parle.

- J'ai été retardée dans le couloir salope! Voici tes affaires, tu devrais te dépêcher, car les cours vont commencer.

Janice sort les vêtements du sac et les jette dans la pièce. Jessie commence à courir vers eux quand elle voit l'expression du visage de sa Maîtresse. Alors elle s'arrête.

Janice a un sourire diabolique et jette les clés des menottes juste devant la porte ouverte.

- Maintenant esclave, je te conseille de ramper et de récupérer la clé avant d'aller chercher tes vêtements. Puis habille-toi et va te refaire le visage. Oh, encore une chose... Ne ferme pas la porte! Dit Janice avant de sortir et s'éloigner.

Jessie sait qu'elle n'a pas le choix. Elle rampe vers les clés et les saisit rapidement. Puis elle s'éloigne de la porte et s'efforce de libérer ses mains. Elle regarde l'horloge et sait qu'elle n'a pas de temps à perdre. Elle se lève et court chercher ses vêtements. Quand enfin elle est habillée, il ne lui reste plus que quelques minutes avant que la cloche sonne le début des cours. Elle se précipite vers les toilettes pour se refaire une beauté.

« Tant pis pour la journée facile! Si ça commence comme ça, comment ça va se terminer? » Pense-t-elle.

Le reste de la journée d'école se passe comme tous les jours depuis que des Maîtres l'ont prise en main. Son corps est constamment excité. Son esprit est encombré par les bites qui bandent des étudiants pendant ses cours. Par deux fois, elle manque de jouir en se promenant dans sa classe. La dernière fois, les boules de geisha, qui la rendaient folle, ont presque failli tomber devant tous ses élèves.

Mais elle survit à cette journée et n'a pas été renvoyée pour s'être trop exposée devant les étudiants. Elle sait très bien que si ça continue ainsi elle aura des relations sexuelles avec un ou plusieurs élèves.

Quand tout a commencé, elle n'aurait jamais accepté que ça se produise. Mais après des jours d'abstention, d'excitation et de stimulation constante, tout ce qu'elle arrive à penser c'est de la manière dont elle peut se faire baiser. Si son Maître lui demande de baiser un étudiant, elle accueillera l'ordre avec plaisir.

Lorsque la dernière sonnerie de la journée retentit, Jessie se précipite vers sa voiture. Quand elle est assise dedans, elle arrache sa jupe pour pouvoir jouer avec son clitoris.

Elle jette la jupe sur le siège arrière, ne se souciant pas de savoir si quelqu'un la voit. Elle fourre sa main dans sa culotte et caresse son clito tout en enfonçant trois doigts dans sa chatte dégoulinante.

Elle est sur le point de perdre le contrôle de la situation quand plusieurs enseignants sortent de l'université et se dirigent vers le parking. Jessie veut se faire plaisir, mais se faire prendre en train de se masturber sur le parking est trop grave. Alors elle démarre la voiture et sort du parking.

À suivre....

lundi 23 janvier 2023

Nous allons prendre maman comme acompte.

 Traduction d’un texte de DontScream.

 ****

Même avec le soleil bas dans le ciel, il fait une chaleur étouffante. Jeff se demande pourquoi sa mère insiste pour faire du jogging par un temps comme celui-ci. Les quelques fois où il l’avait questionnée, la réponse était toujours la même :

- Parce que je ne veux pas paraître vieille ! 

A dix-huit ans, Jeff ne comprend pas trop. Pourquoi s’imposer cela, pense-t-il. Est-ce si important pour une femme de trente-huit ans de paraître dix ans plus jeune ? Même s’il ne peut pas comprendre la logique de sa mère, il peut quand même apprécier le résultat. Sa mère est une femme incroyablement sexy pour son âge. Il se sent souvent honteux en pensant que si c’était la mère d’un de ses amis, il serait content de passer du temps au lit avec elle. 

Jeff n’arrête pas de zapper sur la télévision, incapable de trouver une chaîne avec un programme qui l’intéresse. Une partie du problème est que son esprit est ailleurs pour le moment. Son habitude du jeu d’argent l’a rattrapé. Et il vient de perdre un gros pari, si bien qu’il doit plus d’argent qu’il ne possède. Les conséquences l’effraient.

Les hommes avec qui il a parié sont tous plus âgés que lui. Leur travail est la prise de paris dans les jeux de hasard un peu illégaux. Généralement ils ne sont pas tendres avec les « gamins » qui veulent parier comme des grands sans prendre au sérieux le paiement de leurs dettes.

Mais Jeff est conscient de sa dette. Seulement il n’a pas l’argent. Il tressaille en entendant la sonnette de la porte d’entrée. Ça ne peut pas être sa mère qui revient de son jogging, car généralement elle entre par le garage. Jeff se dirige vers la porte avec beaucoup d’inquiétude.

Quand il ouvre, il a l’impression que son cœur va s’arrêter de battre. Devant lui se trouvent deux gars qu’il connaît que sous le nom de Marco et Danny. Ce sont les deux visages qu’il avait envie de moins voir dans les circonstances actuelles.

- Salut les gars ! Dit Jeff.

- Salut Jeff ! Répond Marco en entrant dans la maison sans être invité.

Danny le suit.

- Quoi de neuf ? Demande Jeff en refermant la porte.

- Le temps est passé. Tu es seul ? Dit Marc d’une voix grave.

- Ouais.

Jeff ne veut pas parler de sa mère à ces deux gars.

- Dommage. J’ai entendu dire que ta mère était une vraie bombe. Ce n’est pas vrai ? Dit Marco.

- Qu’est-ce que vous voulez ? Demande Jeff en lui lançant un regard noir. 

- Nous voulons l’argent, mon bon Jeff.

- Je l’aurai ce week-end. Déclare Jeff avec autant de conviction qu’il peut mettre dans sa voix.

- Trop tard. Ils le veulent maintenant.

- Je ne l’ai pas. Je l’aurai ce week-end.

Marco regarde autour de lui et voit les meubles de luxe dans cette grande maison. Pour lui, il semble bizarre qu’un gars vivant dans un tel luxe ne puisse pas payer ses dettes de jeu. Des années dans la misère reviennent à l’esprit de Marco.

Sans avertissement, il se retourne et donne un violent coup de poing dans le ventre de Jeff. Le jeune homme lutte pour reprendre son souffle et trébuche en arrière. Danny se place derrière lui et saisit ses bras. Avant que Jeff ne puisse reprendre ses esprits, deux coups de poing atterrissent sur son visage.

- Je te dis que ce week-end c’est trop tard ! Grogne Marco le visage rouge de rage.

La douleur assombrit la capacité de réflexion de Jeff. Il arrive à balbutier :

- Je te promets pour ce week-end.

Marco décoche un autre coup de poing juste en dessous de la cage thoracique du jeune homme.

- Je m’en fous des promesses…

Avant que Marco ne puisse finir, ils entendent tous le claquement d’une porte à l’intérieur de la maison. Un bruit de pas est suivi d’une voix féminine criant :

- Jeff ?

- Maman ! N’entre pas… Crie Jeff avant que Danny ne mette sa main sur sa bouche.

Kendra Collins entre dans son salon et se fige. Son instinct maternel prend le dessus et elle se concentre plus sur le sang qui coule du nez de son fils que des deux hommes avec lui.

- Jeff, que se passe-t-il ?

- Alors c’est donc maman ! Dit Marco avec plus de délicatesse qu’il avait parlé auparavant.

Marco et Danny regarde et détaille rapidement la femme devant eux. Elle a de longs cheveux auburn clairs avec des mèches encore plus claires. Ils sont tirés en arrière, mais quelques mèches sur son front sont collées par la transpiration. Son haut de jogging moulant n’est rien de plus qu’un soutien-gorge de sport. La transpiration scintille dans son ample décolleté. Son ventre plat dément son âge et le short moulant conduit à une paire de jambes sans défaut. Kendra est un spectacle impressionnant pour ces deux brutes peu habitués aux jolies choses.

- Sortez de chez moi ! Ordonne-t-elle.

- Mais vous ne savez même pas pourquoi nous sommes ici. Dit Marco.

- Lâchez mon fils et sortez !

- il semble que votre fils ne soit pas un très bon parieur. Ou du moins, il n’est pas doué pour payer ses dettes. Nous sommes ici pour ce qu’il doit. Déclare Marco.

Kendra n’a jamais trop fait attention aux agissements de son fils adolescent. Mais en tant que mère célibataire avec une vie professionnelle bien remplie, elle n’a pas beaucoup de temps. Elle avait bien soupçonné qu’il faisait des trucs qu’elle n’aurait pas approuvés, mais depuis ces dix-huit ans elle l’avait laissé les choses se faire. Elle menace alors :

- je vais appeler la police ! Laissez-le tranquille et sortez ! Ensuite je discuterai avec mon fils en privé et je m’assurerai qu’il paie sa dette.

Marco lève les yeux au ciel.

- J’en ai marre des retards de paiements. Mon patron en a marre des retards de paiement. Nous ne partirons pas sans l’argent.

- Je crains que vous deviez le faire ! Dit Kendra avec un air de défi.

Marco n’est pas du genre à recevoir des ordres d’une femme. Kendra n’est pas du genre à laisser les hommes lui marcher dessus. Mais si l’affaire consistait en une bataille muscle contre cerveau, Kendra serait la perdante.

Marco fait deux grands pas vers elle. Elle recule puis se retourne. Mais un pas plus tard, il la tient par le bras. Il la fait pivoter et la plaque contre un mur. Il gronde :

- Ecoute-moi salope ! Nous sommes venus pour récupérer une dette. Nous partons d’ici avec de l’argent ou quelque chose de valeur équivalente.

Il presse son corps contre le sien, utilisant son avantage de muscle. Il hésite pourtant un instant à la sensation de ce corps féminin. Puis il enfonce son entrejambe contre elle. 

- Peut-être que l’argent n’est pas la seule solution après tout. Dit-il calmement.

Jeff et Kendra se débattent en vain dans les bras des hommes payés pour bousculer les mauvais payeurs.

- Lâche-la connard ! Aboie Jeff.

Marco sourit sans même se retourner vers le gamin. Un de ses mains tient fermement Kendra contre le mur tandis que l’autre commence l’exploration de son corps. Il caresse sa peau nue avant de faire glisser sa main sur le haut. Il laisse son pouce parcourir le bas de sa poitrine avant de serrer un sein.

- Peut-être pouvons-nous négocier ? Dit-il.

- Sûrement pas ! Répond rapidement Kendra.

Il la gifle si vite qu’elle ne peut l’éviter. Kendra crie et essaie de donner un coup de pied, mais l’homme a tout prévu. Il coince ses deux jambes avec les siennes et d’une main il attrape ses deux poignets pour le lever et le tenir juste au-dessus de sa tête.

- Ne te moque pas de moi, salope. Tu ne veux sûrement pas que je me fâche. Suis mes ordres et vous serez peut-être encore vivant demain. Compris ?

Kendra se contente de le regarder.

- COMPRIS ? Crie Marco.

Elle acquiesce.

- Est-ce que tu vas nous donner l’argent ? Demande-t-il.

La gorge de Kendra est presque trop sèche pour qu’elle puisse parler.

- Combien ?

- Cinq mille cinq cents.

Son cœur se serre.

- Je ne peux pas tout de suite.

Elle voit le dégoût sur le visage de l’homme.

- Si j’entends « ce week-end » une fois de plus, je vais vraiment blesser quelqu’un. Maintenant veux-tu bien reconsidérer ta réponse ?

- je n’ai pas cet argent, là, aujourd’hui.

Le sexe de Marco commence à réagir aux frottements contre la femme. Il regarde son visage et son corps en sueur. Il s’aperçoit que ses mamelons repoussent le tissu fin et humide de son haut. Il déclare alors :

- Alors j’ai bien peur que nous devions passer au plan B. De quel côté est ta chambre ?

Kendra est prête à fondre en larmes.

- J’ai dit que je vous paierai, mais je ne peux pas le faire aujourd’hui.

Marco l’arrache du mur.

- Quel côté ?

Kendra montre de la tête l’escalier qui monte à l’étage.

- Prends le gamin et suis-nous ! Dit Marco à Danny.

L’homme pousse Kendra dans la direction des escaliers. Il ne quitte pas des yeux ses fesses rondes alors qu’ils montent les marches. Kendra les conduit jusqu’à la porte de sa chambre.

- Où est la plus grande douche ?

- Là !

- Allons-y ! Commande-t-il.

- Non ! Je ne vais pas vous laisser… Commence à dire la mère de famille.

Marco la saisit par le bras et la jette violemment sur le lit. Kendra tente de se lever rapidement, mais il est déjà sur elle.

- Est-ce que tu veux que je te viole ici, juste devant ton fils ?

- Je vous ai dit…

Il la gifle et dit :

- Je t’ai dit de nous emmener à la douche ! Maintenant fais-le !

Il la soulève du lit et elle trébuche vers la salle de bain principale avec les deux hommes et son fils derrière elle. Elle entre dans la pièce en marbre où se trouvent des zones séparées entre la baignoire jacuzzi, les toilettes, les lavabos et la douche. Marco lui ordonne :

- Enlève tes vêtements !

Kendra est brisée. Elle sait que la désobéissance pourrait avoir, à partir de maintenant, des conséquences désastreuses pour Jeff et elle. Tous les yeux sont rivés sur elle en attente de ce qu’elle allait faire.

Avec des mains tremblantes, elle saisit les côtés de son haut noir. Ses pouces glissent à l’intérieur et elle commence à le relever. La bande élastique du bas glisse sur ses seins. Elle lève les bars pour enlever son haut.

A trente-huit ans, sa poitrine n’a plus la même fermeté qu’à vingt-huit ans, mais la taille et la forme rendrait beaucoup de femmes envieuses. Même les bras baissés, les seins ne tombent pas restent dressés comme ceux d’une adolescente. Jeff ne veut pas établir un contact visuel avec sa mère, et il ne veut pas non plus regarder sa poitrine, alors il détourne le regard. Kendra fait une pause.

- Je t’ai dit de te foutre à poil ! Dit Marco.

Lorsque qu’elle baisse son short, il est évident qu’elle ne porte pas de culotte. Sa chatte apparaît rapidement et les hommes peuvent voir qu’elle est soigneusement taillée. Le short tombe sur le sol et Kendra lève les jambes pour en sortir. Elle se tient debout devant la douche, les jambes fermement serrées ensemble. La vue est pourtant magnifique.

- Tu as un putain de joli corps. Tourne-toi ! Ordonne Marco.

Kendra aurait aimé pouvoir encore plus serrer ses jambes. Le résultat est que ses fesses sont aussi serrées. Et le spectacle est agréable à regarder pour les hommes. Ils la détaillent avec plaisir.

- Merde Danny, as-tu déjà vu quelque chose comme ça ?

- Non, jamais en vrai ! Répond l’autre homme.

- Hé bien maman, tu es bien faite. Maintenant, ouvre l’eau et passe sous la douche. Tu vas te laver et nous allons regarder. Dit Marco. 

Cette douche est très grande, avec trois murs sur les côtés. Kendra enjambe la marche en marbre surélevée et règle la température de l’eau. Quelques secondes plus tard tout est prêt. Marco et Danny prennent les meilleurs poste d’observation tandis que Jeff se tient à proximité, également à la vue de sa mère, mais bloqué pour sortir par Danny.

Ils regardent Kendra mettre la tête sous l’eau. Celle-ci coule le long de son corps en un flot constant, elle dégouline sur ses mamelons et entre ses jambes. Les trois hommes sentent le même picotement dans leur bite alors que Kendra commence à se laver les cheveux. La mousse du shampoing coule sur ses épaules et sur sa poitrine avant d’être rincée. Ensuite, Kendra prend un savon et le mouille.

Volontairement, elle évite de se frotter les seins et la chatte. Marco attend qu’elle est l’ait d’avoir fini avant de dire d’une voix autoritaire :

- Lave tes seins et ta chatte !

Les hommes commencent à avoir une forte érection qui pousse à l’intérieur de leur pantalon au moment où elle fait glisser le savon sur le reste de son corps. Puis Kendra regarde Marco qui lui dit de fermer l’eau et de sortir.

- Sèche-toi ! Dit-il avec un sourire narquois.

Même si Kendra est heureuse d’avoir quelque chose pour se couvrir partiellement, elle sait qu’ils sont toujours excités. Cet exercice humiliant lui a fait perdre toute volonté de se battre. Et l’embarras de devoir faire cela devant son fils est accablant. Marco déclare alors :

- Danny, je parie que tu bandes comme un taureau ? Pourquoi ne lui montres-tu pas, partenaire ?

Danny baisse sa braguette et extrait sa bite semi-dure avec une tête bulbeuse menaçante.

- Je crois que j’ai besoin d’aide. Dit l’homme.

- Assieds-toi sur les toilettes, Danny. Tu as entendu maman ? Utilise donc ta bouche pour rendre la queue de mon ami bien dur ! Ordonne Marco.

- Vous ne m’avez pas assez humiliée comme ça ? Demande Kendra, de l’exaspération évidente dans sa voix.

- Bien sûr que non, nous commençons à peine. Maintenant mets-toi à genoux et suce cette bite, salope !

Kendra étale sa serviette sur le sol pour protéger ses genoux. Elle se place entre les jambes de Danny et regarde sa bite. Elle sait qu’elle ne peut pas refuser, mais elle prend son temps. Pendant ce temps, les hommes regardent sa poitrine pendre et ses fesses s’arrondit délicieusement alors qu’elle se penche. Jeff essaie de faire en sorte de ne plus bander, mais le corps magnifique de sa mère ferait bander n’importe quel homme, même son fils.

Ils la regardent tous soulever la bite et glisser le gland entre ses lèvres. Danny met sa main derrière sa tête et la force à avaler son membre. Celui-ci disparaît bientôt entièrement dans la bouche de la mère de famille. Marco l’encourage :

- C’est ça maman. Maintenant suce-le comme tu le fais avec tous les hommes. 

Puis une minute plus tard, il dit :

- Oh, attends Danny ! Donne-moi les menottes !

La bite sortie de la bouche de Kendra pendant un instant, Danny fouille la poche arrière de son pantalon et lance une paire de menottes à Marco. Puis il tire de nouveau la tête féminine sur son érection.

- Viens ici gamin ! Ordonne Marco à Jeff.

Un instant plus tard, le garçon est menotté à l’une des poignées de l’armoire de salle de bain.

Ils portent leur attention sur Kendra dont la tête monte et descend sur la bite de Danny. Sa queue est maintenant complètement debout et la mère de famille a du mal à tout faire entrer dans sa bouche. Mais avec l’aide de l’homme qui appuie sur sa tête, elle arrive à le sucer jusqu’aux couilles.

Marco observe un moment avant de se placer derrière elle. Il fait courir ses doigts sur ses fesses et lui gifle légèrement le cul. Puis il la prend à la taille et lui dit :

- Lève-toi, mais continue de sucer !

Kendra obéit et se lève, restant penchée à la taille pour garder la bite de Danny dans sa bouche. Au moment où elle est prête, Marco sort son énorme bite. Jeff ne peut que regarder avec colère un étranger prêt à baiser sa mère par-derrière. Kendra, sentant ce qu’il va se passer, pose ses mains sur les genoux de Danny pour se tenir.

Marco a la plus grosse bite que Jeff ait jamais vue, y compris celles des sites porno sur internet qu’il visite en cachette de sa mère. Il est content qu’elle ne puisse la voir. Mais il sait très bien qu’elle va bientôt la sentir.

- Tiens-toi prête, salope. C’est ce que les gens obtiennent quand ils nous énervent moi et mon patron ! Déclare Marco.

Il laisse sa bite tomber sur son cul avant de la faire glisser le long de sa fente entre ses jambes.

- Écarte ! Ordonne-t-il.

Kendra écarte ses pieds et Jeff peut voir sa chatte maintenant disponible pour l’homme. Mais est-ce là sa destination. Le jeune homme frissonne à l’idée de l’autre alternative.

Mais le gland de Marco se positionne à l’entrée de la chatte. Kendra tressaille. Il la prend par les hanches et s’enfonce soudainement et violemment en elle.

- OHHHHH mon Dieu ! Crie Kendra.

- Ta gueule et suce la bite ! Répond Marco.

Un autre coup de rein vicieux la fait presque tomber sur Danny. Marco  la baise avec des coups rapides qui pousse son corps sur son cul bruyamment. 

La scène continue pendant quelques minutes sans interruption. Marco a saisi les seins de la mère de famille pendant qu’il la baise. Danny s’approche de plus en plus de l’éjaculation.

Celui-ci a déjà eu droit à de nombreuses fellations par des femmes ou filles de ses victimes. Certaines sont des expertes. Mais Kendra s’avère être dans une catégorie à part. Sa langue est efficace et la pression de ses lèvres est parfaite. Le rythme de sa tête qui oscille n’est ni trop rapide, ni trop lent. Elle a réussi à faire monter la pression en un temps record.

Sans avertissement à part quelques gémissements profonds, Danny commence à gicler son foutre dans la bouche de la maman.

- Oh oui putain ! Ouiii ! Dit-il au rythme des jets de sperme.

Le foutre s’accumule autour de la bite et sur les lèvres de Kendra. Il coule sur son menton alors que l’homme continue à gicler. Elle se dit qu’il ne va jamais s’arrêter de jouir. 

Pendant ce temps, Marco apprécie la chatte extrêmement serrée qu’il pilonne. Normalement il préfère les femmes plus jeunes, mais au chaud dans cette chatte il se dit que les vieilles c’est pas mal aussi.

Puis il laisse échapper un grognement et une bonne quantité de sperme envahit la chatte de Kendra. L’homme frappe son cul à chaque coup de rein. Et chaque poussée indique encore plus de sperme.

Kendra est heureuse que ça se termine pour deux raisons : La première est qu’elle ne peut plus avaler de sperme de Danny et la seconde est qu’elle était proche de l’orgasme. Et elle s’était convaincue qu’elle ne devait pas jouir.

En fait les deux hommes ont terminé avant qu’elle ne s’en soucie . Dès que Marco s’est retiré et lui a giflé le cul, elle s’est penchée pour permettre à la bite de Danny de sortir de sa bouche. Elle a du foutre sur le visage, le menton, le cou et ses cuisses. Marco remet sa bite dans son pantalon et dit :

- Je t’avais dit que c’était une pute.

- Super habile avec sa langue ! Ajoute Danny en souriant.

- Va t’habiller salope, nous avons un petit voyage à faire. Déclare Marco.

Kendra sent son corps se tendre sur ces mots. Elle avait espéré qu’ils avaient terminé. Que veulent-ils leur faire de plus à elle et à son fils ?

- Occupe-toi du gamin Danny, enlève-lui les menottes, j’accompagne sa mère. Dit Marco.

Il conduit Kendra dans la chambre et la force à trouver une tenue de jogging identique à celle qu’elle portait plus tôt. Le haut et le short sont de couleurs différentes, mais sinon il s’agit des mêmes vêtements. Une fois qu’elle est habillée, ils descendent l’escalier, sortent par le garage et s’entassent tous dans la voiture de Marco.

Après trente minutes de trajet il fait nuit. Jeff est encore menotté sur le siège passager à côté de Marco qui conduit. Danny et Kendra se partagent la banquette arrière. Danny est gentil, ne la touchant pas malgré son décolleté et ses cuisses nues.

Mais au bout d’une demi-heure, il n’en peut plus. Il tapote la jambe de la mère de famille pour attirer son attention.

- Enlève ton short ! Dit-il à voix basse.

- Quoi ? Demande Kendra, surprise.

- Enlève ton short !

Son regard lui fait comprendre qu’il est sérieux, alors elle baisse son short sur ses pieds. En même temps, Danny sort sa bite. Marco regarde dans le rétroviseur et sourit. Jeff jette un bref coup d’œil en arrière, puis se détourne rapidement.

Danny se branle pendant un moment pour bien bander puis il dit à Kendra :

- Viens ici ! Face à moi !

Elle grimpe maladroitement sur lui et plane au-dessus de ses genoux.

- Mets ma bite dans ta chatte.

Elle se penche pour trouver le membre, puis elle met le gland en place. Danny lui attrape la taille et la tire vers le bas brusquement en même temps qu’il pousse sa queue vers le haut. Kendra halète alors qu’une autre bite se glisse dans son sexe.

Marco les laisse baiser pendant une minute avant de dire :

- Elle est bonne hein ?

- Putain c’est incroyable. On devrait la garder toute la nuit.

- On ne peut pas faire ça. Désolé. Répond Marco.

Kendra doit s’appuyer sur le dossier du siège avant afin de pouvoir accepter la bite de Danny sans douleur. Sa tête se retrouve très près de la tête de son fils. Ils font tout pour ne pas se regarder. Pourtant les bruits sont caractéristiques et Jeff est de plus en plus mal à l’aise de minute en minute.

Mais Kendra a un autre problème. Danny a soulevé son haut et commence à jouer avec ses mamelons dressés. Elle sent que son corps commence à la trahir. La sensation de la bite dans sa chatte et la manipulation de ses seins sensibles la rapprochent d’un orgasme, d’une jouissance qu’elle avait réussi à écarter dans la salle de bain. Sans vraiment s’en rendre compte, elle laisse échapper des gémissements de plaisir.

- Ecoute-la Danny, elle aime ça ! Fais-la jouir ! Dit Marco avec joie.

L’homme la baise encore plus fort et tire sur ses tétons en les serrant jusqu’à ce qu’elle crie. De douleur ou de plaisir, personne ne peut savoir, pas même elle. Au plus profond de son ventre de femme mature, des picotements familiers se propagent à sa chatte. Elle manque de crier dans ses tentatives d’arrêter ce plaisir.

Danny sent son corps réagir et il dit :

- Allez chérie, laisse tomber, laisse-toi aller !

Une larme coule sur son visage quand Kendra s’agrippe aux sièges. Sa respiration accélère et devient irrégulière. Tout le monde dans la voiture sait ce qui se passe. Danny passe son doigt sur son clitoris. 

- Non ! Non ! Arrêtez !!

La tête de Kendra repose entre des deux sièges avant tandis que le besoin de jouir la submerge.

- Ne t’arrête pas Danny, ça va être bien ! Insiste Marco.

Danny continue de titiller son clitoris brutalement puis il enfonce sa bite plus profondément en elle. Le jus de Kendra coule et les bruits de succion sont entendus dans toute la voiture.

- Aaaaahhhhhh… Dieu non. Non ! NOOOOOOONNN ! Crie Kendra.

Une dernière caresse sur son clito la pousse à bout.

- OH mon Dieu, oh mon Dieu ! Répète-t-elle encore et encore alors que son orgasme débute.

Après cela, les hommes n’entendent que des gémissements et des mots incompréhensibles tandis que le corps de Kendra cède. Sa tête s’incline en arrière puis retombe en avant dans des démonstrations répétitives de satisfaction alors qu’elle jouit encore et encore. Ses cheveux se balancent d’avant en arrière et semblent plus ébouriffés à chaque nouvelle vague de plaisir.

Alors qu’elle a presque fini, c’est au tout de Danny d’annoncer sa jouissance avec un grognement bruyant. Sa bite décharge du sperme dans le ventre de Kendra alors qu’il la tient en place. Il serre ses seins et peut sentir sa chatte se contacter sur sa bite à chaque pincement de ses mamelons.  Et puis tout est fini.

- Sacré gonzesse Une vraie salope qui jouit comme une diablesse. Je pense qu’elle arrivera à s’en sortir quand nous la déposerons. Déclare Marco. 

- Vous nous laissez partir ? Demande Kendra d’une voix faible.

- Nous te laisserons partir. Nous devons garder ton fils pour l’assurance d’être payé.

- Que voulez-vous de plus ? N’en ai-je pas fait assez ? Implore Kendra.

- Nous voulons l’argent, salope. Et nous devons donner une leçon à ton fils. Amuse-toi avec nous et nous nous amuserons avec vous.

Marco conduit la voiture sur un chemin sombre à travers de bois épais. Au bout d’un kilomètre il s’arrête.

- Sors ! Dit-il à Kendra.

Elle a remis son short et elle est contente de sortir de la voiture. Danny est juste derrière elle, une main sur son bras.

- Emmène-la au bord du lac ! Et assure-toi qu’elle ne te suive pas au retour. Dit Marco depuis le siège avant.

- J’ai compris. Je reviens dans un instant. Dit Danny.

- Ça va aller Jeff, tout va bien se passer. Dit Kendra à Jeff pour le rassurer et se rassurer elle-même.

Danny conduit la femme jusqu’à un gros quad caché dans les bois. Il lui de s’asseoir derrière lui et de bien s’accrocher.. Une fois qu’il a démarré ils traversent les bois à une vitesse effroyable. Toutes les pensées de Kendra pour s’enfuir sont remplacées par sa peur de tomber du quad.

Dans la voiture, Marco dit à Jeff :

- Nous ne la blesserons pas. Je voulais que tu voies qu’elle allait bien la dernière fois que tu l’as vue. Danny va la déposer et il reviendra. Ta mère va devoir utiliser son cerveau pour s’en sortir. Si tu nous paies, nous irons la chercher.

Jeff regarde silencieusement l’obscurité de la forêt avec une grosse boule au ventre.

 ****

Kendra entend le quad disparaître au-dessus de la crête, dans les bois. Dans l’obscurité, elle ne peut pas suivre sa piste pour retourner au chemin et à la route empruntés par la voiture. Elle est perdue au bord d’un lac.

Elle frissonne en essayant de prendre des repères. Ses yeux s’habituent à l’obscurité peu à peu. Au loin , de l’autre côté du lac, il lui semble voir des lumières. Elle plisse les yeux et il lui semble distinguer le contour d’une maison ou d’une cabane. Elle se décide à prendre cette direction.

Dix minutes après sa marche autour du lac, elle est sûre qu’il s’agit d’une cabane. Son pouls s’accélère à l’idée d’être secourue. Elle n’a besoin que d’un téléphone et tout ira bien.

Kendra a le souffle court alors qu’elle arrive à la porte de la cabane une demi-heure plus tard. Les marches craquent avant qu’elle frappe.

La porte s’ouvre et la lumière de l’intérieur inonde l’entrée. Un homme d’une quarantaine d’année d’après Kendra la regarde avec surprise. Kendra reprend son souffle et dit :

- J’ai besoin d’aide ! Auriez-vous un téléphone que je peux utiliser ?

L’homme continue de détailler la jolie femme en tenue de course. C’est bien la dernière chose qu’il s’attendait à trouver à sa porte.

- Ma petite dame, voyez-vous de l’électricité dans cette cabane. Nous utilisons le gaz pour tout. Et nous n’avons pas le téléphone. Déclare-t-il. 

- Peut-être un portable alors ? Demande Kendra.

- Nous venons ici pour pêcher et nous éloigner de la ville. Désolé, pas de portable. Mais vous pouvez entrer et nous discuterons.

Kendra entre. Elle se dit que c’est toujours mieux que de retourner dans les bois, la nuit et seule. Elle voit un deuxième homme, à peu près du même âge que le premier, assis près de la table dans la cuisine. Un petit salon près d’une cheminée est la seule autre pièce visible. Toutefois, le couloir mène vraisemblablement à une chambre et une salle de bain.

- Comment diable êtes-vous arrivée ici ? Demande le premier homme.

-Je… Euhhh je courais et je me suis perdue. Ment Kendra sans grande conviction.

Les deux hommes la regardent avec incrédulité.

- Bah, peu importe. Mais je ne mentais à propos des téléphones. Il n’y a rien ici. L’idée est de s’éloigner un peu de la société. Nous n’apportons rien ici qui peut nous y relier. Explique l’homme. 

L’abattement sur le visage de Kendra est palpable. De plus elle se sent de moins en moins rassurée.

- Peut-être que je devrais repartir alors ! Dit-elle. 

- Oh je crois que ça serait assez stupide ma petite dame. Entre les ours et les serpents, je ne suis pas sûr que vous tiendrez longtemps dans ces bois. Mieux vaut attendre jusqu’au matin.

- Non, ça va. Je vais tenter ma chance.

Kendra se tourne vers la porte, mais la grosse main de l’homme se pose rapidement sur son poignet.

- Laissez-moi !

- Je ne crois pas. Du moins, pas avant d’avoir mangé quelque chose. Vous savez cuisiner n’est-ce pas ?

Les grands yeux de Kendra reflètent la colère et la peur. Sa lèvre inférieure tremble. L’homme l’entraîne vers la cuisine.

- Je m’appelle Hank et lui c’est Jason. Je ne crois pas que nous nous sommes présentés. Dit-il sèchement.

Comme Kendra ne répond rien, il demande durement :

- Quel est ton nom ?

- Kendra.

- Eh bien Kendra, tu vas nous préparer à dîner. Les poissons sont déjà nettoyés. Tu n’as plus qu’à les faire frire et nous mangerons tous ensemble avant de parler de l’avenir. Ça te va ?

Selon les apparences, ces hommes sont des gars instruits de la classe moyenne supérieure en séjour de pêche. Ils ne sont pas moches, avec leur barbe d’un jour. Leurs vêtements sont soignés, à la limite du luxe. Kendra devine qu’ils ont dû spécialement les acheter pour ce séjour. En tout cas ils sont d’un cran au-dessus de Marco et Danny.

Kendra regarde autour d’elle dans la minuscule cuisine. En plus d’un petit plan de travail et un évier, il n’y a qu’une petite cuisinière avec deux brûleurs à gaz. Elle entend alors Hank déclarer :

- Elle a l’air d’avoir terriblement chaud après sa marche dans les bois. Peut-être qu’elle serait plus à l’aise sans son haut. De plus elle va cuisiner et elle risque de se tâcher. 

Jason sourit et regarde les mamelons pointer sous le tissu du petit haut. Il acquiesce et dit :

- Je crois que tu as raison. Enlève ton haut, chérie !

Les péripéties de sa journée défilent dans la tête de Kendra. Elle réfléchit aux options qui s’offrent à elle.

- Écoutez, laissez-moi juste partir et…

- Enlève !

Les deux hommes regardent alors une Kendra résignée qui remonte son haut et expose une fois de plus sa poitrine à des inconnus.

- Putain de merde, je n’aurais jamais pensé voir ça cette semaine ! Dit Jason.

Kendra pose son haut sur le plan de travail et regarde les hommes avec dégoût.

- Où est le poisson ? Demande-t-elle.

Hank se lève et prend les filets enveloppés dans du papier d’aluminium dans une petite glacière près de la porte. Il se dirige vers Kendra et les lui tend.

- Voilà ! Dit-il en posant sa main sur sa poitrine après qu’elle eut pris le poisson.

Kendra tressaille et tente de s’éloigner, mais Hank persiste dans son tripotage. Après avoir tâté les deux seins, il sourit et s’éloigne. 

- Jolis et fermes ! Dit-il à Jason.

- Je m’en doute. Répond Jason.

Puis il se déplace vers Kendra et lui dit :

- Laisse-moi te montrer où sont rangées les choses.

Il sort une poêle, de l’huile, de la farine et des allumettes pour allumer le feu. Quand il a fini il se trouve derrière Kendra et il passe ses deux mains de chaque côté pour empoigner ses seins. Il est un peu plus brutal que Hank, mais il ne fait pas mal. Kendra peut sentir sa bite grossir contre son dos.

- Ils sont vraiment chouettes. Maintenant tu peux cuisiner.

Les hommes s’assoient et regarde la femme préparer le repas en ajoutant quelques ingrédients à ce que Jason avait fourni. Bientôt ils mangent tous dans un silence relatif. Kendra évite le contact visuel avec les deux gars, mais elle peut sentir leurs regards sur sa poitrine nue. Le poisson est bon après cette longue et pénible journée, mais Kendra a beaucoup d’appréhensions sur ce qu’il va se passer quand ils auront fini de manger.

Elle n’a pas à attendre longtemps avant de le découvrir.

- Mets simplement la vaisselle dans l’évier pour le moment. Ordonne Jason.

Kendra obéit. Elle est gênée quand elle doit tendre la main pour récupérer les assiettes des deux hommes. Ils ne font pas grand-chose pour l’aider et elle doit laisser pendre ses seins devant leur visage. Quand elle a fini, Jason dit :

- Que dirais-tu d’un petit dessert, Hank ? 

Des sourires de connivence sont échangés. Kendra envisage de se précipiter vers la porte arrière qui n’est pas loin. Mais Jason se lève de sa chaise et lui bloque la route. Avec des yeux effrayés, Kendra se recroqueville dans la petite cuisine. Jason tend la main et lui saisit le bras. Il la tire brusquement vers la table vide. Il se place derrière elle et lui dit :

- Mets tes mains sur la table, chérie !

- Non, ne faites pas ça… S’il vous plaît… Supplie Kendra.

- TOUT DE SUITE !

Kendra pose ses deux mains sur la table. Elle se retrouve légèrement courbée à la taille. Puis elle sent des mains sur le haut de son short. Un premier coup sec le descend sous ses fesses. Puis il est retiré complètement. 

Hank se penche en arrière sur sa chaise pour regarder. Le sourire sur son visage est vicieux et n’augure rien de bon.

- Écarte tes grandes jambes, voyons voir ta petite chatte ! Demande Jason.

Kendra obéit avec l’aide de l’homme qui a posé ses mains sur ses cuisses. 

- Nous sommes dans cette cabane depuis une semaine. La pêche n’a pas été très bonne. Mais il semble que notre situation est sur le point de s’améliorer considérablement. Déclare Jason.

Kendra entend qu’il baisse la fermeture éclair de son pantalon. Quelques secondes plus tard, une bite repose sur son cul. Elle ne peut la voir, mais elle a comme idée qu’elle va bientôt l’avoir en elle. L’homme fait glisser son membre le long de sa raie culière jusqu’à sa chatte. La bite se frotte contre elle et appuie sur son clitoris.

Ce traitement réveille son corps. Heureusement elle est encore humide de sa séance de baise avec Danny dans la voiture. Alors quand Jason pose son gland épais à l’entrée de sa chatte, elle ne ressent pas de douleur comme elle aurait dû normalement.

- Attention chérie, je suis vraiment excité ! Prévient Jason.

Kendra voit Hank sourire juste avant de sentir la longue et grosse bite la pénétrer. Elle s’accroche à la table et crie.

- Je t’avais prévenue. Putain que tu es serrée. Et mouillée, ça va être amusant.

Il commence à la baiser avec des coups de rein rapides profonds qui pousse Kendra à expirer bruyamment. Elle gémit à cause de la fougue de l’homme, mais ses sens sont engourdis par ses précédentes rencontres.

Hank ouvre son pantalon et sort sa bite. Elle est déjà bien droite quand il commence à se branler. Mais Kendra la voit grandir à chaque seconde qui passe. Jason tient ses seins et joue avec ses tétons alors que son bas-ventre claque contre ses fesses à un rythme constant.

- Bouge et suce la bite de ce pauvre Hank ! Ordonne-t-il.

Kendra se repositionne et appuie ses mains sur les jambes de Hank. Puis elle baisse la tête sur son engin alors que Jason repousse sa bite dans sa chatte. La fellation qu’elle prodigue à l’homme n’est sûrement pas la meilleure qu’elle sache faire, mais elle est sûrement mieux que ce à quoi Hank s’attendait en lui ouvrant ce soir.

Quelques gouttes de liquide pré-éjaculatoire coulent sur sa langue.

- Putain Jason ! Je suis déjà prêt à gicler ! Déclare Hank.

- Vas-y mon pote, je suis sûr qu’elle est déjà habituée.

Hank saisit sa tête et pousse plusieurs fois rapidement sa bite vers le haut. Il dit :

- Plus serré ! Suce plus fort !

Kendra serre ses lèvres autour de la queue et elle sent le sperme s’échapper.Hank grogne bruyamment. 

- Oh putain oui !!!!

Il pousse encore deux fois en grognant. Kendra sent le liquide chaud et salé frapper le fond de sa gorge. Elle relâche la pression sur la bite, mais celle-ci continue de déverser du foutre dans sa bouche dans un rythme soutenu. Elle essaie d’avaler, mais cela n’a pour effet que de pomper la queue plus fort. Hank jouit encore. 

En même temps, Jason tient son cul et la baise avec des signes évidents qu’il va bientôt jouir. Kendra sent bientôt le sperme dans sa chatte. Jason claque son cul, chaque claque indiquant une giclée de foutre supplémentaire. Il attrape ses seins et enfouit sa bite au plus profond. Ils baisent encore une minute, puis Jason se retire, complètement vidé. 

Les hommes rangent leur bite, un air de satisfaction sur leur figure.

- Merci pour le repas ! Qu’est-ce qu’on mange au petit-déjeuner ? Dit Jason.

Kendra est trop occupée à retrouver ses vêtements pour lui répondre.

 *****

Au milieu de la nuit, alors que les deux hommes sont endormis, Kendra se faufile par la porte d’entrée de la cabane. Les hommes s’attendaient certainement à ce qu’elle parte, peut-être même le voulaient-ils. Il serait plus facile de dire à quiconque les questionnerait qu’elle venait les voir de son plein gré pour être baisée. Sinon pourquoi sortirait-elle dans la nuit dans une tenue de jogging ?

Kendra marche environ deux kilomètres et elle trouve un endroit pour se reposer près d’un chemin en lisière de bois. Elle s’appuie contre un arbre et s’endort en quelques minutes, sans se soucier du froid et de l’humidité de la nuit.

Elle est réveillée par un bruit de pas. Craignant que ce soit Hank ou Jason, ou alors un ours, elle rampe aussi silencieusement que possible dans les bois et se cache derrière un arbre. Le soleil n’est pas encore totalement levé, mais il y a suffisamment de lumière pour distinguer les formes.

Elle voit un homme sur le chemin. Il a l’air jeune, une vingtaine d’années. Il porte un sac à dos, mais aucun autre équipement de chasse ou de pêche. Kendra pense qu’il y a une chance pour qu’il passe sans la remarquer. Mais dans ses efforts de rester bien cacher derrière l’arbre, elle casse une brindille.

Immédiatement il lève les yeux. Kendra essaie de se cacher encore plus, puis elle jette timidement un coup d’œil. Leurs regards se croisent. Kendra se détourne pour courir.

- Hé attends ! Crie l’homme.

Kendra gravit un léger talus et s’aplatit derrière son sommet. Elle entend l’homme courir derrière elle.

- Arrête ! Crie-t-il encore.

Sans se retourner, Kendra continue de courir pour mettre de l’espace entre eux deux. Elle saute par-dessus des bûches d’arbres et à travers des buissons épais. Elle égratigne ses jambes, mais elle court vite. Elle approche d’une petite clairière.

C’est à ce moment que Kendra est prise par surprise. Elle tombe au sol et roule sur le côté. Ses pieds sont enchevêtrés dans les sangles d’un sac à dos. L’homme l’a jeté sur elle et elle s’est prise les pieds dedans. La seconde suivante, il est au-dessus d’elle et la regarde.

- Tu ne m’as pas écouté ! Dit-il, essoufflé.

- Laissez-moi tranquille ! Dit Kendra avec colère, en sachant très bien que sa volonté ne sera sûrement pas respectée.

- Pourquoi ? Qu’est-ce que tu fous là ?

- Du jogging.

Le jeune homme a un rire moqueur.

- Ouais c’est ça. Et moi je cherche le yéti.

- Je n’ai pas d’argent sur moi. Déclare Kendra.

L’homme la regarde. Il est très musclé avec de gros bras. Son jean cache ses jambes, mais Kendra suppose qu’elles sont toutes aussi musclées. De son côté, l’homme est intrigué par Kendra.

- Nous sommes au milieu des bois. Qui a besoin d’argent ici ?

Kendra repousse le sac à dos et commence à se relever.

- Où diable vas-tu ? Questionne t-il.

- Je dois rentrer.

Elle est presque debout.

- Non je ne crois pas. Tu as pris un mauvais chemin. Ton jogging va prendre plus de temps que tu ne le penses.

Il la repousse au sol et commence à ouvrir son sac à dos. Kendra essaie de se débattre, mais il la maintient avec son pied. Elle le voit sortir une fine corde de son sac à dos. Elle a une boule au ventre.

- Viens ici !

Il la soulève par un bras et la traîne jusqu’à un petit arbre à côté. Debout derrière elle, il, lui tire des deux bras en arrière et commence à attacher les poignets ensemble autour de l’arbre. 

- Arrête ! Arrête ! Crie-t-elle en essayant de résister et de s’enfuir.

Le jeune homme reste silencieux jusqu’à ce qu’elle soit fermement attachée. Puis il la contourne pour lui faire face.

- Voilà ! Maintenant, laisse-moi te regarder de plus près.

Ses mains glissent sur les côtés du corps de Kendra et elles s’attardent sur l’extérieur de sa poitrine. Il pousse les deux globes aussi loin que le petit haut serré le permet. Puis il passe ses pouces sur les mamelons.

- Joli ! Soupire-t-il.

Il remonte son haut pour découvrir ses seins et il le laisse tire-bouchonné sur le haut de sa poitrine. Sans rien dire, il lèche un téton avant de le mettre dans sa bouche. Il le suce et le mordille légèrement. Il voit que Kendra se tortille. Il passe plusieurs minutes à travailler sur les seins et il sent sa bite devenir de plus en plus dure.

Puis il baisse les mains et les glisse par-devant à l’intérieur du short.

- Bon sang, tu n’as pas de culotte. Tu es vraiment une pute sexy.

Il pose une main sur sa chatte, un doigt sur son clitoris, puis il se met à lui retirer complètement son short. Il prend son temps pour inspecter son anatomie nue sous toutes les coutures, en particulier l’espace entre ses jambes avec la fine bande de poils menant à son clitoris. Le mouvement suivant surprend Kendra.

Le jeune homme se penche et utilise ses deux mains pour lui écarter les jambes. Kendra le regarde rapprocher son visage, puis tirer la langue et chercher sa petite grotte. Dès qu’il la trouve, sa langue glisse à l’intérieur. Kendra se raidit. Il pousse sa langue et lèche l’intérieur avec une grande précision et habilité. Kendra ne peut retenir un gémissement.

L’homme sort sa langue et titille son clitoris. Encore une fois, elle se raidit. Il la lèche une demi-douzaine de fois et elle sent que son corps réagit. Il met le clitoris entre ses lèvres et le suce. Puis il le met dans sa bouche.

- Oooohhhhhh, arrête ! S’il te plaît, arrête !

Il continue de sucer son clito. Personne ne lui a jamais fait cela aussi habilement, aussi lentement. Son clitoris palpite de manière incontrôlable et inconsciemment Kendra pousse ses hanches vers l’avant. Le jeune homme pose alors ses mains sur ses fesses et la tient fermement contre son visage. Il broute sa chatte avec plus de force.

Kendra pousse des gémissements qu’elle ne reconnaît même pas. Son corps est bouillonnant et la conséquence est simple. Comment peut-elle laisser faire ça ?

Elle crie alors qu’elle sent son corps sur le point de céder. 

- Dois-je arrêter ? Demande-t-il sur un ton moqueur.

Kendra manque de crier de frustration, mais elle arrive à se retenir.

Il la lèche encore pendant quinze secondes, puis sent son corps trembler. Il demande :

- Maintenant ? Est-ce que j’arrête ?

Kendra a envie de pleurer.

- Non.

- Hein quoi ?

Elle ne sent plus sa langue. Son clitoris pulse sauvagement. 

- Encore… Murmure Kendra.

- Encore quoi ?

- Lèche-moi… Encore…

- Jusqu’à ?

- Jusqu’à ce que je jouisse…

L’homme enfouit sa tête dans la chatte une dernière fois. Il attaque le clitoris avec sa langue et kendra se prépare à jouir. Il poignarde son intimité avec son appendice et cette fois-ci elle crie.

Il y a de l’écho dans les bois alors que l’orgasme de Kendra éclate et la submerge pendant la minute suivante alors qu’il continue à la lécher. Elle se débat contre son visage et l’arbre derrière elle, tirant sur la corde à chaque nouvelle vague d’extase.

Puis sans prévenir il recule. Kendra le regarde avec désespoir alors qu’il baisse son pantalon, pose sa grosse bite à l’entrée de sa chatte, et s’enfonce violemment en elle. Kendra hurle une fois de plus alors que sa jouissance redémarre. Plus il la baise fort, plus elle jouit.

Sans vraiment s’en rendre compte, elle enroule ses jambes autour de sa taille pour accentuer chaque coup de rein qui plonge sa bite dans son sexe. Bien plus vite qu’elle espérait, il jouit lui aussi. Les mains posées sous ses fesses, il éjacule abondamment. Il pousse lentement sa queue en elle puis accélère le mouvement pour la baiser rapidement et la faire jouir à nouveau.

Puis il se retire. La sueur coule sur leurs deux fronts, même dans le froid du matin. Ils reprennent leur souffle.

- Bon j’arrête ! As-tu joui ? Dit-il.

- Va te faire foutre !

Il rit et ramasse son sac à dos après s’être habillé.

- Je dois continuer mon chemin maintenant. Je pense que tu seras capable de te détacher avec un peu d’effort. Bon jogging !

Kendra commence à libérer ses mains en le regardant s’éloigner.

 *****

Kendra remercie chaleureusement la femme qui s’est arrêtée pour la prendre sur la route de campagne et l’a reconduite chez elle. Kendra sait qu’elle ne doit ressembler à rien et elle est contente que cette femme fasse ce long trajet pour l’aider. Maintenant elle est à la maison.

- Maman ? C’est toi ? Entend-elle crier Jeff.

- Jeff, nous devons parler !

FIN.