jeudi 19 janvier 2023

Un fils qui aurait mieux fait de s’occuper de ses oignons - Ch 01.

 Texte de Lecrapo

     *****

Un garçon qui veut calmer les sorties de sa mère.

A 50 ans, ma mère est ce que l’on appelle quelqu’un de provocateur dans le sens où elle aime mettre en valeur ses charmes. Cela a posé des problèmes de couple avec mon père, mais elle a toujours réussi à ne jamais aller trop loin et ne l’a jamais trompé. 

Hélas, elle sombrait de plus en plus dans l’alcoolisme, car elle fréquentait des amies à elle, portées sur la bouteille et la fête à la différence qu’elles étaient toutes divorcées et donc libres. Chaque samedi soir, en fin de semaine, elle sortait avec ses amies pour se détendre soit-disant après le travail (elle est caissière). Mon père était blasé et la laissait faire à la fin, sans plus rien dire.

Ses tenues raccourcissaient au fur et à mesure et il arrivait que cela frise l’indécence. Puis, à force , ce qui devait arriver arriva et, sous l’effet de l’alcool, elle finit par coucher avec un mec de mon âge (28 ans). 

Ma mère n’est pas un canon mais Sylvie (son prénom) a des atouts qui font flasher les hommes. Des cheveux noirs, des yeux bleus avec un visage sans trop de rides, une grosse paire de loches naturelles et des lèvres digne d’une suceuse. Comme elle mettait des mini-jupes et des talons aiguilles sans bas, on avait l’impression de deux jambons, certes pas très beaux mais suffisamment vulgaires pour ne laisser aucun mâle indifférent. Ses coucheries se surent mais ma mère nia et devant l’incertitude, mon père ne voulut pas divorcer. 

Moi, ayant été viré de mon job et viré par ma copine, je dus retourner vivre dans le petit appartement de mes parents. C’est à ce moment que je découvris le véritable visage de Sylvie que je savais être provocante mais jamais aussi salope. A ce moment-là, je fréquentai une arabe non musulmane qui avait un frère avec qui je m’entendais plus ou moins bien. Je lui confiai les problèmes de chez moi et il me dit qu’il l’avait déjà croisé en boite. Nadir m’avoua qu’il n’avait pas voulu m’en parler de peur de me faire honte. Il confirma ses états d’ébriétés et le nombre incroyable de mecs qui tournaient autour d’elle à ces moments-là. Je ne savais pas quoi faire et il me dit :

- Le mieux est de lui donner une leçon de savoir vivre!

- Mais comment ?

- En lui faisant peur !

- Tu veux que je lui fasse peur ?

- Pas toi, mais tu peux dire à des mecs de faire croire qu’ils veulent la violer !

- Pas question, Nadir ! Ça va la traumatiser.

- Dans ce cas-là, elle sera toujours une salope et déjà sa réputation fait le tour du quartier. Je crois qu’il vaut mieux pour toi et surtout pour elle qu’elle arrête ses conneries.

- Tu as raison, mais on peut faire quoi ?

- J’ai des potes qui vont se faire une joie de la faire flipper, mais en échange ils vont demander du fric, environ 60 euros.

- J’ai pas trop de fric, mais je leur donnerai.

- Alors c’est bon ! Je suppose qu’elle sort toujours au même endroit ?

- Oui !

- Bon, je te garantis que c’est le dernier week-end où elle fera des conneries. Dès lundi, elle redeviendra normale.

- Merci mon pote, mais je veux être là pour le cas où !

- Pas de soucis mais reste planqué, ok  ?

J’étais soulagé à l’idée que tout puisse rentrer dans l’ordre et de calmer ma mère. On mit au point un plan. Parmi les potes de Nadir, il y avait un mec beau gosse, 25 ans à peine, et sa mission était de séduire ma mère et de l’entraîner au-dehors. Là, les autres feraient mine de l’agresser pour la violer et au dernier moment la relâcherait en lui faisant la morale.

Mais ça ne s’est pas passé comme prévu. Le samedi suivant, j’accompagnai Nadir qui m’avait présenté les fameux mecs en question. Ils semblaient réglos. Sylvie se pointa une demi-heure plus tard avec ses amies. Ma mère avait mis une mini-jupe en cuir, les cuisses à l’air, des talons hauts et un top au large décolleté. Je me suis dit qu’elle n’avait pas honte de s’habiller ainsi et je jubilai presque à l’idée de lui montrer que sa façon de se vêtir était honteuse.

Les potes en question entrèrent en scène et le gars chargé de la séduire entra dans la boite. Il semblait connu vu qu’il rentra gratos. Ma mère était déjà saoule et désinhibée. Il fut facile de la draguer. Au bout de trois quarts d’heure, le gars sortit avec elle et l’emmena dehors. Un peu plus loin, il y avait un parc où la journée, les familles venaient se promener. Je me mis en retrait et tentai de les suivre en me cachant. Ma mère était bien ivre et elle disait de belles bêtises en riant. Elle ne se rendait même pas compte que le jeune gars la trimballait afin de l’attirer dans un traquenard.

Et voilà que la bande sortit. Ma mère ne réalisa pas sur le coup. Puis le beau gosse la poussa vers les autres qui la saisirent par les bras. Tout en l’insultant, ils lui administrèrent deux claques et lui arrachèrent son top en tirant sur l’échancrure comme des fous. C’est à ce moment que je sus que tout allait dégénérer. Lui arracher ses vêtements ne faisait pas partie du contrat. Je n’osai pas intervenir, car j’avais encore plus honte que ma mère, bien que saoule, me reconnaisse et comprenne que je suis en partie responsable de ça.

Là, celui qui lui avait arraché le top lui extirpa les seins du soutien-gorge et se mit à les malaxer. On lui ôta ensuite sa mini-jupe en tirant dessus. Puis ce fut le tour de son string rouge. En un clin d’œil, elle fut nue en plein milieu du parc, au milieu d’un tas d’homme qu’elle ne connaissait pas. Mais elle ne semblait même pas réagir. Ses copines, de leur côté, avaient vu Sylvie sortir de la boite en compagnie de ce jeune mec encore plus jeune que moi, son fils. Elles ne s’inquiétaient même pas pensant qu’ils prenaient du bon temps tous les deux.

Rapidement, les hommes sortirent leur pine que ma mère engouffra tour à tour dans sa bouche. Je fus surpris qu’elle le fasse sans réagir comme si c’était une habitude. Elle les suça copieusement en léchant le gland de ces hommes. On aurait dit une sorte de film de cul tourné par un mauvais cinéaste du genre. Sa bouche pompait et pompait avec une incroyable dextérité. Les hommes prenaient leur pied et continuaient à l’insulter de plus belle. En fait (avec l’aide de l’alcool), elle avait accepté de baiser tous ces mecs. Une folie. Deux d’entre eux giclèrent dans sa bouche. Elle en avala une partie mais le reste avait été trop rapidement projeté et coula sur elle en collant ses cheveux et son visage. Elle sentit un doigt qui s’insinua dans son anus puis dans son vagin. Le doigt dans le vagin l’excita et elle se mit à mouiller. Ses deux orifices furent mis à contributions. L’un la souleva et la pénétra par l’anus tandis qu’un autre la pénétrait en même temps par la foune.

Les sexes limaient les deux orifices arrachant des gémissements de plaisir à Sylvie, à moitié consciente. Les mains du beau gosse malaxaient la paire de loches gluante aux longs tétons. Un groupe de jeunes qui sortait de la boite passèrent près du parc et virent l’attroupement. Ils crurent que Sylvie était une pute ayant fait un prix de groupe. La bande qui baisait Sylvie les firent payer et à leur tour, se mirent à la prendre par tous les orifices et à plusieurs dessus.

Ma mère suintait le sperme de partout et sa peau luisait sous la pleine lune. Elle commença à hurler très fort attirant d’autres mecs qui payèrent à leur tour. Ils déversèrent une quantité de foutre extraordinaire entre les deux nibards. Elle se l’étala copieusement tout en suçant la moindre verge se présentant à portée de sa bouche.

Deux amies qui s’inquiétaient de ne pas la voir revenir sortir et le videur leur indiqua en souriant qu’elle se trouvait dans le parc. Là, elles virent le manège de Sylvie. Elles la virent en pleine action, prenant son plaisir à se faire baiser comme la dernière des putes. Pourtant, chaudes, elles furent choquées de la voir se comporter comme ça. Même elles n’auraient jamais eu l’audace de se faire prendre par autant de personne à la fois. Elles rentrèrent dans la boite un peu en colère.

Finalement, après s’être bien vidé, ils la laissèrent à même le gazon entièrement nue, épuisée et recouverte de sperme de la tête au pied. Le beau mec l’insulta et lui dit que dorénavant, elle devrait cesser de se comporter comme une pute sous peine d’avoir de gros ennuis. Sylvie s’endormit, nue, ivre et fatiguée jusqu’à ce que ses copines viennent la chercher et la ramène chez elle en piteux état.

Deux jours après, Nadir m’appelle, apeuré, et me dit :

- Putain, ils veulent à nouveau se taper ta mère ! On est dans la merde ! Je leur ai proposé du fric, mais ils ont rigolé et ils ont dit que ça vaut pas son cul ni ses nibards.

J’ai compris que j’avais fait une belle connerie en essayant de ne pas m’occuper de mes oignons. Au lieu de la rendre normale, j’en ai fait une pute. Et donc à ce jour, celle qui se fait le plus baiser dans l’affaire, c’est ma mère.

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