Susan et les bidouilleurs de PC - récit érotique - soumission - hu
miliation - dégradation - contrainte
Le magasin informatique.
Il se passa une paire de jours avant que Susan ne soit à nouveau
contactée par ses maîtres chanteurs". Pendant une pause à son
boulot, elle jeta un œil son portable et lut le massage suivant :
- Appelle moi aujourd'hui !
C'était un message de Ray. Elle n'osa pas ignorer l'ordre cette
fois, aussi sortant du magasin elle fit son numéro. Ses mains
tremblaient légèrement, son cœur battait plus vite alors que la
sonnerie tintait.
- Hello Susie. Répondit tout de go son interlocuteur.
- Hello !
- Comment se porte notre petite pute ?
- Ne m'appelez pas comme ça ! Soupira-t-elle misérablement.
- Mais c'est ce que t'es ma petite chérie. J'ai quelques
instructions à te donner. Tu vas nous rejoindre demain à 17 heures
au magasin d'informatique de notre copain. Je vais te faire parvenir
l'adresse et un petit plan pour t'y rendre. Si tu as besoin de plus
d'informations, appelle moi !
- Je... Je ne sais pas si je pourrais !
- Tu ne m'as pas très bien compris ma petite salope. Il ne s'agit
pas d'une requête, mais d'un ordre. ET tu y seras. Oui peut être
préfères tu qu'on informe ton mari et ta fille de...
Elle comprit tout de suite qu'il serait vain d'argumenter plus
longtemps.
- C'est... C'est d'accord ! Répliqua-t-elle humblement.
- T'es une bonne fille, tu prendras la balle magique dans le tiroir
de ta table de nuit et tu te la fourreras dans la chatte. Je veux que
tu l'aies dans ta moule lorsque tu nous rejoindras. C'est bien
compris ?
- Oh oui. Rétorqua-t-elle désespérée.
- C'est bon. Passe une bonne journée. On se voit demain.
Elle eut bien du mal à se concentrer sur ses tâches le reste de la
journée.
Elle connaissait le quartier de la ville où se tenait le magasin,
elle suivit cependant scrupuleusement ses consignes. Son cœur
battait la chamade lorsqu'elle entra dans le petit magasin. Un homme
imposant, dans la trentaine, se tenait derrière le comptoir. Il en
termina avec son seul client, Gary et Ray n'étaient pas encore là.
Lorsque le client quitta la boutique, le vendeur s'approcha d'elle,
il était à peu prêt certain que c'était elle, d'après la
description des deux jeunes.
- Hello, que puis-je pour vous ? L'interrogea-t-il suavement.
- J'attends quelqu'un. Rétorqua-t-elle nerveusement.
- Dans ce cas vous devez être Susan.
- Oui. C'est moi en effet. Mais...
- Gary et Ray ont été retardé, ils m'ont dit de que vous deviez
les attendre. Allons donc les attendre dans l'arrière salle. Ce sera
plus confortable que le magasin.
- Je ne sais pas. Je préférerai les attendre ici.
- C'est une ânerie. Répliqua-t-il.
- Viens par ici que je te montre mon bureau.
Il la mena dans son bureau dans l'arrière boutique. Il était meublé
d'un large bureau, de trois chaises, et d'étagères couvertes de PC
en réparation.
- Prends un siège !
Il retourna alors dans le magasin, referma la porte et suspendit une
affichette « fermé » à la cliche de porte avant de
revenir dans l'arrière salle.
- Je m'appelle Dave. Se présenta-t-il rapidement.
- Hé oui. Répondit-elle timidement.
- C'est moi qui ait tenu la jambe de ton mari samedi dernier pendant
que, si je puis dire, Ray et Gary s'occupaient de toi !
Susan se sentit rougir de honte, mais ne dit pas un mot, ç'aurait
été trop gênant.
- Bon... Serais tu d'accord pour me faire un petit merci ?
- Merci... Souffla-t-elle regardant le sol espérant que ses maîtres
arrivent rapidement.
- Tu ne me sembles pas très reconnaissante ! Serais-tu ingrate ?
Constata-t-il railleur.
- Si, si. Je vous remercie. Mais c'est juste que...
- C'est bon, mais j'aurai cru que tu aurais tenu à me montrer ta
reconnaissance !
- Que... Que voulez -vous dire ?
- Je pensais que tu m'accorderais une petite faveur en retour !
- Quel genre de faveur ?
- Attends que je réfléchisse. Lui dit-il frottant son menton
narquoisement.
- Que penserais-tu d'une petite pipe ?
- Quoi ! Hurla-t-elle en se redressant vivement.
- Je crois que je ferai mieux de partir.
- Assieds toi Susie ! La coupa-t-il autoritairement.
Son ton et le fait qu'il utilise son surnom de pute la paniquèrent.
Elle ne s'assit pas mais au contraire se dirigea vers la porte. Dave
attrapa prestement une télécommande agissant sur la boule magique
et appuya sur le bouton à pleine intensité. La balle se mit à
vibrer frénétiquement dans sa chatte, elle s'arrêta pile, ses
mains agrippèrent son entrecuisse et elle tomba à la renverse
contre le mur.
- Aaaaaaaah. S'il vous plait… se plaignit-elle.
Il pointa la télécommande sur elle comme s'il s'agissait d'une arme
et tourna le curseur sur la position moyenne. Quelques secondes plus
tard il le remit sur lent ce qui lui permit de reprendre une attitude
normale. Il lui intima :
- Assieds toi Susie !
Elle se refusa tout d'abord à obéir, mais le voyant poser la main
sur le curseur prêt à le remettre sur une intensité maximum, elle
se dirigea lentement vers la chaise et s'assit.
- Ça marche véritablement d'enfer. dit-il la regardant obtempérer.
- Et maintenant, où en étions nous ? Ah oui, on se demandait
comment tu pouvais me remercier d'avoir retenu ton mari pendant que
tu te faisais sauter !
Susan se tenait immobile, rassemblant ses esprits, se demandant ce
qui allait lui advenir. La boule magique qui vibrait toujours dans sa
chatte lui échauffait les sens. Il se posta devant elle et s'appuya
sur la table la regardant droit dans les yeux.
- Et si on reparlait de cette petite pipe ?
- Je vous en prie... Je suis désolée. Mais... je ne peux pas. Je
suis mariée !
- Tu me fais mourir de rire en jouant ce petit rôle ! Lui dit-il sur
un ton sévère.
- Je veux que tu me suce la bite ! Répéta-t-il pointant à nouveau
la commande vers elle.
- C'est d'accord ?
Il plaça le curseur sur la position médiane.
- Ooooh. Je vous en prie. Arrêtez... Larmoya-t-elle humblement.
- C'est d'accord ? Répéta-t-il autoritairement.
- Oui... Oh oui… Renonça-t-elle éperdue.
Il remit le curseur en position lente et s'approcha à quelques
centimètres d'elle.
- C'est la bonne réponse ! Se moqua-t-il railleur.
- Et maintenant sors ma grosse queue de mon caleçon !
Lentement elle posa les mains sur son jean, elle déboucla sa
ceinture, défit le bouton de la taille et descendit la fermeture
éclair. La braguette grande ouverte, elle baissa son caleçon, sa
grosse bite se déploya immédiatement sous ses yeux affolés. Elle
remarqua que sa bite était aussi longue que celle de son mari mais
beaucoup plus épaisse alors qu'elle n'était qu'en tout début
d'érection.
- Fais moi bander ! Lui intima-t-il autoritairement.
Elle prit sa bite en main et entreprit lentement de le masturber. Il
répondit rapidement à ses caresses voluptueuses, en un rien de
temps sa bite se déploya pointant droit sur son visage.
- J'espère que t'es aussi bonne avec la bouche qu'avec tes mains !
Avança-t-il suavement.
- Tu m'as assez branlé comme ça, suce moi maintenant !
Elle ouvrit la bouche en grand et avala l'épaisse bite frémissante.
Il posa sa main sur sa nuque et la força à engloutir sa mentule au
fin fond de sa gorge.
- Oui. Comme ça... Suce moi bien...
Bien vite elle prit son rythme de croisière, sa bouche allant et
venant sur la hampe frémissante. Elle pensait que plus vite elle le
ferait gicler, plus vite il la laisserait tranquille. Mais en dépit
de ses efforts acharnés, il gardait son contrôle.
- J'étais sur que t'étais une bonne suceuse ! Commenta-t-il lui
pelotant les nibards de l'autre main.
Elle se laissait faire docilement espérant que cela hâterait la
conclusion.
- T'as des beaux nichons... pas très gros mais bien fermes ! Ouvre
ton chemisier !
- Mmmmmph. Protesta-t-elle la bouche pleine.
Il se contenta de saisir le col de son chemisier.
- Si je tire plus fort, j'arrache ton chemisier. Aussi, si tu veux
l'éviter, enlève toi même ton corsage !
Gardant sa grosse bite en bouche, elle remonta les mains et entreprit
de déboutonner les boutons du chemisier qui lui servait d'uniforme
de travail. Elle défit les boutons jusqu'à la limite où son
corsage s'insérait sous la ceinture de sa jupe. Il empauma ses
nibards au travers de son soutien-gorge, et très vite il trouva le
clips situé sur le devant entre les bonnets. Il le dégrafa d'une
main. Il pouvait maintenant lui pétrir les deux nibards à même la
peau, il en profita largement, pinçant et étirant ses mamelons.
- Aaah... Oh oui. Tu t'en tires très bien ma petite Susie !
Elle continuait à le sucer de son mieux tandis qu'il lui palpait les
nibards, mais il lui coupa son élan en lui intimant :
- Allonge toi sur la table !
Elle extirpa la grosse bite de sa bouche.
- Mais... Mais vous aviez dit une pip ... Et puis…
Il la coupa tout de go :
- Ne t'en fais pas tu vas encore sucer ma bite, mais je veux te
peloter le cul à mon aise tandis que tu me suces !
- Et maintenant grouille toi d'obéir ! Dit-il en la relevant avec
impatience.
- Vire ta chemise ! Lui ordonna-t-il ensuite.
Elle s'exécuta sans plus regimber et sa chemise chut au sol, bientôt
rejointe par son soutien-gorge.
- Et maintenant allonge-toi sur le ventre ton visage pointé sur ma
bite !
Elle grimpa sur la grande table, le torse nu, s'allongea sur le
ventre s'appuyant sur les coudes. Il lui présenta alors à nouveau
sa bite.
- Reprends ta pipe maintenant !
Elle était bien en place pour reprendre sa fellation. Il se pencha
sur elle et se mit à lui peloter les fesses.
- T'as un joli petit cul ma petite Susie. La complimenta-t-il en
continuant à lui pétrir la croupe.
- Écarte les cuisses ! Lui ordonna-t-il avec concupiscence.
Comme elle ne s'exécutait pas, il lui colla une gifle sonore sur les
fesses.
- Je t'ai dit d'écarter tes cuisses !
Cette fois, avec une dernière claque sur la croupe, elle obtempéra.
La bite profondément enfouie dans sa bouche étouffait ses
protestations, mais les coups sur les fesses l'avait convaincue
d'obéir. Elle écarta prestement ses cuisses livrant un accès des
plus aisé à sa raie culière. Il tendit la main entre ses cuisses
la promenant sur les endroits stratégiques.
Il empoigna sa chatte au travers de son pantalon, elle gémit
sourdement. Tout en inventoriant ses charmes il sentit la boule
magique tapie dans sa fentine puis il remonta vers son clito. Ses
caresses lui avaient fait perdre le rythme de sa fellation, mais cela
importait peu, déjà sa bite frémissait prête à se vider dans sa
bouche.
Il se redressa et extirpa sa pine de sa bouche, il lui leva le menton
plongeant son regard dans le sien.
- Les gars avaient raison ! T'es vraiment une délicieuse petite
salope ! La railla-t-il ironiquement.
- Maintenant je veux que tu te retournes sur le ventre fesses
pointées vers moi !
- Il faut vraiment que je parte maintenant ! Tenta-t-elle d'objecter
plus pour la forme qu'autre chose.
- Je t'entends bien ma chérie, mais je suis loin d'en avoir fini
avec toi ! Je sais que tu meurs d'envie de te faire sauter par une
bonne grosse bite !
- Pas vraiment !
- Bon ! Commenta-t-il laconiquement en contournant la table.
D’un mouvement vif, il se posta derrière elle alors qu'elle était
penchée sur le bureau. Avant qu'elle ait le temps de dire quoi que
ce soit, il commença à la fesser.
- Ooooooow... Nonnnnn... Ooooooow... S'il vous plaît !
- Ils m'ont dit que tu avais besoin d'une bonne correction de temps à
autre ! L'avertit-il tout en la fessant de plus belle.
- Ooooow.. Je vous en prie... Arrêtez. Oooow !
- Es-tu prête à te comporter en bonne fille maintenant ?
- Oh... ouiiiiiii.
- Dis moi que tu vas te comporter en bonne petite salope docile !
Wak... Une autre gifle venait de s'abattre sur sa croupe échauffée.
- Dis moi comment tu vas te comporter !
- Je... Je serai docile... Je vais me comporter comme… Comme votre
petite salope.
- C'est bon, et maintenant installe toi sur la table !
Sur ce, il l'aida à s'étendre sur le dos. Bien que ses fesses
soient douloureuses, elle obtempéra.
- Écarte tes cuises en grand Susie !
Elle obéit de nouveau et il l'aida, la disposant jambes pendantes de
chaque coté de la table.
- Mains sur la nuque ! Lui intima-t-il ensuite.
Elle s'exécuta à nouveau sans la moindre hésitation. Il jeta un
œil sur la jeune femme torse nu, ses jambes étaient si écartées
que son pantalon noir s'enfonçait profondément dans sa fente
intime, il s'approcha d'elle et caressa doucement ses nibards
dénudés.
- Quel âge as-tu ma petite Susie ?
- 37 ans.
Tout en lui pétrissant les nibards, il la félicita :
- T'es vraiment bien conservée pour ton âge !
Elle se mordait les lèvres, refoulant l'excitation montant dans ses
reins, alors qu'à nouveau son corps la trahissait.
- Tes tétons sont drôlement sensibles ma petite chérie !
- Euhhh... Oui...
- Sens -tu encore mieux mes caresses si je fais ça !
Et il mouilla ses doigts de salive avant de lui titiller de nouveau
les mamelons.
- Ou ça ?
Et il se pencha sur sa poitrine happant un de ses tétins pour le
mâchouiller lubriquement.
- Owwwwwwww. oui. Répliqua-t-elle éperdue.
Il continua à lui tripatouiller les nibards, les serrant, les
pinçant, les suçant, les mordillant. Elle perdait tout contrôle de
ses sens, sa résistance était détruite. Il releva une de ses
jambes et saisit sa touffe au travers du pantalon, elle gémit
misérablement.
- A mon avis ta fente est toute trempée ma petite chérie ! Lui
dit-il calmement.
- Voyons ce que tu caches dans ton pantalon.
Il dégrafa et déboutonna rapidement la ceinture de son pantalon et
le fit glisser le long de ses jambes. Elle ne portait plus qu'une
minuscule petite culotte rouge qui dissimulait à peine son pubis.
- C'est très joli tout ça ! La félicita-t-il en jubilant tandis
que sa main prenait possession de sa chatte faisant redoubler ses
gémissements.
Il écarta le petit triangle de tissu et yeux dans les yeux il se
saisit de la boule magique et l'agita devant son visage.
- Regarde bien ça, ton petit con est tout trempé, tu n'es qu'une
foutue salope qui va me supplier de la baiser , n'est-ce pas ?
- Non... Nonnnnn ! Protesta-t-elle faiblement, alors que son corps
clamait son accord.
Pour toute réponse, il rit brièvement suivant d'un index fureteur
la forme de sa fente détrempée. Le fond de sa petite culotte
s'humidifiait de plus en plus. Il pressa son doigt contre son clito.
Elle agrippait à deux mains l'arête de la table alors qu'elle
essayait de refréner de sourds gémissements de plaisir. C'était
une bataille que ses caresses lui faisaient inéluctablement perdre.
Il lui enleva ses chaussures de la main gauche.
- Et maintenant au tour de ton pantalon ! Enonça-t-il le l'abaissant
sur ses genoux avant de le jeter au sol.
Elle ne portait plus que de courtes socquettes et sa minuscule
culotte rouge. Il repoussa de coté le triangle du cache sexe
exposant sa motte fraîchement rasée.
- Quel joli spectacle ! Tu t'es rasée la chatte pour moi ma jolie
Susie ? Se marra-t-il vulgairement.
- Non... Nonnnn... Ohhhhhhhh...
- Non ? Tu veux dire que c'est nos deux amis qui t'ont rasé ton
petit minou ? C'est merveilleux !
Il se mit à lui titiller la fente y plongeant deux doigts, revenant
à son clito, replantant ses doigts dans sa féminité. Elle en
tremblait de tout son corps sentant un brutal orgasme monter dans ses
reins. Il extirpa son index de sa fente détrempée et l'essuya sur
ses lèvres.
- Ta moule est toute prête à se faire ramoner ma petite Susie. Lui
glissa-t-il suavement à l'oreille.
Sa main courut sur sa motte pinçant brusquement son clito, son
orgasme déferla. Il se hâta d'enlever son jean et son caleçon tant
que son corps était secoué de spasmes orgasmiques, puis il promena
lentement sa bite dans sa fente embrasée. Il l'attira à lui, elle
noua ses bras autour de son cou, il écarta le petit triangle de
tissu et parcourut à nouveau sa fentine détrempée de son épais
membre.
- Tu le veux maintenant, n'est ce pas ?
Il l'alluma encore pressant de sa bite la féminité exacerbée.
- Oui. Oui... Dut-elle admettre confuse.
Il lui prit le menton pour la regarder droit dans les yeux.
- Supplie moi de te baiser salope !
- S'il vous plaît... S'il vous plaît... Faite moi l'amour, je vous
en prie !
- Supplie moi de te ramoner la chatte !
- S'il vous plaît... Je vous en prie... Prenez moi... S'il vous
plaît ! Soupira-t-elle en écho.
La regardant droit dans les yeux, il commenta :
- On parle de ta chatte, de ton con, de ta fente. Supplie moi
correctement !
- Je vous en prie... Ramo... Ramonez moi la chatte !
Elle détestait user de telles mots. Il décida de ne pas la faire
patienter plus longtemps, lui saisissant les fesses à deux mains il
plongea sa bite dans sa fentine la faisant hurler de plaisir. Elle se
suspendit à son cou alors qu'il l'empalait de plus en plus
profondément à chaque coup d'estoc.
- Oh ouiiii. Baise moi... Encore. Oh ouiiiiiiiiiiii. Hurlait-elle
l'encourageant à affirmer sa possession.
Il la baisait de toutes ses forces, la labourant rudement. Bientôt
il la sentit succomber à un orgasme d'une force exceptionnelle. Il
la laissa jouir. Comblée elle se laissa glisser au sol, mais il n'en
avait pas fini avec elle. Pressant son visage contre sa bite il lui
ordonna de la sucer. Il la baisait maintenant en bouche,
l'encourageant à son tour :
- Oh oui ma petite chérie... C'est ça... Suce moi bien... Lèche ma
bite.
Soudain son foutre fusa dans sa gorge.
- Ahhhhhhhhhhh... Oh ouiiiiiiiiiii... Ahhhhhhhhhhhhhhhhh...
Il se retira alors de sa bouche, projetant ses derniers jets de
plaisir sur son visage.
- C'était formidable ! La félicita-t-il.
- Le jour où tu veux recommencer, tu sais où venir !
- Tu peux te nettoyer là ! Lui annonça-t-il lui désignant les
toilettes.
Puis il se nettoya, se rhabilla, alla à la fenêtre et fit signe à
ses deux jeunes copains qui discutaient dans leur voiture. Ils
descendirent de la voiture et vinrent les rejoindre.
- Merci bien les gars... C'est vraiment une très chaude salope que
vous avez déniché là ! Quelle suceuse ! Les complimenta-t-il en
souriant à pleines dents.
- On te l'avait bien dit ! Rétorqua Ray hilare.
- Je parie que tu as adoré sa chatoune imberbe !
- Sur... C'était formidable ! Mais vous savez ce que j'aimerai
surtout ?
- Oui on sait bien... On y travaille.
Ils continuèrent leur discussion ne se taisant que lorsque Susan
revint dans la pièce.
- Hey Susie, Dave nous dit que tu t'es régalée !
Elle ne répondit pas.
- Allez. Laissons là rentrer chez elle. Dit Gary gentiment.
Ils la laissèrent partir sur ses mots.
A suivre...
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