lundi 9 janvier 2023

La naissance d'une esclave Ch. 03

 Texte de Dom Star

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La deuxième punition.

Depuis quelque temps, j’avais en tête d’obtenir une promotion dans mon job. Plusieurs fois j’avais déjeuné avec mon patron, mais les résultats de ces entretiens ne se faisaient guère sentir. Alors j’ai eu l’idée d’organiser un déjeuner à la maison. J’avertissais ma femme que mon patron viendrait déjeuner à la maison et qu’à cette occasion je comptais la punir d’une autre façon.

Le matin du déjeuner je préparais la tenue de ma femme. Une robe moulante, mais pas trop courte, avec juste un décolleté légèrement coquin. Je préparais des bas et portes jarretelles. Je lui précisais bien que je voulais qu’elle passe sa culotte style boxer noir sur son porte-jarretelles. Je lui annonçais le scénario du déjeuner. Elle me regardait en écoutant attentivement toutes les explications.

Avant de passer au bureau je m’arrêtais dans un magasin spécialisé dans les affaires de chevaux pour acheter une cravache. Une vendeuse me proposait plusieurs modèles et devant mon indécision, elle me questionnait :

- « C’est pour un étalon ou un jeune cheval ? »

Quand je lui annonçais timidement que c’était pour ma femme et que je m’attendais à une réprobation de sa part, elle eut une réaction inattendue. Elle appelait son directeur et lui expliquait mon cas. Le directeur était un homme d’une soixantaine d’années, très smart et d’aspect très sévère. Il me guidait vers le fond de son magasin en m’expliquant qu’il avait exactement ce qu’il fallait : une cravache douce pour la peau des jeunes pouliches. Il m’expliquait que les traces de coup disparaissaient en peu de temps, que ces cravaches étaient faites d’une peau spéciale… Devant mon étonnement, il me proposait une démonstration. J’acceptais. Il appelait alors la vendeuse :

- « Marthe, annoncez une fermeture de dix minutes, nous avons une démonstration à faire.»

Je ne comprenais pas trop ce qui allait se passer… Marthe fermait le magasin, puis se présentait devant le directeur au fond du magasin.

- « Penchez-vous ! »

Marthe se penchait tout en relevant sa jupe pour dévoiler un joli petit cul nu, mignon à croquer. Je voyais son directeur prendre une cravache, l’assouplir de quelques coups dans le vide puis brusquement frapper un coup sonore sur les fesses de Marthe. Une rayure rouge zébrait le petit cul de Marthe. Marthe n’avait pas bronché. Personne ne bougeait. Une à deux minutes s’écoulait. La zébrure commençait déjà à s’estomper. Le directeur annonçait :

- « Vous voyez, dans quelques instants plus de trace de coup ! Marthe vous pouvez aller ouvrir le magasin.»

Devant mon étonnement, le directeur m’expliquait qu’il aimait bien dresser ses vendeuses et que si j’étais intéressé il pourrait à l’occasion me faire une démonstration plus longue du dressage des pouliches… Rendez-vous pris pour plus tard je partais au boulot avec une belle cravache dans mon sac et une belle idée de punition.

A midi, mon patron et moi nous prenions la route pour déjeuner à la maison. Sur le trajet il m’expliquait son plaisir de faire la connaissance de mon épouse. Elle nous accueillait à notre arrivée avec un grand sérieux. Elle faisait vraiment petite femme d’intérieur dans sa robe noire et avec ses bas résilles. Elle se tenait bien cambrée sur des escarpins assez hauts, sa poitrine bien mise en valeur. J’avais bien vu que mon patron s’était laissé à jeter un regard dans le décolleté de ma femme.

Nous sommes passés dans le salon pour prendre l’apéritif. La table basse, entourée de fauteuils profond, était garnie de bouteilles et divers petits gâteaux. Ma femme en servant mon patron était obligée de bien se pencher face à lui. Je devinais qu’il devait bien voir ses seins dans le décolleté et moi je voyais bien ses fesses tendues vers moi. Quand elle me servait, je voyais que ma femme avait bien retenu sa leçon. Elle me servait en tendant sa croupe vers mon patron. Un apéritif spécial…

Après s’être servie, elle s’asseyait dans un fauteuil en croisant haut ses jambes tournées vers mon patron. Je devinais qu’il devait avoir un bel aperçu des jambes de ma femme. A chaque occasion de présenter un gâteau je voyais bien ma femme décroiser lentement ses jambes, les tenir un peu écartées et se pencher vers mon patron pour lui tendre le plat. Lui se penchait en avant et je voyais son regard dirigé vers l’entre-jambe de ma femme, il devait voir le porte-jarretelles ainsi que le boxer noir de ma femme. Nous avons joué à ce petit jeu une bonne demi-heure. Je voyais le visage de mon patron prendre une belle couleur cramoisie, mais rien au niveau de son pantalon.

Nous passions à table et ma femme commençait le service. Elle servait impeccablement mon patron, puis moi-même. En arrivant à sa place elle avait un mauvais geste et renversait son verre de vin sur la table. Je me levais excédé et lui disais que c’en était trop. Qu’il fallait qu’elle apprenne à se tenir et que je la punisse. Je prenais ma cravache dans mon sac et je me plaçais derrière ma femme. Elle ne s’attendait pas à me voir avec un tel outil et son regard était vraiment effrayé. Je la penchais sur la table, relevais sa robe et frappais un coup sec sur ses fesses. Mon patron était muet et immobile. Mais il n’avait rien perdu du spectacle le coquin. Je rabaissais la robe et je reprenais ma place à table normalement.

- « Tu peux continuer à servir le repas, mais gare à tes bêtises ! »

Mon patron pour faire diversion me parlait de futurs projets et je l’écoutais attentivement. Au second plat, ma femme arrivait avec un poisson et une sauce hollandaise. En servant mon patron, le plateau laissait échapper la sauce hollandaise qui se répandait sur le pantalon de celui-ci.

- « Alors là tu dépasses les bornes, tu vas t’excuser et réparer ces dégâts, après tu auras ta punition »

Elle s’approchait de mon patron et avec sa serviette, elle épongeait la crème sur le pantalon de mon patron. Je la voyais qui s’appliquait à bien masser la cuisse, puis avec de petits gestes lents s’approchait de l’entre-jambe. Mon patron insistait pour qu’elle cesse, en prétextant que ce n’était rien, mais je voyais qu’il commençait à apprécier ces caresses détournées. Une bosse commençait à se former… Je voyais la main de ma femme s’occuper doucement de cette bosse, l’essuyert en insistant un peu, et la bosse grossissait. Le visage de mon patron était de plus en plus cramoisi. 

Finalement toute la crème avait été épongée. Je lui demandais alors de se pencher sur la table. Je relevais à nouveau sa robe, elle nous présentait son joli petit cul, avec son boxer et son porte-jarretelles. Je tendais la cravache à mon patron et lui disait :

- « C’est à vous de la punir. »

 Il hésitait. Ma femme le regardait et lui disait :

- « C’est vrai, j’ai fait une bêtise sur vous alors je mérite une bonne correction.»

- « Non je ne peux pas faire cela ! »

- « Comme vous voulez ! ».

Je lui prenais la cravache des mains et baissais le boxer. On voyait maintenant ses fesses, et comme elle était penchée sur la table, son sexe aussi était apparent. Je frappais une bonne dizaine de coups sur les fesses de ma femme. Elle se mettait à gémir sous mes coups et ses yeux se bordaient de larmes, feintes ou pas, je ne savais pas.

A la fin je regardais mon patron, il avait les yeux rivés sur le fessier de ma femme et une énorme bosse tendait son pantalon.

- « Vous avez été fort, elle doit souffrir, je ne peux pas la laisser être punie aussi sévèrement ! » annonçait le patron.

- « Si vous voulez atténuer ses souffrances, vous n’avez qu’à lui masser les fesses avec cette crème, moi je trouve que sa punition n’est pas encore assez forte !»

Et là je découvrais mon patron qui appliquait de la crème sur les fesses de ma femme. Je le voyais prendre une noisette de crème, puis bien l’étaler. Au début ces caresses étaient thérapeutiques mais maintenant je le voyais insister. Il s’était placé derrière ma femme et tout en la massant il regardait ce cul et ce sexe bien humide. La bosse de son pantalon ne faisait que grossir. Ma femme ondulait du cul devant lui et on sentait bien que les caresses faisaient l’effet escompté.

Je décidais d’intervenir. Je poussais mon patron et plaçais ma main entre les cuisses de ma femme. Je glissais deux doigts dans sa chatte, elle était trempée. Je me retournais vers mon patron et le prenant à témoin, en lui présentant mes doigts trempés, j’annonçais :

- « Cette garce prend du plaisir, alors que je voulais la punir !!! Vous l’avez trop bien caressée ! »

J’appliquais alors une violente série de coups de cravaches sur les fesses de ma femme et je m’éloignais. Ce que je voyais me plaisait ! Mon patron s’approchait de ma femme et doucement lui massait les fesses. Il se penchait et lui parlait doucement à l’oreille. La bosse de son pantalon n’avait pas diminué… bien au contraire.

- « C’est vrai que vos mains me font beaucoup de bien et j’ai la chatte qui mouille quand un homme sait si bien me caresser les fesses » lui annonçait ma femme.

Elle joignait les actes aux paroles et se saisissait de la main du patron pour la guider vers sa chatte. Mon patron me regardait et ne savait comment réagir.

- « Je crois que nous avons une petite chienne en chaleur, et qu’il va falloir la calmer ! » annonçais-je.

- «Vous devriez lui caresser un peu la chatte, que nous puissions ensuite terminer notre repas ».

L’étonnement de mon patron était tel qu’il restait immobile. Ma femme se tournait vers lui et guidait sa main dans sa chatte de manière plus autoritaire.

- « J’ai envie que tu me fasses jouir » disait-elle.

Tout en lui faisant cette demande, elle se mettait à lui caresser l’entre-jambe. Elle tenait dans sa main la bosse du pantalon.

- « Tu as une grosse queue, elle me semble énorme dans ma main ».

Puis elle se mit à masturber cette queue au travers du pantalon. Elle se laissait glisser à genoux, déboutonnert le pantalon, ouvrir celui-ci et extraire le sexe de mon patron. En effet c’était un sexe court mais énorme à la base. Un véritable cône de 12 cm de long mais bien de 6 cm de diamètre à la base. Sans lui laisser un instant de répit, elle se mit à le sucer goulûment. On voyait sa bouche se tendre à l’extrême quand le sexe s’enfonçait presque intégralement dans sa bouche. Sa langue jouait avec le gland et ses mains caressés les couilles énormes et velues.

Je voyais mon patron prendre du plaisir à ce petit jeu. Je les laissais s’amuser. Mon patron posait ses mains sur la tête de ma femme et murmurait :

- « Oui, ma petite, continue, c’est bon !»

Je me plaçais derrière ma femme, la relevais en prenant garde qu’elle continue à sucer mon patron. Je relevais sa robe, et je caressais ses jambes. Je voyais son sexe humide s’ouvrir à chaque approche de mes mains.

- « Comment trouvez-vous ma femme, Monsieur le Directeur ? »

- « Un véritable bijou, ah c’est bon. Elle est vraiment bonne suceuse »

- « Voulez-vous la baiser ? »

- « Vous pensez que je peux ? »

- « J’aimerais voir votre belle bite lui défoncer la chatte ou le cul, au choix »

Mon patron se retirait alors brusquement de la bouche de ma femme, la faisait pivoter, la courbait sur la table et écartait ses fesses. Il restait un moment à contempler ce spectacle puis il prenait son sexe dans la main et le présentait devant la fente de ma femme. Sans hésitation il la pénétrait d’un seul coup. Ma femme poussait des cris sous les coups de boutoirs que lui assénait mon patron. Et lui redoublait d’ardeur. Je bandais comme un âne et je sortais ma queue pour me branler devant ce spectacle. Ma femme hurlait qu’elle jouissait, que c’était trop bon et je lâchais ma purée sur la table. A ce moment avec un grand han, mon patron lui aussi lâchait tout son foutre dans la chatte de ma femme.

Quand il se retirait de la chatte de ma femme, j’ordonnais à celle-ci de prendre ce sexe encore bandant dans sa bouche et de bien le nettoyer. Je m’apercevais que mon patron n’était pas un habitué de ce genre de traitement.

- « Votre femme m’étonne grandement, si seulement la mienne pouvait faire des choses comme celles-ci ! »

Nous sommes repassés à table, mais j’exigeais que ma femme retire sa robe et reste en soutien-gorge et porte jarretelles pour nous servir. Elle nous servait et restait à côté de nous pendant qu’enfin nous mangions un peu. De la voir debout, à moitié nue son sexe bien exhibé qui laissait couler quelques gouttes de sperme m’excitait énormément.

Au moment du dessert, je proposais fruits ou gâteaux. Mais avant d’entendre la réponse, je proposais la spécialité de la maison : banana queen. Mon patron me demandait ce qu’était ce banana queen. J’expliquais alors :

- « Ma femme va nous porter des bananes, de la crème chantilly. Ensuite elle s’allongera sur la table sans son soutien-gorge. La crème chantilly sera versée sur ses seins. Nous éplucherons nos bananes. Et avant de les déguster, on les glisse dans sa chatte, puis on les roule dans la chantilly entre ses seins. »

Mon patron ne se tenait plus et désirait vraiment des banana queen. La chose se mettait en place. Je voyais ma femme allongée sur la table, un coussin sous les fesses et les jambes bien écartées pour mettre en évidence son sexe, une grosse boule de chantilly entre les seins. Mon patron prenait la première banane, l’épluchait sans quitter du regard la chatte de ma femme. Il introduisait alors doucement la banane dans son sexe, et je le voyais faire tourner la banane, puis il la sortait et la promenais sur les seins de ma femme pour la recouvrir de chantilly. Il portait enfin le fruit à sa bouche et croquait voracement. Avec le bout qu’il restait, il recommençait. Il introduisait son morceau de banane plein de chantilly dans la chatte et à ma grande surprise, c’est avec sa bouche qu’il allait retirer ce morceau. Ma femme gémissait de plaisir et moi je bandais très fort. 

N’y tenant plus je me déshabillais et demandais à mon patron de faire la même chose. En un instant, nous étions nus et on s’afférait sur ma femme, qui lui suçait les seins plein de chantilly, qui lui enfonçait une banane dans la chatte. Mon patron bandait lui aussi fortement.

- « Je vais lui proposer un petit dessert à votre épouse ! » annonçait mon patron.

Et je le voyais grimper sur la table, pour placer son sexe entre les seins de ma femme et le recouvrir de crème. Il pressait les seins de ma femme pour se masturber entre eux. Sa bite allait et venait de plus en plus vite. Avant qu’il ne jouisse, je lui proposais à l’oreille un petit challenge. Il était intéressé. Il s’allongeait à côté de ma femme.

- « Ma chérie, tu vas venir poser ta chatte sur la queue de mon patron, et je veux que cela lui fasse grand plaisir ».

Je voyais ma femme s’accroupir au-dessus du sexe tendu, les jambes bien écartées, la chatte grande ouverte dégoulinante de crème et de sperme. La chatte absorba le sexe en entier.

- « Maintenant penche-toi bien en avant et ne bouge plus ».

Je prenais de la crème et en tartinais son petit trou du cul. J’approchais ma queue et doucement je pressais contre son anus. Il ne résistait pas bien longtemps et d’un coup je l’enculais profondément. Je commençais à bouger et je sentais le sexe de mon patron dans le vagin de ma femme. C’était comme si je le masturbais avec ma queue. Ma femme n’arrêtait pas de gémir de plaisir.

- « Je sens votre queue qui frotte la mienne » annonçait mon patron.

Cela me fit bander encore plus et j’activais mes mouvements. Mon patron lui aussi donnait de vigoureux coups de bite dans la chatte de ma femme. Je voyais les mains de mon patron caresser ses seins. Ses tétons étaient durs et érigés. Ma femme lui donnait un sein à sucer. Je finissais par jouir au fond de son cul, mon patron continuait à la limer de plus en plus fortement. Je sentais ces coups de bite puissants au travers du vagin de ma femme. Elle, elle jouissait depuis un bon moment.
Finalement, dans un râle mon patron jouissait aussi.

Au bout d’un bon moment de repos, mon patron me regardait et me demandait :

- « Comment votre femme peut-elle accepter cela, la mienne est très prude et nos ébats sont tristes et bien rares. Elle aime que je lui parle crûment mais ne veux jamais passer à l’acte »

- « Laissez-moi réfléchir et peut-être, aurais-je une solution »

Ma femme était encore allongée sur la table, le visage défait par toutes ces jouissances. Mon patron la regardait, puis il commençait à la caresser doucement. On voyait qu’il prenait du plaisir à caresser ce jeune corps féminin. Il s’attardait sur les seins, sur le sexe mais le tout avec une grande douceur. Ma femme avait l’air d’apprécier ces gestes d’après baise.

J’en étais un peu jaloux, je dois l’avouer !!!

Plus tard, après un bon café, mon patron nous invitait pour un dîner intime chez lui.

A suivre...

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