Texte de Xmaster.
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Mais bientôt, l’homme ne veut plus se contenter de ce vagin glissant et
bouillant. Il décide d’enculer la connasse sous lui. Il retire vivement sa queue du corps de la blonde, place son gros gland contre l’anus déjà bien entrouvert,
et s’exclame :
- Sers les dents, ça va t’ouvrir en grand...
Et vlan ! Il fait entrer son engin au fond des boyaux. Les bords du gland raclent les parois. Et, bien que le cul soit encore sale, l’homme se régale de cette sodomie sauvage.
Une très vive brûlure qui lui coupe instantanément l’orgasme, voilà ce que ressent Brigitte. Elle pousse un grand cri qui finit en longue plainte. Elle aurait dû bien écarter ses fesses avec ses mains pour que le gland entre plus aisément, la douleur en fût moins vive en tout cas. Là, elle essaye d’allonger les jambes pour se retrouver à plat ventre, mais ce diable d’homme doit connaître la manœuvre, et il la maintient fermement par la taille.
- Là tu l’as dans le fion, grosse conne, j’espère que tu apprécies.
- Ouais, vu comment elle a gueulé, je crois que tu lui as fait un drôle d’effet, Mouloud ! S’exclame alors Astar.
Les autres membres de cette fabuleuse assemblée de salopards se marrent de bon cœur. Ils se connaissent bien et savent, pour chacun, les effets sur les nanas qu’ils amènent en tournante. Et bien peu réussissent à avaler par l’anus, le gros gland de Mouloud. Astar ne perd pas une miette des évènements. Depuis le début des opérations, il tourne avec son caméscope pour prendre en gros plan le joli visage de la blonde, sa chatte ou son cul recevant des sexes de toutes tailles, et surtout, les réactions de la belle, il adore quand elle jouit et se régale d’avance de la déconfiture de son mari quand il lui enverra les images. Et là, avec cet énorme gland qui ouvre l’anus en grand, il est aux anges.
Brigitte pleure de douleur, cette fois, elle a un mal à l’anus terrible. Et
ce diable d’homme qui passe sans cesse, son gros racloir dans son intestin ne
calme pas la douleur, ou si peu.
L’homme dodu prend tout son temps pour ramoner ce cul de blanche. Il
voit bien les traces brunâtres autour du trou qu’il occupe, aussi il se permet :
- Dis-moi, grosse pute, tu pourrais te laver le cul avant d’aller te faire
enculer ! T’es toute dégueulasse !
La pauvre femme entend à peine la méchante réflexion. En plus, paraître
sale devant ces odieux personnages ne la touche pas le moins du monde. Tout
en pleurant des suites de cette intense brûlure, elle commence à s’apercevoir
que la douleur se calme un peu.
D’un coup, sans crier gare, l’homme retire son membre de l’anus
distendu et enfourne son gros racloir dans la chatte baveuse de la pétasse.
Surprise, la blonde pousse un cri, puis très vite, les ondes de plaisirs
parcourent son grand corps et elle est proche de la jouissance.
-Tiens ! Prends toute ma purée, sale chienne française.
Et l’homme décharge son foutre chaud, arque bouter en arrière comme
pour enfoncer le plus loin possible sa queue.
Le jus de glaouis se répand dans tout le vagin, il passe même la barrière
du col de l’utérus déjà partiellement ouvert après les grands coups de boutoir
qu’il vient de subir. Mais la bite, toute polluée qu’elle est, apporte aussi son lot
de jus brunâtre.
Le bonhomme grogne de plaisir et laisse sa queue enfichée aussi loin
que possible dans ce qu’il considère comme une vide-couilles. Ensuite, repue
de stupre, il ressort son engin et finit par lâcher les hanches de la blonde.
La pauvre femme, encore secouée des spasmes de ses orgasmes,
s’aplatit au sol comme une crêpe.
- Ho frère ! S’exclame le jeune Aziz, tu me l’as démoli ! Je ne vais même pas pouvoir en profiter !
- Pas de souci, fils, répond alors Astar en s’emparant d’une chaise et venant l’apporter juste à côté de la femelle. Aide-moi à la mettre dessus.
Les deux hommes prennent le corps de la femme par les bras, et
viennent la mettre, le ventre en appui sur le dossier, la tête vers l’assise, et les
jambes les plus écartées possible.
- Attends mon jeune ami, déclare Astar en se penchant pour défaire les menottes qui entravent encore et toujours les fins poignets blancs.
Puis, comme la femme est toujours dans les vapes, l’homme se dirige
vers le frigo, l’ouvre, prend une canette de bière, lui retire son opercule en
revenant sur ses pas. Il secoue violemment la canette avec son pouce en guise
de bouchon, puis asperge le visage de la blonde en passant sous sa tête.
La femme semble revivre et tousse pendant quelques instants. Et
commence à dire :
- C'est dégueulasse...
- Ta gueule, la pute, ou je laisse mes potes te tabasser maintenant qu’ils se sentent plus légers.
La jeune femme pense illico qu’il est plus judicieux de la fermer que de
se rebeller, combien même elle aurait ses mains libres à nouveau.
Le jeune Aziz, tout excité qu’il est, vient s’emparer de la jeune femme. Il
défait sa braguette et laisse choir son jean et son caleçon. Il se place entre les
cuisses déjà écartées, tripote un instant son énorme bite, une comme peu
d’acteurs de pornos peuvent arborer, la place à l’entrée du vagin, attrape à
son tour les fines hanches. Et pousse comme un bœuf pour faire entrer son
incroyable bâton de chair d’un coup dans le vagin détrempé.
Brigitte hurle, elle a l’impression qu’on la déchire, que son sexe ne
pourra plus jamais se refermer.
- Ouais, je sais, elle est grosse, t’as qu’à te dire que c'est comme accoucher, mais à l’envers...
L’énorme engin dilate toutes les chaires internes, et ça se voit à
l’extérieur ? Le ventre de la pauvre femme est distendu. Le membre frappe à
chaque fois contre le col, comme s’il essayait d’aller dans l’utérus.
- Par pitié… Essaye de dire Brigitte.
- Pas de pitié pour les connasses françaises qui pourrissent leur mari devant tout le monde !
Astar ne perd rien de la scène, il tourne et vire autour des deux
personnages, prenant bien soin de ne jamais filmer le visage de ses complices,
par contre, celui de la blonde, ça oui !
Aziz ahane comme un beau diable. Bien que très jeune, tout juste 18 ans, il est pourvu comme cinq adultes au bas mot. Son sexe est énorme, le
gamin bande comme un taureau et sait sauter les femmes depuis quelques
années déjà.
Ses potes "l’utilisent" pour punir des prostituées qui font des manières
sur la taille du sexe des clients, ou qui refusent la sodomie. Après son passage,
aucune n’a jamais voulu recommencer ses jérémiades, de peur d’avoir encore
le gamin sur le ventre et de se faire déchirer, ou presque pour les plus
chanceuses.
La blonde gueule de douleur et se débat de toutes les façons possibles,
mais rien n’y fait, cet énorme pieu brûlant occupe tout son intérieur.
Le jeune homme sait déjà bien comment tenir les femmes quand il les
prend. Là, ses deux mains tiennent fermement les hanches de sa proie, et il
donne de furieux coups de reins avec un rythme soutenu, que seuls les jeunes
peuvent donner, ne s’économisant pas le moins du monde. D’ailleurs, ce qui
devait arriver, arrive, et voilà ce diable de gamin qui inonde la chatte
affreusement ouverte de la femme.
- Tiens morue, voilà du bon lait pour ta chatte...
Brigitte s’imagine que, comme les autres, son tortionnaire va débander
et se retirer pour la laisser tranquille. Mais elle ne sent pas son ventre revenir
à son état normal, au contraire, elle se sent toujours envahie par ce gros
morceau de chair, tout au plus lui semble-t-il moins dur.
Maintenant qu’il vient d’éjaculer, Aziz reprend son souffle, mais sans
ressortir de la femme, ni même la lâcher. Après quelques instants de silence,
coupé seulement de la profonde respiration du jeune homme et sentant que sa
bite redevient doucement dure, il demande :
- T’en veux encore, salope de française ?
- Pitié, j’ai trop mal...
- Oui, comme ça, plains-toi, connasse, c'est ce qui excite le plus notre jeune lion. Lâche Astar.
- Mais, dit-elle en pleurant. Il me déchire le ventre !
- Fallait y penser avant de faire tes sketches en boîte et dans la rue !
- Allez, on remet ça, ma bite a encore envie de vomir dans ton bide.
Et sur ces bonnes paroles, le jeune lion, tel qu’il est décrit, recommence
à fourrager la pauvre femme.
La pauvre blondinette a les jambes qui flageolent et ne tiendrait plus sa
position si le jeune homme ne la tenait pas fermentent. Il lui semble que le
dossier de la chaise participe à son tourment, car à chaque coup de boutoir
contre le fond de sa matrice, elle sent la peau douce de son ventre racler le
bois dur.
À nouveau, le gamin laisse sa bite dégueuler dans cette moule juteuse
bien chaude.
Brigitte commence à vraiment sentir très fort de la chatte. Elle pense
que cette fois s’en est terminé de ses tourments, mais la queue dégonfle à
peine et ce salaud reste enfiché dans son vagin sans bouger.
Aziz sait que sa bite va très vite regonfler, et maintenant qu’il estime
avoir bien agrandi la vulve, il se dit qu’il va être temps de la sodomie, dès que
sa queue sera suffisamment raide. Et il recommence à faire des allers-retours,
mais lentement au début.
La blonde n’en peut plus, elle se demande réellement quand ce maudit
gosse en aura fini avec sa pauvre chatte douloureuse. Tout en pleurant, elle
implore encore :
- Pitié...
- Ha ! Tu n’en peux plus dans ta chatte ? Elle te fait mal ma grosse bite ?
- Oui ! Pitié… J’en peux plus...
À force de mouvements lents dans cette chaude gangue de chaire qui la
sert, la queue redevient bien dure.
- OK, je vais laisser ta chatte tranquille...
Et sur ces bonnes paroles, il ressort d’un coup sec son zob gros et dur.
À nouveau, Brigitte, crie. Cette fois, outre la douleur du passage du gros
gland, la sensation de vide dans son corps est très nouvelle, mais surtout très
déconcertante. Mais aussi, un peu reposante. Toutefois, elle n’a pas le temps
de reprendre son souffle que déjà ce monstrueux machin lui déchire l’anus.
Elle crie de plus belle.
- AIE ! Aie, aie aie !
- Ne viens pas dire que je te fais mal à la chatte, connasse !
- C’est trop gros !!! Hurle-t-elle encore.
Elle bouge dans tous les sens, tant et si bien que l’énorme queue ressort
de l’anus maintenant béant. Et elle se met à pisser sous elle.
Tout en s’écartant un peu pour ne pas être éclaboussé par la pisse de la
blonde, le gamin demande de l’aide à ses amis et complices.
- Quelqu'un peut venir m’aider en la tenant ?
Aussitôt Amed et Mouloud viennent et s’emparent des bas de la jeune
femme, puis, chacun, d’une cuisse.
- Vas-y, fils, détruit-lui le cul à cette connasse. Ordonne encore Mouloud.
- Ouais, Aziz, bourre-lui l’anus, qu’elle ne puisse plus s’asseoir pendant un mois, et que je puisse filmer ça en gros plan.
Le grand gosse n’est pas intimidé le moins du monde, et il s’approche
des trous de la blonde que ses complices lui tiennent. Et d’un grand coup de
rein, il traverse l’anus et remplit le gros colon de toute sa queue.
À nouveau un grand cri de douleur.
- Voilà, je vais te péter le cul et tu t’en souviendras toute ta vie, surtout quand un mec t’enculera, tu auras une sensation de trop petit…
Les mecs se marrent et font des commentaires visiblement salaces dans
une sorte de patois mélangeant de l’arabe avec du français.
Cette fois, Aziz se lâche totalement et bourrine comme un vrai taureau.
Les coups de marteau-pilon arrachent à chaque fois un cri à la pauvre
femme qui n’a plus aucune défense et n’est plus qu’une grande douleur.
Mais bientôt, surexcité, le jeune homme crache à nouveau son venin de
burnes dans ce corps devenu flasque. Puis, cette fois repu, il ressort son sexe
encore bien épais, mais mou, de l’anus qui suinte un jus marron clair avec une
odeur désagréable, pour ne pas dire plus.
Les deux vicelards reposent la femme par terre et vont pour aller
s’asseoir dans le canapé quand Aziz leur ordonne encore :
- Marquez-lui le cul et les nichons à coups de ceinture, les gars, je reviens.
Astar sort de la pièce en ordonnant à ses complices :
- Restez là, je reviens dans dix minutes, attendez-moi.
En arrivant dans son appartement, il tombe sur sa compagne.
- Et alors ! Tu n’es pas au tapin à cette heure-ci ?
- Mais non, on est dimanche ! Tu m’as autorisé à me reposer le dimanche...
- Ouais, à surtout faire le ménage et les lessives que tu ne fais pas la semaine ! Bref, prépare-moi la potion magique.
Jamila sait qu’elle a tout intérêt à obéir sans poser de question,
toutefois, tout en sortant la théière et un petit sachet et en mettant de l’eau à
bouillir, elle ne peut s’empêcher de demander :
- C'est pour la blonde ?
- Qu’est-ce que ça peut te foutre, t’es dans la police maintenant ?
- Ho pardon, Chéri, je ne voulais pas être indiscrète.
Pendant ce temps, les deux mecs les plus âgés du groupe défont leur
ceinture et commencent par les abattre sur le cul de la pauvre femme. Mais
finalement, elle pleure et n’a pas d’autre réaction.
- Maintenant que ça infuse, vient me pomper le nœud, ma pute, faire ce petit film sur la connasse à la cave m’a tout de même bien excité.
L’homme baisse son froc en jeans qu’il porte à même la peau, puis
s’affale dans le fauteuil de la pièce à vivre.
La gentille Jamila s’approche, s’agenouille et fait une bonne pipe à son
homme. Elle souhaite surtout, en s’appliquant au mieux, que son mari ne fera
pas durer le plaisir à outrance comme il sait parfois le faire.
Là, l’homme s’aide de sa montre pour que ça ne dure pas plus de dix
minutes, le temps adéquat pour que la potion, dite magique, infuse.
- Oui ! Comme avec les clients… Et avale tout, c'est le bon sirop de corps de ton homme.
Puis, une fois que sa compagne s’est remise debout, à son tour Astar se
relève, remonte son pantalon et ordonne :
- Tu me mets tout dans la thermos.
Ensuite, la bouteille isolante pleine, Astar sort de l’appartement et
redescend à la cave.
Pendant ce temps-là, les deux compères salaces, ont retourné la jeune
femme, et s’amusent maintenant à frapper la poitrine, c'est à celui qui fera la
plus belle marque. Dans le canapé, le jeune Aziz se repose en jouant avec une
des consoles.
En rentrant dans la cave, Astar ordonne encore :
-C'est bon les gars, on n’est pas des bêtes, on va lui donner à boire tout de même !
Et, alors que les deux pères Fouettards remettent leur ceinture en place,
Astar se penche sur la blonde, lui tient la tête, et lui dit :
- Vas-y, bois un bon coup, ça te fera du bien.
Assoiffée après tant de tourments, Brigitte boit de bon cœur ce délicieux
thé au goût si particulier.
Il n’est de si bonne compagnie qui ne se sépare. Aussi, dès la blonde
retombée dans les vapes, les trois complices souhaitent une bonne journée à
Astar, et s’en vont.
Le maître des lieux remonte chez lui, ce n’est qu’à vingt-deux heures
qu’il redescend pour ramener la pauvre jeune femme devant chez elle, mais
totalement nue.
La fraîcheur de la nuit réveille Brigitte en sursaut, à la lueur des
lampadaires, elle reconnaît sa maison, la voiture de son mari, mais ne voit
aucune lumière chez elle.
Elle sonne, aucune réponse, tambourine, toujours pas de réponse,
appelle, et cette fois, c'est le vicieux voisin qui sort et lui demande ce qui se
passe.
Elle a du mal à cacher son corps encore douloureux, et c'est à cet
instant que sa propre voiture apparaît, avec son mari au volant.
FIN
Je ne comprends pas bien la scène finale du mari qui rentre.
RépondreSupprimerTrès bon récit,j’aurais toutefois aimé avoir la réaction du mari à son retour en retrouvant sa femme complètement nue devant la porte. Mais peut-être une prochaine fois pour une suite…
RépondreSupprimerFin un peu décevante, il évoque une potion magique, on s'attend à ce que la boisson provoque quelques réactions sur la femme, mais en fait rien, il l'a raccompagne et la laisse à poil devant chez elle. On ne découvre même pas la réaction du mari découvrant sa femme a poil, le corps marqué de coup de ceinture et les trous dégoulinants du jus de couille de tous ses violeurs...
RépondreSupprimerOlivx
Je pense que l'auteur de ce texte lira vos commentaires et y répondra lui-même.
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