Traduction d'un texte de Black Demon par Coulybaca.
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Shannon star du porno.
Assis à la table de la cuisine, John regardait les oeufs au bacon que sa gentille femme venait de lui servir. Il leva la tête vers elle alors qu'accoudée au plan de travail elle lui versait une tasse de café, John la trouva délicieuse dans sa petite robe de chambre liée à la taille. Il regardait ses lèvres brillantes, ces lèvres qu'il aimait tant embrasser, s'il n'en avait pas été témoin, il n'aurait jamais cru qu'une grosse bite noire se soit glissée entres ces adorables lèvres.
Alors qu'elle plaçait la tasse de café en face de lui, et s'asseyait de l'autre coté de la table, John ne comprenait pas comment elle pouvait agir si naturellement, comme si rien ne lui était arrivé. Ce dont il avait été le témoin la nuit dernière, Shannon ignorant sa présence derrière le miroir sans tain, était totalement incroyable.
Il avait vu son innocente jeune épouse supposée si naïve, voire prude, empoigner sans honte une grosse bite noire dans chaque main, serrant ses doigts sur les hampes et les branlant avec soin.
Affichant un sourire contraint il aurait aimé lui demander :
- "Comment vas-tu ? Comment peux-tu agir comme si rien ne t'était arrivé ? Pas un seul type... Mais trois à la fois... Trois étudiants noir sacrément montés... Et tu n'en as pas perdu une goutte lorsqu'ils éjaculaient dans ta bouche ! Cela fait des années que je te demande de me le faire... Mais tu as toujours prétendu que cela te dégoûtait... Et que j'étais un sale type de demander cela à ma femme... Bordel, tu n'as pas hésité une seconde pour sucer le premier gars hier soir, le léchouillant avant de l'engouffrer au fin fond de ta gorge !"
Quelques jours plus tôt, Shannon était tombée dans le traquenard qui lui était tendu, Connie qui avait été assez gentille pour la dépanner alors que sa voiture était en panne, l'avait alors saoulée, droguée, l'amenant à consentir à une audition impromptue.
Connie avait alors contacté un homme supposé être un agent artistique lui disant de les rejoindre au domicile de Shannon, les inhibitions de Shannon s'effaçaient sous l'action de la drogue et de la cantharide que Connie lui avait fait boire.
Au début, assistée de Connie elle ne prit que des postes très chastes, puis petit à petit elle montra un peu plus de ses charmes. L'esprit troublé par les effets de la drogue, l'entrecuisse embrasé sous celui de la cantharide, elle frémissait de plaisir lorsque l'homme qui se prétendait agent artistique et photographe rectifiait les positions de son corps. Elle ne put se défendre de ses avances et il la viola littéralement dans le lit qu'elle partageait avec son mari.
Peu après l'infâme viol, Shannon apprit que ses rapports forcés avaient été filmés, les photos compromettantes la montraient embrassant son agresseur, les bras autour de son cou et les doigts de pied en éventail alors qu'il la pénétrait profondément. Au vu de l'expression extatique qu'affichait son visage, personne n'aurait cru qu'elle ne se régalait pas de cette baise extra conjugale.
Honteuse, humiliée, affolée elle avait su accompagner Connie dans un entrepôt où trois acteurs de porno noirs attendaient son arrivée. Elle lui avait fait prendre la drogue utilisée la première fois pensant que cela la préparerait à ce qui allait suivre. Ignorant que ses boissons étaient amplement épicées de cantharide, une fois la partouze commencée, Shannon se livra à une totale débauche comme ensorcelée par leurs grosses bites noires. Suçant et baisant, elle se fit dépuceler brutalement le trou du cul, elle finit par se faire baiser simultanément par les trois hommes chacun lâchant sa purée dans un de ses trois orifices engorgés.
"Trois bites en même temps... dans mon con, mon cul et ma bouche...", Shanon frissonnait à ce souvenir. "Et ils m'ont juté sur le visage lorsque je me suis évanouie !"
Elle avala sa salive se souvenant de son image dans le miroir de la salle de bain alors que Connie l'aidait à se nettoyer avant qu'elle rentre chez elle.
Elle ne savait pas que c'était Carl l'homme qui l'avait assaillie la première fois dans sa maison, qui avait éjaculé sur son visage, elle ignorait aussi que son propre mari avait été obligé de branler Carl et de diriger sa bite pour lui arroser la totalité du visage.
Une fois John parti à ses bureaux, Shannon laissa échapper un soupir à l'évocation de sa surprise lorsqu'elle lui avait dit avoir rencontré une fille qui pensait qu'elle avait le potentiel pour faire carrière comme modèle. Elle lui avait alors avoué qu'elle aimerait faire un essai, histoire de sortir de chez elle et de rencontrer du monde, tout étonnée elle l'avait entendu lui dire d'y aller, qu'il n'y voyait aucun inconvénient. Quand John demanda à sa femme si elle devait d'abord passer une audition, il avala sa salive alors qu'elle lui répondait :
- "Je... Je... Cette fille, Connie m'a présentée à son agent... Et il m'a dit que ça lui suffisait... Je suppose qu'une rencontre peut servir d'audition... Il... Il semble m'apprécier énormément !"
Ayant visionné une copie de l'audition que lui avait fournie Carl, lorsqu'il avait quitté l'entrepôt la veille au soir, John ne pouvait qu'en conclure :
- "Ouais elle ne me ment sûrement pas, à coup sûr il apprécie la baiser... C'est sûr !"
En se dirigeant vers son bureau, John savait que Shannon allait avoir une journée chargée. Pendant qu'il regardait sa performance la veille, l'ex-détenu l'avait informé de son plan de carrière pour devenir une star du XXX... Une vedette du XXX dont il ne pourrait distribuer les productions que sur le circuit parallèle. Il se rappelait comment Carl avait gloussé en le raillant :
- "Bordel, cette jolie petite femme si pure paraît si naïve, innocente... Je suis certain que bien des spectateurs vont gicler dans leurs caleçons... Il vont se peler le jonc en la voyant violée par un colosse noir !"
De retour dans sa chambre, seule, puisque John était parti à son travail, Shannon ouvrit sa robe en éponge, et empauma ses seins au travers de sa fine chemise de nuit. Les yeux fermés, Shannon sentait se raidir ses mamelons alors qu'elle repensait à sa partouze : un homme allongé sous elle, bite dans son con lui triturait les tétons, alors qu'elle en suçait un second et que le troisième la sodomisait avec rudesse. Ayant enlevé sa petite culotte avant de sauter sur le lit, elle se tenait genoux levés, pieds en appui sur le matelas. Elle écartait largement les cuisses livrant un passage aisé à l'épais concombre qu'elle avait ramené de la cuisine, elle se masturbait la tête du légume parcourant sa fente juteuse.
- "Oooooooooooo... Ahhhhhhhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhhhh !"
Le concombre s'enfonçait cm après cm dans sa chatte accueillante.
Le lendemain matin, John reçut un appel de sa femme l'avertissant qu'elle avait été convoquée pour une séance de travail et qu'elle serait en retard cet après-midi. Il attendait ce coup de fil depuis que Carl, lui avait présenté un monstre noir ébène appelé Marcus Steel. C'était une brute impatiente de faire carrière dans l'industrie du porno, il était ravi depuis qu'il avait vu une photo de sa ravissante partenaire. John frissonna lorsqu'il s'exclama :
- "Bordel... C'est sûrement un bon coup ! Et il parait qu'elle est mariée à un petit con de blanc ! Et son imbécile de mari croit qu'elle travaille comme modèle !"
C'est alors que Carl tout sourire intervint :
- " Tu as lu le script Marcus ?"
- "Ah oui... Je me cache dans les toilettes... Connie lui dira d'aller se changer dans les toilettes quand elle arrivera, elle pensera qu'elle est toute seule dans cette série... Quand ce sera le moment, je me mettrai en mouvement et je la baiserai en affichant de la violence et du vice !"
En arrivant à l'entrepôt où Connie l'avait conduite l'autre nuit, Shannon remarqua qu'il y avait peu de voitures dans le parking adjacent où elle se gara. Pénétrant dans l'entrepôt elle fut reçue par Connie. Elle ressentait un peu d'appréhension à l'idée d'avoir des relations sexuelles avec un nouvel homme, si tôt après la partouze aussi demanda-t-elle nerveusement :
- "Tu m 'as... tu m'as bien dit... Qu'aujourd'hui un seul homme me posséderait ? Est-ce... Est-ce un des hommes de cette nuit ?
Connie sourit à la jeune femme nerveuse sachant qu'elle était vraiment anxieuse de savoir, elle lui répondit :
- "Non... Ce n'est pas l'un d'entre eux... C'est un NOIR... avec une TRES GROSSE BITE..."
En voyant Shannon frissonner à l'idée de se faire à nouveau baiser par un colosse noir, Connie ajouta :
- "Et si tu crois que tes partenaire de cette nuit étaient bien montés... Tes genoux vont trembler quand tu verras ce qu'il a entre les jambes ! Il va te faire décoller avec son engin..."
Elle la prévint que son partenaire n'était pas encore arrivé, qu'elle avait donc le temps de se changer dans les toilettes à l'étage à coté de la chambre. Shannon alla droit vers la salle de production. Les caméras étaient recouvertes de leurs protections, elle en conclut donc qu'il n'y avait personne d'autre dans l'entrepôt. Elle ignorait que le caméraman était dissimulé sous la bâche couvrant la caméra, une large assistance guettait ses gestes au travers du miroir sans tain alors que son partenaire l'attendait dans les toilettes. La pièce insonorisée derrière le miroir sans tain étai confortablement meublée de fauteuils de cuir, Carl avait voulu cela pensant qu'il pourrait accueillir confortablement ses invités et les faisant servir par d'avenantes actrices de porno avant le début du divertissement. L'assistance comprenait des distributeurs potentiels de film XXX à l'exception d'une personne : John Cumberland qui était la pour voir sa vedette de femme dans un nouveau film.
Cela faisait déjà une heure qu'ils étaient là regardant des rushs assez pourris, la chambre, l'arrivée de Marcus... Puis vint une courte vue montrant une photo de Shannon en jeune mariée, une photo que Carl avait dérobé dans leur maison lors de sa première visite.
A la vue des sous-vêtements pendants sur un paravent dans les toilettes partiellement fermées, Shannon posa son sac sur une table de nuit et déboucla l'agrafe de sa robe jaune. Le dos tourné vers les toilettes, Shannon ignorait totalement la présence de son partenaire de tournage dans son dos alors qu'elle se déshabillait.
Pour les spectateurs derrière le miroir c'était très excitant de voir le colosse noir sortir de sa cachette reluquant son insouciante proie. Des bites dressées jaillirent des caleçons, plusieurs hommes se masturbaient, Carl bichait, se rendant compte que les distributeurs pleureraient pour obtenir cette nouvelle ligne de produits.
Quelqu'un dans son dos l'agrippa totalement à l'improviste, Shannon ne poussa qu'un cri étouffé une large main noire posée sur sa bouche la bâillonnant. Instinctivement elle lutta pour repousser son agresseur, puis elle réalisa que le tournage avait commencé, les caméraman s'étaient découverts et focalisaient sur l'action. Elle n'avait aucune idée du script, tout ce qu'elle savait c'est qu'elle devrait se soumettre à un étudiant noir, Shannon comprit alors que ce film racontait un viol. Elle commençait à juter à flot dans les bras puissants de son agresseur, trempant le fond de sa petite culotte.
- "Il n'y a que toi et moi chérie... Je sais que ton mari ne rentrera pas avant des heures... Aussi pouvons-nous jouer un petit air à deux..."
La chatte trempée, les seins triturés, Shannon était franchement allumée. Rentrant dans le jeu, une fois qu'il l'eut menacée elle sanglota misérablement :
- "Oh... S'il vous plait... Je vous en prie... Ne me violez pas... S'il vous plaît ne me faites pas mal... Je vous en prie... Ne me violez pas... "
- "Non... Non... je vous en priiiiiieeeeeeee... " se lamentait-elle alors que son agresseur arrachait ses derniers vêtements.
L'assistance, y compris son mari, était captivée par sa performance, on croyait vraiment voir une innocente jeune femme se faire agresser dans la chaude sécurité de sa propre maison. Ils la regardaient continuant à se débattre, cherchant désespérément à se débarrasser de son assaillant, mais bientôt, ses derniers vêtements en lambeaux il la jeta sur le grand lit conjugal. Bras croisés pour couvrir sa poitrine dénudée, son brutal agresseur lui ayant arraché son froufroutant soutien-gorge en dentelles, Shannon se mit à pleurnicher de façon si convaincante que tout le monde oubliait qu'elle était une actrice participant volontairement au tournage d'un film porno. Personne ne pourrait croire qu'une beauté aussi innocente et naïve, avec un corps si menu puisse souhaiter avoir des rapports sexuels avec un gaillard noir aussi musculeux. Ses sanglots, ses plaintes, son expression éperdue, convaincraient les spectateurs qu'il s'agissait d'une scène d'un viol réel.
- "S'il vous plait... Ne me violez pas... Je vous en prie ! Je vous en supplie... S'il vous plait... Je n'ai jamais couché avec personne d'autre que mon mari..." suppliait Shannon se mettant dans la peau d'une malheureuse victime d'une agression sexuelle.
Alors que de larges mains noires lui écartaient brutalement les cuisses et que l'homme se positionnait entre ses jambes, Shannon secrétait un flot de cyprine anticipant ainsi ce qui allait se produire alors que le gland épais parcourait sa fente crémeuse de long en large.
- "Non... Non s'il vous plait... S'il vous plait, vous êtes bien trop gros... Vous allez me tuer... " sanglotait-elle plus vrai que nature.
- "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee... Non... Nonnnnnnnnnnnnnnn !" hurla-t-elle alors qu'il la poignardait de son énorme outil.
Le spectacle était si formidable, que plusieurs des membres de l'assistance avaient réclamé des lingettes dans lesquelles ils se branlaient langoureusement.
Puis rapidement la beauté violée fut terrassée par un orgasme intense alors que son agresseur secoué de spasmes convulsifs lui injectait dose sur dose de son foutre crémeux au fin fond de l'utérus.
Ceux qui avaient réclamés des lingettes les jetaient toutes poisseuses dans les paniers à papiers tendus par les hôtesses.
Un peu plus tard, ils tournèrent la scène suivante, son agresseur la fit mettre à quatre pattes et la posséda alors en levrette. Les spectateurs étaient enchantés de voir jouer une jeune femme à l'air aussi innocente et pure. Les miroitements de son alliance renforçaient l'érotisme de la scène, cela confirmait que c'était bien une jeune femme mariée qui se faisait violer sur son lit conjugal.
John Cumberland qui avait emmené sa femme dans un grand restaurant, commanda une bouteille de champagne, pour célébrer la première prestation de modèle de sa femme. Comme il s'enquérait du déroulement de la prestation, Shannon lui répondit :
- "Oh, c'était assez difficile au début, mais une fois que me suis habituée, le reste de la journée passa vite !"
Une fois de plus elle ne lui mentait pas, elle avait déformé les événements, mais elle ne lui avait pas menti. D'après ce dont il avait été le témoin cet après-midi, en fait son adorable femme avait eu le temps de s'adapter à la taille de la bite de l'athlétique agresseur noir qui l'avait surprise dans les toilettes. Puis cela avait été plus facile pour elle lorsqu'il la prit en levrette, ce qui paraissait évident en l'entendant gémir alors qu'elle rebondissait d'orgasme en orgasme. John ne comprenait pas comment sa femme pouvait avoir un comportement si normal, après ce qui venait de se passer plus tôt ce dernier jour.
Peu après la fin de sa scène en levrette, Carl l'avait proposée aux distributeurs s'ils passaient commande dès maintenant. Alors que tout le monde réclamait une copie des rushes, Carl négociait avec trois distributeurs leur expliquant que cela dépendrait du niveau de leurs arrhes.
Comme il y avait des hommes de différentes races dans l'assistance Carl pensa organiser son premier gang bang, ils la disposèrent de telle façon qu'elles puissent être possédée par plusieurs hommes simultanément. John se contentait de regarder de l'extérieur, alors que trois hommes savouraient conjointement les charmes de son adorable petite femme.
Alors que Carl relevait les avances sur distribution, les hommes se mettaient dans la queue, et bientôt les douze distributeurs étaient prêts à se la faire.
Le chinetoque laid avait saisi ses cheveux et glissait sa bite entre les lèvres de Shannon l'encourageant :
- "Suce moi chérie... Suce moi ! "
L'espagnol qui caressait son délicieux petit derrière :
- "Oh putain qu'est qu'elle a un beau cul cette pute blanche ! "
Le troisième était un petit et gros grec, il s'exclama :
- "Donne moi quelques seconde ma douce... Les mecs je n'ai jamais vu de pute ayant l'air aussi innocente !"
Lorsque tous les distributeurs eurent testé ses charmes, John qui était resté dans la salle au miroir sans tain, vit les distributeurs se répartir dans la salle, sirotant des boissons que leur préparaient des hôtesses peu vêtues.
Alors que Connie accompagnait Shannon pour l'aider à se nettoyer, John entendit Carl annoncer :
- "S'il vous plait restez avec nous pour partager le pot de l'amitié, notre ravissante vedette va nous rejoindre... Votre première présentation avait peu de chance da la laisser échanger quelques mots avec vous, et je suis sûr que vous serez heureux de la rencontrer de façon plus conventionnelle."
Un grand silence se fit alors que la vedette réapparaissait, vêtue d'un élégant tailleur ivoire, chaussée de hauts talons que Connie avaient achetés pour cette circonstance, sachant que les vêtements qu'elle portait en arrivant seraient en lambeaux. John se passa la langue sur les lèvres, avalant cul sec son verre alors que Carl l'annonçait :
- "Et maintenant notre vedette ! La star de notre firme... la sensationnelle et sensuelle Shannon !"
John n'en croyait pas ses yeux de voir sa jolie jeune femme accepter une coupe de champagne et tendre la main à chacun de ces hommes ambitionnant de la rencontrer de façon tout à fait conventionnelle. Alors que Shannon sirotait son verre encerclée par les distributeurs, on se serait cru à une réunion sans cérémonie plutôt qu'à une séance après gang bang.
- "Mon Dieu... On dirait qu'elle rencontre ces hommes pour la toute première fois... Alors qu'ils l'ont tous baisée... Se faisant sucer, la baisant en con et en cul ! "
Un peu plus tard, John vit le petit Grec en grande conversation avec Shannon sa main dodue posée sur sa taille. Il le vit lui donner une carte professionnelle avant de se retirer, Shannon se baissa un peu et lui donna un baiser sur la joue, puis elle lui grignota l'oreille. Une fois son verre vide reposé sur le plateau tendu par une hôtesse, le grec entra dans la salle au miroir sans tain pour récupérer son manteau. John s'efforça de déglutir comme il s'esclaffait :
- "Avez vous participé au gang bang ? Mec je ne peux pas attendre la semaine prochaine... Je lui ai fait une proposition... Qu'elle a accepté !"
- ...
Elle se montrait si douce et réservée, que John avait bien du mal à croire que cette jeune femme qu'il venait d'épouser il y a peu, et qui était si sereinement assise à la table du restaurant ne faisait que jouer le rôle d'une jeune femme guindée. Non seulement Marcus l'avait sautée, mais la douzaine de personne formant l'assistance l'avait aussi possédée. Certains l'avaient même baisée plusieurs fois, sans oublier le final qui les avait vu tous se branler et éjaculer sur son visage et sa poitrine. Cela s'était terminé par un masque facial, tous les spectateurs projetant leur derniers jets de protéines sur son visage saturé.
Et plus tard après s'être douchée, se curant de toute souillure, elle était réapparue si élégante, se comportant comme si elle rencontrait pour la première ces gens dans un meeting. Si élégante dans le tailleur que Connie lui avait acheté spécialement pour cette occasion, cette tenue lui semblait si naturelle que John comprenait pourquoi ils avaient tous hâte de la revoir.
Plus tard dans la semaine, Shannon eut la visite surprise de Connie, elle pensa tout d'abord qu'elle allait devoir tourner un nouveau film XXX. Mais à sa grande surprise, Connie lui tendit une enveloppe disant :
- "Carl veut être certain que sa vedette tire des bénéfices de ses performances !"
Ouvrant l'enveloppe, Shannon, en laissa tomber la mâchoire en voyant une liasse de billets de 100 $, puis Connie ajouta :
- "Le film t'a rapporté 5.000 $ beaucoup plus que le gain d'une vedette du porno, mais Carl dit que tu les vaux bien !"
Le cœur de Shannon s'emballa, elle n'avait jamais pensé tirer un seul centime de ces tournages forcés, mais maintenant elle était totalement abasourdie en voyant qu'elle avait gagné tant d'argent.
Lorsque John Cumberland vit la liasse de 100 $ que Shannon venait de poser devant lui sur la table, il ne put qu'avaler sa salive et se mordre la langue. Un total de 5.000 $... La somme exacte en billet de 100 $ qu'il avait donné à Carl Morton pour régler les dépenses de la boite de production.
Comme Shannon s'exclamait à quel point elle était fière de contribuer aux dépenses du ménage, John était dans l'embarras alors qu'elle précisait à quel point elle aimait son nouveau métier.
Vendredi matin, au petit déjeuner, tandis que Shannon réclamait des précisions au sujet de sa mission, John était certain qu'elle voulait s'assurer qu'il ne serait pas à la maison, et même qu'il serait hors de la ville, ce qui lui permettrait de rencontrer le petit taureau grec.
- "Je t'appellerai vers 19 heures... D'accord ?" l'interrogea-t-il.
- "Oh... Je pensais sortir avec de vieilles amis du collège, aussi ne serai-je pas à la maison si tôt !" obtint-il en guise de réponse.
John s'attendait à ce qu'elle trouve un prétexte quelconque, il se rappelait ce que lui avait confié le grec, le vieillard dodu, très excité lui avait révélé :
- "Je lui ai proposé 1.000 $ pour une nuit entière avec elle... Un dîner élégant puis une séance de baise... Et elle a accepté ! Avant que je la quitte, elle m'a proposé :
- "500 $ de plus et vous me baisez sur le lit que je partage avec mon époux !"
- Eh copain... vendredi soir lorsque son mari sera en voyage d'affaires hors loin d'ici !"
Ayant annulé son voyage d'affaires, John avait programmé de se servir d'une voiture de location pour rentrer chez lui et se garer dans la rue. La perspective d'épier sa femme en compagnie du petit taureau grec de le voir goûter à ses charmes, d'autant plus que ce soir cela se passerait dans leur lit conjugal, l'excitait au plus haut point.
Ayant jeté un oeil sur le calendrier menstruel de Shannon, il savait que ce week-end elle serait pleinement fertile... Le meilleur moment pour l'engrosser, c'est d'ailleurs ce pourquoi il avait annulé son voyage d'affaires.
John se demandait si elle avait dit au petit taureau grec d'enfiler une capote... Mais il suspectait que non !
FIN.
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