mercredi 4 septembre 2019

La nouvelle vie de Christine Ch. 10

La nouvelle vie de Christine - récit érotique - soumission - humiliation - dégradation - contrainte

Christine se fait de nouveau baiser au bureau par son collaborateur.

Nous avions maintenant une routine matinale bien rodée. Si bien que Christine trottait vers la voiture avec une jupe la plus mini qu'elle n'ait jamais porté. Elle était consternée mais j'avais insisté. Le haut de ses bas blancs était presque visible quand elle marchait. Et lorsqu'elle s'assit, la jupe ne cacha rien de ses jambes.

Une fois encore, elle ne portait pas de soutien-gorge et j'avais titillé ses mamelons afin de les faire durcir. Ils pointaient sous le chemisier bleu légèrement ouvert sur ses gros seins.

Le soutien-gorge blanc que j'avais dans la main avait une ouverture sur le devant et mettait sa poitrine en valeur. C'est pour cela que je l'avais choisi lorsque nous étions partis faire les magasins. Nous avions pris aussi le petit string blanc qu'elle portait sous sa jupe noire.

Le trajet fut silencieux, ma belle-mère se demandant ce que je lui préparais aujourd'hui.

Après être arrivés sur le parking et garés à notre place habituelle, je coupai le moteur et lançai :

- Allez salope, enlève ton chemisier et vas à l'arrière.

Elle ouvrit la porte pour sortir mais je l'arrêtai :

- Attend! Tu enlèves ton chemisier, tu le laisses sur le tableau de bord et ensuite tu passes derrière.

Elle me regarda brièvement avant de retirer sa chemise et la laisser. Je la regardai se glisser sur le siège arrière, torse nu. Je descendis la vitre à côté d'elle et je lui dis :

- Tu écartes tes jambes et tu en passe une par la fenêtre.

Elle se pencha en arrière, passa sa jambe gauche par la fenêtre et appuya la droite sur le dos de mon siège.

- Quelle vue! dis-je en tendant la main et caressant sa fente avec deux doigts.

Puis en prenant un gode dans la boite à gants j'ajoutai :

- Avant que Marc arrive, tu vas pouvoir te préparer tu ne crois pas?

- Oui Maître je vais le faire.

Elle prit le gode violet, écarta son petit string avec le bout pointu pour faciliter son passage. Je regardai Christine baiser sa chatte et tordre ses mamelons jusqu'au bruit familier de pneus sur le gravier. Marc se gara à sa place habituelle et sortit de sa voiture avec un grand sourire.

- Passez derrière moi et toi putain, continue!

En faisant référence à la vue qu'il avait à 8h30 du matin il dit :

- Encore un accueil parfait.

Je dis à Christine :

- Salope, laisse tomber le gode.

Puis je demandai à Marc en souriant :

- Maintenant que cette pute se concentre sur ses tâtons, peut-être voulez-vous utiliser vos doigts et votre langue à bon escient.

Il s'agissait d'augmenter encore le contrôle et l'humiliation de ma belle-mère en permettant son assistant de toucher ses parties les plus intimes non seulement avec ses doigts mais aussi avec sa langue.

- Je veux bien.

Ce fut la réponse de Marc qui tendit sa main vers l'ouverture humide de la femme. Ses doigts glissèrent entre les plis charnus et disparurent à l'intérieur du vagin. Ensuite il plongea la tête afin de prendre le mamelon droit dans sa bouche. En rythme, il doigta la chatte à coups énergiques, tout en suçant et mordillant le téton sensible. Christine aimait cela, un gémissement profond sortant de sa bouche.

Après trois ou quatre minutes, il enleva ses doigts et trouva le clitoris en écartant les lèvres humides et charnues de ma belle-mère. Il plongea sa tête vers le bas et donna quelques coups de langue sur le petit bouton.

- OHHHHH! cria Christine la tête en arrière tout en jetant son bassin en avant. Un orgasme approchait.

Marc leva la tête, regarda Christine et dit :

- Les collègues et moi avions raison de penser que vous aviez une chatte d'enfer. S'ils savaient......

En riant, il retourna manger le sexe de sa patronne.

Ses paroles m'indiquèrent que ma belle-mère était une source de bavardage masculin. Avec ses seins énormes et son physique épanoui de femme de 40 ans, j'aurais été surpris que les hommes l'ignorent.

Je fus sorti de mes pensées par le cri de jouissance de Christine. Le visage de Marc, encore plongé entre ses cuisses, reçu le jus de la femme.

Puis il releva la tête. Je pus voir la moiteur de son visage souriant et je sus qu'elle avait déclenché un torrent sur lui. Il remit deux doigts dans son vagin, le pouce de sa main titillant le clitoris. Puis, se rendant compte que deux doigts ne suffisaient pas à remplir ce trou humide, il ajouta un troisième puis un quatrième doigt et pilonna avec force son sexe.

Je regardai l'heure et vis que nous avions encore largement le temps. Bien que connaissant déjà la réponse, je demandai :

- Marc? Voulez-vous qu'elle vous suce? - Oh oui, pourquoi pas! Répondit-il en sortant sa main pour l'amener à sa ceinture et braguette.

Je dis :

- Sors de la voiture salope! et vous Marc mettez-vous à sa place

- Mais........ Commença ma belle-mère avant que je la coupe.

- Tais-toi et sors de la voiture salope! Et ne cache pas tes seins.

Elle ouvrit la porte et sortit tout en remontant et rajustant son string et sa jupe. Elle essaya de sa cacher autant que possible derrière la voiture. Marc s'installa, le pantalon autour des chevilles, son membre grossissant rapidement entre ses jambes.

- Suce sa bite. Ordonnai-je

Christine vint se placer devant la porte ouverte puis se pencha, prenant la bite de Marc dans sa bouche et commença hâtivement la fellation.

- Tu as de la chance que nous soyons dans un coin de parking caché par une haie. Mais la prochaine fois que tu essaies de te plaindre, je te mets à genoux au milieu du parking pour sucer des bites. As-tu compris pute idiote?

- Mummmppph, mummmmph. Marmonna-t-elle la bouche pleine.

Je sortis de la voiture et vint derrière Christine. Marc me regardait, se demandant ce que j'allais faire. Je soulevai la jupe de la femme et tirai son string humide vers le bas, jusqu'au niveau des genoux. Puis je dis :

- Écarte les jambes!

Elle m'obéit immédiatement en faisant glisser ses pieds sur le gravier. Alors j'introduis brutalement mon sexe dans sa grotte humide et je commençai à la pilonner durement.

Lorsque Marc gicla dans sa gorge, ils avaient déjà 10 minutes de retard et on pouvait entendre, derrière la haie, les employés se rendant aux bureaux. Christine avait abandonné le sexe de son collègue. La bite reposait sur la cuisse droite de l'homme, collante et recouverte de salive. Ma belle-mère gémissait aussi silencieusement que possible. Au bout de 10 minutes, elle jouit. Ils avaient maintenant 20 minutes de retard. 5 minutes plus tard, ce fut mon tour, j'éjaculai dans son sexe. Puis rapidement je me penchai afin de tirer son string sur ses fesses puis je lui dis de remettre ses vêtements.

Une fois qu'elle fut habillée, je lui demandai de soulever sa jupe afin de me montrer sa culotte.

- Bon, ta culotte étant pleine, tu peux aller travailler.

Alors que Christine et son assistant s'éloignaient vers sa voiture je me suis souvenu de la caméra. Je criai :

- Hé Marc! Pouvez-vous prendre ce matériel et l'installer. J'appellerai ma pute à midi.

Je lui tendis la webcam et je les regardai partir avec presque une demi-heure de retard.

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A midi, je téléphonai à Christine. Elle répondit dès la première sonnerie.

- Alors ma pute, passes tu une bonne journée?

Je savais qu'elle n'aimait pas être traitée comme une chienne mais moi j'adorais. Elle me dit :

- Pas vraiment maître. Monsieur MULLER, mon directeur, m'a reproché d'être en retard. Il a essayé de me joindre à propos d'un gros dossier pour un client important. Comme je suis arrivée avec Marc, j'ai menti en disant qu'il était venu me chercher car ma voiture était tombée en panne.

Je n'étais pas vraiment intéressé par son discours mais l'idée me vint que je pourrais peut-être l'humilier avec l'aide de son patron.

- As-tu aimé mentir à ton patron avec une culotte dégoulinante de foutre?

- Non maître. Surtout que je pouvais sentir l'odeur de votre sperme.

- Bon, peut-être que ton patron ne s'est rendu compte de rien. Dis-je en riant.

- Je l'espère. Répondit-elle doucement.

- Quoi qu'il en soit, allume la webcam que je puisse te voir.

Le matériel que j'avais acheté m'avait coûté cher. J'espérais qu'il me donne une image parfaitement claire lorsque nous serions connectés. Deux minutes plus tard, une image parfaite du bureau de Christine remplit mon écran d'ordinateur. La qualité d'image était à la hauteur du prix payé. Et une fois que je fis dire à Christine qu'elle était une sale pute, je fus encore plus impressionné par la qualité du son.

Le choix de son emplacement par Marc était parfait. La caméra était dans un endroit discret m'offrant une vue sur tout le bureau de Christine.

M'installant confortablement dans mon siège je dis :

- Appelle Marc, je tiens à le remercier pour ce travail.

Je la regardai poser le téléphone sur le bureau et aller ouvrir la porte.

- Marc? Puis-je vous voir un instant s'il vous plait.

Je l'entendis parfaitement et je la regardai retourner s'asseoir alors que Marc fermait la porte derrière lui.

- Donne le téléphone à Marc et déboutonne ton chemisier afin de sortir tes seins de ton soutien-gorge.

Elle tendit le téléphone à son assistant, déboutonna son chemisier et souleva ses seins énormes, les dénudant.

- Merci d'avoir installé la caméra Marc, c'est très bien fait. Ma pute va vous remercier pour cela. Donnez-lui le téléphone s'il vous plait. Demandai-je.

Avant de raccrocher, je dis à ma belle-mère :

- Sur le côté droit de ton ordinateur, il y a maintenant une boite de chat. Tu vas l'ouvrir et la garder ouverte toute la journée. Désormais nous communiquerons avec cet outil.

Je la regardai ouvrir le logiciel avec sa souris. Je tapai :

« Maintenant tu vas faire une fellation à Marc en remerciement de l'installation de la webcam. Tu lui demanderas d'éjaculer sur ta poitrine. Ensuite tu pourras ranger tes seins et vous pourrez recommencer à travailler tous les deux. As-tu compris soumise? »

« Oui Maitre » fut sa réponse courte.

En reculant son fauteuil elle dit à son collègue :

- Marc, pouvez-vous vous asseoir sur le bureau en face de moi afin que je puisse vous sucer en paiement de l'installation du matériel informatique.

Je l'observai ouvrir la braguette puis pêcher la queue dans le caleçon, qui fut en érection dans les instants suivants. Christine le suça rapidement avec des mouvements de la tête de haut en bas de son membre.

Tous deux étaient très nerveux à l'idée d'être surpris mais cela avait peu de chance d'arriver étant donné qu'il était l'heure du déjeuner.

La fellation dura une bonne quinzaine de minutes avant que Marc avertisse qu'il allait éjaculer. Christine laissa la bite le temps de relayer mes instructions :

- Ejaculez sur mes seins s'il vous plait Marc.

Elle laissa retomber sa tête sur le sexe tendu et titilla le gland avec sa langue et sa bouche humide tout en branlant la base du membre avec sa main.

Quelques instants plus tard, Marc la repoussa et gicla par trois fois sur le milieu de sa poitrine, le reste de l'éjaculation tombant malheureusement pour elle sur sa jupe.

Une fois qu'il eut fini, elle le nettoya soigneusement avec sa langue puis lui demanda de partir. Elle remit ses seins dans son soutien-gorge, reboutonna son chemiser et retourna au travail.

Je tapai dans le chat :

« Ne te nettoie pas de la journée »

Je la regardai taper sa réponse sur le clavier :

« Oui Maître »

Je l'épiai tout au long de la journée. Elle eut quelques réunions avec son patron pour des histoires de prix et elle fut obligée de quitter son bureau pour aller voir ses collaborateurs. Peut-être que je devrais faire installer plus de caméras afin de pouvoir couvrir l'immeuble. Je verrais bien plus tard.

A trois heures de l'après-midi, j'écoutai ma belle-mère qui était au téléphone avec son patron pour arranger une réunion dans son bureau à 16h00. J'étais surpris du nombre de réunions qu'elle avait avec son boss si bien que me vint toutes sortes d'idées vicieuses à exploiter. Dès qu'elle reposa le téléphone je tapai dans le chat :

« A quatre heures moins le quart, tu appelleras Marc et il ne devra pas quitter ton bureau avant d'avoir déchargé une autre fois sur tes seins. »

Elle répondit instantanément :

« Mais M. MULLER vient à quatre heures... »

Je tapai rapidement :

« Fais le ou demain ça sera pire. »

Elle réfléchit quelques minutes puis pianota :

« Oui Maître »

Christine était maintenant complètement sous mon contrôle. J'avais mon jouet sexuel et je débordai d'idées.

A 15h45, ma belle-mère appela son assistant. Dès que la porte se referma, elle se jeta sur lui :

- Il faut que vous soyez rapide Marc, je n'ai pas beaucoup de temps. Vous ne pouvez pas quitter ce bureau avant d'avoir encore giclé sur mes seins.

Elle lui arracha presque son pantalon.

- Bon sang! Dit-il alors qu'elle enfourna rapidement son sexe encore flasque dans sa bouche.

J'observai ma soumise, aspirant et branlant comme une folle la bite de Marc. Elle savait qu'elle avait peu de temps alors elle s'appliquait pour faire jouir son collaborateur. Cinq minutes avant quatre heures, Marc lui dit qu'il allait éjaculer. Mais Christine n'était pas prête. Dans sa hâte elle avait oublié de sortir ses seins alors elle s'acharnait sur les boutons de son chemisier.

Marc, le visage crispé, protesta :

- Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps encore.

- Deux secondes s'il vous plait!

Alors qu'elle enlevait le dernier bouton, Marc éjacula sur les seins et le soutien-gorge, les recouvrant d'une bonne quantité de sperme

- Arghhhh! Désolé! Dit-il en secouant sa bite.

- Pas grave. Dit-elle en se redressant afin de rejoindre son bureau pendant que Marc se rhabillait.

J'observai Christine alors qu'elle lisait le message que je venais de lui envoyer :

« Ne remet pas les boutons du haut de ton chemisier et attend ton patron »

« Oui Maître »

Moins d'une minute après que Marc eut quitté le bureau, M. MULLER arriva.

Je savais que son prénom était Francis. Il donnait l'impression d'être puissant et riche. Il avait 60 ans environ, mesurait près de 1m80 et paraissait très tonique. Je devinais qu'il devait entretenir sa forme souvent. Il était marié car il portait une alliance et était bien habillé. Pendant une vingtaine de minutes, la conversation fut pénible. Ils parlèrent de grosses affaires qu'avaient traitées Christine dans de très bons délais. Tout le temps, le patron flatta ma belle-mère en lui indiquant que ses capacités étaient importantes pour la société.

Il lui demanda de lui montrer quelque chose sur l'écran tout en passant derrière elle. Je pouvais voir que son regard n'allait pas à l'écran mais plutôt au décolleté de Christine. Il jetait aussi de rapide coup d'œil à ses cuisses dévoilées par la jupe trop courte. Je sus que ça l'intéressait lorsqu'il se rassit et demanda à Christine de sortir un dossier client. Il l'observa attentivement lorsqu'elle quitta nerveusement son bureau pour se diriger vers le classeur dans le coin du bureau.

Elle ouvrit le troisième tiroir du bas, ajustant ses pieds afin de ne pas se pencher directement devant son patron. Mais sa jupe était si courte que le haut de ses bas ainsi que le début de ses fesses étaient visibles.

Francis l'avait vu aussi et, pendant que Christine était tournée, il saisit son entrejambe et réarrangea sa bite gonflée dans son pantalon. Leur réunion dura encore quarante minutes et se termina à cinq heures moins le quart. Le patron n'arrêtait pas de reluquer les seins et les jambes de son employée.

Avant son départ, il se tourna vers Christine et lui dit :

- J'aime vraiment vos nouvelles tenues de cette semaine. Elles mettent votre.... silhouette en valeur.

Timidement et gênée, ma belle-mère répondit :

- Merci Monsieur MULLER.

- Et je crois que vous avez renversé quelque chose sur votre chemise. Dit-il en montrant du doigt sa propre poitrine.

Encore une fois, complètement embarrassée Christine répondit :

- Oh oui désolé, j'ai renversé mon repas un peu plus tôt.

Elle se détourna en essayant de cacher le sperme entre ses seins.

Alors que nous rentrions à la maison je décris à Christine comment il la lorgnait. Elle me confirma qu'elle l'avait remarqué. Elle me dit aussi qu'il avait la réputation de reluquer toutes les femmes de sa société.

Je gardais cette information dans ma tête tout en commençant à réfléchir comment je pourrais mettre ma belle-mère dans une situation difficile avec son patron.

Cette nuit-là, alors que Christine me suçait, je téléphonai à Marc pour lui dire que demain matin la surprise serait dans le bureau de sa patronne. En entendant cela, ma soumise ne sourcilla pas et avala entièrement le foutre que je lui giclais dans la gorge.


A suivre....

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