Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.
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Maître X s'intéresse au reste de la famille.
Maître X sourit en appelant Jason MILLER, son ami photographe. Il veut savoir où il en est. Il prévoit de s'occuper de Julie dès que possible. Il souhaite qu'elle soit sur le chemin de l'esclavage lorsqu'elle reviendra chez elle la semaine prochaine. Le téléphone ne sonne que deux fois avant que Jason réponde.
- Salut X, que puis-je faire pour toi?
- Es-tu prêt? Julie vient de recevoir la mauvaise nouvelle qu'elle va avoir besoin d'argent. Es-tu prêt à continuer?
- Tout à Fait, j'ai un studio et les invitations sont prêtes à être envoyées. Tout ce que j'ai besoin c'est que tu me donnes le feu vert. Réponds Jason.
- Bien! Je te tiens au courant. Il faut que je prenne le contrôle de son ordinateur et de son téléphone. Je m'attends à recevoir une notification d'un moment à l'autre. Dit Maître X.
Et au même moment, sa messagerie bipe indiquant que la jeune fille vient de charger la pièce jointe que lui a envoyée sa mère.
- Tiens, je viens de la recevoir. Dit Maître X.
Il lance un programme et prend le contrôle de la webcam de l'ordinateur de Julie. Il la voit assise sur son lit en train de parler au téléphone. Maître X a immédiatement une érection à la pensée d'avoir la jeune fille et sa mère agenouillées devant lui comme des esclaves.
- C'est ok, j'ai ce dont j'ai besoin. Envoie les invitations. Je te tiens au courant. Au fait quel est le nom du studio?
- Je l'ai nommé « Studio de photos classiques ». Répond Jason.
- Excellent! À combien de filles as-tu envoyé l'annonce?
- J'en ai choisi trente, l'équipe de pom-pom girl et celle de volley-ball. Puis à d'autres dont je me suis assuré qu'elle connaisse Julie.
- Super, avertis-moi quand elle se présentera. Dit Maître X avant de raccrocher.
Il reporte son attention sur Julie qui parle encore au téléphone avec une de ses amies. Elle est en train de dire :
- Tu ne vas pas croire ce qui vient de m'arriver. Ma mère vient d'appeler pour me dire que je dois trouver un petit boulot. Je crois que quelque chose est arrivé et que je vais devoir couvrir moi-même mes dépenses du prochain trimestre. Mais je ne sais pas où je vais trouver la somme. Il est trop tard et je ne gagnerai pas assez en travaillant dans un fast-food. Je me demande ce que je vais faire.
Elle écoute une minute avant de dire :
- Je suis foutue. j'espère que je ne devrais pas abandonner mes études.
Elle écoute sa copine alors qu'une larme coule sur sa joue. Et avant qu'elle ne réponde, son ordinateur indique qu'elle vient de recevoir un message. Sans réfléchir, elle l'ouvre. Elle lit et crie dans son téléphone :
- Tu ne vas pas croire ce que je viens de recevoir. On m'invite à faire mannequin. Il y a un studio pas loin qui recherche des mannequins. Le message dit que si je suis choisie, je suis payée 250 $. je dois prendre rendez-vous. Bye.
Elle raccroche et remplit le questionnaire lié au message et l'envoie en joignant une photo.
Jason est surpris de la rapidité avec laquelle il reçoit une réponse de Julie. X est incroyable. Il suit les instructions reçues et prépare une réponse à envoyer dans deux heures.
Julie est très nerveuse, mais elle prie pour avoir de la chance. Le message indiquait qu'ils ne prendraient que trente rendez-vous. Elle espère avoir répondu à temps.
Elle décide de faire ses devoirs et elle essaie de na pas regarder sans cesse si elle est acceptée. Deux heures plus tard, elle reçoit une réponse.
« Julie,
Merci de votre intérêt pour les travaux de notre société. La plupart de nos photos sont destinées à de grands magasins de la région. Mais nous faisons aussi des photos de lingerie pour des catalogues. Si vous êtes toujours intéressée, je suis disponible demain à 8 heures pour vous rencontrer. Tous les rendez-vous ont lieu à Panera Bread sur Main Street. S'il vous plaît répondez-moi dès que possible pour confirmer.
Jason MILLER, photographe »
Julie répond dans la minute qui suit. Elle peut à peine contenir son excitation. Ensuite elle va directement dans son placard pour choisir une tenue.
Julie se réveille deux heures plus tôt le lendemain matin. Elle veut être parfaite. Elle attache ses cheveux et se maquille. Puis elle enfile un haut moulant qui souligne ses gros seins et une jupe courte. Le lieu du rendez-vous n'est qu'à quelques rues de là, elle ne doit pas marcher beaucoup. Quand elle arrive, il y a déjà d'autres filles devant elle. Elle les trouve très jolies et elle devient très nerveuse.
Au moment où c'est son tour, elle tremble et peu à peine parler. Mais lorsque le visage de Jason s'illumine en la voyant, elle commence à se détendre. Ils parlent pendant vingt minutes environ, presque deux fois plus longtemps que les autres filles. Julie se sent très bien quand Jason lui demande :
- Julie, tu me plais. Mais as-tu des photos ou un book à me montrer?
Julie e du mal à respirer et a peur de louper l'entretien. Elle dit franchement :
- Non, je n'ai jamais fait de mannequinat.
- Oh! Il me faut quelque chose pourtant. J'ai une idée, est-ce que tu as du temps aujourd'hui? On peut aller en studio et je peux faire quelques clichés que je te donnerai. Qu'en penses-tu?
Julie saute sur l'occasion et répond presque en criant :
- Oui j'ai le temps. Quand dois-je revenir?
- J'ai encore quelques rendez-vous à passer. Pourquoi ne viendrais-tu pas à cette adresse à 13 heures. Et ne t'inquiète pas pour ce que tu portes. Je suis sûr que nous aurons des choses qui te conviendront. Dit Jason en remettant à Julie une carte avec l'adresse.
- Je serai là! Merci beaucoup! Dit Julie très joyeuse en passant la porte.
Dès qu'elle est hors de vue, Jason envoie un sms à Maître X :
« je l'ai eue. Elle sera au studio cet après-midi ».
Maître X sourit alors que son plan va se concrétiser. Il prend son téléphone et appelle Maurice, un autre ami.
Julie est impatiente. Elle arrive à 12 h 30 au rendez-vous et elle attend de l'autre côté de la rue pour ne pas paraître trop nerveuse. À moins dix, elle ne peut plus patienter alors elle entre dans le studio. Elle est impressionnée par l'équipement et les photos accrochés au mur. Jason sort de derrière le rideau d'un porte et sourit à la jeune fille.
- Julie, tu es à l'heure. Viens t'asseoir et occupons-nous de la paperasse.
Il la conduit vers une table dans un coin et commence à lui passer des formulaires l'un après l'autre. Julie commence à les lire mais après le troisième ou le quatrième, elle se contente juste de l'explication de Jason sur ce qu'elle signe. Quand le dernier formulaire est paraphé, Jason a tout ce qu'il a besoin. Julie vient de signer un contrat de travail de sa société juste créée et elle vient de céder tous ses droits sur les photos et vidéos d'elle et elle autorise les prises à moitié nue ou complètement.
Jason sourit et montre à la jeune fille la salle du fond où se trouvent plusieurs tenues prêtes pour elle. Julie le regarde quitter la pièce et change rapidement de tenue.
Elle porte maintenant une robe très courte qui montre son décolleté et ses jambes. C'est plus osé que ce qu'elle porte normalement, mais ce n'est pas scandaleux. Elle se regarde dans le miroir et sourit. Elle prend plusieurs poses en ayant l'espoir qu'elle n'aura pas trop l'air d'être une amatrice.
Elle entre dans le studio où Jason est prêt et attend. Bientôt il prend photo après photo. Julie commence à se détendre et à prendre plaisir à poser.
Chacune des deux tenues suivantes est plus sexy que la précédente. La deuxième robe est en vinyle et souligne sa poitrine. La dernière est un bikini très sexy.
Au moment où ils finissent, Julie est totalement détendue, rigolant et s'amusant bien. Jason n'arrête pas de la complimenter encore et encore pour flatter son ego. Julie absorbe comme une éponge tous les compliments. Jason lui offre un verre de vin pour célébrer la séance. Pendant l'heure suivante, ils finissent la bouteille de vin et en commence une autre. Quand Julie parle de se changer et d'enlever le bikini, Jason décide de démarrer son plan.
- Julie, je sais, après notre discussion, que vous avez besoin d'argent pour finir vos études. Maintenant, vous êtes en tête pour la séance photo à 250 $ par jour. Mais nous réalisons aussi ici d'autres séances un peu plus érotiques. Habituellement, les séances en bikinis en cuir et en lingerie sexy sont payés 1000 $ par jour. Je sais que vous seriez parfaite.
Jason examine la jeune fille. Il a pu voir ses yeux s'illuminer quand il a dit la somme de 1000 $. il sait qu'elle est un peu ivre, alors il décide que c'est le moment de conclure l'affaire.
- Pour tout te dire, le modèle qui est censé être ici pour ces photos est tombé malade. Et j'ai vraiment besoin de quelqu'un maintenant. Si ça t'intéresse, tu pourras repartir d'ici avec 1000 $. Dit Jason en sortant une pile de billets de 100 $ de sa poche et en la posant sur la table.
Julie prend une profonde respiration et réfléchit à tout ce qu'elle a besoin. Mille dollars couvriront une grosse partie de ses dépenses. Ensuite elle aura juste à faire une ou deux séances à 250 $ pour couvrir tous ses frais du prochain trimestre?
Jason regarde la jeune fille se mordre les lèvres. Il peut presque deviner ses pensées. Il sourit et sort une autre liasse de billets de sa poche. Il compte 500 $ de plus et dit :
- Juste pour cette fois et parce que j'ai vraiment besoin de faire cette séance, je paie 1500 $. Mais nous le faisons tout de suite. Il faut que tu te décides, soit tu prends soit tu pars.
Les yeux de Julie s'agrandissent. Elle sait qu'elle ne pourra pas gagner cet argent ailleurs. Alors elle hoche la tête.
- Génial, commençons!
Jason attrape sa main et la tire de nouveau dans la pièce du fond. Il sort une boite et lui tend un bikini en cuir. En fait, celui-ci la couvre plus que celui qu'elle portait. Le haut lui couvre les seins et se fixe en dessous. Il y un collier en cuir qui entoure son cou. Le bas a des jarretières et les bottes sont sur talons et sont lacées sur ses jambes. Julie rigole mais ne s'inquiète pas. Jason sort de la pièce et Julie s'habille. Bientôt elle entre dans le studio et Jason siffle.
- Tu es fabuleuse Julie, tu es faite pour ça.
Julie rougit, mais se détend rapidement lorsque Jason commence à prendre des photos. Plus il en prend et plus elle se détend et s'amuse à montrer son corps dans une tenue fétichiste. Le photographe continue à la flasher en s'arrêtant parfois pour verser du vin à la jeune femme naïve.
Le bikini suivant en montre beaucoup plus, mais Julie est maintenant saoule et inhibée. Quand elle comprend comment le mettre, elle a quand même une hésitation. Le haut est bien, c'est du cuir noir qui couvre ses seins. Il est couvert d'un réseau de petites chaînes en argent qui le drape. C'est le bas qui la dérange. Ce n'est rien de plus qu'un ensemble de petites chaînes qui passe entre ses jambes et ne cache pas grand-chose. Elle entre lentement dans le studio avec ses mains couvrant son entrejambe.
- Jason, je ne peux pas porter ça. On voit tout. Se plaint Julie.
- Pas de soucis Julie, personne ne le verra. Tu gardes les jambes fermées et tu montes sur ce tabouret. Je te garantis que personne ne pourra voir tes parties intimes.
La jeune femme se dirige lentement vers le tabouret et attend que Jason se retourne avant de monter dessus.
Elle s'assoit et garde les jambes bien fermées. Lorsque le photographe se retourne, il ricane intérieurement sachant qu'il l'a ferré. Il commence à prendre photo après photo. Julie se relaxe à nouveau et recommence à s'amuser.
Une minute après, Jason s'arrête de photographier et s'approche de la sexy Julie presque nue et sort deux paires de menottes. Quand il s'agenouille devant elle, elle commence à protester, mais il est préparé.
- Ne t'inquiète pas, nous sommes que tous les deux et c'est juste quelques photos.
Julie ne semble pas convaincue, mais bientôt ses mains et ses chevilles sont étroitement attachées. L'homme recule et recommence à prendre d'autres photos. Julie se calme et essaie de sourire.
Après quelques minutes, Jason s'approche de nouveau de Julie et lui libère les poignets. Puis il tire ses mains derrière elle et les attache à nouveau. Maintenant Julie est complètement impuissante. Mais Jason n'arrête pas de la complimenter alors Julie reste calme.
A son insu, Maurice entre dans l'atelier par-derrière. Avant qu'elle ne sache qu'il est là, il arrive derrière elle et lui enlève le haut du bikini. Julie ne porte plus que des petites chaînes et des menottes. Elle panique. Elle est presque nue et menottée devant Jason et le plus grand homme noir qu'elle ait jamais vu.
- Laissez-moi partir, je n'étais pas d'accord avec ça. Je ne veux pas le faire, laissez-moi partir. Demande-t-elle.
Jason et Maurice se mettent à rire et le photographe prend plusieurs photos de sa proie effrayée.
C'est là que Julie réalise qu'elle a un problème. Elle commence à crier. Jason n'hésite pas et passe derrière elle. Il attend qu'elle pousse un nouveau cri et lui fourre un bâillon dans la bouche.
Julie est complètement paniquée. Elle est un peu ivre, nue, ligotée et bâillonnée. Elle ne peut que regarder Jason prendre des photos, sans espoir.
La seule chose qu'elle peut faire c'est de garder ses jambes jointes pour garder un semblant de pudeur. Julie est effrayée et essaie de garder le contrôle d'elle-même en regardant l'homme noir sur le côté de la pièce. Il se déshabille et, malgré sa peur, son corps réagit au bel homme noir et musclé qui se dirige vers elle. Son esprit hurle à l'idée d'être violée, mais son corps tremble d'excitation. Plus il se rapproche d'elle, plus son corps la démange.
Il tire Julie du tabouret et la met à genoux. Il se met derrière elle avec sa grosse bite juste à côté de son oreille. Pendant ce temps Jason continue à photographier et la prend en position de soumission devant une queue noire.
Il tire Julie du tabouret et la met à genoux. Il se met derrière elle avec sa grosse bite juste à côté de son oreille. Pendant ce temps Jason continue à photographier et la prend en position de soumission devant une queue noire.
Il baisse les yeux sur son appareil photo et sourit. Il sait exactement quelles photos envoyer à X. Tandis que Maurice joue avec Julie, il charge les photos sur son ordinateur et envoie un paquet d'images à Maître X.
Celui-ci entend son ordinateur indiquer l'arrivée d'un message. Il ouvre sa messagerie et le courrier récent.
Maître X regarde les photos et sourit. C'est si facile. Jessie et ses proches seront la quinzième famille qui sera tombé sous sa coupe. La plupart ne valaient à peine qu'il perde son temps. Mais il y a toujours un marché pour les familles d'esclaves. Même les plus moches ou les plus gros rapportent de l'argent. Avec Jessie et sa fille Julie, il sait qu'il a gagné le gros lot. Même Marcus est un esclave de choix. Maître X s'interroge sur le fils. S'il est comme la famille, ça sera la cerise sur le gâteau.
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Les jours suivants sont flous pour Jessie. Chaque jour Maître John vérifie sa tenue pour aller à l'université. Il la choisit à la limite de la décence. Elle a toujours un plug dans le cul et soit les boules de geisha soit un vibromasseur sans fil dans la chatte. Il ne lui laisse mettre des culottes que pour les lui faire enlever en classe. Chaque fois qu'elle rentre chez elle, elle enlève sa jupe et se masturbe jusqu'à son domicile.
Les deux Maîtres aiment la garder excitée. Ils ne lui laissent pas avoir d'orgasme depuis lundi. La journée d'aujourd'hui va être dure, car tous les jeudis il y a une réunion pour le personnel du département d'histoire. Jessie déteste ces réunions. Il y a toujours Janice WILSON qu'elle déteste. Et aujourd'hui, juste avant ce groupe de travail, Janice prend à part Jessie pour exercer son emprise sur elle.
- Eh bien salope, je vois que tu dois jouer à plus qu'un petit jeu. Tu ressembles à une pute. J'aime tes talons hauts et tes tenues de chienne. Murmure Janice en la poussant dans un placard de rangement.
Jessie a le souffle coupé, mais elle ne résiste pas et marmonne :
- Oui Janice. Que veux-tu?
- Je veux juste que tu saches que je suis la patronne et que tu me traiteras comme telle. Tu feras exactement tout ce que je te dis et tu seras toujours d'accord avec moi. Si tu hésites ou me dis non, ça deviendra pire pour toi. Suis-je clair? Crache Janice.
- Oui Janice, je comprends.
- C'est Mme WILSON en public et Maîtresse en privé, à moins que je te dise le contraire.
- Oui Maîtresse. Murmure Jessie alors que son entraînement de soumise prend le dessus.
- Bien! Maintenant je veux ton soutien-gorge et ta culotte.
- Je suis désolé Maîtresse, mais je ne porte pas de culotte. Dit Jessie en s'activant pour enlever son soutien-gorge.
- Tu es une vraie salope. Je parie que ça t'excite. Pendant que tu y es, ouvre deux boutons du chemisier.
La réunion est une vraie agonie pour Jessie. Les trois autres membres du département d'histoire sont M. JOHNSON, un pervers âgé de 60 ans en surpoids, sa peau grasse et ses yeux brillants donnent toujours la chair de poule à l'enseignante, et les deux autres sont deux vieilles filles de 50 ans. Jessie a toujours pensé qu'elles étaient lesbiennes. Tous les trois ne l'aiment pas et lui mènent la vie dure à l'université.
La réunion traîne en longueur, mais s'anime lorsque Janice demande à Jessie de servir du café à tout le monde. A partir de ce moment-là elle est occupée à faire toutes les tâches subalternes.
À la fin, Janice demande à Jessie de balayer le sol et de jeter les déchets. Après que les autres soient parties, Jessie doit se mettre à genoux sous les bureaux pour ramasser les stylos que Janice s'amuse à lancer dans la pièce en souriant.
- Tu devrais être heureuse salope, je pourrais te faire faire ça nue!
Jessie jette un regard noir à son ennemi mais ne dit rien. Ses genoux la brûlent de frotter sur la moquette. Finalement Janice se lasse de jouet avec son nouvel animal de compagnie. Elle lui caresse la tête et dit :
- Bonne fille, tu es très obéissante.
C'est tout ce que n'admet pas Jessie de sa collègue, mais elle se mord la langue quand elle remarque que Janice fait la grimace. Malgré sa colère, elle sait qu'il faut qu'elle reste calme. Janice peut très facilement ruiner sa carrière.
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La semaine de Marcus n'est guère meilleure. Maître John et Maître X l'ont bien occupé. Lundi, il est allé dans un salon de soin et s'est fait épilé complètement. Bien sûr, Maître John lui a fait porter sa culotte en dentelle et ses bas. Mais il n'a pas été autorisé à mettre un pantalon par-dessus. Les Maîtres lui ont fait porter un mini haut blanc et un short court. Aux pieds, il a une paire de talons d'enfants. Les filles du salon ont adoré son look et l'ont ridiculisé sans cesse.
Maître John leur a donné un supplément pour l'humilier autant que possible. Elles ont particulièrement aimé le plug anal qu'elles ont trouvé en épilant son cul. Elles lui mettent dans la bouche pour étouffer ses cris pendant qu'elles épilent son corps.
Le lendemain, Marcus a rendez-vous avec deux médecins. Le premier est un ami de Maître X. Il fait une prise de sang à Marcus, deux injections et il lui donne trois ordonnances. Le second médecin est un chirurgien plasticien qui regarde quelles modifications il peut apporter à Marcus. Il lui fait aussi une épilation au laser sur son visage. Quand Maître John et son esclave rentrent enfin, Marcus le supplie de faire en sorte que son corps ne soit pas modifié.
John sourit et dit :
- Je m'en souviendrai salope!
Mercredi, Marcus commence à sentir les effets des drogues. Maître X souhaite que Marcus prenne conscience de son côté féminin. Les injections d'œstrogènes et autres hormones sont conçues pour lui montrer. Marcus remarque que ses mamelons deviennent beaucoup plus sensibles. Et ses émotions sont plus importantes. Il pleure même sans raison. Marcus est très confus, mais Maître John s'assure qu'il prend toutes ses pilules et le tient sous pression.
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Nous sommes vendredi et Jessie rentre chez elle en voiture. Maître John lui a donné une robe aujourd'hui. Elle est si courte et si légère qu'elle ne peut quitter sa classe sans provoquer des discussions dans les couloirs. Pour le retour, comme ordonné elle doit enlever la robe pour se masturber. Elle ne porte qu'un soutien-gorge qui font ressortir sa poitrine. Elle est désespérée de ne pas pouvoir avoir un orgasme et a du mal à se concentrer sur la route. Elle se gare dans son allée et se précipite dans la maison.
Une fois à l'intérieur, Maître John ordonne à Jessie de s'habiller pour aller courir. Bien sûr elle doit le sucer avant de sortir. Il aime bien qu'elle aille courir avec son sperme sur le visage.
Quand elle revient en sueur et encore couverte du sperme de Maître John, Marcus obéit aux ordres et la lèche. Ce qui surprend le mari, c'est la réaction de son corps. Sa queue est dure comme de la pierre et il tremble d'excitation.
Ensuite Maître John donne une liste et de l'argent à Jessie pour qu'elle aille acheter des fournitures pour la soirée de poker du lendemain.
- Jessie regarde le Maître et demande :
- Maître, puis-je me doucher et me changer?
- Ouais tu pues! Va prendre une douche et je vais te préparer des vêtements.
Jessie se précipite dans les escaliers et saute dans la douche. Elle enlève sa tenue obscène de course et passe sous l'eau tiède. Elle reste debout sous l'eau près de dix minutes, se laissant nettoyer de la sueur et de la salive de Marcus.
« Mon Dieu, dans quoi me suis-je fourrée? Marcus m'avait averti que nous pourrions aller trop loin et maintenant nous avons tout perdu. Je dois trouver un moyen de nous sortir de tout ça avant que nous soyons piégés pour l'éternité. » Pense Jessie.
Elle reste sous la douche autant de temps qu'elle le peut avant de sortir et de se sécher. Elle rassemble ses vêtements et les met dans la panière.
Dans la chambre, elle voit la tenue que lui a préparée Maître John. Il s'agit d'une de celles achetées récemment. C'est la robe en dentelle rouge qui ne cache pas grand-chose. Elle la met et descend les escaliers. A chaque pas Jessie rougit davantage. Au moment où elle arrive au salon où Maître John est assis, tout son corps est rouge.
- M... Maître... Maître John, puis-je parler? Bégaie-t-elle.
- Qu'est-ce que tu veux esclave? Beugle John.
- S'il vous plaît Maître John, je ne peux pas sortir dans cette robe. C'est indécent. Je devrai traverser la ville pour trouver un magasin où personne ne me connaît. S'il vous plaît, laissez-moi me changer! Supplie-t-elle.
John regarde la femme humiliée le supplier. Il répond :
- Non, et tu iras au magasin habituel. Et tu porteras ton collier aussi. Si quelqu'un te voit, tant pis.
- Maître John, êtes-vous d'accord avec Maître X? Vous ne pouvez pas nous perdre. Si je sors comme ça et que je suis arrêtée, je perdrai mon emploi. Ce n'est pas ce que nous voulions.
John avait été averti par Maître X qu'il devait s'attendre à un refus. Il sait exactement quoi faire. Il dit en souriant :
- Pas de problème salope, ne m'obéis et ne porte pas ce que je te donne. Je le dirai à Maître X et ta période d'essai de trente jours sera terminée.
Puis il ajoute pour donner le coup de grâce :
- Au fait, Maître m'a également dit que tous ce que vous avez fait depuis le début est enregistré, chaque tâche que tu as dû accomplir et chaque bite que tu as sucée aussi. Ces enregistrements sont la propriété de Maître X. Vous avez cédé vos droits sur les documents en signant les formulaires que vous avez remplis. Je ne suis pas sûr, mais je crois qu'il enverra une copie à vos employeurs, vos amis, vos enfants et qu'il les mettra sur internet. Donc, va te changer et je vais dire à Maître X ta décision.
Jessie devient blanche comme un drap. Elle n'a pas le choix. Si elle va au magasin elle est sûre de rencontrer quelqu'un qu'elle connaît. Mais si elle refuse de rester habillée comme elle est, Maître X fera en sorte que tout le monde sache quelle salope elle est. Elle prend sa décision et arrête John qui est sur le point de partir :
- Attendez Maître John! Je suis désolé, s'il vous plaît arrêtez. Je vais le faire, arrêtez s'il vous plaît.
John rit et continue d'avancer vers la porte d'entrée sans écouter Jessie. Celle-ci se précipite après lui alors qu'il ouvre la porte. Elle le rattrape et se laisse tomber à quatre pattes. Elle saisit sa cheville et dit :
- S'il vous plaît Maître John, je suis désolé d'être une idiote. Punissez votre esclave pour son mauvais comportement.
John s'arrête et baisse les yeux sur la mère de famille tremblante qui embrasse ses chaussures et demande à être punie. Il retire sa ceinture et la plie en deux. Alors que Jessie est en train de lécher ses chaussures, il abat sa ceinture sur le cul exposé, juste entre les deux fesses.
Jessie laisse échapper un hurlement et commence à crier de douleur, mais après quelques secondes, John entend :
- Merci Maître John de m'avoir puni! Puis-je en avoir un autre?
L'homme se met à rire et demande :
- Dis-moi ce que tu es?
- Je suis une salope Maître! Renifle Jessie.
- Ce n'est pas assez bien! Crie Maître John en retirant sa jambe.
- Je suis une salope d'esclave Maître John. Je suis votre esclave à vous et Maître X. S'il vous plaît, faites n'importe quoi de nous, utilisez-nous sans modération.
Jessie supplie pour ne pas tout perdre. Elle sait qu'elle n'a plus le choix. Ils sont tombés trop bas et ils n'arriveront pas à s'évader.
John s'arrête et se retourne pour regarder son visage plein de larme. Il a un sourire diabolique.
- Ok esclave, lève-toi et appuie-toi contre le mur. Je vais te donner une fessée. Tu auras vingt coups et tu compteras chacun d'eux. Quand nous aurons fini, tu te mettras à genoux et tu me tailleras une pipe. Et tu porteras mon foutre sur ton visage.
Jessie se lève rapidement et s'appuie contre le mur. Le haut de son corps est presque parallèle au sol et ses pieds largement écartés. Elle regarde par-dessus son épaule et murmure :
- S'il vous plaît Maître John, Punissez votre esclave!
John s'approche de sa soumise. Il lui caresse le cul avant de faire claquer sa ceinture pour la première fois.
SCHLACK! SCHLACK! SCHLACK!
Il porte trois coups sur le cul rose et laisse une rayure rouge vif pour chaque sur les deux fesses.
Jessie fait de son mieux pour ne pas crier, mais après le troisième coup elle s'effondre mentalement et crie fort :
- OH MON DIEU, CA FAIT MAL!
Elle éclate en sanglots, mais réussit à ajouter :
- Trois Maître! Pouvez-vous continuer?
Maître John continue à frapper son cul avec la ceinture encore et encore. L'enseignante crie un peu plus fort à chaque fois mais continue à compter correctement et à en demander plus. Au moment où il atteint le vingtième coup, elle est déchirée, mais elle dit :
- 20! Merci Maître de m'avoir punie!
John ne bouge pas et reste près de la femme en pleurs. Il attend qu'elle se souvienne du reste de la punition. Il faut presque cinq minutes avant que Jessie ne se laisse tomber à genoux et rampe jusqu'aux jambes de son maître.
- Maître John, est-ce que votre esclave peut sucer votre bite? S'il vous plaît, giclez votre foutre sur mon visage pour montrer au monde que je vous appartiens.
John est un peu surpris par ces déclarations. Il écoute et sait qu'elle veut chaque mot. Il acquiesce et écarte un peu les jambes pour lui permettre d'ouvrir plus facilement son pantalon.
Jessie libère rapidement la grosse bite. Elle l'a sucé tellement de fois ces derniers jours qu'elle sait exactement comment faire plaisir à son Maître.
John est très excité après avoir brisé la volonté de l'enseignante. Ça ne lui prend que quelques minutes avant qu'il ne puisse plus se retenir. Il retire sa queue de la bouche et gicle jets après jets sur le visage de Jessie.
Au moment où il termine il n'y a pas beaucoup d'endroits qui ne sont pas couverts par sa graine.
Quand il a fini, Jessie tire la langue et lèche le gland de l'homme pour s'assurer qu'il ne reste pas une goutte. Elle attend qu'il ouvre les yeux avant de demander :
- Maître, est-ce que je peux aller au magasin maintenant?
- Vas-y et dépêche-toi! Et tu ferais mieux de ne pas essayer de nettoyer ton visage. Je le saurais si tu le fais.
- Oui Maître! Dit Jessie en se levant lentement et en se dirigeant vers la porte.
Maître X regarde avec les caméras. Il est heureux de voir que John gère la situation conformément à ses instructions. Puis il tourne son attention sur le fils de Jessie, Kévin. Il a pu prendre le contrôle de son ordinateur comme il l'a fait avec celui de Julie. Dès qu'il a reçu l'émail de sa mère, son ordinateur était infecté. Il allume à distance la webcam. Maître X est surpris de ce qu'il découvre.
Kévin est nu dans sa chambre. Avec lui se trouve une jeune étudiante nues aussi. Elle est penchée sur le lit, les pieds attachés aux pieds du lit. Elle écarte tellement les jambes que Maître X se dit qu'elle doit être sportive. La tête de la jeune fille est tournée vers le mur et ses mains sont attachées aux montants de la tête de lit. Elle est impuissante et se tortille. Kévin a dans sa main droite une raquette de ping-pong, et il frappe avec le cul de la fille. Maître X peut entendre celle-ci gémir. Il voit qu'elle a la bouche bâillonnée et les yeux bandés.
Master X regarde le jeune homme dominer l'étudiante. Son esprit passe en revue toutes les possibilités qu'il peut en tirer. Quoi de plus amusant que de transformer le jeune dominant en esclave ou de l'utiliser pour humilier sa famille. Il réfléchit quelques instants avant de prendre sa décision. Bien que John soit utile, avoir un membre de la famille, en particulier le plus jeune, avec lui pour l'aider est très prometteur. Il réfléchit et se dit qu'il pourrait y avoir un problème au moment de vendre la famille. Puis après avoir encore réfléchi quelques minutes, il sait. Tout ce qu'il a à faire est de donner au jeune Kévin une esclave. Et Mme WILSON est la candidate idéale.
Maître X se déconnecte le l'ordinateur de Kévin et se dirige vers son lit. Demain il y a la soirée de poker. Ça va être amusant.
À suivre...
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