mercredi 25 janvier 2023

La Descente aux Enfers de Jessie - Ch. 08

 Traduction d'un texte de Sadkins116 et Rebeccasm. Les illustrations sont de Rebeccasm.

 ****

Soirée poker et soumission à sa rivale à l'université.

Le lendemain, Jessie se réveille d'un sommeil agité. Elle n'a pas parlé avec son mari Marcus de la soirée dernière avec Maître John. Tout ce qu'elle arrive à penser c'est, qu'en dépit de leur situation désespérée, son esprit obéit à son corps et elle accepte son esclavage. Chaque jour sous le contrôle de ses maîtres la pousse plus profondément dans la soumission et elle devient de plus en plus incapable de résister ou refuser d'obéir. Chaque barrière franchie la fait supplier pour plus.

Elle voudrait parler à son mari, mais cette dernière semaine il a semblé changer. Après son retour de chez les médecins, Marcus n'était plus lui-même, il semblait plus féminin. Jessie avait même remarqué que lorsque Maître John lui avait ordonné de le sucer, la bite de son mari était dure comme du roc et il avait éjaculé quand Maître John avait giclé son foutre dans sa bouche. Marcus était tellement en colère qu'il avait pleuré. Jessie n'avait jamais vu son époux pleurer. Et il avait même arrêté de se plaindre de porter des bas et des culottes féminines.

Aujourd'hui c'est la soirée poker et Jessie sait qu'elle sera donnée à plusieurs hommes. Elle ne peut rien y faire.

Elle se lève et se dirige vers la salle de bain. Quand elle voit son visage dans la glace, une larme coule sur sa joue. Le sperme de John a séché sur son visage et elle n'y faisait plus attention.

Son reflet lui rappelle sa visite au magasin de hier. Heureusement, elle n'a rencontré aucun de ses amis proches, mais elle a vu plusieurs connaissances. Jessie sait que lundi tout le monde dans le quartier le saura, et que la partie de poker ne fera que confirmer.

Elle entre dans la cuisine après avoir pris sa douche matinale. Marcus est assis à table. Aujourd'hui, il porte un haut très court, une mini-jupe et des talons. Jessie manque de rire, mais ce qui la choque le plus c'est que son mari ressemble plus à une femme qu'à un homme. Son visage n'a plus de moustache et ses tétons poussent le tissu du haut. Quand elle le regarde, elle voit qu'il a les larmes aux yeux.

- Marcus, pourquoi pleures-tu? Maître John t'a-t-il déjà puni?

L'homme lève les yeux vers sa femme nue. Les larmes coulent alors qu'il répond :

- Je ne sais pas, je n'arrive pas à arrêter. Mes émotions me submergent.

Soudain Maître John entre dans la cuisine et beugle :

- À genoux tous les deux! Je vais vous donner vos instructions pour la journée.

Il leur ordonne pour le reste de la journée de nettoyer toute la maison. Jessie s'occupe du nettoyage de la cuisine et de l'entrée alors que Marcus s'occupe des salles de bain. John prend un malin plaisir à lui faire lécher les toilettes. Pour compliquer les choses, il avait fait lécher le cul de Marcus par Jessie et il lui avait inséré un gros plug anal vibrant tout au fond de son petit trou. Et quand son soumis léchait les toilettes il activait le plug ce qui faisait bondir Marcus. Bien sûr le couple dut le sucer et avaler son sperme. En début de soirée, il leur ordonne de se doucher et de se préparer pour leurs invités.

Jessie descend de la chambre après s'être habillée. Maître John lui a assorti un soutien-gorge et une jupe assortie. Les vêtements sont noirs en dentelle. La jupe est très courte. Elle est contente d'avoir pu mettre un string, même si elle sait bien qu'elle ne le portera pas longtemps. Des sandales à lanières noires avec des talons de dix centimètres complètent sa tenue.

Marcus, de son côté, semble presque normal. Sa chemise de golf bleu et son short en jean paraissent normaux. Mais si on regarde attentivement ses jambes, on peut voir des bas couleur chair qui les recouvrent. Par contre, caché sous la chemise, se trouve un haut rose orné d'un « j'avale » sur le devant. Sous le short se trouve la petite culotte habituelle. Malgré tous ses efforts, Marcus a une érection tout en attendant les invités.

Jessie s'approche de son mari et le serre dans ses bras. Marcus ne bouge pas et ne lui rend pas son geste. Il regarde la salope qui se tient devant lui et l'accuse en pensée de tous leurs problèmes. Il y a trois semaines, il n'aurait jamais pensé porter des vêtements de femme et devoir sucer des bites. Il a laissé faire. Et il avait seulement accepté parce que ses ébats sexuels avec Jessie étaient devenus phénoménales. Toutefois ces derniers jours, il ne s'était pas intéressé à sa femme. Il lui semble que son excitation se réveille que lorsqu'il est forcé de sucer la bite de son Maître. « son Maître », c'est la première fois qu'il pense à John comme son Maître, et qu'il pense surtout à sa queue.

Maître John réunit les deux esclaves et leur explique les règles pour la soirée et la nuit :

- Ok vous deux, faites attention, je ne le dirai qu'une fois. Ce soir, vous allez tous les deux être bien sages. Si je vois une hésitation, une plainte, une question ou une mauvaise attitude alors vous le regretterez. Je n'ai pas besoin de détailler, vous comprenez très bien. Donc voici comment ça va fonctionner ce soir. Marcus, tu vas jouer avec le seul moyen de paiement que tu disposes, c'est-à-dire Jessie. À chaque main que tu perdras, Jessie enlèvera une pièce de vêtement et s'assoira sur les genoux du vainqueur jusqu'au prochain vainqueur. Si elle perd tous ses vêtements, elle devra au vainqueur une fellation, se faire baiser ou ce qu'il veut. A la fin de la nuit, je comptabiliserai les pertes et je donnerai aux gagnants des coupons pour pouvoir baiser Jessie quand ils le voudront. En fin de soirée, je vais clore la séance avec une surprise.

Jessie gémit et Marcus se remet à pleurer. Il pense « Mon Dieu, mais qu'est-ce qui ne va pas avec moi? Je ne peux pas m'arrêter de pleurer ».

Maître John continue :

- Jessie, tu serviras n'importe qui et tout le monde comme ils le veulent. Et ça inclue de les accompagner aux toilettes. On ne peut pas s'attendre à ce qu'ils tiennent leur queue. Ensuite tu lécheras tout ce qui est en dehors de la cuvette et tu nettoieras leur bite.

Les épaules de la femme s'affaissent sous ces ordres. C'est aujourd'hui que ça commence. Maître John les avait avertis qu'ils feraient des jeux urophiles. Mais elle ne pensait pas que ce serait avec leurs voisins.

Maître John sourit en voyant la réaction de Jessie à ses ordres. Puis il se tourne vers Marcus et lui annonce :

- Ne t'inquiète pas lopette, tu auras ta part avant la fin de la nuit.

Il regarde Marcus pour voir comment il réagit. Il est surpris quand il voit l'homme gémir et caresser sa queue à plusieurs reprises.

Au moment où Maître John finit ses recommandations, on frappe à la porte. Il ordonne à Jessie :

- Va ouvrir la porte et assure-toi de mettre un sourire sur ton visage et de le garder, salope!

Jessie hoche la tête et se dirige vers la porte d'entrée.

Le premier à arriver est Michael. Il habite quelques maisons plus bas. John, Marcus et lui avaient l'habitude de passer du temps ensemble avant que tout ne change. Il était venu chez eux plusieurs fois, mais jamais Jessie n'avait ouvert la porte dans une tenue comme ça.

- Waouuu Jessie, tu es sexy! Essayes-tu de donner un avantage à Marcus pour qu'il gagne? Dit-il en rigolant.

Jessie sourit et dit doucement :

- Entre Michael!

Dix minutes après, Cory arrive et Jessie le salue. Il sait déjà ce qu'il se passe et en profite pour frôler la femme en entrant. Tous les hommes échangent des salutations et la partie commence.

Marcus, Cory l'ami de John, Michael et Maître John s'assoient à la table de poker.

 
Jessie s'empresse d'aller leur chercher des boissons alors que la première main est distribuée. Tout ceci bien sûr sous l'œil vigilant de Maître John qui s'assure que ses esclaves se comportent correctement.

À la fin de la première main, John se lève et attire l'attention de tout le monde. Il demande à Jessie de venir près de lui.

- Je pense qu'il est temps que j'annonce les règles de la maison pour le jeu de ce soir. Chaque fois que Marcus perd une main, Jessie doit enlever une pièce de vêtement et s'asseoir sur les genoux du gagnant. Elle doit y rester jusqu'à ce que ce soit un autre qui gagne. Je suis sûr que vous allez tous apprécier l'attention qu'elle va vous porter.

Jessie rougit. John continue :

- Oh, une dernière chose. Si elle manque de vêtements, à la fin du jeu, nous calculerons ce qu'elle vous doit et vous obtiendrez des coupons échangeables pour trente minutes où vous pourrez faire ce que vous voulez avec elle, n'importe où et n'importe quand.

Cory et Michael sourit tous les deux et se frappent dans la main. John regarde Jessie et lui ordonne :

- D'abord, enlève ta culotte, salope!

Jessie n'hésite pas et relève sa jupe. Mais ses mains tremblent si fort qu'elle a du mal à passer les doigts dans la fine ceinture de son string. L'humiliation de se déshabiller devant ces hommes la rend folle. Chaque pore de sa peau dégouline d'excitation. Finalement elle arrive à contrôler ses mains et elle descend sa culotte le long de ses jambes. Elle remet sa jupe en place et attend que son Maître lui dise qu'elle peut disposer.

John s'assoie et tire la femme sur ses genoux, tout en s'assurant que tout le monde a une vue dégagée sur sa chatte.

Jessie n'a pas le contrôle de son corps. Ses jambes sont étendues de part et d'autre sur la cuisse de Maître John. Sa chatte est en contact direct. Il ne se passe qu'une minute avant que sa respiration accélère et que cuisse de Maître John soit trempée. Les yeux de Jessie sont ouverts, mais elle a le regard vague, la respiration rapide et sa bouche ouverte émet un cri silencieux. John sait qu'elle est sur le point de jouir, mais il veut qu'elle le supplie de pouvoir le faire alors il la pousse et elle tombe au sol.

- Bon Dieu salope! Tu trempes ma jambe! Regarde ce que tu as fait! Tu as laissé une traînée de bave comme un escargot! Crie très fort John.

Tout le monde regarde attentivement le visage de Jessie prendre plusieurs de nuances de rouge. Elle baisse la tête et pense dans son esprit : « Mon Dieu, je suis une salope. Je mérite que l'on me traite ainsi. Je suis une esclave ».

Après cela le poker prend un aspect légèrement différent. Les paris sont plus élevés et les plaisanteries sont beaucoup plus crues.

 
Cory gagne la main suivante. Aussitôt que les cartes tombent ses yeux s'illuminent. Il ramasse le pot et se tourne pour regarder Jessie enlever son prochain vêtement. Tous les yeux sont rivés sur la salope alors qu'elle passe les mains dans son dos pour dégrafer le fermoir de son soutien-gorge. Ensuite, elle le fait glisser le long de ses bras.

Elle se retrouve seins nus avec seulement une mini-jupe et des chaussures. Cory lui attrape le bras et la tire sur ses genoux. Une seconde après, ses mains tripotent sa poitrine et elle gémit bruyamment.

 
Elle ne se soucie plus de savoir s'ils s'aperçoivent tous qu'elle est excitée au-delà de tout contrôle. La seule chose qui lui passe par la tête est de trouver une bite pour la baiser violemment. Cory éclate de rire quand il sent le jus de la femme tremper son short. Il glisse ses doigts entre les jambes de Jessie et touche légèrement son clitoris. Elle crie :

- OH MON DIEU, BAISE-MOI!

Maître John tend la main et retire celle de Cory d'entre les jambes de Jessie. Et il dit :

- Attends mon gars! Il nous reste du temps, on verra ça plus tard.

L'enseignante commence à pleurer de frustration. Elle supplie Maître John :

- S'il vous plaît Monsieur, laissez cette salope vous servir! S'il vous plaît Maître, votre esclave a besoin de jouir! S'il vous plaît, s'il vous plaît Maître, Ayez pitié de moi!

Les quatre hommes assis sont stupéfaits du comportement de la femme de Marcus, suppliant d'être baiser et voulant à tout prix jouir. Elle a annoncé qu'elle est vraiment une esclave salope.

Maître John se contente de rire et se remet à distribuer les cartes. Jessie est toujours assise sur les genoux de Cory et elle frotte sa chatte tout en lui mordillant le cou. Elle fait son possible pour l'exciter. Elle ne se rend pas compte que la main est finie avant que Maître John la saisisse par un sein en disant :

- Stop salope! Enlève ta jupe et viens sur mes genoux!

Jessie se lève et fait descendre sa mini-jupe le long de ses jambes. Puis elle écarte les jambes de son Maître.

Elle se penche en arrière et fait ressortir sa poitrine. Sa main droite glisse le long de son sein droit et elle pince son téton tout en fixant directement les yeux de son Maître. Lentement, elle abaisse sa poitrine jusqu'à la bite dure comme du roc de l'homme encore enveloppée dans le short. Elle sourit vicieusement alors qu'elle presse ses globes sur le sexe dur.

John regarde la femme de son ancien ami se dégrader sur son sexe, l'implorant de la baiser. Il sourit de satisfaction. Il sait qu'il peut l'utiliser quand il le veut. Elle ne le refusera plus jamais.

Michael rassemble les cartes et recommence à distribuer. Pendant les deux heures qui suivent, Jessie passe de joueur en joueur, mais n'atterrit jamais sur les genoux de son mari. Pendant que la soirée se poursuit, elle peut voir la frustration de son époux augmenter. Ce qui la surprend, c'est qu'il ne la regarde pas. Il regarde les sexes raides des autres joueurs sous leur short et il se lèche les lèvres. Sa propre main caresse sa queue.

Lorsque la dernière main est finie, Marcus l'a finalement gagné. Mais lorsque Jessie monte sur ses genoux, elle remarque qu'il ne bande pas et qu'il rougit. Elle gémit en se rendant compte qu'elle ne fait plus d'effet à son mari.

Tandis qu'elle essaie de faire réagir son époux, Maître John demande aux autres gars de se déshabiller et d'aligner trois chaises. Quand ils ont fini, il appelle sa soumise :

- Laisse la lopette! Mets-toi à genoux et viens ici pour sucer nos bites, esclave!

Jessie saute rapidement des genoux de Marcus et se laisse tomber au sol. Son esprit ne pense plus à son esclavage et son côté salope. Elle ne voit même pas les trois hommes nus au milieu de la pièce. Toute son attention est attirée par les trois bites dressées. On dirait un prédateur qui voit de la chair fraîche. Elle salive à l'idée de les sucer et ses yeux sont remplis d'envie. Elle rampe comme une panthère traquant sa proie, ses muscles crispés alors qu'elle va se jeter sur sa victime.

L'enseignante commence par se diriger vers Michael sur la gauche et les vingt centimètres de sa queue. Plus elle se rapproche de sa cible, plus elle bave. Au moment où son visage est très proche, elle étire la langue et touche légèrement le gland. Elle savoure son goût comme un bon vin. Puis elle passe la langue le long de la tige dure, des couilles aux glands. Elle recouvre le membre de sa salive et jouit presque en le léchant. Son corps est maintenant sous contrôle et son esprit est totalement plongé dans la consommation de sa proie. Elle n'est plus une esclave soumise, mais un prédateur en mission. Et sa mission est de capturer la longue bite dans sa bouche et de la faire gicler.

Michael gémit alors que Jessie le taquine sans pitié. Finalement, il ne peut plus le supporter et il attrape sa tête pour pousser la bouche sur son sexe. La femme accueille bien la pénétration. Elle ouvre la bouche et la gorge, et elle aspire la queue au plus profond de son être. Un gémissement s'échappe de sa gorge alors que pour la première fois elle a un orgasme. Michael sent la gorge serrer sa bite. Il ne peut plusse contrôler et il explose dans la gorge impatiente de la salope désespérée. Jessie recule et fait tourner son sperme dans sa bouche pour en saisir la saveur.

Puis elle ne perd pas de temps et elle rampe vers son Maître. Elle lui sourit et avale sa queue en entier. Elle fait glisser sa bouche plusieurs fois de haut en bas jusqu'au moment où elle comprend qu'il est sur le point d'éjaculer. Alors elle sort la bite de sa gueule, sourit et dit :

- Prenez-moi Maître! Utilisez mon cul, ma chatte, ma bouche et remplissez-moi de votre semence. S'il vous plaît Maître, utilisez votre esclave comme elle est censée l'être.

John se lève et tire la femme devant la cheminée. Il la met à quatre pattes et enfonce son sexe dans sa bouche. Il la pilonne violemment en s'enfonçant au plus profond de sa gorge.

- Cory, viens ici et remplis la chatte de mon esclave. Baise cette salope!

Cory se laisse tomber derrière Jessie et il aligne sa grosse bite avec la fente dégoulinante. Puis il la fourre d'un coup.

Les yeux de l'enseignante sortent presque de sa tête alors que sa chatte est complètement remplie. Ça lui provoque des spasmes dans la colonne vertébrale.

Jessie se retrouve dans un autre monde alors que son excitation a envahi tous les pores de sa peau. Elle enfonce encore plus sa bouche sur le sexe de son Maître jusqu'à ce son nez soit enfoui dans ses poils pubiens. John n'a aucun moyen de contrôler sa jouissance alors que son esclave s'occupe de sa bite et avale sa semence en gémissant.

Dès que John s'effondre sur une chaise, Michael le remplace. Il prend la tête de Jessie et la tourne pour l'obliger à se mettre sur le dos. Cory se débrouille pour ne pas sortir sa bite de la chatte et il continue à la marteler. Michael s'accroupit au-dessus de la tête féminine et fait descendre sa queue. Jessie ouvre sa bouche pour que l'engin emplisse sa cavité buccale.

Marcus regarde attentivement sa femme sucer la bite avec une ferveur et une envie qu'il n'a jamais vu auparavant. Sa queue durcit alors que son esprit détaille la scène érotique devant lui. Ce n'est pas sa femme qui le fait bander, mais l'idée d'être à sa place et de sentir des grosses bites dans son corps.

Maître John regarde son esclave masculin et sourit. Il est temps de faire sortir son autre moi de Marcus.

- Esclave, lève-toi et enlève ta chemise et ton short! Montre à nos invités ta nouvelle garde-robe!

Marcus n'hésite pas. Il saute de son siège et déchire ses vêtements d'homme pour montrer son petit haut et sa culotte de femme. Son esprit et son corps sont conscients de l'humiliation. Mais ça le pousse seulement à désirer avoir leurs grosses queues.

Michael et Cory s'arrêtent quelques instants pour voir leur voisin se déshabiller. Ils rigolent tous les deux et Michael sort sa bite de la bouche de Jessie en demandant :

- Qui suce le mieux ici? Toi salope, ou ta lopette de mari?

Jessie jette un coup d'œil à Marcus et ressent une pointe de jalousie. Son besoin de queue dépasse l'amour qu'elle a pour son époux. Alors elle sourit à Michael et lui dit d'une voix sexy :

- Vous n'avez pas besoin de son cul Monsieur, alors que vous pouvez avoir le mien.

Et elle se remet à sucer l'homme. Les deux gars reprennent le rythme en baisant rudement l'enseignante. Jessie a l'impression que les deux gros membres la traversent. Il ne lui faut que quelques instants pour que tout son être explose et qu'elle convulse sur les bites qui perforent ses trous.

Les contractions du corps de Jessie poussent les deux hommes à jouir. Ils la remplissent de foutre par les deux bouts.

Michael laisse tomber la tête de la femme et s'effondre sur le sol. Cory est totalement épuisé et se laisse tomber à genoux tandis que son bâton sort de la chatte gluante. Les trois hommes sont à bout de souffle, mais John appelle Marcus et lui dit :

- Viens travailler esclave! Tu vas occuper ta langue à nettoyer tout le monde. Et quand tu auras fini, tu pourras nous faire bander pour que nous puissions encore baiser ta femme. Cette fois, je veux son cul.

Marcus se laissa tomber au sol et rampa jusqu'à la queue flasque de Cory. Avec sa langue, il lèche le mélange de sperme et de jus de sa femme qui enveloppe le membre. Ils regardent tous Marcus, dans sa tenue sexy, s'appliquer à nettoyer le sexe de Cory, le léchant comme s'il s'agissait de son cornet de glace favori. Ils rigolent quand, au lieu de nettoyer la chatte de sa femme, il se déplace pour aller sucer le sexe de Michael.

Jessie lève les yeux vers son mari qui vient d'engloutir la bite et une nouvelle vague de jalousie la traverse. Alors elle dit méchamment à son mari :

- Ne t'avise pas de le faire jouir, lopette. Je veux sa queue dans mon cul. Contente-toi de faire ton travail et de le faire bander. J'ai besoin de sa bite dans mon cul.

John est surpris par la méchanceté de Jessie envers son mari.

Pendant les deux heures qui suivent, les trois voisins prennent Jessie dans différentes combinaisons et trous. Marcus s'occupe de nettoyer les queues des différents fluides qui les recouvrent. Il lèche même le sol quand il est sale. Finalement les trois hommes n'en peuvent plus. Ils n'arrivent plus à bander et ils s'allongent sur le sol totalement satisfait. De son côté, Jessie est incapable de bouger son corps complètement rassasié.

John n'arrive plus à bander, mais il veut finir en beauté. Alors il se lève et dit :

- Les deux esclaves, suivez-moi à la salle de bain. J'ai une surprise pour vous.

Il se détourne et s'éloigne dans le couloir. Jessie et Marcus rampent derrière lui. Une fois à l'intérieur de la salle de bain, il appelle Jessie près de lui alors qu'il se tient devant les toilettes.

- Tiens ma bite pendant que je pisse esclave! Et débrouille-toi pour bien viser sinon tu vas lécher tout ce qui tombe à côté.

Jessie rampe vers Maître John. Il y a seulement quelques jours elle n'aimait cet homme ignoble. Mais à présent, tout ce qu'elle pense c'est comment lui plaire pour qu'il la récompense avec des orgasmes puissants. Elle tend la main et attrape sa queue. Elle commence à le caresser et elle apprécie le membre tout chaud entre ses mains. John lui frappe l'arrière de sa tête et l'avertit :

- Arrête ça salope, je ne peux pas pisser si je bande!

- Elle obéit, sourit à l'homme et roucoule :

- Désolé Maître John, j'adore votre bite.

L'homme rigole et relâche sa vessie. Un puissant jet d'urine jaillit de sa queue. Jessie est prise au dépourvu alors que le liquide arrose la cuvette et le sol. Rapidement elle reprend le contrôle et corrige la visée. Quand son Maître a fini, elle lèche les dernières gouttes sur son sexe.

Puis avant qu'on ne lui dise, elle se penche en avant et commence à lécher le liquide qui recouvre la cuvette et qui se trouve sur le sol. Quand elle a fini, elle lève les yeux vers Maître John et lui demande avec une expression de chiot :

- Ai-je bien fait Maître?

John est content de sa soumise et lui tapote la tête en disant :

- Oui esclave, tu as bien fait!

Jessie rayonne devant la satisfaction de son Maître. Celui-ci regarde Marcus et dit :

- À ton tour lopette! Viens ici et aide mes amis à pisser. Les mêmes règles s'appliquent à toi.

Ensuite il ordonne à Jessie de sortir de la pièce et de le suivre jusqu'au salon. Dix minutes plus tard, Michael et Cory entrent dans la pièce. Cory sourit et dit :

- Pour un mec, il a une attitude de lope. Il va être occupé pendant un moment.

Tout le monde rigole y compris Jessie.

Les hommes rassemblent leurs vêtements et s'habillent. Michael s'approche de John et lui serre la main en disant :

- Je veux bien être là à chaque fois que tu organises une partie. Appelle-moi!

John hoche la tête et se lève pour guider ses amis vers la porte. Jessie les suit alors qu'ils sortent tous sous le porche. Elle dit au revoir et reste immobile à la porte, complètement nue. Maître John pointe son doigt vers elle et dit :

- Je dois rentrer chez moi et retrouver ma femme. Tu vas tout nettoyer. Puis une fois que tu auras terminé, tu attacheras la lopette et tu iras te coucher. Je reviens demain.

Jessie sourit et répond :

- Oui Maître!

***********

Le lendemain matin, l'enseignante se retourne lentement dans son lit. Tout son corps lui fait mal, mais c'est bon. Son esprit est encore en train de savourer les séquelles de la nuit dernière. La partie de poker, sa soumission, l'humiliation et la baise se sont combinées pour donner à la femme ce dont elle a besoin. Après ces dernières semaines et la perte de presque tout, elle se sent complètement satisfaite. C'est ce dont elle avait besoin quand elle a commencé cette aventure. Sa première pensée de la journée est : « Je me demande ce que mes maîtres ont pour moi aujourd'hui ».

Elle se lève de son lit et manque trébucher sur son mari qui est nu et attaché sur le sol. Elle l'aime beaucoup, mais maintenant c'est différent. Elle le veut dans sa vie, mais ce sont ses Maîtres qu'elle désire. Chaque jour elle se demande si le mystérieux Maître X viendra réclamer son esclave, s'il la prendra, l'utilisera et complétera sa domination sur elle.

Elle entre dans la salle de bain et commence à se préparer pour aller au travail. Elle doit se dépêcher car Janice lui demande d'être présente à l'université avant 6 heures 30. Elle doit se rendre à son bureau, se déshabiller et proposer de servir son ennemie détestée. Ceci aussi ne fait qu'augmenter la soumission dont elle a besoin.

Elle termine dans la salle de bain et se dirige vers la chambre d'ami où Maître John a pris l'habitude de mettre sa tenue pour la journée. Jessie redoute toujours ce moment, car Maître John fait de chaque jour une nouvelle aventure. Il y a toujours une robe ou une jupe très courte. Le haut ou le chemisier est trop petit ou alors des boutons ont été enlevés. L'un des administrateurs de l'université l'a déjà mise en garde contre les tenues vestimentaires inappropriées. Elle sait que bientôt, tout va lui exploser au visage.

Mais alors qu'elle enfile la jupe en faux cuir noir qui lui arrive à peine à mi-cuisse, son corps tremble d'excitation et d'anticipation. Son haut d'aujourd'hui est un pull en cachemire blanc qui doit être deux tailles plus petites. Il se plaque sur ses seins et n'offre aucun soutien.

Et comme aujourd'hui Maître John ne lui a sorti aucun soutien-gorge, sa poitrine va rebondir à chaque pas. Ses mamelons sont déjà durs à la pensée que tous les étudiants qui vont la lorgner. Ces derniers jours, elle s'applique à ne pas regarder toutes les queues dures qui poussent sous les pantalons dans sa classe.

Après avoir fini de s'habiller, Jessie se rend dans le bureau pour consulter sa messagerie. Comme d'habitude il y a un message de Maître X. :

« Esclave,

Aujourd'hui, tu vas prendre le plus anal moyen et le porter toute la journée. Tu devras demander la permission pour le retirer. Tu devras également porter le vibromasseur sans fil et t'assurer qu'il est synchronisé avec ton téléphone. Et assure-toi que les boules de geisha sont profondément enterrées dans ta chatte de salope. Et débrouille-toi pour que ça ne tombe pas en classe. Tu feras comme d'habitude, tu marcheras pendant quinze minutes, puis tu resteras assise à ton bureau vingt minutes. Il t'est interdit bien sûr de croiser tes jambes. Pendant l'heure du déjeuner, tu te déshabilleras et tu te masturberas pendant quinze minutes. Tu n'es pas autorisée à jouir. A la fin des cours, tu rentres chez toi, mais n'oublie pas d'enlever ta jupe. Ensuite Maître John te conduira à ton deuxième emploi. Tu feras comme si tu veux gagner de l'argent pour payer les études de tes enfants.

Maître X. »

Jessie est presque soulagée. La journée va être relativement tranquille par rapport aux derniers jours. Elle a l'habitude d'exposer son corps en cours, de se déshabiller et de se masturber sans jouir dans sa classe, et de conduire nue. Ce qui la dérange, c'est la fin du message. Elle n'a aucune idée de ce deuxième boulot et ça l'effraie un peu.

Jessie arrive à l'heure à l'université et entre dans le bureau de Janice. Celle-ci est assise à son bureau comme d'habitude, mais aujourd'hui elle a un regard mauvais. Jessie devine qu'il y a quelque chose et que leur relation va changer.

- Juste à temps esclave! Mais je crois que tu devrais passer ma porte complètement nue. En fait, à partir de maintenant, je veux que tu te déshabilles quand tu sors du parking. Tu mets tes vêtements dans un sac, tu te menottes les mains dans le dos et tu portes le sac avec tes dents jusqu'à ce que tu arrives devant mon bureau. Là, tu te mets à genoux, tu frappes et tu attends que je te dise d'entrer. Puis tu rampes jusqu'à moi et tu me supplies de me servir. Ordonne Janice.

Puis elle continue :

- Maintenant déshabille-toi et agenouille-toi esclave!

Jessie regarde sa rivale détestée. Une colère monte de son ventre. Elle dit tout en se déshabillant :

- Mon Dieu Janice, je ne peux pas être nue dans les couloirs de l'école. C'est déjà assez grave que je le sois dans ton bureau.

Janice attend que Jessie cesse de parler avant de dire calmement :

- Oh? Tu ne peux pas c'est ça?

Elle ramasse les vêtements de Jessie avant de continuer :

- Je pense que tu peux le faire. Et en fait, tu le feras!

Janice sort avec les vêtements hors de son bureau et ferme la porte. Jessie a peur maintenant. Elle vient de rétorquer à sa maîtresse au travail. Et elle sait par expérience que désobéir à un ordre signifie généralement douleur, humiliation ou les deux. Elle réfléchit à la façon dont elle va pouvoir demander pardon quand Janice revient dans le bureau. La première chose que l'enseignante remarque c'est qu'elle n'a plus ses vêtements.

- Maîtresse, je suis tellement désolée de vous avoir répondu. C'est juste que vos ordres m'ont pris par surprise. S'il vous plaît Maîtresse, ayez pitié de moi. Laissez-moi quelque chose à porter, je vous supplie. Implore Jessie la tête baissée.

Janice tend la main et attrape la soumise nue par le menton.

- Oh, c'est sûr que tu vas être désolée. Maintenant lève-toi et penche-toi sur mon bureau. Je pense que tu mérites quelques claques, et ta capacité à les subir sans crier décidera si tu récupères tes vêtements, ou si tu pars et rentre chez toi nue.

- Oui Maîtresse! Répond Jessie en se levant et en se penchant pour pointer son cul nu vers Janice.

Celle-ci lui menotte les mains dans le dos et sort une règle plate de son bureau. Puis elle dit :

- je pense que dix c'est bien!

CLACK!

- Un! Merci Maîtresse!

Janice est surprise d'entre Jessie compter les coups.

CLACK! CLACK! CLACK!

Jessie lutte pour ne pas crier tellement la douleur est intense. Mais elle réussit à dire :

- Quatre! Merci Maîtresse!

CLACK! CLACK! CLACK!

Jessie pleure maintenant, le cul en feu et la chatte dégoulinante.

- Sept! Merci Maîtresse!

Janice s'arrête et glisse sa main entre les jambes de l'enseignante, ses doigts glissant sur les petites lèvres. Quand elle les retire, ils sont couverts de jus de chatte.

- Mon Dieu! Tu es vraiment une salope soumise malade. Regarde mes doigts!

CLACK! CLACK! CLACK!

Jessie pleure maintenant de façon hystérique, non seulement à cause de la douleur, mais aussi de l'humiliation. C'est comme si son âme et ses désirs intérieurs étaient exposés au monde entier.

- Dix Maîtresse! Merci d'avoir puni votre esclave!

- Bien, maintenant sors d'ici, j'ai du travail. Et n'oublie pas comment tu dois faire demain.

Jessie se laisse tomber à genoux. Elle lève son visage couvert de larmes et elle gémit.

- Qu'est-ce qu'il y a esclave? Qu'est-ce que tu veux?

- S'il vous plaît Maîtresse, je suis toujours nue. Comment suis-je censée enseigner?

- Va dans ta salle de cours et je te ferai livrer tes affaires et la clé. Sors maintenant!

Jessie hoche la tête, sort du bureau et monte dans sa salle de classe. Elle y entre et tente de se calmer. Mais à mesure que le temps passe et que le début des cours approche, elle commence à paniquer. Devant sa porte, elle peut entendre des étudiants et des professeurs se promener dans le couloir. Elle ne peut même pas verrouiller la porte, car ses clés sont toujours dans son sac avec ses affaires.

Elle commence à réfléchir à la façon dont elle pourrait sortir de sa classe et quitter le bâtiment. Les cours doivent commencer dans dix minutes. Elle sait que son visage est en désordre et que son cul est rouge vif. Et avec les mains attachées dans le dos, même si elle arrive à sa voiture, elle ne pourra pas y entre et encore moins conduire. Elle est piégée et elle en arrive à la conclusion qu'aujourd'hui est son dernier jour en tant qu'enseignante.

Mais deux minutes plus tard, Janice entre dans sa salle de classe. Elle a le contrôle total sur Jessie. Celle-ci le sait et a peur qu'elle ne ferme pas la porte derrière elle et que tout le monde entre. Mais elle ne dit rien et ne fait rien. Elle regarde le sol et attend que Janice parle.

- J'ai été retardée dans le couloir salope! Voici tes affaires, tu devrais te dépêcher, car les cours vont commencer.

Janice sort les vêtements du sac et les jette dans la pièce. Jessie commence à courir vers eux quand elle voit l'expression du visage de sa Maîtresse. Alors elle s'arrête.

Janice a un sourire diabolique et jette les clés des menottes juste devant la porte ouverte.

- Maintenant esclave, je te conseille de ramper et de récupérer la clé avant d'aller chercher tes vêtements. Puis habille-toi et va te refaire le visage. Oh, encore une chose... Ne ferme pas la porte! Dit Janice avant de sortir et s'éloigner.

Jessie sait qu'elle n'a pas le choix. Elle rampe vers les clés et les saisit rapidement. Puis elle s'éloigne de la porte et s'efforce de libérer ses mains. Elle regarde l'horloge et sait qu'elle n'a pas de temps à perdre. Elle se lève et court chercher ses vêtements. Quand enfin elle est habillée, il ne lui reste plus que quelques minutes avant que la cloche sonne le début des cours. Elle se précipite vers les toilettes pour se refaire une beauté.

« Tant pis pour la journée facile! Si ça commence comme ça, comment ça va se terminer? » Pense-t-elle.

Le reste de la journée d'école se passe comme tous les jours depuis que des Maîtres l'ont prise en main. Son corps est constamment excité. Son esprit est encombré par les bites qui bandent des étudiants pendant ses cours. Par deux fois, elle manque de jouir en se promenant dans sa classe. La dernière fois, les boules de geisha, qui la rendaient folle, ont presque failli tomber devant tous ses élèves.

Mais elle survit à cette journée et n'a pas été renvoyée pour s'être trop exposée devant les étudiants. Elle sait très bien que si ça continue ainsi elle aura des relations sexuelles avec un ou plusieurs élèves.

Quand tout a commencé, elle n'aurait jamais accepté que ça se produise. Mais après des jours d'abstention, d'excitation et de stimulation constante, tout ce qu'elle arrive à penser c'est de la manière dont elle peut se faire baiser. Si son Maître lui demande de baiser un étudiant, elle accueillera l'ordre avec plaisir.

Lorsque la dernière sonnerie de la journée retentit, Jessie se précipite vers sa voiture. Quand elle est assise dedans, elle arrache sa jupe pour pouvoir jouer avec son clitoris.

Elle jette la jupe sur le siège arrière, ne se souciant pas de savoir si quelqu'un la voit. Elle fourre sa main dans sa culotte et caresse son clito tout en enfonçant trois doigts dans sa chatte dégoulinante.

Elle est sur le point de perdre le contrôle de la situation quand plusieurs enseignants sortent de l'université et se dirigent vers le parking. Jessie veut se faire plaisir, mais se faire prendre en train de se masturber sur le parking est trop grave. Alors elle démarre la voiture et sort du parking.

À suivre....

2 commentaires:

  1. Les auteurs n’ont pas fini ce récit. Le complèterez vous?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Si j'étais vraiment sûr de faire aussi bien que ces auteurs, je pourrais le tenter. En tout cas je garde cette idée dans un coin de ma tête.

      Supprimer

Merci de vos retours