Histoire d'Elko.
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La déchéance de ma famille.
Quelques jours plus tard, je commençai mon stage. Comme tous les matins, Audrey et Marine venaient nous chercher Caroline et moi. Ce matin là, je m'étais habillée d'une mini jupe en cuir noir sur des collants noirs. Le printemps étant enfin arrivé, je mis un haut décolleté qui moulait mes seins. Audrey et Marine avait insisté pour que je mette durant mon stage des escarpins que je ne mettais habituellement que pour aller en boite. La paire que je porte aujourd'hui est d'un rouge vif éclatant! Ma mère, elle, est habillée très classe. Un tailleur blanc sur des bas blancs satinés et des talons aiguilles couleur ivoire. A peine entré dans notre salon, Audrey et Marine nous ordonnerent de retrousser nos jupes dévoilant notre chatte. Elles décidèrent d'un petit jeu avant de partir au travail.
- Vous allez nous lécher la chatte, la première qui nous fait jouir a gagner, la seconde aura un gage.
Nous nous exécutons immédiatement. Agenouillées devant nos tortionnaires, maman s'occupe d'Audrey et je m'approche de Marine. Elle agrippa mes cheveux et me força à lécher sa fente. Je lui donne des coups de langue espérant la faire jouir rapidement. Marine donne des coups de reins en haletant. Mon père regarde le spectacle sans dire un mot.
Je caresse la vulve de Marine avec mes doigts puis en donnant des grands coups de langue. A coté de moi, maman bouffe la chatte d'Audrey qui gémit. Marine agita son bassin de plus en plus violemment. J'agite mes doigts dans sa fente rapidement ce qui la fit jouir. Son orgasme la fit hurler de plaisir et elle resta bouche ouverte, haletante. J'ai de la mouille sur le visage et m'essuie avec un mouchoir. Furieuse, Audrey repoussa maman qui tomba a terre.
- T'es vraiment nulle ma pauvre. T'as un gage !
Je me demandais en quoi allait consister le gage et maman aussi sans doute.
- J'ai une idée, lança Audrey, allez on part au boulot.
Nous nous préparons pour sortir de notre pavillon. Je baisse ma jupe et maman va pour faire la même chose quand Audrey l'arrête.
- Non! C'est ça ton gage, tu vas jusqu'à la voiture jupe troussée et cul nu !
Maman blêmit sous son maquillage.
- Mais... les voisins vont me voir...
- C'est bien ce qu'on espère!! lancèrent Audrey et Marine en éclatant de rire.
Rouge de honte, maman dut obéir, elle sortit de notre pavillon, courant presque sur ses talons aiguilles, jupe tirebouchonnée autour de la taille laissant apparaître son porte-jarretelles blanc immaculé tenant ses bas satinés. Je la suis jetant des regards alentour. Aucuns voisins à l'extérieur. Mon cœur fit soudain un bond dans ma poitrine ! J'aperçoit derrière sa vitre, monsieur Lambert, notre vieux voisin. Il a au moins 70 ans. Un gros pervers qui nous matte régulièrement moi et maman. Le rideau de la fenêtre se rabat subitement.
Nous montons précipitamment dans notre Mercedes et nous démarrons.
Maman et moi sommes a l'arrière, coincées entre Audrey et Marine qui nous caressent la vulve ou nous malaxent les seins à travers nos vêtements. Maman a du ouvrir sa veste de tailleur exhibant ses seins dégagés de son soutien-gorge. Audrey m'a enfoncé deux doigts dans ma chatte et elle les agite vigoureusement me faisant couiner et mouiller. Marine suce les pointes des seins de Caroline.
Antoine, mon père, conduit la Mercedes tout en jetant des coups d'œil dans le rétroviseur. Cela dure ainsi toute le trajet nous mettant dans un état d'excitation intense. Nous arrivons dans l'entreprise où travaillent mes parents.
Comme par hasard, j'ai été affecté à la DRH qui est dirigée par maman. Elle entre dans son bureau saluant les secrétaires. Il n'y a pas que des femmes dans son service. Deux hommes, Guillaume et Fabrice, la trentaine la saluent en matant ses jambes ou son cul ou les deux, je ne sais pas trop...
Ils me lancent un regard rempli de convoitise. Faut dire qu'avec ma jupe en cuir et mes talons aiguilles rouges je ne passe pas inaperçu. Audrey et Marine me donne des photocopies à faire (travail de stagiaires !!) pendant qu'elles prennent un café avec leurs collègues.
La matinée se passe tranquillement à part Audrey et Marine qui me caressent le cul ou les seins dès qu'elles le peuvent. C'est dans l'après midi que cela c'est un peu gâté
J'avais terminé mon travail et Audrey et Marine me demandèrent de venir avec elles. Elles m'emmenèrent au second étage , l'étage de la direction. Nous entrons dans le bureau de monsieur Dumoulin, le PDG de la boite. Un homme petit et gros. Je reste stupéfaite devant la scène que je découvre : Maman, debout sur ses escarpins, jupe enroulée autour de la taille, veste ouverte, seins hors du soutien-gorge, se tenant au bureau, se fait pilonner par monsieur Dumoulin qui la tenant aux hanche la pilonne comme un fou lui donnant de violents coups de reins faisant sauter ses seins. Son gros ventre vient claquer contre ses fesses. Mon père debout à coté de ma mère regarde la scène.
Audrey et Marine me pousse dans le bureau.
- Voila la fille, Monsieur le Directeur. Comme promis !
Monsieur Dumoulin tourna la tète vers moi.
- Aussi salope que la mère ?
- Pire Monsieur le Directeur, pire !
Audrey soulève ma mini jupe en cuir dévoilant mon collant. Elle me positionne à quatre pattes et m'oblige à aller vers Monsieur Dumoulin qui continue de baiser ma mère.
Monsieur Dumoulin sortit son sexe de maman et me l'enfourna dans la bouche m'ordonnant de le sucer. Je m'appliquais du mieux que je pouvais bien que je n'aie pas pas une grande expérience dans le sujet. Je lui pompe la bite, léchant le gland, salivant dessus. Monsieur Dumoulin m'agrippa les cheveux et fit coulisser sa queue rapidement dans ma bouche m'étouffant à moitié.
Pendant ce temps, Audrey et Marine exige de mon père qu'il enlève son pantalon. Il se retrouve la bite à l'air. Monsieur Dumoulin a de nouveau enfournée maman et il s'agite comme un fou dans sa chatte. Caroline halète et gémit en ouvrant la bouche sous les coups de reins de son patron.
Je fut trainée par Audrey vers mon père.
- Suce ton père, petite chienne !
Horrifiée, je proteste. Audrey et Marine me pousse en avant me contraignant à avaler la bite d'Antoine. Mon père me jette un regard. Je m'active sur sa queue, lui léchant la hampe de bas en hauts, lui titillant le gland. Mon père bande comme un fou, j'ai presque du mal a tenir son sexe dans ma main. J'entends ma mère qui pousse un cri de protestation. Monsieur Dumoulin vient de l'enculer sans ménagement. La tenant aux hanches, il lui défonce son cul avec frénésie.
Sous mes coups de langue, papa ne tarda pas à jouir en grognant. Une importante quantité de sperme gicla dans ma bouche, débordant, coulant sur mon menton.
Monsieur Dumoulin éjacula sur le cul de Caroline et me promis que la prochaine fois, il me baiserait.
Ce fut ainsi pendant tout mon stage qui heureusement ne durait que quinze jours. Maman et moi nous étions régulièrement baisées soit par Monsieur Dumoulin, soit par Audrey et Marine. Le dernier jour de mon stage, je préparais mon rapport que je devait faire signer à la DRH, ma mère donc.
J'entrais dans son bureau et malgré tout ce que j'avais déjà vu, j'eus un choc en découvrant la scène.
Antoine, entièrement nu, se faisait fouetter par Audrey avec un martinet, un chat à neuf queues comme on dit, ma mère, accroupie, pompait les bites de Guillaume et Fabrice, alternant entre les deux queues, ses mains manucurées s'agitaient autour de leurs bites. Marine s'approcha de moi et souleva ma petite jupe Ecossaise. Dessous, je ne porte rien a part des bas auto-fixant.
Elle me caresse la vulve, me faisant mouiller immédiatement. Caroline penchée en avant suce la bite de Fabrice pendant que Guillaume, la tenant aux hanches la pilonne comme un fou.
Audrey ordonne à mon père de se masturber. Marine me poussa contre le bureau et commença à me bouffer la chatte avec application me faisant gémir comme une folle. Je me mords les lèvres, secouant la tête de droite à gauche. J'entends les grognements de mon père se faisant masturber par Audrey qui prend un plaisir sadique à s'arrêter juste avant qu'il n'éjacule maintenant la pression. J'entend les cris de maman défoncée par Fabrice a quatre pattes au milieu de son bureau.
Marine agite ses doigts dans ma fente me faisant couiner de bonheur. Guillaume et Fabrice demandèrent à baiser la mère et la fille. Nous nous retrouvons , maman et moi, cote à cote, debout sur nos escarpins. pilonnées par Guillaume et Fabrice. Nos gémissements puis nos cris emplissent le bureau. Audrey prend des photos pour les montrer à Monsieur Dumoulin. Marine se fait lécher la fente par mon père pendant qu'Audrey lui fouette le cul avec le chat à neuf queues...
Mon stage terminé, je pensais que le cauchemar l'était aussi, du moins pour moi. Je me trompais...
Je rentrais des cours et à peine étais-je rentrée dans notre pavillon que j'entendais les cris et les gémissements, je fut horrifiée par le spectacle.
Caroline, ma mère, vêtue d'une tenue de soubrette, robe noire ultra courte lui arrivant aux tiers des cuisses, petit tablier blanc, bas résilles et talons aiguilles vertigineux se fait baisée comme une chienne par Monsieur Lambert notre vieux voisin, il la pilonne son ventre flasque venant claquer contre les fesses de maman. Elle porte un collier autour du cou et une laisse pend entre ses seins. Mon père porte un porte-jarretelles en vinyle et des bas noirs. Il titube sur des escarpins. Lui aussi porte un collier et une laisse. Ils sont tout deux bâillonnés par des boules en latex enfoncées dans leur bouches. Il est à quatre pattes dans le salon et derrière lui, le tenant aux hanches, Audrey équipée d'un gode-ceinture lui défonce son cul.....
- Alors petite chienne ? Tes parents nous appartiennent maintenant.
Je me retourne. Marine, Monsieur Dumoulin, Guillaume et Fabrice sont là également...
Vous devinez la fin n'est ce pas ? Maman et moi avons été défoncées tout le Week-end par ces pervers. Papa est devenu la lopette d'Audrey et Marine. Maman la pute de Monsieur Dumoulin et Monsieur Lambert et moi la chienne de Guillaume et Fabrice...
FIN
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