dimanche 29 janvier 2023

Un fils qui aurait mieux fait de s’occuper de ses oignons - Ch 02.

  Texte de Lecrapo

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Un garçon qui aime beaucoup sa mère.

Depuis la dernière fois, mes parents sont toujours ensemble et les potes de Nadir ont lâché la grappe à ma mère. Je pensais que la leçon lui aurait suffi mais Sylvie sort toujours et en plus dans la même boite. De toute façon, elle rentre gratuitement car selon les rumeurs, ce serait une femme facile et cela attire les clients. Les patrons l’encouragent même à s’habiller de plus en plus court et lui offre ses consommations la plupart du temps. Cela ne l’a pas aidé à se détacher de la bouteille et cela la rend imprudente et naïve.

Du côté de mon père, je crois qu’il ne veut pas le voir de même qu’il ferme les yeux sur le fait qu’elle boive un peu trop. Les tenues sexy de ma mère ne le dérangent pas trop, car elle s’habille comme ça depuis des années. Mais ce qu’il ignore, c’est que les tenues sexy qu’il voit n’ont rien à voir avec celles qu’elle met pour sortir.

Enfin bref, l’été est arrivé et mes parents décident de partir en vacances en m’y invitant. Je n’avais rien à faire ce mois-ci, car toujours au chômage et ayant rompu avec la sœur de Nadir, je me disais que le camping serait une aubaine pour trouver des nanas. Mais là, pas de terrain de camping mais un de mes oncles nous prêtait sa caravane dans un petit terrain qui lui appartenait près de la mer.

A 28 ans, comme un gros Tanguy, je filai le train à mes parents tout ça pour essayer de me taper une nana à la plage alors que j’aurai pu rester à l’appart et en profiter. Mais ce qui me motiva, c’est sans doute la semaine avant le départ. Ma mère, en vacance pendant un mois, avait picolé un peu histoire de se détendre. Mon père travaillait toujours dans son entreprise (mais il est patron). Donc elle était dans le salon et moi, je regardais du tennis à la télé. Je l’ai vu se verser deux verres et les boire en vitesse. Elle sait que je sais mais comme je dis rien, elle ne se cache pas avec moi. Voilà qu’elle va à sa chambre et au bout de cinq minutes elle m’appelle. Je suis intrigué et j’y vais. C’est là que je tombe sur le cul. Ma mère est en bikini et un bikini noir horriblement court avec une culotte de bain qui ressemble plus à un string.

- Alors tu en penses quoi ?

- C’est chouette mais un peu provoc non ?

Elle me regarde et secoue la tête.

- Tu es bien prude toi !

- Ben, je sais pas, les femmes de ton âge évitent de montrer leurs charmes.

Je savais que ce que je disais était faux et que de plus en plus de femmes proches de la cinquantaine n’hésitent plus à se mettre en valeur.

- De mon âge ? tu me trouves trop vieille ?

Je sens qu’elle le prend mal et en plus, il est clair que ma mère ne fait pas son âge. Elle fait femme la petite quarantaine. Elle a quelques formes, pas très grande, 1m57, mais de très gros seins. Le haut de bikini noir aux bretelles fines les met bien en valeur, voire de façon indécente. Sylvie a des cheveux noirs, des yeux bleus avec un visage sans trop de rides. Sans oublier ses lèvres pulpeuses et naturelles qui donne l’impression qu’elle aurait pu faire carrière dans le porno. Mais là, je commence à me sentir un peu chauffé à la voir comme ça, car même si c’est ma mère, c’est une femme aussi. Ses seins débordent de partout et c’est affolant. Son bikini ressemble plus à des dessous de charme qu’autre chose.

- Non, pas vieille et d’ailleurs tu fais pas ton âge mais un peu délurée.

- Bon ben , je vais mettre mon monokini si tu veux !

- Non, non, m’an, il te va bien ce bikini même très bien, mais je n’ai pas l’habitude de te voir comme ça.

Elle sortit comme ça de la chambre et se servit un autre verre puis se retourna vers moi. Je savais que l’alcool la rendait désinhibée et là, je la vois qui se prend les seins et me dit :

- Et mes seins, tu les trouves comment ?

- Euh, ils sont gros

- Je voudrais faire une opération de chirurgie esthétique tu sais. Je trouve qu’ils tombent.

C’est vrai qu’ils étaient si gros qu’ils ne pouvaient échapper à la loi de la pesanteur mais au moins ils étaient vrais.

- Surtout pas, m’an , ils sont très beaux et bien gros !

- Merci, mon chéri, mais si je te demande ça , c’est parce que ça fait des années qu’on est pas allé à la plage et je ne suis plus sûre de moi.

- Rassure-toi, non seulement tu fais pas tes cinquante ans mais en plus, bien des jeunettes t’envieraient.

Elle me sourit rassurée et se rhabilla. Le soir même, je me branlai comme un fou en repensant à la scène qui venait de se produire. J’avais donc hâte de partir et de voir les réactions des hommes sur la plage, à la vue de ce bikini de fou. Mais avant de partir, coup de théâtre, mon père nous apprend qu’il doit rester jusqu’au mercredi pour son boulot et mieux encore, nous incite à partir tous les deux avant lui. Etonnant mais suspect (des fois qu’il aurait une maîtresse, mais pourrait-on le blâmer ?)

Ceci dit, nous fîmes nos bagages et on y alla. On arriva donc après presque trois heures de route. Il faisait super chaud et j’en pouvais plus. J’étais blasé mais ma mère à peine arrivée se but deux verres de whisky coke qu’elle avait mis dans une glacière bien au frais et elle se mit en bikini. Chaussée de tongues, elle se mit à faire le ménage dans la caravane. Je trouvais son bikini encore plus hard que la première fois et franchement, cela cachait juste l’essentiel. On voyait, ceci dit, la déformation au niveau de l’entrejambe faites par les lèvres de la foufoune de Sylvie et en ce qui concerne les seins, on voyait un tout petit peu le haut des auréoles de ses seins. Elle voulait vraiment se faire remarquer, y’a pas de doute, mais même si j’appréciais, c’était trop, beaucoup trop. 

Puis on dîna. Elle n’avait pas trop bu, ça allait, mais elle était contente. Le lendemain, le jour que j’appréhendais arriva : la plage. Nous somme à à peine deux km à pied. Pour venir, elle avait mis sa grande serviette, des tongues et ses lunettes de soleil donc elle passa plus où moins inaperçue, mais lorsqu’elle alla se baigner, on sentit tout de suite qu’elle devenait le centre d’intérêt. Non seulement à cause de son bikini mais en plus par les atouts honteusement provocants qu’elle mettait en valeur. Ses seins bougeaient de haut en bas et le summum fut atteint lorsqu’en évitant une vague en sautillant, l’un de ses nichons sauta trop haut et se retrouva à l’air. Elle le remit presque aussitôt faussement honteuse. Voilà qu’elle revint toute trempée.

- Pff, tu devrais aller te baigner ?

- Non, je préfère bronzer.

En fait j’avais un peu honte de son exhibition même si j’en éprouvais une certaine fierté. Puis elle fit quelque chose d’inattendu mais logique la connaissant. Elle se mit seins nus. Sa grosse poitrine au soleil, elle s’allongea avec ses lunettes de soleil et se mit à bronzer. Je sentais le regard des hommes la mater et surtout ses seins. Gêné, j’allais piquer une tête, mais je ne pouvais pas détacher mon regard de ses gros seins. Vers 17h00, on rentre non sans passer par un supermarché pour se ravitailler en alcool. La journée avait passé très vite et ma mère était contente de son bronzage. Elle resta en bikini pour mon grand bonheur. Elle siffla quelques verres et se trouva pompette.

- Si on sortait ?

- Moi je suis fatigué m’an ! Demain !

- Eh ben, dire que c’est censé moi la plus âgée et pourtant j’ai plus la forme que toi.

- Tu n’as qu’à y aller, il y’a une boite à quatre ou cinq km d’ici près de la plage.

- Tu crois que je le savais pas.

Elle rigola. C’est vrai que j’aurai dû me douter qu’elle aurait remarqué le truc. Elle fit sa toilette et s’habilla. Enfin s’habiller est un grand mot. Elle avait une mini-jupe à raz les fesses et un tee-shirt blanc moulant et transparent où l’on voyait son soutien-gorge noir. Elle se maquilla . On aurait dit une pute avec ses talons haut, ses cuisses à l’air et ses seins énormes moulés dans le tee-shirt. Elle s’avala un dernier verre et entreprit de prendre la voiture. Je lui pris les clés et malgré son début d’ivresse, je compris qu’elle allait faire une bêtise.

- Je vais t’emmener !

- Merci , mon chéri

Elle m’embrassa. Sur le chemin, elle n’arrêta pas de parler et je fus content de la lâcher devant la porte de la boite. Ça semblait être une boite huppée du moins à l’extérieur. Attifée comme elle était, Ma mère entra gratuitement . Puis je rentrai. Je m’endormis rapidement bien que l’air soit chaud. 

Vers trois heures, ma mère appela avec son portable comme convenu pour que je vienne la chercher. J’entendais la musique derrière elle et elle était bien saoule et festive. Elle me dit qu’on allait la raccompagner un peu plus tard : une bande de jeune à peine plus vieux que moi. Je compris immédiatement ce qui allait arriver. Ma mère, comme à son habitude, allait se faire avoir.

Au bout d’une bonne demi-heure, je décidai d’aller voir ce qu’il en était. J’appelai son portable mais rien. Une fois, deux fois toujours rien. Je pris la voiture. Et à deux km, je remarquai deux voitures garées sur le côté mais sans en faire cas, je continuai vers la boite. Elle était fermée et plus personne. L’instinct peut-être me dit d’aller voir ce qui se passait du côté des véhicules. Je me garai à une bonne centaine de mètres. Puis je décidai d’approcher à pas de loups. J’entendis des rires et un vocabulaire ordurier. En m’approchant des voitures, je vis, près d’un bosquet, un attroupement d’une bonne dizaine de mecs. Je vis tout autour des vêtements répandus de partout. Je reconnus la mini-jupe, le soutien-gorge, le tee-shirt blanc déchiré et les talons haut de ma mère. Ils avaient déjà commencé à s’occuper d’elle. Je reconnus un cri que je ne pourrai décrire comme un cri de plaisir ou d’appel à l’aide. Puis je la vis à poil, maintenue au sol par quatre gars, deux lui écartant les jambes pour offrir son sexe et deux autres lui tenant les bras écartés. Un autre avait sorti sa bite et la secouait devant la bouche de ma mère. Ils riaient en attendant leur tour.

- C’est elle, la bonne femme de la plage qui se dorait la pilule avec son fils ?

- Oui, je la reconnais et matez-moi cette paire !

- Mais quelle pute !

Le gars qui secouait sa bite lui malaxa les seins devant tous le monde. Il le fit de façon bien lente et provocante. Ma mère ne disait rien et semblait même apprécier. Je ne savais pas si elle était consentante ou pas. Elle ne se débattait pas et paraissait calme. Puis elle gémit aux caresses de ses seins. L’homme les lui goba et lécha les tétons.

- Elle est complètement ronde ! On va bien en profiter les gars.

- De toute façon, elle a suffisamment allumé les mecs pour savoir qu’elle était en manque.

Ma mère tenta de dire quelque chose :

- Ramenez-moi s’il vous plaît, mon fils va s’inquiéter.

En guise de réponse, l’homme qui était sur elle lui enfourna son sexe dans la bouche. Elle le suça goulûment tout en étant maintenue à terre. Mais voyant cela, les deux qui lui maintenaient les bras la lâchèrent et sortirent leur sexe en manque. Les deux qui lui tenaient les jambes aussi et tous se mirent autour d’elle et précisément vers son visage pour avoir leur plaisir. Avec 5 bites en érection, elle avait de quoi faire. Elle s’empara d’une queue dans chaque main et se mit à les branler. Sa bouche pompait, pompait, pompait dur et avec un bruit gluant. De là je pouvais entendre sa bouche qui y allait sec.

D’un coup elle se mit à gémir, un des mecs s’était mis à lui lécher le minou. Le mot, c’était bouffer, car à voir l’ardeur avec laquelle il s’acharnait, on avait l’impression qui lui dévorait le sexe. Ma mère gémissait de plus belle tout en pompant dur. Rapidement, elle se mit à mouiller et voyant ça, l’homme sortit sa bite et la pénétra. Les autres lui éjaculèrent dans la bouche et sur le visage. J’avais l’impression d’un film porno dans un bosquet. Ma mère en avait plein le visage et cela fit couler son maquillage. Je la vis s’étaler du sperme sur ses seins tout en gémissant.

Mais voilà que les 5 autres décident d’entrer dans la danse. Celui qui la baisait finit par jouir et, les couilles bien vides, se retira et laissa la place aux autres. Un à un, les hommes la prirent en attendant chacun leur tour. Tout ça se passa rapidement, de la baise d’alcoolique, car bien sûr, ces mecs étaient tout aussi ivre que Sylvie. Ma mère écartait les cuisses et jouissait pendant qu’on la besognait. On avait l’impression d’une succession de lapins en rut, la baisant rapidement mais avec fougue. Ce qui était sûr , c’est que les mecs s’étaient bien vidés et avait pris leur plaisir. Plaisir rapide mais bon, qu’attendre de plus de ce genre de soirée. Avant de partir, l’un des deux lui enfonça lentement une bouteille de bière vide :

-Voilà, un p’tit souvenir, toi qui aimes la bibine !

Deux hommes lui écartèrent les cuisses tandis qu’on lui mettait la bouteille dans le con. Ma mère se laissa faire et l’homme put à loisir s’amuser à la goder devant ses amis dont certains retrouvaient leur vigueur. De temps en temps, Sylvie lâchait un petit cri car visiblement, il semblait s’y connaître dans l’art de masturber une femme avec ce genre d’objet. 

Puis comme si de rien était , ils la laissèrent là en riant, nue, saoule et souillée avec cette bouteille enfoncée dans le sexe. Les voitures démarrèrent et le silence retomba sur le bosquet. Après une bonne demi-heure, il me fallut me résoudre à intervenir. Ma mère s’était endormie du sommeil de l’ivrogne avec sa bouteille dans la chatte. Je rassemblai ses affaires en constatant qu’effectivement son tee-shirt avait été furieusement arraché. Puis je lui ôtai la bouteille. Je la mis dans la voiture et on rentra. 

En la sortant du véhicule, toujours nue, pour la coucher dans la caravane, mon regard s’arrêta sur ses seins qui dégoulinaient encore. Elle avait aussi encore du sperme sur le visage. Je l’essuyai et voilà que je fus pris d’une pulsion perverse. En lui essuyant les seins, je me dis que pourquoi pas tâter la marchandise. Après tout, j’y avais eu droit étant petit. Je me mis donc à jouer avec les seins maternels en les triturant et en m’amusant avec les tétons. Quelle superbe poitrine bien grosse et naturelle. Je les empoignai, les malaxai, les soupèsai. Ma mère dormait et je jouai avec ses deux nichons.

J’avais le sexe bien dur maintenant. Je me mis à caresser son corps en entier : les cuisses , le ventre , le visage. Elle ne remuait toujours pas. Alors, je me dis pourquoi ne pas aller plus loin. Je sortis mon sexe gonflé à bloc et entrepris de me masturber. Mais là, coup de théâtre, ma mère émergea de son sommeil. Je me retrouvai la bite à la main devant elle à poil. Elle était encore bien saoule et ne devait pas se rendre compte qu’elle n’était plus avec ses amants. Elle empoigna mon sexe et commença à le masturber. Puis comme je m’avançai, elle le prit dans sa bouche et j’eus droit, pour mon bonheur, à une pipe magistrale. 

Elle me décalotta et avec sa langue, me lécha le sexe. J’évitai de justesse de me lâcher dans sa bouche. Le plaisir était trop bon, je voulais faire durer. Bien que je la sache à moitié endormie, je m’étonnai de la vigueur avec laquelle elle me pipait. Le plaisir atteignit son paroxysme et au dernier moment, je retirai mon sexe de sa bouche assoiffée. Mais ma gaule étant trop monstrueuse, je voulus aller au terme de cette histoire. Alors je la pris, sans ménagement, la bourrinant comme un sauvage. Elle écarta ses jambes et commença à me dire des insanités. Elle voulait entre autres que je la prenne comme une pute ou que je la défonce comme si c’était une truie. Son vocabulaire m’étonna fortement mais avec de tels encouragements, je ne pouvais qu’en vouloir plus. Je la limai de plus en plus vite, encore et encore, le tout sous les cris de plaisir de cette femme qui dès lors , n’était plus ma mère mais une femme comme les autres.

La caravane devait tanguer tant j’étais excité et l’effet des coups de reins devait fortement faire bouger la caravane. Jamais je n’avais juté autant. Les couilles vidées, crevé, je dus me coucher. Ma mère se rendormit aussi sec, sur sa couchette, toujours à poil. Nous nous sommes réveillés tardivement, vers 13h00. Ma mère avait un terrible mal de crâne à cause de la quantité excessive d’alcool. Elle sortit de la caravane à poil avec seulement des lunettes de soleil, sans-gêne et devant moi. Je fis celui qui était outré.

- Maman, fais attention, si une voiture passe on va te voir !

- C’est vrai ! Cela pourrait choquer !

Elle s’approcha de moi.

- Mais tu sais mon chéri, maintenant, je n’ai plus besoin de me cacher de toi.

- Pardon, mais pourquoi ?

- Tu as oublié hier, moi pas !

Le ciel me tombait sur la tête. Je la croyais ivre, dans les vapes mais non. Elle était bien consciente. Pour justifier le tout, elle posa sa main sur mon maillot. Je me mis à bander comme un fou. Elle extirpa mon sexe et le mis en bouche. Elle me pipa si fort que je crus que mon sexe allait être dévoré. J’en eus limite mal. Je ne pus m’empêcher d’éjaculer dans sa bouche. Elle avala tout. Elle alla ensuite dans la caravane et vida les restes de la bouteille. Chauffée à à peine 13h00 et malgré un horrible mal de crâne, elle me fit un beau sourire et enfila son maillot provoquant. Elle passa devant moi en roulant des fesses et en faisant rebondir ses seins.

- Allez, on va à la plage, maintenant.

Ce fut encore là une chaude et longue journée.

FIN

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