Traduction d'un texte de JamieRed.
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Carmen flirte avec le déménageur qui ramasse le dernier carton. Je fredonne « l'école est fini » en remettant la clé au propriétaire. Nous faisons un dernier tour dans l'appartement pour récupérer notre caution. Puis nous jetons nos valises dans le coffre de mon cabriolet.
Carmen attend que j'enlève la capote pour se glisser sur le siège. Elle tire sur son débardeur et évente ses seins avec un magazine.
- Il fait aussi chaud qu'en enfer ici ma fille. Allons-y!
Je souris et je démarre le moteur. Carmen manque de modestie, mais aime s'amuser. Elle était venue à l'université avec une bourse sportive et a fait pom-pom girl la dernière année. Elle est très fière de son corps et les hommes y sont sensibles.
Toutefois, son petit ami actuel, James, semble la dominer. Alors que je tourne pour m'engager sur l'autoroute, je regarde à nouveau les ecchymoses qui entourent ses poignets et ses chevilles.
- Que pense James de ce voyage? Demandé-je.
- Son rire est aussi robuste que sa chevelure épaisse et sa silhouette.
- Il m'a promis d'appeler et de laisser des messages coquins sur mon téléphone pendant tout le mois. Je pense que quand je vais rentrer, je vais le supplier de me baiser.
- C'est vrai?
Elle se penche et ajuste son siège en arrière. Puis elle cale ses pieds sur le tableau de bord et écarte ses genoux.
- Peut-être! Il m'a bien secoué ces deux dernières nuits.
Je n'aurais jamais soupçonné que Carmen, la fille sauvage, céderait le contrôle à n'importe quel homme. Mais James l'avait initié à l'esclavage, et Carmen était devenue une apprentie passionnée. Quand elle m'avait relaté les deux dernières nuits, avec les liens, les baillons, les fouets et les jouets, ma chatte s'était humidifiée et j'avais titillé mon clitoris jusqu'à ce que je jouisse deux fois. Mon propre petit ami Charles est si classique que je me sens négligée. La fois où j'ai suggéré une autre position que celle du missionnaire, il avait été outré.
- Je ne pense pas que Charles va me manquer. C'est horrible que je dise ça, non?
Carmen sort un foulard de son sac à main et le met sur ses cheveux pour les tenir. Puis elle remet ses lunettes de soleil et me répond :
- Je crois ma fille que tu as besoin d'un peu de rudesse.
Sur ces mots, elle tend la main et me pince le téton. Je hurle alors qu'un coup de klaxon retentit et nous fait sursauter toutes les deux.
- Que se passe-t-il?
Le SUV qui vient de nous dépasser ralentit pour rouler à notre vitesse. Les deux hommes assis sur les sièges arrière nous font de grands signes pour que nous les allumions. En riant, Carmen se lève, soulève son débardeur et remue sa grosse poitrine nue. La voiture fait une embardée et sort presque de la route. Le conducteur freine pour en reprendre le contrôle et Carmen s'effondre sur le siège. Je crie :
- Hé, tu es une arme dangereuse! Et tu devrais porter un soutien-gorge!
- Non sûrement pas! Ce n'est pas parce que j'ai de gros seins que je dois les enfermer. Et toi pareil!
Elle relève subitement mon chemisier et cette fois, le chauffeur du SUV n'est pas le seul à devoir ralentir pour reprendre le contrôle du véhicule.
Carmen aime qu'on lui porte de l'attention. Rentrer à la maison va nous prendre deux jours de, conduite. Je soupçonne ma copine de vouloir flirter avec les garçons tout au long du chemin. Ce jour-là, elle n'arrête pas de s'exposer et les camionneurs, en particulier, ont bien aimé. Ils l'ont récompensée avec des coups de klaxon et des baisers. Elle soulève son haut, des fois le mien, ou elle écarte les jambes et passe sa main sur sa chatte ;
Bon sang, je pense que nous ne sommes jeunes qu'une fois. Carmen, qui est ma colocataire depuis trois ans, est ma meilleure amie, quelqu'un que je considère comme une sœur. Nous avons tout fait ensemble, sauf coucher.
Nous nous arrêtons pour dîner vers 18h30. Puis nous roulons encore pendant une centaine de kilomètres avant de nous arrêter dans un petit motel sur le bord de la route. Pendant ce premier jour de route, nous avons traversé deux états et parcouru près de 1000 kilomètres. Nous sommes épuisées. Nous nous douchons, tirons les lourds rideaux pour plonger la chambre dans l'obscurité. Nous nous endormons bien avant les dernières nouvelles à la télé.
Je n'ai aucune idée de l'heure quand j'entends le cri de Carmen. Mon sommeil est si profond que je suis complètement dans les vaps. Tandis que je lutte pour me réveiller, un second cri se termine brusquement. Avant que je puisse réagir, des mains saisissent mes épaules et me renversent. Un poids tombe sur ma poitrine et me coupe le souffle. J'avale de l'air et un bâton appuie sur ma gorge afin de me tenir sur le lit.
Une voix rauque masculine me chuchote alors à l'oreille :
- Si tu cries salope, je te claque la tête. Tu comprends?
Je ne peux pas respirer et hocher de la tête me fait mal, mais j'essaie. Apparemment c'est suffisant, car la pression sur mon cou est relâchée. J'aspire de l'air et j'essaie de regarder autour de moi. La pièce est sombre, même si je peux voir une faible lumière provenant du mur en face du lit. Je ne comprends pas au début, puis je réalise que les deux portes communicantes avec la chambre d'à côté sont ouvertes. J'essaie de regarder dans l'autre chambre et je vois Carmen bâillonnée et ligotée avant que la porte se ferme.
- Ne t'inquiète pas pour ton amie, salope. On va s'en occuper comme toi.
À ma droite, la lumière de la salle de bain est allumée. Je me rends compte alors qu'il y a deux hommes dans la pièce. Tous les deux portent des cagoules. Celui qui est assis sur ma poitrine semble être le plus lourd et le plus grand.
Des larmes me brûlent les yeux tandis que la peur me traverse et me fait frissonner.
- S'il vous plaît, ne faites pas ça!
Ma voix est toute frêle. L'homme rigole, se penche pour mettre ses doigts dans ma chevelure. Puis il se lève rapidement en me sortant d lit par les cheveux. La douleur traverse mon crâne et je crie comme un animal blessé.
L'homme continue de rire en me tirant vers la petite table se trouvant près de la fenêtre. Il s'agit d'un meuble typique des motels. Je trébuche et j'agite les bras pour retrouver mon équilibre. L'homme me pousse en travers de la table, de façon que ma tête et mes seins pendent d'un côté, mon cul et mes jambes de l'autre côté. Il lâche mes cheveux alors que je tombe durement sur la surface en bois. Puis il saisit immédiatement mes bras pour les tirer en arrière.
- Tu es prêt? Dit-il.
- Ouais! Répond l'autre.
Des menottes cliquettent alors qu'on les bloque autour de mes poignets. L'autre homme passe rapidement une corde autour de mes coudes pour tirer mes épaules en arrière, ce qui lève mes seins. Je ressens encore plus de douleur dans mes articulations qui essaient de résister à ce traitement. Les larmes coulent maintenant sur mes joues.
- S'il vous plaît... Ne le faites pas.
Le plus grand me gifle et dit :
- Tais-toi salope! Tu aurais dû garder ton chemisier tout à l'heure. Je crois qu'il n'y a pas un seul homme vivant qui ne voudrait pas être ici.u
Je gémis. Ils ont dû nous voir en voiture et nous suivre. Oh Carmen!
L'homme se place devant moi et sort un grand couteau d'une gaine sur son mollet. C'est un grand couteau de chasse. La lame étincelle sous le peu de lumière provenant de la salle de bain. Il presse la pointe contre un mamelon et je sursaute.
Il se penche sur moi, et dit dune voix basse et régulière :
- Ne fais rien! Ne te défends pas! Ne crie pas! Ne mords pas! Tu comprends?
Il presse la pointe un peu plus fort, irradiant ma poitrine de douleur. J'hoche la tête, tellement crispée de peur que je ne peux pas parler.
- Bien!
Il remet le couteau dans sa gaine et je pousse un soupir de soulagement. C'est éphémère, car des mains derrière moi attrapent une cheville puis l'autre pour les attacher aux deux pieds opposés de la table et ainsi écarter mes jambes. La voix joyeuse de son partenaire dit derrière moi :
- Voilà une salope prête à baiser!
- Maintenant. D'abord nous puis toi.
Sa déclaration me laisse confuse, mais ça ne dure qu'un moment. Le plus grand devant moi ouvre son pantalon et sort une bite tellement gorgée de sang qu'elle semble avoir vingt-cinq centimètres de long et être épaisse comme mon poignet. Mes yeux s'écarquillent alors qu'il attrape mes cheveux pour relever ma tête. En réflexe, ma bouche s'ouvre et il pousse sa queue entre mes lèvres.
J'étouffe et je vomis presque alors que son gland touche le fond de ma gorge.
- Suce salope! Ordonne-t-il.
J'essaie en bougeant ma langue. Il gémit et commence à me baiser la bouche, lentement au début, puis plus vite. Je renonce à essayer de le sucer, et j'essaie juste de ne pas étouffer alors que de ma bouche s'écoulent de la salive et du liquide pré-éjaculatoire.
Avec un grand gémissement, l'homme commence à éjaculer et remplir ma bouche. Puis il gicle sur mon visage, mes cheveux et mes épaules. Je baisse la tête et essaie de cracher le plus possible.
L'homme recule et s'assoit sur le lit avant de dire :
- Qu'est-ce que tu en penses?
Son copain répond alors :
- Je pense qu'elle en a encore besoin.
Je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soit. L'autre homme s'approche et me saisit lui aussi par les cheveux. Ma tête est engourdie par la douleur et je halète tandis qu'il enfonce sa bite. Elle est plus petite, mais plus dure. L'homme semble être plus cruel alors qu'il me baise la bouche lentement, forçant sa queue aussi profondément que possible et la gardant ainsi pour me couper l'air jusqu'au moment où je me débats. Quand il jouit, il garde sa bite dans ma gorge et me force à avaler son foutre au goût salé. Puis il se retire et essuie son engin avec mes cheveux, les laissant collés sur mon visage.
Derrière moi, l'autre homme me caresse lentement, presque comme un amant.
- Maintenant nous pouvons prendre notre temps.
D'un geste brusque il déchire ma culotte et la tend à son partenaire qui la fourre dans ma bouche. En même temps, un premier coup tombe sur mon cul et je gémis à travers le tissu.
Celui qui est devant moi s'agenouille en disant :
- Oh que j'aime les gros seins.
Mon corps entier semble se réchauffer alors qu'il travaille sur chacun de mes seins avec application. Il les masse, suce les mamelons jusqu'à ce qu'ils soient durs et érigés. Ensuite il les pince durement et les tire vers le bas pour étirer mes seins.
Le plus grand continue à me frapper le cul, faisant pleuvoir les coups sur chaque fesse, chaque cuisse et ma chatte. La douleur, intense et ardente, traverse mon corps et mon esprit jusqu'à ce que la peur disparaisse en ne laissant qu'une excitation croissante. Mon propre corps me trahissait.
Puis soudain les coups se sont arrêtés et l'homme en face de moi lève les yeux. Il y a une pause, puis l'homme derrière passe un doigt entre mes petites lèvres et pénètre ma chatte.
- Putain elle est mouillée.! Cette garce en profite!
Je secoue furieusement la tête en dénégation. Non! Non! Non!
Mais le gars en face de moi se contente de rire et de dire :
- Alors il faut que l'on continue!
NON! Non! Mes yeux s'écarquillent tandis qu'il sort des pinces en argent de sa poche. Mes mamelons, déjà maltraités et douloureux me brûlent quand il attache les pinces et les serre. Je me débats en secouant la tête, ce qui les fait rire tous les deux. Le plus grand a fait passé quelque chose de dur et lisse entre mes jambes. Mon esprit a tremblé. Il s'agit du club de golf avec lequel il m'avait tenu et étranglé sur le lit. Ses doigts entrouvrent les lèvres de ma chatte. Il mouille le club avec mon jus, puis pousse lentement. Ma chatte s'étire, mon vagin se resserre contre l'invasion. Il pousse plus loin et je crie sous mon bâillon.
L'homme claque mes fesses à nouveau, mais il retire le club de golf. Je tremble et je sursaute quand sa main atterrit deux fois bien fort sur ma chatte. Je n'ai plus aucune résistance et mon corps s'effondre. C'est alors que l'homme devant moi dit :
- C'est bon, il est temps!
Le grand répond en trouvant mon clitoris pour le faire rouler entre ses doigts. Maintenant mon sexe coule de mon jus. L'homme me fait jouir, C'est pour moi un soulagement sexuel et une humiliation en même temps. Alors que mon premier orgasme fait trembler mon corps, ils baisent d'abord ma chatte, puis mon cul l'un après l'autre. Quand ils ont besoin de jouir ils se retirent et couvrent mes fesses, mon dos et mes jambes de leur foutre.
Je crois qu'au bout d'un moment je m'évanouis. Ils me réveillent avec de l'eau froide et ils recommencent à me baiser. La troisième fois que je perds connaissance, ils me détachent et me mette dans mon lit, puis ils partent.
Je me suis réveillée quelque temps après l'aube, le corps douloureux et meurtri. Je suis à peine capable de bouger.
Dans le lit en face de moi, Carmen est enveloppée dans une couverture, les yeux mi-ouverts, une grimace sur la figure.
- Ça va? Demandé-je.
Elle hoche la tête, puis déglutit difficilement avant de me répondre :
- Je veux James.
Je comprends. Le cauchemar est terminé, mais quelque chose en nous deux a changé, quelque chose de sombre et vicieux. Je dis lentement :
- Demande-lui s'il a un ami.
FIN
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