Texte de Xmaster.
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Nos deux complices discutent pour savoir comment se débarrasser de
cette connasse blonde, totalement bourrée, qui va, à coup sûr, leur faire des
histoires à son réveil. Voire porter plainte, on n’est jamais à l’abri de rien avec
de tels engins.
Il vient une idée à Denis, appeler à l’aide, son copain Astar.
- Attends, je vais laisser un texto à Astar pour savoir si il pourrait nous dépanner.
- À Astar ! Moi, je trouve que ce mec est très malsain, voire dangereux.
- Oui, mais si ça peut nous éviter quelques soucis avec cette connasse, c'est bon à prendre.
- Ouais, mais la gamine, aussi conne soit-elle, risque fort de trinquer quelque chose de bien !
- Ça lui apprendra peut-être à rester tranquille avec son mec.
Sur ce, Denis reprend son smartphone posé près du canapé où la blonde
dort en ronflant légèrement, puis tape son message.
Presque instantanément, une réponse arrive. Le correspondant demande
à être appelé.
Denis compose le numéro de Astar.
- Salut Astar, toi non plus tu ne dors pas ?
- Ben non ! Sinon, je ne t’aurais pas répondu, je ne suis pas encore somnambule ! Quel est ton problème ?
- Disons qu’on a choppé une bonne petite salope, qu’on l’a sauté dans les grandes largeurs, et qu’on ne voudrait pas qu’elle note l’adresse à son réveil, tu peux faire quelque chose pour moi ?
- Ouais, on a tiré deux putes avec une bande de potes, de la bonne croqueuse de pognon, mais côté prestations de salopes, très moyen, alors je ne suis pas contre me taper de la salope sauvage.
- OK, tu te rappelles mon adresse ?
- Ouais, t’inquiète, je prends la route et suis chez toi dans vingt, vingt-cinq minutes.
Quand Denis coupe la communication, il jette un œil à Brigitte vautrée
sur le canapé, puis il dit encore à son ami :
- D’accord elle est choucarde, mais va savoir si au réveil elle ne va pas courir directement chez les keufs pour porter plainte, pour viol ou je ne sais quoi !
- Oui…
Michel est songeur, puis, après quelques instants de silence, il
poursuit :
- Tu as raison, vu son comportement avec son propre mari, il y a de
gros risques qu’elle nous fasse des histoires.
- Allez, on va tout de même arroser ta première culotte volée à la barbe du cocu !
Une petite demi-heure plus tard, coup de klaxon bref. En quelques
secondes, Astar est descendu de sa voiture et sonne à la porte d’entrée, Denis
va le chercher.
En entrant dans la pièce, Astar jette un regard sur la blonde, et, tout en
saluant Michel, il demande :
- C'est ça votre salope sauvage qui vous fait peur ?
- C'est pas qu’elle nous fasse peur...
- STOP ! Coupe sèchement le nouveau venu.
- Sinon, vous n’auriez pas
appelé Tonton Astar au secours ! Bref… Pas besoin de l’emballer, ça va être
pour consommer sur place. Racontez-moi plutôt comment vous avez ramassé
cette serpillière à foutre ?
Denis raconte brièvement leur soirée, la boîte, le scandale que faisait la
blonde, la culotte, la sortie de boîte et tout le raffut, le mari qui se barre et la
fameuse partie de cul à trois qui a eut lieu une petite heure auparavant.
Tout en écoutant, Astar, qui s’est rapproché de la blonde, déboutonne sa
braguette. Tirant par les pieds la jeune femme qui n’a toujours aucune
réaction, il la place, les reins, sur l’accoudoir, lui écarte les jambes, et la prend
directement d’un grand coup de bite dans l’anus.
Brigitte entrouvre les yeux, commence à peine à balbutier quelques
borborygmes, que l’homme commence à la limer fermement et de plus en plus
rapidement. Et en guise de réponse, il annonce :
- Tu vas être bien avec moi, jolie salope, je vais te dresser, tu vas adorer.
Les deux amis restent sans voix et regardent ce diable de Marocain
enculer sauvagement la pétasse dont ils ont abusé auparavant.
Quand l’homme se vide dans la jolie blonde, dans un concert de jurons
en arabe, il annonce :
- Bon, les gars, je vous débarrasse de ça, mais n’oubliez pas, nous sommes tous complices.
Puis, une fois son froc refermé, il empoigne la jeune femme par un bras
et la bascule sur son épaule comme un sac de ciment. Et il poursuit encore :
- Allez, j’y vais, voulez-vous que je vous tienne au courant de la suite ?
- Oui, moi, je veux bien savoir, mon ami.
- OK, je te dois bien ça… À la revoyure mes amis.
Astar sort de la pièce, descend le grand escalier et allonge, sans
ménagement, Brigitte sur sa banquette arrière.
Arrivé au pied de son immeuble, l’homme gare sa voiture au plus près et
reprend la jeune femme sur son épaule. Il l’emmène dans sa cave. Là, il la
dépose sur un matelas crasseux, puis l’attache à la chaîne qui traîne par terre
au bout de laquelle il y a des menottes. Il sort son smartphone et prend quelques photos de la belle blonde encore endormie. Ensuite, il referme la
porte en laissant la lumière allumée.
La cave est glauque, un matelas sale, les murs recouverts de plateaux à
œufs pour l’insonoriser, une lourde porte qui rend la pièce presque étanche,
un ancien soupirail muré. Quelques chaises, de ci, de là, un vieux canapé, lui
aussi, en manque de nettoyage. Quelques cendriers et pas mal de mégots de
joint qui jonchent le sol.
Dans un coin, un frigo ronronne, plein de bières et de quelques
bouteilles de lait Ribot. Et un grand meuble télé accueille un écran plasma
moderne, deux consoles de jeux et un caméscope avec tous ses accessoires.
En rentrant dans son appartement, il se jette dans son canapé, allume la
télévision et envoie des tas de textos à ses potes et complices.
Sa compagne, Jamila sort de la chambre avec un air ahuri et commence
à lui poser des questions sur ses occupations de la nuit. Mais l’homme n’en a
cure, et il ordonne alors à Jamila :
- Viens plutôt me sucer, si tu ne veux pas te prendre encore une volée.
Connaissant son compagnon de la violence dont il sait faire preuve, la
femme préfère obtempérer plutôt que de rentrer en conflit, surtout si son mec
a passé une nuit blanche, elle sait qu’il peut partir en vrille très vite.
- Elle a bon goût ma bite, hein ma pétasse ?
- Humpf, humpf, semble acquiescer la pompeuse.
- Déguste bien, grognasse, ma bite sort du fion d’une sale Française…
Et, pour éviter que la femme se redresse, il appuie fortement sur la tête et
poursuit encore :
- Vas-y, ma pute, bouffe-moi le zob, je vais te récompenser
bientôt.
Jamila suce de plus en plus vite et branle le gros sexe en même temps.
Elle adore cette bonne bite, mais l’idée qu’elle sorte du cul d’une blonde lui
donne des haut le cœur, toutefois, elle sait qu’il lui faut chasser cette image de
la tête, ce matin, elle sent qu’un rien pourrait déclencher une grosse colère
chez son mec. Alors, même cette drôle d’odeur de cul que sent la bite, elle
pompe de son mieux.
Bientôt Astar jouit en tenant toujours fermement la tête de la brune sur
sa queue, en disant :
- Bouffe karba, bouffe… T’es vraiment une bonne kehba !
La femme avale tout le sperme chaud sans sourciller. Puis, regardant
son homme avec des yeux enamourés, le laisse reprendre son souffle avant de
lui demander :
- Tu veux un café, mon Chéri ?
Pendant ce temps, bien qu’il ne fasse pas vraiment froid, la fraîcheur
réveille la blonde qui a du mal à sortir de ses vapeurs d’alcool. Bientôt, elle
redevient suffisamment lucide pour se rendre compte qu’elle est enchaînée. Là, elle se demande ce qui a bien pu se passer pour être ici, dans cette
position. Elle se souvient vaguement de sa sortie en boîte avec son mari, d’une
fâcherie stupide, puis d’être reparti avec deux inconnus rencontrés dans la
soirée. Elle essaye de se concentrer pour se remémorer sa soirée.
Un bruit de clef dans la serrure, la sort de son état de concentration
extrême. Astar entre dans la pièce et fixe dans les yeux la blonde jusqu’à ce
qu’elle baisse les yeux. C'est alors qui laisse tomber :
- Alors, connasse, on a bien dormi ?
- je ne vous...
- Ta gueule, si tu veux qu’on te ramène chez toi en un seul morceau, tu as intérêt à fermer ta grande gueule de Française et d’être bien gentille avec nous.
L’homme referme la porte derrière lui, sans la verrouiller à clef.
- Mais vous n’avez pas le droit…
- Ici, le droit, c'est moi, tu piges connasse ?
- Mais...
Une grande claque sonore vient clôturer la remarque de Brigitte. La
douleur est vive, la gifle cuisante, la pauvre femme se met à pleurer.
- Tu ne te rappelles pas comment tu as été offensante par rapport à ton mari ? Le scandale que tu as fait ? Tout le monde avait honte pour ton mari… tu as de la chance qu’il ne t’ait pas répudié, ça ne se fait pas ici, cela dit, il est reparti sans toi et t’as laissé tomber comme une vieille chaussette !
- Ho non !
Et les pleurs redoublent d’intensité.
On pourrait se demander si elle pleure suite à la vive brûlure sur sa
joue, ou si, ce qui serait bien plus probable, de sa situation qui semble
totalement désespérée.
Astar en profite pour mettre en place le caméscope sur un tripode et le
brancher. Il le raccorde sur l’écran de télévision, allume ce dernier et vise la
jeune femme qui sanglote les mains sur son visage. Tout de suite après, trois
coups secs à la porte.
- Ouais, entre, c'est ouvert.
Trois hommes entrent. Le premier ne doit pas avoir plus de dix-huit ans,
mais il a un visage affreux, plein de trous dans la peau comme s’il avait déjà
eu la vérole. Aziz n’est pas très grand, mais semble assez carré. Le deuxième
qui entre, c'est Amed, dans les vingt-cinq ans, grand, bien bâti, plutôt beau
gosse. Et enfin Mouloud franchit la porte. Le plus âgé, dans les âges à Astar.
Rondouillard, de taille moyenne, il arbore une grosse moustache et sa peau
est si mate qu’on pourrait presque croire que c’est un black, mémé aurait-elle
fauté dans son jeune temps ?
Tous viennent saluer le maître des lieux, puis vont voir de près la pauvre
femme.
- Elle s’est chiée dessus de peur ou tu l’as enculée si fort qu’elle fuit de
la boîte à crottes ?
- Je l’ai eu comme ça… Mais pas de souci, une fois que tu lui as bien pris le cul, elle te lavera la bite avec sa gueule de conne.
- Elle est vraiment pour nous ? Demande benoîtement Aziz de sa voix fragile qui contraste avec son apparence physique.
- Ouais, fils, tu pourras la tringler autant que tu veux par où tu veux. Répond Astar d’un air amusé.
Puis il enchaîne :
- La seule chose, je ferai une
jolie vidéo, sans qu’on ne puisse voir vos gueules de bandits, juste sa tronche
et ses trous.
Amed, silencieux jusqu’à là, propose alors :
- On peut commencer les festivités ? Je m’en occupe en premier bande de salauds, vous allez tellement me l’ouvrir qu’après je vais nager dans ses trous.
- NON ! Non... Commence à crier la blonde maintenant totalement effrayée.
Une grosse claque de Astar vient lui répondre.
- Tu peux gueuler connasse, ici les voisins ne posent jamais de question. Par contre, si tu nous casses les oreilles, on te fera fermer ton claque merde à grands coups de pains dans la tronche, tu comprends ?
La seule réponse de Brigitte est de pleurer encore plus fort qu’au début.
Sur ces belles paroles, Astar vient lui retirer les menottes et la place à
quatre pattes, face au mur.
- Vas-y, Amed, à toi l’honneur...
Le bellâtre défait son pantalon jusqu’aux chevilles et vient se placer à
genoux derrière le cul offert. Il place son gland contre la vulve, du mieux qu’il
peut, car la pauvre femme remue pour éviter de se faire violer. Puis, d’un
grand coup sec, il prend possession de ce vagin, déjà un peu humide, avec sa
bite.
Brigitte ne comprend rien, elle qui avait si peur d’être déchirée parce
que trop sèche, se rend compte que, non seulement son sexe n’est pas sec, et
que même, elle trouverait agréable cette sensation si la peur ne venait pas lui
couper le plaisir. Ça fait longtemps qu’elle rêve de se faire prendre comme ça,
à la hussarde, par un beau mauresque brun, sans tout le baratin dont
s’entourent les mecs qu’elle a eus jusqu’à présent.
Amed donne une bonne série de coups de lime bien profonds, à chaque
fois qu’il touche le col, la pauvre femme ne peut que crier, mais crier de plaisir
et l’homme s’en rend compte. Il est tellement excité qu’en relativement peu de
temps, il ne peut plus se retenir en enduit toute la moule de sa sauce pour
salope.
Cette fois, la bonde jouit vraiment, si bien que toute l’assistance s’en rend compte.
- Cette blondasse m’a bien fait gicler ! Bravo à toi Astar, comme d’hab tu nous trouves de la bonne viande ! Dommage qu’elle ne soit pas hallal !
Toute l’assistance rit de bon cœur. Puis, le maître des lieux, reprend la
parole pour raconter les frasques de la salope blonde qu’il offre aujourd’hui.
Brigitte cache sa tête dans ses mains, au récit que fait ce diable
d’homme, elle comprend ce qu’elle a fait endurer à son petit mari si gentil ! Et
quand elle entend le récit de la culotte, elle se maudit elle-même !
À la fin du récit de Astar, Mouloud, qui vient déteindre son mégot de
joint, déclare :
- Bon, à mon tour de punir cette saloperie, faire ça à son mari, au bled, elle se ferait lapider, et c'est ce qu’elle mérite.
À ces mots, la blonde comprend que ces mecs ne sont pas là pour lui
faire du bien, mais pour la punir par là où elle a péché. Elle redouble de
sanglot, à quatre pattes, le cul en l’air offert à ses bourreaux, ses lourds seins
sur le sol, sa tête entre ses mains.
Mouloud prend le temps de retirer totalement son pantalon qu’il porte
sans slip, après avoir déjà retiré ses chaussures. Ensuite, d’un pas léger, il
vient derrière la jeune femme, s’agenouille et, lui aussi, colle son gros gland
contre la chatte déjà entrouverte à sa disposition.
- Accroche-toi à tes oreilles, grosse pute !
Et d’un solide coup de rein, il s’enfonce dans cette chatte gluante, du
mélange de la cyprine chaude et du jus de glaouis de son pote et complice.
Le gros gland est passé, sûrement parce qu’elle se sent ouverte comme
jamais, car si elle avait vu la monstrueuse bite, pas très longue, quoique fort
honorable, pas très grosse, quoiqu’un peu au-dessus de la moyenne, mais
surtout le gland vraiment gros, elle aurait pris peur, à n’en pas douter.
Brigitte
subit les nouveaux assauts de ce personnage, et finalement, assez vite, elle
commence à crier son plaisir.
Mouloud ne prend pas de gant, il fourrage cette chatte dans tous les
coins et recoins. Alors qu’il ahane, en s’arrêtant pour reprendre son souffle, il
lâche :
- Elle a la chatte bouillante cette morue ! Elle va me brûler le zob !
Puis l’homme recommence ses allers-retours à un bon rythme.
Il lui semble devenir folle ! Elle jouit comme une chienne en chaleur de
se faire violer, ici, dans cet endroit glauque, qui commence à sentir la sueur et
le rance ! Et pourtant, elle prend un pied gigantesque ! Folle ! Elle doit
devenir folle !
A suivre...
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