Traduction d’un texte de DontScream.
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Même avec le soleil bas dans le ciel, il fait une chaleur étouffante. Jeff se demande pourquoi sa mère insiste pour faire du jogging par un temps comme celui-ci. Les quelques fois où il l’avait questionnée, la réponse était toujours la même :
- Parce que je ne veux pas paraître vieille !
A dix-huit ans, Jeff ne comprend pas trop. Pourquoi s’imposer cela, pense-t-il. Est-ce si important pour une femme de trente-huit ans de paraître dix ans plus jeune ? Même s’il ne peut pas comprendre la logique de sa mère, il peut quand même apprécier le résultat. Sa mère est une femme incroyablement sexy pour son âge. Il se sent souvent honteux en pensant que si c’était la mère d’un de ses amis, il serait content de passer du temps au lit avec elle.
Jeff n’arrête pas de zapper sur la télévision, incapable de trouver une chaîne avec un programme qui l’intéresse. Une partie du problème est que son esprit est ailleurs pour le moment. Son habitude du jeu d’argent l’a rattrapé. Et il vient de perdre un gros pari, si bien qu’il doit plus d’argent qu’il ne possède. Les conséquences l’effraient.
Les hommes avec qui il a parié sont tous plus âgés que lui. Leur travail est la prise de paris dans les jeux de hasard un peu illégaux. Généralement ils ne sont pas tendres avec les « gamins » qui veulent parier comme des grands sans prendre au sérieux le paiement de leurs dettes.
Mais Jeff est conscient de sa dette. Seulement il n’a pas l’argent. Il tressaille en entendant la sonnette de la porte d’entrée. Ça ne peut pas être sa mère qui revient de son jogging, car généralement elle entre par le garage. Jeff se dirige vers la porte avec beaucoup d’inquiétude.
Quand il ouvre, il a l’impression que son cœur va s’arrêter de battre. Devant lui se trouvent deux gars qu’il connaît que sous le nom de Marco et Danny. Ce sont les deux visages qu’il avait envie de moins voir dans les circonstances actuelles.
- Salut les gars ! Dit Jeff.
- Salut Jeff ! Répond Marco en entrant dans la maison sans être invité.
Danny le suit.
- Quoi de neuf ? Demande Jeff en refermant la porte.
- Le temps est passé. Tu es seul ? Dit Marc d’une voix grave.
- Ouais.
Jeff ne veut pas parler de sa mère à ces deux gars.
- Dommage. J’ai entendu dire que ta mère était une vraie bombe. Ce n’est pas vrai ? Dit Marco.
- Qu’est-ce que vous voulez ? Demande Jeff en lui lançant un regard noir.
- Nous voulons l’argent, mon bon Jeff.
- Je l’aurai ce week-end. Déclare Jeff avec autant de conviction qu’il peut mettre dans sa voix.
- Trop tard. Ils le veulent maintenant.
- Je ne l’ai pas. Je l’aurai ce week-end.
Marco regarde autour de lui et voit les meubles de luxe dans cette grande maison. Pour lui, il semble bizarre qu’un gars vivant dans un tel luxe ne puisse pas payer ses dettes de jeu. Des années dans la misère reviennent à l’esprit de Marco.
Sans avertissement, il se retourne et donne un violent coup de poing dans le ventre de Jeff. Le jeune homme lutte pour reprendre son souffle et trébuche en arrière. Danny se place derrière lui et saisit ses bras. Avant que Jeff ne puisse reprendre ses esprits, deux coups de poing atterrissent sur son visage.
- Je te dis que ce week-end c’est trop tard ! Grogne Marco le visage rouge de rage.
La douleur assombrit la capacité de réflexion de Jeff. Il arrive à balbutier :
- Je te promets pour ce week-end.
Marco décoche un autre coup de poing juste en dessous de la cage thoracique du jeune homme.
- Je m’en fous des promesses…
Avant que Marco ne puisse finir, ils entendent tous le claquement d’une porte à l’intérieur de la maison. Un bruit de pas est suivi d’une voix féminine criant :
- Jeff ?
- Maman ! N’entre pas… Crie Jeff avant que Danny ne mette sa main sur sa bouche.
Kendra Collins entre dans son salon et se fige. Son instinct maternel prend le dessus et elle se concentre plus sur le sang qui coule du nez de son fils que des deux hommes avec lui.
- Jeff, que se passe-t-il ?
- Alors c’est donc maman ! Dit Marco avec plus de délicatesse qu’il avait parlé auparavant.
Marco et Danny regarde et détaille rapidement la femme devant eux. Elle a de longs cheveux auburn clairs avec des mèches encore plus claires. Ils sont tirés en arrière, mais quelques mèches sur son front sont collées par la transpiration. Son haut de jogging moulant n’est rien de plus qu’un soutien-gorge de sport. La transpiration scintille dans son ample décolleté. Son ventre plat dément son âge et le short moulant conduit à une paire de jambes sans défaut. Kendra est un spectacle impressionnant pour ces deux brutes peu habitués aux jolies choses.
- Sortez de chez moi ! Ordonne-t-elle.
- Mais vous ne savez même pas pourquoi nous sommes ici. Dit Marco.
- Lâchez mon fils et sortez !
- il semble que votre fils ne soit pas un très bon parieur. Ou du moins, il n’est pas doué pour payer ses dettes. Nous sommes ici pour ce qu’il doit. Déclare Marco.
Kendra n’a jamais trop fait attention aux agissements de son fils adolescent. Mais en tant que mère célibataire avec une vie professionnelle bien remplie, elle n’a pas beaucoup de temps. Elle avait bien soupçonné qu’il faisait des trucs qu’elle n’aurait pas approuvés, mais depuis ces dix-huit ans elle l’avait laissé les choses se faire. Elle menace alors :
- je vais appeler la police ! Laissez-le tranquille et sortez ! Ensuite je discuterai avec mon fils en privé et je m’assurerai qu’il paie sa dette.
Marco lève les yeux au ciel.
- J’en ai marre des retards de paiements. Mon patron en a marre des retards de paiement. Nous ne partirons pas sans l’argent.
- Je crains que vous deviez le faire ! Dit Kendra avec un air de défi.
Marco n’est pas du genre à recevoir des ordres d’une femme. Kendra n’est pas du genre à laisser les hommes lui marcher dessus. Mais si l’affaire consistait en une bataille muscle contre cerveau, Kendra serait la perdante.
Marco fait deux grands pas vers elle. Elle recule puis se retourne. Mais un pas plus tard, il la tient par le bras. Il la fait pivoter et la plaque contre un mur. Il gronde :
- Ecoute-moi salope ! Nous sommes venus pour récupérer une dette. Nous partons d’ici avec de l’argent ou quelque chose de valeur équivalente.
Il presse son corps contre le sien, utilisant son avantage de muscle. Il hésite pourtant un instant à la sensation de ce corps féminin. Puis il enfonce son entrejambe contre elle.
- Peut-être que l’argent n’est pas la seule solution après tout. Dit-il calmement.
Jeff et Kendra se débattent en vain dans les bras des hommes payés pour bousculer les mauvais payeurs.
- Lâche-la connard ! Aboie Jeff.
Marco sourit sans même se retourner vers le gamin. Un de ses mains tient fermement Kendra contre le mur tandis que l’autre commence l’exploration de son corps. Il caresse sa peau nue avant de faire glisser sa main sur le haut. Il laisse son pouce parcourir le bas de sa poitrine avant de serrer un sein.
- Peut-être pouvons-nous négocier ? Dit-il.
- Sûrement pas ! Répond rapidement Kendra.
Il la gifle si vite qu’elle ne peut l’éviter. Kendra crie et essaie de donner un coup de pied, mais l’homme a tout prévu. Il coince ses deux jambes avec les siennes et d’une main il attrape ses deux poignets pour le lever et le tenir juste au-dessus de sa tête.
- Ne te moque pas de moi, salope. Tu ne veux sûrement pas que je me fâche. Suis mes ordres et vous serez peut-être encore vivant demain. Compris ?
Kendra se contente de le regarder.
- COMPRIS ? Crie Marco.
Elle acquiesce.
- Est-ce que tu vas nous donner l’argent ? Demande-t-il.
La gorge de Kendra est presque trop sèche pour qu’elle puisse parler.
- Combien ?
- Cinq mille cinq cents.
Son cœur se serre.
- Je ne peux pas tout de suite.
Elle voit le dégoût sur le visage de l’homme.
- Si j’entends « ce week-end » une fois de plus, je vais vraiment blesser quelqu’un. Maintenant veux-tu bien reconsidérer ta réponse ?
- je n’ai pas cet argent, là, aujourd’hui.
Le sexe de Marco commence à réagir aux frottements contre la femme. Il regarde son visage et son corps en sueur. Il s’aperçoit que ses mamelons repoussent le tissu fin et humide de son haut. Il déclare alors :
- Alors j’ai bien peur que nous devions passer au plan B. De quel côté est ta chambre ?
Kendra est prête à fondre en larmes.
- J’ai dit que je vous paierai, mais je ne peux pas le faire aujourd’hui.
Marco l’arrache du mur.
- Quel côté ?
Kendra montre de la tête l’escalier qui monte à l’étage.
- Prends le gamin et suis-nous ! Dit Marco à Danny.
L’homme pousse Kendra dans la direction des escaliers. Il ne quitte pas des yeux ses fesses rondes alors qu’ils montent les marches. Kendra les conduit jusqu’à la porte de sa chambre.
- Où est la plus grande douche ?
- Là !
- Allons-y ! Commande-t-il.
- Non ! Je ne vais pas vous laisser… Commence à dire la mère de famille.
Marco la saisit par le bras et la jette violemment sur le lit. Kendra tente de se lever rapidement, mais il est déjà sur elle.
- Est-ce que tu veux que je te viole ici, juste devant ton fils ?
- Je vous ai dit…
Il la gifle et dit :
- Je t’ai dit de nous emmener à la douche ! Maintenant fais-le !
Il la soulève du lit et elle trébuche vers la salle de bain principale avec les deux hommes et son fils derrière elle. Elle entre dans la pièce en marbre où se trouvent des zones séparées entre la baignoire jacuzzi, les toilettes, les lavabos et la douche. Marco lui ordonne :
- Enlève tes vêtements !
Kendra est brisée. Elle sait que la désobéissance pourrait avoir, à partir de maintenant, des conséquences désastreuses pour Jeff et elle. Tous les yeux sont rivés sur elle en attente de ce qu’elle allait faire.
Avec des mains tremblantes, elle saisit les côtés de son haut noir. Ses pouces glissent à l’intérieur et elle commence à le relever. La bande élastique du bas glisse sur ses seins. Elle lève les bars pour enlever son haut.
A trente-huit ans, sa poitrine n’a plus la même fermeté qu’à vingt-huit ans, mais la taille et la forme rendrait beaucoup de femmes envieuses. Même les bras baissés, les seins ne tombent pas restent dressés comme ceux d’une adolescente. Jeff ne veut pas établir un contact visuel avec sa mère, et il ne veut pas non plus regarder sa poitrine, alors il détourne le regard. Kendra fait une pause.
- Je t’ai dit de te foutre à poil ! Dit Marco.
Lorsque qu’elle baisse son short, il est évident qu’elle ne porte pas de culotte. Sa chatte apparaît rapidement et les hommes peuvent voir qu’elle est soigneusement taillée. Le short tombe sur le sol et Kendra lève les jambes pour en sortir. Elle se tient debout devant la douche, les jambes fermement serrées ensemble. La vue est pourtant magnifique.
- Tu as un putain de joli corps. Tourne-toi ! Ordonne Marco.
Kendra aurait aimé pouvoir encore plus serrer ses jambes. Le résultat est que ses fesses sont aussi serrées. Et le spectacle est agréable à regarder pour les hommes. Ils la détaillent avec plaisir.
- Merde Danny, as-tu déjà vu quelque chose comme ça ?
- Non, jamais en vrai ! Répond l’autre homme.
- Hé bien maman, tu es bien faite. Maintenant, ouvre l’eau et passe sous la douche. Tu vas te laver et nous allons regarder. Dit Marco.
Cette douche est très grande, avec trois murs sur les côtés. Kendra enjambe la marche en marbre surélevée et règle la température de l’eau. Quelques secondes plus tard tout est prêt. Marco et Danny prennent les meilleurs poste d’observation tandis que Jeff se tient à proximité, également à la vue de sa mère, mais bloqué pour sortir par Danny.
Ils regardent Kendra mettre la tête sous l’eau. Celle-ci coule le long de son corps en un flot constant, elle dégouline sur ses mamelons et entre ses jambes. Les trois hommes sentent le même picotement dans leur bite alors que Kendra commence à se laver les cheveux. La mousse du shampoing coule sur ses épaules et sur sa poitrine avant d’être rincée. Ensuite, Kendra prend un savon et le mouille.
Volontairement, elle évite de se frotter les seins et la chatte. Marco attend qu’elle est l’ait d’avoir fini avant de dire d’une voix autoritaire :
- Lave tes seins et ta chatte !
Les hommes commencent à avoir une forte érection qui pousse à l’intérieur de leur pantalon au moment où elle fait glisser le savon sur le reste de son corps. Puis Kendra regarde Marco qui lui dit de fermer l’eau et de sortir.
- Sèche-toi ! Dit-il avec un sourire narquois.
Même si Kendra est heureuse d’avoir quelque chose pour se couvrir partiellement, elle sait qu’ils sont toujours excités. Cet exercice humiliant lui a fait perdre toute volonté de se battre. Et l’embarras de devoir faire cela devant son fils est accablant. Marco déclare alors :
- Danny, je parie que tu bandes comme un taureau ? Pourquoi ne lui montres-tu pas, partenaire ?
Danny baisse sa braguette et extrait sa bite semi-dure avec une tête bulbeuse menaçante.
- Je crois que j’ai besoin d’aide. Dit l’homme.
- Assieds-toi sur les toilettes, Danny. Tu as entendu maman ? Utilise donc ta bouche pour rendre la queue de mon ami bien dur ! Ordonne Marco.
- Vous ne m’avez pas assez humiliée comme ça ? Demande Kendra, de l’exaspération évidente dans sa voix.
- Bien sûr que non, nous commençons à peine. Maintenant mets-toi à genoux et suce cette bite, salope !
Kendra étale sa serviette sur le sol pour protéger ses genoux. Elle se place entre les jambes de Danny et regarde sa bite. Elle sait qu’elle ne peut pas refuser, mais elle prend son temps. Pendant ce temps, les hommes regardent sa poitrine pendre et ses fesses s’arrondit délicieusement alors qu’elle se penche. Jeff essaie de faire en sorte de ne plus bander, mais le corps magnifique de sa mère ferait bander n’importe quel homme, même son fils.
Ils la regardent tous soulever la bite et glisser le gland entre ses lèvres. Danny met sa main derrière sa tête et la force à avaler son membre. Celui-ci disparaît bientôt entièrement dans la bouche de la mère de famille. Marco l’encourage :
- C’est ça maman. Maintenant suce-le comme tu le fais avec tous les hommes.
Puis une minute plus tard, il dit :
- Oh, attends Danny ! Donne-moi les menottes !
La bite sortie de la bouche de Kendra pendant un instant, Danny fouille la poche arrière de son pantalon et lance une paire de menottes à Marco. Puis il tire de nouveau la tête féminine sur son érection.
- Viens ici gamin ! Ordonne Marco à Jeff.
Un instant plus tard, le garçon est menotté à l’une des poignées de l’armoire de salle de bain.
Ils portent leur attention sur Kendra dont la tête monte et descend sur la bite de Danny. Sa queue est maintenant complètement debout et la mère de famille a du mal à tout faire entrer dans sa bouche. Mais avec l’aide de l’homme qui appuie sur sa tête, elle arrive à le sucer jusqu’aux couilles.
Marco observe un moment avant de se placer derrière elle. Il fait courir ses doigts sur ses fesses et lui gifle légèrement le cul. Puis il la prend à la taille et lui dit :
- Lève-toi, mais continue de sucer !
Kendra obéit et se lève, restant penchée à la taille pour garder la bite de Danny dans sa bouche. Au moment où elle est prête, Marco sort son énorme bite. Jeff ne peut que regarder avec colère un étranger prêt à baiser sa mère par-derrière. Kendra, sentant ce qu’il va se passer, pose ses mains sur les genoux de Danny pour se tenir.
Marco a la plus grosse bite que Jeff ait jamais vue, y compris celles des sites porno sur internet qu’il visite en cachette de sa mère. Il est content qu’elle ne puisse la voir. Mais il sait très bien qu’elle va bientôt la sentir.
- Tiens-toi prête, salope. C’est ce que les gens obtiennent quand ils nous énervent moi et mon patron ! Déclare Marco.
Il laisse sa bite tomber sur son cul avant de la faire glisser le long de sa fente entre ses jambes.
- Écarte ! Ordonne-t-il.
Kendra écarte ses pieds et Jeff peut voir sa chatte maintenant disponible pour l’homme. Mais est-ce là sa destination. Le jeune homme frissonne à l’idée de l’autre alternative.
Mais le gland de Marco se positionne à l’entrée de la chatte. Kendra tressaille. Il la prend par les hanches et s’enfonce soudainement et violemment en elle.
- OHHHHH mon Dieu ! Crie Kendra.
- Ta gueule et suce la bite ! Répond Marco.
Un autre coup de rein vicieux la fait presque tomber sur Danny. Marco la baise avec des coups rapides qui pousse son corps sur son cul bruyamment.
La scène continue pendant quelques minutes sans interruption. Marco a saisi les seins de la mère de famille pendant qu’il la baise. Danny s’approche de plus en plus de l’éjaculation.
Celui-ci a déjà eu droit à de nombreuses fellations par des femmes ou filles de ses victimes. Certaines sont des expertes. Mais Kendra s’avère être dans une catégorie à part. Sa langue est efficace et la pression de ses lèvres est parfaite. Le rythme de sa tête qui oscille n’est ni trop rapide, ni trop lent. Elle a réussi à faire monter la pression en un temps record.
Sans avertissement à part quelques gémissements profonds, Danny commence à gicler son foutre dans la bouche de la maman.
- Oh oui putain ! Ouiii ! Dit-il au rythme des jets de sperme.
Le foutre s’accumule autour de la bite et sur les lèvres de Kendra. Il coule sur son menton alors que l’homme continue à gicler. Elle se dit qu’il ne va jamais s’arrêter de jouir.
Pendant ce temps, Marco apprécie la chatte extrêmement serrée qu’il pilonne. Normalement il préfère les femmes plus jeunes, mais au chaud dans cette chatte il se dit que les vieilles c’est pas mal aussi.
Puis il laisse échapper un grognement et une bonne quantité de sperme envahit la chatte de Kendra. L’homme frappe son cul à chaque coup de rein. Et chaque poussée indique encore plus de sperme.
Kendra est heureuse que ça se termine pour deux raisons : La première est qu’elle ne peut plus avaler de sperme de Danny et la seconde est qu’elle était proche de l’orgasme. Et elle s’était convaincue qu’elle ne devait pas jouir.
En fait les deux hommes ont terminé avant qu’elle ne s’en soucie . Dès que Marco s’est retiré et lui a giflé le cul, elle s’est penchée pour permettre à la bite de Danny de sortir de sa bouche. Elle a du foutre sur le visage, le menton, le cou et ses cuisses. Marco remet sa bite dans son pantalon et dit :
- Je t’avais dit que c’était une pute.
- Super habile avec sa langue ! Ajoute Danny en souriant.
- Va t’habiller salope, nous avons un petit voyage à faire. Déclare Marco.
Kendra sent son corps se tendre sur ces mots. Elle avait espéré qu’ils avaient terminé. Que veulent-ils leur faire de plus à elle et à son fils ?
- Occupe-toi du gamin Danny, enlève-lui les menottes, j’accompagne sa mère. Dit Marco.
Il conduit Kendra dans la chambre et la force à trouver une tenue de jogging identique à celle qu’elle portait plus tôt. Le haut et le short sont de couleurs différentes, mais sinon il s’agit des mêmes vêtements. Une fois qu’elle est habillée, ils descendent l’escalier, sortent par le garage et s’entassent tous dans la voiture de Marco.
Après trente minutes de trajet il fait nuit. Jeff est encore menotté sur le siège passager à côté de Marco qui conduit. Danny et Kendra se partagent la banquette arrière. Danny est gentil, ne la touchant pas malgré son décolleté et ses cuisses nues.
Mais au bout d’une demi-heure, il n’en peut plus. Il tapote la jambe de la mère de famille pour attirer son attention.
- Enlève ton short ! Dit-il à voix basse.
- Quoi ? Demande Kendra, surprise.
- Enlève ton short !
Son regard lui fait comprendre qu’il est sérieux, alors elle baisse son short sur ses pieds. En même temps, Danny sort sa bite. Marco regarde dans le rétroviseur et sourit. Jeff jette un bref coup d’œil en arrière, puis se détourne rapidement.
Danny se branle pendant un moment pour bien bander puis il dit à Kendra :
- Viens ici ! Face à moi !
Elle grimpe maladroitement sur lui et plane au-dessus de ses genoux.
- Mets ma bite dans ta chatte.
Elle se penche pour trouver le membre, puis elle met le gland en place. Danny lui attrape la taille et la tire vers le bas brusquement en même temps qu’il pousse sa queue vers le haut. Kendra halète alors qu’une autre bite se glisse dans son sexe.
Marco les laisse baiser pendant une minute avant de dire :
- Elle est bonne hein ?
- Putain c’est incroyable. On devrait la garder toute la nuit.
- On ne peut pas faire ça. Désolé. Répond Marco.
Kendra doit s’appuyer sur le dossier du siège avant afin de pouvoir accepter la bite de Danny sans douleur. Sa tête se retrouve très près de la tête de son fils. Ils font tout pour ne pas se regarder. Pourtant les bruits sont caractéristiques et Jeff est de plus en plus mal à l’aise de minute en minute.
Mais Kendra a un autre problème. Danny a soulevé son haut et commence à jouer avec ses mamelons dressés. Elle sent que son corps commence à la trahir. La sensation de la bite dans sa chatte et la manipulation de ses seins sensibles la rapprochent d’un orgasme, d’une jouissance qu’elle avait réussi à écarter dans la salle de bain. Sans vraiment s’en rendre compte, elle laisse échapper des gémissements de plaisir.
- Ecoute-la Danny, elle aime ça ! Fais-la jouir ! Dit Marco avec joie.
L’homme la baise encore plus fort et tire sur ses tétons en les serrant jusqu’à ce qu’elle crie. De douleur ou de plaisir, personne ne peut savoir, pas même elle. Au plus profond de son ventre de femme mature, des picotements familiers se propagent à sa chatte. Elle manque de crier dans ses tentatives d’arrêter ce plaisir.
Danny sent son corps réagir et il dit :
- Allez chérie, laisse tomber, laisse-toi aller !
Une larme coule sur son visage quand Kendra s’agrippe aux sièges. Sa respiration accélère et devient irrégulière. Tout le monde dans la voiture sait ce qui se passe. Danny passe son doigt sur son clitoris.
- Non ! Non ! Arrêtez !!
La tête de Kendra repose entre des deux sièges avant tandis que le besoin de jouir la submerge.
- Ne t’arrête pas Danny, ça va être bien ! Insiste Marco.
Danny continue de titiller son clitoris brutalement puis il enfonce sa bite plus profondément en elle. Le jus de Kendra coule et les bruits de succion sont entendus dans toute la voiture.
- Aaaaahhhhhh… Dieu non. Non ! NOOOOOOONNN ! Crie Kendra.
Une dernière caresse sur son clito la pousse à bout.
- OH mon Dieu, oh mon Dieu ! Répète-t-elle encore et encore alors que son orgasme débute.
Après cela, les hommes n’entendent que des gémissements et des mots incompréhensibles tandis que le corps de Kendra cède. Sa tête s’incline en arrière puis retombe en avant dans des démonstrations répétitives de satisfaction alors qu’elle jouit encore et encore. Ses cheveux se balancent d’avant en arrière et semblent plus ébouriffés à chaque nouvelle vague de plaisir.
Alors qu’elle a presque fini, c’est au tout de Danny d’annoncer sa jouissance avec un grognement bruyant. Sa bite décharge du sperme dans le ventre de Kendra alors qu’il la tient en place. Il serre ses seins et peut sentir sa chatte se contacter sur sa bite à chaque pincement de ses mamelons. Et puis tout est fini.
- Sacré gonzesse Une vraie salope qui jouit comme une diablesse. Je pense qu’elle arrivera à s’en sortir quand nous la déposerons. Déclare Marco.
- Vous nous laissez partir ? Demande Kendra d’une voix faible.
- Nous te laisserons partir. Nous devons garder ton fils pour l’assurance d’être payé.
- Que voulez-vous de plus ? N’en ai-je pas fait assez ? Implore Kendra.
- Nous voulons l’argent, salope. Et nous devons donner une leçon à ton fils. Amuse-toi avec nous et nous nous amuserons avec vous.
Marco conduit la voiture sur un chemin sombre à travers de bois épais. Au bout d’un kilomètre il s’arrête.
- Sors ! Dit-il à Kendra.
Elle a remis son short et elle est contente de sortir de la voiture. Danny est juste derrière elle, une main sur son bras.
- Emmène-la au bord du lac ! Et assure-toi qu’elle ne te suive pas au retour. Dit Marco depuis le siège avant.
- J’ai compris. Je reviens dans un instant. Dit Danny.
- Ça va aller Jeff, tout va bien se passer. Dit Kendra à Jeff pour le rassurer et se rassurer elle-même.
Danny conduit la femme jusqu’à un gros quad caché dans les bois. Il lui de s’asseoir derrière lui et de bien s’accrocher.. Une fois qu’il a démarré ils traversent les bois à une vitesse effroyable. Toutes les pensées de Kendra pour s’enfuir sont remplacées par sa peur de tomber du quad.
Dans la voiture, Marco dit à Jeff :
- Nous ne la blesserons pas. Je voulais que tu voies qu’elle allait bien la dernière fois que tu l’as vue. Danny va la déposer et il reviendra. Ta mère va devoir utiliser son cerveau pour s’en sortir. Si tu nous paies, nous irons la chercher.
Jeff regarde silencieusement l’obscurité de la forêt avec une grosse boule au ventre.
****
Kendra entend le quad disparaître au-dessus de la crête, dans les bois. Dans l’obscurité, elle ne peut pas suivre sa piste pour retourner au chemin et à la route empruntés par la voiture. Elle est perdue au bord d’un lac.
Elle frissonne en essayant de prendre des repères. Ses yeux s’habituent à l’obscurité peu à peu. Au loin , de l’autre côté du lac, il lui semble voir des lumières. Elle plisse les yeux et il lui semble distinguer le contour d’une maison ou d’une cabane. Elle se décide à prendre cette direction.
Dix minutes après sa marche autour du lac, elle est sûre qu’il s’agit d’une cabane. Son pouls s’accélère à l’idée d’être secourue. Elle n’a besoin que d’un téléphone et tout ira bien.
Kendra a le souffle court alors qu’elle arrive à la porte de la cabane une demi-heure plus tard. Les marches craquent avant qu’elle frappe.
La porte s’ouvre et la lumière de l’intérieur inonde l’entrée. Un homme d’une quarantaine d’année d’après Kendra la regarde avec surprise. Kendra reprend son souffle et dit :
- J’ai besoin d’aide ! Auriez-vous un téléphone que je peux utiliser ?
L’homme continue de détailler la jolie femme en tenue de course. C’est bien la dernière chose qu’il s’attendait à trouver à sa porte.
- Ma petite dame, voyez-vous de l’électricité dans cette cabane. Nous utilisons le gaz pour tout. Et nous n’avons pas le téléphone. Déclare-t-il.
- Peut-être un portable alors ? Demande Kendra.
- Nous venons ici pour pêcher et nous éloigner de la ville. Désolé, pas de portable. Mais vous pouvez entrer et nous discuterons.
Kendra entre. Elle se dit que c’est toujours mieux que de retourner dans les bois, la nuit et seule. Elle voit un deuxième homme, à peu près du même âge que le premier, assis près de la table dans la cuisine. Un petit salon près d’une cheminée est la seule autre pièce visible. Toutefois, le couloir mène vraisemblablement à une chambre et une salle de bain.
- Comment diable êtes-vous arrivée ici ? Demande le premier homme.
-Je… Euhhh je courais et je me suis perdue. Ment Kendra sans grande conviction.
Les deux hommes la regardent avec incrédulité.
- Bah, peu importe. Mais je ne mentais à propos des téléphones. Il n’y a rien ici. L’idée est de s’éloigner un peu de la société. Nous n’apportons rien ici qui peut nous y relier. Explique l’homme.
L’abattement sur le visage de Kendra est palpable. De plus elle se sent de moins en moins rassurée.
- Peut-être que je devrais repartir alors ! Dit-elle.
- Oh je crois que ça serait assez stupide ma petite dame. Entre les ours et les serpents, je ne suis pas sûr que vous tiendrez longtemps dans ces bois. Mieux vaut attendre jusqu’au matin.
- Non, ça va. Je vais tenter ma chance.
Kendra se tourne vers la porte, mais la grosse main de l’homme se pose rapidement sur son poignet.
- Laissez-moi !
- Je ne crois pas. Du moins, pas avant d’avoir mangé quelque chose. Vous savez cuisiner n’est-ce pas ?
Les grands yeux de Kendra reflètent la colère et la peur. Sa lèvre inférieure tremble. L’homme l’entraîne vers la cuisine.
- Je m’appelle Hank et lui c’est Jason. Je ne crois pas que nous nous sommes présentés. Dit-il sèchement.
Comme Kendra ne répond rien, il demande durement :
- Quel est ton nom ?
- Kendra.
- Eh bien Kendra, tu vas nous préparer à dîner. Les poissons sont déjà nettoyés. Tu n’as plus qu’à les faire frire et nous mangerons tous ensemble avant de parler de l’avenir. Ça te va ?
Selon les apparences, ces hommes sont des gars instruits de la classe moyenne supérieure en séjour de pêche. Ils ne sont pas moches, avec leur barbe d’un jour. Leurs vêtements sont soignés, à la limite du luxe. Kendra devine qu’ils ont dû spécialement les acheter pour ce séjour. En tout cas ils sont d’un cran au-dessus de Marco et Danny.
Kendra regarde autour d’elle dans la minuscule cuisine. En plus d’un petit plan de travail et un évier, il n’y a qu’une petite cuisinière avec deux brûleurs à gaz. Elle entend alors Hank déclarer :
- Elle a l’air d’avoir terriblement chaud après sa marche dans les bois. Peut-être qu’elle serait plus à l’aise sans son haut. De plus elle va cuisiner et elle risque de se tâcher.
Jason sourit et regarde les mamelons pointer sous le tissu du petit haut. Il acquiesce et dit :
- Je crois que tu as raison. Enlève ton haut, chérie !
Les péripéties de sa journée défilent dans la tête de Kendra. Elle réfléchit aux options qui s’offrent à elle.
- Écoutez, laissez-moi juste partir et…
- Enlève !
Les deux hommes regardent alors une Kendra résignée qui remonte son haut et expose une fois de plus sa poitrine à des inconnus.
- Putain de merde, je n’aurais jamais pensé voir ça cette semaine ! Dit Jason.
Kendra pose son haut sur le plan de travail et regarde les hommes avec dégoût.
- Où est le poisson ? Demande-t-elle.
Hank se lève et prend les filets enveloppés dans du papier d’aluminium dans une petite glacière près de la porte. Il se dirige vers Kendra et les lui tend.
- Voilà ! Dit-il en posant sa main sur sa poitrine après qu’elle eut pris le poisson.
Kendra tressaille et tente de s’éloigner, mais Hank persiste dans son tripotage. Après avoir tâté les deux seins, il sourit et s’éloigne.
- Jolis et fermes ! Dit-il à Jason.
- Je m’en doute. Répond Jason.
Puis il se déplace vers Kendra et lui dit :
- Laisse-moi te montrer où sont rangées les choses.
Il sort une poêle, de l’huile, de la farine et des allumettes pour allumer le feu. Quand il a fini il se trouve derrière Kendra et il passe ses deux mains de chaque côté pour empoigner ses seins. Il est un peu plus brutal que Hank, mais il ne fait pas mal. Kendra peut sentir sa bite grossir contre son dos.
- Ils sont vraiment chouettes. Maintenant tu peux cuisiner.
Les hommes s’assoient et regarde la femme préparer le repas en ajoutant quelques ingrédients à ce que Jason avait fourni. Bientôt ils mangent tous dans un silence relatif. Kendra évite le contact visuel avec les deux gars, mais elle peut sentir leurs regards sur sa poitrine nue. Le poisson est bon après cette longue et pénible journée, mais Kendra a beaucoup d’appréhensions sur ce qu’il va se passer quand ils auront fini de manger.
Elle n’a pas à attendre longtemps avant de le découvrir.
- Mets simplement la vaisselle dans l’évier pour le moment. Ordonne Jason.
Kendra obéit. Elle est gênée quand elle doit tendre la main pour récupérer les assiettes des deux hommes. Ils ne font pas grand-chose pour l’aider et elle doit laisser pendre ses seins devant leur visage. Quand elle a fini, Jason dit :
- Que dirais-tu d’un petit dessert, Hank ?
Des sourires de connivence sont échangés. Kendra envisage de se précipiter vers la porte arrière qui n’est pas loin. Mais Jason se lève de sa chaise et lui bloque la route. Avec des yeux effrayés, Kendra se recroqueville dans la petite cuisine. Jason tend la main et lui saisit le bras. Il la tire brusquement vers la table vide. Il se place derrière elle et lui dit :
- Mets tes mains sur la table, chérie !
- Non, ne faites pas ça… S’il vous plaît… Supplie Kendra.
- TOUT DE SUITE !
Kendra pose ses deux mains sur la table. Elle se retrouve légèrement courbée à la taille. Puis elle sent des mains sur le haut de son short. Un premier coup sec le descend sous ses fesses. Puis il est retiré complètement.
Hank se penche en arrière sur sa chaise pour regarder. Le sourire sur son visage est vicieux et n’augure rien de bon.
- Écarte tes grandes jambes, voyons voir ta petite chatte ! Demande Jason.
Kendra obéit avec l’aide de l’homme qui a posé ses mains sur ses cuisses.
- Nous sommes dans cette cabane depuis une semaine. La pêche n’a pas été très bonne. Mais il semble que notre situation est sur le point de s’améliorer considérablement. Déclare Jason.
Kendra entend qu’il baisse la fermeture éclair de son pantalon. Quelques secondes plus tard, une bite repose sur son cul. Elle ne peut la voir, mais elle a comme idée qu’elle va bientôt l’avoir en elle. L’homme fait glisser son membre le long de sa raie culière jusqu’à sa chatte. La bite se frotte contre elle et appuie sur son clitoris.
Ce traitement réveille son corps. Heureusement elle est encore humide de sa séance de baise avec Danny dans la voiture. Alors quand Jason pose son gland épais à l’entrée de sa chatte, elle ne ressent pas de douleur comme elle aurait dû normalement.
- Attention chérie, je suis vraiment excité ! Prévient Jason.
Kendra voit Hank sourire juste avant de sentir la longue et grosse bite la pénétrer. Elle s’accroche à la table et crie.
- Je t’avais prévenue. Putain que tu es serrée. Et mouillée, ça va être amusant.
Il commence à la baiser avec des coups de rein rapides profonds qui pousse Kendra à expirer bruyamment. Elle gémit à cause de la fougue de l’homme, mais ses sens sont engourdis par ses précédentes rencontres.
Hank ouvre son pantalon et sort sa bite. Elle est déjà bien droite quand il commence à se branler. Mais Kendra la voit grandir à chaque seconde qui passe. Jason tient ses seins et joue avec ses tétons alors que son bas-ventre claque contre ses fesses à un rythme constant.
- Bouge et suce la bite de ce pauvre Hank ! Ordonne-t-il.
Kendra se repositionne et appuie ses mains sur les jambes de Hank. Puis elle baisse la tête sur son engin alors que Jason repousse sa bite dans sa chatte. La fellation qu’elle prodigue à l’homme n’est sûrement pas la meilleure qu’elle sache faire, mais elle est sûrement mieux que ce à quoi Hank s’attendait en lui ouvrant ce soir.
Quelques gouttes de liquide pré-éjaculatoire coulent sur sa langue.
- Putain Jason ! Je suis déjà prêt à gicler ! Déclare Hank.
- Vas-y mon pote, je suis sûr qu’elle est déjà habituée.
Hank saisit sa tête et pousse plusieurs fois rapidement sa bite vers le haut. Il dit :
- Plus serré ! Suce plus fort !
Kendra serre ses lèvres autour de la queue et elle sent le sperme s’échapper.Hank grogne bruyamment.
- Oh putain oui !!!!
Il pousse encore deux fois en grognant. Kendra sent le liquide chaud et salé frapper le fond de sa gorge. Elle relâche la pression sur la bite, mais celle-ci continue de déverser du foutre dans sa bouche dans un rythme soutenu. Elle essaie d’avaler, mais cela n’a pour effet que de pomper la queue plus fort. Hank jouit encore.
En même temps, Jason tient son cul et la baise avec des signes évidents qu’il va bientôt jouir. Kendra sent bientôt le sperme dans sa chatte. Jason claque son cul, chaque claque indiquant une giclée de foutre supplémentaire. Il attrape ses seins et enfouit sa bite au plus profond. Ils baisent encore une minute, puis Jason se retire, complètement vidé.
Les hommes rangent leur bite, un air de satisfaction sur leur figure.
- Merci pour le repas ! Qu’est-ce qu’on mange au petit-déjeuner ? Dit Jason.
Kendra est trop occupée à retrouver ses vêtements pour lui répondre.
*****
Au milieu de la nuit, alors que les deux hommes sont endormis, Kendra se faufile par la porte d’entrée de la cabane. Les hommes s’attendaient certainement à ce qu’elle parte, peut-être même le voulaient-ils. Il serait plus facile de dire à quiconque les questionnerait qu’elle venait les voir de son plein gré pour être baisée. Sinon pourquoi sortirait-elle dans la nuit dans une tenue de jogging ?
Kendra marche environ deux kilomètres et elle trouve un endroit pour se reposer près d’un chemin en lisière de bois. Elle s’appuie contre un arbre et s’endort en quelques minutes, sans se soucier du froid et de l’humidité de la nuit.
Elle est réveillée par un bruit de pas. Craignant que ce soit Hank ou Jason, ou alors un ours, elle rampe aussi silencieusement que possible dans les bois et se cache derrière un arbre. Le soleil n’est pas encore totalement levé, mais il y a suffisamment de lumière pour distinguer les formes.
Elle voit un homme sur le chemin. Il a l’air jeune, une vingtaine d’années. Il porte un sac à dos, mais aucun autre équipement de chasse ou de pêche. Kendra pense qu’il y a une chance pour qu’il passe sans la remarquer. Mais dans ses efforts de rester bien cacher derrière l’arbre, elle casse une brindille.
Immédiatement il lève les yeux. Kendra essaie de se cacher encore plus, puis elle jette timidement un coup d’œil. Leurs regards se croisent. Kendra se détourne pour courir.
- Hé attends ! Crie l’homme.
Kendra gravit un léger talus et s’aplatit derrière son sommet. Elle entend l’homme courir derrière elle.
- Arrête ! Crie-t-il encore.
Sans se retourner, Kendra continue de courir pour mettre de l’espace entre eux deux. Elle saute par-dessus des bûches d’arbres et à travers des buissons épais. Elle égratigne ses jambes, mais elle court vite. Elle approche d’une petite clairière.
C’est à ce moment que Kendra est prise par surprise. Elle tombe au sol et roule sur le côté. Ses pieds sont enchevêtrés dans les sangles d’un sac à dos. L’homme l’a jeté sur elle et elle s’est prise les pieds dedans. La seconde suivante, il est au-dessus d’elle et la regarde.
- Tu ne m’as pas écouté ! Dit-il, essoufflé.
- Laissez-moi tranquille ! Dit Kendra avec colère, en sachant très bien que sa volonté ne sera sûrement pas respectée.
- Pourquoi ? Qu’est-ce que tu fous là ?
- Du jogging.
Le jeune homme a un rire moqueur.
- Ouais c’est ça. Et moi je cherche le yéti.
- Je n’ai pas d’argent sur moi. Déclare Kendra.
L’homme la regarde. Il est très musclé avec de gros bras. Son jean cache ses jambes, mais Kendra suppose qu’elles sont toutes aussi musclées. De son côté, l’homme est intrigué par Kendra.
- Nous sommes au milieu des bois. Qui a besoin d’argent ici ?
Kendra repousse le sac à dos et commence à se relever.
- Où diable vas-tu ? Questionne t-il.
- Je dois rentrer.
Elle est presque debout.
- Non je ne crois pas. Tu as pris un mauvais chemin. Ton jogging va prendre plus de temps que tu ne le penses.
Il la repousse au sol et commence à ouvrir son sac à dos. Kendra essaie de se débattre, mais il la maintient avec son pied. Elle le voit sortir une fine corde de son sac à dos. Elle a une boule au ventre.
- Viens ici !
Il la soulève par un bras et la traîne jusqu’à un petit arbre à côté. Debout derrière elle, il, lui tire des deux bras en arrière et commence à attacher les poignets ensemble autour de l’arbre.
- Arrête ! Arrête ! Crie-t-elle en essayant de résister et de s’enfuir.
Le jeune homme reste silencieux jusqu’à ce qu’elle soit fermement attachée. Puis il la contourne pour lui faire face.
- Voilà ! Maintenant, laisse-moi te regarder de plus près.
Ses mains glissent sur les côtés du corps de Kendra et elles s’attardent sur l’extérieur de sa poitrine. Il pousse les deux globes aussi loin que le petit haut serré le permet. Puis il passe ses pouces sur les mamelons.
- Joli ! Soupire-t-il.
Il remonte son haut pour découvrir ses seins et il le laisse tire-bouchonné sur le haut de sa poitrine. Sans rien dire, il lèche un téton avant de le mettre dans sa bouche. Il le suce et le mordille légèrement. Il voit que Kendra se tortille. Il passe plusieurs minutes à travailler sur les seins et il sent sa bite devenir de plus en plus dure.
Puis il baisse les mains et les glisse par-devant à l’intérieur du short.
- Bon sang, tu n’as pas de culotte. Tu es vraiment une pute sexy.
Il pose une main sur sa chatte, un doigt sur son clitoris, puis il se met à lui retirer complètement son short. Il prend son temps pour inspecter son anatomie nue sous toutes les coutures, en particulier l’espace entre ses jambes avec la fine bande de poils menant à son clitoris. Le mouvement suivant surprend Kendra.
Le jeune homme se penche et utilise ses deux mains pour lui écarter les jambes. Kendra le regarde rapprocher son visage, puis tirer la langue et chercher sa petite grotte. Dès qu’il la trouve, sa langue glisse à l’intérieur. Kendra se raidit. Il pousse sa langue et lèche l’intérieur avec une grande précision et habilité. Kendra ne peut retenir un gémissement.
L’homme sort sa langue et titille son clitoris. Encore une fois, elle se raidit. Il la lèche une demi-douzaine de fois et elle sent que son corps réagit. Il met le clitoris entre ses lèvres et le suce. Puis il le met dans sa bouche.
- Oooohhhhhh, arrête ! S’il te plaît, arrête !
Il continue de sucer son clito. Personne ne lui a jamais fait cela aussi habilement, aussi lentement. Son clitoris palpite de manière incontrôlable et inconsciemment Kendra pousse ses hanches vers l’avant. Le jeune homme pose alors ses mains sur ses fesses et la tient fermement contre son visage. Il broute sa chatte avec plus de force.
Kendra pousse des gémissements qu’elle ne reconnaît même pas. Son corps est bouillonnant et la conséquence est simple. Comment peut-elle laisser faire ça ?
Elle crie alors qu’elle sent son corps sur le point de céder.
- Dois-je arrêter ? Demande-t-il sur un ton moqueur.
Kendra manque de crier de frustration, mais elle arrive à se retenir.
Il la lèche encore pendant quinze secondes, puis sent son corps trembler. Il demande :
- Maintenant ? Est-ce que j’arrête ?
Kendra a envie de pleurer.
- Non.
- Hein quoi ?
Elle ne sent plus sa langue. Son clitoris pulse sauvagement.
- Encore… Murmure Kendra.
- Encore quoi ?
- Lèche-moi… Encore…
- Jusqu’à ?
- Jusqu’à ce que je jouisse…
L’homme enfouit sa tête dans la chatte une dernière fois. Il attaque le clitoris avec sa langue et kendra se prépare à jouir. Il poignarde son intimité avec son appendice et cette fois-ci elle crie.
Il y a de l’écho dans les bois alors que l’orgasme de Kendra éclate et la submerge pendant la minute suivante alors qu’il continue à la lécher. Elle se débat contre son visage et l’arbre derrière elle, tirant sur la corde à chaque nouvelle vague d’extase.
Puis sans prévenir il recule. Kendra le regarde avec désespoir alors qu’il baisse son pantalon, pose sa grosse bite à l’entrée de sa chatte, et s’enfonce violemment en elle. Kendra hurle une fois de plus alors que sa jouissance redémarre. Plus il la baise fort, plus elle jouit.
Sans vraiment s’en rendre compte, elle enroule ses jambes autour de sa taille pour accentuer chaque coup de rein qui plonge sa bite dans son sexe. Bien plus vite qu’elle espérait, il jouit lui aussi. Les mains posées sous ses fesses, il éjacule abondamment. Il pousse lentement sa queue en elle puis accélère le mouvement pour la baiser rapidement et la faire jouir à nouveau.
Puis il se retire. La sueur coule sur leurs deux fronts, même dans le froid du matin. Ils reprennent leur souffle.
- Bon j’arrête ! As-tu joui ? Dit-il.
- Va te faire foutre !
Il rit et ramasse son sac à dos après s’être habillé.
- Je dois continuer mon chemin maintenant. Je pense que tu seras capable de te détacher avec un peu d’effort. Bon jogging !
Kendra commence à libérer ses mains en le regardant s’éloigner.
*****
Kendra remercie chaleureusement la femme qui s’est arrêtée pour la prendre sur la route de campagne et l’a reconduite chez elle. Kendra sait qu’elle ne doit ressembler à rien et elle est contente que cette femme fasse ce long trajet pour l’aider. Maintenant elle est à la maison.
- Maman ? C’est toi ? Entend-elle crier Jeff.
- Jeff, nous devons parler !
FIN.
J'avoue ne pas comprendre le mot FIN de ce récit. Une suite me paraît être presqu'une obligation. Dommage, ça demarrait bien.
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